Bah, l'Argentine m'avait donné une occasion avec ce double casus belli: territoire légitime + arrestation de mon citoyen. Et sur Victoria II, pas du Sud Brésil, donc je laisse en paix le Brésil.Antonius a écrit :Enfin, bizzare comme début... Moi -sur victoria I- avec l'Argentine- j'essaye d eme faire le plus rapidement possible l'Uruguay et le Paraguay peuplé de bon platinéen -a part quellques indiens guaranie ignorant dont on sauras bien se débarassé-Mais jamais une ouverture par la Bolivie... Le bresil risque rai de bouffé l'Uruguay ou le Paraguay et c'est du territoire légitime en moin. Avec le mod franchil.. Je profite de la révolte des états du sud Brésil pour les soutenirs (et les annexés plus tard au nom de la doctrine des frontière qui font bien sur une carte)
buzz l'éclair a écrit :Sympa comme début,![]()
Bon courage San Martin 2 (le Retour) !
Merci. Mais les Argentins vont être déprimés maintenant qu'ils picolent pus!Bartimeus a écrit :Ça picole sévère en argentine ^^. Bonne chance pour la suite !


L’Argentine peut continuer sereinement cette année 1844. Sa population active a doublée en 8 ans tandis que la part de Platiniens n’a cessé de croître. Les ouvriers représentent un peu de moins de 5% de la population masculine active tandis qu’il n’y a déjà plus que que 45% de fermiers et 7% de mineurs ou bucherons. Le Paraguay est la région la plus peuplée d’Argentine mais aussi celle qui possède le plus grand potentiel : 9% de ses habitants sont ouvriers. De plus, le Paraguay est la région la mieux administrée : 74% du territoire est correctement géré.
La part religieuse est encore très importante : un bon Argentin se doit d’aller à l’église tous les jours ! Les questions militaires sont à l’ordre du jour, mais Rosas n’y fait absolument pas attention. Il dirige toujours de façon très autoritaire.

Au niveau économique on notera surtout la part encore importante de l’agriculture. La production de laines a explosé tandis que, de façon peu compréhensible, la production d’alcool s’est effondrée…

Alors que le pays digère sa dernière annexion, un livre prônant des idées dangereuses est publié. S’appuyant sur l’inexistence d’immigration en Argentine (ce qui paralyse l’économie), l’auteur s’attaque à Rosas qui est furieux. Il ordonne immédiatement la destruction de tous les exemplaires de ce livre ainsi que la destruction des biens de toutes les personnes impliquées dans cette « rébellion » !

Après une légère vague de libéralisme, le pays reprend son calme. L’économie permet de baisser les taxes alors que le pays continue son développement. Les usines poussent comme des champignons et les ouvriers commencent à les peupler comme des schtroumpfs.

Les technologies de moteurs à vapeurs et de mécanisations sont développées.

1847, l’Europe est dominée par l’Allemagne du Nord qui vient d’écraser l’Autriche dans une guerre sans merci. Les Pays-Bas ont renoncé à la Belgique ; de toute façon, ils ont perdu la guerre face à la Belgique.

Le pays se développe à vitesse grand V et cela inquiète quelques-uns de nos voisins. La tranquillité de l’Argentine est rompue le 7 mars 1849 : le Chili nous envahit !
