Tour 15
Pas de grandes opérations mais des attaques qui infligent des pertes (et qui coûtent des PV...).
Au nord, dans le secteur de Kharkov, la plupart des unités retraitent. Des tirs d’artillerie tombent sur mes unités et me font perdre des pas.
La 294. ID du 17e corps retrouve enfin ses frères d’armes. Pendant 14 jours, complètement encerclés, régulièrement bombardés et attaqués, tous ces hommes ont tenu héroïquement leur position.
Par contre, ma tentative de percer par le nord (point A) est vite contrée : jmlo ammène rapidement des unités pour établir une grosse barrière défensive (trait bleu).
Au sud, les unités retraitent aussi vers l’est. Elles forment maintenant une grosse concentration qui va être difficile à percer pour faire la jonction. L’encerclement historique des soviets dans le saillant dit d’Izyum n’aura pas lieu...
2 attaques de jmlo :
B. Au nord d’Izyum, en réponse à mon offensive de la veille. Beaucoup de pas de pertes me sont infligés.
C. Sur l’aile gauche, qui essaie aussi d’établir la jonction, les blindés du 21e me causent aussi des dégats.
De mon côté, peu de grands mouvements aussi :
A. Dans le secteur de Kharkov, au nord-est, une attaque sur un régiment de la 227e division de fusiliers n’est pas concluante. Pas de recul ennemi.
B. Idem pour les unités qui ont traversé le Donets : une attaque qui inflige un pas de perte mais pas de recul qui aurait permis une percée.
C. Sur l’aile gauche, même scénario. J’encaisse même 4 pas de pertes. Les hommes commencent à se fatiguer...
D. Au nord-ouest d’Izyum, une (petite) bonne nouvelle quand même. Un régiment blindé de la 1ère armée panzer appuyé par de l’infanterie motorisée et des chasseurs continue de pousser et là l’ennemie recule. On voit même sur le détail du combat que j’ai eu un peu de chance :
Aucune perte subie et recul de l’ennemi.
Je peux même prolonger et attaquer une seconde fois avec d’autres unités ce qui permet d’avancer comme indiqué par les deux petites flèches blanches.
E. A l’extrème est du dispositif une attaque sur un régiment isolé de la 296e div. de fusiliers permet de faire avancer quelques unités, notamment un régiment du génie de la 60e division motorisée qui parvient à se positionner derrière l’ennemi.
Ici, il s’agit surtout de créer un peu de panique (enfin "panique", on peut toujours rêver...) dans le dispositif ennemi parce que les chances de survie de cette unité maintenant isolée sont bien minces...