Comme promis, un petit up de la situation dans cette partie.
Nous sommes au tour 21, soit le 1er juin 1805.
Après nous être fait traiter de pleutres par les Autrichiens, d'inutiles sauf aux Français par les Russes et de lents à la détente par les Anglais, la Prusse dévoile sa puissance.
Il y a deux semaines, la Bavière et la France ont attaqué notre allié autrichien. Fidèle à notre parole, nous déclarons la guerre en retour à L'Empire français.
Cette semaine, nous pouvons enfin bouger (nous évitons ainsi la pénalité de prestige pour une attaque surprise).
La Prusse s'ébranle vers la guerre !
Et que constate-t-on ? Et bien que nous sommes les seuls à oser jouer l'offensive contre l'ennemi !
Alors que le Russe est invisible en Europe, l'Autrichien ne s'est même pas attaqué aux Bavarois.
Il reste figé sur ses frontières dans la trouée de Linz et renforce Prague !
Heureusement pour moi, l'Anglais tente un débarquement en Hollande pour distraire le Français.
Prévoyant, j'ai envoyé quelques unités de cavalerie légère éclairer les troupes ennemies. J'ai ainsi des infos sur ce qu'il y a proche de moi.
Mon objectif principal : le Hanovre ! J'y jette mes deux vrais corps d'armée, plus de 90 000 hommes, contre les 20 000 Français de Lefebvre.
Je reste prudent car, même si ma flotte n'a pas repéré de forces à Bremen, cela ne veut pas dire qu'il n'y en a pas. Bernadotte pourrait s'y trouver.
A l'arrière, Hohenlohe ainsi que Kalckreuth, avec quelques unités viennent renforcer la défense ouest de la Nation et se posteront à Magdebourg et près de Dresde.
Le détachement de Lecoq me servira de ralentisseur dans la forêt allemande au cas où Napoléon tenterait d'y envoyer des forces, jouant sur la discrétion.