A gauche, alors que le colonel Taq1 avait demandé de ne pas charger les catholiques, et de continuer à les harceler avec les arquebusiers montés, un de ses officiers outrepasse ses ordre et charge l'adversaire désorganisé en haut de la colline (j'ai joué trop vite, j'ai fais un missclick

). Mais la pente ralentit les cavaliers. Les catholiques contre-chargent et finissent par repousser violemment les protestants.
Taq1 choisit de réagir et envoie son régiment accrocher les dragons. Mais le terrain toujours peu praticable pour des cavalier les empêchent de charger l'adversaire comme en plaine. Les dragons ne se replient pas et affrontent les cavaliers protestants sans qu'aucun ne semble prendre le dessus. Taq1 envoie donc un second régiment contre les dragons.
Il fait aussi charger le régiment laissé en réserve dans les bois. Celui ci en sort, grimpe la colline et attaque par surprise le flanc d'un régiment catholique. Les papistes sont pris par surprise et subissent de très lourdes pertes malgré leur position en hauteur.
Contre toute attente, Del Griffon envoie des renforts sur ce flanc pourtant secondaire. C'est 500 cavaliers qui arrivent sur la colline et risquent même de prendre à revers un des régiment protestant qui a réussi à engager les dragons. Le Colonel Lunarc décide donc de faire sortir ses hommes des bois pour tenter d'intercepter les cavaliers. La tache risque d'être rude mais les hommes de Lunarc sont habitués au terrain difficile, il y sont même à leur avantage.
A droite les nouvelles sont bonnes. Sous le feu des hommes de Lysimaque, les troupes les moins expérimentées des catholiques lâchent la ligne et battent en retraite. Huntzer et ses hommes quant à eux arrivent enfin au contact. Soutenus par le feu nourri des hommes de Lysimaques, ils avancent rapidement tout en lâchant des eux aussi des salves dévastatrices sur les lignes papiste. Arrivé à quelques mètres, ils lâchent une dernière salve avant que les piquiers n'avancent au corps à corps. Les catholiques ayant déjà subis de lourdes perte commencent à craquer sous la pression des vétérans d' Huntzer.
Pour empêcher les catholiques de manœuvrer et renforcer leur flanc, le général Bartimeus fait avancer une partie de ses hommes qui commencent à faire feu sur les lignes catholiques. Il prend soin de les laisser sur une petite hauteur pour pouvoir repousser les catholiques si ils tentaient de les charger. En effet en avançant, le général Bartimeus expose un peu son flanc gauche peu protégé ce que les catholiques pourraient vouloir exploiter.
A l'extrême droite, le chevalier Banane John a eu le temps de disposer ses régiment en une ligne. Voyant que certains régiments adverse font demi tour, il ordonne la charge. Ses cavaliers partent au galop vers les lignes catholiques, déchargent leurs pistolet et se ruent au contact sabre au clair. Le choc est sanglant mais la encore ce sont des vétérans qui chargent, et les catholiques subissent de lourdes pertes. Certains régiments se font même charger de dos et commencent à se faire disperser.
Un régiment de cavalerie réussi même à prendre de flancs de l'infanterie adverse. Les mousquetaire, surpris n'ont pas le temps de se mettre à couvert et le choc est d'une violence inouï. La cohésion des fantassins est presque réduite à néant et la formation menace de lâcher.
C'est toute l'aile gauche catholique qui risque de lâcher sous la pression de l'élite de l'armée protestante.