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** DIPLOMATIE ET AARS ** GPO 20
Posté : ven. janv. 28, 2005 12:59 am
par lemarseillais
Bon je ne vais pas vous dire qu'il faut faire des aars, moi même suis plutôt feignant dans ce domaine là.
Mais bon faut avouer que ça amène du charme surtout pour les autres qui ne participent pas.
Bref, c'est ici que ça se passe !
Posté : dim. janv. 30, 2005 7:43 pm
par lemarseillais
Sa Majesté le roy d'Espagne, et Sa Majesté la reine d'Espagne
Isabelle de Castille et Ferdinant d'Aragon, reine et roy par la grâce du Tout Puissant, octroient et octroyons, de part tous devant dit, à la dynastie soeur des Habsbourgs d'Autriche le titre d'allié.
Toute offense à la maison d'Autriche sera puni sévérement par nous, toute violation de son territoire sera puni de la même sorte par nous.
Que cela soit crié 3 fois par jours sur toutes les places et villes de notre ressort à la Pâque. Il en sera fait de même dans les places et bonnes villes d'Autriche. Que cela soit envoyé à tous les roys chrétiens de ce monde ainsi qu'au Sultan.
Posté : dim. janv. 30, 2005 8:26 pm
par Lord Simileon
Sir John Arthur Simileon, dit Lord Simileon, marchait d'un pas rapide dans les couloirs de son palais des bords du Bosphore. Son visage était tanné par le Soleil, à tel point qu'il ressemblait grandement aux Turcs qu'il cotoyait chaque jour, la ressemblance étant attisée par la culotte bouffante et le turban qu'il portait, ainsi que le cimeterre courbé passé à sa ceinture. Montant un superbe escalier de marbre, il arriva devant la porte de ce qui était son cabinet privé. Tournant la poignée, il entra dans la pièce, jetant un oeil distrait aux papiers amoncelés sur son bureau d'ébene, il s'assit pesamment sur son fauteuil de cuir, et se mit en devoir de faire une bonne sieste. Quant on venait d'être nommé par le Sultan a des responsabilités telles que les siennes, il fallait ne jamais se laisser déborder par les devoirs pour bien se conserver. Après tout, il aurait bien le temps de s'occuper des affaires de l'Etat plus tard...
Posté : lun. janv. 31, 2005 9:48 am
par LeRenard
[align=center]Suède 1492[/align]
Jimborg Türbessen était assis près de la cheminée en ce froid hiver de 1492, il repensait encore et encore aux épreuves qui l'attendaient lui et son peuple.
Il avait été nommé pour prendre en main l'organisation du coup de main contre l'Union de Kalmar. Il était temps pour la Suède de prendre en main son destin et mettre fin à cette Union avec un Danemark
toujours plus oppressant. La Suède voyait son développement ralentit par les trop nombreuse réglementations de l'Aristocratie danoise.
Son niveau commercial, militaire et naval stagnait depuis de trop longue année.
Jimborg et les autres membres du groupe avait décidé qu'il fallait se libérer rapidement du Danemark et trouver de nouveaux alliés. Un emissaire du groupe était d'ailleur parti ce matin pour
prendre contact avec le souverain Russe. Cette puissance autrefois ennemie pourrait devenir un allié intéressant. L'alliance Russo-Suèdoise pourrait ensemble lutter contre les puissances continentale que sont la Pologne et la Lithuanie. De plus l'éventualité de l'achat des colonnies russe de finlande plus proche culturellement du peuple Suèdois devait être aborder.
Les rapport avec les autres nations européennes devait être maintenue au beau fixe durant les prochaines années, pour éviter toute intrusion étrangère dans le conflit a venire avec le danemark.
En attandant le retour des émissaires Jimborg plannifiait la restructuration des relations commerciale et des droits de douane pour favoriser une expension du Commerce en Suède.
Posté : dim. févr. 06, 2005 12:15 pm
par Danton
1492 – 1508. Un coup de Jarnac
Notre humble royaume, bien petit comparé aux grandes puissances d’europe, est, dit-on, promis à un avenir radieux : le Saint Père lui-même nous a demandé d’unifier sous notre couronne le SERG et les balkans. Qui sommes-nous pour discuter les désirs du Pape ? L’Empereur d’Autriche, ni plus ni moins. Nous avons confié à nos deux plus efficaces conseillers des missions d’importance : au loyal Von Schonberg le soin de renforcer notre économie en nommant des percepteurs dans toutes nos provinces : trop de ducats sont actuellement perdu dans un affreux gaspillage. Au rusé Von Danton le soin de mettre sur pied une alliance destinée à repousser l’infidèle si celui-ci, comme nous le craignons fort, ne s’attaque à la chrétienté et plus particulièrement à son plus ardent défenseur, nous.
La Bavière, le Bade, la Hongrie et la Bohème rallient notre alliance et, de plus, notre aimé cousin de Madrid nous a promis sa protection inébranlable : que pourrions-nous encore craindre avec un tel protecteur ? Le duché de Milan reconnaît la justesse de nos prétentions dynastiques et la pureté de notre mission sacrée : en 1500, il rejoint spontanément notre puissant royaume, alors que notre allié hongrois nous entraine dans la guerre contre Venise l’impie qui, écrasée, cède rapidement Mantoue et la Dalmatie. Mais la sublime porte reste étrangement calme, trop calme prédit Von Danton, fort inquiet : le calme avant la tempête ?
L’Europe occidentale s’agite alors et des rumeurs de guerre circulent à Vienne, au grand désappointement de l’Empereur, qui ne désire que la paix : Français et Espagnols s’opposent sur le Roussilon et l’Italie. Des ambassadeurs des deux pays défilent dans la capitale impériale, qui peut faire pencher la balance d’un côté ou de l’autre : Paris, qui n’ignore pas les liens étroits nous liant à Madrid, se contenterait d’une neutralité autrichienne : la cour impériale est aussitôt divisée et n’arrive pas à s’accorder. Le comte Von Schomberg exige de fortes pressions pour faire céder la France et fait le serment de ne pas laisser l’allié espagnol marcher seul au combat si la guerre éclate, mais le prudent Von Danton, lui, freine au maximum l’ardeur guerrière des jeunes aristocrates, obsédé, dit-on, par le péril ottoman, qu’il connaît bien : le Sultan est dangereusement en paix et semble n’attendre qu’une occasion pour frapper en Hongrie.
Von Danton demande en vain le rappel de toute urgence du valeureux maréchal Von Frundsberg, en poste dans les Flandres, mais la tournure des opérations va étouffer sa sage voix : la France mobilise. La course aux armements s’emballe, le conflit semble inévitable, au grand désespoir de l’Empereur, qui incite de plus belle son cousin ibérique à négocier avec Paris. Sa prière sera entendue, la perspective d’une guerre en Europe s’éloigne... pour le moment en tout cas. Malheureusement, le mal est déjà fait : le Sultan, fourbe et sans honneur, lance ses hordes de sauvages contre la courageuse Hongrie, incapable de résister seule à la déferlante mahométane.
Pour n’avoir pas écouté Von Danton, l’Empereur se trouve dans une situation impossible : Von Frundsberg et le gros des troupes sont en occident, l’armée est technologiquement dépassée (l’arquebuse n’est toujours pas répandue). Et les barbares en profitent : le déferlement est irrésistible, la Hongrie toute entière est envahie et écrasée. Vienne ne peut qu’assister, impuissante, à ce qui n’est que la conséquence du conflit évité grâce à elle en occident (en toute modestie). Leur forfait accompli, les sauvages pénètrent en Autriche : le dernier rempart de la chrétienté est attaqué par le Sultan et personne ne bouge !! Que font notre allié espagnol et la France, fille de l’église, alors que l’Empereur et le Pape lancent tous deux un vibrant appel à la croisade ? Rien ! Nous laissera t-on seul face au terrible péril ottoman qui pèse sur le monde ? En vérité, je vous le dis : si Vienne tombe, si l’Autriche succombe, plus rien ni personne ne pourra encore stopper la horde impie. Nous sommes votre ultime rempart, votre ange gardien, ne l’oubliez pas : totue aide est la bienvenue, remuez-vous un peu, clame le saint Père.
Comme une action est devenue indispensable, le comte Von Schomberg vide les prisons, remplies de musulmans infidèles, les arme légèrement et les encadrent par les plus violents de nos prisonniers, catholiques cette fois, les seuls à même de commander, même s’ils ne sont eux aussi que des gibiers de potence : cette troupe hétéroclique de forbans et violeurs part affronter les barbares... à la grande surprise de tous, c’est la victoire : les mahométans sont repoussés ! Le comte jubile et ordonne de marcher désormais sur Buda, pour libérer la capitale de notre allié, mais un contre-ordre arrive aussitôt de Von Danton, qui ordonne de se replier au plus vite : le rusé comte estime le succès trop facile, cela ne peut que cacher une embuscade. L’appât, d’ailleurs, a fui beaucoup trop vite et, au loin, un nuage de poussière arrive presque aussi vite que le vent : serait-ce les redoutables janissaires du Sultan ? Von Danton, malheureusement, avait vu juste : des hordes de cavaliers infidèles rattrapent les taulards en retraite et les massacrent abominablement : pas un seul brigand, dont la majorité était pourtant sunnite, n’a été épargné par les sauvages, qui tuent sans distinction amis et ennemis : voilà ce qui attend le fou qui aura la folie de s’allier ou même de négocier avec le Sultan infidèle.
Fort de sa victoire, celui-ci se jette alors... contre Vienne ! le monde entier retient son souffle : la dernière forteresse chrétienne est assiégée. Si elle tombe, le fleuve hérétique balayera l’europe comme un fétu de paille et instaurera partout son ordre de mort... malgré ce péril, immense, pas un chrétien ne bouge ! Le Pape, désespéré devant une telle inconscience, sombre dans une profonde dépression et l’Empereur parle de se faire moine. Heureusement, Von Danton, lui, n’est pas homme à céder si facilement : il concentre nos immenses armées, des troupes d’élite cette fois, commandées par Von Frundsberg et dotées de l’arquebuse, et prépare une contre-offensive généralisée : il est temps d’écraser l’infidèle !
Mais, surprise, le Sultan offre alors... une paix blanche ! A Vienne, c’est la consternation : le Sultan a pour le moment toutes les raisons de se croire victorieux, l’occident chrétien reste amorphe et le principal conseiller ottoman, Lord Simileon, traîne derrière lui une réputation immense : vraiment pas le genre à se contenter d’une paixc blanche quandil est vainqueur. Les diplomates autrichiens, légitimement méfiant, soupçonnent le piège : une paix séparée qui laisserait seul notre malheureux allié hongrois, bien incapable de renverser la situation sans notre puissant soutien, qui ne s’est d’ailleurs encore guère manifesté. Mais non, il s’agit bien d’une paix généralisée et l’Empereur, trop heureux de s’en sortir à si bon compte, signe rapidement la paix : le péril ottoman est repoussé ! Les autres souverains chrétiens auraient-ils ENFIN agis ? Auraient-ils menacé l’empire ottoman pour le forcer à négocier ?
La guerre, en attendant, continue... contre Venise ! Le Doge dément et impie, en effet, est entré en guerre contre nos glorieuses forces 4 jours seulement après l’attaque turque ! La collusion est indéniable : le Doge n’est qu’un pantin manipulé par le Sultan. Un chrétien qui attaque de concert avec le mahométan l’ultime rempart de la chrétienté : quelle infamie ! Venise payera pour cette ignominie, tôt ou tard. Von Frundsberg assiège déjà la ville maudite, mais l’Empereur, trop clément, accorde une paix généreuse au fou (contre 400 ducats d’indemnités quand même).
Lai paix revient enfin, l’argent coule à flot et l’armée retrouve rapidement son plus haut niveau. La stabilité de notre royaume est telle que, impressionnés, le Baden et la Bavière prêtent spontanément serment de vassalisation. Tout va donc pour le mieux quand, stupeur et tremblement, un diplomate hongrois vient se plaindre à Vienne de la faiblesse de l’engagement impérial lors de la guerre contre l’ottoman, qui a coûté trois provinces à son pays : la Dalmatie, la Croatie et le Banat !
L’Empereur, fou furieux, convoque ses deux principaux conseillers... la séance fut animée, mais rien ne filtre à son sujet. L’on notera juste que Maximilien a la voix qui porte et que les deux conseillers se sont fait TRES discret après cela. Comment une telle diablerie est-elle donc possible ? Quand les négociateurs ottomans sont arrivés à Vienne avec leur proposition de paix blanche, alors que Von Frundsberg planifiait la contre-attaque visant à libérer Buda... la Hongrie était déjà en paix et ce depuis trois mois !!! Où va t-on mes bons seigneurs si un événement d’une telle importance échappe à notre sagacité ? Certes, l’Autriche n’aurait pu modifier cette paix séparée que signa le bon roi Lajos, mais notre ignorance de cette affaire est une tache pour notre immaculée réputation. Espérons que l’on ne rira pas de nous.
Missives diplomatiques.
Espagne. Aaaah, mon ami, mon allié, mon cousin, mon bâton de vieillesse (tant qu’à faire), comme vous avez du souffrir... ne pas pouvoir respecter votre parole, cela a du être difficile. Mais soyez rassuré : nous comprenons. Nous savons. Et nous restons votre dévoué allié, cousin et ami, prêt à vous soutenir n’importe où.. Nous savons pouvoir compter sur vous et vous en remercions grandement. Toutes nos félicitations pour vos découvertes : pourriez-vous nous envoyer un échantillon de... comment dit-on encore... vous savez bien... ah oui, c’est cela, du tabac.
France. Bienheureux roi François, nous compatissons : cela a du être terrible d’entendre le vénéré Saint Père, votre allié, vous murmurer jour après jour ‘Prenez la croix, mon fils, et paartez bouter l’infidèle hors des balkans’. Nous espérons pouvoir compter sur vous si le turc repart à l’assaut de la chrétienté et nous réjouissons de la reconnaissance mutuelle de nos frontières actuelles, mais rappelez-vous cependant que l’Italie n’est pas la France : n’en faites pas trop et, en toute circonstance, laissez-vous guider par vos devoirs de bon chrétien.
Russie. Vous plus que tout autre, vous devez nous comprendre : nous savons en effet qu’un individu particulièrement ignoble vous a jadis infligé le même coup de Jarnac. Nous sommes donc frères et espérons de ce fait pouvoir compter sur votre aide future. Nous vous souhaitons longue vie et prospérité... Pourriez-vous nous envoyer encore un peu de caviar ?
Portugal. L’on vous dit homme d’honneur et de parole, votre pays petit mais prospère et entreprenant : tous nos voeux de succès ! Grandissez et dévellopez-vous : le monde a besoin d’un pays comme le vôtre.
Suède. Nos cartographes, on le sait, ne sont pas très compétents, mais, malgré tous nos efforts, nous n’avons toujours pas trouvé votre grand pays. Ou se situe t-il exactement ?
Empire Ottoman. Vous avez pris la Dalmatie, la Croatie et le Banat à notre allié hongrois, mais, ici en Autriche, nous connaissons bien vos semblables et leur subtilité si particulière... Nous savons donc que vous n’avez pris ces provinces que pour mieux pouvoir nous les donner : quand donc comptez-vous nous les restituer ? Le plus tôt serait le mieux. Naturellement, vous y gagnerez toute notre amitié et notre considération, ce qui est inappréciable.
Posté : dim. févr. 06, 2005 1:22 pm
par Leaz
Londre, en l'an de grâce 1508
Blason de sa majesté Henri VII Roi d'angleterre et Seigneur d'Irlande.
Sir Leaz II avancer à pas rapide dans le palais royale, sa majesté Henri VII Roi d'angleterre et Seigneur d'Irlande, l'avait convoquer de toute urgence.
Depuis 15 ans le Royaume souffrait d'un mal étrange, le roi tomber gravement malade c'est un de ses conseiller qui pris le pouvoir, nomé Sir Charles Hiha, malheuresement le règne de sir Charles, fut d'une molesse et d'une incompétence financiere remarquable, il lêva de nombreuse armées sans ce soucier des finances, et lorsque Sir Leaz reçus les états du royaume les finance n'était pas au beau fixe, pas un seul ducats dans les caisse, et un commerce inéxistant..
Cependant le Sir Leaz savait que la situation changerais bien vite, maintenant que le Roi était remis de sa maladie, et le sir Charles Hiha pendus haut et cour, il l'avait convoquer pour le nomer
First advisor of his majesty et c'est avec beaucoup d'honneur qu'il accepterait ce titre.
Et même si ses qualités de conseiller n'étaient pas encore prouver, il était dans le premier navire Anglais à avoir accoster en inde, et il en ramenais d'éxtraordinaire, ventant la richesse du sol, ainsi que les grandes richesse de ces terres vierges. Le roi séduit l'avait alors nomer, nul doute que le pays serais désormais tourner vers l'océan.
Les mauvaises langues et les béliqueux arguant que la prioriter n'était pas là, et que ces maudits Irlandais qui s'étaient rebeller contre l'autorité du roi devait être le premier des soucis d'un bon conseiller, et que ce n'est seulement aprés avoir écraser les Ecossais au nord que l'ont pourait ce tourner vers l'aventure.. en europe, et non pas dans des terres vierges peupler d'indigène, ne parlant pas un mot d'anglais et encore moins de français !
A quoi le First Advisor répliquer de manière humble, que la prioriter n'était pas d'integrer par la force des peuples qui ne le désirent pas, et qui de plus seraient un fardeaux pour le royaume, et qu'une politique d'alliance avec ces derniers serait bien plus profitable.
Mais un soucis rester pour le Sir Leaz, il avait vus lors de ses voyages en inde d'autre navires, ne battant pas pavillon anglais et certains, énorme, sembler transporter quantité de richesse vers l'europe, battant pavillon Espagnol pour la plupart; comment ces hommes étaient ils arriver là ? Et depuis combiens de temp ? Un affreux doute rester dans l'esprit du conseiller : Et si ces Espagnol était entrain de s'approprier toute les richesses de l'inde ?
Une des autres taches qui attender le futur first advisor rester aussi la création de liens diplomatiques :
Missive au Roi de france : N'oubliez pas que la Normandie est terre Anglaise ! Et que jusqu'a ce que l'angleterre soit détruite où que notre dynastie ne faillisse, il en restera ainsi ! Nous avons perdus la guerre de 100ans, mais ne nous sous-estimer pas pour autant, cependant vos récent éfforts d'agrandissement
vers le sud ne sont pas pour nous déplaire, faite sonner le fracas des armes, mais faite le loin de chez nous et nous garderons de bons termes.
Missive au Roi d'Autriche : Saint Empereur, hélas, nous regrettons.. nous regrettons de ne pas avoir, comme notre glorieux ancètre le Roi Arthur, pus envoyer des soldats en terre de jourdain, aller liberer la sainte ville. Le royaume n'est plus aussi fort qu'avant, mais nous vous promettons que tant que la foix catholique nous unira vous aurez tout notre soutiens morale dans la guerre contre l'infidèle.
Missive au Roi d'Espagne : Cher Roi d'Espagne, nous vous rapellons que notre fille est marier à l'un de vos fils, cependant nous sommes curieux de savoir quel est votre conaissance des Indes.
Missive au Roi du Portugal : Bien que petit, votre pays semble dynamique et entrepreneur, on raconte même à la cour que vous aussi auriez découvert les Indes.
Missive au Roi de Suède : Bien que désormais en Exil, votre royaume n'étant plus, vous serez toujour le bienvenus en Angleterre.
Missive au Roi des Rùs : Votre pays nous est que peu conus, c'est pourquoi nous serons bref, nous vous souhaitons de la chance dans vos entreprise, et qu'elles soient toute victorieuse.
Missive au Sultan des Ottomans : Malgré le fait que vous soyez des Infidèles nous sommes prêt à ouvrir le dialogue, mais les terres des balkans sont catholique, vous devez les rendre à un monarche catholique !
Posté : dim. févr. 06, 2005 4:29 pm
par lemarseillais
Madrid l'an de grâce 1508
Depuis 1492 et la découverte de notre navigateur, Christoph Colomb, notre pays s'était lancé à la conquête du nouveau monde. Nos armées, considérés comme la meilleure d'Europe par certains, écrasent sans sourciller les indigènes assez fou pour espèrer nous arrêter avec de simples lances.
Tout se passe pour le mieux, et ce ne sont pas les manigances françaises qui freineront l'aggrandissement de notre Empire. Quel fou que ce roy qui frappe à notre porte et nous dis en clair que si nous refusons de négocier la vente du Roussillon et du royaume de Naples alors il y aura animosité entre nos 2 pays.......manière cachée de dire que ce sera la guerre.
Et la guerre éclata, faute de nos alliés respectifs, le royaume de Naples attaquant le Pape..........quel fou !
Bien entendu le royaume catholique d'Espagne ne voulait et n'a pas combattu une seule seconde le descendant de saint Pierre. Nous avons suivi notre allié dans la guerre uniquement car nous espérions faire taire rapidement les débats, par une paix blanche général, avec notre voisin français.
Quelle erreur de notre part !!!! Mais ce sera la dernière ! La France refusant notre offre de paix blanche générale, nous proposa juste après ue paix blanche que nous signons aussitôt. Argh quelle malheur d'avoir fais confiance aux plénipotencières français. Ce n'était pas une paix générale qu'ils apportaient mais une paix isolée.
La fourbe France en profitait pour prendre l'Apulie sans que nous puissions réagir. Et plein de culot nous proposa un échange, ensuite, entre Apulie et Roussillon. Bien entendu le royaume d'Espagne, peuple civilisé par excellence, écouta la requête française et pris le temps de la réflexion.
Le parti de la paix l'emporta d'abord, notre ami Autrichien insistant beaucoup pour maintenir la paix en Europe. Des négociations furent alors entreprise entre français et espagnols pour l'échange de territoire.
Mais ce fut un échec, apres des années de longues discussions, la France en voulait toujours plus.Et l'Espagne était de moins en moins enclinte à négocier avec un roy aussi fourbe. D'autre part le bon peuple du Roussillon, profondèment attaché à la couronne d'Espagne, ne veux pas passer sous le joug français.
Aussi, l'Espagne n'a pas retenté de recommencer les négociations apres l'echec de la première tentative. D'autre part elle somme la France de restituer l'Apulie au royaume de Naples pour préserver la paix sur notre monde conformement au voeu de Dieu.
Réponses diplomatiques : (à venir....)
Posté : dim. févr. 06, 2005 8:38 pm
par Bubu
Le Roi de France tient à dénoncer les mensonges du Roi de Castille. Ce que nous proposons c'est l'échange du Roussilon contre l'Apulie. Le Roi d'Espagne lui exige la cession de l'Apulie contre une cession hypothétique du Roussilon après une durée minimum de 3 décénies.
Nous vous le demandons quel monarque sein d'esprit trouverait ce "marché" équilibré?
Posté : dim. févr. 06, 2005 8:44 pm
par lemarseillais
Non l'Espagne ne propose même plus cela. Le parti de la paix est passé.
Posté : dim. févr. 06, 2005 8:47 pm
par Bubu
Et dire que vous nous accusiez de vouloir la guerre à tout prix.
La France ne participera à aucune croisade si elle se trouve menacée par une nation qui se prétent catholique.
Posté : dim. févr. 13, 2005 11:09 pm
par Leaz
Sa majesté Henri VIII
Lord, il était désormais Lord.. le roi l'avais anoblis pour "service rendus au royaume et à sa majesté, ainsi que bravoure sur le champ de bataille", le conseiller Leaz n'en revener pas, quel honneur pour sa famille ! quel honneur pour lui !
Et pourtant il avait fais si peu, certe, il avait rétablis une mauvaise situation, et noué des embryons de relations diplomatique, mais beaucoup rester encore à faire et cette nouvelle religion "protestante" qui comencer à peine à circuler en allemagne rencontrer déjà quelques adeptes en Angleterre, celà n'allait évidemment pas faciliter la tâche que de gouverner ces héretiques..
Au pire, les enveraient-on en Nouvelle-Angleterre, là bas on avais grand besoin d'homme pour coloniser cette nouvelle terre. En effet il ne s'agisser vraissemblablement pas des Indes, les recits des voyageurs d'antants ne corréspondent en aucun cas à ce que nous avons vus sur cette nouvelle terre, des peuples, indigènes, inciviliser, auquel il conviens de leur apporter la culture et la religion, mais aussi une terre riche, vierge, qui recèle d'immense possibilité.
Cependant, cette nouvelle terre attirait déjà la convoitise et certains émissaires sont venus à la cour parler "traité de partage" de ce nouveaux monde, le conseiller réflechissait, aprés tout les anglais était là depuis déjà plus de 10 ans, pourquoi ceder des terres à des européens qui n'ont encore jamais envoyer de bateaux dans le nouveau monde ?
D'autant que ce dernier semble immense, à l'ouest nos explorateurs n'ont toujour pas trouver de passage vers les indes, et les terres découverte semblent démesurément grande, certains prétendent que ces terres sont des présents de Dieu fait à tout les pecheurs qui pouront là bas recomencer une nouvelle vie, saine de toute leur faute.
Au sud, nos explorateurs semblent avoir dépasser le grand continent qui s'étend sur des milles et des milles, ce dernier est bien étrange, tantôt bordé d'un desert aride, tantôt d'une foret humide, luxuriante.. En tout cas il ne semble guère aussi riche que la nouvelle angleterre, et ordre est donner à nos explorateurs de ne pas s'arrêter sur ces terres, nous devons aller à l'Est, vers les indes !
Navire de colons anglais en route vers la Nouvelle-Angleterre.
Posté : lun. févr. 14, 2005 8:04 pm
par Danton
Notre correspondant à Rome, l’abbé Loecio, nous confirme les justes paroles du Saint Père : « Tout chrétien qui attaquera un croisé sera excommunié et maudit pour l’éternité, son peuple connaîtra la peste, la famine et les guerres incessantes, son royaume s’effondrera et disparaîtra des cartes de l’Europe car il n’est rien de plus sacrilège qu’attaquer ainsi un juste croisé (l’Autriche étant pour le moment le seul champion de la cause chrétienne...), que de s’allier au mahométan infâme et sans honneur : pour le christ, prenez tous les armes ! La chrétienté tout entière luttera et vaincra l’infidèle, châtiera le fol qui attaquerait un croisé. Avec l’aide de Dieu, nous sortirons plus fort de cette épreuve. Amen »
Posté : lun. févr. 14, 2005 8:27 pm
par athax
Missive diplomatique secrète envoyé par Maximilien Ier, roi d'autiche à Joachim Ier Athax,prince-électeur du Brandebourg :
Au grand Duc du Brandebourg,
Très cher ami, nos services de renseignement, et vous savez qu’ils sont réputés, viennent de nous apprendre que vous nous avez vendu au grand turc, lui livrant des informations confidentielles nous concernant. Vous imaginez notre légitime colère : le pape nous a déjà donné sa bénédiction si nous décidions de nous venger de cet acte intolérable : pactiser avec l’infidèle contre un chrétien !
Mais avant d’agir, nous cherchons toujours à comprendre et là, nous avouons être dans l’obscurité la plus totale : que pouvez-vous gagner à nous trahir ainsi ? Hormis quelques cacahuètes, que peux vous offrir le Sultan lointain et sans honneur ? Rien. Mais que perdez-vous en agissant ainsi ? Tout.
Qui pensez-vous pourrait venir à votre secour si des hordes de polonais ou Danois déferlaient contre vous ? Ou, car votre attitude le mériterait, nos invincibles armées ? Votre survie dépend en grande partie de notre bienveillance, tout comme le Portugal doit veiller à entretenir de bonnes relations avec son voisin ibérique... C’est ce que ce pays a fait. Vous, vous semblez plutôt vous orienter sur un chemin de haine et de suspicion, qui ne peut que mener à la désolation, la mort et la destruction. Si tel est votre choix, nous agirons en conséquence pour ne pas trop traîner les choses : nous savons que vous êtes un homme pressé.
Si par contre vous vous décidez à réétudier vos relations extérieures, alors nous pourrons nous entendre : le Saint Empire est bien assez vaste pour nous accueillir tous deux et nous n’avons tout à gagner à opposer un front germanique uni... car nous sommes frères, l’auriez-vous oublié ? Même langue, même culture. Ceux qui vous poussent à trahir votre famille ne visent rien d’autre que leurs intérêts propres : nous affaiblir un peu et tant pis si cela entraîne votre chute, qui leur sera royalement indifférente.
Écoutez la voix de la sagesse et rentrez dans les rangs... mieux égalez les exploits de votre glorieux ancêtre, Frédéric Barberousse, qui prit jadis la croix, et faites comme lui : venez nous aider à bouter l’infidèle hors des balkans. Pour le Christ ! Plus vous nous aiderez, plus nous serons enclins à vous accorder la suzeraineté sur le maximum de provinces du Saint Empire. Do ut des (et, pour le moment, cela n’est guère en votre faveur...).
Maximilien I, Empereur du Saint Empire
Réponse du prince-électeur Joachim Ier Athax :
A Maximilien Ier d'Autriche,roi d'Autriche et prince d'autres terres.
Nous ne renions pas notre appartenance au peuple germanique et nous vous considérons comme des frères de race.
Pourtant,sachez-le, si nos états sont petits et pauvres,nos armées sont puissantes et nos généraux compétents.De plus,notre trésor de guerre,le plus important d'europe renforce cette puissance militaire.Sachez-le : nous ne sommes qu'un petit état mais très vite,le louveteau se fera loup et alors nous mordrons qui nous défiera.
Notre puissance méséstimée étant établie,nous tenons à préciser un point : nous ne reconnaissons plus une quelconque suzeraineté théologique de Rome la corrompue donc ne venez pas nous parler de guerre sainte ou de croisade : nous tiendront bientôt la religion catholique pour aussi hérétique que la musulmane.
Pourtant,nous ne vous comptons pas comme des ennemis ... tant que les choses seront bien établies : nous ne renseignerons ni n'aiderons l'empire ottoman sous les conditions suivantes :
- Les terres Germanqiues à l'est du rhin et au nord de la Bavière sont désormais les notres,à plus ou moins long terme,quoi qu'il en coute.
- la Silésie,terre Allemande est notre et nous l'aurons,quoi qu'il en coûte.
- nous reconnaissons la suzeraineté de l'Autriche sur L'italie du nord,sur les terres germanique à l'ouest du rhin et sur les provinces balkaniques
- nous formons des voeux sincères pour votre victoire contre les Ottomans.
Nous sommes navrés d'avouer que tôt ou tard,nous serons obligés de nous heurter au cours d'une lutte fratricide.Que les conditions ci-dessus soient respectées et nous trouverons rapidement et sans effusion de sangs un terrains d'entente à cette future lutte innutile : le monde germanqiue est assez grand pour nou deux.
Joachim Ier Athax,prince électeur du Brandeburg.
Posté : lun. févr. 14, 2005 9:55 pm
par lemarseillais
Et Dieu écouta ce qui se passait en Espagne......
Le roy d'Espagne était profondément stupéfait par les paroles brandebourgeoises.
Certes, il avait compris depuis longtemps que la France était gouvernée par un hérétique, qui se complaisait à frayer avec ces horribles infidèles (pourquoi mériteraient ils une majuscule). Il avait vu que les peuples de la couronne anglaise, de la couronne danoise prenaient goût à l'hérésie luthérienne. Et maintenant le brandebourg s'ajoute à cette liste.
Que se passe t'il donc en Europe ?
Seigneur veux tu tester des fidèles serviteurs ? Pourquoi tant d'épreuves à la fois envois tu aux hommes ?
Le monde dois être bien bas si le Tout Puissant nous punis de la sorte.
Mais la Trés Catholique Espagne ne se laissera pas tomber dans la frange, elle ne choisira pas la voie de la simplicité comme ces fous.
Oui Seigneur, je suivrais ta voie, celle que tu imposes aux hommes pour sonder leur âme. Je prendrais les chemins d'épines, de ronces, dans le froid et le vent, sous la pluie et les combats, jusqu'au bout de ma vie.
Oh mon Dieu que ta miséricorde s'abatte sur ces peuples d'Europe à la dérive. Ce sont leurs maitres qui sont fous et guidés par le diable, mais le bas peuple est perdu mon Dieu. Que les prières des Espagnols sauvent au ces pauvres âmes perdues de ton courroux mon Dieu.
Je t'en supplis....
Avec nos frères Portugais et Autrichiens nous ferons tout mon Dieu pour repousser le mal qui se répand.
Amen
Posté : lun. févr. 14, 2005 11:39 pm
par Bubu
Voici la missive du roi d'Espagne corrigée de la main même de sa gracieuse Majesté, François Ier, Premier Catholique d'Europe et souverain de la Fille Ainée de l'Eglise:
Le roy d'Espagne était profondément stupéfait par les paroles brandebourgeoises.
Certes, il avait compris depuis longtemps que la France était gouvernée par un hérétique, qui se complaisait à frayer avec ces horribles infidèles (pourquoi mériteraient ils une majuscule). Il avait vu que les peuples de la couronne anglaise, de la couronne danoise prenaient goût à l'hérésie luthérienne. Et maintenant le brandebourg s'ajoute à cette liste.
Que se passe t'il donc en Europe ?
Seigneur veux-Tu tester Tes fidèles serviteurs ? Pourquoi tant d'épreuves à la fois envois Tu aux hommes ?
Le monde dois être bien bas si le Tout Puissant nous punis de la sorte.
Mais la Trés Catholique Espagne ne se laissera pas tomber dans la frange, elle ne choisira pas la voie de la simplicité comme ces fous.
Oui Seigneur, je suivrais Ta voie, celle que Tu imposes aux hommes pour sonder leur âme. Je prendrais les chemins d'épines, de ronces, dans le froid et le vent, sous la pluie et les combats, jusqu'au bout de ma vie.
Oh mon Dieu que Ta miséricorde s'abatte sur ces peuples d'Europe à la dérive. Ce sont leurs maitres qui sont fous et guidés par le diable, mais le bas peuple est perdu mon Dieu. Que les prières des Espagnols sauvent au ces pauvres âmes perdues de Ton courroux mon Dieu.
Je T'en supplis....
Avec nos frères Portugais et Autrichiens nous ferons tout mon Dieu pour repousser le mal qui se répand.
Amen
Il fut un temps où de telles erreurs vous auraient valu l'excommunication. Que Diable! Le Trés-Haut n'est pas le palfrenier du coin avec qui vous avez pris l'habitude de forniquer! Même les hérétiques ne font jamais ces erreurs! Ainsi le roi d'Espagne ajoute à sa réputation de belliqueux, celle d'inculte et de faux-croyant. Pourquoi force-t-il donc à la conversion les Juifs alors que lui même a perdu la Foi? Comment ose-t-il remplacer les Saintes Paroles du Tout-Puissant par ses propres déclarations?
Mon Dieu quelle hypocrisie a submergé la cour d'Espagne?
Nous demandons des excuses immédiates au roi d'Espagne et un pélerinage à genou à Rome. Celà seul pourra appaiser la colère divine après un tel témoignage d'impiété et d'arrogance face au Créateur. Des caillous spécialement travaillés seront placés sur le chemin afin de rendre la pénitence plus sincère.
Posté : lun. févr. 14, 2005 11:54 pm
par lemarseillais

bien joué bubu
Mais bon tu te doutes bien que je ne fais pas super attention à ces détails, mais j'ai bien ris.

Posté : mar. févr. 15, 2005 3:53 pm
par Lord Simileon
Le Sultan savait bien que la Cour de Madrid était le repaire des incroyants...
Posté : sam. févr. 26, 2005 2:10 pm
par Danton
1509 – 1518. Bis repetita placent
Les jours sont sombres et l’heure n’est pas aux réjouissances : notre allié hongrois nous a entraîné dans la guerre contre la Pologne, Lithuanie, Moldavie et Prusse, les négociations France-Espagne-Autriche s’éternisent, à la grande tristesse de l’Empereur, qui est indéniablement le plus ouvert à toute proposition. Quelle folie s’est donc emparée des souverains chrétiens ? Ne voient-ils pas la menace qui se lève à l’est ? Serons-nous toujours seul contre l’ennemi impie ?
Nos valeureuses troupes repoussent les Prussiens et polonais qui fondaient déjà sur la Bohème et les traquent sans pitié : c’est un bon entraînement pour l’armée, qui peut améliorer ses tactiques et endurcir ses hommes. Les nombreux ambassadeurs catholiques se séparent finalement sans qu’un accord ne soit signé : au moins, les points de vue des uns et des autres ont pu être clarifié et il se raconte que Vienne et Paris peuvent s’entendre sur l’essentiel. La chrétienté doit présenter un front uni contre le péril ottoman. La Bavière, bien consciente que l’Autriche est le dernier rempart chrétien, décide de rallier notre empire : ses troupes sont intégrées et font quelque peu exploser les effectifs.
La guerre enflamme le nord du Saint Empire, mais tous les regards autrichiens sont tournés vers l’est : l’assaut semble imminent. Un ambassadeur ottoman obèse, laid, bègue et particulièrement grossier vient apporter la déclaration de guerre un beau matin de 1518 : la horde sauvage repart dans sa sanglante chevauchée. Une fois de plus, notre malheureux allié hongrois est bien incapable de résister au déluge mais, cette fois, nos valeureuses troupes franchissent la frontière dès le deuxième jour de l’offensive. Les trois Von ont fait taire leurs différents pour sauver la chrétienté ingrate (personne, en effet, ne vient à notre secour...) : Schomberg supervise la logistique, Danton le commandement militaire et Frunsberg mène les hommes au combat.
Tels la marée inarrêtable, les janissaires déferlent, prennent déjà deux provinces d’assaut et convergent vers Buda, l’antique capitale hongroise : une petite promenade de santé pour le Sultan et ses sbires. Mais la mécanique s’enraye et, fort du soutien de Dieu, les armées autrichiennes croisent à plusieurs reprises le fer contre l’ennemi impie dans les plaines hongroises : totue une génération de jeunes ottomans est fauchée par nos invincibles soldats. La horde paye au prix fort les folies du Sultan (ou est-ce la faute à ceux qui l’ont poussé à la guerre ?). De grandes batailles victorieuses permettent de sauver Buda : le premier assaut a été repoussé. Péniblement peut-être, mais seul le succès importe. Nul doute que Dieu ne soit avec nous !
Malgré l’ampleur incroyable de la menace, aucun chrétien ne vient nous aider dans notre sainte mission et l’Autriche continue seule son combat pour la chrétienté tout entière. La guerre ne fait que commencer, mais nous remplirons notre devoir et serons fidèles à nos serments : le peuple autrichien vaincra car il est le plus vertueux. Il n’est en effet pas un seul homme de notre empire qui ne consacre désormais tous ses efforts pour soutenir la guerre : du roturier au grand seigneur, la volonté est partout la même. Conscient d’avoir derrière lui tout un peuple uni contre le péril mortel, l’Empereur proclame partout sa volonté de lutter jusqu’à la victoire et lance un vibrant appel à la croisade adressé aux différents souverains européens.
Posté : sam. févr. 26, 2005 2:48 pm
par Danton
1519 – 1532. L’Autriche au coeur de la tourmente
Nos intrépides armées attendent, le moral au zénith, le nouvel assaut des barbares et de nouvelles troupes ne cessent de converger vers le front : entre l’ottoman et Buda, il y a désormais un mur de fer, de feu et d’acier. Plus de 150.000 hommes font barrage à l’infidèle : la chrétienté ne reculera plus d’un pouce. La folie, malheureusement, s’empare du souverain hongrois, incapable de comprendre que si la guerre est loin d’être remportée, son royaume ne devrait plus tomber : paniqué et craignat désormais même son ombre, il offre le Pecs, Maros et Transylvanie au Sultan, qui ne rate naturellement pas cette aubaine inespérée, qui laisse l’Autriche et la Bohème seuls en guerre.
Ce lâche abandon rend nos soldats fous furieux et l’assaut contre l’ottoman reprend avec fougue : Maros, Pecs et Banat tombent rapidement, mais des hordes innombrables ne cessent de surgir d’Istanbul : les réserves du Sultan seraient-elles inépuisables ? Où trouve t-il tant de soldats et tant d’argent pour les équiper ? Cette énergie pour relancer sans cesse ses armées au combat ? (Soliman est en effet toujours à la pointe des combats). A Vienne, on s’interroge, mais la volonté ne fléchit pas un seul instant : le Sultan est un adversaire valeureux et ingénieux, mais que peuvent ces qualités contre l’appui de Dieu dont bénéficient nos armées ?
L’appui divin est en effet irréfutable : nos armées écrasent l’infidèle dans une gigantesque bataille en Serbie et résistent en Croatie contre des forces pourtant trois fois supérieurs en nombre. Animés par leur foi inébranlable, les trois Von redoublent d’effort et Frunsberg lance une chevauchée fantastique à la suite du Sultan en fuite qui le mène jusqu’aux rivages de la mer Égée ! Mais, une fois encore, des infidèles surgissent des entrailles de la terre pour poursuivre le combat et le Sultan se dérobe sans cesse. Tous ses efforts pour renverser la situation resteront néanmoins vains et la quasi-totalité des Balkans tombe sous contrôle autrichien : il est temps pour l’ottoman de négocier. Mais il hésite, il louvoye encore et Dieu, excédé, lui envoi alors une ultime flèche : la Pologne et ses alliés entrent dans la guerre.
Deux semaines plus tard, le Sultan s’est rendu à l’évidence et cède le Maros et le Pecs à l’Autriche : la paix revient enfin. Notre allié hongrois peut mesurer l’ampleur de sa folie : si l’Ottoman termine cette guerre avec le gain net d’une province (Transylvanie), c’est uniquement de sa faute : pourquoi n’a t-il pas eu un peu plus confiance en l’Empereur ? Pourquoi a t-il perdu la foi ? L’Autriche, elle, est restée fidèle à ses engagements, n’a jamais cessé de croire en la protection de Dieu et les résultats sont à la hauteur de ses efforts : l’ottoman a été endigué. Reste un détail à régler : le sort du Doge fou. Celui-ci aussi peut mesurer l’ampleur de sa folie quand, enfin libérées du conflit balkanique, les armées autrichiennes déferlent et imposent rapidement la paix : l’Istrie est cédé par Venise à la Hongrie.
Le calme revient dans l’empire et tous pansent leurs plaies : la guerre contre l’infidèle a laissé des traces partout et il faut reconstruire. L’admirable conduite de l’Empereur durant ce conflit ne laisse pas tout le monde indifférent et le Baden décide de rejoindre définitivement l’empire.
En 1526, la Bohème attaque le Brandebourg grossier et entraîne l’Empereur à sa suite... Notre allié a juste le temps de mener à bien son invasion que son monarque décède : son royaume, conformément à ses dernières volontés, passe à l’Autriche, seule à même de garantir l’inviolabilité de ses frontières. Le Duc du Brandebourg quitte son lit après une nuit paisible et s’en va joyeusement regarder le paysage par les fenêtres de son château : le spectacle est magnifique selon nous, effrayant selon lui. 80.000 autrichiens assiègent en effet ses terres et font tonner le canon : la chute totale de son royaume est désormais inéluctable, mais l’Empereur est un homme bon, pieux et généreux : il n’oublie pas que le Duc reste un germain, un frère de race, malgré toutes ses fourberies mesquines (publication de missives secrètes, envoi d’ultimatums, menaces de guerre, renseignements gratuits à l’infidèle... un fardeau lourd à porter et qui a ruiné pour toujours le crédit dont pouvait bénéficier le Duc partout en Europe) et lui offre une paix blanche. On ne peut pas dire que le Duc ait montré beaucoup de gratitude pour notre incroyable bonté. C’est un tort. La paix revient à nouveau et l’Empereur, conseillé par les trois Von, remet de l’ordre dans l’empire.
Posté : sam. févr. 26, 2005 3:31 pm
par Danton
1532 – 1546. Le triomphe de la diplomatie
La tension remonte une fois de plus dans les Balkans : l’Autriche exige le juste retour des provinces qui lui reviennent de droit, l’empire ottoman ne veut pas entendre parler d’une Moldavie hongroise. Mais le Sultan ne cesse de répéter qu’il est pacifique et tout et tout... L’Empereur, lui, est aussi un homme de paix et s’il peut libérer nos frères chrétiens des balkans sans sacrifier une seule précieuse vie, il n’hésitera pas : des ambassadeurs partent pour Istanbul afin de négocier un accord. 80.000 soldats autrichiens se massent aux frontières, sait-on jamais. Mais les négociations sont difficiles et, surtout, le Pape n’apprécie guère ces tractations avec l’infidèle : prenant tout le monde par surprise, il lance un véhément appel à la croisade !
Uns fois de plus, le monde chrétien reste sourd à ses appels et seule l’Autriche, porte-étendard de la chrétienté depuis des décennies, assume ses responsabilités et entre en guerre. L’Empereur regarde partir ses troupes le coeur serré : combien de ses intrépides soldats ne reviendront-ils pas ? Le Sultan a déjà montré qu’il était un adversaire de valeur et coriace, mais la volonté du Pape ne se discute pas : il faut libérer nos frères catholiques.
Comprenant qu’eux seuls peuvent encore restaurer rapidement la paix avant qu’il ne soit trop tard, les diplomates ottomans se montrent enfin plus conciliant et envoient une proposition honorable pour nos deux royaumes. A Vienne, on hésite bien un peu : peut-on faire confiance au Sultan ? Est-ce bien cela que désirait le Pape ? Mais l’occasion est trop belle : mieux vaut dépenser des ducats que des hommes. La paix est une chose trop précieuse pour être rejetée à la légère. Les hostilités n’auront pas lieu : l’empire ottoman vend les provinces de Croatie et Transylvanie à l’Empire, qui récupère ainsi de fait la quasi-totalité des provinces hongroises jadis perdues. Gloire soit rendue à la sagesse du Sultan et de l’Empereur, qui ont su faire taire leurs différents pour éviter de nouveaux carnages : espérons que cela marquera le début de relations pacifiques.
Le conflit balkanique à peine réglé, c’est en occident que la tension remonte. En cause, toujours ce traité que la France, l’Espagne et l’Autriche n’arrivent pas à signer, malgré plus de trois décennies de négociations. Les chrétiens n’arriveront-ils donc pas à s’entendre entre eux alors que l’Empereur et le Sultan ont su, eux, trouver un accord ? Inimaginable pour le Pape, qui offre sa médiation : les efforts du Saint Père portent cette fois leurs fruits et le traité est enfin signé : l’Espagne et l’Autriche cèdent le Roussilon et l’Artois à la France, qui restitue la Navare et l’Apulie à Madrid et reconnaît la suzeraineté de l’Empereur sur le gros du saint empire romain germanique.
L’europe peut enfin goûter à la paix et la sérénité, à peine troublée par les hurlements du petit duc de Brandebourg, qui s’obstine, nul ne comprend pourquoi, à vouloir allumer des foyers de guerre partout où il le peut : il assouvit ses pulsions meurtrières en attaquant la très catholique Pologne, déjà bien affaiblie car en guerre contre le Sultan et le Tsar.
L’Autriche reçoit enfin en héritage la Hongrie et libère aussitôt la Moldavie : le Tsar, protecteur des orthodoxes, et le Sultan, qui désirait l’indépendance de ce pays, peuvent rendre grâce à l’Empereur, homme de paix et de bonne volonté, chose qui se vérifie une fois encore lorsque Varsovie nous propose de rejoindre l’alliance contre l’ottoman. L’occasion de frapper est fort belle, le Sultan étant déjà en guerre sur trois fronts, mais l’Autriche veut laisser une chance aux nouvelles relations pacifiques qui se sont établies entre ces deux puissants empires : la question des Balkans est pour ainsi dire réglée, la bonne volonté semble réciproque et il ne serait pas digne d’un chrétien de profiter de la faiblesse temporaire du Sultan pour lui porter l’estocade finale. C’est une paix durable que nous offrons au Sultan, pas une simple trêve.
La proposition polonaise rejetée, l’Empereur crée une alliance avec des petits pays du Saint Empire avides de profiter de la toute puissance protection impériale, dont la Hongrie a tant bénéficié. Des hommes sages et convaincants parcourent l’Empire pour convertir les brebis égarées attirées par l’hérésie : le catholicisme est restauré quasi partout, il ne reste plus qu’un unique foyer protestant au sein de la province de Magyar. Des nouvelles circulent discrètement à Vienne : de nouvelles terres auraient été découvertes au-delà de l’océan. L’Autriche ne pouvant, de par sa position, participer à cette vague colonisatrice, il est à craindre que notre empire ne soit un jour complètement surclassé par les autres grands pays européens, mais quelle importance ? La guerre semble désormais si loin. L’Empereur renouvelle ses voeux de paix et de prospérité à l’ensemble des monarques européens.
Posté : jeu. mars 03, 2005 12:05 pm
par Elvis
LA CONSTRUCTION D’UN EMPIRE – 1546 – 1560
Après des difficiles, et bien qu’entourés de pays ne souhaitant que sa perte, le Grand Duché de Moscovie était enfin devenu la Russie, et le grand Duc Tsar.
le Tsar Ivan IV dit le Terrible régnait sur la Russie :
Grâce à des guerre rapidement menés contre la Horde d’Or, Kazan et la Lituanie et la Crimée, la Russie avait pu s’étendre dans les plaines d’Ukraine. Des provinces qui lui revenaient de droit.
Des milliers de soldats étaient été levés et fondaient sur l’ennemi qui fut rapidement submergés, nous permettant ainsi de négocier des gains territoriaux avec des paix à notre avantage.
De plus une économie, saine et maitrisée nous permettait de maintenir l’empire dans une croissance prospère, prêt à faire face à toute éventualité et à lever des armées en nombre si cela était nécessaire.
La Russie, n’est point un empire belliqueux mais réclame à juste titre ses provinces occupées par des nations étrangères soumises à l’influence de la Pologne.
Aussi ces provinces retournées à la Rodyna, nous ne souhaitions point continuer ces guerres incessantes.
Mais en 1555, la Pologne ne l’entendait pas de cette oreille, et prenant peur face à l’émergeance de la Russie, lança tous ses alliés dans une guerre qui allait scellé notre Destin. Une des deux puissance allait devoir se soumettre, et il n’est point question que l’étendard polonais flotte sur le Kremlin.
Comme d’habitude, ce furent les lituaniens qui furent en 1ere ligne, mais après quelques batailles, la guerre au Sud tourna à notre avantage, et nous pumes enfin saisir notre chance. Certes la paix aurait pu être signée, mais c’était une guerre à mort. Aussi, provinces après provinces, nos armées fonceait vers l’Ouest atteignant les rives du Dniepr.
Au Nord, depuis leurs possessions baltes, les polonais attaquaient sans relâche Ingemmar. Mais les hivers successifs réduisaient leur effectifs à peau de chagrin et notre armée de Finlande achevé les rares survivants.
La Victoire finale ne fait plus aucun doute, la Lituanie sera balayée et la Pologne humiliée sera bien moins arrogante.
Occupé par cette guerre, nos contacts avec le reste du monde sont des plus limités.
Notre voisin du nord, le Danemark est préoccupé par ses territoires en Allemagne du Nord et par ses colonies dans le nouveau Monde.
D’ailleurs, nos pécheurs reportent avoir vu de nombreux navires espagnols dans la Baltique, suite à un conflit qui opposés ces deux nations. La raison de ce conflit nous est quelque peu étrangère, puisqu’il s’agit de disputes sur quelques petits bout de territoires par delà les océans.
Néanmoins, nous aspirons à de cordiales relations avec le Danemark.
Plus au Sud, nos relations sont plus élaborées avec l’ Empire Ottoman, lui aussi subissant les affres belliqueuses de la Pologne, et de fait se retrouvant un allié de circonstance. Nous nous souvenons du geste effectué par le Sultan dans l’affaire de Donestk et lui en sommes toujours reconnaissant.
Nos frontières étant désormais communes, il nous apparaît que l’installation d’ambassade dans nos palais respectifs doit être effectuée rapidement.
Nous n’avons aucunes prétentions sur les provinces ottomanes et souhaitons paix et prospérité
Au Sultan.
Des relations furent également établit avec l’Autriche, la France et le Brandebourg, mais sommes sans nouvelles du Prince depuis quelques mois, ce qui nous inquiète quelque peu.

Posté : sam. mars 05, 2005 4:20 pm
par Bubu
Traité de Mayence
L'Archiduc d'Autriche et le Roi de France se sont réunis en la ville de Mayence et sont convenu de ce qui suit:
- les provinces de culture allemande sont placées sous influence autrichienne, la France n'interviendra pas dans ces provinces
- les provinces au nord et à l'est du Pô font parties de la zone d'influence autrichienne, celles à l'ouest et au sud du Pô sont placées sous administration française
- Lorraine est reconnue comme province française et devra rejoindre la France à terme
- L'Alsace est négociable
- L'Autriche et la France signent un traité de non-agression d'un siècle
Posté : sam. mars 05, 2005 6:22 pm
par lemarseillais
L'Espagne ne reconnaît pas le droit ni à la France, ni à l'autriche de disposer de territoires italiens qu'ils ne possèdent pas.
Posté : dim. mars 06, 2005 6:11 pm
par Leaz
Grand livre du Royaume d'Angleterre - Chapitre XVII : Le reigne de sa majestée Elisabeth I
An de grâce 1560 :
Bien que celà ne soit pas d'usage lorsque l'on écrit un tel ouvrage, s'étalant sur plusieurs siècle et ayant pour but de narrer l'histoire de notre famille, et du royaume d'Angleterre, je vais me présenter en premier lieu : Lord Leaz III, premier ministre de sa majestée Elizabeth I et descendant illustre de Lord Leaz I qui fut en son temp premier ministre de sa majesté Henri VIII.
Sa majestée la Reine, Elizabeth I.
L'état du Royaume à bien évolués depuis que mon grand père diriger officieusement le pays, lui qui est mort en 1533, une seule année avant qu'un Henri VIII plus soucieux de sa couche que de la stabilité de son royaume ne prononce l'Acte de suprématie, nous coupant ainsi au monde catholique traditionel, rejetant l'autorité du pape. Trés vite des protestants dit "Calviniste" s'exilère vers le pays, et notre pays à petit à petit compris que les germains du nord et les scandinave étaient désormais leur frère de religions.
Représentations d'une des nombreuses réunion de théologiste qui animèrent pendant un temp les soirée londoniene
Mais la politique de mon grand père d'explorer de nouvelles terres porte ses fruits : De nombreuses colonie arborent le drapeaux anglais dans le nord de ce continent appeler "amérique" par les espagnol, de plus nos explorateur font des merveilles, parcourant le monde à la recherche de nouvelles richesses et de nouvelles gloires pour le royaume ! Ainsi des colons ont étaient envoyer aux quatre coins du monde conus, et bientot le royaume rayonerais sur toute les mer du monde.
Explorateur anglais au large d'étrange iles d'Asie
Mais de sombres nuages s'amoncelaient sur le futur de nos colons en amérique, en effet la maison des Habsbourg d'Espagne à fait planer sur nos colonies le long du fleuve "missisipi" des menaces et un desir fort de ratachement de ces dernieres à l'empire Espagnol. Les espagnols avait pousser le bouchons trop loin, non content de profiter des immense mines d'or du royaume des indiens Maya, de posseder toute les îles des caraïbes, ils veulent en plus imposer leur drapeaux sur nos terres sous pretexte que "le pape leur à attribuer ces terres". Heuresement l'autorité du Pape n'était plus reconue en Angleterre, mais les espagnol ne cesserent de nous revandiquer ces colonies, arguant de leur droit papale, et de leur armée nombreuses et bien entrainées.
Cependant, l'angleterre ne pouvait pas partire en guerre seule contre l'Espagne, celà aurait était de la folie ! C'est alors tout naturellement que nous nous tournimes vers nos cousins Danois, fort de leur excellente flote et d'un pays unifiés, et ayant elle aussi l'âme coloniale, il ne fallut que peu de temp pour convaincre le danemark de l'importance de cette guerre qui remeter en question l'hégemonie Espagnol sur les territoires du Traités de Tordesillias.
La guerre fut alors déclarer, les espagnol occupèrent bien vite nos terres du missisipi, et s'attendant à une guerre rapide nous envoyerent une offre de paix, quel ne fut pas l'éttonement de la maison d'Espagne en apparenant le refus de l'Angleterre ! La guerre n'allait pas être rapide, et le premier affrontement eut lieu sur mer..
Bataille navale au large de la Caroline
L'enemis était plus de deux fois supérieur en nombre, c'est ainsi que 50 navires de guerre espagnol s'allignèrent face au 20 navires de témeraires marins anglais. Mais la bataille ne ce passa pas comme prévus du cotés Espagnol, leur nombre ne suffiser par à abattre les navires Anglais qui fesaient preuve d'un moral hors du comuns face à des marins Espagnol, peut habituer au bataille navale, recrutés pour la plupart ivre dans des bar.
La bataille fût une victoire Anglaise, et le même scénario ce répetat plusieurs fois, les navires Espagnol étaient dans l'incapacités de battre la Royal Navy.
Les années qui suivirent furent longues, du fait de nos pauvre moyens, et la balance penchant lentement vers notre camp, l'espagne dû ce résoudre à faire la paix, alors même que notre alliés danois était au plus mal : Sa capitale au main de l'enemis et sa flotte réduis au tiers de son effectif d'avant guerre.
L'Espagne reconaissait désormais l'autorité du Royaume d'Angleterre sur les terres du missisipe jusqu'au indiens Creek.
C'était peu, mais le résultat était en faveur de l'Angleterre que l'on donais perdante dés le début du conflit..
L'année 1560 s'annoncer pleine d'espoir, une stabilité au plus haut, des finances bien meilleur qu'il y a 50 ans, et un prestige retrouver au seins des Roi d'europe.
Missive diplomatique anglaise :
- Au royaume de France : Ettonant que la France se retrouve à faire de la diplomatie avec les Habsburg..
- Au royaume d'Espagne : Maintenant que les choses ce sont clarifier entre nous, j'aimerais clarifier certaine chose : Que cette guerre n'empêche pas dans le futur une bonne entente.
- Au royaume d'Autriche : Courage dans votre lutte contre l'infidèle !
- Au royaume du Portugal : Nous avons peu de nouvelle de vous en ce moment..
- Au royaume du Danemark : Votre aide est un don de Dieu, jamais nous ne l'oublierons.
- Au royaume de Russie : Vos contrées sont bien lointaine, mais une question nous trote dans l'esprit : Avez vous découvert où mène les vaste étendus nordique à l'Est de votre pays ?
- Au royaume des Ottomans : Comprenez vous l'anglais ?[/b]
Message du Royaume Danois
Posté : dim. mars 06, 2005 6:47 pm
par LeRenard
Le Roi du Danemark suite au rude épreuve qu'à subit sont pays ces dernière années. Annonce que le Royaume du Danemark ne tient plus à se mêler des conflits entre les autres Royaumes d'Europe, et ce jusqu'à la fin de ce siècle. LE royaume va se replier sur lui même pour lui permettre de se relever
Nous espérons que le Roi d'Espagne acceptera de retrouver des relations cordiales avec nous.
Posté : lun. mars 07, 2005 4:07 pm
par Elvis
Ambassade au Royaume d'Angleterre
Votre altesse, nous sommes surpris de votre question sur nos découvertes par delà les plaines du levant.
Souhaiteriez vous négocier un échange de cartes, ou s'agit il simplement d'un intérêt gratuit pour la prospérité de notre Empire.
Posté : mar. mars 08, 2005 7:29 pm
par lemarseillais
Le roy d'Esapgne souhaiterait s'entretenir avec le roy du Danemark ce soir.
D'autre part, l'Espagne a eu vent d'une oeuvre d'un vil anglais qui rapporterait des récits de la guerrette (oui l'Espagne n'y a presque rien engagé donc on ne peut pas parler de guerre).
L'Espagne dément la version des faits présentées, elle ne reflète pas la réalité.
Enfin, l'Espagne aimerait s'entretenir avec son trés cher cousin, ceci relève de la plus haute importance.
Posté : mar. mars 08, 2005 8:12 pm
par Danton
Proclamation de l’Archiduc d’Autriche
Des diplomates autrichiens et ottomans se sont rencontrés quelque part près de la frontière hongroise et sont arrivé au traité suivant, que nous rendons publique à la demande du Sultan Soliman :
-L’Autriche et l’Empire Ottoman signent un traté de non-agression de 30 ans (1566-1596 )
Que cela soit dit, qie cela soit écrit
Posté : mer. mars 09, 2005 1:33 am
par ric novice
Amesterdam 1560
C'est un grand honneur que d'être convié par le roy de hollande à un entretien et c'est avec entrain que le pasteur Ric se rendit au palais royal
"Trêve de bavardages, pasteur Ric, je vous confie une délicate mission diplomatique qui engagera notre royaume, traitez avec nos voisins et à partir de vos renseignements la maison d'orange se decidera !"
"Mais de quels moyens je dispose ?, si votre majesté me permet d'être franc ..."
"Aucun, notre nation forte de 4 provinces est comme vous le savez vassal de l'espagne et dispose d'un revenu de ... 11 ducats par mois."
"Mais je compte sur votre habileté diplomatique pour traiter d'égal à égal, le peuple hollandais a du courage et du potentiel, utiliser la persuation !"
Votre dilligence est deja appelé, fouette cocher !
Et c'est ainsi que le pasteur Ric prit la direction de Paris, capitale d'un royaume voisin puissant.
La mission diplomatique commencait avec une rencontre avec un très proche conseiller du roy de france, l'abbé BuBu.
Après un diner diplomatique expédié, le fumoir fut le lieu idéal afin d'aborder les questions politiques.
Entre 2 ronds de fumées, le pasteur se lanca dans la question de l'avenir des Pays Bas, et interrogea l'abbé bubu sur l'aide que la couronne de France pourrait apporter à la nation naissante tout en vantant les qualités et points forts du Royaume.
3 cigares partis en cendres, l'abbée emit l'idée d'un financement de 500 ducats et d'un prêt équivalent.
Le Pasteur suggerra que la france pourrait financer une flotte hollandaise, ce à quoi l'abbé Bubu ne consentit point, arguant de difficultés et de troubles interieures.
Et l'on se quittat sur de vagues promesses mais rien de definitif...
Le voyage diplomatique se poursuivit au Royaume d'Espagne avec l'inquisiteur Merseiles, conseiller du grand Roy Carlos.
"Sa majesté, le très grand Roy Carlos a permis par sa vision de prince d'europe, la naissance de notre petit duché.
Le peuple de Hollande vous en est reconnaissant, cependant la maison d'orange est confontré à un choix des plus délicat, Le prince se decidera à l'issue des entretiens avec les cours d'europe.Je ne vous cache pas que ma première étape fut Paris.
Le peuple hollandais aspire à la prosperité, à l'exemple de votre grande nation, et notre developpement depent des terres hors europe"
"Hum hum entrez pasteur, venez gouter à ce delicieux vin d'andalousie, la Couronne espagnole est sensible à votre devenir.
La négociation pouvait commencer, des plans vite elaborés, des noms de provinces prononcés, des zones d'influence decidés, quand le grand inquisiteur demanda :
"Mais qu'apporte la maison d'orange dans toute cette histoire, la cassion de brabant et de Flandres 1000 ducats, vous avez de quoi payer ??? et vous reclamez cette zone là avec ces mines d'or, ce territoire avec la canne à sucre et ses provinces à peine découverte ?"
Le moment était délicat et le reste de la soirée se passa à expliquer, argumenter ce qui était pour la hollande des plus virtuels, à savoir la puissance de notre flotte et l'ardeur de nos enfants à franchir la manche, la roubladirse de nos marchands et la puissance de nos banquiers.
Enfin le pasteur mit en avant la promesse d'une neutralité totale envers l'espagne si le developpement de notre pays était assuré.
"Fort bien, vos ambitions sont des plus courageux, cependant 10 ans seront accordés à votre pays pour vous acquitter de brabant et flandres, le grand Roy Carlos jugera sur votre dilligence à tenir vos engagements"
1560 - 1576 La naissance d'une nation appelé à briller
Les pionniers hollandais s'entassent sur les quais, les rares navires marchands ne peuvent embarquer tous ces aventureux et les conditions de vie sont des plus modestes à l'image des moyens dont dispose le nouveau gouvernement nommé par la maison d'orange.
Mais tous ces pionniers ont en commun une soif d'aventures et les plus hardis se hissent clandestinement dans des navires en partence pour le nouveau monde.
Des comptoirs sont vite établis dans des régions inhospitalieres.
Ces fils de hollande formeront la trame du grand Empire qui se dessine.
Le pasteur en est convaincu, cependant les pieces de monaies sont rognés, l'inflation menace, la couronne vit au dessus de ses moyens,en payant une somme de 1000 ducats sur 10 ans avec un revenu initial depassant à peine 10 ducats...
Les débuts sont difficiles mais l'audace doit compenser nos faibles moyens.
Les évenements s'enchainent avec la rupture de l'accés militaire et de la vassalité envers l'Espagne et le grand Roy Carlos appose sa signature à un traité dont les principaux termes en sont la cession de brabant de flandres pour 1000 ducats, des zones d'influence en echange d'une neutralité.
Le prince proclame la religion reformé comme religion d'état, et deroule la carte du nouveau monde, 16 provinces colonisés et 2 provinces nationales récupérés.
Nos marchands trepignent d'impatience, sir !
Fort bien lachez cette bande de voleurs !!!
Posté : mer. mars 09, 2005 4:48 pm
par Elvis
Extrait des mémoires de Piotr Elvis, historien attaché au Tsar Ivan IV : 1560 - 1576
Le Tsar venait de recevoir les derniers rapports sur la situation de l’Empire. Il les lit attentivement, puis se leva pour se diriger sur le balcon de son bureau. La basse température, habituelle en cette saison, ne dérangeait pas le vieil homme habitué aux rigueurs de son pays, et un pale soleil arrivait tout de même à réchauffer son visage marqué.
Que de chemin parcouru pour la Russie depuis 50 ans. Il y a encore peu les frontières du pays auraient pu être vues depuis la plus haute tour du Kremlin. Mais aujourd’hui l’Empire de Russie s’étendait des mers glacées du Nord jusque la Mer noire au Sud, des rives du Dniepr à l’Ouest jusqu’au confins de l’orient bordés d’un océan dont on ne savait presque rien encore.
Certes, cela n’avait pas été facile, il avait fallu lutter contre les hordes mongoles et tartares, contre les lithuaniens et leurs fourbes alliés les polonais, contre les prussiens et leurs amis germains. Mais la Russie avait su toujours sortir vainqueur de ces conflit d’où le Tsar y avait gagné son surnom de Ivan le Terrible.
Surnom qu’il méritait aussi dans la gestion de la politique intérieure. L’expansion de la Russie ne pouvait se dérouler qu’avec de profondes réformes, qui rencontreraient des opposants accrochés à leurs anciens privilèges, sans compter tous ces comploteurs attendant dans l’ombre un faux pas pour s’emparer du pouvoir.
Là également le Tsar avait su déjouer, dans le sang, les plus vils et machiavéliques bassesses, et moderniser la Russie.
En 1576, plusieurs expéditions d’explorateurs avait été envoyées dans les steppes orientales à la recherches de nouvelles terres. Les nouvelles reçues de ces découvertes étaient extraordinaires. De nombreuses provinces, riches et vastes, attendaient à bras ouvert l’arrivée de nos colons, de nos marchands et de nos bourgmestre.
D’ici quelques années, le Tsar régnerait sur le plus grand et le plus riche empire du monde, faisant passer Alexandre le Grand pour un simple roitelet…
Occuper à guerroyer sur tous les fronts, à administrer les nouvelles provinces, à financer de nouvelles expéditions, le Tsar s’était peu intéressé à ces royaumes européens.
Avions nous seulement appris qu’un nouvel Etat était né, les Pays Bas, ce qui semblait attirer la plus grande et unique attention des cours européennes.
A nos voisins, le Royaume du Danemark et l’Empire Ottoman, nous adressons nos salutations les plus amicales et leur assurons de l'éternelle volonté de paix du peuple russe.
Posté : mer. mars 09, 2005 8:48 pm
par Elvis
Carte de la Russie en 1576 :

Posté : dim. mars 13, 2005 11:52 pm
par izno
le roi du portugal tient a signaler au dirigant des pays-Bas que la prescence hollandaise sur la province de selatan en indonesie est indesirable.
nous acceptons les compagnies de commerce hollandaise en afrique et amerique du sud au coté de nos comemrces mais en indonesie la prescence hollandaise est signe d hostilité envers la couronne portugaise.
le roi signale donc que ce comptoire bruleras des qu il reprendras les renes du pouvoir , ainsi que la prescence de tout autre comptoires europeens sur les iles indonesiennes.
Posté : lun. mars 14, 2005 1:46 am
par ric novice
Missive diplomatique à l'attention des cours européennes
La maison d'Orange est consternée par les menaces portugaises, notre faible nation ne pouvant supporter une guerre, il nous sera difficile de resister à une épreuve bien injuste au regard du "crime"
Cependant toutes les nations européenes noteront l'unilaterité de la Couronne portugaise et son grand courage à menacer le plus faible et le moins implanté en indonésie.
Le prince d'Orange supplie le Roy du Portugal de revenir sur sa décision, et de ne point ecraser la frêle nation naissante et ô combien importante pour l'avenir de l'Europe.
Notre unique vaisseau de combat se postera donc dans le channel et tel le dernier hollandais affrontera la puissante flotte portugaise, que dieu sauve la Hollande !
Vive la hollande libre, vive le prince d'Orange !
Message du Danemark
Posté : lun. mars 14, 2005 11:23 am
par LeRenard
Le Roi du Danemark s'adresse au Roi du Portugal pour lui signifier l'implantation de quelques colonies danoise sur la côtes Africaine.
Il espère que les colons portugais et danois saurons s'entendre et s'aider dans ces territoires rudes et hostile. La couronne Danoise met volontiers ses ports à disposition du Royaume du Portugale pour ravitailler ses navires.
Meilleures salutations
Posté : mer. mars 16, 2005 3:20 pm
par ric novice
Amsterdam 1586
Le Pasteur Ric s'affairait au millieu des nombreux rapports afin de synthetiser l'ensemble et fournir un compte rendu au prince d'Orange sur les 25 années qui s'étaient écoulé depuis la naissance des Pays bas
Le revenu mensuel initial de 11 ducats par mois avait bondi à 25 puis à 54 ducats, résultat de l'or qui abondait depuis l'exploitation de 3 mines : michogan qui nous fut vendu par l'espagne, monterey et yukon.
ce bon résultat permettait de dépasser de peu le revenu anglais et portugais, et à très court terme rejoindre le danemark dans la decennie à venir.
La colonisation du nouveau monde, et par l'accord que nous avions obtenu de l'espagne, donnait quelque zones d'influence comme la cote nord pacifique du continent americain, la guyanne et la pointe de l'amerique du sud, ou par miracle un cot apparut !
Le commerce commencait à se developper, nos marchands compétitifs ne s'occupant que des cots les plus proches d'Amesterdam mais aussi parmi les plus pauvres.
La création de la bourse d'Amesterdam permit d'effacer une partie de l'inflation galopante consequente de notre politique inflationiste....une année exceptionnelle conforta l'idée que Dieu favorisait nos desseins
Une flotte de 53 navires de guerre avait été mis en chantier promptement devant les menaces du Portugal, 50 autres navires sont commandés et seront construits dans les plus brefs délais afin d'apporter un outil performant de 2 flottes.
Dieu avait ainsi choisi la maison d'Orange, le chemin étant tracé, il était temps de devoiler au monde notre nouveau mode de société : le capitalisme...
Posté : sam. mars 19, 2005 5:33 pm
par Lord Simileon
Istanbul, Année 1127 de l'Hégire
L'Empire Ottoman est devenu ces dernières années une puissance sur laquelle ils faut compter. Le Commandeur des Croyants règne sur les musulmans d'Alger aux bouches du Ganges. La flotte ottomane reçoit un effort conséquent pour assumer son rôle de maîtresse de la Mediterrannée et de la Mer Rouge.
L'armée ottomane est la meilleure au monde, et les pertes subies suite à la guerre échouée contre la Perse, lorsque par une astuce diplomatique, ceux ci réussirent à nous imposer la paix par l'entremise d'un de leurs alliés indiens, ont été largement comblées.
Les finances de l'Empire sont au mieux, et le trésor de l'Empereur est plein à ras bord. Les fonctionnaires de l'Empire sont promus dans les quelques régions reculées qui n'en bénéficiaient pas. Des conversions sont entreprises pour expurger l'Empire des infidèles. Notre commerce est florissant. Le seul bémol est notre stabilité catastrophique suite aux guerres contre des musulmans, et aux crises politiques. Cependant la prise du centre de commerce de Ganges nous permet de maintenir nos revenus a un niveau raisonnable alors que l'inflation est jugulée.
Que Dieu bénisse le Sultan et son noble vizir, Lord Simileon.
Al Misileon, Grand Historien de l'Empire

Posté : sam. mars 19, 2005 8:26 pm
par Lord Simileon
Communiqués diplomatiques de la Porte
A la noble France
Recevez nos chaleureuses amitiés.
A la Russie
Nous sommes heureux qu'une frontière fixe ait été décidée entre nous, pour la paix et la grandeur de nos peuples.
A l'Autriche
Après maintes guerres qui ont secoué les Balkans, le Calife est satisfait que ceux-ci soient également partagés de manière a éviter tout conflit.
A l'Espagne
Nous sommes contents de savoir que votre orgueil s'est un peu désenflé.
Au Danemark et à l'Angleterre
Le Calife serait honoré d'accueillir une ambassade de vos pays en sa capitale, la fleurie Constantinople.
Posté : dim. mars 20, 2005 11:37 am
par Danton
1547 – 1559. La perte des Pays-Bas et la nouvelle guerre annulée contre Berlin
Impressionnés par la vigueur et la stabilité de l’Empire, le Kleves et Cologne décident spontanément de rallier l’Autriche, qui se trouve alors à son apogée et peuplé uniquement de bons catholiques. Quelques provinces sensibles sont fortifiées, la marine rallie le port d’Istria (quoi ? Vienne dispose d’une flotte ? COLOSSALE

). Puis arrive l’affreuse nouvelle : Charles Quint le glorieux abdique et partage son empire. Ferdinand II, nouveau Roi d’Autriche conserve le titre impérial et les provinces italiennes, mais les Pays-Bas et la Franche-comté passent sous le contrôle de Madrid : que cela ne diminue ne rien les liens très étroits qui nous unissent à l’Espagne du frère Carlos. La perte de ces riches provinces constitue malheureusement un coup dure pour Vienne, qui en sort fort affaibli.
Le petit Duc du Brandebourg flaire alors une occasion de frapper sournoisement un pays frère et catholique, la Pologne : il ne prend guère de risque, la Russie vient de déferler et pulvérise toute opposition. Mais l’Empereur ne peut plus tolérer l’expansionnisme incessant du Brandebourg, qui n’a rien fait, que du contraire, pour améliorer ses relations avec Vienne, qui décide de garantir l’indépendance polonaise. Cet ultime avertissement n’est pas écouté et, méprisant visiblement l’Empereur, ou se croyant à tort à l’abris de ses foudres vengeresses, le petit duc attaque sauvagement Varsovie

.
La goutte d’eau qui fait déborder le vase. Plusieurs petits germaniques s’unissent et entrent en guerre contre Berlin l’insatiable alors que les armées impériales convergent vers le nord : l’Autriche, appelée à l’aide par une foule de monarques, entre dans la danse, le tyran peut trembler. Celui-ci prend enfin conscience, un peu tard, de toutes les forces hostiles que sa politique aberrante a dressées contre lui. Pas un seul allié naturellement et la cause est entendue : le Duc embarque clandestinement sur un navire en partance pour l’Amérique et abandonne son trône. Les nobles de ce pays se réunissent pour lui trouver un successeur et les grandes puissances européennes demandent le repli autrichien afin de ne pas entraver les négociations : les armées impériales, fort mécontentes, retournent une fois de plus sur leurs positions. L’Empereur fait le serment que, la prochaine fois, plus personne ne pourra l’empêcher de mener à bien sa mission de libération des peuples germaniques opprimés par Berlin.
En attendant ce jour heureux, le Munster est annexé militairement, ce qui n’était pas forcément une bonne idée, mais l’Empereur devait évacuer sa frustration sur quelqu’un...
1560 – 1585. Propagation de l’idéal impérial
« Enfin ! » se réjouit l’Empereur : la troisième fois sera la bonne. Ses armées repartent à l’assaut du Brandebourg impie et, cette fois, rien ne peut l’obliger à faire marche arrière : les troupes brandebourgeoises, qui se pensaient si fortes et expérimentées, sont pulvérisées et anéanties, l’entièreté du royaume est rapidement conquis. Le châtiment a tardé, mais il était inévitable et Berlin est amputée de ses provinces occidentales : Hannover, Anhalt, Saxe et Magdebourg passent sous contrôle autrichien.
Pour faine bonne mesure, le Hessen est annexé dans la foulée puis l’Autriche est entraînée dans la guerre par son allié luxembourgeois contre la nouvelle république hollandaise, l’Espagne ayant renoncé à ses provinces. Pas plus que son cousin de Madrid, l’Empereur ne souhaite obtenir la suzeraineté sur ces terres et impose une paix blanche puis, afin d’éviter un nouveau malentendu pénible de ce genre, le Luxembourg est annexé diplomatiquement.
Des événements internes difficiles vont alors affaiblir quelque peu l’Empire, mais rien de suffisant pour le mettre à genoux (crise politique, corruption, mauvaise politique du gouvernement, assassinat de nobles...) : un excellent ministre émerge de ces temps difficile et l’Empereur décide de profiter de l’occasion pour obtenir la conversion des provinces protestantes nouvellement conquises. Des sommes colossales sont englouties dans la tentative qui se solde... par un échec complet : l’Empereur lui-même en a été particulièrement irrité

. Pourtant, partisan de la maxime ‘un royaume, une religion’, il relance les conversions en priant pour que le succès soit un peu meilleur (pire, de toute façon, c’est impossible). Heureusement, au niveau international, tout est calme et de timides relations pacifiques sont lancées avec nos proches voisins, de Paris à Istanbul.
Posté : dim. mars 20, 2005 3:52 pm
par lemarseillais
Etat du royaume d'Espagne pour sa Majesté Felipe II
L'Empire au delà des mers
Depuis la découverte du Nouveau Monde, les souverains d'Espagne se sont concentrés sur une zone bien spécifique : l'Amérique. Le brésil et l'Afrique appartenant à notre voisin ibére, nous n'y avons pas posé pied, tout comme en indonésie et asie suite à la demande portugaise.
En 1501, l'Espagne ayant découverte de fabuleuses mines d'or, débute la conquête d'un peuple barbare : les Aztèques. La même année l'ensemble de ce territoire est sous contrôle et l'or afflue en Espagne. Le monde regarde avec envie notre richesse, surtout ce coupeur de tête et forniqueur le chef de tribu à Constantinople.
Ces majestés espagnoles conscientes des différences religieuses et culturelles entre l'Espagne et ces nouvelles terres décida, avant d'étendre plus loin la conquête, de convertir, à la vrai foi et à la brillante civilisation ibère, ces aztèques. Après plusieurs années (...et échec) le Mexique était converti quasi dans son ensemble. Un peuple voisin, les Mayas, ébahi par notre civilisation demanda à rejoindre notre empire. Chose que sa majesté Charles Quint accepta.
Pendant ce temps, la colonisation espagnole allait bon train. Le première puissance du monde sûre de sa force et de la crainte qu'elle suscitait chez ses voisins non amis, avait délibérement choisi le parti de privilégier la qualité à la quantité. Aussi, dès le début, l'empire colonial s'étendait de ville en ville et non pas de comptoir en comptoir comme ces colonisateurs du Moyen Age que sont les Français. De grandes zones, que le pape nous avait reconnu, restait vierge. Par volonté de notre part et par crainte d'y toucher de la part des autres royaumes (pour l'EO arriéré on peut aussi mettre en cause l'ignorance).
Au milieu du XVIe, l'Angleterre la perfide voulu nous voler des terres que nous ne voulions pas particulièrement. Si elle était passée par la diplomatie nous aurions dit oui, par la force et la fourberie nous avons répondu NON. La guerre éclata donc entre nous, l'Espagne voulant reprendre les terres au nord de Rio Grande. Le vil roy du Danemark en profita pour joindre l'anglais et nous attaquer aussi.
L'Espagne persuadé de la reculade anglaise dès la dow n'avait pas sérieusement préparé la guerre. Quelle erreur ! La flotte anglaise et danoise terrassa notre marine sans pour autant lui infliger de grands dégâts. Sur terres les terres volées furent reprises facilement. Toutefois, l'Espagne dans sa grande mansuétude, et parce qu'un tel courage (de la part des anglais) méritait récompense, reconnu à l'Angleterre les terres volées.
Restait à résoudre le cas du Danemark, ce malotru vikings tenta de prendre nos riches villes des Caraïbes et brula quelques comptoirs. L'Espagne pendant un temps laissa faire, elle préparait son offensive. Quand elle fut prête, l'Armada Espagnole se porta en Baltique et débarqua sur 2 ans plus de 100000 hommes. Les Danois, visiblement surpris, abandonnèrent les iles de la mer chaude pour revenir dans leur froide baltique. Cela ne changea rien à l'avancée espagnole.
La victoire arriva vite une fois débarqué, les provinces tombèrent et le Danemark demanda la paix en nous rendant ce qu'il avait volé (après avoir brulé 2 comptoirs il avait colonisé rapidement dessus).
L'Espagne, encore une fois accorda son pardon et laissa une petite colonie danoise en Floride. Dieu ne demande t'il pas d'aimer son ennemi ?
Les années passées et l'empire s'étendait petit à petit, de villes en villes fortifiées. Enfin, après 1570 le roy d'Espagne décida de s'attaquer a ces soit disant fils du soleil, les Incas. La conquête fut mené par 7000 hommes (véridique) et tout le littoral tomba en nos mains. De nouvelles mines d'or furent repérées et bientôt elles seront notre, mais rien ne presse personne ne peut nous les voler à présent.

Posté : dim. mars 20, 2005 8:47 pm
par ric novice
Note Diplomatique de La maison d'Orange
Le Prince est déçu par l'ignorance du Calife envers notre pays, ce grand du monde ignore ou semble vouloir tenir la hollande hors des grands pays Européens.
Ce dédain ne sera plus de mise lorsque notre pays sera dans les 15 ans à venir la premiere puissance en termes de revenus.
Nous saluons donc le Calife en lui faisant remarquer que Ganges est bien isolé et la flotte ottomane bien loin et peu puissante
Salutations du Pasteur Ric
Posté : dim. mars 20, 2005 9:10 pm
par Lord Simileon
Le Calife : "Ah, ce chien d'infidèle dont la petitesse de la taille n'a d'égale que l'arrogance se permet de se rappeler à mon bon souvenir ? Mes imbéciles de diplomates et cet infidèle de Simileon n'avaient pas pensé à cet état, et sans doute les aurais-je contraints à s'excuser, mais voilà que ce Pasteur fils de Ric a l'insolence de nous menaçer ???!!!! Que son arrogante petite nation ne mette pas le verbe trop haut à nos oreilles, où ils se pourraient que les janissaires viennent apporter bientôt la vraie foi à cet état barbare.
J'ai parlé"
Posté : lun. mars 21, 2005 3:36 pm
par Elvis
Ambassade Russe à son Excellence et Grand Calife de l’Empire Ottoman
Cher voisin, nous sommes réjouis des relations amicales qui existent entre nos 2 Empires et vous assurons de nos volontés pacifiques.
Nous reconnaissons l’ensemble des territoires ottomans autour de la Mer Noire et aspirons à une fructueuse collaboration entre Moscou et Istanbul.
Cependant, il nous faut vous faire part d’une certaine préoccupation qui plane au Kremlin au sujet de la Perse. Ce royaume est de toute évidence hostile à la Russie et nous a déclaré la guerre par 2 fois ces dernières années sans aucune provocation de notre part.
Nous ne souhaitons nullement nous emparer des terres persanes, car nous considérons ces provinces comme faisant part de la seule zone d’influence ottomane. Pourtant la situation ne peut perdurer plus longtemps...
Nous vous serions donc gré de calmer les ardeurs perses, par quelques mesures que cela soit, et cela avec notre totale approbation.
Posté : mer. mars 23, 2005 12:32 am
par izno
le portugal est tres decu des grand d europe qui n ont reagit en aucune maniere face a la volonte d expansionniste de l hollandais.
tout commenca par une province appartenant a personne ; libre d acces au premier arriver premier installer a ce petit jeu le portugal avait toujour un colon d avance sur les pays-bas mais au lieu de discuter commme des gens civilises; les dirigeants hollandais commencerent a menacer de guerre le portugal et d envoyer des marchands pour submerger le cot portugais.
Les portugais ne voulant pas plier sous la force sans avoir discuter essayerent d envoyer des ambassadeurs chez la nation hostile ainsi que chez les grand europe.
apres de mois d attente et ne voyant toujours aucune reponse nous embargo les marchands hollandais ; celui ci declara la guere au portugal qui attendait toujours un signe d un etre vivant d un de ses dirigant avec un traite diplomatique et non des menace mais cela n arriva point.
l inexperience de l amiral en chef fit couler la flotte portugaise au large de la hollande malgre une victoire sur les cote portugaise bien avant.
au grand d europe:
le roi du portugal est peiner de voir que aucune puissance qui se dit chretienne n est reagit face a l attaque sans aucune raison des protestant hollandais alors que le grand protecteur de ceux que on dit infidele est venu proposer son soutien .
Les portugais et le roi se demandent ou sont vraiment les vrais croyants dans ce monde.
et aux pays-bas le portugal as accepter cet paix car le peuple mourrait de faim(j en avait marre de parler a personne en face sa aurait ete une ia sa aurait ete pareil ) et qu il recupereras ses possesions bresilienne et que la guerre commercial est ouverte contre les pays-bas.
Remarque Danoise
Posté : mer. mars 23, 2005 8:31 am
par LeRenard
Le souverain Danois compatit avec la douleur Portugaise
du peu de discussion dans cette affaires...mais je crois
que le Souverain Portugais a surestimé ses appuis sur
le continent....L'empire Espagnole a ceder des mine d'or
de Californie et du Mexique aux Hollandais....leurs a
laisser coloniser sur le TOT alors qu'il l'interdisait à
d'autre....croyez-vous vraiment qu'il vous soutiendrait
dans cette guerre alors qu'il est en affaire avec le Hollandais ?
Peut-être auriez vous du davantage pesez la situation
avant de lancer l'embargos sur la hollande....
Nous regrettons les manières brutales utilisé par nos
amis hollandais et l'arogance de son dirigeant....
nous pensions qu'un homme de la nouvelle église
saurait se monter bien plus humble et compatissant....
Posté : mer. mars 23, 2005 1:48 pm
par ric novice
Amsterdam, en l'an de grâce 1600
Le Pasteur Ric est introduit au sein du Palais Royal ou regne William d'Orange...
"Cher Pasteur, notre flotte rentre victorieuse du Portugal, cependant vos exploits causent deja pas mal de vagues mais de grâce, contez nous cette guerre et faites un rapport detaillé du commerce et de notre flotte"
"Votre majesté, les couleurs de nos etendards ont flotté sur Lisbonne, tout commence dans la lointaine indonesie en asie, une province voisine de notre colonie selatan est peuplée d'indigenes, quelques milliers d'autotchones et la Couronne Portugaise s'acharnait depuis quelques années à essayer d'implanter un comptoir, cependant ces farouches indigenes refusaient les colons portuguais.
Après moult essais, un petit detachement hollandais se permit d'aller retablir l'ordre dans cette province vierge, en effet ces barbares ignorent les subtilités des différentes nations européenes, toujours est-il que notre petite armée était en train de mater ces rebelles quand surgit un conquistador portugais et quelques 2500 hommes et ceux ci en vertu d'un traité indigne nommé tordsillas, engagea le combat alors que notre armée était affaibli.
Ce fut une défaite pour nos soldats, la couronne portugaise en profita pour envoyer 1 colon sur cette province nettoyé par nos soins.
La première manche était pour le portugal, quelques marchands hollandais promptement envoyés et c le monopole, et dans la foulée le Portugal nous embargotte"
"Oui, acte proche de la démence, pasteur, mais parlez moi plutot de cette fantaisie de donner le commandement de la flotte à un explorateur dont le métier n'est point la guerre navale..."
Oui, Sir , ce fut une grave erreur qui nous couta une honteuse défaite navale, 70 vaissaux de guerre hollandais battus par 20 navires portuguais.
J'ai personnellemnt licensier cet explorateur, ramené promptement 30 navires de guerres d'indonesie commandés par un vrai chef, le portugal grisé par cette victoire vint se sucider aux larges de la hollande.
Ensuite notre flotte forte de 100 navires cingla de nouveau aux larges de lisbonne, notre armée de 40 000 fantasins, 20 000 cavaliers et 50 canons, opéra un débarquement plutot tranquille, et occupa rapidement le portugal continental."
"Outre mer, une rapide avancée en guyanne sur les comptoirs portugais nous àmene aux portes de recif, la victoire est nette et le Portugal ne peut que nous ceder 3 comptoirs d'amerique du sud et 1 colonie indonesienne."
"Soit, cette prise de guerre est fort modeste, hummmmmmm et le commerce ? qu'en est-il ?"
"Splendide votre majesté, 2/3 des cots sont occupés par nos marchands, nos revenus avoisinnent 155 ducats par mois, l'Espagne 215 et la france 185."
"Cependant pasteur, vous nous aviez assuré de la première place dans les 15 ans"
"Certes Sir, mais le francais est astucieux dans ses choix...."
Le Prince d'Orange se leve, brandit le spectre royal
"Pasteur Ric, vous etes reconduit dans vos fonctions pour 15 ans, vos objectifs seront :
- Occuper 100 pct des cots, et amener le revenu à 250 ducats par mois et de faire de la hollande la premiere nation en terme de revenus.
- Constuire 100 navires de plus et de porter à 200 unités notre flotte de guerre.
A l'issue de ce ministere, vous serez mis à la retraite et remplacé par un jeune pasteur nommé Coelio..."
Posté : ven. mars 25, 2005 2:35 pm
par Coelio
Le pasteur Coelio, jeune homme brun encore inexpérimenté, entra dans la salle principale du Palais du Prince d'Orange.
Le Prince toisa cet inconnu :
"Ainsi c'est donc vous ? Le Pasteur Ric semble fonder beaucoup d'espoir sur un si jeune homme...
-J'essaierais d'en etre digne monsieur. Le Pasteur Ric a incroyablement développé notre beau pays, devenu l'un des plus prospères du monde. Je n'essaierais, bien modestement, que de poursuivre son oeuvre."
Le Prince observait le Pasteur Coelio, en se demandant si il était bien raisonnable de confier le sort du pays à cet inconnu. Mais ce Coelio avait dans ses yeux une lueur étrange, intense, qui tranchait assez singulierement avec la modestie de ses propos.
"Ainsi soit-il fait, trancha finalement le Prince. Le Pasteur Ric achevera son oeuvre pour la grandeur du pays, puis partira jouir d'un repos bien mérité. Vous lui succéderez"
Il toisa le pasteur
"Je vous fais confiance. Ne me decevez point".
Le pasteur Coelio s'inclina bien bas et sortit.
Si quelqu'un l'avait croisé à la sortie du palais, il aurait pu apercevoir dans ses yeux un mélange de froide résolution et de triomphe sauvage.
Il était le futur dirigeant des Pays-Bas.
Posté : ven. mars 25, 2005 4:54 pm
par Elvis
Chronique des steppes russes :
En 1584 mourut Ivan Grozny, dit le Terrible. Un certain soulagement au sein du Kremlin accompagna la nouvelle du décès du 1er Tzar de Russie.
Certes, la folie avait conduit l’homme à condamner sans forme de procès tout homme qui avait eu la malchance de croiser sa mauvaise humeur, mais il fallait reconnaître les grands progrès qu’avait connu la Russie sous son règne.
Le provinces des plaines ukrainiennes, autrefois polonaises et lithuaniennes, étaient maintenant pacifiées, La quasi totalité de l’empire était orthodoxe et seules quelques provinces demeuraient musulmanes, mais des missionnaires inquisiteurs étaient à l’œuvre pour ramener ses populations égarées dans le droit chemin.
Au sujet de la Religion Orthodoxe, un Haut Conseil des Patriarches s’était déroulé à Moscou et on y avait tenu des discussions houleuses. Le point était de savoir si Moscou devait devenir le nouveau centre de la religion orthodoxe, où si l’on devait maintenir l’héritage de Byzance. Finalement, le Haut Conseil se rallia à cette seconde option, à la colère du clergé moscovite, mais en retour les populations orthodoxes grecques étaient désormais reconnues comme faisant partie des cultures représentées par le Saint Empire de Russie.
Les frontières occidentales de la Russie ayant été fixé, et nos prétentions assouvies, nous nous limitions à des guerres défensives contre les agressions répétées des Polonais à l’Ouest et des Perses au Sud. A chaque fois, l’ennemi fût repoussé, payant des dommages de guerre.
Cependant à l’Est, nos colons affluaient régulièrement dans ces riches provinces découvertes en Sibérie. Des villes, des mines d’or, des postes commerciaux furent établit tout le long de ce couloir Sibérien. L’économie Russe s’en ressentit fortement et les pièces d’or continuait à couler dans les coffres du Trésor Impérial.
Malheureusement à la mort d’Ivan, une période de trouble secoua la Russie, les prétendants au Trône se déchirant dans des guerres intestines, plongeant le pays dans des révoltes continuelles. Nos armées surent mater ces révoltes, qui furent également atténuer par une politique menée depuis de longues années consistant à libérer continuellement la population du servage vers la liberté individuelle.
L’apparition d’un nouveau leader charismatique, Boris Gudunov, semblait donner un nouvel espoir de jours meilleurs au peuple russe….

Rapport Danois
Posté : dim. mars 27, 2005 1:19 pm
par LeRenard
Rapport du Chancelier Royal du Danemark
A l'aube du XVII Siècle le Royaume du Danemark
represente dans le monde chrétiens une puissance
intéressante, mais quelque peux en perte de vitesse.
La guerre Anglo-Danos-Espagnol porta un sérieux
coup de frein à la politique expensioniste Danoise.
Celle-ci ce limita dès lors à la colonisation de terres
vierges par delà les mers en essayeant de garder
les meilleures relation avec les autres souverains
européens.
La guerre avait démontré son inutilité et la ruine
qu'elle apportait. C'est donc vers le commerce et la
colonisation que se tourna le Royaume, avec il est
vrai un temps de retard sur des Royaume français,
espagnole et anglais.
Malgré tout le Danemark profita de certaine opportunités
et nouspouvons nous targuer de posséder des colonies
sur les contients américains, africains, Asiatique et Australe.
Ce dernier focalise désomais notre attention, le Roi du
Danemark espére en faire le Méxique Danois...des
sommes importantes sont investies pour le dévellopement
de ces colonnies au détriment des colonnies américaines.
Les revenus croissant du commerce par la modernisation
des méthodes danoises fournissant des revenus pourcette
aventure Australe. Malheureusement, tout cela ne suffit
pas pour permettre au Danemark d'être au panthéon des
Royaume Chrétiens. Il reste en retard technologiquement et
commerciallement, de plus sa flotte ne
c'est jamais remise de la guerre contre l'espagne.
Il faut maintenant des hommes de statures au Royaume
danois s'il veut pouvoir briller à nouveau.
Missives diplomatiques
A tous les souverains
Nous aimerions vous communiquer nos revendications sur les lointaines
terre de Nouvelle-Zeland, notre petit royaume devient trop petit pour
notre population en pleine croissance et nous avons besoins de terre de
peuplemen. J'espère que vous comprendrez nos argument et nos revendications
légitimes.
FRANCE
Nous constatons la bonne santé de votre grande nation, il est dommage
toutefois que vous vous soyez montrer si intransigeant par rapport au
culte protestant et réformé. Nous aimeriosn vous racheter ou vous échanger
vos possessions en Australie. Nous attendons de vos nouvelles.
ANGLETERRE
Nous sommes heureux de voir que notre fier allié et correligionnaire
anglais voit son t économie se dévelloper ainsi. Nous espérons que cette
période de prospérité va allant en continuant. Nous vous remercions pour
les concession réalisées par votre royaume en Amérique du nord. Sachez
que notre offre pour vos possessions australiennes est toujours valable
nous espérons qu'elle saura vous séduire.
ESPAGNE
Votre EMpire est grand et brille de mille feux
HOLLANDE
Nous sommes impressionné par le dévellopement de votre jeune et énergique
nations dommage que votre dirigenant soit si présomptueux
PORTUGAL
Nous espérons que dans le future vous y réfléchirez à deux fois avant de défier
une puissance supérieur à la votre.
AUTRICHE
Nous sommes heureux de nos bonne relations et nous aimerions prolonger notre
traité d'amitié pour 30 ans
RUSSIE
Nous souhaitons longue vie et prospérité au glorieux Royaume des Tzars
BRANDENBOURG
Nous espérons recevoir rapidement des émissaires de votre Royaume dans
notre capital pour que nous puissions discuter politique en Allemagne du nord.
SUBLIME PORTE
Nous regardons avec étonnement votre dévellopement anarchique en Inde.
Posté : dim. mars 27, 2005 1:30 pm
par Lord Simileon
Le Sultan se demande qui a l'audace de qualifier d'anarchiques ses plans mûrement réflechis et savamment appliqués.
Message Danois
Posté : dim. mars 27, 2005 1:48 pm
par LeRenard
Le sultant ne semble pas se rendre compte que son
COT sur le Ganges attire bien des convoitise et qu'il
est actuellement bien à mal de le défendre face à une
nation disposant d'une flotte puissante.
Posté : dim. mars 27, 2005 2:25 pm
par Lord Simileon
Le Danemark aurait-il l'arrogance de menaçer le Grand Empire Ottoman ? Il ne doit pas être sans savoir que toute agression contre les possessions indiennes de l'Empire se traduira par des représailles d'une échelle jamais vue auparavant en Europe même, où les hordes ottomanes peuvent déferler à tout moment.
Inde??
Posté : dim. mars 27, 2005 2:28 pm
par LeRenard
Non le Roy Danois cherche juste à attirer
l'attention de l'estimé sultant de l'intérêt de
son COT dans certaines cours chrétiennes.
au nouveau dirigeant hollandais
Posté : mar. mars 29, 2005 10:44 am
par Invité
le roi du portugal salue le nouveau dirigeant hollandais et espere que celui ci seras plus diplomatique que son predecesseur et moins a prendre le peuple portugais pour des esclaves qui doivent courber l echine face a la puissance hollandaise.
des ambassadeurs portugais sont deja en route vers amsterdam pour discuter de la recuperation des colonies et ct d amerique du sud et d une entente envers nos marchands pour eviter une concurrence agressive comme l avait fait votre predescesseur.
(ps t envoye un pm des que j arrive a me connecter sa marche pas la connexion du pseudo pour moment)
Posté : ven. avr. 01, 2005 1:03 am
par ric novice
1613 La retraite du pasteur Ric
Les valises du vieux pasteur sont chargés dans la dilligence, un bref adieu sur le perron de la part de ses fidéles domestiques et l'ancien régent des Pays-bas se hisse avec difficulté à bord.
Dieu que veillir est triste, mais ce monastére isolé dans l'ile de france sera le lieu idéal pour méditer sur la vie qui passe et ce qui fut le passé glorieux du Pasteur.
Une serviette tombe à terre, le carosse s'éloigne, et la cuisiniére le ramasse et l'ouvre, on y voit des documents et cartes :
Bon vent au nouveau régent Coelio, vive la hollande !
Posté : sam. avr. 02, 2005 10:40 am
par Danton
1586 – 1612. Notes récapitulatives du conseiller Von Danton adressées au nouveau roi d’Autriche, Mathias.
Politique intérieure.
Avec un léger retard qui s’explique par le nombre plus élevé de provinces à convertir, l’Autriche rejoint enfin le duo catholique désormais trio (France-Espagne-Autriche) qui a fait sienne la devise ‘Un royaume, une religion’. C’est avec fierté que nous pouvons annoncer au monde que cette conversion, contrairement à ce qui s’est passé chez nos puissants voisins (guerres de religion en France, expulsion brutale mais justifiée des Maures hors d’Ibérie), s’est faite relativement pacifiquement

et que de nombreuses libertés de culte ont été accordées aux irréductibles, désormais minoritaires partout : seule une révolte protestante en Hongrie a du être matée dans le sang. Vienne, de toute façon, entretient des relations d’amitié avec de nombreuses nations protestantes.
Cet indéniable succès s’est doublé d’une autre réussite importante : l’inflation est complètement maîtrisée, notre économie est saine et équilibrée. Des fortifications supplémentaires ont été érigées aux frontières.
Politique économique
Avec détermination mais modestie, nos marchands se sont lancés à l’assaut des marchés extérieurs et nos efforts ont été récompensé par l’apparition d’un centre de commerce en Bohème. Mais nos négociants ne se limitent pas à l’Europe et nous sommes aussi présent en Inde notamment. Vienne reste cependant un petit poucet comparé aux grandes nations marchandes de l’Europe nouvelle, mais quoi d’étonnant à cela ? Notre accès à la mer se limite au port d’Istrie et notre empire colonial est inexistant.
Une manufacture (raffinerie) supplémentaire est néanmoins construite pour aider un peu notre commerce d’un autre âge. Notre budget, de toute façon, est en équilibre.
Politique extérieure
L’événement le plus important, pour Vienne, de ces trois dernières décennies coïncida avec l’arrivée d’un nouveau grand-prince à Berlin. Son royaume expansioniste s’était de nouveau goinfré de ses voisins et l’Empereur, appelé à l’aide par une foule de gens et béni par le Pape, se mit en devoir de rappeler à l’insolent qui était le suzerain du SERG. Il s’en fallu de peu que les choses ne dégénèrent complètement : Paris décida de s’en mêler, violant ainsi délibérément le traité de Mayence, et le nouveau prince de Berlin nous insulta ouvertement en proposant d’échanger wiekepolska, un fardeau incroyable pour son royaume (culture ET religion différente) contre... la province la plus riche de tout l’Empire ! (Magdeburg).
Certains, à Vienne, veulent encore croire que Berlin n’a jamais réellement pris conscience de l’insulte délibérée qu’elle nous faisait avec cette proposition inégale et méprisante, alors que sa survie même était en jeu (l’Empereur se hérisse vite dès qu’il s’agit du Brandebourg depuis les indélicatesses du roi précédent et les deux guerres annulées). Le grand-prince finit par se rendre à la raison et nous céda avec soulagement ce fardeau incroyable pour lui, la province de wiekepolska : il n’est du reste pas responsable de cette inique annexion. Des doutes subsistent toujours concernant la loyauté du prince, qui sera jugé sur ses actes et non sur ses paroles, mais toujours est-il que nos relations avec ce turbulent voisin se sont incontestablement améliorées depuis l’arrivée de son nouveau roi.
Mis à part ce bref moment de tension, l’Autriche n’a connu que la paix et la sérénité : notre voisin ottoman reste calme, des mariages royaux scellent la réconciliation austro-française

Posté : sam. avr. 02, 2005 10:42 am
par Danton
Messages diplomatiques.
Pays-Bas. Vos succès et votre prospérité sont un exemple pour nous et nous sommes heureux de pouvoir vous compter au nombre de nos alliés : une preuve irréfutable que catholiques et réformés peuvent s’entendre.
Angleterre. Un opaque nuage de brouillard entoure votre grand royaume : l’Empereur espère entendre à nouveau à l’avenir les puissantes cornes de brume de votre nation.
Danemark. L’Empereur regrette de ne pas avoir plus souvent de vos nouvelles et prolonge avec joie notre traité d’amitié pour 30 années supplémentaires.
Russie. D’étranges rumeurs nous parviennent de chez vous : les temps seraient difficiles pour votre empire secoué par les révoltes. Qu’en est-il exactement ? Pouvons-nous vous apporter une aide quelconque ?
Portugal. Nous sommes persuadés que vous saurez repartir rapidement du bon pied et effacer à jamais vos déboires récents : un catholique ne se laisse jamais abattre !
Espagne. Votre royaume a toute notre admiration et il n’est pas un jour qui passe sans que nous nous réjouissions de pouvoir vous considérer au nombre de nos alliés.
Brandenbourg. Nous espérons que nos relations, difficiles, continueront à s’améliorer. Pour preuve de notre bonne volonté, nous vous pardonnons l’usurpation du titre impérial, acte qui aurait pu vous valoir la pendaison

. Sachez que nous gardons en toute circonstance un oeil vigilant braqué sur Berlin, mais que notre désir le plus cher est la paix et la prospérité pour tous les Germains.
Empire Ottoman. Nous avons appris avec tristesse que vous avez choisi de convertir, par la force, l’ancienne province hongroise de Banat : Vienne se serait fait un plaisir de vous la racheter, ce qui aurait été mutuellement avantageux, notamment pour nos relations. Celles-ci, heureusement, restent bonnes et nous n’avons aucun grief sérieux contre le sultan.
France. Nous avons noté avec tristesse votre intervention tout sauf impartiale lors du conflit politique qui nous opposa au nouveau prince de Berlin : ce fut une violation flagrante du traité de Mayence, par lequel vous vous engagiez à ne pas intervenir dans nos affaires au sein du SERG. Nous sommes plus heureux de constater que, par après, nos relations se sont rétablies et qu’aucun motif de grief sérieux ne subsiste entre nous.
Posté : lun. avr. 18, 2005 5:39 pm
par univerzz
Le redressement de l'empire
Londres, 1613
Le Roy regardait les reflets glacés de la Tamise qui serpentait en contrebas quand, soudain, il se retourna, avec une expression ne masquant pas son désappointement, et dit d'un ton sec: « les docks sont de plus en plus inactifs, les arrivées de marchandises en provenance du nouveau monde ne sont pas suffisantes pour occuper les dockers nouvellement recrutés. Depuis la subite disparition du conseiller Léaz lors de sa tournée d’inspection des colonies, nos marchands ne cessent d’être refoulés des centres de commerce, les navajos brûlent nos comptoirs nouvellement installés tout en empêchant nos colons de s’implanter et nous sommes sans nouvelles des renforts commandés par Dudley. Nos forces terrestres sont totalement désorganisées et la Navy invente tous les jours une inutile façon de protéger les routes commerciales fonctionnant encore. Encore un effet pervers de l’ostentatoire oisiveté qu’affiche nos explorateurs.
Aussi, je vous ordonne de promptement vous rendre maître de la situation et de remédier à nos déboires le plus rapidement possible sans quoi le royaume sera bientôt la risée des autres souverains européens ou pire encore : une proie facile pour nos ennemis !
Commencez par envoyer Smith régler la situation avec les indiens. »
La suite est connu, tous les écoliers l’apprennent dans leurs livres d’histoire : Smith, avec un détachement de 10000 hommes vint facilement à bout des Navajos, les forçant à concéder 2 de leurs provinces.
La Navy se porta au secours de l’armée de Dudley qui mourait de faim en Uruguay, n’ayant pu s’adapter à la région et le débarqua en Nouvelle-Angleterre ou il se rendit utile en matant les rebellions indigènes.
Button et Bradley sillonnèrent la mer en long, en large, et en travers, prouvant une fois encore la rotondité terrestre.
L’excédent de population, qui participait activement jusqu’alors au épidémies de choléra du royaume, fût à nouveau embarqués vers d’innombrables destinations afin de participer au développement du pays.
Galvanisés par cette nouvelle manne, les commerçants se remirent au travail avec entrain et réussirent à réinvestir quelques centres de commerce moyens.
Le royaume d’Ecosse fût rattaché à la couronne, et si, au vu du délabrement de ce pays, notre comptabilité en souffrira quelque peu, l’expérience au combat des blacks vipers compensera notre investissement et le prestige des îles britanniques ne pourra que s’en trouver grandi.
Déclaration diplomatique :
Avant d’affiner ses rapports avec les autres souverains, James I se réjouit de la paix dont bénéficie ses sujets sous son règne, aussi est-il d’avis de l’entretenir.
A Frederik de Nassau : l’implantation de votre population en Llano estacado et en Oklahoma ne nous a pas échappé. Sachez qu’elle ne fût rendue possible que par le massacre des populations anglaises y résidant par les indiens navajos. Votre agressive politique d’implantation dans ces provinces qui nous reviennent n’est pas le prélude attendu de rapports de bon voisinage. Nous attendons des explications quant à cette affaire sachant que des rescapés de cette affaires viennent d’arriver en notre cour pur pour nous signifier que des florins ont été retrouvé sur des cadavres d’indiens.
Posté : mar. avr. 19, 2005 10:57 am
par Touko
De Armsterdam à nos amis de Londres
Concernant ces 2 provinces nous avons essayer à maintes reprises d'y installer des comptoirs commerciaux mais sans succès, nous avons laissé tombé étant donné l'agressivité des tribus indiennes.
Par la suite vous avez vous même tenté de vous y implanter sans succès.
Finalement nous avons envoyé quelques négociants habiles et celà nous a sourri puisque les indiens ont accepté notre implantation.
Ce que vous prener pour des colonies ne sont que des implantation commerciales.
Voilà la véritable explication, espérant avoir dissipé tout malentendu.
Touko, conseiller de sa majesté Frederik-Hendrick of Nassau, Statholder
Des Provinces Unies.
Posté : mar. avr. 19, 2005 11:34 am
par Hadrien
Touko, comment tu fais pour publier des cartes de EU2 sur le topic j ai essaye sans succes car sur le jeu y a rien pour extraire des pics...
Posté : mar. avr. 19, 2005 1:11 pm
par Maréchal FlaK
Hadrien a écrit :Touko, comment tu fais pour publier des cartes de EU2 sur le topic j ai essaye sans succes car sur le jeu y a rien pour extraire des pics...
Impression écran+coller sur Paint

Posté : mar. avr. 19, 2005 2:20 pm
par Schnick
ou F11, et il est sauvé automatiquement dans le répertoire racine de EU...

Posté : mar. avr. 19, 2005 2:32 pm
par univerzz
Londres parle aux hollandais:
Vos négociants vous ont induit en erreur Frederik, le dossier 10gpo20 le prouve: seul notre comptoir brûlé par les indiens Navajos en Oklaomah vous a permis une implantation dans ce territoire ainsi qu' en Llano estacado. Nous n'avons cessé de nous y réimplanter que le temps de voir les 21000 indiens qui semaient le trouble dans ces contrées disparaitrent. Ceci vous en dit long sur notre surprise d'y voir des " implantations commerciales" de votre nation quant nous eûmes fini de pacifier la région, d'autant plus que bien des territoires restaient à concquérir. Nous attendons vos propositions pour trouver une issue convenable à cette situation.
P.S que j'éditerais ... si quelqu'un pouvait virer les posts qui se sont trompés de topic .
Posté : mar. avr. 19, 2005 3:06 pm
par Touko
De Armsterdam à Londres
En effet nos négociants ont commis une erreur et votre doléance est légitime sacher que sous sommes prêt à vous dédommager, faîtes nous parvenir dans les plus brefs délais à la banque d'Armsterdam une note des frais que vous aviez engagé dans ces implantation.
Codrialement, le Trésorier Royal, Balthazar Picsou
