Septembre / Octobre 1940. Salvateur mauvais temps
Un petit tour de 6 impulses
La guerre en Chine
Umezu et Terauchi profitent de leur double mouvement (la Chine n’a pas pu réagir au dernier assaut Japonais, l’Axe ayant terminé le tour précédent et commencé le nouveau

) pour frapper à nouveau : mécanisés en tête, ils repartent à l’assaut du fleuve et, cette fois, pulvérisent toute opposition. Si l’étau se resserre autour de Si-An, le bastion de Lan-Chow, lui, semble toujours plus inaccessible : de puissants renforts communistes, dont une infanterie de montagne d’élite, prennent en effet position dans les faubourgs de la ville. Des tempêtes puis la pluie s’abattent alors sur le front, l’Etat-Major Marseillais décide de geler toute opération sur ce front en attendant le retour du beau temps.
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La guerre à l’Ouest
Le Reich Marseillais décide de profiter du beau temps et de l’opportunité qui s’offre à lui (toujours ce double mouvement…) pour frapper un grand coup. La Luftwaffe se déchaîne et matraque tout ce qui bouge, alignant succès sur succès (succès naturellement oublié par un certain Marseillais

) puis le troupeau de panzers part à l’assaut au sud de Paris : la horde est innombrable, les défenseurs français sont massacrés jusqu’au dernier et le troupeau bondit en avant et exploite aussitôt sur sa lancée, la Seine est franchie

! Plus au sud, les Italiens marchent sur Toulouse.
Les Dantoniens cependant ne paniquent pas, mais leur riposte va complètement échouer. Un nouveau raid de l’aviation embarquée Britannique sur Kiel s’achèvera en coup dans l’eau, les aviateurs ne trouvant par leur cible. En France, des bombardements massifs sont lancés, mais se heurtent à la chasse et à la DCA allemande. Quelques bombardiers passent néanmoins, mais n’obtiennent guère de résultats, à Paris l’on commence à s’inquiéter.
Des tempêtes s’abattent alors sur le front, apportant un sursis précieux aux alliés mis sous pression. La flotte Italienne prend position au large des côtes d’Algérie, où une petite flotte française est repérée, mais cette dernière esquive son adversaire avec talent et ingéniosité

.
Les pluies remplacent les tempêtes et, conscient que le temps presse, l’Axe repart à l’assaut : un assaut combiné Germano-Italien est lancé au nord de Vichy, afin de permettre aux pinces nord et sud de se rencontrer, prélude à une offensive conjointe vers l’ouest français. Les fantassins français doivent reculer, mais en bon ordre et sans pertes aucune, le général Georges réorganise les troupes : l’hiver approche et le Corps Expéditionnaire Britannique semble plus décidé que jamais à poursuivre son combat sur le continent.

Paris tiendra !
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