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Basileus Nikatôr
Posté : dim. déc. 21, 2008 12:01 am
par von Aasen
Basileus Nikatôr
Rome Total War 1.5
Campagne impériale / très difficile - Batailles / très difficiles
Toutes communautés gérées, batailles standard, temps de bataille limité
Nombreuses sont les légendes de l'Orient, rares sont celles survivent à l'épreuve du temps.
La corrosion de l'oubli doit nous être épargnée.
Moi, Antiochos de Séleucie, tient à garder intacte intacte l'histoire de mon peuple.
Mon récit débute au moment ou Antioche, mon glorieux ancêtre, décide de réformer les terres de ses ancêtres. L'apathie et la néglicence ont fait que les provinces séleucides de ce temps, l'Ionie, la Cilicie, la Syrie, la Célésyrie, l'Assyrie et la Babylonie étaient entourées d'ennemis et délaissées par leurs garnisons.
Les conflits générés par des fauteurs de troubles ont mis l'empire dans un état grave. Antioche, à l'âge de 60 ans, est enfin un souverain reconnu.
Comme il se doit d'un homme de grande intelligence, il s'assura qu'il aurait les moyens de repousser ceux qui lui voulaient du mal. Il fit donc des efforts pour améliorer les récoltes, car qui nourrit son peuple s'assure de sa prospérité. Les taxes deviennent plus lucratives, et Antioche en a grand besoin. L'argent est le nerf de la guerre. Et de la guerre dépend notre survie.
Voilà ce qu'il nous conte:
De l'armée d'Alexandre, il ne reste rien. Quelques restes misérables de hoplites mal équipés et au moral en berne. Les Egyptiens sont mieux lotis, il faut faire attention à eux. Les régents du Pont sont toujours prêts à chercher querelle, il faut les dissuader de tenter leur chance en attaquant nos riches cités. Les Arméniens et les Parthes sont des rustres, mais il savent se battre. Eux aussi, il va falloir les repousser quand leurs terres arides ne leur suffiront plus. Prions pour que celà ne soit pas demain.
Re: Basileus Nikatôr
Posté : dim. déc. 21, 2008 12:06 am
par von Aasen
Antioche n'eut pas le temps de faire beaucoup plus, il fut retrouvé mort peu de temps après que ses réformes aient porté leurs fruits. Heureusement Aristarque, son successeur désigné, était un homme de grande compétence, aussi personne ne tenta de lui faire ombrage. Il s'employa à remettre sur pied une armée digne de la splendeur de Séléucie. Pour s'assurer du pacifisme des peuples voisins, il les lia étroitement à son commerce. Ainsi, ils seraient moins enclins à faire la guerre, car dépendants de nos commercants.

Cette stratégie semblait payante, mais les Arméniens l'utilisèrent en vue de trahir. A peine eurent-ils assurés qu'ils nous accorderaient des droits de commercer, qu'un fort détachement commandé par le noble Amaru était devant les portes de la Cité de Hatra. Les Dieux furent avec nous, car la cité venait justement d'achever une première palissade rudimentaire, ce qui dissuada les traitres arméniens d'attaquer sur-le-champ. Zoilos d'Emesa et ses hommes partirent d'Antioche pour soutenir la faible garnison.
La bataille fut courte mais coûta la vie à Zoilos, ce qui ne fut pas un prix moindre à payer. Les Arméniens étaient forcés de se retirer, mais nul doute ne persistait quand au fait qu'ils reviendraient, mieux organisés, plus prudents. Séleucie s'armait pour soutenir ses frères.
Sardes était peut-être la cité la plus sûre de l'empire. Le fougueux commandant de garnison fit en sorte que la milice d'Ionie soit levée et marcha vers la riche et vénérable Lycie, protectrice du Mausolée d'Halicarnasse, l'une des sept merveilles du monde, en n'omettant point de recruter force mercenaires sur le chemin. Une bataille ne put être évitée, les Lyciens refusant de se soumettre volontairement.
Re: Basileus Nikatôr
Posté : dim. déc. 21, 2008 12:08 am
par griffon
beau titre pour un AAR !
et bien en accord avec le lieu et la période !
Re: Basileus Nikatôr
Posté : dim. déc. 21, 2008 12:13 am
par von Aasen
Sous le regard des Dieux, notre armée s'est alignée!
L'ennemi nous est inférieur, en nombre et en qualité, car il ne dispose pas de cavalerie. Les hoplites ennemis sont décimés par les flèches enflammées de nos archers, notre fougueux commandant tranche les frondeurs de l'adversaire, le coup de grâce est porté par l'infanterie. La côte Sud de l'Asie mineure est à nous!
Amaru a profité de ce temps pour se reprendre et n'a pu s'empêcher de relancer ses hordes contre Hatra. Mal lui en prend! Cléitos, récemment devenu majeur, monte soutenir la garnison sérieusement prise à partie malgré sa taille conséquente, et vient la renforcer avec près de 400 hoplites. Amaru tenta sa chance et y perdit sa tête, mais l'armée grecque avait frôlé la défaite totale. Seule l'intervention de Cléitos et la défense héroïque de la milice décimée sur la place du marché permit l'impensable: l'annihilation totale des envahisseurs. Pas un n'en réchappa.
Cette victoire ô combien nécessaire était de courte durée. Peu après l'annonce de la défaite d'Amaru au palais impérial d'Antioche, Aristarque accueilla des messagers hors d'haleine. Les Egyptiens assiégaient Damas! Une armée du Pont avait été signalée faisant marche vers Tarsus! Antioche même était menacée! Comme si la situation n'était pas assez catastrophique, le gouverneur de Babylonie se plaignait de plus en plus d'incursions parthes. Elles ne faisaient aucun blessé, mais ce n'était pas vraiment rassurant. Sans parler de ce que nos espions racontent: le Pont se serait allié à l'Arménie, et à l'Egypte ...
Re: Basileus Nikatôr
Posté : dim. déc. 21, 2008 12:14 am
par Bob Terrius
Un peu ambigu neammoins, car Basileus Nikatôr ou à raison.
Plus serieusement Nikatôr, cela veut dire le vainqueur?
Re: Basileus Nikatôr
Posté : dim. déc. 21, 2008 12:15 am
par von Aasen
griffon a écrit :beau titre pour un AAR !
et bien en accord avec le lieu et la période !
7 min chrono pour attirer Griffon, record battu
Bob Terrius a écrit :Un peu ambigu neammoins, car Basileus Nikatôr ou à raison.
Plus serieusement Nikatôr, cela veut dire le vainqueur?
Oui, il ne vit plus depuis longtemps mais c'est quand même le fondateur de la dynastie, et les nouveaux souverains comptent bien s'accaparer l'honneur des champs de bataille

Re: Basileus Nikatôr
Posté : dim. déc. 21, 2008 12:26 am
par jmlo
Bel AAR comme d'hab

mais tu sait , il y a un patch 1.5 pour RTW

Re: Basileus Nikatôr
Posté : dim. déc. 21, 2008 1:15 am
par von Aasen
jmlo a écrit :Bel AAR comme d'hab

mais tu sait , il y a un patch 1.5 pour RTW

Maintenant que tu le dis, je crois que je suis en 1.5

Re: Basileus Nikatôr
Posté : dim. déc. 21, 2008 11:03 am
par jmlo
von Aasen a écrit :
Maintenant que tu le dis, je crois que je suis en 1.5

Si tu ment dès le 1er post ça promet

Re: Basileus Nikatôr
Posté : dim. déc. 21, 2008 11:07 am
par von Aasen
jmlo a écrit :von Aasen a écrit :
Maintenant que tu le dis, je crois que je suis en 1.5

Si tu ment dès le 1er post ça promet

Que veux-tu je m'entraine à survivre dans le monde des diadoques

Re: Basileus Nikatôr
Posté : dim. déc. 21, 2008 11:19 am
par von Aasen
Les craintes d'Aristarque et de ses espions étaient fondées, Tarsus ne tarde pas à être assiégée par les laquais du Pont, tandis que Séleucie se voit assiégée par une armée royale parthe!
Ce sont des adversaires à prendre au sérieux, ordre est donné de rester à l'abri des murs de la cité. La cavalerie ennemie est terrifiante, mais saura-t-elle vaincre nos denses phalanges aux flancs de roc? En prévision d'une défaite, les hoplites de Sardès, goulument renforcées de mercenaires bactres, se dirigent vers la plus proche cité du Pont, une cité côtière qui plus est, vitale pour ce royaume dénué de terres généreuses et forcé de recourir au commerce!
Une autre armée qui Hatra et fait jonction avec le gros des forces à Antioche. Elle s'engage à repousser le Pont, et y parvient au prix de pertes moyennes. Les guerriers du Pont et de Séleucie ne s'entendent en rien! Le Pont dispose de troupes légères et mobiles, aimant à harasser l'ennemi de projectiles divers, fuyant le corps à corps. Les lourdes phalanges séleucides sont une calamité pour les combattre. Mais quand le moment du contact vient, par folie ou idiotie de l'ennemi, les bergers ont vite fait de fuir!
Les Parthes s'agitent. Ils cherchent la bataille décisive à Séleucie, rien ne les empêchera de brûler cette noble cité une fois les portes démolies et les défenseurs massacrés. Achaémène d'Arsakias mène ces sauvages, un membre de la famille royale parthe. De par son rang, il n'est pas étonnant qu'il ait emporté avec lui la fleur des terres parthes: des cavaliers archers nomades impossibles à vaincre en duel singulier, des cataphractaires à la force de rupture inégalée, et bien sur, sa propre garde personnelle. Seul un petit détachement de frondeurs vient soutenir le tout, confirmant l'habitude parthe de tout miser sur la cavalerie.

L'infanterie a l'honneur d'enfoncer les portes de la ville à coups de béliers, rien ne peux les en abstenir. Aristarque mène lui-même mène la défense, cette bataille décidéra de bien des choses, car une part non négligeable des descendants de Seleucos se trouve à l'abri des remparts de Séleucie. S'ils venaient à être tués, l'empire serait décapité. Cependant, les portes sans défense ne sont pas le dernier rempart de la cité ...
Une forêt de sarisses est là pour accueillir la cavalerie des chiens perses. Des conscrits certes, mais bien décidés à défendre leur ville natale jusqu'à la dernière goutte de sang, et galvanisés par l'empereur en personne, prêt à intervenir avec sa cavalerie lourde en cas de besoin.
Nullement impressioné, Achaémène lance toute sa cavalerie à l'assaut.
Mal lui en prend! Pris dans la mêlée d'archers et de frondeurs, les cataphractaires ne sont pas en mesure de lancer une charge correcte, et sont forcés d'attaquer à vitesse d'escargot. Leur corps est protégé par moultes cuirasses, mais les sarisses ont tôt fait de le pousser à terre, là où il mourra piétiné par ses alliés. De charge avortée en déroute sanglante, la bataille se poursuit, l'ennemi ne semblant pas vouloir abandonner le combat avant d'avoir sacrifié le dernier homme.
Achaémène ne peut se résoudre à accepter la défaite, peut-être la perte de tels contingents lui serait-elle fatale lorsqu'il aura à rendre des comptes? Il mène lui-même les dernières charges, privé de son armée en marche vers l'empire d'Hadès. Le résultat n'est pas plus concluant que cela, nos armes sont maintenant trempées de sang noble!
Avec quelques survivants, le général parthe doit se résoudre à abandonner le champ de bataille, la victoire est notre!
Re: Basileus Nikatôr
Posté : dim. déc. 21, 2008 12:38 pm
par von Aasen
Notre armée de diversion d'Ionie détruit un détachement isolé du Pont (quelques centaines de piquiers orientaux) sans grandes pertes grâce à sa forte dotation en archers, et assiège Nicomédie. La stratégie semble fonctionner: de nombreuses unités du Pont sont signalées, marchant en direction de Nicomédie. Ils ne devraient pas être assez pour inquiéter sérieusement notre général.

Tant mieux, car Aristarque espère remplir les caisses de l'empire au moyen d'un pillage en règle. Les dépenses excèdent de loin les revenus depuis le début de ces nombreuses guerres; notre commerce est extrêmement limité, les communications entre nos cités sont très dangereuses, les sièges menés avec perfidie par nos ennemis détruisent les champs, et la guerre absorbe des quantités substantielles d'or et d'argent pour payer la troupe. La situation est telle qu'aucune nouvelle troupe ne peut être levée, les pertes des existantes ne peuvent pas être remplacées ... Dans une optique similaire, une bonne partie de la garnison de Séleucie est envoyée assiéger Suse.

Le renforcement des Egyptiens en Judée est très alarmant, l'empire n'a pas assez d'hommes pour soulager Hatra et défendre Antioche en même temps, il faut donc se résoudre à une action offensive pour vaincre nos ennemis séparément. Les Egyptiens sont les plus proches, et peut-être sera-t-il possible de prendre Sidon dans la foulée, pensait Aristarque. L'élite de nos forces marche donc vers le Sud, laissant Antioche presque sans défense.
Les rejetons de Ptolémée s'inquiétèrent aussitôt, et cherchèrent la bataille. Les forces en présence sont impressionantes:
Les piquiers nubiens forment la force principale de l'ennemi, heureusement aussi mal commandé que nos propres forces. Nos sarisses plus longues que les misérables piques égyptiennes ne laissèrent aucune chance à l'ennemi, qui décida rapidement de retraiter malgré sa supériorité numérique. C'eût été une victoire mineure si la cavalerie légère dont nous disposions ne se fût fait un devoir de fondre sur les arrières de l'armée en retraite, soutenue en celà par la cavalerie lourde du général. Seul 1 ennemi sur 10 sorti vivant de cette farouche poursuite!
Pharaon était loin d'avoir dit son dernier mot, malgré la cuisante défaite qu'il venait d'encaisser. Il rassembla de nouvelles recrues, mieux formées et mieux équipées, et les subordonna au commandant de son frère. Il en faudra donc plus que cela pour étendre nos frontières ...
Re: Basileus Nikatôr
Posté : dim. déc. 21, 2008 12:53 pm
par griffon
Seleucus Nicator
le nouvel avatar de Von !
bon choix !

Re: Basileus Nikatôr
Posté : dim. déc. 21, 2008 1:42 pm
par von Aasen
Hâtons nos armées, le temps joue contre nous! Cléitos, général de l'armée d'Antioche, accroche les Egyptiens dispersés, et leur inflige une sévère défaite. Ce petit à de l'avenir, ses hommes prennent confiance en lui. Les morts qui jonchent le sol de Phénicie ne sont pas aussi nombreux que précédemment, mais une victoire n'est pas à dédaigner.
En conséquence, Sidon est assiégée, sous les yeux du frère de Pharaon. Qu'il y vienne! Nos phalanges sauront lui apprendre l'honnêteté!
Et il vient ... en force.
Re: Basileus Nikatôr
Posté : dim. déc. 21, 2008 1:44 pm
par von Aasen
Nos phalanges en échiquier sont meurtries dans les premiers instants du combat par la pluie de flèches et de javelots dont nous gratifie l'ennemi. Les pertes sont gigantesques, mais nous ne pouvons rien faire. Nous n'avons aucune infanterie légère, et la cavalerie ennemie est supérieure à la notre, il serait folie de la sacrifier. Le choc des phalanges montre toujours notre avantage moral et matériel, bon nombre de nubiens s'enfuient après la première douzaine de camarades empalés sur nos sarisses. Mais des piquiers du Nil tiennent leur position. Pire - ils mettent nos hoplites en fuite. Des renforts sont envoyés sur cet aile, mais l'ennemi reste agile: il prend nos combattants affaiblis en nombre à revers, forcant Cléitos à les attaquer. Face à la fougue du général, les Orientaux doivent reculer, mais les pertes ont été lourdes, nos phalanges sont squelettiques.
C'est alors que le frère de Pharaon et ses chariots de guerre intervient. Il ne reste plus que lui et Cléitos, accompagné de sa garde personnelle décimée. Le combat est court et injuste, les cavaliers grecs ne peuvent combattre la meilleure arme égyptienne sans soutien, la déroute est inévitable ...
Ptahhotep a dû sacrifier son armée pour cette victoire, mais nos morts nous chagrinent bien plus que lui, car ils sont irremplaçables ...
Re: Basileus Nikatôr
Posté : dim. déc. 21, 2008 2:37 pm
par griffon
ces quoi ces généraux Egyptiens ?
à l'époque etre "Egyptien" (du moins ceux qui comptaient)
signifiait etre Grec !
Re: Basileus Nikatôr
Posté : dim. déc. 21, 2008 3:03 pm
par von Aasen
Les descendants de Ptolémée nous ont trahis et tentent vainement de s'intégrer à la culture locale

Je suis d'accord avec toi, il faut les détruire!
Re: Basileus Nikatôr
Posté : dim. déc. 21, 2008 6:44 pm
par Urial
joli aar !
bien que je n'aime pas ce jeu, j'aime beaucoup l'epoque
je lirais tout cela avec attention !
on veut savoir ou cela nous menera !
est que l'empire selecide deviendra une partie de l'empire egyptien? ou le contraire?

Re: Basileus Nikatôr
Posté : dim. déc. 21, 2008 10:15 pm
par von Aasen
Hatra est sur le point de tomber, faute de nourriture ...
Plutôt que de simplement abandonner la place, le commandant de garnison tente une sortie désespérée, les troupes à sa disposition se composent essentiellement de milices hoplites et de mercenaires orientaux. L'issue de la bataille est sans appel, 751 fidèles à la cause séleucide y trouvent la mort, contre 183 Parthes.
L'armée de siège de Suse est elle attaquée par les assiégés et une armée de secours venues des profondeurs des montagnes. Les talents de nos généraux laissent à désirer, là aussi une cruelle défaite est infligée à l'empire, même si les Parthes l'ont chèrement achetée. Les restes de nos troupes parviennent à s'échapper vers Séleucie.
3 défaites de suite, ce sont autant de coups potentiellement mortels portés à l'empire vacillant. La destinée des Séleucides court un grave danger si elle ne rétablit pas la situation militaire très rapidement. Justement, les Leucosyriens tentent de briser l'encerclement que nous leur imposons à Nicomédie.
Mal leur en prend! Ce qu'ils ont à nous opposer consiste essentiellement en un amas d'infanterie orientale sans moral digne de ce nom. Les Crétois à notre service leurs montrent qu'ils savent toujours manier l'arc, et ravagent les rangs serrés du général Spartocus, dernier espoir du Pont. Le peu d'attaques arrivées à terme sous la nuée de flèches les accablant s'enlisent rapidement dans le fouilli des piques grecques. La victoire est évidente, Gyras de Sardès y gagne ses premières lettres de noblesse en art militaire.
Pour parfaire cette bonne nouvelle, un nouveau général béni d'Arès vient rejoindre nos rangs grâce aux charmes de notre progéniture ...
Les pertes occasionées lors des sanglantes campagnes de l'empire ont aussi du bon, l'entretien des morts n'étant pas de notre devoir, l'état économise des sommes colossales, ce qui fait à nouveau largement pencher la balance vers un bilan positif, permettant la levée de nouveaux contigents aux points les plus menacés.
La cité nouvellement conquise de Nicomédie est bien plus riche que celle que nous venons de perdre, Hatra. A terme, si la situation devient intenable à l'Est, Aristarque envisage même de déplacer la capitale vers l'Ouest, là où seul le Pont est capable de la menacer. Or, le Pont est le moins hargneux de nos ennemis. Mais pour l'instant, la situation est encore trop indécise pour recourir à des mesures pareillement draconiennes.
Re: Basileus Nikatôr
Posté : dim. déc. 21, 2008 10:16 pm
par von Aasen
Urial a écrit :joli aar !
bien que je n'aime pas ce jeu, j'aime beaucoup l'epoque
je lirais tout cela avec attention !
on veut savoir ou cela nous menera !
est que l'empire selecide deviendra une partie de l'empire egyptien? ou le contraire?

Merci
Qu'est-ce qui ne te plaît pas à RTW? Tu aimes bien Eu: Rome, donc tu ne dois pas être très demandeur, non?

Re: Basileus Nikatôr
Posté : dim. déc. 21, 2008 10:32 pm
par Urial
hehe la bordelisité des total war en general la gestion des troupes bref quasiment tout
par rapport a Tw Eu rome est simple

Re: Basileus Nikatôr
Posté : lun. déc. 22, 2008 10:11 am
par Elvis
Question :
Moi qui ne suis pas un très grand connaisseur de l Antiquité - on est en en quelle date là ?
Re: Basileus Nikatôr
Posté : lun. déc. 22, 2008 10:12 am
par loda
Très beau AAR en effet, qui me fait regretter encore plus la perte de mon disque :(
Re: Basileus Nikatôr
Posté : mar. déc. 23, 2008 2:43 pm
par von Aasen
Urial a écrit :hehe la bordelisité des total war en general la gestion des troupes bref quasiment tout
par rapport a Tw Eu rome est simple

Sur qu'il faut un certain temps pour s'en sortir

Mais quand t'as commencé avec Shogun Total War (sorti en 2001) ...
Elvis a écrit :Question :
Moi qui ne suis pas un très grand connaisseur de l Antiquité - on est en en quelle date là ?
Environ 250 avant Jésus-Christ
Alexandre est mort depuis longtemps et on se tabasse pour les lambeaux de son empire depuis un certain temps, Rome est déjà une force à prendre au sérieux mais pas encore une superpuissance.
loda a écrit :Très beau AAR en effet, qui me fait regretter encore plus la perte de mon disque :(
Merci bien, RTW est en vente pour 3x fois rien entretemps s'il te manque trop

Re: Basileus Nikatôr
Posté : mar. déc. 23, 2008 2:51 pm
par Elvis
De mon expérience de TW, avec MTW2, ce que reproche c'est la quasi absence de diplomatie : IA pas à la hauteur pas de reelle gestion politique
Ce que je regrette egalement c'est que l on ne peut pas y jouer en multi....
Sinon, j ai bien envie de m y remettre mis cette fois avec RTW...
(en meme temps à cette epoque la politique et la diplomatie c'est pas trop à la mode
Y a un lien pour acheter et télécharger le jeu ?
Re: Basileus Nikatôr
Posté : mar. déc. 23, 2008 3:11 pm
par von Aasen
Là aussi les IA sont plutôt bourrines, tout ce qui est dans les environs mis à part les cités libres grecques m'est tombé dessus en moins de 20 tours ... très dur de signer une paix, en position de force comme de faiblesse, la meilleure issue étant encore des résultats de combats neutres et personne n'occupant une ville de l'autre
Il faut donc annexer tout ce beau monde
Je pense pas qu'on puisse le télécharger, par contre
ici tu l'auras rapidement 
Re: Basileus Nikatôr
Posté : mar. déc. 23, 2008 5:02 pm
par von Aasen
Une bonne nouvelle vint soulager les épaules accablées d'Aristarque: les Arméniens proposaient la paix!
Les Leucosyriens redoublèrent d'efforts à l'annonce de cette funeste décision, et tentèrent rien de moins que la reprise de Nicomédie:
Gyras de Sardès, largement supérieur en nombre et en qualité, mis facilement en déroute cette armée de pouilleux téméraires, si bien qu'il ne resta qu'une poignée de survivants qui s'empressèrent de se disperser dans les champs alentours. Voilà un général qui a de l'avenir!
Et il en faudra, des généraux ... les Egyptiens sont de retour à Damas, qu'ils avaient épargnée il y a quelques mois pour des raisons inconnues, rompant un siège long et épuisant. La garnison de la cité est conséquente, mais provient uniquement de la levée de milice. Des Grecs formés rudimentairement à l'art de combattre en phalange, sans matériel lourd ni armure autre qu'un casque en bronze. Le rapport de force n'est pas vraiment convainquant ...
De nombreux membres de la famille impériale étaient présents, et galvanisaient les défenseurs des lourdes portes destinées à arrêter l'envahisseur. Les Nubiens que l'ennemi jetait à notre encontre furent miraculeusement défaits, mais les effectifs pléthoriques de l'armée égyptienne pesaient lourdement sur l'issue potentielle de la bataille. Malgré la résistance héroïque des hoplites, la garde du général pût passer, ne rencontrant que des restes d'unités épuisées ...
Restait à prendre la villa du gouverneur, là où tous nos fuyards se regroupaient. En concentrant une dernière fois les éléments épars ayant survécu, le général put être mis en fuite. En effet, sa phalange n'était pas en mesure de faire face à quelques hoplites de face et une attaque de cavalerie sur ses arrières en même temps; le moral flancha et le désordre s'ensuyant fit le reste. Cette victoire est digne de Séleucos Ier !
Là ne s'arrête pas le récit de cette féconde année, le Pont tentant une ultime attaque sur Tarsus, où la majeure partie de l'armée d'Antioche était venue assister une garnison maigrelette. Pour une fois, les Séleucides pourraient compter sur la force du nombre. La qualité elle, se trouvait du côté leucosyrien. Des mercenaires sarmates, un général compétent et avisé, le roi en personne! Et que dire de son fils, héritier du thrône, l'accompagnant? Jamais un aussi grand rassemblement de vipères ne fut observée devant cité grecque ...
La milice hoplite défendant la porte fut balayée en un rien de temps.
Les cavaliers s'engouffraient dans la ville, sécurisant l'artère menant au lieu convoité: la villa du gouverneur, siège de l'administration séleucide et symbole des puissants de cette terre.
Justement, les troupes d'Antioche se mettaient en position là-bas, épuisées par le trajet les menant des collines avoisinantes au centre de la cité, mais toujours prêts à manier la sarisse!
Le massacre fut court et violent. Le roi du Pont frappa sauvagement les lances menaçant de lui ôter la vie, et il fallut bien admirer son courage et ses qualités de guerriers, car nombre de piquiers furent contraints à quitter ce monde à la force de son bras. Son cheval blessé à mort ne parvint pourtant pas à le mener en lieu sur, aussi périt-il piétiné par nos conscrits enthousiastes. Le Pont subit une nouvelle défaite écrasante.
Les Ptoléméens profitent de l'absence des glorieux hoplites pour assiéger en toute quiétude Antioche. On ne peut leur porter assistance qu'en contournant le fleuve qui la sépare de Cilicie.
Re: Basileus Nikatôr
Posté : mer. déc. 24, 2008 10:41 am
par Elvis
Bon effectivement je n'ai pas trouvé sur le net pour le telecharger alors j ai passé commande
Merci pour le lien VA

Re: Basileus Nikatôr
Posté : mer. déc. 24, 2008 11:51 am
par von Aasen
Suse est à nouveau assiégée par le fougueux Zeuxis, accompagné de quelques centaines de piquiers conscrits et d'un nombre important de peltastes. Le seigneur Bagabigna n'étant point d'humeur à se morfondre dans une ville assiégée, il ordonne la contre-attaque sitôt des renforts venus des contrées parthes limitrophes.
Une défaite signifierait un nouveau repli vers Séleucie, il faut à tout prix empêcher celà! Les prévisions avant la bataille sont pessimistes, les Parthes alignant un nombre décent de troupes, et la réputation de leurs archers montés n'est plus à faire ...
Surprise: les deux armées n'attaquent pas de manière coordonnée, et l'écrasante majorité des troupes ennemies est composée d'infanterie! Les hommes des collines n'ont aucune chance face à nos sarisses!
Le combat contre le gros de l'armée de Bagabigna est plus difficile, mais l'infanterie orientale que l'on nous oppose est vraiment trop mal équipée pour faire la différence dans une grande bataille rangée. Les archers montés infligent des pertes terrifiantes à nos blocs compacts d'hoplites, mais tôt ou tard, les flèches viennent à leur manquer. Ils tentent le tout pour le tout, une attaque frontale! De la cavalerie légère contre des piquiers, folie! La victoire est notre!
Mais il reste une poignée de survivants s'entêtant à défendre la cité aux puissantes murailles. Las! Zeuxis ordonne l'attaque! Il ne reste pratiquement personne pour défendre les fortifications ...
La présence d'esprit séleucide a fait que suffisament d'engins de siège avaient été préparés:
Bagabigna tente une ultime défense avec sa garde personnelle devant la villa du gouverneur:
Qui lui sera de peu d'utilité, nos centaines de hoplites, désormais un peu plus accoutumés à la guerre du fait de la bataille précédente, le réduisent en charpie. Suse est notre, et ce n'est pas la moindre des cités!
Pas des moindres, et fière qui plus est! Il est impossible de maintenir l'ordre public en l'état, les temples païens sont détruits, un en l'honneur d'Esculape prendra sa place!
Les esclaves partis de Suse font croitre bon nombre de nos cités amaigries par la conscription. L'or du pillage sera versé dans l'extension des villas de gouverneur concernées. L'autorité de l'empereur doit être maintenue partout!
Re: Basileus Nikatôr
Posté : mer. déc. 24, 2008 1:08 pm
par von Aasen
Il est maintenant temps de s'occuper de la question la plus cruciale: Antioche! Une armée égyptienne l'assiège, une autre est en approche. Nos hommes sont épuisés, mais c'est la dernière chance de battre les deux armées séparément. Si la réussite n'est pas au rendez-vous, c'est notre capitale et tous ses bâtiments monumentaux qui tomberont aux mains de l'ennemi, ce sera aussi notre plus grande source de revenus et de soldats qui partira. La reprendre sera pratiquement impossible, aucune grande ville ne peut fournir de soutien immédiat, et les murailles d'Antioche sont gigantesques. Il faut donc vaincre. A grand frais, Cléitos se résoud à se payer les services de deux compagnies d'infanterie orientale, de la chair à flèches, rien de plus.
La tactique de l'ennemi est déroutante, il nous provoque en envoyant à l'assaut des paysans, puis interrompt l'attaque au dernier moment ...
Qui provoque ... subit l'assaut de tous nos hommes! Vétérans de tant de batailles, ils écrasent les piquiers nubiens et les chariots de guerre des généraux égyptiens comme fétus de paille. Encore une fois, les rejetons de Ptolémée subissent une cuisante défaite, Antioche est sauvée!
L'armée étant encore en bon état, Cléitos se tourne vers la seconde force d'invasion égyptienne ...
Malgré une défaillance extraordinaire de nos hoplites face au peu de piquiers nubiens leur faisant face, la victoire est proclamée:
Les mois suivant marquent la pacification de Suse, nous avons évité une révolte de justesse! Une bien mauvaise nouvelle vient cependant troubler le repos de nos armées, les cités libres grecques assiègent Tarsus! Qu'ont-ils donc venir à chercher ici, alors que les Macédoniens leurs volent des cités, et que Cléitos est à portée pour affirmer la présence de l'empire Séleucide?
Re: Basileus Nikatôr
Posté : mer. déc. 24, 2008 4:04 pm
par von Aasen
Le corps expéditionnaire grec est massacré au prix de la mort de Cléitos, notre meilleur commandant du secteur ...
Celà tombe très mal, puisque les Egyptiens profitent de l'absence de nos forces pour assiéger Antioche avec une armée plus puissante que jamais.
Damas est assiégée également, et pour combler le tout, le Pont envoie une armée assiéger Tarsus ... Il faut donc réagir! Le général Kassandros qui a réussit à s'échapper de Damas, prend le commandement des troupes de feu Cléitos et écrase une armée égyptienne tentant de contourner Antioche:
Les Dieux semblent s'être conjurés pour forcer la fin de l'Empire Séleucide! Damas tombe après que la population se soit révoltée et ait massacré la garnison, laissant le champ libre aux Egyptiens. De plus, l'armée du Pont donne l'assaut sur Tarsus et emporte sans grandes difficultés la décision.
Pire, les Leucosyriens massacrent la population, ces barbares ne l'emporteront pas aux Champs Elysées!
Des membres éminents de notre famille ont été assassinés à Damas ...
La situation est abyssale, Aristarque réfléchit à envoyer un messager commander à Gyras de Sardès de prendre Pergame (cité grecque) pour compenser ces pertes, car le trésor royal est à sec, et l'empereur doit déjà recourir à des marchands peu recommandables pour lui prêter de l'or.
Re: Basileus Nikatôr
Posté : ven. déc. 26, 2008 8:17 pm
par von Aasen
Les Egyptiens ne dorment pas et profitent de l'absence d'une armée de soutien séleucide pour s'en prendre à la maigre garnison d'Antioche. L'ennemi est presque deux fois supérieur en nombre. Aucun général n'est là pour défendre la capitale de l'empire! Selon le schéma établi lors des défenses précédents de cités, les phalanges les plus puissantes sont placées derrière les portes, tandis que diverses troupes de qualité inférieure se placent sur les remparts pour repousser des attaques annexes. Antioche est la première cité à disposer de solides murailles de pierre, d'où tirent des archers bien protégés. La majorité des Egyptiens prend le chemin le plus rapide vers la victoire, les portes de la ville:
Nos hoplites se battent comme des lions, écrasant l'ennemi pris d'une grande panique après les premiers revers. Les fuyards sont piétinés, le général égyptien perd sa vie à la tête de ses chariots de guerre, un magma infâme de chair et de sang couvre l'entrée d'Antioche ...
La situation est moins brillante sur les remparts, attaqués à l'aide de grandes tours de siège.
La retraite générale vers la place du marché est ordonnée pour ne pas offrir de flanc exposé aux Nubiens installé sur les murs. Une phalange de piquiers du Nil y est écrasée, le reste de nos ennemis restant tétanisés de peur et privés de commandement sur les murs. Le soir venu, ils s'enfuient à tout-va, c'est une victoire héroïque!
C'est surtout à la phalange du capitaine Alcée que nous devons cette victoire!
Des sacrifices en l'honneur des Dieux ont lieu dans tout l'empire!
Revenons aux évènements d'Ionie, où Gyras de Sardès marche sur Pergame. En cours de route, il balaye des miliciens grecs chargés de le ralentir; les archers crétois font peu de cas de cette marmaille sans expérience.
Pergame est assiégée, mais la reddition risque de se faire attendre, la cité contient assez de provisions pour tenir 2 ans, et le général grec compte bien tenir jusqu'au bout. Il est cependant improbable que des renforts grecs mettent Gyras en difficulté, Pergame étant seule sur le continent asiatique à l'exception de Rhôdes, et la Grèce est durement prise à partie par la Macédoine et les Romains.
Réjouissances? Sûrement, si Antioche n'avait pas été assiégée à nouveau par les suppôts de Ptolémée ... Cette fois-ci une armée de soutien pourra intervenir, mais celà suffira-t-il pour faire le poids?
Re: Basileus Nikatôr
Posté : ven. déc. 26, 2008 8:28 pm
par Urial
c'est le probleme des total war
tu est jamais tranquille, et des que tu as un ennemi, tu en prend 500 autres... puis le système et tellement flou qu'il n'y a aucune position strategique sauf les villes ... bref c'est trop brouillon pour moi

Re: Basileus Nikatôr
Posté : ven. déc. 26, 2008 9:43 pm
par von Aasen
Ca c'est parce que je joue en très difficile, mes revenus sont tronqués et ceux des Egyptiens multipliés, dur de prendre le dessus
A Rome Total War les ponts aussi sont des points stratégiques, idéaux pour une bataille défensive!
Je serais plus calme quand mes ennemis les plus "civilisés" seront aux tapis, ce n'est pas le Pont qui sera un grand problème en 150 av. J.-C.

Re: Basileus Nikatôr
Posté : dim. déc. 28, 2008 11:56 am
par von Aasen
La bataille décisive!
L'issue est claire rapidement, après quelques maigres succès initiaux, nos phalanges plient sous la force du nombre, et se font massacrer par la cavalerie et l'infanterie légère les poursuivant, calamité!
Voilà notre armée de soutien détruite, les finances ne permettent de lever aucun renfort à Séleucie. Antioche est livrée à elle-même! La seule armée en campagne de tout l'empire reste celle de Gyras de Sardès à Pergame. Le coeur de l'empire est menacé, et qui sait ce qui adviendra du reste s'il venait à être perdu?
Re: Basileus Nikatôr
Posté : dim. déc. 28, 2008 12:46 pm
par Elvis
Bref, ca craint pour l'Empire....

Re: Basileus Nikatôr
Posté : dim. déc. 28, 2008 1:03 pm
par GA_Thrawn
Bon courage pour rattraper la situation.
Mais j'ai confiance dans tes talents de stratège!

Re: Basileus Nikatôr
Posté : dim. déc. 28, 2008 6:10 pm
par von Aasen
Le prochain mouvement de nos ennemis était prévisible: l'assaut d'Antioche. Nos armées décimées se préparent à l'ultime défense ...
La porte est tenue comme toujours par nos meilleurs hommes, les Egyptiens s'entêtent à vouloir y faire leur percée (leur manque d'engins de siège n'y est sûrement pas pour rien), malgré nos sarisses qui leur barrent le chemin. Le résultat est celui escompté par nos stratèges: nos hommes ne flanchent pas, leur discipline est également assez grande pour ne pas rompre la formation et poursuivre des fuyards. Pratiquement aucune perte n'est à déplorer.
Les remparts sont plus menacés, mais les Egyptiens finissent par reculer. L'armée ennemie est complètement écrasée, Antioche tient une fois de plus!
Après l'annihilation de notre armée de soutien et la fin du siège de la capitale, nos finances se portent mieux:
Une bien triste nouvelle vient troubler l'euphorie du gardien du trésor: l'empereur Aristarque; qui nous a mené glorieusement à travers tant d'années difficiles, meurt de vieillesse. Son successeur n'arrive pas à sa cheville ...
Pour ajouter la blessure au regret, nous apprenons que Gyras s'est fait battre par deux armées grecques à Pergame. Les pertes ont été lourdes des deux côtés, mais il s'agit bien de la fin d'un siège prometteur. L'attaque est remise à plus tard. Les économies massives dues à ce massacre de nos mercenaires (aux tarifs ma foi scandaleux) sont réinvesties dans l'infrastructure de l'empire. Casernes, champs, égoûts et temples sont construits à travers les cités pour soutenir le prochain choc. Une armée de campagne est doucement mise sur pied à Séleucie. La garnison d'Antioche est remise à niveau.
Juste à temps pour une nouvelle attaque égyptienne par ailleurs, mais sa confiance dans la solidité des murs de cette cité désormais légendaire lui fait accomplir des prouesses inégalées:
Peu après cette défaite tonitruante, les Egyptiens reviennent une enième fois à la charge et assiègent à nouveau Antioche avec une solide armée. Les bergers du Pont reviennent eux aussi, mais sont devancés par leurs alliés ptoléméens. La seule bonne nouvelle est l'entrée en guerre de la Numidie contre l'Egypte, ce qui pourrait divertir un bon nombre de troupes ennemies!
Re: Basileus Nikatôr
Posté : dim. déc. 28, 2008 6:12 pm
par von Aasen
Elvis a écrit :Bref, ca craint pour l'Empire....

Oui va falloir se sortir les doigts de l'hoplon
GA_Thrawn a écrit :Bon courage pour rattraper la situation.
Mais j'ai confiance dans tes talents de stratège!

Si seulement la situation économique était moins tendue ...
Merci pour les encouragements, j'en aurai fort besoin

Re: Basileus Nikatôr
Posté : mer. déc. 31, 2008 6:07 pm
par von Aasen
Une fois les Egyptiens repoussés à nouveau, la garnison se doit d'affronter le Pont, dont les armées sont menées par Cotys de Chabacta, chef de guerre réputé. Il emmène avec lui les chars scythes qui font la terreur de l'Occident.
Ces derniers sèment la pagaille dans nos rangs, et il est fort à parier que nos troupes ainsi malmenées auraient lâché prise si elles avaient été moins expérimentées.
Mais une fois cet avantage empalé le long de nos sarisses, la victoire nous tend à nouveau la main:
En Ionie, un nouveau général séleucide se fait remarquer, Euenus Philadelphus. Il brille par sa prudence surtout, se retirant d'un siège peu prometteur de Pergame, pour ensuite intercepter des corps grecs isolés. Il frappe rapidement et sûrement avec ses archers, dispersant l'infanterie ennemie avec qu'elle puisse s'en prendre à sa milice hoplite au moral et aux armes fragiles. Au cours des années, il devient l'un des commandants les plus en vue de l'armée, bien devant Gyras de Sardès qui se borne à mettre Nicomédie au pas!
Cotys de Chabacta lance un nouvel assaut sur Antioche, mais est repoussé de manière tout aussi sanglante qu'a son habitude. Aberkios devenu majeur, la ville dispose désormais d'un général capable!
La faiblesse du Pont nous conduit à assiéger Tarsus, que nous ne manquerons pas de piller pour refaire une santé à nos finances.
Le trésor est en effet à sec, la plupart de nos villes étant surpeuplées et au bord de la révolte. C'est la conséquence d'années de négligence, tout l'argent ayant dû être investi dans l'armée et non dans l'infrastructure. Les gouverneurs peinent à maintenir la population sous contrôle. Les impôts sont au plus bas pour apaiser les petites gens, mais celà les pousse à avoir plus d'enfants, rendant le problème de surpopulation encore plus criant et créant un cercle vicieux menaçant d'engloutir l'empire. Une guerre civile nous attend-elle?
Re: Basileus Nikatôr
Posté : mer. déc. 31, 2008 6:13 pm
par Elvis
von Aasen a écrit :
Cotys de Chabacta lance un nouvel assaut sur Antioche, mais est repoussé de manière tout aussi sanglante qu'a son habitude. Aberkios devenu majeur, la ville dispose désormais d'un général capable!
En tout cas, s'il fait des prouesses sur le champs de bataille le jeune Aberkios, ce n'est pas le cas dans le lit des femmes d'Antioche....

Re: Basileus Nikatôr
Posté : mer. déc. 31, 2008 6:43 pm
par griffon
la cav cataphractaire Seleucide est célèbre !
en as tu ?

Re: Basileus Nikatôr
Posté : mer. déc. 31, 2008 7:05 pm
par Bob Terrius
En parlant des combats de porte, j'ai vu une armée 6 fois superieur en nombre se faire exterminer en essayant de passer par la porte (qui avait l'amelioration permettant de jeter de l'huile bouillante ou de la poix enflammé).
Surement l'un des points faibles de Total war.
Re: Basileus Nikatôr
Posté : jeu. janv. 01, 2009 12:42 pm
par von Aasen
Elvis a écrit :En tout cas, s'il fait des prouesses sur le champs de bataille le jeune Aberkios, ce n'est pas le cas dans le lit des femmes d'Antioche....

Laisse-lui un peu de temps, déjà qu'il s'occupe de rimes grivoises
griffon a écrit :la cav cataphractaire Seleucide est célèbre !
en as tu ?

Non pas pour l'instant, et ça ne risque pas de venir rapidement! Je ne dispose ni des bâtiments nécessaires, ni des finances laissant envisager un tel investissement, même à long terme ... Le sort de l'empire repose sur l'infanterie, simple mais solide et relativement simple à entretenir. Les meilleures troupes dont je dispose sont des phalanges de piquiers longs et des mercenaires archers crétois que je recrute en Asie Mineure.
Bob Terrius a écrit :En parlant des combats de porte, j'ai vu une armée 6 fois superieur en nombre se faire exterminer en essayant de passer par la porte (qui avait l'amelioration permettant de jeter de l'huile bouillante ou de la poix enflammé).
Surement l'un des points faibles de Total war.
Oui l'IA est un peu faible sur les sièges, mais il ne faut pas la sous-estimer non plus, je profite à 100% de l'avantage que me confèrent les phalanges aux portes, mais ma défense est loin d'etre insurmontable. Le chaos crée par les chariots de guerre scythes a montré les limites de ce système. Sans parler des tours de siège et échelles ennemies ...
Re: Basileus Nikatôr
Posté : ven. janv. 02, 2009 11:32 am
par von Aasen
La situation s'aggrave considérablement après une défaite de notre armée en Ionie:
puis une révolte à Suse, devenue quasiment intenable en raison d'une surpopulation énorme,
suivi d'un nouveau siège d'Antioche par les Egyptiens ...
nonobstant la destruction de la garnison de Sardès par une armée du Pont:
Pratiquement toutes les villes de l'empire sont à court terme livrées aux aléas de la révolte, trop éloignées de la capitale, incontrôlables. L'empire morcelé, dispersé, divisé ne peut survivre ainsi. L'avenir ne semble pas brillant:
- possibilité 1: devenir un protectorat de l'Egypte et espérer qu'ils nous protègent de tous nos ennemis, tout en leur payant un lourd tribut annuel
- possibilité 2: combattre jusqu'au bout comme avant, les révoltes devraient avoir raison de l'empire rapidement si l'on exclut Antioche
- possibilité 3: repli général sur Antioche avec toutes les armées, destruction de toute l'infrastructure des cités abandonnées, attaque de Rhôde et Tarsus avec les forces libérées, renaissance de l'empire autour d'un noyau compact et économiquement viable.
Re: Basileus Nikatôr
Posté : ven. janv. 02, 2009 11:55 am
par Urial
le plus simple est de faire profil bas et d'attendre des jours meilleurs ! je propose que tu devienne un protectorat !
Re: Basileus Nikatôr
Posté : ven. janv. 02, 2009 11:57 am
par Elvis
Moi, je vote pour le choix no 3 :
Resserer et assurer les communications au sein de l Empire pour repartir sur des bases saines...
Mais Antioche est elle la meilleure option pour cela : La ville se trouve sous la menace permanente des Egyptiens, qui semblent etre les ennemis les plus puissants de l'Empire ?
Re: Basileus Nikatôr
Posté : ven. janv. 02, 2009 12:30 pm
par von Aasen
Urial a écrit :le plus simple est de faire profil bas et d'attendre des jours meilleurs ! je propose que tu devienne un protectorat !
Mais l'honneur?
Et qui te dit que les Ptoléméens nous traiteront avec faveur?
Elvis a écrit :Moi, je vote pour le choix no 3 :
Resserer et assurer les communications au sein de l Empire pour repartir sur des bases saines...
Mais Antioche est elle la meilleure option pour cela : La ville se trouve sous la menace permanente des Egyptiens, qui semblent etre les ennemis les plus puissants de l'Empire ?
C'est aussi la ville la plus sûre avec ses murs et sa garnison de vétérans! De plus, elle est extrêmement riche et située près de villes presque aussi riches, tout en étant dotée de la meilleure infrastructure

Re: Basileus Nikatôr
Posté : ven. janv. 02, 2009 12:31 pm
par Elvis
Alors va pour Antioche !
Tu nous mets une petite carte de la region stp ?
Re: Basileus Nikatôr
Posté : ven. janv. 02, 2009 9:42 pm
par loda
Choix n°3 aussi: perdre A1ntioche, c'est perdre ses meilleures unités et sans doute ses meilleurs revenus...
Par contre, j'essayerais de faire la paix avec les grecs et le Pont afin de me consacrer aux égyptiens, de loin les plus dangereux et qu'on ne peut pas laisser se développer sous peine de ne plus pouvoir les contenir ensuite

Re: Basileus Nikatôr
Posté : sam. janv. 03, 2009 5:14 pm
par GA_Thrawn
Solution n°3: Un beau Gotterdammerung en détruisant toutes les villes intenables et un repli dans le réduit alpin.

Re: Basileus Nikatôr
Posté : sam. janv. 03, 2009 9:01 pm
par von Aasen
Zeuxis de Séleucie, le nouvel empereur, décide d'abandonner toutes les cités de l'empire pour se concentrer uniquement sur Antioche. À l'exception de Séleucie qui reste intacte et dotée d'une garnison de miliciens, toutes les armées séleucides tentent de rallier Antioche.
Aucune délégation diplomatique ne parvient à des résultats autres que l'offre de puissances ennemies visant à nous transformer en minables vassaux ...
Toutes nos cités sont brûlées, le bétail emmené avec les hommes d'armes ou massacré, les champs saccagés, les puits empoisonnés, les esclaves égorgés et les trésors pillés. Aucun retour en arrière n'est possible ...
Notre armée d'Ionie, ralentie par le convoi de fuyards et de biens pillés qui l'accompagne se fait annihiler sous le commandement de Gyras de Sardès par une armée grecque, tandis que de graves troubles à l'intérieur de nos murs viennent mettre en péril mortel nos plans:
L'ordre public ne pouvant plus qu'être amélioré grâce à une fin du siège que nous inflige les Egyptiens, Aberkios se résoud après de longues hésitations à chercher la bataille. Toutes provocations s'avérant vaines, il faudra affronter l'ennemi devant la ville, sans pouvoir compter sur la protection des murs d'Antioche, lavés du sang d'innombrables ennemis ayant tenté de forcer son entrée ...
Ne nous attardons pas en détails. La garnison d'Antioche, l'élite de l'élite, vainqueur des scythes, de deux armées leucosyriennes et de 15 armées ptoléméennes, s'écrasa sur le front de phalanges égyptiennes, ravagée par les billes de plomb des frondeurs et les flèches enflammées des archers de Pharaon. La fuite lamentable fut néanmoins stoppée à l'intérieur de la ville. La bataille était perdue, mais la ville encore entre nos mains.
À moins d'un miracle, la cité impériale tombera à la saison prochaine, l'ordre public étant devenue une notion fantaisiste à Antioche: les soldats blessés jonchent les rues tandis que des émeutes éclatent partout pour faire main basse sur de la nourriture, des espions égyptiens présumés sont lynchés sur place et des roublards de tous bords profitent de l'effondrement de l'autorité impériale pour piller à loisir.
Séleucie et la Babylonie l'entourant devient ainsi la seule forteresse restante de la dynastie Séleucide.
Re: Basileus Nikatôr
Posté : dim. janv. 04, 2009 9:47 am
par loda
Dur dur hein?
Je me rappelle avoir fait qq campagne avec l'empire Seleucide, sans jamais avoir été bien loin
Enfin, c'est quand même autrement plus passionnant que de jouer les romains

Re: Basileus Nikatôr
Posté : dim. janv. 04, 2009 11:02 am
par von Aasen
En niveau normal c'est une faction passionante à jouer, en niveau très difficile, y a du défi je trouve

Remarquons que je suis chanceux, l'Arménie a été en paix avec moi la majorité du temps

Re: Basileus Nikatôr
Posté : dim. janv. 04, 2009 11:19 am
par loda
von Aasen a écrit :En niveau normal c'est une faction passionante à jouer, en niveau très difficile, y a du défi je trouve

Remarquons que je suis chanceux, l'Arménie a été en paix avec moi la majorité du temps

L'étendue importante du territoire favorise les révoltes, et le nombre important de ses voisins rend toute survie bien compliquée au Séleucide...
Si les grecs et le Pont ne sont pas très forts, les Ptolémés sont très puissants et reviennent sans cesse à la charge avec de nouvelles armées vu les villes très riches qu'ils possèdent

Re: Basileus Nikatôr
Posté : dim. janv. 04, 2009 11:51 am
par von Aasen
Surtout qu'ils sont dépourvus de problèmes de loyalité pendant longtemps avec les Pyramides, et ne sont "menacés" que par les Numides, dont la puissance militaire dans la région est franchement risible.
J'aurais dû plus m'étendre en direction du Pont et de Sidon, cité égyptienne, mais mon expansion était moins planifiée que dûe à d'heureux hasards, notamment l'absence de garnisons ennemies.
À noter quand même que la prise de Suse handicape énormément les Parthes, qui n'ont plus réussi à mettre sur pied une armée digne de ce nom jusque là! Par contre la ville ne peut être tenue qu'avec de grands investissements dans l'infrastructure locale.
Re: Basileus Nikatôr
Posté : mar. janv. 06, 2009 11:12 am
par von Aasen
Après la chute d'Antioche et les ultimata d'usage des divers têtes couronnées d'Asie, Zeuxis, dernier héritier de la dynastie séleucide, se prit la vie en s'enfoncant une lance dans la poitrine. L'Empire Séleucide avait vécu.
C'est ici que je dois fermer le livre comptant l'épopée de nos ancêtres. Pardonnez-moi si j'ai été par moment trop pris dans la folie des évènements qui amenèrent la perte des Séleucides et usé du "je" et du "nous". La réalité est difficile à accepter pour moi et ma famille, reclue depuis d'innombrables générations dans des grottes isolées de Parthie. Un jour, des hommes courageux retrouveront mes écrits et s'étonneront des faits héroïques d'un peuple oublié. Un jour, quelqu'un reprendra la flamme de Séleucos, le vainqueur ...
Re: Basileus Nikatôr
Posté : mar. janv. 06, 2009 12:20 pm
par loda
Déjà la fin, dommage... :(
Peut-être une nouvel AAR avec Carthage?

Re: Basileus Nikatôr
Posté : mar. janv. 06, 2009 12:24 pm
par GA_Thrawn
Je m'y suis remis du coup et c'est vrai que les phalanges sont redoutables... Mon infanterie à du mal à tenir façe à eux.
Du coup je ravage la Grèce pour me venger.

Posté : mar. janv. 06, 2009 5:52 pm
par Bartimeus
Les phalanges, une arme à double tranchant !!! Perso j'ai jamais été trés a l'aise avec les phalanges.... Je préfère de loin les barbars au milieux des forets ou les légion romaine, je pense que je me débrouille meme mieux avec les peuples de cavalier dans le genre PArthe/Sythe/Arméménien. En tout cas bravo c'etait un jolie AAR !!!
Re: Basileus Nikatôr
Posté : mar. janv. 06, 2009 7:30 pm
par von Aasen
loda a écrit :Déjà la fin, dommage... :(
Peut-être une nouvel AAR avec Carthage?

J'y ai pensé aussi
Mais ce ne sera pas pour tout de suite, pour le moment je ne dispose pas de PC pouvant faire tourner RTW
Bartimeus a écrit :Les phalanges, une arme à double tranchant !!! Perso j'ai jamais été trés a l'aise avec les phalanges.... Je préfère de loin les barbars au milieux des forets ou les légion romaine, je pense que je me débrouille meme mieux avec les peuples de cavalier dans le genre PArthe/Sythe/Arméménien. En tout cas bravo c'etait un jolie AAR !!!
GA_Thrawn a écrit :Je m'y suis remis du coup et c'est vrai que les phalanges sont redoutables... Mon infanterie à du mal à tenir façe à eux.
Du coup je ravage la Grèce pour me venger.

En effet les phalanges sont très puissantes, mais seulement si bien utilisées et dans des situation particulières (flancs bien couverts par de l'infanterie polyvalente ou des murs). Les factions macédoniennes ont un avantage supplémentaire, les lances plus longues, pratique pour éradiquer les phalanges classiques.
En tous cas merci d'avoir suivi

Re: Basileus Nikatôr
Posté : dim. avr. 26, 2009 11:06 pm
par Leaz
Aaah le newbiiiie !! Perdre avec les Séleucide la honte
Trés bon Aar cependant, c'est simpa de voir la défaite de temps en temps plutot que des conquêtes du monde sans fin.. !
Tiens ça ma donner envie de rejouer a RTW avec le mod total realism

Re: Basileus Nikatôr
Posté : mer. avr. 29, 2009 12:52 pm
par univerzz
Juste une question d'ordre pratique: comment peut on jouer toutes ces factions ?
J'ai bien RTW, patch 1.6, Barbarian Invasion et même l'extension Alexandre mais je ne trouve nulle part la possibilité de les jouer ( A part les barbares en mode campagne dans les "invasions" ).

Re: Basileus Nikatôr
Posté : mer. avr. 29, 2009 1:45 pm
par von Aasen
Leaz a écrit :Aaah le newbiiiie !! Perdre avec les Séleucide la honte
Trés bon Aar cependant, c'est simpa de voir la défaite de temps en temps plutot que des conquêtes du monde sans fin.. !
Tiens ça ma donner envie de rejouer a RTW avec le mod total realism

Prends les Séleucides en très difficile, tu m'en donneras des nouvelles
univerzz a écrit :Juste une question d'ordre pratique: comment peut on jouer toutes ces factions ?
J'ai bien RTW, patch 1.6, Barbarian Invasion et même l'extension Alexandre mais je ne trouve nulle part la possibilité de les jouer ( A part les barbares en mode campagne dans les "invasions" ).

De mémoire il faut d'abord terminer une campagne romaine. Ou trafiquer les fichiers du jeu

Re: Basileus Nikatôr
Posté : mer. avr. 29, 2009 2:16 pm
par univerzz
Oki, merci

. Comme ma partie avec les Bruti est fort intéressante, je vais prendre le temps de la terminer et voir avant de me lancer dans les trafics de fichiers.
Re: Basileus Nikatôr
Posté : mer. avr. 29, 2009 9:40 pm
par Leaz
Ou alors tu passe a un vrai jeu historique et tu télecharge le mod "total realism", ou tu a toute les factions de disponibles, une carte remaniée avec plus de villes dans les zones "civilisés" de l'époque, une carte étendue jusqu'a l'Indus, toutes les unités revues et corrigés, un nouveau système de batiment, etc. etc.

Re: Basileus Nikatôr
Posté : jeu. avr. 30, 2009 1:14 pm
par univerzz
Ca m'a l'air intéressant tout ça

: où peut on le trouver et est il compatible avec ma version actuelle ?
Re: Basileus Nikatôr
Posté : jeu. avr. 30, 2009 4:59 pm
par jmlo
Tout les mods total war se trouve sur le site twcenter :
http://www.twcenter.net/forums/forumdisplay.php?f=197
c'est une adaptation du vieux RTR de base (qui marchait avec le patch 1.2 de rome )
Perso je préfère EB mais s'il est buggé maintenant...

Re: Basileus Nikatôr
Posté : ven. mai 01, 2009 1:50 pm
par Leaz
Re: Basileus Nikatôr
Posté : sam. mai 02, 2009 9:13 am
par univerzz
Oki, merci

. Je regarderai cela dès que je me lasserai de ne pas trouver Lutèce en Gaule sur la carte de base

.