Le Quartier Général

Bonjour. Voilà, c'est ici que nous pourrons relater nos hauts faits d'armes et mettre en oeuvre nos idées machiavéliques en diplomatie...

Si possible, pour garder une bonne lisibilité de l'AAr, ce serait cool de pas "poluer" le topic. Pour tous commentaires, réglemtns de comptes etc. aller plutot dans le topic "organisation"

Déclaration du Royaume de France -janvier 1453



Par le Roy Charles le Septième, réunificateur de la France et grand occiseur d'Anglois, voici que nous envoyons à tous les souverains d'Europe la suivante déclaration :

Nous ne souhaitons afficher par la présente que notre volonté de paix en Europe, et d'unification des Royaumes et des duchés chrétiens sous la bannière Sainte de la Foi, et sous l'approbation de la très Sainte Eglise Catholique Apostolique et Romaine.
Néanmoins, nous tenons à affirmer notre nette résolution concernant la reconquète de la France face au spoliateur anglois qui pille, viole, et martyrise nos régions. Déjà, le Grand Charles VII a écrasé les anglois à maintes reprises, et désormais, seules 2 provinces sont entre les mains de la perfide Albion. Nous réclamons la cession immédiate de la Gascogne à la couronne de France. Mais comme nous l'avons dit plus tôt, nous sommes engagés pour la paix en Europe, aussi, afin de garantir cette paix, il convient de ne pas humilier ou demander trop à un Royaume en difficulté. Ainsi, nous ne demanderons pas Calais, nous nous contenterons de l'acheter à l'Angleterre. Qu'en pensez vous ?
Cela nous parait tout à fait raisonnable.

Concernant l'Autriche, gageons que ce petit pays par la taille soit à même de défendre l'Occident chrétien face à la menace grandissante des barbares mahométans. Pour cela, il convient de défendre le Royaume Hongrois, premier rempart de l'Europe, mais également de permettre à la République de Venise de géner l'expansion ottomane, en lui laissant ses territoires d'Istrie.

A la Castille, nous vous proposons ceci : étant donné votre alliance avec l'Aragon, pourquoi ne pas profiter de vos bases de Sicile pour organiser la 10e croisade, la croisade ultime qui délivrera tout les lieux siants de la chrétienté ?
Bien entendu, cela mérite réfléxion, ainsi qu'une organisation pointilleuse qui mettre du temps à aboutir. Qu'en pensez vous ?

A la Suède : votre territoire est bien pauvre, gageons que vous puissiez le rendre fertile. Néanmoins, respectez le Royaume de Moscovie à vos portes, qui est la aussi un rempart face aux barbares Mongoles musulmans. Bien que ceux ci soient orthodoxes, ils peuvent servir la cause chrétienne en défendant l'Europe.[/img]

L'Europe en 1453: de grands changements s'annoncent

ce maudit jésuite de Coelio

avait cent fois raisons !

15 ans apres la chute de Constantinople

voila ou nous en sommes !

et pendant ce temps l'empereur d'Autriche ripaille !



et pour répondre a son excellence le roy de France (et pas de Navarre)

nous souverains de Castille et d'Aragon

pensont qu il est plus que temps

de mettre un frein a l'apétit monstrueux

de celui qui prétend regner sur Constantinople la sainte !

pour ce faire , dans l'urgence , nous allons nous

impliquer tres fort en Italie , la prochaine cible de ces suppots de Satan !

Chroniques de Suède
par Toucossen Djenberg

*1453 ou la fin de l'ingérance du Danemark en Suède*

Notre frêle petit pays décide de rompre avec le Danemark, le peuple suédois acceptant mal d'être asservi et rançonné pour enrichir le dévelopement du danois.
Ainsi c'est en Mai qu'a lieu à Stokholm une grande insurrection anti-danoise,
" la libertée ou la mort" scande le peuple suédois.
L'insurrection prend vite de l'ampleur et c'est bientôt tout le pays qui réclame le départ des garnisons danoises et la fin de l'union dynastique de Kalmar.
Le Danemark occupé a gerroyé en allemagne et troublé par de nombreuses révoltes sur son propre territoire est dans l'incapacité de réagir et est forcé de retiré ses soldats de Suède.
La Suède retrouve enfin sa liberté !
Néamoins gageons que le puissant Danemark garde un oeil attentif aux évenement et mache son amertume et prépare sa revanche.

Sereinement l'Unionstadt qui dirige dorénavant le pays décide d'augmenter le nombre de navires de guerre pour parer à une éventuelle invasion danoise, c'est ainsi que les suédois conscentent à un grand effort financier et nous pouvons dorénavant compter sur une flotte de 55 vaisseaux ce qui ne sera pas de trop pour maitenir l'amrada danoise en respect en cas de conflit.
Dans tout le pays une administration moderne et fidèle au gouvernement se met en place afin d'éviter la corruption et de remplir les maigres coffres désespérément vide du Trésor.

*La patrie en danger*

Pour l'instant le pays continue sa marche vers la liberté mais la route est longue et déja des rumeurs circule dans tout le pays, Le Roi Danois aurait signé une trêve avec les nobles allemands et aurait donné ordre a son armée de se placer au frontière de notre pays pour y rétablir son autorité.
La Suède entière tremble mais de tout le pays afflue des volontaires.
De tout le pays une seule clameur s'élève, celle de la liberté et de sa défense, repoussons les Danois et pourquoi pas ensuite délivrer tout les peuples scandinaves des chaines de la soumission.
Peuple de Suède faisons triompher la liberté !

De la France au Roy de Castille
Vous prétendez vouloir vous "impliquez très fort" en Italie. Sachez dès lors que le royaume de France ne vous permettra pas d'étendre votre influence plus avant dans la péninsule.
Nous avons l'intention de partir en expédition punitive contre le Royaume de Toscane qui a annexé les Etats du Pape. La clicque d'hérétiques qui s'y est installé a rataché le tiers des possessions de l'héritage de Pierre à son territoire. De même, les chevaliers ont pris Ravenne et la province de Marche. Cela ne peut être toléré ! Nous devons rétablir les territoires de la papauté !
Nous sommes prets à accepter votre contribution pour construire cette expédition militaire, mais sous notre comandement propre, car c'est à nous qu'il convient de défendre le Pape. En nous aidant, vous montrerez au monde votre juste soumission à l'Eglise, et vous gagnerez notre estime.
Si jamais vous décidez d'intervenir sans notre consentement en Italie, cela équivaudra pour nous à un Cassus Belli.
Sachant que nous sommes le plus riche royaume du monde connu, sachant que nous disposons d'un formidable gisier de nobles cavaliers impétueux et braves, vous n'en méneriez pas large devant un conflit avec nous ( nous avons vu la difficulté que vous avez éprouvé, rien que pour reprendre Gibraltar).

« Approchez, mes bons conseillers, approchez, j’ai à vous parler ». Les yeux baissés et après s’être humblement incliné devant celui qu’on surnommait ‘Le Glaive Rouge du Prophète’ , les conseillers attendaient, tremblant mais aussi plein d’espoir : allaient-ils être châtié ou récompensé ? Mais c’est pour une tout autre raison que Mehmed II, le glorieux Sultan, les avait convoqués : « J’ai appris que certains souverains... chrétiens... nous qualifiaient de goinfre... Ces ignorants ignorent-ils donc tout de mes moeurs ascétiques ? Mon glaive et mon cheval, je ne demande rien de plus pour faire triompher la volonté d’Allah ! »

Stupeur et consternation : le Sultan se souciait-il donc de ce que pensaient les infidèles ? Étaient-ils seulement capables de penser ? Et pourquoi se soucier de ces grossières accusations ? Caressant son glaive, le Sultan les fit sursauter : « J’attends ». Il fallait répondre, leur vie en dépendait et Ali Ben Youssouf, le plus sage, ou le plus téméraire, osa relever timidement la tête pour s’enquérir : « Mais... les infidèles parlent certainement de vos glorieuses conquêtes » « Le Glaive Rouge du Prophète ne fait qu’exécuter la volonté d’Allah et rien de ce que nous avons fait ne devrait effrayer l’infidèle » « L’infidèle a peur de son ombre et attachait une importance symbolique à Byzance »

« Constantinople, rectifia sèchement le Sultan, et cela ne peut certainement pas être la cause de ces remarques désobligeantes à ma noble personne : Byzance, tout comme Trébizonde, était un pur anachronisme destiné à disparaître. Nous avons apporté du sang neuf à ces provinces décrépites et la possibilité de connaître un nouvel essor. Nous sommes trop bon en fait » « Gloire à Mehmed II ! »

« Et Venise... ces chiens armaient des pirates qui ruinaient le commerce, musulman et catholique : la méditeranée était devenue une fosse à serpent et les nations chrétiennes ne pouvaient plus bénéficier des loingtaines épices de l’orient. Nous avons une fois de plus été trop bon : nous sommes intervenu pour rétablir la sécurité commerciale pour tous, arrachant aux pirates leurs bases vénitiennes, à savoir l’Ionie, la Dalmatie et Raguse. La Crête fut préservée, comme le souhaitaient les espagnols : s’ils veulent cette île, grand bien leur fasse, mais qu’ils la prennent alors et empêchent les Vénitiens d’ y laisser libre accès aux pirates »

« La Bosnie alors ? » « Ce royaume était notre vassal ! Le droit féodal, notion bien chrétienne, nous autorisait, non nous obligeait, à réagir : cette annexion n’est rien » « Il ne reste dans ce cas que la Hongrie mais... » « Ridicule. Ces barbares sanguinaires avaient sauvagement annexé la Serbie et poussaient devant eux des centaines de milliers de réfugiés, qui sont venu chercher asile et sécurité ici, dans mon empire. Je les ai écoutés, ils m’ont convaincu et j’ai décidé de libérer leur pays meurtri par le barbare » « Gloire à Mehmed II ! »

« Mais cela n’est pas tout ! Les riches plaines hongroises nous fournissaient du blé, à nous et aux Autrichiens... ils ont subitement préféré le brûler plutôt que le vendre. A Vienne, c’était déjà la famine. L’occident chrétien nous reproche t-il d’être venu au secours des habsbourgs d’Autriche ? Maintenant, les Serbes sont à l’abris et nous contrôlons les riches plaines hongroises... les affameurs ont reçu la leçon qu’ils méritaient »

« Décidemment, pour toutes nos actions, il n’y avait, pour les chrétiens, qu’une seule réaction possible : nous remercier grandement pour nos bienfaits » « Oui, sans aucun doute, d’ailleurs goinfre doit certainement signier ‘personne sage, pacifique, protecteur glorieux, vénéré modèle, indomptable monarque... » « Je pense que vous avez raison. Vous pouvez disposer, c’était tout pour aujourd’hui : qu’il est bon de se savoir ainsi tant aimer non seulement dans son propre royaume mais aussi dans le reste du monde. Allah est grand ! » « Gloire à Mehmed II »

« Aaaah, comme je regrette ma jeunesse perdue... repartir, sabre au clair, charger l’infidèle hongrois, le décapiter puis continuer à chevaucher... les hongroises... C’était le bon temps ! « « La suite de votre immense règne, o lueur du ciel, fut certes plus difficile » « Ma mémoire n’est plus ce qu’elle était, rappelez à un vieillard ce qui s’en est suivi et ne m’épargnez : seul Allah peut me juger et ce jour est proche... en fait j’ai voulu le bien de tous... à ma manière... »

« Naturellement, votre bonté. Eh bien, après votre inégalable victoire contre la Hongrie, qui a tant fait trembler le monde chrétien, très prompt à paniquer il est vrai, nous avons reconstitué l’armée et nous sommes partis vers l’orient » « Contre nos frères » « Et nos alliés. Nous n’avions pas le bon droit avec nous, Allah nous en a puni » « C’est là que les désastres ont commencé » « En effet. Révoltes paysannes, soulèvement des nobles et, surtout, des montagnes, des montagnes et encore des montagnes ! » « Comment charger dans ces conditions ? En plus, il y avait des hordes innombrables ! Et même leurs femmes... c’est à peine si on pouvait les distinguer de leurs maris... il y a eu des erreurs d’ailleurs... mais passons... »

« Et c’étaient aussi de vaillants soldats : des sunnites, comme nous, pas des couards de chrétiens hongrois : l’Ak-Koyunlu nous a presque mis à genoux « « Et comment ! J’étais seul avec mes fidèles en Arménie, entouré d’ennemis, une défaite, une seule et le Glaive Rouge du Prophète trépassait prématurément, l’Empire sombrait dans le chaos ! Mais Allah ne m’a pas abandonné, IL est venu à mon secours et devant SA puissance l’ennemi terrifié a pris la fuite » « Et a proposé la paix... nul n’a compris pourquoi vous aviez refusé cette aubaine inespérée » « Le Sultan a connu des situations bien pires, il s’en est toujours sorti la tête haute : le tout est de ne pas paniquer et de prier très fort le Très Haut »

« Mais il a fallu emprunter... et si l’Empereur avait attaqué ? » « Il ne l’a pas fait car les vils affameurs hongrois ont repris leur embargo du blé contre lui. Il les a châtié, il a bien fait. Nos frontières, de toute façon, n’étaient pas sans défenses... » « Mais le Candar et la Crimée se sont alliés contre nous avec l’Ak-Koyunlu, rendant notre situation encore plus précaire » « Ces faux-croyants payeront pour leurs crimes et devront reconnaître tôt ou tard notre suprématie totale »

« Ils offraient l’Arménie et le Sochi » « Mais nous avons refusé car nous visions l’Arménie et le Daguestan, rien d’autre. La volonté du Sultan ne se discute pas : ce que nous décidons de faire, conformément à la volonté d’Allah, nous l’accomplissons toujours. Certains devraient prendre exemple » « Le roquet moscovite, votre lueur ? » « Ah, celui là, oui, il crie beaucoup et insulte tout le monde, notre immensité, l’Empereur et qui d’autre encore, mais toujours de loin, de très loin... Qu’il vienne donc se frotter à mes Janissaires s’il l’ose ou qu’il se taise à jamais. S’il m’irrite trop, nous irons à lui et Moscou sera en cendres dans les 12 mois » « Gloire à Mehmed II ! »

« Enfin, ce ne fut pas simple, mais nous y sommes arrivés : les mines d’or d’Arménie et le centre de commerce du Daguestan ont été annexés, nos emprunts remboursés et nous avons pu, après avoir reconstituer nos armées, arracher la Morée au duché d’Athènes » « Trois provinces en 14 années, l’inexorable expansion de l’Islam toucherait-elle déjà à sa fin ? » « Oh, non, mon bon serviteur, la prochaine vague sera aussi inexorable que la marée montante, mais il reste encore quelques détails à régler... mon fils aîné s’en chargera, moi je suis si fatigué, si las... enfin, au moins, nul ne pourra plus nous accuser d’être un ogre ou un goinfre : notre pacifisme est désormais avéré. Aaaah, ma jeunesse perdue, les plaines de Hongrie... c’était le bon temps »

Déclaration du Royaume de France -janvier 1482

Le Grand Roy Louis XI le Réunificateur


La France, qui en l'en de grâce 1453 n'était encore qu'un petit royaume, bien que plutôt riche, est devenu en 30 ans, sous l'égide de deux rois extraordinaires, le royaume le plus riche et le plus puissant du monde connus.
Grâce à l'habileté de nos diplomates, nous sommes parvenus à rallier à la couronne de France l'Orléanais et la Provence. Afin de ne pas nous faire passer pour des mangeurs de petits royaumes, nous avons également manipulés notre vassal orléanais en lui faisant annexé l'Auvergne, puis en l'annexant par la suite. La ruse du roy Charles VII n'avait pas de limites.
Et que dire du Roy Louis XI, qui va parachever l'oeuvre de feu son père en ralliant la provence à la couronne, et en vassalisant le Béarn et la Bretagne sans faire entendre les armes. Nous disposons désormais d'un territoire fort, unis, et cohérent. Nos revenus dépassent allègrement les 45 000 ducats par mois, et les 200 000 par an ! Partout les fonctionnaires du Roy permettent au royaume de s'affirmer comme le plus moderne d'Europe !



De plus, la France s'impose désormais comme le protecteur du Pape, puisque nos armées ont délivrés Rome des hordes toscanes, et que aucuns royaumes chrétiens n'a bougé le petit doigt pour venir en aide à sa Sainteté.
Nous nous proclamons également désormais comme le protecteur des Etats Italiens, et nous garantissons leur intégrité territoriale. L'ottoman est ainsi prévenu !
Enfin, nous avons réussi, en garantissant l'indépendance du Béarn juste à temps, à empêcher les troupes de Castille, qui est devenue l'Espagne, de débuter une campagne militaire contre notre vassal.

Bref, la situation est au mieux que cela puisse être.
Vive le Roy ! Vive la Couronne de France !

1482 – 1494. Le lion sommeille, le repos du Juste, et se contente de chasser les mouches


Bayezid II succède à son glorieux père et poursuit sa politique débonnaire, pour ne pas dire pacifique. Dommage que les autres monarques européens ne peuvent suivre ce sage exemple : qu’y a t-il de plus agréable que la paix ?

Malheureusement, une mouche agaçante s’obstine à taquiner le fauve au repos, harcelant son commerce et parlant d’une vague prophétie divine qui annoncerait l’avènement de l’ordre de Saint-Jean en Europe. Ridicule. Comment ces pitoyables chevaliers pourraient-ils, à partir de leur trou perdu, conquérir la moindre province ?

Le Sultan, contraint et forcé, ouvre ainsi les hostilités pour étouffer dans l’oeuf ces prétentions ridicules : Rhodes est rapidement annexée et ses alliés, Wallachie et Moldavie, pour obtenir la paix, s’empressent de rembourser l’intégralité des dépenses effectuées par l’empire pour rétablir l’ordre et la sécurité en méditerranée.

Mais les comploteurs se sont réfugiés à Athènes et, follement, continuent d’agacer le placide Sultan, une nouvelle fois obligé de quitter sa riche bibliothèque pour prendre la tête d’un régiment de Janissaires. Comme Bayezid aurait préféré continuer à goûter aux délices de la paix ! Le vil duché d’Athènes est annexé, Candar est vassalisé.

L’annexion de Chypres par le Doge fou révèle au monde que les forces négatives, après Rhodes et Athènes, se sont réfugiées à Venise. Quelle tristesse, il faut de nouveau entrer en guerre . Quel bonheur, le digne Empereur d’Autriche a lui aussi pris conscience du danger vénitien et nous précède dans cette juste guerre de libération. Il est bon d’apprendre que certains souverains chrétiens sont aussi sage et pacifique que le Sultan 8) .

*1482-1492, l'émmergeance de la Suède*

Les mémoires de Toucossen Djenberg

Ha mon Dieu comme il parait bien loin le temps ou la Suède était un pays arriéré et méconnu de tous.
Le temps ou les danois étaient maîtres en terres suédoises est révolu, que dis-je ! Il est inversé!
En effet en une seule confrontation ces couards ont été écrasés, leur terres de Norvège presque entirement occupées, leur capitale même, l'oppulente Copenhague à été pillée par nos troupes, lavant l'affront de décennies d'humiliation.
Même la flotte danoise, l'une des plus grandes du monde à été ridiculisée par L'Escadre Bleue.
C'est ainsi que l'arrogant danois plia le genoux devant notre puissance et dût reconnaitre notre victoire en nous cédant 3 territoires dont la riche province de Skäne.
Après cette éclatante victoire le Prince du Holstein se plaça sous protection Suédoise, le protégeant ainsi du joug danois.

Les frontières avec le voisin danois sécurisées désormais nos regard se portait sur le Prince de Moscovie qui ne cessait de prendre de l'ampleur à l'Est.
Mais nous fûmes bien vite rassuré et un mariage royal scella une entente cordiale entre nos 2 puissances.
Le danois écrasé à l'ouest et une entente mutuelle avec nos voisins à l'est nous assura une paix durable.
C'est ainsi que l'Unionsrad qui dirige notre pays décida de promouvoir le commerce afin de combler les caisses du Trésor qui avaient été vidées par notre campagne danoise.
Nos négociants les plus habiles furent envoyés à Copenhague et en Moscovie ce qui nous assura un apport de ducats non négligeable.
Néamoins certaines puissances jalouses de nos succès s'empresserent de nous causer des dommages.

C'est ainsi que par un beau jour de de printemps arriva en port de Stokholm un navire en piètre état et dont la moitiée de l'équipage était manquant.
Le capitaine s'empressa de nous raconté ce qui s'était passé.
Une esacdre de navires Danois et d'autres au drapeau de l'Ordre Teutonique avaient attaqué par surprise nos commerçants.
Partout sur la baltique nos navires étaient menacés.
La situation était grave mais néamoins pas désespérée car notre principale flotte était regroupée en un même lieu et était oppérationelle immédiatement.
C'est ainsi que La Guerre de La Baltique débuta.
Le plan de l'Unionsrad était clair:
Bloqué l'accès de Copenaghe avec notre flotte et s'emparer de la capitale danoise au plus vite pour les forcer à se retirer du conflit pour ensuite se consacrer pleinement à chattier ses traitres de chevaliers teutoniques.

La marine danoise totalement dispersée fut incapable de briser notre blocus de Copenhague et fut inexorablement écrasée.
En quelques heures la garnison de la capitale essaya une sortie désespérée mais fut repoussée.
En quelques mois la ville fut prise et le Danemark se retira en nous cédant 350.000 ducats.
La suite fut une simple formalité pour nos troupes et notre flotte, les chevaliers furent laminés, toute leur possessions occupées, leur armée et flotte anéhantie.
Notre victoire fut scellé par la prise de 2 provinces.
C'était maintenant chose faîte la Suède devenait la puissance dominante de la baltique.
Une flotte de 65 navires, une armée d'environ 50.000 hommes et des finances saines, un pouvoir centralisé, La Suède pouvait à présent se projeter dans l'avenir, un avenir assurément brillant...

Stokholm, An de Grâce 1492

Chroniques de l’Empire Ottoman, 1494 – 1510

La guerre fait rage, triste spectacle pour le Sultan, homme de paix avant tout, mais il faut bien châtier Venise la folle et notre grand amiral Kemal Reis partit fièrement pour l’île aux pirates, la Crête, qui s’était remise de notre ‘nettoyage’ précédent. Le Sultan, lui, avait préféré combattre sur terre : le destin de l’empire aurait-il été bouleversé s’il avait fait le choix inverse ?

Toujours est-il que nos fières galères subirent une surprenante défaite contre les impies vénitiens, qui s’offrirent en prime la tête de notre amiral... Triste jour pour l’empire, qui, preuve de sa faculté d’innovation et d’adaptation, changea de tactique et envoya alors la flotte le long des côtes dalmates, où elle remporta victoire sur victoire.

Nos troupes terrestres complétaient le travail en traquant les pirates dans leurs trous infects : justice leur a été rendue, ils peuvent en rendre grâce au Sultan, chose qu’ils n’ont certainement pas manqué de faire lorsque les Janissaires, le verdict rendu, les ont balancés à la mer, lestés de plomb. Leur dernier voeu n’était-il pas de reposer pour l’éternité au fond des flots, dans cette obscurité marine aussi sombre que leur coeur ? Le Sultan est décidémment un homme bon et généreux, même avec ses ennemis.

Terrifié à l’idée de subir le même sort, le Doge fou se repent enfin et offre Corfou et Chypres en compensation des efforts ottomans. La sécurité du commerce méditerranéen est désormais rétablie et les envoyés des monarques chrétiens se pressent à Istanbul pour remercier le Sultan.

La paix, malheureusement, fut bien éphémère : l’alliance impie Pologne/Lithuanie attaqua en effet lâchement la Crimée, un royaume sunnite allié au Dulkadir et à l’Ak-Koyunlu. Le Khan était un homme fier, il refusa sottement l’offre d’assistance du Sultan qui, le coeur serré, dut se résoudre à se passer de sa bénédiction pour protéger son propre peuple : l’offensive fut lancée précipitamment et suivit un rythme effréné car il fallait à tout prix devancer les infidèles, et ce afin de protéger les valeureux musulmans, auxquels ces terres appartiennent de droit.

Quatre provinces tombèrent en cinq mois seulement, mais le Sultan, malheureusement, retardé par des pluies diluviennes, arriva trop tard au Lugansk, province la plus éloignée de la Crimée, que celle-ci céda lamentablement aux barbares lituaniens. Nul ne sait combien de temps les impies pourront conserver ces terres qui nous reviennent de droit. La menace chrétienne repoussée par nos soins, le Khan, enfin plus raisonnable et, surtout, éperdu de gratitude, nous remercia en nous offrant les provinces d’Azov, Kouban et Kalmuk. Le Dulkadir, lui, qui avait osé envoyer des pillards contre nous fut vassalisé de force.

Événement qui inspira le Sultan, décidé à s’essayer à la diplomatie : le Karaman se laissa doucement bercer par nos sages paroles et rallia notre alliance, l’Empereur, lui, se réjouit de pouvoir discuter ainsi entre hommes civilisés avec le glorieux Sultan. Nos bonnes relations avec Vienne sont pour nous une immense source de fierté : puisse celles-ci durer encore très longtemps. 8)

Le petit Duc de Moscovie ferait bien de prendre exemple sur nos grandeurs, lui qui, non content d’insulter honteusement notre ami autrichien, a eu l’audace d’attaquer ensuite nos frères de la Horde d’Or : nous le disons haut et fort, cessez de persécuter les musulmans en votre royaume et abandonnez votre réthorique guerrière sans quoi vous vous en repentirez un jour. Dieu lui-même vous punira de votre immense arrogance.

Il fallait aux musulmans un pouvoir fort, une bannière unique qui les rassemblerait et les unirait contre les menaces barbares. Fort de cette noble pensée, le glorieux Sultan demanda légitimement au Calife du Caire de se soumettre et de reconnaître la prééminence absolue de l’empire ottoman sur toutes les populations sunnites. Le vil osa refuser et nous insulta publiquement, il fallut donc réagir, pour la paix et la sécurité dans le monde, et, comme cela est navrant, reprendre le chemin de la guerre .

Le grand Vizir élabora un plan simple mais efficace : une vague de Janissaires partirait libérer le Karaman, dont les provinces étaient honteusement occupées par le Teke, un allié des Mamelouks, une autre prendrait rapidement d’assaut la province d’Adana et s’y retrancherait, sa mission principale étant d’attirer contre elle les furieuses contre-offensives ennemies et, naturellement, de les repousser. Pendant ce temps, le magnifique Sultan devait embarquer discrètement à Rhodes et traverser la méditerranée pour frapper l’ennemi en plein coeur, par surprise.

La campagne fut un succès complet : le Karaman, libéré par nos soins, put enfin annexer son ennemi héréditaire, le Teke, nos Janissaires repoussèrent inlassablement les hordes ennemies en Adana et le Sultan, lui, mit rapidement fin à la guerre en capturant le Caire et son méprisable Calife. Impressionné par tant de hardiesse et d’ingéniosité, le monarque mamelouk abdiqua et offrit en signe de repentir son grand royaume à notre vénéré Sultan . Telle est la situation actuelle du glorieux et pacifique empire ottoman. Dieu seul sait ce que l’avenir lui réserve.

Allah est grand et Mohammed est son prophète !

"Un peuple de pieux commercants"


Notre glorieux royaume avait vécu des heures sombres. L'Aragon, dirigé par l'arrogante famille catalane n'avait pas hésité à bafouer la volonté du Saint Père en nous empêchant d'accomplir notre mission évangélisatrice à Tangers, pendant que son protecteur madridilène tentait de faire oublier sa trahison envers le très Haut en lançant une série d'inquisitions. Hélas, l'incompétence de ses grands inquisiteurs eut pour nos provinces l'effet de voir arriver nombres de réfugiés injustement chassés par les sbires castillans. Notre bon Joao II eût, fort à propos, l'idée d'employer cette main d'oeuvre afin de continuer le dévelloppement de nos établissements commerciaux et d'étendre la seule vrai Foi à travers les terres que nos courageux explorateurs ne cessent d'ajouter à notre connaissance du monde.

Grâce à l'action du glorieux Portugal, canne à sucre, épices et tabac foisonnent désormais sur les étals d'Europe alors même que l'Espagne en songe qu'à installer des ports militaires à l'endroit que l'onappelle "nouveau monde" et ou désormais notre devoir nous appelle.

En 1495, notre bon Roy s'éteignait, laissant derrière lui un pays parfaitement administré, tout entier dévoué à la cause de notre seigneur et au commerce toujours plus dévellopé à travers le monde. Sur son lit de mort, celui qui fût surnommé "le bon père", voulut que l'on récompense son fidèle Perveihlo et que l'on finance les projets du déjà célèbre Almeida contre l'infidèle.

Manuel, héritant du trône, respecta à la lettre la volonté de son prédecesseur. A la suite de la guerre des épices, il devenait évident que le contrôle des routes commerciales devait être renforcés. Défiant depuis trop longtemps la marine portugaise en finançant des pirates depuis Zanzibar, l'Oman devait être chatié. Le "bras armé" du Roy fût dépêché en océan indien et mit le siège de la ville qui tomba après un long siège et qui sera bientôt terre Portugaise.

Ne dédaignant pas le commerce, il finança nombres d'expéditions pour trouver de nouvelles richesses. Celle d'un certain Vasco de Gama notamment fût extremement prolifique et désormais le monde doit savoir qu'il existe un grand continent à l'ouest des Açores et qu'il s'étend de la baie d'hudson à la terre de feu.

Puisse la Sainte mission du Portugal continuer à apporter la parole du juste en terre infidèle et puisse le Très-Haut nous protéger de la folie de certains royaumes "pas si catholiques" infestés par le malin.

Déclarations Diplomatiques :

A Madrid: Le Saint père n'apprécie pas l'attitude de votre royaume envers le sort que vous réservez à Tangers. Vous vous êtes ( voire plus haut ) proclamé souverain de Castille et d'Aragon et ne pouvez donc pas réfutez votre totale et unilatérale responsabilité dans cette affaire. Toutefois, dans un souci d'apaisement et afin de ne pas réveiller le conflit des Canaries ( devant votre manque de Foi, le Pape incline de plus en plus à croire que cette île venteuse est bel et bien terre portugaise ), nos émissaires vous ont fait moultes raisonnables offres ayant l'avantage de compenser notre manque à gagner. Que, si vous vous entêtez dans votre attitude actuelle, les autres souverains soient témoins du manque d'honneur que vous pratiquez envers vos correligionnaires et que désormais l'anathème soit lancé sur le pingre roi d'Espagne.

Royaume de France

Le roy François Ier :


Le Royaume de France, en cette année 1537, est l'un des Royaumes les plus puissants d'Europe. Notre terre est la plus fertile au monde, nos vins se vendent dans tout le monde connu, et rapporte moult ducats au trésor royal.
Notre explorateur Jacques Cartier parcoure le Nouveau Monde, et nous disposons d'un bel empire colonial à présent. Cependant, il est encore loin de valoir celui de l'Espagne, du Portugal ou de l'Angleterre. Mais nous en sommes en bonne vois pour controler toute la baie de l'Hudson, et le nord de l'"Amérique".
En Europe, la présence de la couronne française se fait sentir jusqu'au portes de Venise, dont nous garantissons l'indépendance désormais.
Ainsi, la Lombardie a été rattachée à la France à la suite d'une guerre contre l'Autriche. L'Autriche à ce moment était en guerre contre le Sultan. Nous lui avons proposé notre aide (nous avions prés de 100 000 hommes en Italie prets à intervenir) en échange de la Lombardie, mais l'Autrichien a refusé catégoriquement. Des lors, quel choix avions nous ? L'attque de l'Autriche était inévitable.
Choqués de cette agression (mais surtout ayant peur de voir la puissance francaise devenir prépondérante), les royaumes protestants du nord réagirent (Suède et Angleterre alliés à l'Espagne). Après de longues palabres, ils se décidèrent à nous déclarer la guerre, mais plus de 40 000 hommes était prets à recevoir comme il se doit les troupes anglo-suédo-espagnole. Les 2 corps expéditionnaires anglais furent anéantis. Par contre, les suédois nous posèrent plus de problèmes, et osèrent venir camper devant les portes de Paris. Mais entre temps, la paix avait été signé avec l'Autriche, en échange de la Lombardie. Et les anglo-suédois, las du massacre de leurs troupes signèrent une paix blanche.
Il est quand même intéressant de constater comment l'Autriche arrive à vassaliser politiquement les royaumes les plus Grands.
Par la suite, l'Ottoman reçut la province de Krain de la main de l'Autriche. Nous avons en effet fait pression sur la Porte pour qu'elle modère ses prétentions après la chute de Vienne, car l'Autriche est un royaume nécessaire à l'équilibre européen dans les balkans.
De cette épisode guerrier, plusieurs leçons furent prises, et de grands projets mis en chantier :
D'une part, pour éviter de voir à nouveau les anglais et les suédois attaquer nos belles côtes, il a été décidé de construire une flotte d'auto-défense. La France a les moyens de rivaliser avec la flotte anglaise. De nombreux navires de haute-mer sont mis en chantier.
D'autre part, après les menaces autrichiennes, il a été décider de fortifier l'Italie, et de faire passer notre armée permanente à plus de 150 000 hommes. Une réserve d'argent spéciale permettra de mobiliser en masse quand le royaume se sentira en danger.
Enfin, la mise en Valeur du Royaume continuera dans la mesure du possible avec l'ouverture prochaine d'une académie des beaux arts à Paris, et la création de distilleries dans les régions viticoles du sud.
Ces efforts vont demander de lourds efforts financier, mais le Royaume est suffisament riche pour espérer les réaliser tous.

Déclaration diplomatiques

A l'Autriche: Oublions le passé, la guerre est terminée et vous avez perdu. Certe, vous étiez en guerre contre l'Ottoman, mais de toute façon notre Royaume est plus riche et plus puissant que le votre. Qu'espérez vous contre nous, si ce n'est le destruction de vos troupes ?...
Faison la paix désormais. La guerre vous coutera le centuple du gain que vous pourriez espérer en obtenir.

A l'Angleterre: Votre intervention militaire contre nous ne change pas l'avis que nous avons de votre Royaume : c'est un royaume fort et puissant, et qui mérite le respect.
Votre politique concernant la province du Bas-Saint LAurent, mais aussi votre très généreuse offre de paix (300 000 ducats) sont tout à votre honneur.
Sachez que vous avez en nous en ami.

A l'Espagne: bonne continuation

A la Porte: Votre appétit devient génant et commence à nous indisposer. LA guerre contre l'alliance austro-russe a du vous couter très chère. utliser plutot cet argent pour acheter des bibles et découvrir la Vrai foi de la sainte Eglise Romaine.

A la Russie: Nous surveillons de pres la façon dont vous traitez les minorités catholiques de votre Empire. Mais nous avons confiance en votre sagesse.
Néanmoins, sachez que nous ne faisons aucunes différence entre orthodoxes et musulmans,et que nous ne prendrons parti pour personne dans une guerre pour le controle des terres de la Horde d'Or.

A la Suède: Vous espérez des excuses mais vous n'en aurez point. Le jour ou vous vous déciderez à VOUS excuser de nous avoir attaqué, alors nous retirerons nos propos.

Chroniques de l’Empire Ottoman : 1521 – 1536. L’Empire est fourbement attaqué par l’alliance austro-russe.


Soliman le Magnifique, homme de paix, se consacre exclusivement à la diplomatie, l’économie et, surtout, s’efforce de répandre partout la Vrai Foi au sein de l’empire : les conversions sont inombrables, le Sunnisme brille de mille feux, d’un éclat insoutenable.

Ce qui provoque l’inévitable jalousie des envieux : le Tsar, souverain d’un pays désertique peuplé de miséreux, au lieu de chercher à moderniser ses terres ou à se civiliser, regarde avec envie notre royaume et complote avec l’Empereur contre sa splendeur. Las, la fourberie de certains infidèles est-elle donc sans limites ? La bouche en coeur, l’Empereur ne cesse en effet de répéter à qui veut l’entendre qu’il entretient d’excellents rapports avec le Sultan et que son alliance militaire avec Moscou n’est nullement dirigée contre lui, mais contre l’alliance Polono-Lithuanienne.

Soliman a choisi de lui faire confiance : comment aurait-il pu douter d’un homme qui se prétendait son ami ? Comment aurait-il pu deviner que l’Empereur, qui se dit vertueux et pieux catholique, se parjure ainsi et renie publiquement ses paroles ? Comment aurait-il pu penser à une attaque alors que nos frontières respectives avaient été officiellement reconnues ?

Pourtant, le 13 juin 1531, les félons jettent bas les masques et l’alliance austro-russe nous déclarait lâchement la guerre, sans préavis aucun, et près de 300.000 soldats déferlaient contre l’empire ! Quelle infamie ! Quelle ignominie ! Le Pape lui-même, qui pourtant ne nous porte guère dans son coeur, fut, dit-on, particulièrement choqué par cette action si vile. Les misérables attaquaient l’Empire, ils allaient être bien reçus...


1531. Les Austro-russes sont rapidement refoulés, on raconte que leurs soldats étaient fort peu motivé, estimant avec raison cette guerre injuste et ignoble : nos glorieux Janissaires contre-attaquaient immédiatement et les cavaliers d’Allah pulvérisèrent totue opposition. 60.000 autrichiens sont massacrés au Pest et nos troupes s’enfoncent déjà en Autriche, le Krain ne tarde pas à tomber sous nos coups redoutables. Les russes impies subissent le même sort et nos troupes d ‘élite passent en territoire ennemi, même si l’offensive y est plus limitée : le gros de nos efforts se porte contre l’Empereur félon.

1532. Vienne apprend rapidement de ses erreurs et d’immenses armées contre-attaquent, prenant de court nos troupes de garnison, dépassées par tant de bassesses : le Pest et le Banat sont envahi et, sur le front de l’est, les Russes atteignent Azow et la mer noire. Partout, les Janissaires reculent. le coeur serré, Soliman tente de faire entendre raison aux félons, mais ceux-ci s’obstinent dans leur folie criminelle : ordre est alors donné de mobiliser les immenses ressources de l’Empire pour refouler les barbares. Djihad, Djihad, Djihad !

Pendant que nous mobilisons, le Roi de France, choqué comme tant d’autres par cette lâche agression, particulièrement abjecte, décide d’intervenir et de profiter de l’occasion qui s’offre à lui : le Pape, dit-on, lui aurait accordé sa bénédiction.

1533. L’arrivée de nos renforts change rapidement la donne et la contre-offensive emporte tout sur son passage : l’Autrichien est anéanti en Hongrie et les Janissaires pénètrent à nouveau en Autriche, où le sang coule à flot : d’innombrables armées impériales tentent vainement d’arrêter nos troupes d’élite, poussées par un juste désir de vengeance : les impies doivent être châtiés. L’Autriche, cependant, n’en continue pas moins ses exactions : la Dalmatie et la Croatie sont conquis, le Krain récupéré et la Bosnie assiégée. A l’est, les barbares sont repoussés au-delà de nos frontières et jamais plus ils ne constitueront une quelconque menace.

1534. La France, attaquée par l’Angleterre et la Suède, signe la paix avec l’Autriche, nous laissant seuls en guerre, mais Allah, lui, n’abandonne pas ses fidèles serviteurs : sa bénédiction est sur nous et les Autrichiens ne subissent désormais plus que défaite sur défaite. Et nos renforts continuent toujours d’affluer. Les derniers autrichiens présents sur notre territoire sont expulsés avec force coups de pieds au cul, la Croatie est récupérée et nos hordes poursuivent l’offensive en pays ennemi : les provinces autrichiennes de Presburg et Oldenburg finissent par tomber et, surtout, jour glorieux qui restera à jamais dans les Annales de l’histoire, Vienne, la capitale impériale, capitule le 16 décembre 1534 !




Trois ans et demi après la lâche agression austro-russe, le glorieux empire est victorieux sur tous les fronts et peut imposer sa paix : le Krain est arraché à l’Empereur, c’est le prix de sa trahison, que le monde soit témoin de notre immense générosité ! Nous avons été perfidement attaqués, nous avons conquis Vienne, mais, pourtant, nous avons fait preuve de modération : il n’en sera pas toujours ainsi et tout ceux qui attaqueront le Sultan en payeront toujours le prix.

Mais Soliman est un homme de paix et, bien que honteusement trahi, tend une nouvelle fois la main de l’amitié à l’Empereur : acceptez nos frontières actuelles, oubliez toutes vos revendications actuelles, laissez donc tomber le Tsar ignoble qui vous a entraîné dans cette guerre qui a bien failli causer votre perte et réfléchissez bien à ceci : qui sont vos vrais amis ? Le Sultan qui vous a toujours traité avec respect et qui ne parlait que de paix, ou le Tsar perfide qui vous a insulté pendant des décennies et vous a poussé dans cette guerre absurde qui a ruiné votre royaume ? Réfléchissez bien et ne commettez plus les mêmes erreurs : le Sultan peut pardonner une fois, pas deux.

Au Tsar mécréant : vous êtes le principal responsable de cette guerre et vous pouvez vous estimer très heureux de n’avoir jamais à affronter qu’une fraction dérisoire de nos immenses forces :celles-ci, pourtant ont suffi pour vous refouler complètement. Songez alors à ce qui serait arrivé si nous avions consacré un peu plus de nos forces contre vous : le Sultan vous aurait écrasé aussi facilement qu’un cafard sous son noble talon. Pour nous, Moscou est à peine plus loin que Vienne.

Oubliez un peu la guerre dont vous êtes si friand et songez plutôt à développer votre royaume barbare. Ouvrez-vous enfin la civilisation et nous serons prêt à reconnaître vos frontières actuelles, mais oubliez les plaines du sud : celles-ci sont et resteront à jamais ottomane. Nous vous tendons à vous aussi la main de l’amitié car nous connaissons, nous, les bienfaits de la paix. Ouvrons une ère nouvelle dans nos relations ,fort tendues pour le moment, et ce uniquement à cause de vous, de votre bellicisme, de votre jalousie maladive et nous nous en porterons tous deux bien mieux : l’amitié du Sultan n’a pas de prix, songez-y avant de décider.

Un vent sombre et froid venu du Nord.


L’Union de Kalmar avait fait son temps.

Le « bain de sang de Stockholm » avait provoqué l’accession au trône du fils d’une des 82 nombreuses victimes de ce jour ou la folie danoise et de Christian II avait révélée toute son intensité. Oui ! Il y avait bien quelque chose de pourri au royaume du Danemark !

Mais Gustav Vasa, malgré ses immenses capacités, était quelque peu dépassé par ses nouvelles responsabilités. Il décida donc de s’entourer de conseillers habitués aux affaires des royaumes européens, confiant à votre humble serviteur la présidence de son conseil sur la base des bons résultats obtenus au service du désormais Empereur du Portugal .

La tâche était rude. Suite à la rupture de l’union, le paisible royaume de Suède était en guerre avec son voisin russe. Fort heureusement, le Tsar s’était entouré d’affables et habiles négociateurs qui nous convainquirent vite de signer un retour au statu quo.

La paix retrouvée, il nous fallait donc nous soucier de nos finances.

Certes, notre commerce était florissant mais depuis longtemps, l’Ordre Teutonique d’accrochait à sa grandeur passé en taxant sévèrement nos marchands. C’en était trop ! La guerre fût donc déclarée afin de rétablir un environnement commercial prospère aux abords de la Baltique.
La flotte teutonne fût rapidement expédiée par le fond, permettant Lars Eriksson et Von Mecklen de mettre le siège devant la capitale teutonne, peu après avoir occis quelques 12000 adversaires.
Courlande tomba au bout d’un an, et l’armée pût être ramenée en Jütland afin de mettre fin à l’occupation et nous permettre d’enfin annexer l’ancienne province ennemie sous les « vivas » des populations locales.

Il s’ensuivit donc une longue période de paix qui dura presque 10 ans et qui ne fût troublé que par le conflit du commerce de la Hanse, par l’application des nouvelles et nécessaires réformes décidées par notre grand souverain et enfin par ce jour glorieux qui vit notre peuple choisir avec enthousiasme d’embrasser la religion protestant et de rejeter tout ingérence de l’usurpateur de Rome.

Malheureusement, il était écrit qu’une paix durable ne pouvait être instauré en ces temps de troubles.
L’Autriche, accompagné des armées du Tsar, attaquèrent brusquement, et malgré des indications contraires, l’Empire Ottoman. Ce semblant de nouvelle croisade devait provoquer la ruine autrichienne puisque au bout de 4 ans de guerre, le Krain lui fût arraché par le Sultan.
La Suède ne fût concerné par cet évènement que lorsque François I, le chacal de France attaqua lâchement son coreligionnaire autrichien pour lui arracher la Lombardie.
Il était impossible qu’un homme qui se prétende juste et représentant de Dieu sur terre puisse accepter cette infamie, et pourtant, c’est ce que fit le pape, refusant de lancer l’anathème sur le pays qui agressait son voisin en guerre depuis 3 ans contre l’infidèle.

La gracieuse Majesté d’Angleterre, et le vertueux royaume de Suède saisirent l’occasion de prouver la corruption du Saint Siège et usèrent de toute leur influence pour presser la France de signer une honorable paix blanche avec l’Autriche.
Hélas, c’était sous estimer la perfidie de française, François ne fit qu’insulter TOUTES les nations européennes en les traitant de barbares et d’affirmer la haine qu’il éprouvait envers les protestants, le tout pour gagner du temps afin d’achever Vienne.
Et c’est malheureusement ce qui se produisit, lorsque l’Angleterre et la Suède entrèrent en guerre, l’Autriche, exsangue, avait déjà envoyé une missive de paix.

Cela ne nous empêcha pas de mettre le siège de Paris et de constater que le sournois français avait réussi, par un stratagème encore inconnu, à extorquer 300 000 ducats à l’Angleterre.
Pourtant, tout ne fût pas perdu : l’efficacité de l’armée suédoise et sa supériorité fût démontré par nos victoires sur l’ennemi, obligeant ce fou qui prétendait refusé notre généreuse paix blanche à accepter notre deuxième proposition après avoir perdu 15000 hommes en terre parisienne.
Nos seules pertes furent dues à l’impossibilité de trouver pitance dans une région ou la population semblait plus portée vers l’ivrognerie qu’aux travaux agricoles.

Inutile de décrire plus en profondeur la joie qu’éprouva nos soldats lors de leur retour sur leur terre civilisée de Suède.

1536 – 1552. La grande oeuvre de Soliman le Magnifique


La paix retrouvée, le bon Sultan, le plus pacifique des hommes, peut à nouveau tourner sa vaste énergie vers la mission grandiose qu’il s’est fixée : l’unification de l’Empire sous une seule bannière, le Sunnisme. Objectif a priori complètement impossible, mais ainsi sont les grands hommes : ils ne doutent de rien et réalisent des exploits. Vive Soliman !

Mais nous n’oublions pas pour autant le reste de monde... et celui-ci s’agite. Rongé par les remords et la culpabilité, ne pouvant plus supporter les sermons du Pape, qui lui reproche très justement ses actes ignobles, l’empereur croit trouver le salut de son âme perverse en se convertissant, et tout son royaume avec lui, au protestantisme, religion qui a actuellement le vent en poupe chez les chrétiens. Mais Vienne se trompe dans son repentir : des excuses et des indemnités au bon Sultan seraient plus appropriées.

Le Tsar se fourvoie encore plus, ce qui n’étonne personne, lorsqu’il attaque sauvagement nos frères de la Horde d’Or : un nouveau crime à mettre sur le compte de sa jalousie maladive et de son bellicisme aveugle. Nul doute que Dieu le punira un jour pour toutes ses fourberies. En attendant, cette agression abjecte convainc les royaumes sunnites à se mettre sous la toute puissante protection ottomane : l’Algérie rejoint notre empire, le Maroc et la Crimée sont vassalisé.

Mais les chrétiens n’ont pas le monopole de l’oppression et le Sultan est contraint d’intervenir contre la Perse impie, qui persécute les minorités sunnites de son royaume : l’Irak, Kirkouk et Bassorah lui sont arrachés afin de garantir la liberté de ses habitants, qui ont acceuilli leurs libérateurs avec une joie délirante.

Mais la guerre n’est pas, n’a jamais été l’objectif du pacifique Sultan, qui continue sans faillir sa difficile mission : à ce jour, après 32 ans de règne, 18 provinces ont été converties à la Vrai Foi (contre trois seulement pour tout le règne de son glorieux père, Selim). Un jour viendra où, des quatre coins de l’Empire, tous chanteront d’une seule voix les vertus inégalables de notre religion. Allah est grand !

Chroniques de l'Empire du Portugal : Période intermédiaire.

Suite à une confusion institutionnelle, l'Empereur du Portugal se trouvait à la merci d'un amateur. Beaucoup doutèrent de la capacité de celui-ci à faire du bon travail au sein d'un empire dont le renom n'a fait que croître avec les années;

Après quelques mois, le nouveau chef de l'état se sent déjà capable de prendre les rênes de son pays en main de plus en plus ferme.

Les colonies seront la priorité du Portugal... En effet, le destin de celui-ci n'est pas en Europe où de grandes nations s'affrontent déjà dans un horrible bruit de canons et de cris de souffrances...

L'Amérique du Sud sera donc l'objectif principal en ce début d'une nouvelle ère... Nous sommesn confrontés néanmoins à plusieurs problèmes avant de pouvoir se lancer dans une colonisation...

1) L'argent, en début de prise de pouvoir, le Portugal est déficitaire, le budget sera vite rééquilibré grace à des mesures drastiques en terme de renouvellement des armées (qui auront moins) et de diminution d'investissement scientifique.

2) Dans les colonies, se trouvent au nord l'Espagne qui avance très vite dans son processus de colonisation à l'est l'empire aztèque qui sera tôt ou tard sur notre route. Un processus de sécurisation des côtes est lancé, la course vers Panama.

Nous aurons la surprise de croiser une troupe armée anglaise qui se dirigeait vers une mine d'or. Heureusement nos colons ont trouvés les ressources nécessaires pour installer leur comptoir avant les anglais.

Les finances se portant tout de suite beaucoup mieux, de nouveaux investissements sont mis dans les sciences.

C'est un peu par hasard qu'une deuxième mine d'or sera découverte à hauteur d'une montagne bizarre. Je crois que les explorateurs l'ont appelés, "Pain de sucre" :bizarre:

Dernières nouvelles du Nord, le Panama est tombé aux mains des Espagnols mais nous avons sécurisés les provinces au Sud.
L'expansion espagnole s'arrêtera donc là ! Nous sommes convainces que l'infame espagnol n'en restera pas là. Nous allons au devant de moments de troubles mais le Portugal a maintenant les moyens financiers et matériels de les contrer. De plus nous savons aussi que nos amis d'Angleterre et de suède avec qui nous avons conclus des accors diplomatique ne laisserons pas l'Espagnol s'en prendre au pauvre Portugais.

Chronique Anglaises

1536 – 1552. Le premier essort commercial...

Après l'intervention hasardeuse en France pour soutenir la
pauvre Autriche, Henri VIII redirigea les efforts Anglais
en direction des colonies et du commerce tout en gardant
un oeil sur le continent. Jamais l'Angleterre ne laissera
une puissance prédominer sur ce dernier.

Des invetissement importants et une guerre avec les
Indiens Hurons permis à l'Angleterre de sécuriser ses
colonies Américaines et celle-ci commencèrent à prospérer.
Il fut décidé de céder le comptoir d'Acadie à nos amis Suédois...
le nouveau monde est assez grand pour tous...

Sur le sol Anglais, la foi protestante triomphe et bientôt,
il ne restera plus que ces satanés Ecossais à convaincre
de la justesse de notre culte. Déjà, le Duc Autrichien a
rejoint notre vision du christianisme, c'est une grande victoire....

Les don de gestionnaire de notre bon roi ont permis une
réforme du commerce et une expension formidable de
celui-ci, il n'y a pas un Centre de commerce d'importance
ou les marchands Anglais ne soient pas présent en nombre.
Cette mine d'or commerciale remplis les caisses Anglaises
plus vite que les prospère campagne française et à peine
moins vite que les mines d'or espagnoles.

De grands travaux sont désormais en cours, les fortifications
de nos provinces seront étendues, les effectifs de l'armée seront
augmenté et plusieurs dizaine de navires seront construits pour
épauler la quinzaine déjà contruite pendant cet décénie.

Missives Diplomatiques

Portugal

Nous sommes heureux de voir votre nation prospérer, et nous vous
garantissons notre soutient en cas d'agression d'une puissance
continentale.

Suède
Vous êtes nos amis les plus chers, nous nous réjouissons de voir
votre pays prospérer.

France

Nous sommes heureux de nos bonne relations, mais nous vous mettons
en garde, ne soyez point
trop gourmand.

Autriche

Bienvenu dans notre communauté, nous sluons vottre courgae et vos
effort de conversion.

Russie

Prenez garde à ne point être trop ambitieux mon amis, ne surestimez
pas vos forces.

Ottoman

Votre EMpire brille de Milles Feux, nous sommes en admiration
devant la brillante gestion de Soliman et de ses prédécesseurs.
Mais, ouvrez les yeux et voyez que votre religion sunnite n'est
pas la voie a suivre seul le christainnisme vous ouvrira les
porte du royaume de Dieu.

Chroniques françaises : 1536-1552 (les chroniques sont à la mode).

L'expansion de la puissance française continue grâce à la qualité de nos monarques, et à la riche et fertile terre de France.
Cette terre de France s'étend désormais à tout le nord de l'Italie. Grâce à la guerre de 1548-1550 (que l'on surnomme désormais la guerre de tranquillité), la Bourgogne, le Brabant, et le Luxembourg rejoignent la couronne de France. Personne n'ose en effet se lever face à nous, et nous pouvons à notre guise manipuler l'Europe entière sans que rien ne s'oppose à notre invincible diplomatie. C'est ainsi que près de 100 000 français s'élancent sur les villes et bourgs bourguignons, écrasent les 45 000 hommes basés en bourgogne, (après un léger échec due à une erreur de commandement). Puis les riches villes du nord sont prises et l'ennemi bourguignon ne peut que céder à nos revendications.
L'Autriche nous laisse ainsi nous développer au nord sans rien nous opposer, ce qui ne fait que nous ravir. En effet, nous sommes prêt à tolérer le changement de religion des Habsbourg pour la peste protestante, mais à l'unique condition que celle ci ne développe sa religion que sur ses terres légitimes. Ainsi, des conquètes autrichiennes en Italie, en Allemagne, ou en Pologne se verraient immanquablement sanctionnées par un conflit avec nous. Cependant, l'Autriche doit avoir d'autres préoccupations que celles de conquérir, car il lui faut convertir les 3/4 de ses terres. Nous avons en tout cas du mal à saisir l'opportunité de ce changement de religion : est ce pour le commerce ? l'Autriche n'a point de CoT. Est ce pour les colonies ? l'Autriche n'a point de port ni de flotte.
Non, nous ne comprenons décidemment pas ce choix. A notre humble avis, les Habsbourgs se rendront vite compte de leur bétise et reviendrons dans le giron de la Sainte Eglise Catholique, Apostolique et Romaine d'ici peu.
Concernant les colonies, nous nous développons lentement amis surement, avec les créations de villes au Canada français, ainsi que dans les iles des caraîbes, et dans un région que 'lon a décidé de nomme Louisiane.
Le commerce est florissant, même si nous sommes fortement concurrencés par les forbans anglo-suédois. Nous avons levé l'embargo sur vous, mais attention à na pas nous faire regretter notre geste. LEs commercants anglais nous concurrencent tellement que la couronne a du engloutir des sommes faramineuses pour tenter d'envoyer quelques marchands au Moyen-Orient, mais à chaque fois, l'anglais nous en chasse ! Cependant, il semblerait que le nouveau monarque anglais, de par sa nullité, favorise notre expansion commerciale. A voir.
On entend également de Paris les fracas des armes et les hurlements des barbares de l'Est. Il semblerait d'après quelques témoins, que le tsar russe ait envahis les steppes de la Horde d'Or. Peu nous importe des agissements des barbares, tant qu'il ne concurrencent pas notre commerce.
Les dernières années sont également marquées par l'arrivée et le développement en france d'une forme de protestantisme nouveau : la réforme. Dans sa sagesse pour mettre un terme à cette épidémie, notre bon Roy fit bruler en place publique quelques hérétiques réformés, mais il semblerait quand même que la réforme se soit installé durablement dans certaines de nos terres (Anjoue, Guyenne...). Des missionaires vont y être envoyés le plus vite possible.
Cependant, entre la colonisation, la construction maritime que nous poursuivons de manière plus réduite, les conversions, et nos marchands concurrencés par les maudits anglais, les ducats du trésor disparaissent vite.

Enfin, voici un appel solennel à la libération du Pape par toutes les nations qui se disent catholique :
Il est temps de libérer un fois encore le Pape : Rome est en effet aux mains des maudits napolitains qui dictent la conduite de l'Eglise. Il faut la libérer. Je propose à toutes les nations de la terre catholiques de s'allier à nous pour délivrer le Pape. En guise de récompense, chaque pays participant pourra se partager le Royaume de Naples.[/b]

Message du Roi Anglais....

Les Catholiques sont décadents ils passent leur temps à se chamailler,
rejoignez le nouveau culte...loin des fastes et des excès des servants
du Pape.

L'oeil du cyclone.


Un léger vent frais balayait la banquise qui scintillait sous l'effet de la pâle lueur dispensée par ce qui ressemblait de plus à en plus à un ersatz d'étoile solaire.
Gustav Vasa souriait en regardant les morses s'ébrouer au milieu des cris des enfants. Enfin, paix et quiètude était revenu sur le vertueux royaume de Suède.

Après 10 ans de troubles provoqués par l'application de ces justes réformes, par une nouvelle grogne de ces nobles et de leurs rêves de grandeur passée et par les deux épidémies de cette peste ramenée par nos soldats lors de leur campagne en France, enfin, après ces 10 ans ou la tension était palpable dans les régions les plus reculées du royaume, oui, enfin, la paix porteuse de prospérité était au rendez vous.


Suivant la volonté manifeste de Gustav, de nombreux marchands partirent à la conquête du monde, provoquant ravissement et admiration dans ses nations qui pouvaient désormais découvrir la qualité de nos fourrures et les vertus de notre graisse de phoque.
Les cordiaux échanges avec des marchands de nations amies permirent même à nos marins de mettre un pied dans ceux que l'on appellait le nouveau-monde. Désormais, une fière ville suédoise se dresse en Acadie.


Seul le refus d'une minorité des gens de Kexlhom de se convertir à notre si populaire religion d'état pourra être considéré comme un échec durant ces 10 ans de paix.


Cette dernière se trouve bien isolée si l'on regarde la situation de nos voisins: le danemark, le Brandenbourg, la Lituanie, la Prusse et la Pologne sont toujours en guerre contre un obscur vassal de l'ottoman; la Russie achève, dans les plaines de l'est, la menace que constitue la horde d'or et la France se laisse encore aller à son aggressivité naturelle en attaquant, sournoisement comme à son habitude, le royaume de bourgogne.

Toutes cette agitation eut raison de la faiblesse du Duc de Holstein qui, pressé par son état-major, déclara la guerre au royaume d'Irlande.
Gustav y vit une occasion pour l'armée de parfaire son entrainement et la maitrise des nouvelles armes découvertes sous peu: l'armée permanente de Suède se mit en route pour la province de Jutland ou les irlandais avait débarqué.
Ils furent rapidemnt repoussé ainsi que les vagues d'invasion les suivant de près, et une paix de 50 000 ducats fût obtenu pour le dérangement, permettant au royaume de Suède de retourner à sa quiétude.


Puisse celle-ci durer encore longtemps !!


Déclarations diplomatiques :

* A la gracieuse Majesté d'Angleterre: Vous êtes la fierté du monde protestant. Votre esprit avisé règne sur cette Europe troublée et votre amitié enorgueillit le peuple de Suède qui se réjouit à l'idée d'être une nouvelle fois voisin de votre glorieuse nation.

* Au souverain d'Autriche: Nous vous félicitons pour votre décision de rejetter les décisions du corrompu de Rome et d'embrasser la seule foi acceptable. Vous tirâtes de belle manière la seule conséquence possible en rejettant tout ingérence du chétif qui autorise de lâches aggressions telle que celle que perpêtra la France à votre encontre.

* Au royaume de France: votre sournoiserie n'a donc pas plus de limites que votre appétit ! Non seulement vous volez à l'Autriche la Lombardie, privant ainsi l'Espagne d'une province qui lui serait revenu de droit par son attachement à la maison Hasbourg, mais, de plus, vous osez réclamer l'aide de cette dernière pour assouvir votre soif de conquête contre le royaume de Naples, royaume qui revient naturellement par ascendance à la couronne d'Espagne. Le tout sous le prétexte de libérer un Pape corrompu qui n'agit qu'à votre solde moyennant moultes pots de vins.
N'en ayant pas la vocation, la Suède ne se mêlera pas de ce nouveau et sordide complot catholique mais les nombreux marchands qu'elle compte envoyer dans votre centre commerce désormais ouvert la tiendront informée de l'évolution de la situation.

*Au Roy d'Espagne: la vacance de votre trône et les agissements de la couronne de France commence à lourdement pénaliser votre royaume qui voit son héritage diminuer et sa position en Europe s'en fragiliser d'autant. Sachez réagir promptement avant de vous retrouver lésé de toutes les provinces iataliennes qui vous reviennent de droit de par les alliances contractées depuis longtemps par votre famille.

*A l'Empereur du Portugal: Puisse votre empire continuer à insuffler la sagesse parmi les nations catholiques. Nous vous félicitons pour votre prospérité retrouvée et vous assurons du soutien de la Suède en cas d'aggression contre votre pays.

* Au Tsar de toutes les russies: nous vous félicitons pour vos conquêtes à l'Est contre la horde d'or qui mena, jadis, quelques raids sur nos provinces.

* Au Sultan, grand commandeur de l'ordre des croyants: l'expansion de votre Empire semble sans fin, celui-ci s'étendant désormais de l'Atlantique à la mer noire et de la médittérannée à l'océan indien. Nous vous en félicitons et espérons continuer à entretenir de courtois rapports commerciaux avec vos marchands que nous croisons dans de nombreux centres de commerce.

1556 – 1564. L’Empire Ottoman repousse les croisés


Le pacifique empire se remet péniblement des troubles consécutifs à la grande réforme de la bureaucratie, une nouvelle oeuvre majeure à mettre au crédit de soliman le Magnifique. Impressionnés par tant de grandeur, la Crimée et le Maroc rallient spontanément notre glorieux empire : une sage décision ! Battue par l’Angleterre, la grande France s’inquiète de la puissance grandissante de Vienne, qui refuse de négocier tant avec Paris qu’avec Constantinople : les menaces de guerre de l’Empereur vont dès lors rapprocher deux pays qui, jusqu’à présent, se regardaient plutôt avec méfiance, si pas hostilité. Une action préventive est décidée : pourquoi attendre comme des moutons menés au sacrifice ?

En mars 1561, afin de garantir la paix et la sécurité dans le monde, le grand Roi et le glorieux Sultan passent à l’offensive : il faut ramener l’Empereur à des sentiments plus pacifiques car la guerre ne mène à rien . Les Autrichiens sont pris par surprise, leurs armées sont occupées à guerroyer contre le Brandenbourg, mais ils peuvent compter sur leurs grandes forteresses. Et, très vite, des sommes colossales affluent à Vienne, venant des quatre coins de la chrétienté : les pays concernés auraient mieux fait de pousser l’Empereur à négocier, cela aurait épargné bien des vies.

Les premiers chocs ont lieu en Hongrie, où les Janissaires pulvérisent plus de 100.000 polono-autrichiens, mais nos sièges, et ceux de la France, s’éternisent. Cette dernière mène la danse au moins autant que nous, si pas plus, mais, curieusement, la haine de la moitié du monde va se concentrer contre le pacifique Sultan, humble parmi les humbles : l’Espagne nous déclare la guerre, puis l’Angleterre et, enfin, la Russie. 300.000 croisés partent soutenir les hordes autrichiennes .

Mais rien ne peut arrêter les cavaliers d’Allah : 150.000 autrichiens sont pulvérisés dans plusieurs grandes batailles menées en Autriche même, l’Istrie, le Steiermark, l’Odenburg, Presburg, Magyar et, surtout, Vienne tombent sous nos coups redoutables. La victoire est complète, mais l’Empereur refuse de négocier.

La chute de Vienne et le premier combat contre les croisés anglais :




En Crimée, 40.000 Janissaires s’opposent avec succès aux 200.000 barbares : nous avons perdu le compte de nos victoires, mais elles ont été inombrables. Cet unique corps d’armée ne pouvant être partout à la fois, les Russes parviennent à capturer deux provinces mais, jamais, malgré l’arrivée de 100.000 hommes en renfort venu de Moscou, ils ne parviendront à vaincre nos troupes d’élite : les fleuves de Crimée sont désormais rouge de sang et chaque ottoman tombé a entraîné avec lui au moins dix russes. Allah était avec nous, nous n’avons goûté sur ce terrain qu’au seul et délicieux goût de la victoire .

Après de longs préparatifs, l’Espagne fait intervenir à son tour ses hordes de soldats croisés : 70.000 hommes débarquent à Raguse et se heurtent à nos fortifications. Vaincus ; ils décident d’aller plutôt tenter leur chance en Istrie, mais ils sont rattrapés par un de nos corps d’armée, qui inflige aux Ibériques une magistrale défaite. Quelques milliers de survivants seulement embarquent en hurlant de peur sur les vaisseaux espagnols et retournent piteusement à Seville en jurant que jamais plus on ne les reprendra : attaquer le Sultan et ses invincibles Janissaires est folie. Madrid peut s’estimer heureuse que, fort occupé par la situation dans les Balkans, le Sultan n’a jamais eu le temps d’envoyer les 35.000 soldats qu’il possédait en réserve au Maroc pour aller capturer la ville de Tangier espagnole.

Les croisés anglais se révèleront plus coriaces, même si eux aussi n’arriveront jamais à remporter la moindre victoire contre nos armées. Vaincus en Istrie et au steiermark, les débris britanniques s’uniront vainement aux autrichiens pour tenter de reprendre Vienne : les cavaliersd’Allah ont eu raison de leur audace, que nous saluons néanmoins, mais pourquoi donc avoir envoyé ces troupes ?

Vaincus sur tous les fronts, les croisés, qui curieusement n’ont jamais attaqué la France, se rendent enfin à la raison : la Pologne, l’Espagne et l’Angleterre se retirent de la guerre. Ses armés anéanties, son royaume prêt à exploser, sa capitale occupée d’une main de fer, il ne reste plus à l’Empereur qu’une chose raisonnable à faire : négocier ! C’est chose faite en 1563 avec Paris, mais, curieusement, Vienne n’a toujours pas envoyé de diplomate à Constantinople : qu’espère donc l’Empereur ? Notre empire est au mieux de sa forme, nos armées invincibles restent invaincues alors que l’Autriche, elle, s’enfonce de plus en plus vers l’anéantissement total.

Le Sultan est un homme de paix, il ne souhaite pas l’éclatement de l’Autriche et, malgré l’attitude plus que discutable de l’Empereur, nous lui faisons une très généreuse proposition de paix : nous renonçons à réclamer les mines d’or du Steiermark et les indemnités que nous sommes en droit d’exiger, mais nous demandons toujours Magyar et Istria. Certes, comme le Roi de France le sait bien, nous ne visions initialement que l’Istria mais l’Empereur a trop fait durer la guerre pour que nous ne modifions pas nos revendications : trop de sang a été versé à cause de la folle obstination de Vienne, qui a trop longtemps cru que les hordes des croisés pourraient modifier une situation désespérée.

Nous vous laissons vos mines d’or et vos ducats, mais cédez Istria et Magyar ! Ceci est l’ultime proposition du bon Sultan.

Comme toujours, nous sommes aussi ouvert à toute proposition devant mener à un traité de paix en bonne et due forme entre nous : n’oubliez pas que là le voeux le plus cher du pacifique Sultan depuis plus d’un siècle. Vous avez refusé de négocier, vous avez honteusement violé votre parole, payez en désormais le prix et acceptez enfin l’évidence : nous avons tous deux grand intérêt à vivre en paix. Le Sultan vous tend une fois encore, une fois de plus, la main de l’amitié, ne la rejettez donc plus, vous avez vu où cela vous menait de choisir la guerre quand nous offrons la paix.

Chroniques anglaises 1553 – 1564


Tout le monde sait que l’angleterre est un pays de marins, et c’est dans cette optique que nommé grand lord de l’amirauté par le régent Jimbo, je prends mes fonction au ministère de la marine.
Notre flotte est composée de 60 vaisseaux de combats et quelques navires de transport, c’est insuffisant pour règner sur les mers...il est vital pour notre pays de s’assurer de la maîtrise des mers, pour cela un ambitiaux programme de construction navale est mis en chantier, engloutissant en 3 années l’intégralité des revenus de la couronne anglaise.
Mais le résultat est à la hauteur des moyens engagés : 100 vaisseaux de combats et 200 galéres sont prêts à défendre les côtes anglaises...

Fort de ce résultat remarqué à l’étranger par les espions du roy de France, l’angleterre est en mesure de marquer son expansion dans le nouveau monde mais il est essentiel que notre ennemi de toujours en soit écarté puisque l’accés au continent européen nous est interdit, expulsé de france par le passé.

Le piège grossier...

Pour chasser le francais d’outre-mer, rien de tel que d’exiter le roy de france en envahissant de marchands le centre de commerce de Paris et de faire ainsi baisser ses revenus....
Le roy de france, personnage ecervelé et prompt à tomber les 2 pieds dans ce piège évident ne fait pas dans la dentelle en nous embargottant.

« Parfait, c’est un grand jour pour l’angleterre !!!» m’ecriai-je, « faîtes porter cette déclaration de guerre à cet idiot de francais »

« England will back ! »

La flotte est rapidement deployé dans la manche en 2 flottes massives pendant qu’une flottile de 40 vaisseaux de combat met voile sur le nouveau monde afin de proteger nos côtes et empecher les renforts francais.

Nos fiers bataillons coloniaux bousculent les maigres troupes francaises et rapidement les comptoirs candiens sont occupés ainsi que bas-laurent et santee, cependant une vingtaine de vaisseaux de combats francais ont reussi à forcer le blocus et s’appretent à debarquer leurs trouppes au large du massachuset, la royale navy engagent le combat et c’est une grande victoire , la flotte francaise est dispersée.

Ayant remarqué que le gros de la flotte francaise mouille dans un port de bretagne, une flotte anglaise vient faire le blocus, ainsi le roy de france est bien embeté puisqu’il lui est impossible d’envoyer des renforts et c’est fort logiquement que les antilles francaises sont occupés.

La france tente bien de faire payer à notre allié espagnol ses déboires dans le nouveau monde mais la victoire est totale outre mer et le roy de france ne peut que s’incliner en cédant 4 colonies : santee, bas laurent ,antigua et dominica.

Nous pensions la france calmée pour un moment et la surprise fut grande lorsque le califat turc et son allié francais s’en prirent à l’autriche en 1561 !

En armistice de 5 ans avec la couronne francaise, notre honneur eut été entaché que d’attaquer la france, c’est pour cela que n’écoutant que notre courage, l’angleterre déclare la guerre à l’empire ottoman.

Cependant comme vous le savez tous, l’angleterre est un pays de marins et nos 40 000 boys seront massacrés par le turc dans les environs de vienne.....

Devant l’avancée turc qui bouscule l’autrichien et occupe vienne, la guerre est perdue et une paix blanche s’impose...

Mais la reine elisabeth est furieuse ! les francais paieront !

Moi, lord Ric grand amiral, conseille au régent Jimbo de chasser définitivement les francais d’outre-mer

God save the queen !

Chroniques françaises 1553 – 1564


L'agression de la perfide Albion...

Alors que la France, forte de sa puissance continentale indiscutable, souhaitait se développer pacifiquement dans le nouveau monde, pour accroitre ses revenus, et développer la Foi catholique, l'Anglais manipulateur et démoniaque nous joua un tour que nous ne sommes pas prêt d'oublier. Il commenca par envoyer moults marcahnds dans notre CoT de Paris, le plus riche d'Europe, et advint ce qui devait arriver : un monopole anglais chez nous !
Notre bon Roy, ne pouvant plus supporter que les bons marchands français se fassent ainsi plumer par l'anglois, mit en place un embargo préventif sur les marchands anglais.
Nous pensions alors que l'anglais allait se mettre à la table des négoications pour donner lieu à un accord commercial, mais voila que l'Angloi nous déclare la guerre sans prévenir. Fort de sa flotte de plus de 300 navires, il mit le blocus devant notre base navale de Brest. Il s'empara des régions du Canada français, malgré la défense héroique de notre petite garnison locale. Des renforts furent envoyés, ainsi c'est pret de 20 000 hommes qui furent embarqués à bord de l'escadre française. Mais arrivée devant la baie du Massachussets, l'escadre rencontra une armada anglaise d"environ 50 navires de lignes. nos pauvres marins peu entrainés, ne purent rien faire face aux marins anglais fanatisés et capables de tirer un boulet toute les 6 minutes, alros que nos marins en mettaient 15 pour tirer. L'esacdre française décida d'abandonner le débarquement des troupes et de rentrer en France le plus rapidement possible, mais malheureusement, la moitié de nos navires furent coulé par le maudit anglois.
Malgré quelques succés (prise des îles brittaniques des Caraïbes), le bon Roy de France décida d emetre fin à une guerre qui ne pouvait pas être gagné par nous en cédant 3 colonies de niveau 1 et un comptoir aux anglais.
Rude fut la surprise, mais maintenant nous sommes prévenus des intentions anglaises, qui sont de mettre la main sur tout le nouveau monde, du Canada jusqu'en terre de feu.
Les garnisons d'outre mer vont être formidablement renforcés. De même qu'une nouvelle flotte mise en chantier pour remplacer nos navires perdus.

Mais le Roy de France, fou de rage face à la première guerre perdue de la France depuis un siècle, décida de se venger au plus vite, et visa le pays renégat de l'Europe : l'Autriche. La royaume qui changea sa religion pour la peste protestante.
Fort de nos contacts avec le sultan, nous décidames d'attaquer le 15 mars 1562, et 130 000 hommes se ruèrent sur le Tirol, pendant que 10 000 faisait le siège de Ravenne. Malgré l'attrition, nos troupes sortirent victorieuses des monts alpins, et mirent le siège devant Salzburg, Munich, et devant d'autres villes de Bavière.
La première bataille eut lieu à Salzburg : les polonais, alliés des Autrichiens, envoyèrent 50 000 hommes sur nos 30 000, et Bourbon fit des miracles en anéantissant tout les polonais. Par deux fois encore les polonais attaquèrent nos positions à Salzburg, et par 2 fois ils furent repoussés, grâce notamment à nos renforts (des hommes d'armes italiens, et des cavaliers milanais). Puis l'Autriche se décida à nous attquer, toujours à Salzburg, et nous remportâmes encore une fois une grande victoire. Puis également d'autres victoires en Bavière, si nombreuses que les compter mettrait trop de temps.
Pendant ce temps, le sulatn avait déjà conquis Vienne, et toutes les villes de l'Est autrichien, avait écrasé les espagnols et la anglais.
Après des discutions diplomatiques intenses et mouvementées, voire houleuses, l'Autriche se décida à nous céder Ravenne, ce qui créa un bloc français homogène en Italie du nord.
Désoramis, tout les territoires légitimes français sont à nous en Italie. Nous n'avons aucune raison de faire encore la guerre. Nous proposons une paix avec l'Autriche de 20 ans.[/b]

Le blizzard se lève ... son nom est guerre.

Les vieux jours de Gustav s'écoulaient paisiblement. Quand soudain, un denier soubresaut pris le vertueux: " l'inconstant danois nous cherche depuis trop longtemps querelle, il est temps de lui faire entendre raison, que la force soit employée si nécéssaire !! "

Bien que blanchie par les années, l'autorité du vieux lion restait intact. Dans les quatres coins de l'Europe, des émissaires partirent pour s'enquérir des intentions des alliés de la vertueuse Suède, et la guerre fût, pour sentence, prononcée contre l'alliance Danois-Lituanie-Brandenbourg-Prusse. Malheureusement, des retards encore inexpliqués dans les préparatifs autrichiens différèrent l'inéluctable contre l'incongru voisin.

Mais l'ennemi de la vertueuse Suède ne saurait trouver de quiètude avant de recevoir son juste chatiment: la guerre fût déclarée contre l'ennemi séculaire moins d'un an après que l'Autriche entra en scène et ... stupeur et tremblements ! Le fourbe se disloque. Craignant le bras armé de justice des nombreux généraux suédois, seule la Lituanie ose encore défier la Suède en apportant son soutien au perfide danois ... pour fort peu de temps puisqu'un retour au statu quo est rapidement conclu entre les deux voisins.

Sur son lit de mort, Le père de la Suède, Gustav, confie à son fils Erik la lourde tâche d'achever sa vision d'une Suède régnant sans partage sur la péninsule scandinave. Nul doute que l'obtus danois cèdera bientôt aux exigences suédoises alors que son contrôle sur ces terres ne cesse de diminuer.

Malgré les années de guerres qui la secouent après 15 ans de paix, la Suède trouve aisément la force de venir financièrement en aide aux nations amies tout en organisant moultes et moultes festoyades à la gloire de la reine Elisabeth d'Angleterre, sublime étoile dirigeante d'une religion protestant toujours crainte par ses ennemis et ayant récemment mis à mal la toute puissance continentale du roi de France.

1565 – 1580. L’Empire Ottoman poursuit sa mission civilisatrice


De longues négociations avec Vienne finissent par accorder au Sultan la province de Magyar, Moldavie (qui est aussitôt vassalisée) et l’abandon, par l’Autriche, de tout ses « droits » (ou prétendus tels ) sur son allié et vassal, le Sienbenburger. Gloire soit rendue à Soliman le Magnifique, qui a su faire preuve de modération, alors que l’Autriche menaçait d’imploser à tout moment... Las, l’Empereur ne semble pas comprendre qu’à essayer lamentablement de profiter de la trop grande bonté du Sultan, il ne fait qu’irriter ce dernier et ruine sa réputation aux yeux du monde : l’encre du traité de paix, en effet, n’est même pas encore sèche que, déjà, Vienne refuse de respecter sa parole ... Excédé par tant de félonie et de fourberie, le Tsar comprend qu’il s’est fourvoyé en soutenant avec tant d’obstination un pareil ingrat et il quitte immédiatement l’alliance autrichienne. Louons la sagesse du monarque moscovite, plus clairvoyant que son homologue autrichien.

Allah le très haut rappèle auprès de lui Soliman et c’est à son successeur, Selim II, que reviendra la mission de contraindre l’Empereur à respecter enfin sa parole : puisque Vienne ne comprend que la force, 200.000 Janissaires se massent aux frontières . Effrayé par la force de notre conviction et la justesse de notre cause, approuvée par le monde entier, l’autrichien cède enfin et abandonne le Siebenburger à son sort. Nos troupes d ‘élite envahissent aussitôt ce royaume impie et lui arrachent la Wallachie, qui est vassalisée : gloire soit rendue au Sultan, qui rend la liberté aux peuples opprimés ! Nous apportons aussi la civilisation aux barbares et la mission sacrée commencée il y a plus d’un siècle par le glorieux Mehmet est presque réalisée : le contrôle total des Balkans ! Allah a voulu que ceux-ci soient ottomans, il en sera donc ainsi.

Les autres royaumes sunnites se rallient spontanément à notre étendard : le Dulkadir est annexé diplomatiquement, la Horde d’Or vassalisée. Celle-ci nous entraîne dans une guerre contre la Russie, déjà saignée à blanc par des guerres incessantes. Heureusement pour le Tsar, le Sultan est un homme de paix qui a la guerre en horreur . Espérons que la rapide paix conclue entre nos deux royaumes soit le premier pas vers un chaleureux rapprochement avec Moscou : attaqué deux fois par le Tsar, nous aurions légitimement pu prendre notre revanche. Nous ne l’avons cependant pas fait : que le Tsar reconnaisse définitivement notre contrôle des plaines du sud et notre entente pourra devenir excellente .

L’annexion persane du royaume sunnite d’Ak Koyunlu exige elle des représailles sévères : nul ne peut attaquer nos frères sans en payer le prix ! La Perse impie est écrasée et nous cède rapidement ses dernières provinces sunnites, l’Azerbaïdjan et le Kurdistan. Le Sultan profite de l’état de guerre pour attaquer et annexer définitivement la Transylvanie : les Balkans sont enfin en paix, unis sous notre glorieuse bannière. Partout dans le monde, la vérité se répand : il n’existe pas de meilleur protecteur que le Sultan. Notre empire apporte en outre à tous ceux qui le demandent la paix, la culture et la civilisation .

Un lointain royaume d’Afrique occidentale, le Shongai, se présente pour bénéficier de nos bienfaits. Las, il semblerait que ces fourbes indigènes espéraient surtout profiter de notre trop grande bonté et de notre toute puissance pour régler enfin le conflit séculaire qui les oppose à leurs voisins (une sombre histoire de poules volées) : l’alliance à peine signée, les guerriers armés de lances et de plumes de coqs partent à l’assaut des huttes voisines et font appel au Sultan. L’honneur nous oblige à intervenir, bien que cela soit contraire à notre pacifique volonté.

Des troupes arrivent péniblement du Maroc, après avoir traversé un désert impitoyable, et apportent à nos turbulents alliés tout le poids de notre technologie supérieure. Les voleurs de poules sont rapidement refoulés et, terrifiés, nous offre la province de Palanas et prêtent serment de vassalité : le golfe de Guinée est atteint ! Aucune partie du monde n’échappe à notre mission civilisatrice et à nos efforts pour promouvoir la paix.

Notre pacifisme, malheureusement, n’est guère imité par le Shongai qui, émerveillé d’avoir réussi à récupérer en moins d’un an des poules qu’il convoitait depuis des décennies, ressort des placards une vieille histoire de mulets qui se seraient enfuis chez leurs voisins, lesquels auraient toujours refusé de les rendre . Un détachement de 8000 Janissaires part régler le problème avec l’efficacité habituelle de nos troupes : nos alliés récupèrent leurs mulets et nous obtenons, pour prix de notre dérangement, le contrôle du centre de commerce d’Ivoria. Certes, celui-ci n’est pas bien riche, mais il importe de ne pas oublier que le Sultan n’est pas, n’a jamais été motivé par une soif de conquête ou d’argent : son seul but a toujours été d’apporter la paix et la civilsation aux barbares. Allah est grand !

1580 – 1592. Le Sultan, seul homme de paix de son temps ? Extraits du journal d’Ali Ben Youssouf, chroniqueur officiel du Sultan Murad III, dit ‘Le pacifique’


L’Europe sombre de plus en plus dans la violence aveugle, les guerres incessantes, les pillages, la mort... L’Empire Ottoman, seul, fait encore briller de mille feux l’étincelant flambeau de la paix : c’est en effet avec tristesse que le Sultan regarde, le coeur serré, les grands monarques du monde se laisser entraîner par leurs passions guerrières et meurtrières (bouh, les vilains ). L’Empereur d’Autriche tente vainement d’assouvir son avidité sans borne en annexant sauvagement tout ce qui passe à sa portée (Brandenbourg, Saxony...), l’Espagne, après avoir dévoré Venise, se goinfre de son riche voisin ibérique (quelle horreur... ), l’Angleterre et la France se font sans cesse la guerre et le Tsar, lui, ne quitte jamais ni son sabre ni son cheval, obligé d’aller du nord au sud et d’est en ouest pour protéger son royaume sans cesse envahi : notre allié la Horde d’Or n’est pas en reste et nous entraîne ainsi dans la guerre contre Moscou. Mais le Sultan résiste encore et toujours à la folie qui semble avoir atteint le monde : il impose une paix blanche et, afin d’éviter que ce grand malheur ne se répète, intègre la horde à notre glorieux empire .

Mais la sauvagerie continue et nos marchands sont impitoyablement assassinés par les brutes barbares de l’Oman. Afin de maintenir l’ordre et la sécurité dans le monde, le Sultan est contraint d’intervenir : deux colonies et, surtout, le centre de commerce de Zanzibar sont arrachés à l’Oman. Les marchands du monde entier ne cachent pas leur satisfaction : l’ordre et la sécurité sont enfin rétablis, les Janissaires y veillent . Poussé par ce même désir de justice et de paix, le Sultan nomme une vingtaine de juges dans différentes provinces de notre glorieux mais pacifique empire.

Quel malheur, quelle tragédie, quel vent de folie s’est donc emparé de l’Europe ? Mais nous gardons espoir : un jour, notre pieux pacifisme sera imité et la guerre, chose si horrible, si repoussante, ne sera plus qu’un mauvais souvenir... Qu’Allah nous protège et garde loin de nous cette horreur !

Message Anglais au Roi de France

Il est temps que nous retrouvions la paix....
nous allons vous proposez dans les jours qui viennent une proposition
que nous souhaitons convenable pour nos 2 Royaumes et nous espérons que nous saurons trouver le chemin d'une paix que nous souhaitons longue.... nous reconnaissons votre puissance terrestre... reconnaissez notre puissance maritime.... et n'essayez plus de nous concurencer dans ce domaine.

Message de l'admiral Ric au premier ministre Jimbo de sa très grande majesté Elisabeth I



Cher premier ministre,


C'est par miracle que Henry IV a echappé à Sir Raleigh le grand conquistador puis ensuite au redoutable marin Sir Drake, la 3 eme guerre franco-anglaise n'est que la conséquence de la domination francaise sur le continent, il nous faut etre ferme et répondre coup par coup.

L'esprit de combat qui nous anime, doit entrainer le continent à s'affranchir de la menace francaise qui devient insupportable pour l'espagne et l'autriche et pour tous les états d'italie, il faut faire plier le francais et lui faire payer cher ses annexions sauvages !

cette guerre qui voit triompher nos étendards devrait amener le francais à ceder en tout point, en effet le peuple ne suivra pas son roy (37 pct de victoires actuellement), avec la prise de michoagan sur le point de ceder, de deux comptoirs en afrique du sud et près de madagascar et d'une ville nord canadienne, la victoire est acquise ( + 50 pct) car toutes les colonies francaises seront occupés.

En tant que premier ministre, il vous appartient de conclure cette guerre pour la plus grande gloire de l'angleterre

Votre dévoué admiral

God save the Queen !

Message du Premier Ministre Anglais

Merci à vous grand Amiral Ric vous avez fait de l'excellent travail comme d'habitude...vous êtes invité par la Reine pour recevoir de ces mains votre récompense pour service rendu....

Message au Roi de France

Vous recevrez sous peu nos emissaires pour parler de paix....
J'espère que vous saurez reconnaître votre défaite, et que vous retrouverez ube attitude moins agressive sur le continent.

Message au Roi d'Espagne

Nous avons toujours vécu en bonne intelligence, j'espère que votre embargo n'est que provisoire.

Message au Roy d'Angleterre

Songez que plus le prix à payer de cette guerre sera lourd, plus la France interviendra dans les affaires du continent.

Message au Roi de France

Les première revendications Anglaises sont les suivantes :

- Renoncement du ROi de France à ses colonies de Louisiane
- Réouverture de COT d'Ile de France aux marchands Anglais
- Compensations financières

Message au Roy d'Angleterre

Voici notre proposition : nous vous cédons la Louisiane, et rien d'autre.

Message au roi de france ....
NOus demandons également que vous payez le tribut de votre défaite ....
Soit 500 ducats.....

La louisiane et rien d'autre. N'oubliez pas que grace à ce territoire vous vous assurez la maitrise le toute l'amérique du nord.

Message Anglais

Nous voulons une garantie de non-embargo pour 5 ans, nous ne triterons pas sans cela....

et 200 ducats minimum.... la valeur des colonies de louisiane et trop faible pour nous en contenter

1593 – 1632. Du renforcement des acquis et de la lutte contre les Beys


L’arrivée au pouvoir d’un incapable notoire, Mehmed III, est un signe qui ne trompe personne : l’age d’or du glorieux empire ottoman est derrière lui . Il devient dès lors nécessaire de défendre nos si maigres acquis contre la jalousie des envieux et non plus chercher à grandir encore : toute chose a une fin, même (surtout) les plus plaisantes. Des juges sont nommés dans l’immense majorité de nos provinces : nos citoyens doivent pouvoir bénéficier d’une justice impartiale, seul moyen d’empêcher tout mécontentement et désir de sécession.

Impressionnés par les innombrables avantages dont bénéficient nos peuples, les fiers mais turbulents guerriers du Shongai nous supplient de bien vouloir intégrer leur royaume arriéré à notre sublime empire : c’est chose faite en 1600 et, le Sultan, homme à la bonté quasi infinie , découvre tout étonné que ces voleurs de poule récidistes possédaient de riches mines d’or. Cet afflux soudain et inespéré de capitaux nous permet de relancer une grande campagne de conversion dans les dernières provinces non sunnites de l’empire : Rhodes, Chypres, la Macédoine et l’Arménie sont convertis. L’impossible rêve de Soliman le Magnifique est quasi réalisé, à la stupeur générale : le triomphe de la foi !

Notre prospère nation peut alors envoyer des marchands aux quatres coins de monde et construire quatre manufactures, les premières de notre empire depuis la destruction par le feu des manufactures de Crête et de Constantinople la belle. Mais ce regain de vitalité, permis grâce à la grande compétence du Sultan Ahmed I et de sa concubine grecque Kosem n’est que temporaire et, déjà, de noirs nuages s’accumulent au-dessus de nos paisibles et pacifiques têtes blondes .

Les Beys, gouverneurs corrompus de nos provinces, accrochés à leurs antiques et iniques privilèges, refusent en effet toute réforme pour améliorer l’administration provinciale et se heurtent avec violence aux juges nouvellement nommés pour lutter contre la corruption, dont ils sont en effet les principaux bénéficiaires. La réaction du Sultan est implacable : 400.000 soldats sont mobilisés et dispersés dans l’empire. La réforme, indispensable pour freiner notre inexorable déclin, est imposée par le fer, le feu et le sang : nos janissaires invincibles écrasent impitoyablement toutes les tentatives de révoltes des immondes beys coeliens .

Allah est grand, l’empire sort finalement grandi de cette nouvelle épreuve et Murad IV, le nouveau Sultan, peut s’attaquer au nouveau défi qui menace l’empire : nos revenus fondent comme neige au soleil . La disparition de notre centre commerciale au Daguestan en est la preuve la plus visible, mais il en est bien d’autres, comme l’incapacité de nos marchands à empêcher désormais l’Espagne d’établir des monopoles commerciaux absolument partout ou les difficultés que nous rencontrons à rester aligner sur les technologies occidentales.

1632 – 1667. Les grands vizirs reprennent le flambeau


Les nouveaux Sultans du glorieux empire, fatigués par la pénible gestion quotidienne de leur immense empire, préfèrent passer leurs journées dans leurs grandioses harems, goûtant à des plaisirs bien terrestres puis élevant leur âme vers le ciel en chargeant des hommes audacieux et brillant de répandre la parole divine : le temps des grands vizirs est arrivé. Ce sont eux qui, désormais, vont diriger l’empire d’une main de fer et imposer de nouvelles et audacieuses réformes.

Des gouverneurs sont en effet nommés partout pour garder sous contrôle l’inflation et augmenter nos revenus, nos marchands repartent à la conquête des marchées, des mosquées et des universités sont construites un peu partout et des sommes colossales sont englouties pour convaincre les derniers incroyants de rallier la Vrai Foi. Au monde émerveillé, nous disons : le rêve incroyable de Soliman le Magnifique sera très prochainement réalisé .

Puis, des sommes encore plus immenses sont investies pour fortifier nos frontières : des titanesques forteresses étendent désormais l’ombre de notre infinie puissance sur l’entièreté de nos frontières avec les austro-russes. L’Empereur lui-même est abasourdi et tétanisé par l’ampleur herculéenne de notre oeuvre, qui révèle au grand jour toute l’étendue de notre volonté à toujours défendre l’intégrité territoriale de notre empire : ce qui est à nous le restera à jamais.

Mais le Sultan et ses grands vizirs, tous hommes de paix depuis la création de notre empire , tiennent aussi à rassurer Vienne : ces constructions montrent bien que nous considérons nos frontières actuelles comme stables et définitives. Un traité de non-agression peut être signé entre nous, saisissez vite cette occasion avant que nos invincibles Janissaires ne nous fassent changer d’avis...


Missives diplomatiques.


A Vienne. Nous proposons généreusement un traité de non-agression entre nous afin d’officialiser les bons rapports que nous entretenons désormais depuis quelques décennies. Mais n’oubliez pas ce qui vous est arrivé lorsque vous avez, jadis, violé la parole que vous nous aviez donné : votre capitale n’est pas plus éloignée de nos troupes d ‘élite qu’elle ne l’était il y a un siècle...

A Paris. Nous sommes satisfaits des excellents rapports que nous entretenons avec vous depuis des siècles et écoutons toujours vos sages paroles, mais nous avons parfois quelques difficultés à comprendre votre politique étrangère : nos ambassadeurs respectifs devraient éclaircir au plus vite certains points sombres.

A Londres. Votre appétit est-il donc sans limite ? Nous notons cependant votre noble volonté d’assurer la liberté commerciale pour tous, ce qui répond à notre souhait, et n’avons aucun grief vis-à-vis de votre splendeur.

A Madrid. Nous espérons que vous vous remettrez promptement du choc terrible qui vous attend et vous souhaitons un heureux retour parmi nous.

A Moscou. Prenez garde, Tsar, vous semblez renouer avec les sinistres méthodes de vos ancêtres et l’on a vu où celles-ci menaient ! Faites promptement la paix avec nos frères ouzbeks et n’oubliez pas que nous ne dormons que d’un oeil, veillez à ne pas nous réveiller car il vous en cuirait. S’il faut quelqu’un pour vous botter le cul afin de vous apprendre la modération et la sagesse, sachez que nous tenons notre bâton prêt pour cet usage.

Proclamation du Roi d'Angleterre

Suite à l'infame agression française du petit Royaume Souverain des
Pays-Bas,nous tenons à signifier notre mécontentement quand au
comportment français et notre soutiens à la cause des Protestants de Hollande.

Nous déclarons donc en ce lieu et en ce jour que nous ne saurions avoir
de bonne relations avec le Royaume de France tant que le peuple
Hollandais n'auras pas retrouvé sa pleine et entière liberté. Nous
considérons dès aujourd'hui la France comme un Royaume béliqueux et
lui fermons la porte de nos Centres de commerce et soutiendrons avec
tous les moyens dont nous disposons ceux qui comme nous
s'opposerons à la France.


Message diplomatique

A l'autriche

Nous sommes triste de voir si peux de message diplomatique entre nos
2 nations protestantes. Unis nous pourrions défendre efficacement le protestantisme.

A l'ottoman

La grandeur et la qualité de vos intendant nous laisssent admiratif,
votre empire brille de mille feux. Nous souhaitons que nos 2 Nations
aient encore longtemps d'excellents rapport.

Au Russe

Nous voyons que votre empire grandis chaque décénie en peu plus,
mais sachez que nous tenons a l'indépendance des Nations
protestantes que sont la Suède et l'Autriche.... ne vous aventurez
donc pas trop a l'Ouest...
Votre Alliance avec la France est également très mal vue à Londre...

A l'Espagnol

Nous souhaitons à notre Allié un prompte rétablissement, sachez que
notre corps expéditionnaire Andins reste a votre disposition pour toutes
nouvelle guerre contre l'Inca....Nos armées ont triomphé ensemble et
peuvent encore le faire.....Nous vous serions reconnaissont de lever
l'embargo que vous nous infliger et ce malgré notre alliance......


A la France

....entre nous tout est dit......

A tous

Sachez que nos centres de commerce sont ouverts sans aucune
restriction ni droit de douane à toute les nations n'affichant pas un
bellicisme ouvert à notre égare. Vous êtes donc les bienvenu dans
nos COT trop peu de marchands Russe ou Autrichiens sont présents
dans les centres de commerce de ce monde....qu'attendez vous ??

Chronique Anglaises MDCLXVII-MDCLXLVII

Etat en 1667

L'Angleterre cette nation de marchands et de marins a connu
les 50 dernières années une expension que jamais elle n'avait
connu auparavant. Les revenu du commerce et des riches colonies
nord américaines permettent désormais à L'angleterre de possèder
une flotte importante de près de 150 Warship et 125 Galère de combats
quelques peu désuètes. Le Royaume dispose également de l'armement le
plus moderne tant sur terre que sur mer, ce n'est pas que l'Anglais
est un peuple béliqueux de nature. Mais, il faut assurer la protection
des sources de revenu du Royaume face à l'esprit revanchard du voisins
français. LA prise de contrôle de 3 COT asiatique au début du siècle
s'inscrit dans cette politique de contrôle des sources de revenu.
Le Royaume dépend du commerce dans ces COT, il faut donc s'en assurer le contrôl.

Evolution entre 1667 et 1694

Durant une première période, le pouvoir Anglais c'est concentré
sur l'améliorations du système défensifs de l'empire de nombreuse
fortifications ont été construites et les garnisons de nos COT atteignent
désormais 15000 hommes.

Les fortifications de Londre ont été étendue pour pouvoir tenir
un long siège c'est désormais 20000h qui garde le joyaux Anglais.
Sur mer la flotte a été porté dans un premier temps a 250 Warhips,
ceci afin de contrer la construction effrénée de la marine française.
L'armée permanente a été portée a 200000h pour assurer la protection
des colonnies et une force de frappe rapide.
De plus de gros efforts ont été réalisés pour étendre nos colonies
américaines et Asiatiques, la Nouvelle Zélande a elle aussi été totalement
colonisée.

L'escalade française, faisant fis de nos avertissement et souillant ses
belle paroles le Roy de France repris durant 9eme décénie la construction
ne nombreux navires de guerre. Le Roi de notre glorieuse nations savait
ce que cherchait le Roi crépusculaire...sa revanche...
prendre sa revanche sur l'Angleterre et devenir une puissance navale...
Ceci était bien sûr impensable pour le roi d'Angleterre qui déclara la
guerre au Roi de France après avoir préparé d'important préparatifs.
Les première cibles fut les Antilles Françaises laissée sans protection
et les colonies de l'extrême nord américain.
Les Antilles tombère rapidement et le nord américains mis plus de
temps en raison des horrible conditions météorologiques et de la
politique de terre brûlée de colons Français.

La Guerre en Asie fut plus ardue en raison de la multitude de pirates
engagés par le ROi de France pour compenser l'incapacité de sa flotte.
Les colonies d'Afrique tombèrent rapidement.
Mais Bourbon et les Philipines tinrent longtemps les armées Anglaise
en echec principalement en Raison du manque de navires en Navire
de guerre sur ce front. En effet, il n'avait pas été prévu de voir tant
de pirates rallié la cause Française.

Mais l'élément décisif de la guerre fut sans aucun doute la défaite de la
marine Française dans la manche. Attaquant la flotte de galères anglaises
gardant la manche la FLotte Française fut surprise par la Royal Navy
supérieur en nombre et en qualité. LA flotte Française fut laminée et
se réfugia dans les ports de Normandie.
Perdant ainsi toute possibilité de sortie et de manouvre pour protéger
les colonies Françaises.

La guerre était jouée...

Le roi de France ne
voulant pas reconnaître la défaite, un corps expéditionnaire commandé
par le général "Marlborough" mis pieds sur le sol de France, défis
l'armée Française gardant les côtes normande mais du finalement se
retirer devant l'arrivée de trop nombreux renforts Français.
La défaite française fut finalement reconnue par sont Roi qui céda
2 colonies Française des Antilles a la Couronne Anglaise, dont le
COT de Martinique.

L'angleterre avait frappé, certes la victoire était courte en raison
du manque de préparation en Asie...mais e fut tout de même une victoire.

Dans les années qui suivirent, Louis se vengea en attaquant lâchement
les Pays-Bas et leurs arrachant les 3/4 de leurs provinces nationnalles...
rendant le ROi Anglais ivre de colère.
Jusqu'en 1694, L'angleterre investit dans la construction de manufacture
et dans le dévelopement de sont commerce et de ses colonies. La Royal
fut portée à 350 Warships, l'objectifs étant d'atteindre les 500 dans 20 ans.

Une expédition fut également menée en Amérique du Sud contre les
INcas pour aider le nouvel allié Anglais, l'Espagne, Incapable de
mater les sauvages INCAS. Le cas Inca fut réglé en quelques batailles,
et les colonies espagnoles retrouvèrent la paix. L'Inca céda même
une mine d'or à l'Angleterre.

Reste du monde.

France
Cette dernière connu un fort dévellopement grâce à un souverain des
plus conpétant. Son commerce et ses infrastructures explosèrent,
il développa enfin une flotte qui bien qu'elle reste inférieur à la
marine Anglaise tiens désormait la seconde place. Ses colonies
d'Asie se dévellopèrent également.

Autriche
Peu de choses nous sont connues si ce n'est le triste rapprochement
politique avec la Russie et son peu d'ouverture face à l'Ottoman.
SOn armée s'est modernisée mais reste en retard, son commerce est peu
dévellopé mais le pays a tout de même un gros potentiel...

Empire Ottoman
L'étoile brillante du monde, un empire prospère gouvernée par des mains
de maître que dire sinon que son expension semble terminée et que sa
santé économique est époustouflante. Il est a noter la tension montante
entre l'Ottoman et la RUssie. SOn seul point faible, une flotte de guerre
désuète.

La Russie
Puissance montante, en friction avec l'Ottoman sur ses frontières sud....
le jour ou la RUssie dévellopera son commerce elle sera un adversaire
redoutable pour l'Ottoman.

Espagne
Un grand empire au abois qui n'a cessé d'appeler à l'amitié Anglaise,
qui l'a finalement secourue malgré son apétit colonial. Ferait une cible
de choix pour son voisin Français.

1668 – 1694. Une période de transition


L’étoile brillante du monde , profitant de ses derniers éclats, montre une fois encore au monde émerveillé toute l’étendue de son infinie puissance. Il suffit en effet au vertueux et pacifique Sultan d’élever un peu la voix, un tout petit peu, pour que le Tsar pathétique, terrorisé, se précipite en gémissant dans sa tanière, pleurant et suppliant sa Splendeur de l’épargner une fois encore : la baudruche moscovite se dégonfle à toute vitesse et multiplie les signes de soumission vis-à-vis du splendide empire. Paix blanche immédiate avec nos frères ouzbeks, que nous intégrons aussitôt dans notre alliance militaire, envoi de sa femme et de ses filles à Constantinople pour le harem impérial, tribu annuel et démobilisation des frontières. Grande est notre puissance, pathétique est le royaume de Russie et, dans son infinie bonté, le Sultan consent à ne pas l’écraser comme le vulgaire cafard qu’il est pourtant .

Nous sommes étonnés par contre de constater que l’Empereur, que nous pensions plus sage, a recueilli en son sein ce cloporte infâme : pourquoi une telle alliance ? Serait-elle dirigée contre notre immensité ? Souvenez-vous de nos guerres passées et dites-vous bien qu’il en sera toujours ainsi : le Sultan, comme il le fait depuis 250 ans, vous offre la paix et une reconnaissance mutuelle de nos frontières, mais si vous nous attaquez, alors vous sentirez le poids terrible de notre colère et vous terminerez la guerre amputé d’une ou plusieurs provinces. Rien n’est plus cher à nos yeux que la paix, mais nous défendrons toujours avec le plus grand fanatisme l’intégrité territoriale de notre empire, dont les frontières ont été fixées par Allah lui-même. Nous sommes en paix depuis des décennies, pourquoi ne pouvez-vous donc en faire autant ?

Certes, certes, il y a eu cette petite expédition punitive contre les Mongols... affaire lamentable et complètement ratée par la Sublime Porte, qui n’a pas su profité de l’occasion en or qui s’offrait à elle (mon Dieu que j’ai honte, j’ai complètement foiré sur ce coup là ) : cette tragédie aura au moins eu le mérite de montrer que l’amitié du Roi de France n’était pas un vain mot : Louis est un grand homme ! Enfin, le Mongol disparaît et son cot, qui aurait du nous revenir, est désormais sous le contrôle de notre allié ouzbek, à l’origine il est vrai de toute cette affaire, qui a pris le Sultan complètement par surprise : ses taxes renfloueront les caisses vides de nos frères ouzbeks.

Cela malheureusement n’aide pas nos propres revenus, qui continuent à fondre comme neige au soleil : l’empire peine de plus en plus à tenir son rang face à l’incroyable dynamisme des nations occidentales, France et Angleterre en tête. Et nous ne parlons même pas de notre immense retard dans le domaine naval... notre déclin se poursuit inexorablement et ce ne sont pas nos Sultans pitoyables qui vont changer cela (on passe en effet du médiocre au très médiocre en passant par le pathétique et le ridicule ).

Quelques hommes audacieux, heureusement, luttent encore de toutes leurs forces pour freiner au maximum cette inexorable décadence : une dizaine de manufactures sont construite et, surtout, une nouvelle réforme de l’administration provinciale est entreprise. Une fois encore, les Beys coeliens corrompus y font obstacles et tentent de déstabiliser l’empire (stabilité –6, risque de révolte +6), mais nos invincibles janissaires écrasent impitoyablement toute tentative de révolte : par le fer, le feu et le sang, l’ordre est rétabli partout et l’empire en sort une fois de plus grandi. Tant mieux, car l’avenir reste toujours aussi sombre pour nous... Comme notre âge d’or est donc lointain ! Quel triste sort est donc le nôtre ! Que n’ai-je tant vécu pour vivre cette infamie !

Missive Anglaise

Le souverain de l'étoile brillante du monde cite l'amitié et la grandeur du
Roy de France.... belles illusions.... ce même souverain, apeuré par la
puissance anglaise, nous mettait en garde contre vos Janissaires prêt à
fondre par surprise de nos COT...

Ne vous trompez pas sur la nature française....certes nous avons été
souvent l'agresseur, mais vaut mieux prévenir que guérir avec les
Français.

Le Roi de France est un loup dans la Bergerie Europe mais le Dog Anglais veille....

1668-1694

Consolidation de l'Empire Français et guerre perdue (encore) contre l'Angleterre


Des 1667, le Grand Roy Louis le quatorzième décida de mettre en chantier dans tout les arsenaux du Royaume de France de bons et fiers navires. Les caisses de l'Etat étant pleines de bonnes pièces d'or, la marine royale devait dépasser la marine anglaise, et devenir la plus formidable armada maritime de tout les temps, pour contrer l'influence anglaise outre-mer.
Notre plan était dans un premier temps de construire 300 navires de haute mer, puis de compléter cette flotte par 300 autres navires après une pause pour investir dans le commerce et l'infrastructure.
Arrivée à 250 navires, notre flotte commençait sérieusement à inquité l'naglais qui se demandait comment il allait faire pour contrer la marine française en plein développement. Dans un premier temps il nous menaça bassement en nous ordonnant de mettre un terme à la construction de nos bons navires. Le Roy Louis répondit qu'un Royaume capable de construire un si beau palais comme Versailles n'avait pas d'ordre à recevoir d'une nation de grattes papier et de vils marchands trompeurs et miéleux.
Nous nous doutions des lors que l'Angleterre allait réagir par des moyens militaires à notre force grandissante. Mais alors même que nous préparions la décentralisation de notre flotte dans l'océan indien et dans l'atlantique, voila que la vile angleterre nous déclare la guerre !
Pris au dépourvu, nous mobilisons partout dans toutes nos colonies, surtout aux Philippinnes très isolées.
Dans un premier temps, nous remportons un succés car notre flotte coule dans la Manche une soixantaine de galères anglaise. Mais une nouvelle flotte anglaise dirigée par un amiral diabolique arrive à sa rescousse et nous perdons 30 navires. Notre flotte est obligée de se réfugier dans nos ports de Normandie à l'abrie des canons de nos puissants forts cotiers. L'anglais organise alors le blocus de ces ports par une armada de plus de 350 navires. Une sortie aurait été suscidaire, à un contre deux.
Cepednant, quelques jours après, nous apprenons que nos colonies du Canada sont attaquées par les Anglais. Heureusement, notre garnisons de 1500 hommes seulement réussit à repousser les anglais, mais perd des batailles par la suite. Une sorte de guerre de guérilla est alors menée, et les colonies passent d'une main à l'autre tout les mois suivant les mouvements des armés.
Dans les Caraibes, la situation devient catastrophqiue car l'anglais s'empare de nos iles grâce à une force d'invasion de 30 000 hommes environ.
En Afrique, nous arrivons à écraser un corps anglais grace à une armée de conscrits noirs rapidement mobilisé dans notre riche ville de Luanda sur la cote ouest.
Dans les Philippinnes, la situation est dans un premier temps mauvaise, car l'anglais nous prend une ile isolée, puis débarque dans le nord. Nos garnisons perdent de nombreuse batailles, et les iles sont sur le point de tomber lorsque Ho Miracle, nous gagnons une bataille et chasson l'anglais grace à la vaillance d'un général exceptionnel. Pour éviter tout nouveau débarquement anglais, nous engageons des centaines de corsaires pour mener la guerre de course contre les navires anglais. Ainsi nos iles sont gardés par quelques navires. (on raconte qu'un certain corsaire du nom de barbe rouge que nous avons embauché aux Philippinnes a réussi à défaire avec 3 navires une floote anglaise de 30 vaisseaux, et ceci à plusieurs reprises).
Des garnisons résistent de manière tout à fait exceptionnelle, ainsi à Bourbon, nous remportons plus de 3 batailles avec seulement moins de 10 000 hommes, face à des armées anglaises dantesque de presque trois fois nos forces.
Mais il fallait se rendre à l'évidence, malgré quelques succés éclatant, la guerre était perdue : Notre flotte était bloquée en Normandie, beaucoup de nos territoires outre mer entre les mains des anglais. De plus, l'embargo anglais nous priva d'une source de revenus colossale (on estime que 80 000 ducats par mois se sont envolés à cause de cet embargo).
Le Roy dans son infinie sagesse décida donc de faire la paix en cédant 2 iles des Caraibes.
Le coup fut rude, mais il fut décidé de réinvestir dans les technologies car nous n'avions guère la coeur à reconstruire une flotte pour l'instant. Et la le succés fut éclatant !! Notre niveau commercial dépassa l'angleterre et culmina à près de 103 % en 1693. Notre niveau militaire naval est à moins de 1 ou 2 de celui de l'Angleterre. Le terrestre égale.
Nous dépassons les 420 000 ducats par mois et talonnons l'Angleterre qui semble sur le déclin ou tout du moins la stagnation économique. Grace à notre conquète des Pays-Bas, nos revenus annuels sont devenus colossaux, et le trésor royal culmina un jour à 6 000 000 de ducats. Ne sachant que faire de tnat de richesse, nous proposames des prets (1000 ducats à la Russie, que l'on appelle les emprunts russe de 1692). Nous fortifiames la frontière du Rhin etc.

En résumé, la france est dans une phase d'explosion économique. L'explosion militaire n'a été que ralenti par la guerre contre l'Angleterre, et ne saurait tarder...

[/b]

Missive Anglaise au Roitelet de France......

La France a une vois monté sa perfidie et sa soif de pouvoir
en attaquant sans raison l'Angleterre...
Nous avons fait des concessions accepté certaines manoeuvre
françaises espérant ainsi mettre fin a toutes ces années de guerre
entre nos 2 Nations.
Mais vous n'avez fait que profiter de nos concessions pour mettre
au point un plan infâme de guerre contre notre beau et prospère Royaume....
Vous avez signé la paix avec l'ESpagne sur un malentendu...
mais nous avons bien entendu vos manigances....

La guerre vous avez voulus.... la guerre vous aurez...
les navires Anglais se feront un plaisir d'envoyer par le fond votre
flotte...il ne vous restera plus qu'a attendre le couperet...

Vous réclamez le COT de Johor...venez dont le chercher...
si vous en êtes capable...

Les Français sont nobles, courageux et plein d'inititives....
mais leurs souverains ne sont que des hommes perfides et attirée
par le pouvoir et le sang....

Nous ne sommes pas l'Autriche....nous ne plierons JAMAIS
devant les Barbares !!!

GUERRE !!!!!

GUERRE

La France ne cédera pas face à l'infamie anglaise, nous jurons de réduire Londres à l'état de ruines fumantes. Puissent les armes de notre noble armée et de nos fiers navires envoyer vos sbires dans les tourments de l'enfer.

Désormais, c'est la victoire, ou la mort.

1695 – 1716. Après la pluie le beau temps


Une douce quiétude a envahi l’empire, qui vit dans la paix et la sérénité depuis des décennies. Oh, certes, le petit roquet russe, jaloux de la grandeur qui s’attache à nos pas et qui éclipse totalement sa misérable personne, continue à postillonner dans notre direction, mais cela fait plutôt rire le Sultan : le misérable Tsar, en effet, constamment imbibé de vodka, est incapable de viser correctement et ses crachats atteignent immanquablement l’Empereur d’Autriche ! (oui, c’est très drôle, nous en rions encore, mais Vienne devrait réagir et châtier l’insolence de Moscou)

Nous profitons de notre prospérité pour commercer paisiblement et améliorer notre économie certes vacillante mais toujours compétitive. Nous assistons avec surprise à l’aventure nippone de l’Autriche : comment notre audacieux voisin est-il arrivé jusque là ? mystère . Toujours est-il que leur expédition asiatique est un cuisant échec, mais l’Empereur parle d’y revenir.

Il lui faut pour cela la sécurité sur ses frontières orientales. Le Sultan apprécie les audacieux et n’a de plus cher désir que la paix avec notre grand voisin autrichien. La bonne volonté mutuelle des deux souverains permet d’arriver rapidement à un traité de paix et de non-aggression pour une durée de 40 années (1697 – 1737) : que ce soit dit que ce soit écrit, les deux monarques ont engagé leur parole dans ce traité renouvelable à l’infini 8) .

Et comme un bonheur n’arrive jamais seul, voilà qu’un homme brillant et énergique émerge enfin de la boue dans laquelle se complaisaient nos derniers souverains : Ahmed III renoue avec la tradition des tout grands sultans ! L’arrivée au pouvoir suprême de cet homme compétent et brillant inquiète dramatiquement les beys coeliens, qui craignent de perdre leurs derniers privilèges et qui vont dès lors tenter une carte nouvelle pour faire vaciller le pouvoir central : l’autonomie des peuples !

Le mouvement impie commence en Tunisie puis s’étend rapidement à l’Algérie et la Tripolitaine : la révolte grandit partout dans nos provinces et l’empire est en crise (stabilité –4 et risque révolte +8 quand même... ). Heureusement, il nous reste nos invincibles Janissaires, toujours fidèles, qui remplissent à merveille leur mission sacrée : préserver l’intégrité de l’empire. Les révoltes sont écrasées dans le sang, le chef suprême des rebelles, un certain Al Coelio est écartelé sur la grand place de Constantinople* , et l’empire, une fois encore, en sort grandi.

Notre technologie fait un bond en avant, un Sultan brillant gouverne et les Janissaires, infatigables sentinelles de notre glorieux royaume, sont postés à nos frontières, prêts à toute éventualité. Il est amusant de constater que c’est le moment choisi par le tsar fou pour nous menacer à nouveau : le fol ne comprend donc pas qu’il ferait bien mieux de nous imiter et de renoncer enfin à la guerre, qui n’apporte que malheurs et désolation ?

Allah est grand et protège l’empire éternel !


*Ses dernières paroles auraient été ‘Tu n’auras jamais le numéro de ma Portugaise...Jamaiiiiiiiiii...’. Le fou délirait, sans aucun doute, mais le spectacle a divertit notre bon peuple, comme quoi même les gros monstres ont encore leur utilité .

1717 – 1737. L’Empire Ottoman et son allié Anglais repoussent les barbares


La paix, quelle merveille, quelle joie, quelle félicité... Nous ne nous en lassons pas. Et rien ne semble pouvoir rompre celle-ci : la France est notre allié officiel, l’Autriche a signé un traité de paix et la Russie est trop lâche pour oser nous attaquer. Tout va donc pour le mieux, et Ahmed III peut entreprendre une audacieuse réforme, qu’on appellera l’âge des tulipes : notre empire raffiné et cultivé incorpore ce que l’occident chrétien, et tout particulièrement l’Angleterre, a de mieux 8) . La sagesse anglaise nous permet d’améliorer encore notre administration, et donc nos taxes et nos revenus.

Ce bénéficie inespéré pour nos maigres finances nous permet d’améliorer les forteresses de nos frontières, auxiliaires indispensables pour la défense de l’empire : une armée modeste mais courageuse veille aussi et sa vigilance est sans faille . C’est d’elle que nous parvient les premiers signes avant coureurs d’une catastrophe, et des signes célestes viennent le confirmer : il faut se préparer, le Mal prépare un nouvel assaut contre les forces du Bien . Rien pourtant ne pouvait nous laisser prévoir ce qui allait arriver...

L’acte le plus ignoble dont homme s’est en effet jamais rendu coupable depuis la Création. Nous connaissions les penchants criminels de certains fous couronnés, des barbares, des bêtes, mais nous les pensions toujours humains... Nous nous trompions. En 1735, en effet, alors que nous vivions dans la sérénité la plus totale, une attaque surprise sans préavis aucun et sans la moindre raison non plus de TROIS pays majeurs, France, Autriche et Russie, osait nous attaquer... Et pourquoi ? Nul ne le saura jamais. Le traître se complait dans la trahison, l’ignoble dans la perversité, voilà la seule explication possible.

L’Empereur avait signé, devant les hommes et devant Dieu, un traité de paix avec nous, il avait juré sur la Bible de le respecter... et il nous attaque. Le parjure.

Le roquet moscovite, naturellement, en est aussi : le lâche ne rate jamais une occasion d’attaquer quand le rapport de force est très largement en sa faveur, oubliant que nous aurions pu, si nous étions comme lui, le faire taire à jamais depuis longtemps. Le lâche.

Et le plus ignoble de tous, le Roi de France, notre allié depuis 250 ans, qui quelques années avant osait encore nous demander notre aide, nos conseils, notre sagesse. Le traître.


Heureusement, nos Janissaires sont prêts, comme ils le sont depuis des décennies, et nous avons blindé les Balkans en prévision justement de ce choc. Et Allah est avec nous : les mécréants, par leurs actes ignobles, ont déclenché sur eux la colère divine. Ils en payeront le prix et il sera élevé.

Le lâche porte le premier coup : 200.000 soldats déferlent en Crimée, croyant trouver des proies faciles et des femmes à violer car tels sont leurs coutumes. Mais, pour cela, ils ont bien mal choisi leur adversaire : quelques-uns uns parviennent à retraverser les frontières, généralement blessés ou mutilés, mais ils forment la minorité. L’ignoble tente alors alors de multiplier les assauts, espérant nous déborder mais, partout, nous faisons front avec succès, tout juste subissons-nous une légère défaite à cause du moral défaillant de nos alliés Ouzbeks : les Russes sont exterminés sans pitié, comme des bêtes sauvages, ce qu’ils sont indéniablement .

Le Dnieper et la Volga sont rouges de sang, nul ne les pleurera. Le Tsar nous menace de guerre depuis des décennies : il a voulu ce conflit, il l’a eu. Maintenant, son pays souffre de sa folie. Le misérable, en tout cas, n’a rapidement représenté plus qu’une menace totalement dérisoire : le roquet moscovite n’est rien d’autre qu’un ivrogne stupide et borné, qui ne mérite que notre mépris le plus hautain.

Le parjure frappera le deuxième coup : ses hordes bien entraînées et, surtout, bien commandées, déferlent dans les Balkans... Mais nous sommes prêts et Dieu a décidé de nous aider à punir l’immonde : Il nous bénit et grâce à lui nos armées remportent succès sur succès. Au Pecs, au Magyar et au Krain, partout les Autrichiens sont vaincus et décimés. Aucune défaite pour nous, ce mot n’existe même pas dans notre langue si raffinée .

Le traître entre alors en scène : il débarque lâchement sur nos îles, où nous ne pouvons rien faire... Notre flotte est complètement dépassée et doit rester à l’abris de nos ports retranchés. Chypres, Rhodes, Corfou, la Crête, l’Ionia, rien n’échappe aux Français sans honneur. Mais l’échec total de Vienne va obliger le traître à s’avancer à son tour dans les Balkans : 200.000 soldats déferlent, une armée moderne, des chefs excellents .

En face, nos Janissaires déjà bien éprouvés par le premier assaut du parjure, mais qui ont conscience de lutter conformément à la volonté divine : le monde civilisé compte sur nous, nous sommes son dernier rempart contre les barbares infidèles et sans honneur. Les Français sont arrêtés et exterminés. Malheureusement, en méditerranée, nous sommes impuissants et nos provinces tombent les unes après les autres. Oh, certes, chaque fois que le traître trouve le courage de débarquer sur le continent (Grèce, Liban...), nos Janissaires fondent sur ces troupes et les anéantissent impitoyablement, mais dans les îles nous ne pouvons rien. Il nous faut de l’aide pour repousser le grand péril qui menace notre stabilité intérieure.

En Europe, un seul souverain est aussi noble et civilisé que nous : le Roi d’Angleterre. Lui qui lutte courageusement contre l’ignoble et traître français, qui ne cherche que la guerre, la mort et la désolation. Loué soit le King ! Sa Majesté confirme sa réputation d’homme juste et de rempart contre la barbarie en intervenant à nos côtés... Le Sultan n’oubliera pas ce geste et Londres a gagné notre amitié .

Les misérables comploteurs, les infâmes, conscients que leur défaite approche aussi rapidement que la foudre divine vengeresse unissent alors leurs forces : le traître et le parjure déferlent à nouveau, ensembles, dans les Balkans. Plus de 300.000 criminels avides de sang et de tortures. Tous connaîtront la même fin tragique, malgré l’excellence de leurs généraux, bien supérieurs aux nôtres : on ne plaisante pas avec le Sultan et on raconte que son grand vizir, Al Danton lui même, menait personnellement les Janissaires au combat . Allah est grand !

Humilié et battu, le parjure signe la paix, mais le traître, lui, s’obstine avec le lâche, mais il évite craintivement tout combat avec l’Angleterre, qui l’a si souvent battu. Des émissaires ottomans partent alors pour Londres et apprennent à son souverain que la flotte française sévit en méditerranée. Notre loyal allié répond à notre appel et la Royal Navy part aussitôt pour infliger une nouvelle correction aux impies, chose qu’elle adore faire. La bataille a lieu en mer égée et plus de 200 navires français sont coulés ! La menace terrible qui pesait sur notre tête innocente disparaît en même temps que les coques putrides de Paris la puante : loué soit la Navy, loué soit l’Angleterre ! God save the king !

Humilié et battu, le traître signe enfin la paix. Il ne reste plus que le lâche et ses jours sont désormais comptés. L’impuissant de la coalition va payer pour les autres et, bientôt, Moscou ne sera plus que cendres et ruines .


Messages diplomatiques à suivre (chouette aar, je suis content de moi )

Petit message de fin à la gloire du Sultan


Constantinople la belle danse, Constantinople la sublime chante sa victoire, ici tout n’est que réjouissances et triomphe : les perfides souverains ennemis ont renoncé et se reconnaissent désormais comme nos humbles vassaux .

Nos invincibles Janissaires, souvent attaqués, à du 4/1 généralement, mais toujours invaincus, sont allé cherchés les fourbes et les ont ramené dans notre belle capitale, nus et enchaînés. Nous les avons mis en cage et les avons exhibé trois jours et trois nuits dans les ruelles de notre si belle ville .

Leurs filles et leurs femmes ont rejoint notre harem et c’est devant elles que nous avons statué sur leur sort, nous, le juge suprême, le souverain de la moitié du monde:

-Le traître de France finira sa vie enchaîné sur le banc des galériens où il devra ramer avec entrain et enthousiasme pour éviter le fouet et mériter sa maigre pitance . Ce souverain qui a tant rêvé de posséder une flotte puissante et moderne capable de rivaliser avec la Royal Navy n’aura finalement gagné qu’une place de galériens esclave sur nos vieux navires . Peut-être y apprendra t-il enfin la signification du mot loyauté.

-Le roquet de Russie finira sa vie enchaîné au fond de nos mines d’or où il devra travailler dur pour éviter le fouet et mériter sa maigre pitance. Ce souverain ridicule qui a tant vociféré contre Sa Splendeur et jalousé notre richesse immense n’aura finalement gagné qu’une place au fond de nos mines, où plus personne ne l’entendra crier, pleurer et, surtout, gémir. Il pourra en outre contribuer à nous enrichir toujours plus et contempler jour après jour cette fortune qu’il a toujours vainement convoité .

-Le parjure de Vienne, véritable fol de notre époque, est jugé irresponsable de ses nombreux crimes et bénéficira donc de notre clémence. Mentalement instable et jouet aux ordres de Moscou puis de Paris, le Duc finira sa vie comme bouffon impérial . Nous lui confierons chaque matin un secret de polichinelle : il n’évitera le fouet et méritera sa maigre pitance que si, le soir, il ne l’a révèlé à personne. Cela lui apprendra peut-être un jour à tenir parole.

Le souverain d’Angleterre, juste et noble, est et restera notre aimable voisin et allié. Si jamais il lui venait à l’esprit d’abandonner son trône, il trouvera toujours chez nous un acceuil chaleureux et nous lui donnerons avec joie et plaisir le commandement en chef de notre marine de guerre.

Nous élevons enfin notre grand vizir Al Danton au rang suprême de Sultan : le pouvoir sera désormais exercé collégialement. Nous le maintenons aussi naturelement dans les nombreux postes qu’il occupait déjà : commandant en chef des armées, grand commandeur des croyants, grand argentier du royaume, émir d’Alexandrie, de Damas et d’Athènes, etc, etc, la liste est trop longue pour être énumérée entièrement .

D’accord, j’en reste là, mais j’ai bien ris (m'en fous si je suis le seul )


L’Europe en 1737, juste avant la soumission des ex-souverains cités ci-dessus.