cAARnage dans le Pacifique
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Re: cAARnage dans le Pacifique
Bravo !
(oui je sais c'est commun comme expression par ici, mais la qualité est toujours au rendez-vous et c'est un plaisir à lire)
(oui je sais c'est commun comme expression par ici, mais la qualité est toujours au rendez-vous et c'est un plaisir à lire)
Great minds think alike… Fools seldom difffers.
Ma fortune va grossir le revenue des pauvres qui sont aujourd’hui les véritables riches. A. Dumas, le Comte de Monte-Cristo
J'aime pas le foot, mais je veux bien faire un effort.
Ma fortune va grossir le revenue des pauvres qui sont aujourd’hui les véritables riches. A. Dumas, le Comte de Monte-Cristo
J'aime pas le foot, mais je veux bien faire un effort.
Re: cAARnage dans le Pacifique
25 au 31 DECEMBRE 1943
NOPAC
Rien
CENTPAC
Wake Les suites de la conquête de l'atoll continuent de se faire sentir. Le 25 décembre, le DD Seid coule dans le port en dépit de la présence de 3 AR désormais sur place.

Le 28 décembre, le DMS Trevor coule à son tour. Les batteries côtières de Wake m'auront couté cher...

Confié au Seabees, Wake atteint le niveau 4 de port et d'airfield le 29 décembre.

Par ailleurs, un AS a permit d'avancer la base de sous marin depuis Midway, avançant de 840 miles marins.
Quant à l'opération ET ON TOQUE , retards et confusion dans les escadres, ravitaillement en mer intempestif et ordres oubliés ont provoqué un sérieux retard dans son déroulement
.
Les 7 CV qui l'encadrent gardent un œil plus que vigilant, au cas ou le KB daigne enfin se montrer....

Le 25 décembre, au nord d'Ulithi, le Drum touche le AK Jokuja de 2 torpilles.

Le 26 décembre,à l'est de Menado, le KXVI en patrouille se fait surprendre par quelques corvettes japonaises qui lui font passer un sale quart d'heure et parviennent à le toucher d'une charge, contraignant le sous marin hollandais au repli vers Darwin.

Le même 26 décembre, au sud de Shangai, l'équipage du Gudgeon tente de se remettre de la Nouba qu'il a organisé la veille pour noël. Pas encore dégrisés, les marins sont incapables de toucher le cargo qui leur passe sous le nez....

En revanche, au sud de Tawi Tawi, le Apogon réussit son tir sur le TK Bokuei, en l'incendiant.

Le 27 décembre, au sud de Shangai, le Wahoo attaque un pétrolier. Touché d'une torpille, celui-ci voit sa cargaison de pétrole brut partir en fumées grasses et volutes noires.

Quelques heures plus tard, le Wahoo coule un MSW venu le chasser.

Mais le 28 décembre, repéré à l'Est d'Okinawa, le Wahoo subit un intense grenadage dans lequel il est touché.

Le 28 décembre, à Saipan, le Hackleback expédie une torpille au but sur le ML Kyosai, sans parvenir à le couler.

Le 30 décembre. Décidément les fêtes de fin d'année sont assez éthyliques pour les équipages du Silent Service. En prévision du réveillon, l'équipage du Sealion a commencé les libations, et du coup rate le AP Sangetsu au large de Menado
.

Le 30 décembre, les écoutes radiophoniques identifient le 4e South Sea Detachement à Tinian...bien moins puissant que les 20e et 43e DI repérées à Saipan.

31 décembre. Depuis Baker, 44 PB4Y Liberators viennent bombarder la garnison de Nanoméa, sur le point d'être assaillie. Malheureusement c'est le 31e road construction bataillon qui encaisse les coups
.

Les CV et CVL couvrent l'opération au nord de l'atoll, prêts à réagir: le KB n'est probablement pas loin
KB
En effet, les reconnaissances au dessus de Truk ont récoltés plusieurs indices.
Tout d'abord, c'est la CAP locale qui passe de 15 à 50 zéros le 26 décembre.
Par ailleurs 2 BB et 2 CV semblent visibles....

Le 28 décembre, nouveau CV repérés....

Le 29 décembre, un PB4Y repère le CVE Taiyo dans le lagon.

Alors, le KB est-il de retour à Truk ? Va t'il sortir du bois ? Si jamais il fonce sur Nanoméa, j'avorte l'opération, les CV Yorktown et Essex et CVL Princeton et Independance étant incapables de s'y opposer...
SOWEPAC
Salomons
Vella Lavella est occupé par les alliés le 25 décembre (par le jeu des ZOC; pas de screen).
Le 26 décembre, les abords de Tulagi sont nettoyés de leurs mines.

Le 27 décembre, amenant le 4e USMC Bn, le AK Robert J Walker heurte cependant une mine qui subsiste dans le secteur.

Le 28 décembre, Tulagi est investi sans coup férir: il n'y a aucun japonais sur l'ile, et probablement plus sur aucune ile des Salomons. Munda et le nord de Bougainville restent les seules bases ennemies locales.

Tulagi:

Depuis Tulagi en regardant vers Guadalcanal au dela du "Iron sound bottom"

Le 27 décembre, une escadre vient nettoyer les mines aux abords des Admirality, en prévoyance d'une future opération amphibie dans les prochains mois.

NORTH OZ
Koepang
Dès le 25 décembre dans la nuit, des débarquements ont lieu sur la cote du Timor Occidental, et se poursuivent dans la journée et même le lendemain.

Dans la journée, 6 B-25 venant de Derby attaquent le 8e Tk Rgt. 7 SBD venant de Dili sont incapables de repérer leur cibles à cause des nuages.

Les débarquements se poursuivent le 26 décembre sous l’œil de mes BB et sous la LRCAP du 8e FG mais l'ennemi ne réagit aucunement...
L'appui aérien du 26 décembre est conséquent: 10 Liberators australiens, 38 B-24, 14 B-25 et 8 SBD.

Le 27 décembre, nouvel appui aérien par presque 50 appareils.
Lorsque Australiens et Néerlandais lancent leur assaut conjoint, ils s'emparent dans la journée de la position. La 2e DI japonaise, comme subodorée, n'est plus présente. Investir la base dans ces conditions n'est pas difficile, mais si la 2e DI avaient été là, mes forces auraient été insuffisante à s'en emparer. Dans les combats, la 130e BF est anéantie sur place.

L'appui aérien se poursuit le 28 décembre, mais la météo m'en prive le 29.
Deux jours de combats ininterrompus permettent d'obtenir la destruction du 8e Tk Rgt le 29 décembre.

Amboine est frappé par des raids sporadiques ne rencontrant aucune opposition, les 26, 27 et 30 décembre ( 150 sorties en tout).
Ici le 30 décembre:

A Darwin, le 87e RAAF squadron de reconnaissance est mis en ligne le 30 décembre sur Mosquito PR-IX, un appareil disposant d'un énorme rayon d'action de 1200 miles (20 hex).

Prochaine étape dans 15 jours ou 3 semaines:.........AMBOINE.
CHINE
Le harcèlement des unités japonaises isolées sur la rive droite du Jialing s'est considérablement réduit: l’inefficacité offensive des troupes chinoises me dissuade de lancer de nouvelles attaques, permettant ainsi aux troupes ennemies de survivre
.

Par ailleurs, la menace que l'armée japonaise fait peser sur la rive gauche m'incite à concentrer mes coups sur ce point. Cependant, la météo gène mon aviation, les 2 squadrons de Blenheims basés à Chengtu restant collés au sol.
Les B-25 de Chungking sortent cependant quasi quotidiennement ( 157 sorties des B-25, 62 des P-40N utilisés en bombardiers).

En dépit de ce harcèlement contre lequel le japonais ne déploie aucune protection, l'armée ennemie passe à l'attaque le 29 décembre avec quelque succès.

C'est inquiétant. Un corps chinois reçoit l'ordre de venir depuis Chungking renforcer la position, mais au 31 décembre il n'a pas encore franchit le Yangtzé.
L'ennemi poursuit ses efforts et ses attaques les 30 et 31 décembre, quoi que avec des pertes non négligeables.
Le 31 décembre:

Autour de Kunming, la bataille fait rage.
Ici aussi l'aviation alliée est entravée dans ses opérations par une météo capricieuse.

L'ennemi lance un assaut le 29 décembre, qui périclite aussitot.

Pour maintenir la chine en état de combattre, 4 Groups et 5 squadrons de transports effectuent des rotations quotidiennes (par roulement) depuis Ledo en Inde. Ce sont environs 180 sorties chaque jour qui amènent environs 1000 points de ravitaillement journalier. Mais cela à un cout: les équipages sont parfois victimes de ces longs vols, et on compte entre 2 et 6 pertes ops par jour.....

MALAISIE
Apres la prise de Medan, le nettoyage des cotes est réalisé le 25 décembre.

A Singapore, les assauts contre les troupes japonaises se poursuivent toute la semaine, en bénéficiant d'un appui aérien bien plus modeste que la semaine précédente, afin de mettre au repos les équipages des quadrimoteurs.

Le 27 décembre, la 121e BF est anéantie dans les combats

Le 29 décembre, 4 autres unités disparaissent sous mes coups de boutoir. On espère un effondrement total ennemi, le début d'un massacre, mais ce n'est pas encore le cas....

Toute la semaine, des barges japonaises tentent d'évacuer les troupes nippones. Mon aviation veille, omniprésente, et 10 barges sont coulées.

En attaquant une barge à proximité de Jambi le 25 décembre, 8 Kittyhawks bataves se font intercepter par 22 Tojo, qui ont cependant du mal à rattraper les appareils alliés évoluant au ras de l'eau. Un Kittyhawk est descendu, alors que cela aurait pu être bien pire.

Le 31 décembre, entre Kuching et Singapore, le Templar rattrape une barge, expédiée au fond de l'eau avec des troupes à bord de 2 coups de canon. Par tout les moyens j'essaye de limiter les évacuations adverses.

Un autre moyen d'extraction est utilisé par l'ennemi: un destroyer en Fast Transport.
Le 28 décembre, le Pickerel intercepte le DD Asakaze au large de Jambi: le détroit formant un axe restreint permet aisément cette interception. Le Asakaze encaisse une torpille.

Ce destroyer est repéré dans la journée à proximité de Singapore par mes torpilleurs. 7 Kittyhawks et 6 Barracuda coulent ce destroyer d'une torpille et d'une bombe. Il faut désormais que je déploie une flotte pour arreter ce Tokyo Express.

Sur la cote orientale de Malaisie, le 9e RDH Cavalry et le 116e RAC Tk se concentrent pour tenter d'éradiquer les bribes d'unités japonaises qui s'accrochent au terrain. Le 30 décembre, des éléments de la 25e DI et de la 85e nav gd, encerclés, sont anéantis.

D'autres groupes dispersés lancent une charge banzai le 31 décembre (mais il reste encore des bribes de la 21e bde)

Un peu plus au nord, le 5307e US RCT a été rejoint par la 50e Indian Para Bde, et devront dans les jours qui suivent tenter d'éradiquer d'autres éléments d'unités japonaises.
Au nord de la Malaisie, la totalité du 23e FG est transféré à Alor Star le 26 décembre pour préparer un raid sur Bangkok qui abrite de nombreux appareils ennemis. Mais la météo reporte l'attaque jusqu'au 28 décembre, où 39 P-38J sweepent un ciel vide !

Enfin, le 30 décembre, mon sweep rencontre 24 Tony, dont 8 sont détruits....mais les Liberators britanniques sont restés l'arme au pied.

Le 31 décembre finalement, un raid massif rencontre un succès mitigé. Les 150 chasseurs des 23e FG et 80e FG détruisent 17 Tony pour une seule perte, mais les 83 quadrimoteurs ne détruisent que 7 avions au sol.

La prise plus rapide que prévu de Singapore m'a pris de court. La 12e Indian Bde est en route depuis Bombay où elle se recompletait depuis la campagne de 1942. Elle doit remplacer la 268e Bde, qui elle doit s'emparer de Sinkep, avec une base elle aussi en transit.
D'ici quelques jours, il est prévu de lancer une offensive aérienne contre Palembang, qui doit aplatir l'aérodrome et détruire l'aviation ennemie, afin de faciliter la prise de Sinkep. En aucun cas les champs pétrolifères ne sont concernés: je voudrais inciter l'ennemi à venir chercher son précieux pétrole brut pour faire tourner sa machine de guerre, en risquant ses pétroliers qui devront subir les attaques de mon aviation et de mes submersibles...Toutes les escadrilles de l'AVG seront alors de nouveau sollicitées....
BILAN DU MOIS
ENFIN les VP alliés dépassent les VP japonais ! Depuis le temps que je courrais après
.
La chute de Singapore a amené 2100 VP dans mon escarcelle.
( à noter que l'Amirauté continue à demander des navires sans cesse).

La courbe des VP

Le bilan des navires coulés: la marine de guerre nipponne, grignotée à chaque engagement, devrait bientôt sentir la baisse de ses effectifs. Pour les transports, je ne sais pas trop, mais le nombre de TK coulés en revanche m'encourage.


NOPAC
Rien
CENTPAC
Wake Les suites de la conquête de l'atoll continuent de se faire sentir. Le 25 décembre, le DD Seid coule dans le port en dépit de la présence de 3 AR désormais sur place.

Le 28 décembre, le DMS Trevor coule à son tour. Les batteries côtières de Wake m'auront couté cher...

Confié au Seabees, Wake atteint le niveau 4 de port et d'airfield le 29 décembre.

Par ailleurs, un AS a permit d'avancer la base de sous marin depuis Midway, avançant de 840 miles marins.
Quant à l'opération ET ON TOQUE , retards et confusion dans les escadres, ravitaillement en mer intempestif et ordres oubliés ont provoqué un sérieux retard dans son déroulement

Les 7 CV qui l'encadrent gardent un œil plus que vigilant, au cas ou le KB daigne enfin se montrer....

Le 25 décembre, au nord d'Ulithi, le Drum touche le AK Jokuja de 2 torpilles.

Le 26 décembre,à l'est de Menado, le KXVI en patrouille se fait surprendre par quelques corvettes japonaises qui lui font passer un sale quart d'heure et parviennent à le toucher d'une charge, contraignant le sous marin hollandais au repli vers Darwin.

Le même 26 décembre, au sud de Shangai, l'équipage du Gudgeon tente de se remettre de la Nouba qu'il a organisé la veille pour noël. Pas encore dégrisés, les marins sont incapables de toucher le cargo qui leur passe sous le nez....

En revanche, au sud de Tawi Tawi, le Apogon réussit son tir sur le TK Bokuei, en l'incendiant.

Le 27 décembre, au sud de Shangai, le Wahoo attaque un pétrolier. Touché d'une torpille, celui-ci voit sa cargaison de pétrole brut partir en fumées grasses et volutes noires.

Quelques heures plus tard, le Wahoo coule un MSW venu le chasser.

Mais le 28 décembre, repéré à l'Est d'Okinawa, le Wahoo subit un intense grenadage dans lequel il est touché.

Le 28 décembre, à Saipan, le Hackleback expédie une torpille au but sur le ML Kyosai, sans parvenir à le couler.

Le 30 décembre. Décidément les fêtes de fin d'année sont assez éthyliques pour les équipages du Silent Service. En prévision du réveillon, l'équipage du Sealion a commencé les libations, et du coup rate le AP Sangetsu au large de Menado


Le 30 décembre, les écoutes radiophoniques identifient le 4e South Sea Detachement à Tinian...bien moins puissant que les 20e et 43e DI repérées à Saipan.

31 décembre. Depuis Baker, 44 PB4Y Liberators viennent bombarder la garnison de Nanoméa, sur le point d'être assaillie. Malheureusement c'est le 31e road construction bataillon qui encaisse les coups


Les CV et CVL couvrent l'opération au nord de l'atoll, prêts à réagir: le KB n'est probablement pas loin

KB
En effet, les reconnaissances au dessus de Truk ont récoltés plusieurs indices.
Tout d'abord, c'est la CAP locale qui passe de 15 à 50 zéros le 26 décembre.
Par ailleurs 2 BB et 2 CV semblent visibles....

Le 28 décembre, nouveau CV repérés....

Le 29 décembre, un PB4Y repère le CVE Taiyo dans le lagon.

Alors, le KB est-il de retour à Truk ? Va t'il sortir du bois ? Si jamais il fonce sur Nanoméa, j'avorte l'opération, les CV Yorktown et Essex et CVL Princeton et Independance étant incapables de s'y opposer...
SOWEPAC
Salomons
Vella Lavella est occupé par les alliés le 25 décembre (par le jeu des ZOC; pas de screen).
Le 26 décembre, les abords de Tulagi sont nettoyés de leurs mines.

Le 27 décembre, amenant le 4e USMC Bn, le AK Robert J Walker heurte cependant une mine qui subsiste dans le secteur.

Le 28 décembre, Tulagi est investi sans coup férir: il n'y a aucun japonais sur l'ile, et probablement plus sur aucune ile des Salomons. Munda et le nord de Bougainville restent les seules bases ennemies locales.

Tulagi:

Depuis Tulagi en regardant vers Guadalcanal au dela du "Iron sound bottom"

Le 27 décembre, une escadre vient nettoyer les mines aux abords des Admirality, en prévoyance d'une future opération amphibie dans les prochains mois.

NORTH OZ
Koepang
Dès le 25 décembre dans la nuit, des débarquements ont lieu sur la cote du Timor Occidental, et se poursuivent dans la journée et même le lendemain.

Dans la journée, 6 B-25 venant de Derby attaquent le 8e Tk Rgt. 7 SBD venant de Dili sont incapables de repérer leur cibles à cause des nuages.

Les débarquements se poursuivent le 26 décembre sous l’œil de mes BB et sous la LRCAP du 8e FG mais l'ennemi ne réagit aucunement...
L'appui aérien du 26 décembre est conséquent: 10 Liberators australiens, 38 B-24, 14 B-25 et 8 SBD.

Le 27 décembre, nouvel appui aérien par presque 50 appareils.
Lorsque Australiens et Néerlandais lancent leur assaut conjoint, ils s'emparent dans la journée de la position. La 2e DI japonaise, comme subodorée, n'est plus présente. Investir la base dans ces conditions n'est pas difficile, mais si la 2e DI avaient été là, mes forces auraient été insuffisante à s'en emparer. Dans les combats, la 130e BF est anéantie sur place.

L'appui aérien se poursuit le 28 décembre, mais la météo m'en prive le 29.
Deux jours de combats ininterrompus permettent d'obtenir la destruction du 8e Tk Rgt le 29 décembre.

Amboine est frappé par des raids sporadiques ne rencontrant aucune opposition, les 26, 27 et 30 décembre ( 150 sorties en tout).
Ici le 30 décembre:

A Darwin, le 87e RAAF squadron de reconnaissance est mis en ligne le 30 décembre sur Mosquito PR-IX, un appareil disposant d'un énorme rayon d'action de 1200 miles (20 hex).

Prochaine étape dans 15 jours ou 3 semaines:.........AMBOINE.
CHINE
Le harcèlement des unités japonaises isolées sur la rive droite du Jialing s'est considérablement réduit: l’inefficacité offensive des troupes chinoises me dissuade de lancer de nouvelles attaques, permettant ainsi aux troupes ennemies de survivre


Par ailleurs, la menace que l'armée japonaise fait peser sur la rive gauche m'incite à concentrer mes coups sur ce point. Cependant, la météo gène mon aviation, les 2 squadrons de Blenheims basés à Chengtu restant collés au sol.
Les B-25 de Chungking sortent cependant quasi quotidiennement ( 157 sorties des B-25, 62 des P-40N utilisés en bombardiers).

En dépit de ce harcèlement contre lequel le japonais ne déploie aucune protection, l'armée ennemie passe à l'attaque le 29 décembre avec quelque succès.

C'est inquiétant. Un corps chinois reçoit l'ordre de venir depuis Chungking renforcer la position, mais au 31 décembre il n'a pas encore franchit le Yangtzé.
L'ennemi poursuit ses efforts et ses attaques les 30 et 31 décembre, quoi que avec des pertes non négligeables.
Le 31 décembre:

Autour de Kunming, la bataille fait rage.
Ici aussi l'aviation alliée est entravée dans ses opérations par une météo capricieuse.

L'ennemi lance un assaut le 29 décembre, qui périclite aussitot.

Pour maintenir la chine en état de combattre, 4 Groups et 5 squadrons de transports effectuent des rotations quotidiennes (par roulement) depuis Ledo en Inde. Ce sont environs 180 sorties chaque jour qui amènent environs 1000 points de ravitaillement journalier. Mais cela à un cout: les équipages sont parfois victimes de ces longs vols, et on compte entre 2 et 6 pertes ops par jour.....

MALAISIE
Apres la prise de Medan, le nettoyage des cotes est réalisé le 25 décembre.

A Singapore, les assauts contre les troupes japonaises se poursuivent toute la semaine, en bénéficiant d'un appui aérien bien plus modeste que la semaine précédente, afin de mettre au repos les équipages des quadrimoteurs.

Le 27 décembre, la 121e BF est anéantie dans les combats

Le 29 décembre, 4 autres unités disparaissent sous mes coups de boutoir. On espère un effondrement total ennemi, le début d'un massacre, mais ce n'est pas encore le cas....

Toute la semaine, des barges japonaises tentent d'évacuer les troupes nippones. Mon aviation veille, omniprésente, et 10 barges sont coulées.

En attaquant une barge à proximité de Jambi le 25 décembre, 8 Kittyhawks bataves se font intercepter par 22 Tojo, qui ont cependant du mal à rattraper les appareils alliés évoluant au ras de l'eau. Un Kittyhawk est descendu, alors que cela aurait pu être bien pire.

Le 31 décembre, entre Kuching et Singapore, le Templar rattrape une barge, expédiée au fond de l'eau avec des troupes à bord de 2 coups de canon. Par tout les moyens j'essaye de limiter les évacuations adverses.

Un autre moyen d'extraction est utilisé par l'ennemi: un destroyer en Fast Transport.
Le 28 décembre, le Pickerel intercepte le DD Asakaze au large de Jambi: le détroit formant un axe restreint permet aisément cette interception. Le Asakaze encaisse une torpille.

Ce destroyer est repéré dans la journée à proximité de Singapore par mes torpilleurs. 7 Kittyhawks et 6 Barracuda coulent ce destroyer d'une torpille et d'une bombe. Il faut désormais que je déploie une flotte pour arreter ce Tokyo Express.

Sur la cote orientale de Malaisie, le 9e RDH Cavalry et le 116e RAC Tk se concentrent pour tenter d'éradiquer les bribes d'unités japonaises qui s'accrochent au terrain. Le 30 décembre, des éléments de la 25e DI et de la 85e nav gd, encerclés, sont anéantis.

D'autres groupes dispersés lancent une charge banzai le 31 décembre (mais il reste encore des bribes de la 21e bde)

Un peu plus au nord, le 5307e US RCT a été rejoint par la 50e Indian Para Bde, et devront dans les jours qui suivent tenter d'éradiquer d'autres éléments d'unités japonaises.
Au nord de la Malaisie, la totalité du 23e FG est transféré à Alor Star le 26 décembre pour préparer un raid sur Bangkok qui abrite de nombreux appareils ennemis. Mais la météo reporte l'attaque jusqu'au 28 décembre, où 39 P-38J sweepent un ciel vide !

Enfin, le 30 décembre, mon sweep rencontre 24 Tony, dont 8 sont détruits....mais les Liberators britanniques sont restés l'arme au pied.

Le 31 décembre finalement, un raid massif rencontre un succès mitigé. Les 150 chasseurs des 23e FG et 80e FG détruisent 17 Tony pour une seule perte, mais les 83 quadrimoteurs ne détruisent que 7 avions au sol.

La prise plus rapide que prévu de Singapore m'a pris de court. La 12e Indian Bde est en route depuis Bombay où elle se recompletait depuis la campagne de 1942. Elle doit remplacer la 268e Bde, qui elle doit s'emparer de Sinkep, avec une base elle aussi en transit.
D'ici quelques jours, il est prévu de lancer une offensive aérienne contre Palembang, qui doit aplatir l'aérodrome et détruire l'aviation ennemie, afin de faciliter la prise de Sinkep. En aucun cas les champs pétrolifères ne sont concernés: je voudrais inciter l'ennemi à venir chercher son précieux pétrole brut pour faire tourner sa machine de guerre, en risquant ses pétroliers qui devront subir les attaques de mon aviation et de mes submersibles...Toutes les escadrilles de l'AVG seront alors de nouveau sollicitées....
BILAN DU MOIS
ENFIN les VP alliés dépassent les VP japonais ! Depuis le temps que je courrais après

La chute de Singapore a amené 2100 VP dans mon escarcelle.
( à noter que l'Amirauté continue à demander des navires sans cesse).

La courbe des VP

Le bilan des navires coulés: la marine de guerre nipponne, grignotée à chaque engagement, devrait bientôt sentir la baisse de ses effectifs. Pour les transports, je ne sais pas trop, mais le nombre de TK coulés en revanche m'encourage.


Un AAR Thirty Year War romancé :
viewtopic.php?f=77&t=14547
Une histoire de Britannia :
viewtopic.php?f=77&t=12282
viewtopic.php?f=77&t=14547
Une histoire de Britannia :
viewtopic.php?f=77&t=12282
Re: cAARnage dans le Pacifique
Je crois que j'aurais bien aimé t'avoir comme adversaire; on sent que tu mènes ta guerre sérieusement et que tu es organisé. L'épluchage des rapports d'intelligence est un signe.
Je sais ce que tu vas répondre, que c'est le gros bordel chez toi. Mais tu te trahis par ton AAR: constant, fidèle à lui même depuis le début, bien structuré et joliment agrémenté de photos. A l'image de ta partie.
Ton adversaire semble plus brouillon mais il a un gros mérite: il joue les jap et ne s'est pas encore rendu.
Je sais ce que tu vas répondre, que c'est le gros bordel chez toi. Mais tu te trahis par ton AAR: constant, fidèle à lui même depuis le début, bien structuré et joliment agrémenté de photos. A l'image de ta partie.
Ton adversaire semble plus brouillon mais il a un gros mérite: il joue les jap et ne s'est pas encore rendu.
Re: cAARnage dans le Pacifique
Merci
Mais comment as tu pu deviner ce que j'allais dire ??
Jusqu’à récemment, il espérait bien me causer de sérieux problèmes en s'emparant de la totalité de la Chine avant la fin 1943 ( il y a un an il regrettait amèrement que sa campagne de Chine se déroule bien plus lentement que prévue).
Il y a deux semaines il ne parlait absolument pas de rédition (et n'en a pas parlé depuis, je vous rassure).
Et je crois que ce qu'il aime c'est....jouer
Je crois qu'on peut le féliciter et remercier pour ça.

Mais comment as tu pu deviner ce que j'allais dire ??


rominet a écrit : Je sais ce que tu vas répondre, que c'est le gros bordel chez toi.
.
C'est sa première campagne en PBEM coté japonais qu'il ait mené aussi loin, de ce que j'ai compris.rominet a écrit : Ton adversaire semble plus brouillon mais il a un gros mérite: il joue les jap et ne s'est pas encore rendu.
Jusqu’à récemment, il espérait bien me causer de sérieux problèmes en s'emparant de la totalité de la Chine avant la fin 1943 ( il y a un an il regrettait amèrement que sa campagne de Chine se déroule bien plus lentement que prévue).
Il y a deux semaines il ne parlait absolument pas de rédition (et n'en a pas parlé depuis, je vous rassure).
Et je crois que ce qu'il aime c'est....jouer

Un AAR Thirty Year War romancé :
viewtopic.php?f=77&t=14547
Une histoire de Britannia :
viewtopic.php?f=77&t=12282
viewtopic.php?f=77&t=14547
Une histoire de Britannia :
viewtopic.php?f=77&t=12282
Re: cAARnage dans le Pacifique
Je hais les hébergeurs d'image. J'en ai besoin certes, mais je déteste quand ca plante, c'est à dire trop souvent




Un AAR Thirty Year War romancé :
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Une histoire de Britannia :
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Une histoire de Britannia :
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Re: cAARnage dans le Pacifique
1er au 7 Janvier 1944
Les Américains cafouillent . Les Britanniques font l'affiche .
NOPAC
Rien
CENTPAC
Apres avoir couvert l'opération WHAM! , les submersibles américains reprennent leur rôle de maraudeurs dans les eaux intérieures de l'empire nippon.
Le 1er janvier, dans le détroit de Makassar, le S-23 cherche à s'en prendre à une canonnière, mais la rate.

Le 3 janvier, le Shark se retrouve en patrouille à l'ouest de Truk, en quête de gros poissons. Il n'avisera que bien plus petit comme cible, et en fera pourtant son quatre heure.

S'il patrouille ici, c'est que les reconnaissances sont formelles: il y a du gros gibier à Truk.


Le 4 janvier, au large de Palawan, le Apogon parvient à coller 3 torpilles au but dans un pétrolier sans pour autant le couler.

Le même jour, au sud de la mer de Sulu, le Seawolf endommage le AK Nitian d'une torpille....

Le cargo n'est pas tiré d'affaire. Un peu plus au sud, en pleine nuit du 5 janvier, il croise la route du Seadragon, qui lui expédie une torpille de plus au but. Le cargo coulera le 6.

La mer de Sulu est devenu un terrain de chasse prisé des sous mariniers: la route passant par le nord de Bornéo n'étant plus sur, le trafic maritime japonais doit passer dans le détroit de Makassar, et de la filer droit au nord par la mer de Sulu. Une aubaine pour mes équipages.
Le 5 janvier, le Sunfish attaque deux cibles à quelques heures d'intervalles. Tout d'abord un cargo qui encaisse une torpille.

Puis un pétrolier, qui encaisse également une torpille, à proximité de Manamoc island.

Manamoc island :

Et la chasse continue. Le même jour, 5 janvier, l'Apogon, dans le même secteur, expédie un pétrolier par le fond de 2 torpilles.

6 janvier. Décidément, il faut renvoyer le S-23 à l'entrainement. Son équipage rate un cargo au sud de Tarakan.

Et à propos de rater....Le capitaine Disette (....oui, rien que le nom amuse
) du Cero s'en mord encore les doigts. Car le 6 janvier, il rate une occasion en or, celle qui ne se présente qu'une fois dans la vie d'un sous marinier: un Flat-Top, un Pont-Plat, un porte-avion !! Le Unryu profile sa silhouette massive dans le périscope du sous marin. Mais la salve tirée se perd dans les vagues, et le Cero doit plonger pour éviter l'escorte, sans demander son reste.

Retour dans la mer de Sulu. Le 7 janvier, le Seadragon repère un mouilleur de mine japonais, en pleine nuit. Il ne doit pas rester des masses de ces géneurs dans l'arsenal ennemi, aussi l'occasion est belle. Cependant, le capitaine Ferrall ne parvient pas à toucher le batiment. Et celui-ci est protégé, contraignant le Seadragon, à s'esquiver et à perdre la piste du mouilleur de mine.

Cependant, Ferrall s'obstine. Il traque et course sa cible toute la journée. Son submersible, même en plongée, parvient à rester au contact visuel et radar. Et, en fin de journée, profitant d'un changement de cap adverse, il se met en position de tir...et fait mouche. Le mouilleur de mine disparait sous les flots !

Petite consécration de l'arme sous marine, un autre mouilleur de mine est détruit par l'Apogon à l'ouest de Luzon

En revanche, pour l'opération ET ON TOQUE, elle semble cafouiller et merdouiller, me faisant douter de son succès
Jusqu'au 6 janvier, mon armada avance...discrètement
. Pas un seul appareil japonais de patrouille ne survole ma flotte !
Le 6 janvier, quelques destroyers US approchent des cotes de Eniwetok.

Ils débutent, avec une escadre de MSW, le dragage des lieux.

Ils sont aussitôt suivis par une escadre de cuirassés. Les lourds canons de 14 et 15 inch ouvrent le feu sur l'atoll. De loin les artilleurs ont l'impression de voir la terre entrer en éruption: les panaches de poussière et les gerbes de débris de corail provoqués par l'éclatement d'obus de près d'une tonne semblent à même de bouleverser l’existence même de l'ilot.

Dans la nuit du 7 janvier, plusieurs escadres approchent des cotes; certaines sont bondées d'hommes en arme sur le point de débarquer; d'autres doivent protéger ces même hommes; d'autres doivent ouvrir des chenaux dans les champs de mines flottantes. Durant cette manœuvre, l'APD ne parvient pas à éviter une des mines et la heurte.

A nouveau, les lourds cuirassés américains font tonner leurs batteries contre la terre et l'ennemi, espérant écraser celui-ci dans ses abris. Toute la journée, les tirs vont s'enchainer au petit bonheur la chance, plus ou moins guidés par les Seagull de la flotte.

Enfin, les troupes d'assaut s'élancent. Tout de suite, le haut commandement réalise que les cafouillages ont commencés: une seule escadre (sur les trois prévues) entame les opérations de débarquement sous le couvert de la nuit. Le feu ennemi n'est guère intense, et, à la grande satisfaction générale, il n'y a pas de lourdes batteries côtières pour mettre à mal la flotte et les chalands. Cependant, la confusion règne. Cette phase de débarquement nocturne manque cruellement: les effectifs ne seront pas complets pour se battre au sol
.
Par ailleurs, en dépit des opérations de dragage commencées la veille, plusieurs navires heurtent des mines.

Dans la journée, tandis que les GI's prennent pied difficilement, l'aviation alliée fait son apparition. Quelques appareils tentent d'apporter leur soutien: 25 Avengers, dont l'un d'eux touché d'un tir de DCA s'écrase au sol, et 8 PB4Y venus de Wake.

L'assaut des troupes au sol est confus, désordonné. La supériorité numérique joue, les GI's suppriment 3 lignes de fort, et s'assurent de ne plus être rejetés à la mer.

Mais l'état des troupes après une journée de combat est horrifiant. Le capharnaüm ambiant a désorganisé tout les bataillons, toutes les compagnies. Les soldats, épuisés, manquent de munition, de vivre, de matériels. Les officiers ne retrouvent pas leurs objectifs. Les unités de soutien sont encore dans les transports. En plus clair, c'est le bordel.

Et le KB ne semble pas sortir de son lagon....
SOWEPAC
Nanoméa Voila une opération là aussi mal menée, et qui prend beaucoup plus de temps que prévu !! Comme si l'assaut sur Wake, pris en une seule journée, avait été un gros coup de chance. Les atolls, c'est vraiment la m....
Le bombardement naval nocturne du 1er janvier fait quelques pertes.

L'aviation tente d'apporter son soutien à mes troupes débarquées. Mais que ce soit les Helldivers embarqués, ou les PB4Y venant de Baker, le 31e road construction bataillon attire les bombes comme un aimant

Dans la nuit du 2 janvier, mon escadre de cuirassés procède à un second bombardement...totalement inefficace: les gros pruneaux ont étés tirés la veille, l'escadre conserve jusque ce qu'il faut de munition en cas de mauvaise rencontre.
Dans l'obscurité, les troupes d'assaut alliées, 40e DI US et Fiji Bde, s'élancent à l'assaut de l'atoll.

A nouveau dans la journée du 2, l'aviation cherche à appuyer mes troupes au sol. Le 31e road cn bataillon attire toutes les bombes. Ces unités de sapeurs sont une vraie plaie
.

Sur les plages, c'est le chaos. Les soldats américains et fidjiens progressent sous un tir nourri qui cause de nombreuses pertes. Chaque bond pour progresser se révèle couteux en vie humaine.
Les plages de Nanomea :

L'assaut brutal et couteux :

La Fiji Bde a à peine commencée son débarquement, elle n'a aucun ravitaillement avec elle en dépit des précautions....
La 40e DI du général Brush est dans un état pitoyable.

Pour pouvoir appuyer à nouveau l'infanterie, l'escadre de cuirassés retourne à toute vapeur vers Suva pour se réapprovisionner en munition...
Toute la journée du 3, de nouvelles vagues d'assauts amènent sur les plages des troupes fraiches, prises sous le feu de l'ennemi, pour en dépit de tout renforcer les positions au sol. Grignotant le terrain mètre par mètre, mes unités détruisent 4 lignes de fortifications. Cependant la position est encore aux mains ennemies.

Quelques bribes d'unités débarquent encore le 4 janvier, mais l'essentiel de mes unités passe la journée à tenter de se reposer et de se réorganiser. Le ravitaillement est peu à peu accumulé depuis les transports, ainsi que le 5 janvier. La météo interdit tout soutien aérien.
Le 6 janvier, à nouveau, l'appui aérien peut venir appuyer mes troupes. Mais les mitrailleuses ennemies criblent un des Helldivers, détruit. Et la cible reste le 31 road cn bn

Même constat le 7 janvier

Sans attendre le retour de l'escadre du commandant Whitting (sur le Massachusetts) , pressées par le temps, les troupes repartent à l'assaut le 7 janvier, détruisent une ligne de fortification mais la base tient toujours
.

Je suis en retard de près de 15 jours sur mes prévisions établi début décembre. Les atolls représentent une vraie plaie, il faut absolument que j'évite de débarquer dessus. Des cibles comme les Marianes, les Philippines ou Bornéo ne sont pas des atolls, et permettent de ne pas contraindre l'assaillant à un assaut shock. Je veux privilégier les jolies iles douces aux rugueux atolls !!
6 janvier, Wewak. Des transports japonais sont repérés. Quelques sous marins convergent vers la zone, sans trouver de cibles. En revanche, le 41e BG lance une attaque de 27 B-25 Mitchell, qui écrasent un unique cargo de 7 bombes. Il coule aussitôt avec 200 victimes à bord.

Un raid de P-70 est également lancé sur Kavieng, avec quasiment aucun résultat.

Tout à coup l'Etat Major réalise que la 19e DI a rejoint Madang depuis quelques jours, que Wewak abrite une trentaine d'avions "auxilaires", et que l'ennemi a pris l'habitude d'évacuer ses troupes par avion....
Alors, le 7 janvier, 196 B-24 des 7e, 43e, 90e, 307e et 380e BG écrasent l'aérodrome sous leurs bombes, pulvérisant au passage un Emily de patrouille. Ainsi que 6 Tina de transport: j'avais vu juste !

Un autre raid plus modeste vise Madang: si j'arrive à mettre en vrac l'aérodrome, il ne pourra plus s'en servir pour poser ses avions de transports.

NORTH OZ
Peu à dire pour le moment: Koepang doit être remis en état, et il faut que différentes unités de base aérienne ou de Seabees y soit amenés et mises en œuvre.
Amboine subit un raid massif le 1er janvier (Bonne année
).

Puis le 3 janvier, nouveau raid pour garder la base close.

Et encore une fois le 7 janvier.

CHINE
Ah bein ce coup là je vais vous le faire cheap
(grosse grosse flemme).
Au nord est de Chungking, l'aviation chinoise poursuit son matraquage des unités ennemies.
Ici le 2 janvier :

Pourtant l'ennemi lance un assaut le 1er janvier:

Le 3 janvier, le 98e corps rejoint le dispositif défensif chinois ici. Mais impossible de faire autrement que de franchir le Yangtzé en force. Ce qui désorganise profondément le corps chinois.

Cependant, l'aviation chinoise doit avoir dissuadé l'ennemi de contre-attaquer dans la foulée: c'est le 5 janvier que l'armée japonaise tente un nouvel assaut, mais l'offensive tourne court dès le 6 janvier.

Dans le ciel de Kunming aussi l'aviation chinoise continue, presque quotidiennement, ses sorties pour soutenir la garnison de la ville. Ici le 3 janvier :

L'ennemi lance un assaut massif le 4 janvier sur Kunming. 250000 hommes, quasiment 2000 bouches à feu et un millier de blindés; c'est une force imposante. Mais les 130000 défenseurs et leurs 700 bouches à feu, solidement retranchés et ravitaillés, résistent efficacement et gagnent du temps pour la cause alliée jour apres jour.

Bien que subissant la progression inexorable de l'ennemi depuis 3 ans, les forces chinoises dressent une défense farouche, ralentissant la conquête ennemie. Soit l'armée impériale continue à s’entêter en Chine...et dans ce cas, elle risque d'être prise de vitesse par la progression alliée sur les autres théatres d'opération. Soit l'armée japonaise "lâche" sa proie en Chine, pour se redéployer, et cela pourrait assurer la survie du trognon de Chine qui reste...
A propos de redéploiement....La 13e DI japonaise est à Hong Kong. Est-ce une garnison cotiêre, ou une étape de transit avant une garnison ailleurs dans le pacifique ?

MALAISIE
Les nuits de Singapore sont agitées. Des bases comme Alor Star, Wuchow en son temps, ont eu l'insigne honneur de recevoir la visite d'appareils ennemis profitants de l'obscurité pour attaquer mes positions. Mais la rentabilité de ces raids confine au nul.
Plusieurs nuits voient ainsi le bombardement de ma toute nouvelle base, sans réels dégâts ni pertes à l'assaillant ou à mes Beaufighter VIF de chasse de nuit.
Ici le 6 janvier 1944 :

L'ennemi tente par tout les moyens d'extraire des survivants du cul de sac de l'ile de Singapore. Mais ma flotte veille.
Le 4 janvier, en pleine nuit, l'escadre de croiseurs menée par le Cpt Lowe sur le Boise, barre le chemin d'un unique destroyer ennemi. Lowe "croise le T", mais à bord du Natsugumo, les guetteurs ennemis ont repérés mes navires. La réaction japonaise est foudroyante: une volée de torpilles file à 40 noeuds vers mes croiseurs, et le Java est incapable d'éviter un des projectiles !

En dépit de cette vivacité, le destroyer n'a aucune chance: les pieces de mes croiseurs matraquent le navire ennemi, qui finit par sombrer. Ce Singapore Express là est fermé !

Le 5 janvier, le Darter intercepte et coule une barge au sud est de la péninsule;

L'aviation continue ses attaques sur ces embarcations, qui ne coutent rien à l'ennemi.

D'autres barges subissent des attaques aériennes, sans être coulées. Une encore est coulée par le sous marin anglais Tally Ho.
Et une encore est détruite par le CL Kenya alors qu'elle approche des rivages malais.
Et encore le 6 janvier

Bien décidé à pourrir la vie du japonais et à gêner sa navigation, j'envoie encore des submersibles hollandais mouiller des mines à Palembang. En chemin pour son objectif, le capitaine Van Dulm du O-21 avise une cible tentante. Il attaque le TK Ayagiri, et le touche d'une torpille le 7 janvier :

Toute la semaine, les 80000 britannico-américains poursuivent la réduction et la destruction de la poche de Singapore, écrasant l'ennemi sous le nombre et la puissance, et anéantissant les 12 unités qui restaient au 1er janvier, faisant près de 28000 pertes.
Les destruction de la semaine :

Et à Mersing, c'est dès le 1er janvir que la 21e mix Brigade est anéantie

Avec un soutien aérien adéquate (comme Sheila
) .

Il reste encore des débris d'unités japonaises au sud de Kuantan.
Paysage de la zone des cascades de Endau Rompin, entre Mersing et Kuantan :

Et une partie de sa faune :

Une attaque le 4 janvier bénéficie d'un support aérien:

Mais ne parvient pas à détruire l'adversaire :

Le ravitaillement parvient difficilement ici, et il faut attendre le 6 janvier pour qu'une nouvelle attaque ait lieu, toujours sans parvenir à détruire l'ennemi. Et le 7 mes unités se reposent, attendant que le ravitaillement suive.
Il faut désormais penser à préparer les futures opérations.
Encerclement de Songkhia par le nord ? Il faudrait dans ce cas débarquer à Bandoung, sous le feu de Bangkok et Saigon, capable d'abriter des bombardiers torpilleurs, capables de mettre à mal une flotte de débarquement qui partirait de Singapore.
Pour clore Bangkok, un raid est lancé le 4 janvier, mais les 82 Liberators britanniques, en dépit de dégats significatifs, ne parviennent pas à rendre l'aérodrome inopérant.

Un nouveau raid le 7 janvier n'est pas plus concluant.

Comment envisager sereinement de tourner l'ennemi dans ces conditions ? Le temps nécessaire pour fermer Bangkok et Saigon risque d'être conséquent. En même temps, contourner, isoler et si possible détruire les 4 divisions japonaises qui barrent l'isthme à Songkhia serait une bonne chose. Mais de combien de divisions en réserve à Bangkok ou à proximité dispose l'ennemi ? 2 ? 3 ? a t'il ramené l'ensemble des unités qui défendaient la Birmanie ???
Je tiens aussi à m'emparer de Sinkep, et à développer cette base, pour pouvoir y mettre en ligne des torpilleurs qui harasseront le trafic maritime ennemi entrant ou sortant de Palembang.
Pour réduire les risques de cette opération, et empêcher l'aviation ennemie de s'en prendre à mes transports ou à mes navires de guerre, le mieux est, comme d'habitude, de fermer l'aérodrome de Palembang.
Mais avant, il faut en nettoyer le ciel. L'AVG dans son ensemble, et le 34e FS, doivent se charger de cette tache.
Le temps de reposer les équipages et de disposer d'une météo clémente, et le raid est lancé le 5 janvier. Helas, tout de suite les ennuis arrivent: 15 P-47D se perdent dans les nuages, et seront incapables de joindre le combat. Par chance, l'effectif ennemi n'est pas tres étoffé. Issus de 6 escadrilles adverses différentes, la trentaine de chasseurs se fait écharper par les lourds Thunderbolts.
Pour 3 chasseurs alliés, pas moins de 32 appareils japonais sont détruits !

Cela augure bien pour la suite. Bartimeus II et Moradim parviennent chacun à détruire un appareil ennemi.
Une funeste erreur fait reposer les équipages de l'AVG, mais pas ceux du 34e FS...qui redécolle seul le lendemain 6 janvier pour Palembang. Il y a désormais 60 chasseurs ennemis pour réceptionner mes P-47C. Le 34e FS est une formation d'élite ( 94 d'expérience de moyenne !). Ses vétérans ne s'en laissent pas compter. Ils dégagent dès que possible, mais parviennent à détruire 10 appareils ennemis pour une seule perte !

Reposées, les 3 escadrilles de l'AVG décollent à leur tour le 7 janvier. Le Group est quasi au complet: 71 P-47D, une force à ne surtout pas sous estimée. Cependant, les choses tournent mal assez vite. Dans le ciel de Palembang, c'est la cohue: l'ennemi aligne des effectifs supérieurs, quasiment 10 appareils. Une mélée sauvage s'engage. Les formations alliées sont dispersées. Par "hand" de 4 "fingers", les aviateurs alliés tentent de faire front, se couvrent les uns les autres, et rendent les coups. Plusieurs P-47D sont touchés mortellement, et s'abattent en flamme. Mais la chasse adverse subit une véritable saignée : 75 avions détruits.

Dans ce capharnaum, les plus expérimentés, tels Boyington de l'AVG/C ou Greer "Moradim" de l'AVG/A, tirent leur épingle du jeu. Il suffit qu'un adversaire passe dans leur ligne de mire un bref instant, et les voila leur collant aux basques, les pulvérisant d'une breve rafale. Boyington remporte 4 victoires homologuées, montant son palmares à 45 victoires.
Bartimeus II est de ceux qui, tout en ne négligeant pas les cibles d'opportunité, se préoccupent de leur sort. Il abat 2 Tojo, dont l'un a tenté à tort une passe frontale contre son Thunderbolt crachant 66 projectiles à la seconde !
Moradim montre sa grande dextérité en pulvérisant coup sur coup ... 7 proies !
Mais dans la confusion du dogfight, un groupe de Tony réussit à se placer dans ses arrières, en ciseaux. Un obus de 20 mm pulvérise son radiateur et le moteur surchauffe aussitôt...il lui faut mettre le cap sur Singapore, pas moins de 240 miles plus au nord. Trainant une trainée grasse derrière lui, son Thunderbolt est couvert par des ailiers, mais perd en puissance et en altitude tout au long du chemin, laissant craindre de ne pas atteindre un territoire ami. Finalement il franchit le détroit de Malacca au ras de l'eau, et arrivé à quelques encablures de la cote, finit par s’éjecter au dessus de l'eau.

Par contre, Flo est porté manquant
. Il a été vu s'accrochant avec des Tony, et en a descendu pas moins de 4, mais ce sera son dernier exploit.
L'escadrille est désormais une entité tout autre que celle qui a commencée la guerre 2 ans plus tôt.

Les Américains cafouillent . Les Britanniques font l'affiche .
NOPAC
Rien
CENTPAC
Apres avoir couvert l'opération WHAM! , les submersibles américains reprennent leur rôle de maraudeurs dans les eaux intérieures de l'empire nippon.
Le 1er janvier, dans le détroit de Makassar, le S-23 cherche à s'en prendre à une canonnière, mais la rate.

Le 3 janvier, le Shark se retrouve en patrouille à l'ouest de Truk, en quête de gros poissons. Il n'avisera que bien plus petit comme cible, et en fera pourtant son quatre heure.

S'il patrouille ici, c'est que les reconnaissances sont formelles: il y a du gros gibier à Truk.


Le 4 janvier, au large de Palawan, le Apogon parvient à coller 3 torpilles au but dans un pétrolier sans pour autant le couler.

Le même jour, au sud de la mer de Sulu, le Seawolf endommage le AK Nitian d'une torpille....

Le cargo n'est pas tiré d'affaire. Un peu plus au sud, en pleine nuit du 5 janvier, il croise la route du Seadragon, qui lui expédie une torpille de plus au but. Le cargo coulera le 6.

La mer de Sulu est devenu un terrain de chasse prisé des sous mariniers: la route passant par le nord de Bornéo n'étant plus sur, le trafic maritime japonais doit passer dans le détroit de Makassar, et de la filer droit au nord par la mer de Sulu. Une aubaine pour mes équipages.
Le 5 janvier, le Sunfish attaque deux cibles à quelques heures d'intervalles. Tout d'abord un cargo qui encaisse une torpille.

Puis un pétrolier, qui encaisse également une torpille, à proximité de Manamoc island.

Manamoc island :

Et la chasse continue. Le même jour, 5 janvier, l'Apogon, dans le même secteur, expédie un pétrolier par le fond de 2 torpilles.

6 janvier. Décidément, il faut renvoyer le S-23 à l'entrainement. Son équipage rate un cargo au sud de Tarakan.

Et à propos de rater....Le capitaine Disette (....oui, rien que le nom amuse


Retour dans la mer de Sulu. Le 7 janvier, le Seadragon repère un mouilleur de mine japonais, en pleine nuit. Il ne doit pas rester des masses de ces géneurs dans l'arsenal ennemi, aussi l'occasion est belle. Cependant, le capitaine Ferrall ne parvient pas à toucher le batiment. Et celui-ci est protégé, contraignant le Seadragon, à s'esquiver et à perdre la piste du mouilleur de mine.

Cependant, Ferrall s'obstine. Il traque et course sa cible toute la journée. Son submersible, même en plongée, parvient à rester au contact visuel et radar. Et, en fin de journée, profitant d'un changement de cap adverse, il se met en position de tir...et fait mouche. Le mouilleur de mine disparait sous les flots !

Petite consécration de l'arme sous marine, un autre mouilleur de mine est détruit par l'Apogon à l'ouest de Luzon


En revanche, pour l'opération ET ON TOQUE, elle semble cafouiller et merdouiller, me faisant douter de son succès

Jusqu'au 6 janvier, mon armada avance...discrètement

Le 6 janvier, quelques destroyers US approchent des cotes de Eniwetok.

Ils débutent, avec une escadre de MSW, le dragage des lieux.

Ils sont aussitôt suivis par une escadre de cuirassés. Les lourds canons de 14 et 15 inch ouvrent le feu sur l'atoll. De loin les artilleurs ont l'impression de voir la terre entrer en éruption: les panaches de poussière et les gerbes de débris de corail provoqués par l'éclatement d'obus de près d'une tonne semblent à même de bouleverser l’existence même de l'ilot.

Dans la nuit du 7 janvier, plusieurs escadres approchent des cotes; certaines sont bondées d'hommes en arme sur le point de débarquer; d'autres doivent protéger ces même hommes; d'autres doivent ouvrir des chenaux dans les champs de mines flottantes. Durant cette manœuvre, l'APD ne parvient pas à éviter une des mines et la heurte.

A nouveau, les lourds cuirassés américains font tonner leurs batteries contre la terre et l'ennemi, espérant écraser celui-ci dans ses abris. Toute la journée, les tirs vont s'enchainer au petit bonheur la chance, plus ou moins guidés par les Seagull de la flotte.

Enfin, les troupes d'assaut s'élancent. Tout de suite, le haut commandement réalise que les cafouillages ont commencés: une seule escadre (sur les trois prévues) entame les opérations de débarquement sous le couvert de la nuit. Le feu ennemi n'est guère intense, et, à la grande satisfaction générale, il n'y a pas de lourdes batteries côtières pour mettre à mal la flotte et les chalands. Cependant, la confusion règne. Cette phase de débarquement nocturne manque cruellement: les effectifs ne seront pas complets pour se battre au sol


Par ailleurs, en dépit des opérations de dragage commencées la veille, plusieurs navires heurtent des mines.

Dans la journée, tandis que les GI's prennent pied difficilement, l'aviation alliée fait son apparition. Quelques appareils tentent d'apporter leur soutien: 25 Avengers, dont l'un d'eux touché d'un tir de DCA s'écrase au sol, et 8 PB4Y venus de Wake.

L'assaut des troupes au sol est confus, désordonné. La supériorité numérique joue, les GI's suppriment 3 lignes de fort, et s'assurent de ne plus être rejetés à la mer.

Mais l'état des troupes après une journée de combat est horrifiant. Le capharnaüm ambiant a désorganisé tout les bataillons, toutes les compagnies. Les soldats, épuisés, manquent de munition, de vivre, de matériels. Les officiers ne retrouvent pas leurs objectifs. Les unités de soutien sont encore dans les transports. En plus clair, c'est le bordel.

Et le KB ne semble pas sortir de son lagon....
SOWEPAC
Nanoméa Voila une opération là aussi mal menée, et qui prend beaucoup plus de temps que prévu !! Comme si l'assaut sur Wake, pris en une seule journée, avait été un gros coup de chance. Les atolls, c'est vraiment la m....
Le bombardement naval nocturne du 1er janvier fait quelques pertes.

L'aviation tente d'apporter son soutien à mes troupes débarquées. Mais que ce soit les Helldivers embarqués, ou les PB4Y venant de Baker, le 31e road construction bataillon attire les bombes comme un aimant


Dans la nuit du 2 janvier, mon escadre de cuirassés procède à un second bombardement...totalement inefficace: les gros pruneaux ont étés tirés la veille, l'escadre conserve jusque ce qu'il faut de munition en cas de mauvaise rencontre.
Dans l'obscurité, les troupes d'assaut alliées, 40e DI US et Fiji Bde, s'élancent à l'assaut de l'atoll.

A nouveau dans la journée du 2, l'aviation cherche à appuyer mes troupes au sol. Le 31e road cn bataillon attire toutes les bombes. Ces unités de sapeurs sont une vraie plaie


Sur les plages, c'est le chaos. Les soldats américains et fidjiens progressent sous un tir nourri qui cause de nombreuses pertes. Chaque bond pour progresser se révèle couteux en vie humaine.
Les plages de Nanomea :

L'assaut brutal et couteux :

La Fiji Bde a à peine commencée son débarquement, elle n'a aucun ravitaillement avec elle en dépit des précautions....
La 40e DI du général Brush est dans un état pitoyable.

Pour pouvoir appuyer à nouveau l'infanterie, l'escadre de cuirassés retourne à toute vapeur vers Suva pour se réapprovisionner en munition...
Toute la journée du 3, de nouvelles vagues d'assauts amènent sur les plages des troupes fraiches, prises sous le feu de l'ennemi, pour en dépit de tout renforcer les positions au sol. Grignotant le terrain mètre par mètre, mes unités détruisent 4 lignes de fortifications. Cependant la position est encore aux mains ennemies.

Quelques bribes d'unités débarquent encore le 4 janvier, mais l'essentiel de mes unités passe la journée à tenter de se reposer et de se réorganiser. Le ravitaillement est peu à peu accumulé depuis les transports, ainsi que le 5 janvier. La météo interdit tout soutien aérien.
Le 6 janvier, à nouveau, l'appui aérien peut venir appuyer mes troupes. Mais les mitrailleuses ennemies criblent un des Helldivers, détruit. Et la cible reste le 31 road cn bn


Même constat le 7 janvier


Sans attendre le retour de l'escadre du commandant Whitting (sur le Massachusetts) , pressées par le temps, les troupes repartent à l'assaut le 7 janvier, détruisent une ligne de fortification mais la base tient toujours


Je suis en retard de près de 15 jours sur mes prévisions établi début décembre. Les atolls représentent une vraie plaie, il faut absolument que j'évite de débarquer dessus. Des cibles comme les Marianes, les Philippines ou Bornéo ne sont pas des atolls, et permettent de ne pas contraindre l'assaillant à un assaut shock. Je veux privilégier les jolies iles douces aux rugueux atolls !!

6 janvier, Wewak. Des transports japonais sont repérés. Quelques sous marins convergent vers la zone, sans trouver de cibles. En revanche, le 41e BG lance une attaque de 27 B-25 Mitchell, qui écrasent un unique cargo de 7 bombes. Il coule aussitôt avec 200 victimes à bord.

Un raid de P-70 est également lancé sur Kavieng, avec quasiment aucun résultat.

Tout à coup l'Etat Major réalise que la 19e DI a rejoint Madang depuis quelques jours, que Wewak abrite une trentaine d'avions "auxilaires", et que l'ennemi a pris l'habitude d'évacuer ses troupes par avion....
Alors, le 7 janvier, 196 B-24 des 7e, 43e, 90e, 307e et 380e BG écrasent l'aérodrome sous leurs bombes, pulvérisant au passage un Emily de patrouille. Ainsi que 6 Tina de transport: j'avais vu juste !


Un autre raid plus modeste vise Madang: si j'arrive à mettre en vrac l'aérodrome, il ne pourra plus s'en servir pour poser ses avions de transports.

NORTH OZ
Peu à dire pour le moment: Koepang doit être remis en état, et il faut que différentes unités de base aérienne ou de Seabees y soit amenés et mises en œuvre.
Amboine subit un raid massif le 1er janvier (Bonne année



Puis le 3 janvier, nouveau raid pour garder la base close.

Et encore une fois le 7 janvier.

CHINE
Ah bein ce coup là je vais vous le faire cheap

Au nord est de Chungking, l'aviation chinoise poursuit son matraquage des unités ennemies.
Ici le 2 janvier :

Pourtant l'ennemi lance un assaut le 1er janvier:

Le 3 janvier, le 98e corps rejoint le dispositif défensif chinois ici. Mais impossible de faire autrement que de franchir le Yangtzé en force. Ce qui désorganise profondément le corps chinois.

Cependant, l'aviation chinoise doit avoir dissuadé l'ennemi de contre-attaquer dans la foulée: c'est le 5 janvier que l'armée japonaise tente un nouvel assaut, mais l'offensive tourne court dès le 6 janvier.

Dans le ciel de Kunming aussi l'aviation chinoise continue, presque quotidiennement, ses sorties pour soutenir la garnison de la ville. Ici le 3 janvier :

L'ennemi lance un assaut massif le 4 janvier sur Kunming. 250000 hommes, quasiment 2000 bouches à feu et un millier de blindés; c'est une force imposante. Mais les 130000 défenseurs et leurs 700 bouches à feu, solidement retranchés et ravitaillés, résistent efficacement et gagnent du temps pour la cause alliée jour apres jour.

Bien que subissant la progression inexorable de l'ennemi depuis 3 ans, les forces chinoises dressent une défense farouche, ralentissant la conquête ennemie. Soit l'armée impériale continue à s’entêter en Chine...et dans ce cas, elle risque d'être prise de vitesse par la progression alliée sur les autres théatres d'opération. Soit l'armée japonaise "lâche" sa proie en Chine, pour se redéployer, et cela pourrait assurer la survie du trognon de Chine qui reste...
A propos de redéploiement....La 13e DI japonaise est à Hong Kong. Est-ce une garnison cotiêre, ou une étape de transit avant une garnison ailleurs dans le pacifique ?

MALAISIE
Les nuits de Singapore sont agitées. Des bases comme Alor Star, Wuchow en son temps, ont eu l'insigne honneur de recevoir la visite d'appareils ennemis profitants de l'obscurité pour attaquer mes positions. Mais la rentabilité de ces raids confine au nul.
Plusieurs nuits voient ainsi le bombardement de ma toute nouvelle base, sans réels dégâts ni pertes à l'assaillant ou à mes Beaufighter VIF de chasse de nuit.
Ici le 6 janvier 1944 :

L'ennemi tente par tout les moyens d'extraire des survivants du cul de sac de l'ile de Singapore. Mais ma flotte veille.
Le 4 janvier, en pleine nuit, l'escadre de croiseurs menée par le Cpt Lowe sur le Boise, barre le chemin d'un unique destroyer ennemi. Lowe "croise le T", mais à bord du Natsugumo, les guetteurs ennemis ont repérés mes navires. La réaction japonaise est foudroyante: une volée de torpilles file à 40 noeuds vers mes croiseurs, et le Java est incapable d'éviter un des projectiles !

En dépit de cette vivacité, le destroyer n'a aucune chance: les pieces de mes croiseurs matraquent le navire ennemi, qui finit par sombrer. Ce Singapore Express là est fermé !

Le 5 janvier, le Darter intercepte et coule une barge au sud est de la péninsule;

L'aviation continue ses attaques sur ces embarcations, qui ne coutent rien à l'ennemi.

D'autres barges subissent des attaques aériennes, sans être coulées. Une encore est coulée par le sous marin anglais Tally Ho.
Et une encore est détruite par le CL Kenya alors qu'elle approche des rivages malais.
Et encore le 6 janvier

Bien décidé à pourrir la vie du japonais et à gêner sa navigation, j'envoie encore des submersibles hollandais mouiller des mines à Palembang. En chemin pour son objectif, le capitaine Van Dulm du O-21 avise une cible tentante. Il attaque le TK Ayagiri, et le touche d'une torpille le 7 janvier :

Toute la semaine, les 80000 britannico-américains poursuivent la réduction et la destruction de la poche de Singapore, écrasant l'ennemi sous le nombre et la puissance, et anéantissant les 12 unités qui restaient au 1er janvier, faisant près de 28000 pertes.
Les destruction de la semaine :

Et à Mersing, c'est dès le 1er janvir que la 21e mix Brigade est anéantie

Avec un soutien aérien adéquate (comme Sheila


Il reste encore des débris d'unités japonaises au sud de Kuantan.
Paysage de la zone des cascades de Endau Rompin, entre Mersing et Kuantan :

Et une partie de sa faune :

Une attaque le 4 janvier bénéficie d'un support aérien:

Mais ne parvient pas à détruire l'adversaire :

Le ravitaillement parvient difficilement ici, et il faut attendre le 6 janvier pour qu'une nouvelle attaque ait lieu, toujours sans parvenir à détruire l'ennemi. Et le 7 mes unités se reposent, attendant que le ravitaillement suive.
Il faut désormais penser à préparer les futures opérations.
Encerclement de Songkhia par le nord ? Il faudrait dans ce cas débarquer à Bandoung, sous le feu de Bangkok et Saigon, capable d'abriter des bombardiers torpilleurs, capables de mettre à mal une flotte de débarquement qui partirait de Singapore.
Pour clore Bangkok, un raid est lancé le 4 janvier, mais les 82 Liberators britanniques, en dépit de dégats significatifs, ne parviennent pas à rendre l'aérodrome inopérant.

Un nouveau raid le 7 janvier n'est pas plus concluant.

Comment envisager sereinement de tourner l'ennemi dans ces conditions ? Le temps nécessaire pour fermer Bangkok et Saigon risque d'être conséquent. En même temps, contourner, isoler et si possible détruire les 4 divisions japonaises qui barrent l'isthme à Songkhia serait une bonne chose. Mais de combien de divisions en réserve à Bangkok ou à proximité dispose l'ennemi ? 2 ? 3 ? a t'il ramené l'ensemble des unités qui défendaient la Birmanie ???
Je tiens aussi à m'emparer de Sinkep, et à développer cette base, pour pouvoir y mettre en ligne des torpilleurs qui harasseront le trafic maritime ennemi entrant ou sortant de Palembang.
Pour réduire les risques de cette opération, et empêcher l'aviation ennemie de s'en prendre à mes transports ou à mes navires de guerre, le mieux est, comme d'habitude, de fermer l'aérodrome de Palembang.
Mais avant, il faut en nettoyer le ciel. L'AVG dans son ensemble, et le 34e FS, doivent se charger de cette tache.
Le temps de reposer les équipages et de disposer d'une météo clémente, et le raid est lancé le 5 janvier. Helas, tout de suite les ennuis arrivent: 15 P-47D se perdent dans les nuages, et seront incapables de joindre le combat. Par chance, l'effectif ennemi n'est pas tres étoffé. Issus de 6 escadrilles adverses différentes, la trentaine de chasseurs se fait écharper par les lourds Thunderbolts.
Pour 3 chasseurs alliés, pas moins de 32 appareils japonais sont détruits !

Cela augure bien pour la suite. Bartimeus II et Moradim parviennent chacun à détruire un appareil ennemi.
Une funeste erreur fait reposer les équipages de l'AVG, mais pas ceux du 34e FS...qui redécolle seul le lendemain 6 janvier pour Palembang. Il y a désormais 60 chasseurs ennemis pour réceptionner mes P-47C. Le 34e FS est une formation d'élite ( 94 d'expérience de moyenne !). Ses vétérans ne s'en laissent pas compter. Ils dégagent dès que possible, mais parviennent à détruire 10 appareils ennemis pour une seule perte !

Reposées, les 3 escadrilles de l'AVG décollent à leur tour le 7 janvier. Le Group est quasi au complet: 71 P-47D, une force à ne surtout pas sous estimée. Cependant, les choses tournent mal assez vite. Dans le ciel de Palembang, c'est la cohue: l'ennemi aligne des effectifs supérieurs, quasiment 10 appareils. Une mélée sauvage s'engage. Les formations alliées sont dispersées. Par "hand" de 4 "fingers", les aviateurs alliés tentent de faire front, se couvrent les uns les autres, et rendent les coups. Plusieurs P-47D sont touchés mortellement, et s'abattent en flamme. Mais la chasse adverse subit une véritable saignée : 75 avions détruits.

Dans ce capharnaum, les plus expérimentés, tels Boyington de l'AVG/C ou Greer "Moradim" de l'AVG/A, tirent leur épingle du jeu. Il suffit qu'un adversaire passe dans leur ligne de mire un bref instant, et les voila leur collant aux basques, les pulvérisant d'une breve rafale. Boyington remporte 4 victoires homologuées, montant son palmares à 45 victoires.
Bartimeus II est de ceux qui, tout en ne négligeant pas les cibles d'opportunité, se préoccupent de leur sort. Il abat 2 Tojo, dont l'un a tenté à tort une passe frontale contre son Thunderbolt crachant 66 projectiles à la seconde !
Moradim montre sa grande dextérité en pulvérisant coup sur coup ... 7 proies !
Mais dans la confusion du dogfight, un groupe de Tony réussit à se placer dans ses arrières, en ciseaux. Un obus de 20 mm pulvérise son radiateur et le moteur surchauffe aussitôt...il lui faut mettre le cap sur Singapore, pas moins de 240 miles plus au nord. Trainant une trainée grasse derrière lui, son Thunderbolt est couvert par des ailiers, mais perd en puissance et en altitude tout au long du chemin, laissant craindre de ne pas atteindre un territoire ami. Finalement il franchit le détroit de Malacca au ras de l'eau, et arrivé à quelques encablures de la cote, finit par s’éjecter au dessus de l'eau.

Par contre, Flo est porté manquant

L'escadrille est désormais une entité tout autre que celle qui a commencée la guerre 2 ans plus tôt.

Un AAR Thirty Year War romancé :
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Une histoire de Britannia :
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Une histoire de Britannia :
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- griffon
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Re: cAARnage dans le Pacifique
Les Atolls c'est important !
Pourquoi bombardes tu et attaques tu de nuit ?
Comptes pas trop sur le mosquito en Asie du sud est
sa construction , bois et colles , n'est pas compatible avec la mousson
A Saigon pendant la guerre en Indo ils pourrissaient en une semaine ...

Pourquoi bombardes tu et attaques tu de nuit ?

Comptes pas trop sur le mosquito en Asie du sud est
sa construction , bois et colles , n'est pas compatible avec la mousson
A Saigon pendant la guerre en Indo ils pourrissaient en une semaine ...
SOL INVICTVS
Au printemps, je vais quelquefois m'asseoir à la lisière d'un champ fleuri.
Lorsqu'une belle jeune fille m'apporte une coupe de vin , je ne pense guère à mon salut.
Si j'avais cette préoccupation, je vaudrais moins qu'un chien
Lorsqu'une belle jeune fille m'apporte une coupe de vin , je ne pense guère à mon salut.
Si j'avais cette préoccupation, je vaudrais moins qu'un chien
Re: cAARnage dans le Pacifique
Le systeme de jeu compte une phase de bombardement naval par demi journée (nuit, puis jour).griffon a écrit :Les Atolls c'est important !![]()
Pourquoi bombardes tu et attaques tu de nuit ?![]()
...
Pareil pour les débarquements. Donc, on peut avoir deux phases de bombardement naval, et deux de débarquement, avant les premières phases aériennes. L'idée est d'avoir un maximum de monde à terre avant une éventuelle réaction aérienne ennemie, et avant la phase de combat en fin de journée (apres les 2 phases aériennes).
Un AAR Thirty Year War romancé :
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Une histoire de Britannia :
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- griffon
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Re: cAARnage dans le Pacifique
Ok !
ci dessous un bon lien pour de la doc sur cette guerre
http://www.ibiblio.org/hyperwar/PTO/Mar ... index.html
ci dessous un bon lien pour de la doc sur cette guerre

http://www.ibiblio.org/hyperwar/PTO/Mar ... index.html
SOL INVICTVS
Au printemps, je vais quelquefois m'asseoir à la lisière d'un champ fleuri.
Lorsqu'une belle jeune fille m'apporte une coupe de vin , je ne pense guère à mon salut.
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Re: cAARnage dans le Pacifique
Meuh non , mon cher Rominet !
Sinon généralissime Gladiatt , vous comptez faire quoi en Malaisie après que Singapour soit tombé ,remonter sur Bangkok ? Car je ne pense pas qu'il faudra tant de troupes que cela pour la reconquête de l'Indonésie .
Sinon généralissime Gladiatt , vous comptez faire quoi en Malaisie après que Singapour soit tombé ,remonter sur Bangkok ? Car je ne pense pas qu'il faudra tant de troupes que cela pour la reconquête de l'Indonésie .
Dieu est tout puissant , il peut tout .
ET si dieu avait crée une dimension ou il ne peut rien et ou il n'est pas .
ET si dieu avait crée une dimension ou il ne peut rien et ou il n'est pas .
Re: cAARnage dans le Pacifique
8 au 14 janvier 1944
Pas d'exploitation foudroyante alliée
NOPAC Rien
CENTPAC
Silent Service:
Le 8 janvier au large de Tawi Tawi, le Seawolf coule de 2 torpilles l'escorteur Ch 20.

Le même jour au nord de Morotai, le Sealion rate le TK Yamamizu.

Au nord est de Truk, le Ray repère le CS Mizuho. Il est bien placé, et en dépit des évolutions rapides de sa proie, le touche d'une torpille.

Le 9 janvier, au sud de Guam, le Cero vient patrouiller le secteur. Il a été rameuté la veille par un autre submersible croisant dans les environs et qui a repéré un convoi.
Le Cero trouve une cible, le PG Hong Kong. Il lui expédie une torpille dans les flancs sans le couler.

Au nord d'Amami, le Gudgeon a pris en chasse le destroyer Inamuza, mais le manque. Il plonge aussitôt pour échapper à la réplique adverse.

A Truk ce 9 janvier, le Capelin retrouve le CS Mizuho, touché la veille par le Ray, qui vient chercher l'abri du lagon. Il parvient à le toucher d'une torpille avant que le CS ne s'esquive.

Et le 9 toujours, le Seadragon tente une attaque sur le DD Suzunami, mais la cible, agile, esquive les tirs. Le Seadragon plonge alors profondément pour se mettre à l'abri.

Truk, 10 janvier. Le Capelin aurait du changer d'air, comme après chaque attaque, pour éviter les contre attaques des flottilles ASW ennemies. Or suite à un oubli de ma part il croise toujours à proximité de l'atoll. Cela ne va pourtant pas lui porter préjudice. Il avise une flottille de MSW et en coule un de 2 torpilles.

11 janvier. Le capitaine Disette, toujours hanté par l'occasion ratée contre le CV Unryu, cherche à se rattraper, et poursuit ses attaques. Le Cero touche d'une torpille, à l'ouest de Guam le PC Tamo.

Le 12 janvier, le Seadragon retrouve à l'Est de Tarakan le DD Suzunami. Mais encore une fois il le rate. La contre attaque le secoue un peu.

13 janvier. En patrouillant à proximité de Menado, le KIX ne se rend pas compte que sa silhouette se profile dans les eaux claires de la mer des Celebes. Son périscope laisse par ailleurs un sillage qui n'échappe pas au regard perçant d'un équipage japonais de Sally.
Sans prévenir, alors que l'équipage du sous marin néerlandais vaque, un choc formidable secoue le submersible, envoie valdinguer les hommes contre les parois, projetant objets et instruments en tout sens. Des trombes d'eau froide s'engouffrent alors dans le KIX. Il vient d'être touché par une bombe. L'équipage prend alors le chemin du retour, espérant atteindre un abri salvateur à temps.

ET ON TOQUE
Le 8 janvier, les abords de l'atoll d'Eniwetok sont encore nettoyés par plusieurs escadres: destroyers et minesweepers, traquent ces obstacles dérivant entre deux eaux, cherchant à sécuriser la zone.

Dans la journée, 2 modestes raids tentent d'apporter leur soutien aux troupes qui se battent pour s'emparer des lieux.

Sous le feu ennemi, la seconde vague débarque, subissant des pertes. L'élan se poursuit avec ces effectifs pas si frais que cela, malades du mal de mer et épuisés par leur croisière. La supériorité numérique et la puissance de feu alliée suffit cependant à s'emparer de l'atoll !
Dans les rudes combats, 3 unités d'intendance ennemies sont volatilisées. Cependant la 48 e Nav gd continue à se battre sur une portion congrue de l'atoll.

Désormais, après le temps nécessaire à remettre en état la base, mes forces pourront surveiller les Marshalls et les étouffer, me laissant (dans quelques semaines) la possibilité d'intercepter le trafic maritime s'y rendant.
Le 9 janvier on se contente de bombarder l'ennemi, afin de reposer les unités. Pendant ce temps, les réparations des infrastructures débutent.
Le 10 janvier l'assaut final est donné aux derniers défenseurs japonais, qui sont écrasés. Aucun VP n'est marqué
;

SOWEPAC
L'assaut sur Nanomea se poursuit, l'ennemi tenant toujours ce modeste bout de corail.
Le support aérien du 8 janvier se concentre encore et toujours sur le 31e road construction battaillon
.

Pourquoi donc je m'entête à bombarder ???
Le 9 janvier, mon escadre de cuirassés, revenue de Suva avec le plein de munitions procède à un nouveau bombardement.

Les assauts pour prendre le contrôle de l'ilot se poursuivent le 9 janvier...puis le 10 où enfin l'essentiel de la position est capturée ! Mais la garnison ne se rend pas.

Le 14 janvier, le 2e USMC Bn est venu prêter main forte à mes troupes. Il doit, à terme, une fois que l'ile sera sécurisée, tenir garnison seul.
Pour l'heure, les dégâts portuaires sont tels que les unités de sapeur (11e Seabees essentiellement) ont encore du mal a débarquer rapidement, retardant d'autant leur entrée en action pour remettre en etat la base.
Quant à mes flottes ( CV et BB), elles quittent les abords de l'atoll le 14 janvier pour se diriger vers Nouméa où elles doivent procéder à des réparations avant de revenir au front...
J'ai sur ce front quasiment 3 semaines de retard sur mes prévisions établies à la mi-novembre 43.
Nouvelle-Guinée
L'arme sous-marine japonaise ne fait des apparitions que sporadiques. Avec 66 sous marins coulés, combien sont encore en activité ? L'ordre de bataille japonais complet compte 152 subs, mais combien sont encore à produire ?
Toujours est-il que le 8 janvier, le I-37 est repéré à proximité de Finschaffen avant d'avoir pu s'en prendre à une quelconque cible. Il est aussitôt pris à parti, et à la suite d'un long grenadage, encaisse un coup au but....sans signe de naufrage.

Pour empêcher les évacuations des troupes ennemies par voie aérienne et éviter ainsi le renforcement de positions sur ses arrières, je poursuis le bombardement des aérodromes de Nouvelle-Guinée.
Le 8 janvier, 210 quadrimoteurs écrasent Madang (où sont parvenus les restes de la 19e DI).

Hollandia est frappé le 13 janvier par 200 Liberators qui parviennent ainsi à fermer le dernier aérodrome japonais de Nouvelle-Guinée, et détruisant 8 avions de transport au sol.

NORTH OZ
Tel est pris qui croyait prendre
. En venant miner les cotes de Amboine, le DM Breese heurte une mine japonaise le 8 janvier. Il parvient à se docker à Darwin le 13 janvier.

Un raid est mené contre Amboine le 11 janvier par 70 Forteresses volantes.

Le 12 janvier au sud de Benjaermesin, le Trigger fait une grosse prise. Il attaque le CA Nachi, déjà avarié ( il fume et doit avoir des dégâts conséquents). Une torpille frappe le croiseur, sans pour autant le couler.

Le navire semblant progresser vers l'Est et le détroit de Makassar, plusieurs sous marins convergent, espérant l'achever.
Le 14 janvier, au sud de Balikpapan, le Grouper ne retrouve pas le Nachi mais le DD Shiokaze, lui aussi déjà endommagé. Il lui expédie une torpille dans les flancs, sans le couler.

Le 14 janvier, un Mosquito PR-IX fait une reconnaissance sur Sampit sur la cote occidentale de Bornéo. Cette mission n'a aucune autre intention que de leurrer l'adversaire quant aux futurs axes de progression de mes offensives. Cependant, je ne suis pas sur que cela suffise.

A Darwin, le 14 janvier, débutent les embarquements pour mener à bien CHIGNOLE
CHINE
L'armée japonaise tente un assaut sur Kunming le 8 janvier, mais échoue brutalement dans sa tentative.

L'aviation alliée reste omniprésente dans le ciel de Kunming, bien que la météo réduise mes opérations.

Sur le Yangtzé, mon aviation poursuit le harcèlement des troupes ennemies. Tout d'abord sur les unités piégées dans la poche de la Jialing River. Comme ici le 8 janvier :

Mais aussi contre l'armée sur la rive gauche du Yangtzé.

L'armée japonaise du nord de la Chine relance son offensive le 11 janvier, et poursuit le 12, mais finit par s'épuiser en vain.

Sur ce front je ne vois pas comment débloquer la situation, ni faire la peau aux unités piégées au nord de Chungking, ni enrayer définitivement l'offensive sur Kunming.
BURMA
Le 42e sq basé à Akyab a été transformé sur Wellington, les Blenheims ayant un emport de bombe trop léger pour faire de réels dégâts aux infrastructures ennemies.
Le 9 janvier, le squadron lance un raid sur Rangoon totalement sans défense depuis quasiment un an, et cause de faibles dégâts.

Un nouveau raid le 12 janvier touche enfin quelques stocks de ravitaillement.

MALAISIE
Bangkok. Je voudrais fermer cette base ennemie en prévision d'un contournement des positions ennemies de Songkhia par Bandou.
La météo empêche tout vol les 8 et 9 janvier.
Le 10 un raid décolle en cafouillant totalement. Mais le sweep prévu n'accompagne pas les quadrimoteurs britanniques, ce qui n'a heureusement aucune conséquence. 11 Liberator VI se perdent en route, 12 bombardant et 60 restant au sol
.

Le lendemain, mon armada vole enfin. 75 Liberator causent quelques dégâts à une base qui semble vidée de ses appareils (sauf une douzaine d’auxiliaires).

Reste que l'aérodrome se répare plus vite que mes équipages ne se reposent, et qu'il me faudrait aussi fermer Saigon en même temps si je veux réaliser un débarquement sécurisé dans le dos de l'ennemi.
Au sud de Kuantan, la 50e Bde Para indienne et le 5307e US RCT sont confrontés à la difficulté de recevoir du ravitaillement, ce qui ralenti le nettoyage de la région.
Mon aviation appuie les troupes au sol:

Un assaut est lancé le 8 janvier.

Le 13 janvier un nouvel assaut détruit le 48e Road Cn Bn et provoque une charge BANZAI de quelques éléments disparates de la 3e Tk Div...Mais il reste des éléments ennemis.

Singapore est visité nuitamment, sans conséquences hormis quelques Beaufighter endommagés (et une perte ops avec son pilote) et aucune perte ennemie.
Ici le 8 janvier

Edit: à bein non, en vérifiant mes screen je constate qu'un Beaufighter à bel et bien été criblé de plomb par l'adversaire !
Bataille dans le ciel de Palembang:
Si je veux investir Sinkep et rendre Palembang invivable, il me faut d'abord fermer cet important aérodrome de taille 4 (qui donc permet aux avions japonais d'utiliser des torpilles).
Après quelques jours de repos, les équipages des 34e FS, 258e sq et AVG retournent combattre la chasse adverse le 11 janvier. 70 P-47 de tout type affrontent 40 chasseurs japonais.
Les Thunderbolts, avions puissants et rapides, et pilotés de main de maitre, ne perdent aucun des leurs et détruisent 36 adversaire. Bartimeus II y remporte sa 27e victoire.


Un autre raid est prévu le 15 janvier, cette fois ci avec les bombardiers....
Sur mer:
Les barges japonaises n'ont pas refait d'incursion de cabotage dans ce secteur.
Le 8 janvier, le Darter intercepte un cargo à proximité de Kuching. Il le touche d'une torpille, mais il ne semble pas qu'elle ait touché une partie sensible du navire, qui ne coule pas.

Le 11 janvier, le Snapper attaque un transport japonais à l'Est de Batavia. 2 torpilles font une cinquantaine de victimes, et finissent par avoir raison du bateau qui coule le lendemain.

Le lendemain 12 janvier, le Snapper décidément en forme coule, dans le même secteur, un MSW.

Puis il expédie 2 torpilles au but sur un nouveau transport (sans le couler) .

Pas d'exploitation foudroyante alliée
NOPAC Rien
CENTPAC
Silent Service:
Le 8 janvier au large de Tawi Tawi, le Seawolf coule de 2 torpilles l'escorteur Ch 20.

Le même jour au nord de Morotai, le Sealion rate le TK Yamamizu.

Au nord est de Truk, le Ray repère le CS Mizuho. Il est bien placé, et en dépit des évolutions rapides de sa proie, le touche d'une torpille.

Le 9 janvier, au sud de Guam, le Cero vient patrouiller le secteur. Il a été rameuté la veille par un autre submersible croisant dans les environs et qui a repéré un convoi.
Le Cero trouve une cible, le PG Hong Kong. Il lui expédie une torpille dans les flancs sans le couler.

Au nord d'Amami, le Gudgeon a pris en chasse le destroyer Inamuza, mais le manque. Il plonge aussitôt pour échapper à la réplique adverse.

A Truk ce 9 janvier, le Capelin retrouve le CS Mizuho, touché la veille par le Ray, qui vient chercher l'abri du lagon. Il parvient à le toucher d'une torpille avant que le CS ne s'esquive.

Et le 9 toujours, le Seadragon tente une attaque sur le DD Suzunami, mais la cible, agile, esquive les tirs. Le Seadragon plonge alors profondément pour se mettre à l'abri.

Truk, 10 janvier. Le Capelin aurait du changer d'air, comme après chaque attaque, pour éviter les contre attaques des flottilles ASW ennemies. Or suite à un oubli de ma part il croise toujours à proximité de l'atoll. Cela ne va pourtant pas lui porter préjudice. Il avise une flottille de MSW et en coule un de 2 torpilles.

11 janvier. Le capitaine Disette, toujours hanté par l'occasion ratée contre le CV Unryu, cherche à se rattraper, et poursuit ses attaques. Le Cero touche d'une torpille, à l'ouest de Guam le PC Tamo.

Le 12 janvier, le Seadragon retrouve à l'Est de Tarakan le DD Suzunami. Mais encore une fois il le rate. La contre attaque le secoue un peu.

13 janvier. En patrouillant à proximité de Menado, le KIX ne se rend pas compte que sa silhouette se profile dans les eaux claires de la mer des Celebes. Son périscope laisse par ailleurs un sillage qui n'échappe pas au regard perçant d'un équipage japonais de Sally.
Sans prévenir, alors que l'équipage du sous marin néerlandais vaque, un choc formidable secoue le submersible, envoie valdinguer les hommes contre les parois, projetant objets et instruments en tout sens. Des trombes d'eau froide s'engouffrent alors dans le KIX. Il vient d'être touché par une bombe. L'équipage prend alors le chemin du retour, espérant atteindre un abri salvateur à temps.

ET ON TOQUE
Le 8 janvier, les abords de l'atoll d'Eniwetok sont encore nettoyés par plusieurs escadres: destroyers et minesweepers, traquent ces obstacles dérivant entre deux eaux, cherchant à sécuriser la zone.

Dans la journée, 2 modestes raids tentent d'apporter leur soutien aux troupes qui se battent pour s'emparer des lieux.

Sous le feu ennemi, la seconde vague débarque, subissant des pertes. L'élan se poursuit avec ces effectifs pas si frais que cela, malades du mal de mer et épuisés par leur croisière. La supériorité numérique et la puissance de feu alliée suffit cependant à s'emparer de l'atoll !

Dans les rudes combats, 3 unités d'intendance ennemies sont volatilisées. Cependant la 48 e Nav gd continue à se battre sur une portion congrue de l'atoll.

Désormais, après le temps nécessaire à remettre en état la base, mes forces pourront surveiller les Marshalls et les étouffer, me laissant (dans quelques semaines) la possibilité d'intercepter le trafic maritime s'y rendant.
Le 9 janvier on se contente de bombarder l'ennemi, afin de reposer les unités. Pendant ce temps, les réparations des infrastructures débutent.
Le 10 janvier l'assaut final est donné aux derniers défenseurs japonais, qui sont écrasés. Aucun VP n'est marqué


SOWEPAC
L'assaut sur Nanomea se poursuit, l'ennemi tenant toujours ce modeste bout de corail.
Le support aérien du 8 janvier se concentre encore et toujours sur le 31e road construction battaillon


Pourquoi donc je m'entête à bombarder ???
Le 9 janvier, mon escadre de cuirassés, revenue de Suva avec le plein de munitions procède à un nouveau bombardement.

Les assauts pour prendre le contrôle de l'ilot se poursuivent le 9 janvier...puis le 10 où enfin l'essentiel de la position est capturée ! Mais la garnison ne se rend pas.

Le 14 janvier, le 2e USMC Bn est venu prêter main forte à mes troupes. Il doit, à terme, une fois que l'ile sera sécurisée, tenir garnison seul.
Pour l'heure, les dégâts portuaires sont tels que les unités de sapeur (11e Seabees essentiellement) ont encore du mal a débarquer rapidement, retardant d'autant leur entrée en action pour remettre en etat la base.
Quant à mes flottes ( CV et BB), elles quittent les abords de l'atoll le 14 janvier pour se diriger vers Nouméa où elles doivent procéder à des réparations avant de revenir au front...
J'ai sur ce front quasiment 3 semaines de retard sur mes prévisions établies à la mi-novembre 43.
Nouvelle-Guinée
L'arme sous-marine japonaise ne fait des apparitions que sporadiques. Avec 66 sous marins coulés, combien sont encore en activité ? L'ordre de bataille japonais complet compte 152 subs, mais combien sont encore à produire ?
Toujours est-il que le 8 janvier, le I-37 est repéré à proximité de Finschaffen avant d'avoir pu s'en prendre à une quelconque cible. Il est aussitôt pris à parti, et à la suite d'un long grenadage, encaisse un coup au but....sans signe de naufrage.

Pour empêcher les évacuations des troupes ennemies par voie aérienne et éviter ainsi le renforcement de positions sur ses arrières, je poursuis le bombardement des aérodromes de Nouvelle-Guinée.
Le 8 janvier, 210 quadrimoteurs écrasent Madang (où sont parvenus les restes de la 19e DI).

Hollandia est frappé le 13 janvier par 200 Liberators qui parviennent ainsi à fermer le dernier aérodrome japonais de Nouvelle-Guinée, et détruisant 8 avions de transport au sol.

NORTH OZ
Tel est pris qui croyait prendre


Un raid est mené contre Amboine le 11 janvier par 70 Forteresses volantes.

Le 12 janvier au sud de Benjaermesin, le Trigger fait une grosse prise. Il attaque le CA Nachi, déjà avarié ( il fume et doit avoir des dégâts conséquents). Une torpille frappe le croiseur, sans pour autant le couler.

Le navire semblant progresser vers l'Est et le détroit de Makassar, plusieurs sous marins convergent, espérant l'achever.
Le 14 janvier, au sud de Balikpapan, le Grouper ne retrouve pas le Nachi mais le DD Shiokaze, lui aussi déjà endommagé. Il lui expédie une torpille dans les flancs, sans le couler.

Le 14 janvier, un Mosquito PR-IX fait une reconnaissance sur Sampit sur la cote occidentale de Bornéo. Cette mission n'a aucune autre intention que de leurrer l'adversaire quant aux futurs axes de progression de mes offensives. Cependant, je ne suis pas sur que cela suffise.

A Darwin, le 14 janvier, débutent les embarquements pour mener à bien CHIGNOLE
CHINE
L'armée japonaise tente un assaut sur Kunming le 8 janvier, mais échoue brutalement dans sa tentative.

L'aviation alliée reste omniprésente dans le ciel de Kunming, bien que la météo réduise mes opérations.

Sur le Yangtzé, mon aviation poursuit le harcèlement des troupes ennemies. Tout d'abord sur les unités piégées dans la poche de la Jialing River. Comme ici le 8 janvier :

Mais aussi contre l'armée sur la rive gauche du Yangtzé.

L'armée japonaise du nord de la Chine relance son offensive le 11 janvier, et poursuit le 12, mais finit par s'épuiser en vain.

Sur ce front je ne vois pas comment débloquer la situation, ni faire la peau aux unités piégées au nord de Chungking, ni enrayer définitivement l'offensive sur Kunming.
BURMA
Le 42e sq basé à Akyab a été transformé sur Wellington, les Blenheims ayant un emport de bombe trop léger pour faire de réels dégâts aux infrastructures ennemies.
Le 9 janvier, le squadron lance un raid sur Rangoon totalement sans défense depuis quasiment un an, et cause de faibles dégâts.

Un nouveau raid le 12 janvier touche enfin quelques stocks de ravitaillement.

MALAISIE
Bangkok. Je voudrais fermer cette base ennemie en prévision d'un contournement des positions ennemies de Songkhia par Bandou.
La météo empêche tout vol les 8 et 9 janvier.
Le 10 un raid décolle en cafouillant totalement. Mais le sweep prévu n'accompagne pas les quadrimoteurs britanniques, ce qui n'a heureusement aucune conséquence. 11 Liberator VI se perdent en route, 12 bombardant et 60 restant au sol


Le lendemain, mon armada vole enfin. 75 Liberator causent quelques dégâts à une base qui semble vidée de ses appareils (sauf une douzaine d’auxiliaires).

Reste que l'aérodrome se répare plus vite que mes équipages ne se reposent, et qu'il me faudrait aussi fermer Saigon en même temps si je veux réaliser un débarquement sécurisé dans le dos de l'ennemi.
Au sud de Kuantan, la 50e Bde Para indienne et le 5307e US RCT sont confrontés à la difficulté de recevoir du ravitaillement, ce qui ralenti le nettoyage de la région.
Mon aviation appuie les troupes au sol:

Un assaut est lancé le 8 janvier.

Le 13 janvier un nouvel assaut détruit le 48e Road Cn Bn et provoque une charge BANZAI de quelques éléments disparates de la 3e Tk Div...Mais il reste des éléments ennemis.

Singapore est visité nuitamment, sans conséquences hormis quelques Beaufighter endommagés (et une perte ops avec son pilote) et aucune perte ennemie.
Ici le 8 janvier

Edit: à bein non, en vérifiant mes screen je constate qu'un Beaufighter à bel et bien été criblé de plomb par l'adversaire !

Bataille dans le ciel de Palembang:
Si je veux investir Sinkep et rendre Palembang invivable, il me faut d'abord fermer cet important aérodrome de taille 4 (qui donc permet aux avions japonais d'utiliser des torpilles).
Après quelques jours de repos, les équipages des 34e FS, 258e sq et AVG retournent combattre la chasse adverse le 11 janvier. 70 P-47 de tout type affrontent 40 chasseurs japonais.
Les Thunderbolts, avions puissants et rapides, et pilotés de main de maitre, ne perdent aucun des leurs et détruisent 36 adversaire. Bartimeus II y remporte sa 27e victoire.


Un autre raid est prévu le 15 janvier, cette fois ci avec les bombardiers....
Sur mer:
Les barges japonaises n'ont pas refait d'incursion de cabotage dans ce secteur.
Le 8 janvier, le Darter intercepte un cargo à proximité de Kuching. Il le touche d'une torpille, mais il ne semble pas qu'elle ait touché une partie sensible du navire, qui ne coule pas.

Le 11 janvier, le Snapper attaque un transport japonais à l'Est de Batavia. 2 torpilles font une cinquantaine de victimes, et finissent par avoir raison du bateau qui coule le lendemain.

Le lendemain 12 janvier, le Snapper décidément en forme coule, dans le même secteur, un MSW.

Puis il expédie 2 torpilles au but sur un nouveau transport (sans le couler) .

Un AAR Thirty Year War romancé :
viewtopic.php?f=77&t=14547
Une histoire de Britannia :
viewtopic.php?f=77&t=12282
viewtopic.php?f=77&t=14547
Une histoire de Britannia :
viewtopic.php?f=77&t=12282
Re: cAARnage dans le Pacifique
15 au 21 janvier 1944
désolé des délais, mais IRL y'a parfois des jours fort occupés
Les alliés à la peine, mais l'aviation japonaise saignée
CENTPAC
Le 15 janvier, mes écoutes radiophoniques m’apprennent que Makin n'est pas vide, la 43e Nv Gd y est en garnison.
Et que Naha, sur l'ile d'Okinawa, est défendu par la 30e DI: pas une partie de plaisir en perspective....

Le 16 janvier, c'est sur Woleai que j'en apprends: la 51e Brigade défend la place....

Le 16 janvier à l'Est de Truk, le Ray rate un MSW; la réplique secoue un peu le sous marin.

Le 18 janvier à l'ouest de Nagasaki, le Flounder repère une cible prioritaire, un pétrolier. Il se glisse jusqu'à lui et parvient à le frapper de 2 torpilles, sans le couler.

Le 18 janvier, au sud de Tarakan, le Trigger s'attaque à un destroyer, le Hamanami. Cette fois, en dépit des évolutions rapides de la cible, le submersible parvient à coller au but....hélas, l'engin est foireux
.
Commence alors un infernal ballet au dessus du sous marin, secoué comme un prunier par des chapelets de grenades. 2 charges causent des avaries énormes, faisant craindre pour la survie du submersible...

Et le même jour, le Bashaw, au sud d'Okinawa, attaque un petit escorteur. La encore, le projectile fait mouche...sans exploser....décidément

Le Bashaw retrouve sa cible un peu plus tard....et cette fois la manque.

Le détroit de Makassar devrait désormais être la voie maritime principale, voire exclusive, de l'adversaire pour en sortir les exportations des richesses des Indes néerlandaises. Or mes sous marin, qui commencent à s'y concentrer, ne trouvent que de rares cibles.
Le 20 janvier, le Lapon repère bien un pétrolier...mais il le rate
.

Le 21 janvier au nord de Truk, le Snook parvient à toucher le AK Syozin de 2 torpilles, sans le couler.

SOWEPAC
Nanoméa Enfin, après des jours de rudes combats, et des pertes parfois sévères, mes unités éradiquent les derniers défenseurs accrochés à un bout de l'atoll, le 20 janvier 1944. 4500 japonais sont éliminés ( 50 VP
).

A Nouméa, mes TF de CV et BB se dockent, de nombreux navires ayant d'importantes réparations à entreprendre....
Rabaul est visé par un squadron de P-70 Havoc à l'entrainement, ainsi qu'un escadron de SBD du VR-3B, ces unités de remplacements totalement inutiles (déjà essayé durant les batailles aéronavales en mer de Corail). 110 sorties sont menées.
Il n'y a quasiment aucun tir de DCA, ou très légers. L'ennemi semble avoir évacué l'essentiel de la base (des Walrus australiens procédant à des recos quotidiennes).
Ici le 17 janvier:

Le 20 janvier, 20 Liberators australiens attaquent Wewak, espérant garder l'aérodrome fermé, bien que les dégâts soient très modestes.

Aussi un raid est prévu pour le 21 janvier avec 200 B-24 US, mais la météo empêche le raid d'avoir lieu.
Le KB semble sagement rester à Truk. Depuis cette position, il peut intervenir rapidement dans l'archipel des Bismark, dans les Marianes, ou dans les Marshalls....Aussi la question se pose de savoir comment le débusquer ou le contraindre à sortir...et le matraquer, avant de m'élancer vers les Marianes.
NORTH OZ
Le 19 janvier, à l'Ouest de Koepang, la petite ile de Roti est occupée par les alliés (jeu des ZOC).

CHIGNOLE BAT SON PLEIN, ET CA GRIPPE DANS LES ROUAGES
Le 18 janvier, un raid est programmé depuis Lautern sur Kendari, pour clore cette base et l’empêcher d'agresser CHIGNOLE sur son flanc ouest. Mais la météo en décide autrement....
Le 19 janvier, en pleine nuit, les dragages débutent aux abords de l'ile de Ceram dans les Moluques. Des dizaines de ces armes passives sont détruites par mes escorteurs. Cependant plusieurs navires, qui approchent des cotes, les soutes bondées de troupes, heurtent ces engins.

Le AK Protheus en touche pas moins de 3...plusieurs autres navires sont gravement endommagés.
Les débarquements débutent alors. Ce n'est pas un atoll, je n'ai pas à craindre un assaut obligatoire !
.

Liste des navires endommagés le premier jour :

Enfin, ce 19 janvier, un raid sur Kendari décolle ! 150 quadrimoteurs escortés par 80 chasseurs n'ont qu'une dizaine d'intercepteurs à affronter. La chasse adverse est balayée telle un fétu de paille, et la base ennemie matraquée sans scrupules. Pas moins de 40 avions sont pulvérisés sur les pistes. Kendari ne posera pas de problèmes à CHIGNOLE !

Le 20 janvier les débarquements se poursuivent à Amboine, sous des tirs nourris qui endommagent à nouveau plusieurs navires. CHIGNOLE n'est pas une opération facile, et ce n'est que le début...

A Kendari, un nouveau raid vient parachever la destruction de la base, ainsi que plus de 30 avions ennemis au sol.

21 janvier. L'aviation japonaise sort en force et montre les griffes dans le ciel d'Amboine.
Par précipitation dans son lancement, CHIGNOLE est mal couvert. 2 Groups de 70 P-47 restent inactifs à Kai Island, trop loins pour intervenir eu égard à leur autonomie
.
Bulla ne dispose pas d'assez de soutien aérien pour abriter une chasse nombreuse. Aussi la couverture aérienne est assurée par le 12e RAAF sq et la VMF-311 depuis Bulla, ainsi que le 21e FS sur P-38 et le 78e RAAF sur Kittyhawk III depuis Kai.
Un premier sweep venant de Sorong déboule...Il ne compte que 5 Tony mais surprend ma chasse et parvient à détruire 2 Spit pour le cout de 3 Tony.

Puis l'ennemi arrive en force....
Plus de 50 chasseurs nippons escortent 65 bombardiers dont 20 dangereux Betty. Le dogfight, acharné, voit des appareils des deux camps tomber. 11 chasseurs alliés sont perdus. L'ennemi laisse 40 avions sur le carreau, mais le CL Leander et 4 cargos sont touchés !


Déjà un autre raid se profile, venant cette fois de Morotai, 12 Helens sont vites contrés. Et un 4e raid arrive, 13 appareils, qui parviennent à prendre de court ma chasse dispersée et me coute 4 avions pour 3 japonais.

La journée n'est pas finie
. Ce sont 80 chasseurs et 30 bombardiers auxquels doivent faire face mes effectifs qui s'amenuisent...Le 21e FS est étrillé. 14 avions alliés sont perdus, pour 20 japonais (pas un bon ratio
).

Les Bettys ont réussis à passer ma CAP, filent au ras des flots. Le CL Adelaide, qui protégeait une TF de débarquement, encaisse 2 torpilles...son sort semble scellé. 4 transports sont touchés, l'un d'eux coule en tres peu de temps.

La journée s’éternise. 4 autres raids s'enchainent, épuisant mes pilotes et dispersant mes patrouilles, qui ont de plus en plus de mal à faire face. 6 avions adverses sont abattus, et 2 navires touchés, pour 4 avions alliés.

A la fin de la journée, l'ennemi a perdu 80 appareils, les alliés presque 40, et plusieurs navires sont en perdition.
Le total des pertes du jour :

Le 12e RAAF sq a été anéanti dans la bataille. Le 21e FS, étrillé, perd son héros de 1942, le 1LT Dunnigan. Celui-ci abat 6 avions ennemis, mais est tué aux commandes de son P-38J. Le 1lt Heath ( du 21e FS) quant à lui abat 5 appareils, montant son palmarès à 10.
Pour reposer les escadrilles, la VMF-311 quitte Bulla, remplacée par la VMF-155 et le 80e RAAF sq.
Leur débarquement terminé (hormis la 9e DI Australienne) l'armée australienne d'invasion lance un premier assaut le 21 janvier. La garnison, puissante et solidement retranchée, oppose une solide défense à laquelle se heurtent mes australiens. Cependant une ligne de fortification est détruite.

La baie d'Ambon:

Et la cote sud de la péninsule qui ferme la baie d'Ambon :

CHINE
Au nord de Chungking le harcèlement de la poche de Jialing se poursuit.
Le 15 janvier :

Dans le même temps, l'armée " de secours" est également bombardée.
Ici le 17 janvier:

L'ennemi lance un assaut le 18 janvier, sans me repousser.

Aux abords de Kunming, là aussi mon aviation poursuit son appui tactique quotidien.
17 janvier :

Le 18 janvier, l'ennemi lance un assaut contre la ville, encore une fois repoussée avec de sévères pertes, et sans entamer mes lignes de fortification
.

Il semble que cette position soit une noix très dure à casser, qui continue à me gagner du temps.
Cependant, l'ennemi tente de déborder ma position: le 19 janvier, une unité coupe la route Yunan/Chungking.

Mon aviation se met à la bombarder, tandis que des unités sont prélevées à Yunan et Kunming pour aller à la rencontre de la 20e Bde. On espère à terme la refouler.
BURMA
Quelques raids sporadiques ont lieu sur Rangoon: le 42 sq de Akyab aimerait parvenir à détruire quelques uns des avions de patrouille toujours basés sur place, en vain.
15 janvier: 8 sorties
19 janvier : 10 sorties.
Ici le 15 :

MALAISIE
Au sol, la 50e Indian Brigade et le 5307e US RCT ne sont toujours pas parvenus à nettoyer la péninsule des dernières troupes qui y resistent encore.
Deux assauts sont menés les 18 et 20 janvier.
Ici le 20 janvier :

L'aviation britannique a apporté un soutien modeste le 19 janvier, 37 sorties de Wellington.

Le 16 janvier, un raid sur Bangkok capote, seul un squadron envoi 6 Liberator qui font de modestes dégats.

Le 21 janvier, le sweep du 23e FG s'élance seul, sans rencontrer de résistance, mais le raid de bombardier ne daigne pas décoller...

OPERATION SUR SINKEP
Pour pouvoir lancer mon opération sur Sinkep, il me faut parvenir à clore la base de Palembang.
Le 15 janvier un raid s'élance. Il aurait du compter plus de 100 chasseurs alliés, mais confusion et cafouillage s'en mêlent. Seuls 51 chasseurs escortent mes 56 quadrimoteurs et 80 bimoteurs. En face, l'adversaire aligne 76 chasseurs. L'empoignade tourne à mon avantage, les appareils alliés sont supérieurs à ceux de l'adversaire, avec des équipages aguerris. Ce qui n'exclue pas les pertes: 11 chasseurs sont perdus. L'adversaire a réussi a approcher les formations de bombardiers et deux d'entre eux tombent en flamme. Mais 62 chasseurs nippons sont descendus et 30 avions détruits au sol. C'est un rude coup pour l'adversaire.

Un nouveau raid est lancé le lendemain pour parachever le travail. Cette fois pas de cafouillage, 136 chasseurs escortent 93 quadrimoteurs et 100 bimoteurs. En face se dressent 60 chasseurs ennemis. Ceux ci se démènent, descendent 8 de mes avions mais se font laminer, 58 d'entre eux étant abattus, et 70 avions détruits au sol, et la base est ruinée.
Palembang est fermé !

Bartimeus II de l'AVG/A remporte sa 28 victoire en coinçant un Tojo dans ses 6 heures.

A l'Etat Major japonais, c'est l’écœurement qui prévaut. 200 chasseurs étaient dédiés à la défense de Palembang, un tiers seulement a été engagé, laissant les alliés remporter les combats.
(mail de Stefan: " I find it hard to see all my 200 plane on the base and only 58 ready to fight" ).
Prévoyante, la 12e Indian Bde a commencé à embarquer à bord de transports, à Singapore.
Le 17 janvier, il n'y a plus que 4 Tojo pour défendre Palembang à nouveau écrasée sous les bombes. 80 avions sont détruits sur les pistes.

En 3 raids, l'aviation alliée a perdue 22 avions. L'aviation japonaise a perdue 300 appareils !
Venue couvrir les opérations sur Sinkep, l'escadre britannique de 3 CV est à portée de Palembang. 44 torpilleurs en décollent et assaillent les navires présents à l'embouchure du fleuve qui dessert Palembang. Ils touchent 5 navires de 5 torpilles, en dépit du fait que quelques sections sont incapables de localiser une cible au milieu des nuages et de la fumée des incendies.

Un second raid de 26 appareils touche 3 navires de plus.

Mais dans le même temps, un raid japonais décolle de Jambi et assaille mes escadres anglaises. 18 Tojo et 11 Helens sont contrés par 67 chasseurs. Pour 1 Kittyhawk, tout les assaillants sont détruits. Le Cpt CARL de la VMF-221 remporte sa 15e victoire.

Le 18 janvier, les débarquements débutent à Sinkep.
A nouveau l'aéronavale britannique assaille Palembang: 31 Barracuda et 13 Avengers malmènent 2 MSW, mais de nombreuses sections de torpilleurs ne trouvent pas leur cible.

2 autres raids touchent 2 patrouilleurs et un pétrolier. Un Barracuda succombe aux tirs de DCA. Le port semble s’être vidé depuis la veille
.

Dans le détroit entre Sumatra et Sinkep, l'aviation japonaise intervient.
Un premier raid de 6 appareils est anéanti en quelques instants.
Un second raid de même force (2 Tojo et 4 Nick) est à son tour balayé.

Soudain, un nouveau raid se présente. Cette fois ce sont 16 Tojo qui escortent 23 Mary. Mes chasseurs, déja dispersés par les 2 premiers raids, ont du mal à se regrouper et perdent 4 des leurs. Ils abattent 14 Tojo et 9 Mary . Les petits bombardiers monomoteurs passent alors à l'attaque.

Loin sous eux, mon escadre de cuirassés se lance dans de vives évolutions pour leur échapper. La DCA tonne et claque. Les Mary, qui semblaient accrochés au ciel par un fil invisible, attaquent l'un apres l'autre, et dévalent le ciel comme si ce fil venait d'être coupé.
Soudain un des Mary bascule. STUPEUR, il s'écrase sur le pont blindé du cuirassé Resolution qui tressaille.
Ce genre d'événement, bien qu'exceptionnel, n'est pas inconnu. Quelques pilotes des deux camps, touchés à mort, ont par le passé, lancés leurs machines sur leurs cibles ( IRL: Henderson Field, à Guadalcanal, a été baptisé ainsi en la mémoire du Commodore Lofton Henderson de la VMSB-241 qui disparu à la bataille de Midway en se sacrifiant).
Un second Mary, pourtant, ne redresse pas son piqué ni ne lache sa bombe. Horreur, lui aussi s'écrase sur le Resolution
Puis le suivant....
Et encore un
Pour être honnête je n'ai pas compris immédiatement ce qui se passait....
Ce sont pas moins de 9 appareils qui se précipitent délibérément sur les cuirassés. Par chance, il y a plus de peur que de mal.

Cette nouvelle forme d'attaque suicide porte vite un nom: une attaque Kamikaze.
En 1274 et 1281, des typhons légendaires auraient balayés les flottes d'invasion mongoles, sauvant l'archipel japonais de la domination étrangère. Ces vents sont devenus des vents divins (Kami: dieu), des Kami Kazé.
Désormais ce vent divin s'incarne dans les pilotes faisant délibérément le sacrifice de leur vie pour l'Empereur.
L’étonnement est là: les dégâts sont dérisoire. Est-ce dû au blindage des navires anglais ? Au faible poids des appareils ? A leur charge de bombe réduite ? L'impact sera t'il plus dangereux sur un CV US ??
Toujours et-il que la guerre vient d'entrer dans une nouvelle phase, et que je vais devoir redoubler de prudence
19 janvier, pour réduire le risque qu'une attaque Kamikaze ne s'abatte sur ma flotte, Jambi est visé par un raid regroupant 16 B-17E du 93e BS et 27 Wellington. 5 avions ennemis sont détruits et la base encaisse quelques dégâts.

Pendant ce temps à Palembang, l'aéronavale coule un MSW, mais de nombreuses sections sont incapables de trouver une cible.

Au soir du 19 janvier Sinkep est investie sans coup férir. Dans quelques semaines j'espère être en mesure de contrôler totalement le trafic entrant ou sortant de Palembang...

Le 20 janvier, un raid vient aggraver l'état de Jambi, l'ennemi y perd 7 avions.

Quelques appareils ennemis tentent de perturber ma flotte. Une nouvelle attaque Kamikaze vise mes cuirassés. La chasse descend 5 Helen et 3 Anns, 2 autres succombent à ma DCA. Mais des 5 restants, 3 parviennent à se fracasser chacun contre un cuirassé. Les dégâts structurels ne mettent pas en danger l’existence des navires mais Revenge et Repulse perdent chacun une batterie secondaire.


Pour l'heure ces attaques ont coutés très cher à l'ennemi: 53 appareils en 2 jours, pour des résultats dérisoires.
A ce rythme, entre les batailles de Amboine, l'écrasement d'appareils sur les pistes à Palembang, Jambi, Kendari, les attaques Kamikaze, combien de temps l'aviation ennemie peut elle perdurer ?
Cependant, l'ennemi a encore de la ressource, comme on l'a vu à Amboine. Et il lui en reste sous le pied, la preuve ces 350 appareils qui s'entrainent à Tomini le 21 janvier....

édité, manquait une image
désolé des délais, mais IRL y'a parfois des jours fort occupés
Les alliés à la peine, mais l'aviation japonaise saignée
CENTPAC
Le 15 janvier, mes écoutes radiophoniques m’apprennent que Makin n'est pas vide, la 43e Nv Gd y est en garnison.
Et que Naha, sur l'ile d'Okinawa, est défendu par la 30e DI: pas une partie de plaisir en perspective....

Le 16 janvier, c'est sur Woleai que j'en apprends: la 51e Brigade défend la place....

Le 16 janvier à l'Est de Truk, le Ray rate un MSW; la réplique secoue un peu le sous marin.

Le 18 janvier à l'ouest de Nagasaki, le Flounder repère une cible prioritaire, un pétrolier. Il se glisse jusqu'à lui et parvient à le frapper de 2 torpilles, sans le couler.

Le 18 janvier, au sud de Tarakan, le Trigger s'attaque à un destroyer, le Hamanami. Cette fois, en dépit des évolutions rapides de la cible, le submersible parvient à coller au but....hélas, l'engin est foireux

Commence alors un infernal ballet au dessus du sous marin, secoué comme un prunier par des chapelets de grenades. 2 charges causent des avaries énormes, faisant craindre pour la survie du submersible...

Et le même jour, le Bashaw, au sud d'Okinawa, attaque un petit escorteur. La encore, le projectile fait mouche...sans exploser....décidément


Le Bashaw retrouve sa cible un peu plus tard....et cette fois la manque.


Le détroit de Makassar devrait désormais être la voie maritime principale, voire exclusive, de l'adversaire pour en sortir les exportations des richesses des Indes néerlandaises. Or mes sous marin, qui commencent à s'y concentrer, ne trouvent que de rares cibles.
Le 20 janvier, le Lapon repère bien un pétrolier...mais il le rate


Le 21 janvier au nord de Truk, le Snook parvient à toucher le AK Syozin de 2 torpilles, sans le couler.

SOWEPAC
Nanoméa Enfin, après des jours de rudes combats, et des pertes parfois sévères, mes unités éradiquent les derniers défenseurs accrochés à un bout de l'atoll, le 20 janvier 1944. 4500 japonais sont éliminés ( 50 VP


A Nouméa, mes TF de CV et BB se dockent, de nombreux navires ayant d'importantes réparations à entreprendre....
Rabaul est visé par un squadron de P-70 Havoc à l'entrainement, ainsi qu'un escadron de SBD du VR-3B, ces unités de remplacements totalement inutiles (déjà essayé durant les batailles aéronavales en mer de Corail). 110 sorties sont menées.
Il n'y a quasiment aucun tir de DCA, ou très légers. L'ennemi semble avoir évacué l'essentiel de la base (des Walrus australiens procédant à des recos quotidiennes).
Ici le 17 janvier:

Le 20 janvier, 20 Liberators australiens attaquent Wewak, espérant garder l'aérodrome fermé, bien que les dégâts soient très modestes.

Aussi un raid est prévu pour le 21 janvier avec 200 B-24 US, mais la météo empêche le raid d'avoir lieu.
Le KB semble sagement rester à Truk. Depuis cette position, il peut intervenir rapidement dans l'archipel des Bismark, dans les Marianes, ou dans les Marshalls....Aussi la question se pose de savoir comment le débusquer ou le contraindre à sortir...et le matraquer, avant de m'élancer vers les Marianes.
NORTH OZ
Le 19 janvier, à l'Ouest de Koepang, la petite ile de Roti est occupée par les alliés (jeu des ZOC).

CHIGNOLE BAT SON PLEIN, ET CA GRIPPE DANS LES ROUAGES
Le 18 janvier, un raid est programmé depuis Lautern sur Kendari, pour clore cette base et l’empêcher d'agresser CHIGNOLE sur son flanc ouest. Mais la météo en décide autrement....
Le 19 janvier, en pleine nuit, les dragages débutent aux abords de l'ile de Ceram dans les Moluques. Des dizaines de ces armes passives sont détruites par mes escorteurs. Cependant plusieurs navires, qui approchent des cotes, les soutes bondées de troupes, heurtent ces engins.

Le AK Protheus en touche pas moins de 3...plusieurs autres navires sont gravement endommagés.
Les débarquements débutent alors. Ce n'est pas un atoll, je n'ai pas à craindre un assaut obligatoire !


Liste des navires endommagés le premier jour :

Enfin, ce 19 janvier, un raid sur Kendari décolle ! 150 quadrimoteurs escortés par 80 chasseurs n'ont qu'une dizaine d'intercepteurs à affronter. La chasse adverse est balayée telle un fétu de paille, et la base ennemie matraquée sans scrupules. Pas moins de 40 avions sont pulvérisés sur les pistes. Kendari ne posera pas de problèmes à CHIGNOLE !

Le 20 janvier les débarquements se poursuivent à Amboine, sous des tirs nourris qui endommagent à nouveau plusieurs navires. CHIGNOLE n'est pas une opération facile, et ce n'est que le début...

A Kendari, un nouveau raid vient parachever la destruction de la base, ainsi que plus de 30 avions ennemis au sol.

21 janvier. L'aviation japonaise sort en force et montre les griffes dans le ciel d'Amboine.
Par précipitation dans son lancement, CHIGNOLE est mal couvert. 2 Groups de 70 P-47 restent inactifs à Kai Island, trop loins pour intervenir eu égard à leur autonomie

Bulla ne dispose pas d'assez de soutien aérien pour abriter une chasse nombreuse. Aussi la couverture aérienne est assurée par le 12e RAAF sq et la VMF-311 depuis Bulla, ainsi que le 21e FS sur P-38 et le 78e RAAF sur Kittyhawk III depuis Kai.
Un premier sweep venant de Sorong déboule...Il ne compte que 5 Tony mais surprend ma chasse et parvient à détruire 2 Spit pour le cout de 3 Tony.

Puis l'ennemi arrive en force....
Plus de 50 chasseurs nippons escortent 65 bombardiers dont 20 dangereux Betty. Le dogfight, acharné, voit des appareils des deux camps tomber. 11 chasseurs alliés sont perdus. L'ennemi laisse 40 avions sur le carreau, mais le CL Leander et 4 cargos sont touchés !


Déjà un autre raid se profile, venant cette fois de Morotai, 12 Helens sont vites contrés. Et un 4e raid arrive, 13 appareils, qui parviennent à prendre de court ma chasse dispersée et me coute 4 avions pour 3 japonais.

La journée n'est pas finie



Les Bettys ont réussis à passer ma CAP, filent au ras des flots. Le CL Adelaide, qui protégeait une TF de débarquement, encaisse 2 torpilles...son sort semble scellé. 4 transports sont touchés, l'un d'eux coule en tres peu de temps.

La journée s’éternise. 4 autres raids s'enchainent, épuisant mes pilotes et dispersant mes patrouilles, qui ont de plus en plus de mal à faire face. 6 avions adverses sont abattus, et 2 navires touchés, pour 4 avions alliés.

A la fin de la journée, l'ennemi a perdu 80 appareils, les alliés presque 40, et plusieurs navires sont en perdition.
Le total des pertes du jour :

Le 12e RAAF sq a été anéanti dans la bataille. Le 21e FS, étrillé, perd son héros de 1942, le 1LT Dunnigan. Celui-ci abat 6 avions ennemis, mais est tué aux commandes de son P-38J. Le 1lt Heath ( du 21e FS) quant à lui abat 5 appareils, montant son palmarès à 10.
Pour reposer les escadrilles, la VMF-311 quitte Bulla, remplacée par la VMF-155 et le 80e RAAF sq.
Leur débarquement terminé (hormis la 9e DI Australienne) l'armée australienne d'invasion lance un premier assaut le 21 janvier. La garnison, puissante et solidement retranchée, oppose une solide défense à laquelle se heurtent mes australiens. Cependant une ligne de fortification est détruite.

La baie d'Ambon:

Et la cote sud de la péninsule qui ferme la baie d'Ambon :

CHINE
Au nord de Chungking le harcèlement de la poche de Jialing se poursuit.
Le 15 janvier :

Dans le même temps, l'armée " de secours" est également bombardée.
Ici le 17 janvier:

L'ennemi lance un assaut le 18 janvier, sans me repousser.

Aux abords de Kunming, là aussi mon aviation poursuit son appui tactique quotidien.
17 janvier :

Le 18 janvier, l'ennemi lance un assaut contre la ville, encore une fois repoussée avec de sévères pertes, et sans entamer mes lignes de fortification


Il semble que cette position soit une noix très dure à casser, qui continue à me gagner du temps.
Cependant, l'ennemi tente de déborder ma position: le 19 janvier, une unité coupe la route Yunan/Chungking.


Mon aviation se met à la bombarder, tandis que des unités sont prélevées à Yunan et Kunming pour aller à la rencontre de la 20e Bde. On espère à terme la refouler.
BURMA
Quelques raids sporadiques ont lieu sur Rangoon: le 42 sq de Akyab aimerait parvenir à détruire quelques uns des avions de patrouille toujours basés sur place, en vain.
15 janvier: 8 sorties
19 janvier : 10 sorties.
Ici le 15 :

MALAISIE
Au sol, la 50e Indian Brigade et le 5307e US RCT ne sont toujours pas parvenus à nettoyer la péninsule des dernières troupes qui y resistent encore.
Deux assauts sont menés les 18 et 20 janvier.
Ici le 20 janvier :

L'aviation britannique a apporté un soutien modeste le 19 janvier, 37 sorties de Wellington.

Le 16 janvier, un raid sur Bangkok capote, seul un squadron envoi 6 Liberator qui font de modestes dégats.

Le 21 janvier, le sweep du 23e FG s'élance seul, sans rencontrer de résistance, mais le raid de bombardier ne daigne pas décoller...

OPERATION SUR SINKEP
Pour pouvoir lancer mon opération sur Sinkep, il me faut parvenir à clore la base de Palembang.
Le 15 janvier un raid s'élance. Il aurait du compter plus de 100 chasseurs alliés, mais confusion et cafouillage s'en mêlent. Seuls 51 chasseurs escortent mes 56 quadrimoteurs et 80 bimoteurs. En face, l'adversaire aligne 76 chasseurs. L'empoignade tourne à mon avantage, les appareils alliés sont supérieurs à ceux de l'adversaire, avec des équipages aguerris. Ce qui n'exclue pas les pertes: 11 chasseurs sont perdus. L'adversaire a réussi a approcher les formations de bombardiers et deux d'entre eux tombent en flamme. Mais 62 chasseurs nippons sont descendus et 30 avions détruits au sol. C'est un rude coup pour l'adversaire.

Un nouveau raid est lancé le lendemain pour parachever le travail. Cette fois pas de cafouillage, 136 chasseurs escortent 93 quadrimoteurs et 100 bimoteurs. En face se dressent 60 chasseurs ennemis. Ceux ci se démènent, descendent 8 de mes avions mais se font laminer, 58 d'entre eux étant abattus, et 70 avions détruits au sol, et la base est ruinée.
Palembang est fermé !

Bartimeus II de l'AVG/A remporte sa 28 victoire en coinçant un Tojo dans ses 6 heures.

A l'Etat Major japonais, c'est l’écœurement qui prévaut. 200 chasseurs étaient dédiés à la défense de Palembang, un tiers seulement a été engagé, laissant les alliés remporter les combats.
(mail de Stefan: " I find it hard to see all my 200 plane on the base and only 58 ready to fight" ).
Prévoyante, la 12e Indian Bde a commencé à embarquer à bord de transports, à Singapore.
Le 17 janvier, il n'y a plus que 4 Tojo pour défendre Palembang à nouveau écrasée sous les bombes. 80 avions sont détruits sur les pistes.

En 3 raids, l'aviation alliée a perdue 22 avions. L'aviation japonaise a perdue 300 appareils !
Venue couvrir les opérations sur Sinkep, l'escadre britannique de 3 CV est à portée de Palembang. 44 torpilleurs en décollent et assaillent les navires présents à l'embouchure du fleuve qui dessert Palembang. Ils touchent 5 navires de 5 torpilles, en dépit du fait que quelques sections sont incapables de localiser une cible au milieu des nuages et de la fumée des incendies.

Un second raid de 26 appareils touche 3 navires de plus.

Mais dans le même temps, un raid japonais décolle de Jambi et assaille mes escadres anglaises. 18 Tojo et 11 Helens sont contrés par 67 chasseurs. Pour 1 Kittyhawk, tout les assaillants sont détruits. Le Cpt CARL de la VMF-221 remporte sa 15e victoire.

Le 18 janvier, les débarquements débutent à Sinkep.
A nouveau l'aéronavale britannique assaille Palembang: 31 Barracuda et 13 Avengers malmènent 2 MSW, mais de nombreuses sections de torpilleurs ne trouvent pas leur cible.

2 autres raids touchent 2 patrouilleurs et un pétrolier. Un Barracuda succombe aux tirs de DCA. Le port semble s’être vidé depuis la veille


Dans le détroit entre Sumatra et Sinkep, l'aviation japonaise intervient.
Un premier raid de 6 appareils est anéanti en quelques instants.
Un second raid de même force (2 Tojo et 4 Nick) est à son tour balayé.

Soudain, un nouveau raid se présente. Cette fois ce sont 16 Tojo qui escortent 23 Mary. Mes chasseurs, déja dispersés par les 2 premiers raids, ont du mal à se regrouper et perdent 4 des leurs. Ils abattent 14 Tojo et 9 Mary . Les petits bombardiers monomoteurs passent alors à l'attaque.

Loin sous eux, mon escadre de cuirassés se lance dans de vives évolutions pour leur échapper. La DCA tonne et claque. Les Mary, qui semblaient accrochés au ciel par un fil invisible, attaquent l'un apres l'autre, et dévalent le ciel comme si ce fil venait d'être coupé.
Soudain un des Mary bascule. STUPEUR, il s'écrase sur le pont blindé du cuirassé Resolution qui tressaille.
Ce genre d'événement, bien qu'exceptionnel, n'est pas inconnu. Quelques pilotes des deux camps, touchés à mort, ont par le passé, lancés leurs machines sur leurs cibles ( IRL: Henderson Field, à Guadalcanal, a été baptisé ainsi en la mémoire du Commodore Lofton Henderson de la VMSB-241 qui disparu à la bataille de Midway en se sacrifiant).
Un second Mary, pourtant, ne redresse pas son piqué ni ne lache sa bombe. Horreur, lui aussi s'écrase sur le Resolution
Puis le suivant....


Pour être honnête je n'ai pas compris immédiatement ce qui se passait....
Ce sont pas moins de 9 appareils qui se précipitent délibérément sur les cuirassés. Par chance, il y a plus de peur que de mal.

Cette nouvelle forme d'attaque suicide porte vite un nom: une attaque Kamikaze.
En 1274 et 1281, des typhons légendaires auraient balayés les flottes d'invasion mongoles, sauvant l'archipel japonais de la domination étrangère. Ces vents sont devenus des vents divins (Kami: dieu), des Kami Kazé.
Désormais ce vent divin s'incarne dans les pilotes faisant délibérément le sacrifice de leur vie pour l'Empereur.
L’étonnement est là: les dégâts sont dérisoire. Est-ce dû au blindage des navires anglais ? Au faible poids des appareils ? A leur charge de bombe réduite ? L'impact sera t'il plus dangereux sur un CV US ??
Toujours et-il que la guerre vient d'entrer dans une nouvelle phase, et que je vais devoir redoubler de prudence

19 janvier, pour réduire le risque qu'une attaque Kamikaze ne s'abatte sur ma flotte, Jambi est visé par un raid regroupant 16 B-17E du 93e BS et 27 Wellington. 5 avions ennemis sont détruits et la base encaisse quelques dégâts.

Pendant ce temps à Palembang, l'aéronavale coule un MSW, mais de nombreuses sections sont incapables de trouver une cible.

Au soir du 19 janvier Sinkep est investie sans coup férir. Dans quelques semaines j'espère être en mesure de contrôler totalement le trafic entrant ou sortant de Palembang...

Le 20 janvier, un raid vient aggraver l'état de Jambi, l'ennemi y perd 7 avions.

Quelques appareils ennemis tentent de perturber ma flotte. Une nouvelle attaque Kamikaze vise mes cuirassés. La chasse descend 5 Helen et 3 Anns, 2 autres succombent à ma DCA. Mais des 5 restants, 3 parviennent à se fracasser chacun contre un cuirassé. Les dégâts structurels ne mettent pas en danger l’existence des navires mais Revenge et Repulse perdent chacun une batterie secondaire.


Pour l'heure ces attaques ont coutés très cher à l'ennemi: 53 appareils en 2 jours, pour des résultats dérisoires.
A ce rythme, entre les batailles de Amboine, l'écrasement d'appareils sur les pistes à Palembang, Jambi, Kendari, les attaques Kamikaze, combien de temps l'aviation ennemie peut elle perdurer ?
Cependant, l'ennemi a encore de la ressource, comme on l'a vu à Amboine. Et il lui en reste sous le pied, la preuve ces 350 appareils qui s'entrainent à Tomini le 21 janvier....

édité, manquait une image
Un AAR Thirty Year War romancé :
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Une histoire de Britannia :
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Re: cAARnage dans le Pacifique
Quelle saignée !
Incroyable les capacités de l'aviation Japonaise à absorber les dégâts que tu lui infliges (dommage plus de news de l'AAR d'Elvis, qui permettait d'avoir la vision Japonaise et en particulier une excellente vue/explication de la production).
Je tire à nouveau mon chapeau à ton adversaire qui me donne l'impression de s'accrocher et de ne rien céder !
Allez courage en avant ! Bientôt à Tokyo
Incroyable les capacités de l'aviation Japonaise à absorber les dégâts que tu lui infliges (dommage plus de news de l'AAR d'Elvis, qui permettait d'avoir la vision Japonaise et en particulier une excellente vue/explication de la production).
Je tire à nouveau mon chapeau à ton adversaire qui me donne l'impression de s'accrocher et de ne rien céder !
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Great minds think alike… Fools seldom difffers.
Ma fortune va grossir le revenue des pauvres qui sont aujourd’hui les véritables riches. A. Dumas, le Comte de Monte-Cristo
J'aime pas le foot, mais je veux bien faire un effort.
Ma fortune va grossir le revenue des pauvres qui sont aujourd’hui les véritables riches. A. Dumas, le Comte de Monte-Cristo
J'aime pas le foot, mais je veux bien faire un effort.
Re: cAARnage dans le Pacifique
La victoire de Palembang restera dans les annales!
Et elle a des conséquence inattendu: tu as fais craqué le moral des pilotes japonais visiblement.

Et elle a des conséquence inattendu: tu as fais craqué le moral des pilotes japonais visiblement.
"Cuius testiculous habes, habeas cardia et cerebellum"
Quand vous avez leur pleine attention , le coeur et l'esprit suivent.
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L'été n'est pas qu'une époque de l'année. L'été est un être animé qui aime descendre passer l'hiver dans le Sud.
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