J'ai bien aimé cette partie.
C'était quasiment plié dès le début : j'ai piétiné en Ukraine, c'était mal barré.
Smolesnk a tenu
Et l'encerclement de Bryansk est arrivé trop tard, je n'ai pas pu refermer la poche.
Parallèlement mes blindés subissaient des pertes énormes
Le seul avantage a été d'avoir de bonnes voies de communication avec des arrières facilement tenables...
La contre offensive hivernale de 41/42 a sévèrement étrillé le roumain qui a dégusté tout en créant une hernie en Ukraine.
J'ai eu très peur aussi en Estonie où la percée soviétique était particulièrement dangereuse.
Avoir de la boue un tour sur deux au printemps n'est pas top....
Pour mon offensive de printemps/été 42, l'opération Rindfleischetikettierungsüberwachungsaufgabenübertragungsgesetz, et bien que j'ai concentré 3 armées blindées et la presque quasi totalité de mon aviation au sud-est, je n'ai pas pu prendre Dniepropetrovsk et ainsi réduire le saillant ukrainien. L'objectif était trop ambitieux.
De toute façon, j'estime que le temps joue pour le soviet et que l'allemand doit y aller à fond, peut importe la casse.
La casse a bien été au rendez-vous....
Mes blindés avaient déjà bien manger en 41, l'offensive de 42 et son échec les a laissés particulièrement affaiblis.
L'hiver ayant été calme, j'ai pu réorganiser mes défenses, retirer mes blindés du front, créer des lignes fortifiées, préparer des réserves fraiches.
La perte de la Finlande n'a pas été dramatique, c'est un front secondaire.
Je pensais attaquer de nouveau le saillant ukrainien, mais de façon plus limitée, là où j'avais essayé de lancer une attaque à la fin de l'été 42.
Je pensais que Jag me laisserais venir et, après avoir contenu mon offensive, aurait contre-attaqué, probablement en Ukraine (la tentation d'achever les roumains devait être grande) et peut être une autre offensive en Biélorussie....?
Bonne partie en tout cas, Jag, pour la prochaine, c'est quand tu veux

" Le fait que mon chien m'aime plus que je ne l'aime ... me remplit toujours d'un sentiment de honte."
Pr Konrad Lorenz - Prix Nobel
"les profits des spéculateurs [sont] toujours privatisés, tandis que leurs pertes sont invariablement nationalisées"
"Quand l'argent parle, la vérité se tait"
"Au moins, en 29, ils avaient la décence de se défenestrer..."