
Rêves et cauchemars impériaux
Re: Rêves et cauchemars impériaux (interdit à griffon)
27 janvier 1917
Furieuse contre-attaque britannique en Flandres ! Le corps devant Anvers est presque détruit, celui couvrant notre artillerie l'est, et cette dernière prend cher. L'OHL ne s'attendait pas à tant de mordant.
Avec le corps de cavalerie imprudent devant Orléans, que nous avions déjà compté comme perdu, les pertes sont relativement hautes ce tour-ci.
Le moral national italien est déjà à 0%. Cependant et pour ne rien laisser au hasard, une attaque a lieu aux abords de Rome. Plus au Nord, des divisions autrichiennes avancent vers Toulon.
Le corps français dans les Alpes, abandonné à son sort, se rend. Les colonnes de prisonniers marchent vers Milan, tandis que la cavalerie hongroise fonce sur Marseille. L'infanterie allemande sécurise les mines de Saint-Etienne, réduisant de manière dramatique la production de guerre française.
France : nous contre-attaquons, ce qui coûte deux corps aux Britanniques.
Une offensive a également lieu dans le secteur français, pour s'approcher un brin de Paris. La neige ne facilite pas les choses, et la logistique a toujours du mal à suivre. Néanmoins, il ne s'agissait que d'un détachement, que nous finissons par détruire.
Situation sur le front Ouest dans toute son ampleur.
Après une longue mais peu glorieuse résistance, l'Italie finit par capituler et passe sous occupation militaire austro-hongroise.

Furieuse contre-attaque britannique en Flandres ! Le corps devant Anvers est presque détruit, celui couvrant notre artillerie l'est, et cette dernière prend cher. L'OHL ne s'attendait pas à tant de mordant.

Avec le corps de cavalerie imprudent devant Orléans, que nous avions déjà compté comme perdu, les pertes sont relativement hautes ce tour-ci.

Le moral national italien est déjà à 0%. Cependant et pour ne rien laisser au hasard, une attaque a lieu aux abords de Rome. Plus au Nord, des divisions autrichiennes avancent vers Toulon.

Le corps français dans les Alpes, abandonné à son sort, se rend. Les colonnes de prisonniers marchent vers Milan, tandis que la cavalerie hongroise fonce sur Marseille. L'infanterie allemande sécurise les mines de Saint-Etienne, réduisant de manière dramatique la production de guerre française.

France : nous contre-attaquons, ce qui coûte deux corps aux Britanniques.

Une offensive a également lieu dans le secteur français, pour s'approcher un brin de Paris. La neige ne facilite pas les choses, et la logistique a toujours du mal à suivre. Néanmoins, il ne s'agissait que d'un détachement, que nous finissons par détruire.

Situation sur le front Ouest dans toute son ampleur.

Après une longue mais peu glorieuse résistance, l'Italie finit par capituler et passe sous occupation militaire austro-hongroise.

Re: Rêves et cauchemars impériaux (interdit à griffon)
24 mars 1917
Contre-attaque française devant Paris, un corps est perdu. La défaite italienne sape le moral de l'Entente, mais dans des proportions modestes.
Nos ennemis plus tenaces à l'Ouest ne facilitent pas les choses. Il faut du temps pour faire monter des troupes reposées au front, protéger l'artillerie et planifier des progrès. Nous devons nous contenter d'une offensive limitée contre les Britanniques, et l'attaque de l'artillerie qu'ils protégeaient.
Le front ennemi est mince, sans pour autant être faible.
Les progrès se font surtout dans la moitié sud de la France. Perpignan, Toulon, Limoges sont conquises. Les forces austro-hongroises libérées du front italien se ruent vers de vastes territoires sans défense.
La Méditerranée devient une mer sous notre contrôle.

Contre-attaque française devant Paris, un corps est perdu. La défaite italienne sape le moral de l'Entente, mais dans des proportions modestes.

Nos ennemis plus tenaces à l'Ouest ne facilitent pas les choses. Il faut du temps pour faire monter des troupes reposées au front, protéger l'artillerie et planifier des progrès. Nous devons nous contenter d'une offensive limitée contre les Britanniques, et l'attaque de l'artillerie qu'ils protégeaient.

Le front ennemi est mince, sans pour autant être faible.

Les progrès se font surtout dans la moitié sud de la France. Perpignan, Toulon, Limoges sont conquises. Les forces austro-hongroises libérées du front italien se ruent vers de vastes territoires sans défense.

La Méditerranée devient une mer sous notre contrôle.

Re: Rêves et cauchemars impériaux (interdit à griffon)
21 avril 1917
Peu d'activité ennemie, quelques retraites locales. La poussée austro-hongroise continue, faisant tomber Toulouse et Avignon. Des troupes de marine ottomanes se préparent en Italie pour envahir la Corse. Un corps allemand arrive aux abords de Bordeaux.
L'industrie de guerre des Habsbourgs tourne à plein régime ...
Au Sud d'Ypres, l'armée allemande réussit une percée et une reconnaissance armée sur l'artillerie britannique. Il ne reste presque plus rien de l'armée belge.
La ceinture défensive autour de Paris est solide, mais pas insurmontable. Au prix de pertes horribles ...
... l'infanterie avance. Les réserves de l'Entente fondent, le moral est en berne. Nos espions nous rapportent que le maréchal Griffon réfléchit à étendre la conscription aux classes d'âge 1901, 1902 et 1903. De nouveaux Marie-Louise ?
La supposée dernière unité navale britannique en Méditerranée est coulée dans les eaux tunisiennes.
Sortie des sous-marins en Mer du Nord, le dreadnought Iron Duke est obligé d'interrompre ses activités de blocus.
Trois années de guerre ont aidé à perfectionner les tactiques d'infanterie.

Peu d'activité ennemie, quelques retraites locales. La poussée austro-hongroise continue, faisant tomber Toulouse et Avignon. Des troupes de marine ottomanes se préparent en Italie pour envahir la Corse. Un corps allemand arrive aux abords de Bordeaux.

L'industrie de guerre des Habsbourgs tourne à plein régime ...

Au Sud d'Ypres, l'armée allemande réussit une percée et une reconnaissance armée sur l'artillerie britannique. Il ne reste presque plus rien de l'armée belge.

La ceinture défensive autour de Paris est solide, mais pas insurmontable. Au prix de pertes horribles ...

... l'infanterie avance. Les réserves de l'Entente fondent, le moral est en berne. Nos espions nous rapportent que le maréchal Griffon réfléchit à étendre la conscription aux classes d'âge 1901, 1902 et 1903. De nouveaux Marie-Louise ?

La supposée dernière unité navale britannique en Méditerranée est coulée dans les eaux tunisiennes.

Sortie des sous-marins en Mer du Nord, le dreadnought Iron Duke est obligé d'interrompre ses activités de blocus.

Trois années de guerre ont aidé à perfectionner les tactiques d'infanterie.

Re: Rêves et cauchemars impériaux (interdit à griffon)
19 mai 1917
L'ennemi fait donner de son artillerie pour ramollir le fer de lance pointé sur Paris. Redéploiements sauvages pour protéger la capitale, le maréchal Griffon affaiblit son flanc droit et jette le gain sur sa gauche et son centre.
Le ravitaillement venu d'Algérie ne passe plus. Ni vers Marseille, conquise, ni vers Bordeaux, car nos sous-marins y font attention.
Les Britanniques vacillent en Flandres, c'est le moment de leur forcer la main, malgré un dispositif médiocre de notre côté.
Le Xe corps de réserve, qui a fait la campagne de Russie jusqu'à Minsk, s'engouffre dans la brèche et capture une bonne partie du parc d'artillerie anglais. Taisons nos pertes, car une série de corps d'infanterie a été écorchée pour obtenir ce résultat ...
La cohésion britannique est chamboulée, la cavalerie prussienne suit et s'empare de Boulogne, tout en sabrant quelques trainards de l'artillerie. C'est le jour le plus sombre de l'armée anglaise.
Grâce à une pluie d'obus amis, l'avancée vers Paris est plus simple que prévu.
Contre ses habitudes, l'OHL pousse l'offensive jusqu'à son extrême limite et ordonne des attaques spontanées sur Paris.
Les Parisiens sont sonnés, mais pas encore KO. Des chars A7V montent en première ligne pour préparer un coup de faux.
Le reste de la France passe rapidement entre nos mains. Bordeaux, Perpignan et Pau battent désormais pavillon austro-hongrois ou allemand.
Dans la Mer du Nord, la Hochseeflotte provoque de front la Royal Navy en attaquant un de ses destroyers, alors que les dreadnoughts ennemis encaissent torpille sur torpille.
En fin de semaine et en conséquence de la chute d'Ypres, la Belgique capitule. Le roi Albert est accueilli à Aix-la-Chapelle, où il offre symboliquement son sabre. En souvenir de ses anciens titres de duc de Saxe et prince de Saxe-Cobourg et Gotha, il lui est rendu aussitôt.
Presque un peu tard, l'école d'ingénieurs des forces d'infanterie propose de nouveaux modèles d'équipements pour fantassins. À côté de camouflages pour casques et uniformes, les prototypes de pistolets-mitrailleurs Bergmann MP18 et de mortiers légers sont particulièrement prometteurs.

L'ennemi fait donner de son artillerie pour ramollir le fer de lance pointé sur Paris. Redéploiements sauvages pour protéger la capitale, le maréchal Griffon affaiblit son flanc droit et jette le gain sur sa gauche et son centre.

Le ravitaillement venu d'Algérie ne passe plus. Ni vers Marseille, conquise, ni vers Bordeaux, car nos sous-marins y font attention.

Les Britanniques vacillent en Flandres, c'est le moment de leur forcer la main, malgré un dispositif médiocre de notre côté.

Le Xe corps de réserve, qui a fait la campagne de Russie jusqu'à Minsk, s'engouffre dans la brèche et capture une bonne partie du parc d'artillerie anglais. Taisons nos pertes, car une série de corps d'infanterie a été écorchée pour obtenir ce résultat ...

La cohésion britannique est chamboulée, la cavalerie prussienne suit et s'empare de Boulogne, tout en sabrant quelques trainards de l'artillerie. C'est le jour le plus sombre de l'armée anglaise.

Grâce à une pluie d'obus amis, l'avancée vers Paris est plus simple que prévu.

Contre ses habitudes, l'OHL pousse l'offensive jusqu'à son extrême limite et ordonne des attaques spontanées sur Paris.

Les Parisiens sont sonnés, mais pas encore KO. Des chars A7V montent en première ligne pour préparer un coup de faux.

Le reste de la France passe rapidement entre nos mains. Bordeaux, Perpignan et Pau battent désormais pavillon austro-hongrois ou allemand.

Dans la Mer du Nord, la Hochseeflotte provoque de front la Royal Navy en attaquant un de ses destroyers, alors que les dreadnoughts ennemis encaissent torpille sur torpille.

En fin de semaine et en conséquence de la chute d'Ypres, la Belgique capitule. Le roi Albert est accueilli à Aix-la-Chapelle, où il offre symboliquement son sabre. En souvenir de ses anciens titres de duc de Saxe et prince de Saxe-Cobourg et Gotha, il lui est rendu aussitôt.

Presque un peu tard, l'école d'ingénieurs des forces d'infanterie propose de nouveaux modèles d'équipements pour fantassins. À côté de camouflages pour casques et uniformes, les prototypes de pistolets-mitrailleurs Bergmann MP18 et de mortiers légers sont particulièrement prometteurs.

Re: Rêves et cauchemars impériaux (interdit à griffon)
16 juin 1917
Les Britanniques ne lâchent pas le morceau ! Pour dégager le corps indien isolé à Calais, l'artillerie grille ses stocks d'obus, et la cavalerie prussienne encaisse.
Des bataillons gallois sortent de leurs tranchées baïonnette au canon. C'est un massacre, mais un embryon de hussards tient la position coûte que coûte. Boulogne reste entre nos mains, et c'est plus au Sud qu'une autre offensive ennemie a lieu.
Nos divisions devant Paris s'en retrouvent affaiblies et devront être relevées. Pour organiser une telle attaque malgré les pertes de territoire (et de production) dramatiques, le maréchal a décrété des mesures draconiennes. 98 heures de travail par semaine pour les mineurs et ouvriers d'usines, réquisitions, mutinés passés aux armes ... la population n'apprécie pas.
Nos services d'information ont repéré un convoi de troupes américaines en direction de Brest. Feront-ils la différence ?
Il faut se dépêcher ! Le réduit de Clermont-Ferrand se bat jusqu'au dernier homme. Heureusement que l'OHL a attendu des renforts avant de donner l'assaut.
Poitiers et La Rochelle se rendent sans combat. Orléans est sous le feu de l'artillerie austro-hongroise, fraichement redéployée par train grâce au réseau français remis en état.
Orléans et le Loiret tombent à la suite d'une violente bataille. Nous comptons boucher les chemins de renfort vers Paris.
Les premiers chargements contenant les nouveaux uniformes et armes atteignent Anvers.
Les troupes rassemblées à la hâte pour attaquer Paris ne profitent pas encore de ces améliorations. Celles en première ligne face aux Anglais non plus, et pourtant il faut bien attaquer.
Deux corps britanniques sont détruits, l'artillerie malmenée. L'armée britannique sur le continent est en voie de dissolution.
C'est un bon moment pour ordonner l'offensive décisive sur Paris. Elle commence mal, car les régiments de chars attaquent avant le barrage d'artillerie prévu, une bavure qui peut avoir de graves conséquences.
Néanmoins, cette première utilisation massive de chars sur le terrain est un succès. On en écrira de nombreux livres, à n'en point douter. L'artillerie déverse alors 700 000 obus sur la capitale française. Des fantassins de Westphalie arpentent les rues enflammées et s'approchent lentement des points-clés de la ville. Gares, bâtiments administratifs, et bien sûr la tour Eiffel, qui se voit escaladée et dotée du drapeau de guerre impérial. Nulle résistance, la garnison s'est dissoute ou retirée sous la pluie d'obus.
Aucune trace non plus du maréchal Griffon, qui voulait défendre la ville des lumières jusqu'a la dernière cartouche. Diverses rumeurs font la ronde. Certains jurent l'avoir vu prendre une locomotive (un vieux modèle, nommé "Varennes" par les ouvriers de la gare de l'Est), d'autres prétendent qu'il s'est suicidé. Quoi qu'il en soit, une capitulation française n'est pas encore certaine. Les Ottomans avancent vers Tunis, un gouvernement provisoire tunisien est formé.
Et finalement, la Hochseeflotte donne un coup de bélier pour forcer le blocus de Mer du Nord.
Vague par vague, les navires construits à grands frais s'attaquent aux Britanniques, inférieurs en nombre dans ces eaux. Quatre flottilles de destroyers, un dreadnought et des croiseurs légers sont coulés, avec très peu de pertes amies.
Dernier coup de pouce, l'infanterie de marine ottomane débarque en Corse.
Cela suffira-t-il ?
Oui !
Dans une dernière allocution par radio, le maréchal Griffon annonce que, le coeur serré, il avait demandé un armistice immédiat et comptait se plier aux exigences impériales.
Les gagnants se montreront-ils raisonnables quant aux conditions de paix qu'ils imposeront ? L'OHL a formé une commission pour décider de la chose. Une unité spéciale des renseignements est envoyée pour d'abord consulter les archives de la IIIe République, tombées intactes aux mains des fantassins ayant pris Paris. Peut-être livreront-elles des informations relatives au bellicisme outrancier réel ou supposé du maréchal Griffon et de ses sbires.
Les Britanniques ne lâchent pas le morceau ! Pour dégager le corps indien isolé à Calais, l'artillerie grille ses stocks d'obus, et la cavalerie prussienne encaisse.

Des bataillons gallois sortent de leurs tranchées baïonnette au canon. C'est un massacre, mais un embryon de hussards tient la position coûte que coûte. Boulogne reste entre nos mains, et c'est plus au Sud qu'une autre offensive ennemie a lieu.

Nos divisions devant Paris s'en retrouvent affaiblies et devront être relevées. Pour organiser une telle attaque malgré les pertes de territoire (et de production) dramatiques, le maréchal a décrété des mesures draconiennes. 98 heures de travail par semaine pour les mineurs et ouvriers d'usines, réquisitions, mutinés passés aux armes ... la population n'apprécie pas.

Nos services d'information ont repéré un convoi de troupes américaines en direction de Brest. Feront-ils la différence ?

Il faut se dépêcher ! Le réduit de Clermont-Ferrand se bat jusqu'au dernier homme. Heureusement que l'OHL a attendu des renforts avant de donner l'assaut.

Poitiers et La Rochelle se rendent sans combat. Orléans est sous le feu de l'artillerie austro-hongroise, fraichement redéployée par train grâce au réseau français remis en état.

Orléans et le Loiret tombent à la suite d'une violente bataille. Nous comptons boucher les chemins de renfort vers Paris.

Les premiers chargements contenant les nouveaux uniformes et armes atteignent Anvers.

Les troupes rassemblées à la hâte pour attaquer Paris ne profitent pas encore de ces améliorations. Celles en première ligne face aux Anglais non plus, et pourtant il faut bien attaquer.

Deux corps britanniques sont détruits, l'artillerie malmenée. L'armée britannique sur le continent est en voie de dissolution.

C'est un bon moment pour ordonner l'offensive décisive sur Paris. Elle commence mal, car les régiments de chars attaquent avant le barrage d'artillerie prévu, une bavure qui peut avoir de graves conséquences.

Néanmoins, cette première utilisation massive de chars sur le terrain est un succès. On en écrira de nombreux livres, à n'en point douter. L'artillerie déverse alors 700 000 obus sur la capitale française. Des fantassins de Westphalie arpentent les rues enflammées et s'approchent lentement des points-clés de la ville. Gares, bâtiments administratifs, et bien sûr la tour Eiffel, qui se voit escaladée et dotée du drapeau de guerre impérial. Nulle résistance, la garnison s'est dissoute ou retirée sous la pluie d'obus.

Aucune trace non plus du maréchal Griffon, qui voulait défendre la ville des lumières jusqu'a la dernière cartouche. Diverses rumeurs font la ronde. Certains jurent l'avoir vu prendre une locomotive (un vieux modèle, nommé "Varennes" par les ouvriers de la gare de l'Est), d'autres prétendent qu'il s'est suicidé. Quoi qu'il en soit, une capitulation française n'est pas encore certaine. Les Ottomans avancent vers Tunis, un gouvernement provisoire tunisien est formé.

Et finalement, la Hochseeflotte donne un coup de bélier pour forcer le blocus de Mer du Nord.

Vague par vague, les navires construits à grands frais s'attaquent aux Britanniques, inférieurs en nombre dans ces eaux. Quatre flottilles de destroyers, un dreadnought et des croiseurs légers sont coulés, avec très peu de pertes amies.

Dernier coup de pouce, l'infanterie de marine ottomane débarque en Corse.

Cela suffira-t-il ?

Oui !

Dans une dernière allocution par radio, le maréchal Griffon annonce que, le coeur serré, il avait demandé un armistice immédiat et comptait se plier aux exigences impériales.

Les gagnants se montreront-ils raisonnables quant aux conditions de paix qu'ils imposeront ? L'OHL a formé une commission pour décider de la chose. Une unité spéciale des renseignements est envoyée pour d'abord consulter les archives de la IIIe République, tombées intactes aux mains des fantassins ayant pris Paris. Peut-être livreront-elles des informations relatives au bellicisme outrancier réel ou supposé du maréchal Griffon et de ses sbires.
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Re: Rêves et cauchemars impériaux
Cela faisait un bon moment que l'issue ne faisait plus aucun doute ... félicitation pour ta belle victoire, ainsi que pour l'AAR ! 



"You know, in this world, there's two kinds of people, my friend. Those who have a loaded gun, and those who dig in. You dig in ..."
"If you work for a living, why do you kill yourself working ?"
Liste des AARs
"If you work for a living, why do you kill yourself working ?"
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Re: Rêves et cauchemars impériaux
Merci
Je ferai encore un petit épilogue que j'espère croustillant sur le traité de paix à venir 


Re: Rêves et cauchemars impériaux
Super aar
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Re: Rêves et cauchemars impériaux
Très intéressant à suivre, merci de nous avoir fait partager cette belle campagne ! Et bravo pour ta victoire !



"Le monde est assez grand pour satisfaire les besoins de tous mais il sera toujours trop petit pour satisfaire l'avidité de quelques-uns..."
- griffon
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Re: Rêves et cauchemars impériaux
Le dernier tour était apocalyptique 

SOL INVICTVS
Au printemps, je vais quelquefois m'asseoir à la lisière d'un champ fleuri.
Lorsqu'une belle jeune fille m'apporte une coupe de vin , je ne pense guère à mon salut.
Si j'avais cette préoccupation, je vaudrais moins qu'un chien
Lorsqu'une belle jeune fille m'apporte une coupe de vin , je ne pense guère à mon salut.
Si j'avais cette préoccupation, je vaudrais moins qu'un chien
- Lafrite
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Re: Rêves et cauchemars impériaux
Très bon AAR, ce fut extrêmement agréable de le lire 

Re: Rêves et cauchemars impériaux
Jolie victoire ! merci pour le double AAR!