
Rêves et cauchemars impériaux
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- Serenissimus augustus a Deo coronatus magnus pacificus imperator
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Re: Rêves et cauchemars impériaux (interdit à griffon)
Pari gagnant avec priorité au front de l Est dès le début de la campagne 

The King Rocks Da Place !!
"-À mon avis, dans la guerre, il y a une chose attractive : c'est le défilé de la victoire. L'emmerdant, c'est tout ce qui se passe avant. Il faudrait toucher sa prime d'engagement et défiler tout de suite. Avant que ça se gâte…"
(Michel Audiard, Un Taxi pour Tobrouk)
"-À mon avis, dans la guerre, il y a une chose attractive : c'est le défilé de la victoire. L'emmerdant, c'est tout ce qui se passe avant. Il faudrait toucher sa prime d'engagement et défiler tout de suite. Avant que ça se gâte…"
(Michel Audiard, Un Taxi pour Tobrouk)
Re: Rêves et cauchemars impériaux (interdit à griffon)
J'attends encore de voir un plan Schlieffen qui réussit ! Sur ce jeu, ça me parait vraiment hautement improbable.

Qu'allez-vous penser cher ami, le traité de Brest-Litovsk est signé et il ne prévoit aucune annexion, juste une administration militaire de la Pologne russe et des relations "cordiales" avec la Baltique, l'Ukraine et la Transcaucasie


Re: Rêves et cauchemars impériaux (interdit à griffon)
26 août 1916
Le maréchal Griffon a de plus en plus de mal à organiser des contre-attaques efficaces. Il laisse notre avancée en Flandres impunie, et doit faire donner six corps entiers pour venir à bout de celle sur les flancs de Toul.
Donc, un seul corps de perdu durant le tour ennemi. La danse continue en Mer du Nord. Les destroyers anglais font mal, mais le jeu en vaut la chandelle. L'Empress of India est rudement malmené.
France : un tour calme, dû au besoin de faire avancer l'artillerie vers la ligne de front. Les troupes françaises, enterrées et bien ravitaillées, sont trop dangereuses pour être attaquées de front, sans préparation correcte. L'OHL saisit quand même deux opportunités : une cavalerie en position vulnérable ...
... et un corps d'infanterie trop groggy pour répliquer efficacement autour de Toul. Là encore, l'objectif de saigner l'armée française est poursuivi.
Italie : là aussi les effets de l'avancée rapide se font sentir. Le ravitaillement ami se stabilise doucement, il faut faire avancer l'artillerie, les tranchées ralentissent tout. Il faut se contenter d'une attaque sur Vérone, qui est prise après un sanglant combat.
L'incursion permet de jouer un méchant tour au QG d'Armando Diaz.
Libye : Sirte est tombée, toujours pas de présence ennemie détectée.
Adriatique : le cuirassé français Courbet est coulé. En parallèle, les sous-marins sur place sont modernisés, le Babenberg comme le Szent Istvan réparés.
Vue d'ensemble :
On remarque que la masse de réserve allemande en France fond à vue d'oeil. L'Autriche-Hongrie étant capable de gérer l'Italie seule, je pense à terme transférer les troupes allemandes sur place vers la France. L'hiver me permettra de reformer des corps d'infanterie, car pour l'instant, tout passe en renforts, recherche, et une surprise pour notre ennemi ...

Le maréchal Griffon a de plus en plus de mal à organiser des contre-attaques efficaces. Il laisse notre avancée en Flandres impunie, et doit faire donner six corps entiers pour venir à bout de celle sur les flancs de Toul.

Donc, un seul corps de perdu durant le tour ennemi. La danse continue en Mer du Nord. Les destroyers anglais font mal, mais le jeu en vaut la chandelle. L'Empress of India est rudement malmené.

France : un tour calme, dû au besoin de faire avancer l'artillerie vers la ligne de front. Les troupes françaises, enterrées et bien ravitaillées, sont trop dangereuses pour être attaquées de front, sans préparation correcte. L'OHL saisit quand même deux opportunités : une cavalerie en position vulnérable ...

... et un corps d'infanterie trop groggy pour répliquer efficacement autour de Toul. Là encore, l'objectif de saigner l'armée française est poursuivi.

Italie : là aussi les effets de l'avancée rapide se font sentir. Le ravitaillement ami se stabilise doucement, il faut faire avancer l'artillerie, les tranchées ralentissent tout. Il faut se contenter d'une attaque sur Vérone, qui est prise après un sanglant combat.

L'incursion permet de jouer un méchant tour au QG d'Armando Diaz.

Libye : Sirte est tombée, toujours pas de présence ennemie détectée.

Adriatique : le cuirassé français Courbet est coulé. En parallèle, les sous-marins sur place sont modernisés, le Babenberg comme le Szent Istvan réparés.

Vue d'ensemble :

On remarque que la masse de réserve allemande en France fond à vue d'oeil. L'Autriche-Hongrie étant capable de gérer l'Italie seule, je pense à terme transférer les troupes allemandes sur place vers la France. L'hiver me permettra de reformer des corps d'infanterie, car pour l'instant, tout passe en renforts, recherche, et une surprise pour notre ennemi ...

Re: Rêves et cauchemars impériaux (interdit à griffon)
Punaise ! Du jamais vu, je ne croyais pas qu'il était possible qu'une partie de SCWW1 atteigne 1916 ! Ils l'ont fait !
Tu es impressionnant avec les PC, j'avais proposé de faire la belle, mais là je suis terrorisé. Toujours est-il, c'est super bien votre compte-rendu.
Tu es impressionnant avec les PC, j'avais proposé de faire la belle, mais là je suis terrorisé. Toujours est-il, c'est super bien votre compte-rendu.
Re: Rêves et cauchemars impériaux (interdit à griffon)
Scramble sur le QG
Tu sais maintenant pourquoi la belle se fait attendre
Je ne sais pas si tu as vu, mais griffon fait un AAR-miroir sur cette partie, tu es aux premières loges dans les deux camps (Képis rouges, je ne peux pas mettre de lien direct car je n'ai pas le droit d'y mettre mon nez).



Tu sais maintenant pourquoi la belle se fait attendre

Re: Rêves et cauchemars impériaux (interdit à griffon)
9 septembre 1916
La course vers Paris gagne en vitesse. Vous avez bien entendu, Paris, car von Hindenburg remplace von Falkenhayn à la tête de l'OHL, et il compte s'y faire un nom. La pointe allemande au-delà de Toul est attaquée de toutes parts. Cependant, les troupes françaises sont épuisées par des semaines de combat, les soldats restent en ligne beaucoup plus longtemps que de raison. Pour la première fois, le corps le plus exposé échappe à la destruction.
Ce n'est pas le cas pour la cavalerie en Flandres, bien plus faible en défense. Elle aura quand même eu l'avantage d'attirer des renforts britanniques vers le Nord, alors qu'un désastre s'annonce en Champagne. On notera que l'artillerie française a pris de nouvelles positions et quitté l'impasse de Belfort.
Toul est un objectif de premier plan, une épine qu'il faut tirer avant de forger des plans plus ambitieux. Le Langer Max matraque la garnison au 380mm.
Mais ce n'est pas tout. La pause des semaines précédentes a permis de rehausser les stocks d'obus. À raison de 600 000 obus par groupe d'artillerie, le front Ouest va trembler. Toul est prise sans grandes pertes amies, et le corps voisin entre en ligne de mire du second groupe d'artillerie.
C'est un massacre, et les réserves affluent pour porter un coup à l'artillerie française.
Il reste toujours des obus et des troupes. Châlons est prise sous le feu, et avec la dernière force des éléments de pointe du XXe corps, nettoyée de toute présence ennemie.
Le front français craque, un corps d'infanterie entier est laminé juste aux abords de Châlons. Les réserves françaises sont maigres, voire rachitiques. Une gigantesque blessure s'étend sur 50 km. Pas une troupe française, juste du sang et des pleurs. Il faudra que le maréchal Griffon suture très vite, ou alors les marais de Saint-Gond seront bientôt applatis par des bottes prussiennes.
Venons-en à l'Italie. La situation n'est guère plus reluisante pour l'Entente.
Le général Diaz a fait l'erreur de laisser une section du front sans protection, pour couvrir Parme. La nuée de troupes austro-hongroises, qui obtient enfin de la place pour manoeuvrer, inonde la plaine du Pô et engouffre toute résistance ennemie. Il n'y a plus que trois corps ennemis en état de bien défendre leurs tranchées, contre 11 corps et deux groupes d'artillerie austro-hongrois prêts à l'attaque, et 7 autres corps d'infanterie et de cavalerie en réserve.
Revers de l'Entente sur et sous mer également. Le sous-marin français Omega est à peine en état de naviguer. Le groupe de destroyers britanniques autour du Lightfoot sombre sous les obus ottomans.
Vue d'ensemble :
Tableaux de production :

La course vers Paris gagne en vitesse. Vous avez bien entendu, Paris, car von Hindenburg remplace von Falkenhayn à la tête de l'OHL, et il compte s'y faire un nom. La pointe allemande au-delà de Toul est attaquée de toutes parts. Cependant, les troupes françaises sont épuisées par des semaines de combat, les soldats restent en ligne beaucoup plus longtemps que de raison. Pour la première fois, le corps le plus exposé échappe à la destruction.

Ce n'est pas le cas pour la cavalerie en Flandres, bien plus faible en défense. Elle aura quand même eu l'avantage d'attirer des renforts britanniques vers le Nord, alors qu'un désastre s'annonce en Champagne. On notera que l'artillerie française a pris de nouvelles positions et quitté l'impasse de Belfort.

Toul est un objectif de premier plan, une épine qu'il faut tirer avant de forger des plans plus ambitieux. Le Langer Max matraque la garnison au 380mm.

Mais ce n'est pas tout. La pause des semaines précédentes a permis de rehausser les stocks d'obus. À raison de 600 000 obus par groupe d'artillerie, le front Ouest va trembler. Toul est prise sans grandes pertes amies, et le corps voisin entre en ligne de mire du second groupe d'artillerie.

C'est un massacre, et les réserves affluent pour porter un coup à l'artillerie française.

Il reste toujours des obus et des troupes. Châlons est prise sous le feu, et avec la dernière force des éléments de pointe du XXe corps, nettoyée de toute présence ennemie.

Le front français craque, un corps d'infanterie entier est laminé juste aux abords de Châlons. Les réserves françaises sont maigres, voire rachitiques. Une gigantesque blessure s'étend sur 50 km. Pas une troupe française, juste du sang et des pleurs. Il faudra que le maréchal Griffon suture très vite, ou alors les marais de Saint-Gond seront bientôt applatis par des bottes prussiennes.


Venons-en à l'Italie. La situation n'est guère plus reluisante pour l'Entente.

Le général Diaz a fait l'erreur de laisser une section du front sans protection, pour couvrir Parme. La nuée de troupes austro-hongroises, qui obtient enfin de la place pour manoeuvrer, inonde la plaine du Pô et engouffre toute résistance ennemie. Il n'y a plus que trois corps ennemis en état de bien défendre leurs tranchées, contre 11 corps et deux groupes d'artillerie austro-hongrois prêts à l'attaque, et 7 autres corps d'infanterie et de cavalerie en réserve.

Revers de l'Entente sur et sous mer également. Le sous-marin français Omega est à peine en état de naviguer. Le groupe de destroyers britanniques autour du Lightfoot sombre sous les obus ottomans.

Vue d'ensemble :

Tableaux de production :



Re: Rêves et cauchemars impériaux (interdit à griffon)
Franchement, la partie est pliée depuis un certain temps, même les Yankees n'y pourront rien...
- mad
- Godard de la Tartiflette
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Re: Rêves et cauchemars impériaux (interdit à griffon)
Ce n'est pas totalement terminé, mais en tout cas excellente gestion des 2 fronts (exploser la Russie le plus tôt possible fût malin) et très bonne stratégie globale, Von
J'attends néanmoins la revanche avec inversion des camps afin de pouvoir trancher sur le débat qui débute déjà : problème du jeu (et ce fameux effet boule de neige tant décrié) ou problème d'adversaire (avec stratégie planifiée et mondiale efficace d'un côté, et puis de l'autre, bah...
)

J'attends néanmoins la revanche avec inversion des camps afin de pouvoir trancher sur le débat qui débute déjà : problème du jeu (et ce fameux effet boule de neige tant décrié) ou problème d'adversaire (avec stratégie planifiée et mondiale efficace d'un côté, et puis de l'autre, bah...

Re: Rêves et cauchemars impériaux (interdit à griffon)
Je pense aussi que ce n'est plus qu'une question de temps. Il est quand même intéressant de voir à quel point la France est encore solide, un moral national correct et des divisions en veux-tu en voilà !
Tu me flattesmad a écrit : ↑dim. févr. 09, 2020 4:48 pm Ce n'est pas totalement terminé, mais en tout cas excellente gestion des 2 fronts (exploser la Russie le plus tôt possible fût malin) et très bonne stratégie globale, Von![]()
J'attends néanmoins la revanche avec inversion des camps afin de pouvoir trancher sur le débat qui débute déjà : problème du jeu (et ce fameux effet boule de neige tant décrié) ou problème d'adversaire (avec stratégie planifiée et mondiale efficace d'un côté, et puis de l'autre, bah...)

Je pense que l'Entente est largement plus puissante, surtout en début de partie. Ce qui m'a énormément aidé, c'est d'une la conquête rapide et anormale de l'Egypte, et de l'autre le manque de cran à l'Ouest.
Griffon aligne 6 artilleries (!), avec une production d'obus correcte il transforme la moitié de la ligne de front en enfer, et ce à chaque tour. En ce moment j'ai l'impression que soit il transfère cette artillerie (en conséquence elle ne se bat pas), soit il éxagère complètement (concentration de 3 artilleries sur un seul corps). À ce stade, 6 tirs d'artillerie sont largement suffisants pour ramollir un corps d'infanterie au point de pouvoir le détruire sans problèmes. Ces 6 tirs, chaque artillerie les accumule en 2 tours. Pas besoin d'y mettre 15 tirs, si ce n'est pas une forteresse

Re: Rêves et cauchemars impériaux (interdit à griffon)
23 septembre 1916
Retraite générale de l'Entente sur tous les fronts. Un écran défensif se forme devant Paris, Turin et Bologne.
Italie : les troupes faibles sont attaquées, mais la plupart sont bien retranchées. Il faut donc réorganiser et manoeuvrer plutôt que de combattre.
Adriatique : le cuirassé Napoli est coulé, le sous-marin Omega aussi.
En Mer du Nord, une reconnaissance de routine détecte des destroyers britanniques bien avancés. Nos croiseurs de combat s'en occupent. L'amirauté pressent une bataille décisive sur mer, dans le but de redorer le blason de l'Entente, des mines sont placées dans cette éventualité.
Situation en fin de tour en Italie.
En France, les troupes impériales doivent rattraper celles de l'Entente. Tant de surface à occuper, et ces vilains tubes britanniques qui se montrent en Flandres ...
Néanmoins, nous sommes à 75km de Paris. Deux jours de marche. La guerre sera-t-elle terminée avant Noël ? Rien n'est moins sûr.
Mieux vaut donc prévoir ...
... et se préparer au pire.

Retraite générale de l'Entente sur tous les fronts. Un écran défensif se forme devant Paris, Turin et Bologne.

Italie : les troupes faibles sont attaquées, mais la plupart sont bien retranchées. Il faut donc réorganiser et manoeuvrer plutôt que de combattre.

Adriatique : le cuirassé Napoli est coulé, le sous-marin Omega aussi.

En Mer du Nord, une reconnaissance de routine détecte des destroyers britanniques bien avancés. Nos croiseurs de combat s'en occupent. L'amirauté pressent une bataille décisive sur mer, dans le but de redorer le blason de l'Entente, des mines sont placées dans cette éventualité.

Situation en fin de tour en Italie.

En France, les troupes impériales doivent rattraper celles de l'Entente. Tant de surface à occuper, et ces vilains tubes britanniques qui se montrent en Flandres ...

Néanmoins, nous sommes à 75km de Paris. Deux jours de marche. La guerre sera-t-elle terminée avant Noël ? Rien n'est moins sûr.

Mieux vaut donc prévoir ...

... et se préparer au pire.

Re: Rêves et cauchemars impériaux (interdit à griffon)
21 octobre 1916
Contre-attaque brutale des Britanniques sur Bruxelles. Englouti sous les tirs d'artillerie, le corps allemand défendant sombre.
Heureusement, les renforts sont là pour combler les rangs, et même un peu plus.
Adriatique : les Britanniques perdent le B11, un sous-marin. Les Italiens déplorent eux la perte du cuirassé Dante Alighieri, le tout grâce à une approche coordonnée des flottes austro-hongroise et ottomane.
France : la pluie battante transforme les champs de bataille en bourbiers infâmes. De plus, les divisions françaises se sont repliées vers le Sud et nous offrent Dijon, Besançon et Auxerre sur un plateau. Nos efforts se concentrent sur les Britanniques, qui écopent d'une attaque pour leur ôter la possibilité de refaire la même danse que la semaine précédente à Bruxelles.
Pour le reste du pays, c'est toujours la course à l'ennemi. Avancées exténuantes, et toujours cette artillerie qui a du mal à suivre.
D'ailleurs, les premiers modèles d'artillerie modernisée atteignent le front.
Italie : un petit repli sur Milan à constater. Pas de renfort d'urgence, le maréchal Griffon semble avoir abandonné ce front.
Nous jetons donc tout ce que nous avons sous la main dans la fournaise. Milan est conquise de haute lutte, Florence est sur le point de tomber, Bologne capitule, Rimini est à portée. La résistance italienne s'écroule.
Vue d'ensemble :
Les usines de Moravie produisent leurs premiers chars.
Et la Hochseeflotte se montre plus téméraire en Mer du Nord. Peut-être à tort.
Plusieurs nouvelles technologies en fin de tour : sous-marins et doctrines aériennes pour l'Allemagne, artillerie navale et tactiques d'infanterie pour l'Empire Ottoman.
Contre-attaque brutale des Britanniques sur Bruxelles. Englouti sous les tirs d'artillerie, le corps allemand défendant sombre.

Heureusement, les renforts sont là pour combler les rangs, et même un peu plus.

Adriatique : les Britanniques perdent le B11, un sous-marin. Les Italiens déplorent eux la perte du cuirassé Dante Alighieri, le tout grâce à une approche coordonnée des flottes austro-hongroise et ottomane.

France : la pluie battante transforme les champs de bataille en bourbiers infâmes. De plus, les divisions françaises se sont repliées vers le Sud et nous offrent Dijon, Besançon et Auxerre sur un plateau. Nos efforts se concentrent sur les Britanniques, qui écopent d'une attaque pour leur ôter la possibilité de refaire la même danse que la semaine précédente à Bruxelles.

Pour le reste du pays, c'est toujours la course à l'ennemi. Avancées exténuantes, et toujours cette artillerie qui a du mal à suivre.

D'ailleurs, les premiers modèles d'artillerie modernisée atteignent le front.

Italie : un petit repli sur Milan à constater. Pas de renfort d'urgence, le maréchal Griffon semble avoir abandonné ce front.

Nous jetons donc tout ce que nous avons sous la main dans la fournaise. Milan est conquise de haute lutte, Florence est sur le point de tomber, Bologne capitule, Rimini est à portée. La résistance italienne s'écroule.

Vue d'ensemble :

Les usines de Moravie produisent leurs premiers chars.

Et la Hochseeflotte se montre plus téméraire en Mer du Nord. Peut-être à tort.

Plusieurs nouvelles technologies en fin de tour : sous-marins et doctrines aériennes pour l'Allemagne, artillerie navale et tactiques d'infanterie pour l'Empire Ottoman.
Re: Rêves et cauchemars impériaux (interdit à griffon)
18 novembre 1916
Soyons concis.
Pas de pertes durant le tour ennemi, deux nouveaux corps allemands rejoignent le front Ouest. Poursuite des Français, on se bat dans les faubourgs de Lyon. La ville de Bourges est menacée par des escadrons d'uhlans.
Un engagement en Flandres, où il y a un léger recul britannique.
Le reste du temps est passé à trainer l'artillerie dans la boue de chemins innommables. En Italie, il n'y a plus que des points de résistance isolés. Turin, Sienne, Ancône sont occupées, un corps français et deux quartiers généraux italiens détruits. Rome et Gênes disposent de garnisons. Le ravitaillement de nos troupes est atroce.
Les derniers navires italiens sont pris sous les torpilles et obus, de terre comme de mer. En effet, un corps d'infanterie croate a pris position devant un point d'ancrage de la marine.
Tripoli est en vue, sans garnison. L'offensive pourra continuer vers Tunis, puis Algiers.
Le désastre italien rend probable une jonction des troupes allemandes en France et de celles d'Autriche-Hongrie venues d'Italie.
La victoire, l'Empereur François-Joseph ne la verra plus. Son grand-neveu Charles monte sur le trône.

Soyons concis.
Pas de pertes durant le tour ennemi, deux nouveaux corps allemands rejoignent le front Ouest. Poursuite des Français, on se bat dans les faubourgs de Lyon. La ville de Bourges est menacée par des escadrons d'uhlans.

Un engagement en Flandres, où il y a un léger recul britannique.

Le reste du temps est passé à trainer l'artillerie dans la boue de chemins innommables. En Italie, il n'y a plus que des points de résistance isolés. Turin, Sienne, Ancône sont occupées, un corps français et deux quartiers généraux italiens détruits. Rome et Gênes disposent de garnisons. Le ravitaillement de nos troupes est atroce.

Les derniers navires italiens sont pris sous les torpilles et obus, de terre comme de mer. En effet, un corps d'infanterie croate a pris position devant un point d'ancrage de la marine.

Tripoli est en vue, sans garnison. L'offensive pourra continuer vers Tunis, puis Algiers.

Le désastre italien rend probable une jonction des troupes allemandes en France et de celles d'Autriche-Hongrie venues d'Italie.

La victoire, l'Empereur François-Joseph ne la verra plus. Son grand-neveu Charles monte sur le trône.

Re: Rêves et cauchemars impériaux (interdit à griffon)
16 décembre 1916
Mis à part une attaque anglaise en Belgique et une retraite française dans les environs de Vichy, rien à signaler. Un corps est perdu.
Italie : les troupes austro-hongroises foncent, l'armée italienne semble s'être concentrée autour de Rome. Gênes tombe après un sanglant combat. Tripoli, Livourne, Pestalia sont occupées pacifiquement. La cavalerie autrichienne fonce sur Grenoble, le chemin à travers les Alpes étant libre. Le moral national italien ne tient plus qu'à un fil de soie (3%), que ces conquêtes feront, je l'espère, déchirer.
Les choses sont plus corsées en France. Dans la partie sud du front, grande progression, la résistance d'un seul corps français est vite surmontée, car il était à portée d'artillerie. Il ne reste plus grande présence militaire ennemie dans ce secteur. Lyon est déclarée ville ouverte, nos fantassins lorgnent sur une des artères de l'industrie de guerre française, les mines de Saint-Etienne. La population accueille les vainqueurs stoïquement. Un agitateur communiste est passé au goudron et aux plumes.
Un peu plus au Nord, la défense autour de Paris reste solide. Il faut une longue préparation d'artillerie pour déloger deux corps français. Les uhlans prussiens sont trop imprudents et tombent dans une embuscade à Orléans. Ils ont progressé trop vite.
L'armée allemande perce en deux endroits et en profite pour ravager les positions de l'artillerie lourde ennemie.
Situation sur le front Sud.
Situation sur le front Nord, avec une petite surprise à Metz.
En fin de tour, l'OHL se rend compte qu'il faudra un dernier coup de pouce avant de forcer l'Italie à la capitulation. Le peuple croit toujours à une contre-offensive victorieuse menée à partir de Rome. La propagande du maréchal Griffon est efficace.

Mis à part une attaque anglaise en Belgique et une retraite française dans les environs de Vichy, rien à signaler. Un corps est perdu.
Italie : les troupes austro-hongroises foncent, l'armée italienne semble s'être concentrée autour de Rome. Gênes tombe après un sanglant combat. Tripoli, Livourne, Pestalia sont occupées pacifiquement. La cavalerie autrichienne fonce sur Grenoble, le chemin à travers les Alpes étant libre. Le moral national italien ne tient plus qu'à un fil de soie (3%), que ces conquêtes feront, je l'espère, déchirer.

Les choses sont plus corsées en France. Dans la partie sud du front, grande progression, la résistance d'un seul corps français est vite surmontée, car il était à portée d'artillerie. Il ne reste plus grande présence militaire ennemie dans ce secteur. Lyon est déclarée ville ouverte, nos fantassins lorgnent sur une des artères de l'industrie de guerre française, les mines de Saint-Etienne. La population accueille les vainqueurs stoïquement. Un agitateur communiste est passé au goudron et aux plumes.

Un peu plus au Nord, la défense autour de Paris reste solide. Il faut une longue préparation d'artillerie pour déloger deux corps français. Les uhlans prussiens sont trop imprudents et tombent dans une embuscade à Orléans. Ils ont progressé trop vite.

L'armée allemande perce en deux endroits et en profite pour ravager les positions de l'artillerie lourde ennemie.

Situation sur le front Sud.

Situation sur le front Nord, avec une petite surprise à Metz.

En fin de tour, l'OHL se rend compte qu'il faudra un dernier coup de pouce avant de forcer l'Italie à la capitulation. Le peuple croit toujours à une contre-offensive victorieuse menée à partir de Rome. La propagande du maréchal Griffon est efficace.

- Boudi
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Re: Rêves et cauchemars impériaux (interdit à griffon)
Un agitateur communiste est passé au goudron et aux plumes.

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Un petit calcul, et on s’en va !
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