
Rêves et cauchemars impériaux
- Dolfo
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Re: Rêves et cauchemars impériaux (interdit à griffon)
Il faut bien constater que la maîtrise de la situation n'est pas forcément dans le camp de l'entente 

Contente-toi de peu, amuse-toi de tout.
Re: Rêves et cauchemars impériaux (interdit à griffon)
Et ce malgré vos probables indiscrétions sur le topic d'à côté
En fin de partie faudra que je vérifie dans le journal de modération si vous avez édité vos messages avant que je puisse les lire
L'air de rien, je me demande où sont passées les montagnes de MPP que griffon a dû accumuler en 1915, pendant qu'il ne se passait rien à l'Ouest. Une partie est au fond des mers grâce à mes sous-marins, je suppose que la limite d'investissement en recherche a été vite atteinte. Reste quand même un gros paquet, qui ne me semble pas être passé en corps d'infanterie. 1-2 artilleries, et après ? La chasse est faible, donc plutôt la marine je pense ...

En fin de partie faudra que je vérifie dans le journal de modération si vous avez édité vos messages avant que je puisse les lire

L'air de rien, je me demande où sont passées les montagnes de MPP que griffon a dû accumuler en 1915, pendant qu'il ne se passait rien à l'Ouest. Une partie est au fond des mers grâce à mes sous-marins, je suppose que la limite d'investissement en recherche a été vite atteinte. Reste quand même un gros paquet, qui ne me semble pas être passé en corps d'infanterie. 1-2 artilleries, et après ? La chasse est faible, donc plutôt la marine je pense ...
Re: Rêves et cauchemars impériaux (interdit à griffon)
Puis je poser une question mon Kaiser?
Investir dans de beaux bateaux tout neuf, mais livrés en juin 1917, est ce bien judicieux?
Ne faudrait-il pas passer la production dans de nouveaux équipements pour soldats, lever de nouvelles divisions, des chars?
Investir dans de beaux bateaux tout neuf, mais livrés en juin 1917, est ce bien judicieux?
Ne faudrait-il pas passer la production dans de nouveaux équipements pour soldats, lever de nouvelles divisions, des chars?
ARR:
TOAW3 - La Grande Guerre en Amérique - Arrêté: T177 MAJ du 22/09/2016
TOAW3 - La bataille de Halha (Khalkin-Gol) - Terminé
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Re: Rêves et cauchemars impériaux (interdit à griffon)
C'est vrai, c'est un investissement à long terme qui pourrait bien s'avérer inutile. Il a été fait car tout simplement, nous disposons de trop de ressources :
- nouveaux équipements : on ne peut rééquiper que les unités qui ne sont pas au contact de l'ennemi. Toute l'armée austro-hongroise et pratiquement toute l'armée ottomane sont déjà rééquipées. Pour l'armée allemande, toutes les unités qui ne sont pas en première ligne ont été rééquipées en l'espace d'un tour, à l'exception des troupes de garnison en Pologne/Ukraine.
- nouvelles divisions : tant en France qu'en Italie, le front est complètement saturé. Il y a une profondeur de trois à quatre lignes, ce qui est presque trop, car les mouvements s'en trouvent gênés. Les côtes sont bien surveillées, et le nombre maximum de troupes épaule l'Ukraine (12 unités). Je me paye même le luxe de laisser une garde assez inutile aux portes de la Roumanie (20% en faveur de l'Entente, la défaite russe les a échaudés) et de maintenir une armée entière en Arabie pour contrer rapidement toute rébellion.
- chars : la recherche dans ce domaine est complètement saturée. Quand elle arrivera à de premiers résultats, une partie des ressources y sera consacrée. Il faudra que je vérifie le prix (350 MPP?), mais les limites de construction sont très rigides.
- diplomatie : il n'y a plus vraiment de nation non-alignée. Celles à 0% d'alignement comme l'Espagne demanderaient trop de temps et de chance pour vraiment pouvoir basculer dans notre camp avant 1918.
- aviation : je suis réticent aux bombardiers lourds, car ils lieraient de précieuses ressources en recherche (qui a une limite d'investissement, ce serait donc au détriment de recherches plus utiles). La chasse vient d'être doublée et d'atteindre sa limite de taille (deux groupes de chasseurs allemands), un groupe bulgare viendra rejoindre la danse bientôt. L'Empire Ottoman n'a pas l'utilité de cette aviation (le temps qu'elle arrive en Libye ...), les Austro-Hongrois ont vue libre sur le ciel italien.
Dans le meilleur des cas, la marche vers Rome et Paris sera couronnée de succès et rendra inutiles les flottes de l'Alliance. Dans le cas contraire, le blocus naval s'avèrera douloureux sur le long terme, et une flotte plus solide que l'actuelle pourrait s'avérer payante. C'est assez hypothétique, mais mieux vaut être préparé.
- nouveaux équipements : on ne peut rééquiper que les unités qui ne sont pas au contact de l'ennemi. Toute l'armée austro-hongroise et pratiquement toute l'armée ottomane sont déjà rééquipées. Pour l'armée allemande, toutes les unités qui ne sont pas en première ligne ont été rééquipées en l'espace d'un tour, à l'exception des troupes de garnison en Pologne/Ukraine.
- nouvelles divisions : tant en France qu'en Italie, le front est complètement saturé. Il y a une profondeur de trois à quatre lignes, ce qui est presque trop, car les mouvements s'en trouvent gênés. Les côtes sont bien surveillées, et le nombre maximum de troupes épaule l'Ukraine (12 unités). Je me paye même le luxe de laisser une garde assez inutile aux portes de la Roumanie (20% en faveur de l'Entente, la défaite russe les a échaudés) et de maintenir une armée entière en Arabie pour contrer rapidement toute rébellion.
- chars : la recherche dans ce domaine est complètement saturée. Quand elle arrivera à de premiers résultats, une partie des ressources y sera consacrée. Il faudra que je vérifie le prix (350 MPP?), mais les limites de construction sont très rigides.
- diplomatie : il n'y a plus vraiment de nation non-alignée. Celles à 0% d'alignement comme l'Espagne demanderaient trop de temps et de chance pour vraiment pouvoir basculer dans notre camp avant 1918.
- aviation : je suis réticent aux bombardiers lourds, car ils lieraient de précieuses ressources en recherche (qui a une limite d'investissement, ce serait donc au détriment de recherches plus utiles). La chasse vient d'être doublée et d'atteindre sa limite de taille (deux groupes de chasseurs allemands), un groupe bulgare viendra rejoindre la danse bientôt. L'Empire Ottoman n'a pas l'utilité de cette aviation (le temps qu'elle arrive en Libye ...), les Austro-Hongrois ont vue libre sur le ciel italien.
Dans le meilleur des cas, la marche vers Rome et Paris sera couronnée de succès et rendra inutiles les flottes de l'Alliance. Dans le cas contraire, le blocus naval s'avèrera douloureux sur le long terme, et une flotte plus solide que l'actuelle pourrait s'avérer payante. C'est assez hypothétique, mais mieux vaut être préparé.
- sylvain_pva
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Re: Rêves et cauchemars impériaux (interdit à griffon)
le fait que la guerre s'enlise à l'ouest confirme en tout cas que le conflit est globalement bien simulé 

Re: Rêves et cauchemars impériaux (interdit à griffon)
Contre-attaque musclée à l'Ouest de Belfort ...
... et au Nord de Venise. Respectivement un corps perdu. En Italie, le prix payé était très cher, l'attaque a sûrement été forcée par des politiques. Militairement parlant, ce succès local n'a pu être obtenu qu'en fragilisant gravement la ligne de front.
Bizarrement, ce sont surtout les Français qui battent de l'aile. L'offensive austro-hongroise qui s'ensuit détruit le rideau défensif devant Venise, un corps d'infanterie flambant neuf. De plus, les Italiens goûtent à l'artillerie transportée à grands frais vers les Alpes. Encore un corps italien au compteur. Les Indiens à Padoue sont isolés et faibles.
En Adriatique, nouveau raid contre les flottes de l'Entente. De plus, les sous-marins autrichiens qui enrayaient le commerce grec viennent bloquer le détroit d'Otrante. La flotte ottomane est stationnée dans les ports grecs pour maximiser les chances d'interception. Rhodes pourrait bien être la prochaine cible d'un débarquement ottoman.
Libye : l'Entente percoit des renforts, mais si peu de ravitaillement. Les troupes ennemies sont en carton.
La présence franco-britannique se réduit comme peau de chagrin, c'est à peine plus d'une tête de pont qui reste. Cependant, Tripoli est lointaine, très lointaine ...
France : nous manquons d'obus un peu partout, sauf en face de Belfort. Des zouaves algériens tiennent les tranchées, et sont délogés après de grands efforts, heureusement peu coûteux en vies amies.
La percée permet d'attaquer les positions de l'artillerie lourde française, pléthorique. 3 unités d'artillerie dans un seul secteur !
Le reste du front ? Réorganisation, et attaque d'opportunité en Belgique suite à une offensive ennemie enrayée. Pas de gains de terrain.
Bombardement de Londres par les dirigeables allemands. Grande panique, peu de dégâts.
Vue d'ensemble :
Recherche allemande :
Et vue rapprochée sur les prochains points d'attention :
Par ailleurs, le rapport économique de cette semaine, qui explique pourquoi l'industrie de guerre dispose de tant de marge :


... et au Nord de Venise. Respectivement un corps perdu. En Italie, le prix payé était très cher, l'attaque a sûrement été forcée par des politiques. Militairement parlant, ce succès local n'a pu être obtenu qu'en fragilisant gravement la ligne de front.

Bizarrement, ce sont surtout les Français qui battent de l'aile. L'offensive austro-hongroise qui s'ensuit détruit le rideau défensif devant Venise, un corps d'infanterie flambant neuf. De plus, les Italiens goûtent à l'artillerie transportée à grands frais vers les Alpes. Encore un corps italien au compteur. Les Indiens à Padoue sont isolés et faibles.

Vue avant la destruction du corps français au Nord de Venise
En Adriatique, nouveau raid contre les flottes de l'Entente. De plus, les sous-marins autrichiens qui enrayaient le commerce grec viennent bloquer le détroit d'Otrante. La flotte ottomane est stationnée dans les ports grecs pour maximiser les chances d'interception. Rhodes pourrait bien être la prochaine cible d'un débarquement ottoman.


Libye : l'Entente percoit des renforts, mais si peu de ravitaillement. Les troupes ennemies sont en carton.

La présence franco-britannique se réduit comme peau de chagrin, c'est à peine plus d'une tête de pont qui reste. Cependant, Tripoli est lointaine, très lointaine ...

France : nous manquons d'obus un peu partout, sauf en face de Belfort. Des zouaves algériens tiennent les tranchées, et sont délogés après de grands efforts, heureusement peu coûteux en vies amies.

La percée permet d'attaquer les positions de l'artillerie lourde française, pléthorique. 3 unités d'artillerie dans un seul secteur !

Le reste du front ? Réorganisation, et attaque d'opportunité en Belgique suite à une offensive ennemie enrayée. Pas de gains de terrain.
Bombardement de Londres par les dirigeables allemands. Grande panique, peu de dégâts.

Vue d'ensemble :

Recherche allemande :

Et vue rapprochée sur les prochains points d'attention :

Par ailleurs, le rapport économique de cette semaine, qui explique pourquoi l'industrie de guerre dispose de tant de marge :

- Emp_Palpatine
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Re: Rêves et cauchemars impériaux (interdit à griffon)
J'ai toujours soutenu les Empires Centraux et j'était profondément germanophile dès le 27 juin 1914. 

Vous pensez tous que César est un con? Vous pensez que le consul et son conseiller sont des cons? Que la police et l'armée sont des cons? Et vous pensez qu'y vous prennent pour des cons? Et vous avez raison, mais eux aussi! Parce que depuis le temps qu'y vous prennent pour des cons, avouez que vous êtes vraiment des cons. Alors puisqu'on est tous des cons et moi le premier, on va pas se battre.
Re: Rêves et cauchemars impériaux (interdit à griffon)
C'est un des bons points du jeu, sans artillerie et troupes reposées tu n'as aucune chance, quelle que soit ta supériorité numérique. En général tu n'avances que d'un hex, mais il y a toujours l'espoir de tomber sur un arrière-pays sans seconde ligne, qui obligerait l'ennemi à installer des défenses de fortune. Et toujours cette chimère d'une percée décisive qui ouvrirait un corridor suffisant pour la cavaleriesylvain_pva a écrit : ↑mer. févr. 05, 2020 12:28 pm le fait que la guerre s'enlise à l'ouest confirme en tout cas que le conflit est globalement bien simulé![]()

L'Europe a besoin d'hommes capables pour construire un ordre d'après-guerre harmonieux et tourné vers le futur (sous domination allemande)Emp_Palpatine a écrit : ↑mer. févr. 05, 2020 2:37 pm J'ai toujours soutenu les Empires Centraux et j'était profondément germanophile dès le 27 juin 1914.![]()

Re: Rêves et cauchemars impériaux (interdit à griffon)
De loin la semaine la plus animée depuis août 1914
Je reste concis car sinon je n'en finirai pas.
Tour ennemi :
- contre-attaque à l'Ouest de Belfort, un corps allemand détruit, beaucoup de pertes ennemies
- les Albatros dominent le ciel, et les avions de reconnaissance de l'Entente en font les frais lorsqu'ils viennent fouiner dernière nos lignes
- les Fokker autrichiens descendent également les avions d'observation italiens
Passons aux évènements enclenchés par l'OHL. Double passe des nouveaux sous-marins sur l'Iron Duke, un dreadnought en patrouille de blocus.
Attaque sur Nancy avec moyenne préparation d'artillerie. 5 corps contre un, victoire. Un raid de dirigeables sur Saint-Etienne pour détendre les nerfs.
Seconde préparation d'artillerie, sur le VIIIe corps pour créer une nouvelle brèche. Victoire, nous nous approchons de Reims.
Attaque non-planifiée sur Anvers, mal défendue après une offensive singulière de la garnison belge, qui n'est pas trop nombreuse. La garde prussienne force le coup, victoire.
La ville peut être occupée de justesse, malgré les troupes d'assaut épuisées. Une rotation compliquée est opérée, Bruxelles s'en retrouve un peu fragilisée, et les mines de Mons, hors service pour cause de combats avoisinants, sont abandonnées temporairement. Belfort aussi est bousculée, car la garnison a soutenu l'attaque durant le tour ennemi et n'était pas au meilleur de sa forme.
C'est bien plus, beaucoup plus, énormément plus que ce que l'OHL avait planifié, même osé espérer. Trois forteresses conquises (Nancy, Belfort, Anvers), trois corps et un détachement d'infanterie détruits. Certains corps allemands sont laidis, mais rien de grave. Il ne fait pas bon travailler dans la logistique prussienne en ces temps, car un immense embouteillage bloque toutes les routes de France arpentées par les forces impériales.
Seule forteresse française restante : Toul.
En Italie, le front de l'Entente craque avec grand fracas. Avant l'offensive :
Après ... :
Venise encerclée. Un corps d'infanterie italien et deux britanniques détruits. Le QG de Plumet attaqué. Adriatique : le porte-hydravions Foudre coulé, mais le Babenberg en état de vulnérabilité, il n'a pas pu rallier le port de Fiume.
Libye : un corps français détruit, il ne reste que quelques Britanniques sans eau ni nourriture.
Mises en production : un croiseur de combat et un dreadnought allemands, une flotille de destroyers autrichiens et une autre d'ottomans. Percées technologiques : chasseurs de 3e génération, tactiques de chars, tranchées niveau 4 en Allemagne, commandement niveau 3 dans l'Empire Ottoman.
Pertes ennemies totales ce tour-ci : 7 corps, un détachement, un porte-avions, des centaines d'avions, quatre villes importantes et une mine de houille. C'est une blessure extrêmement grave, peut-être mortelle. J'en reste abasourdi car je ne voyais pas les choses évoluer si rapidement.

Tour ennemi :
- contre-attaque à l'Ouest de Belfort, un corps allemand détruit, beaucoup de pertes ennemies
- les Albatros dominent le ciel, et les avions de reconnaissance de l'Entente en font les frais lorsqu'ils viennent fouiner dernière nos lignes
- les Fokker autrichiens descendent également les avions d'observation italiens

Passons aux évènements enclenchés par l'OHL. Double passe des nouveaux sous-marins sur l'Iron Duke, un dreadnought en patrouille de blocus.

Attaque sur Nancy avec moyenne préparation d'artillerie. 5 corps contre un, victoire. Un raid de dirigeables sur Saint-Etienne pour détendre les nerfs.

Seconde préparation d'artillerie, sur le VIIIe corps pour créer une nouvelle brèche. Victoire, nous nous approchons de Reims.

Attaque non-planifiée sur Anvers, mal défendue après une offensive singulière de la garnison belge, qui n'est pas trop nombreuse. La garde prussienne force le coup, victoire.

La ville peut être occupée de justesse, malgré les troupes d'assaut épuisées. Une rotation compliquée est opérée, Bruxelles s'en retrouve un peu fragilisée, et les mines de Mons, hors service pour cause de combats avoisinants, sont abandonnées temporairement. Belfort aussi est bousculée, car la garnison a soutenu l'attaque durant le tour ennemi et n'était pas au meilleur de sa forme.

C'est bien plus, beaucoup plus, énormément plus que ce que l'OHL avait planifié, même osé espérer. Trois forteresses conquises (Nancy, Belfort, Anvers), trois corps et un détachement d'infanterie détruits. Certains corps allemands sont laidis, mais rien de grave. Il ne fait pas bon travailler dans la logistique prussienne en ces temps, car un immense embouteillage bloque toutes les routes de France arpentées par les forces impériales.
Seule forteresse française restante : Toul.

En Italie, le front de l'Entente craque avec grand fracas. Avant l'offensive :

Après ... :

Venise encerclée. Un corps d'infanterie italien et deux britanniques détruits. Le QG de Plumet attaqué. Adriatique : le porte-hydravions Foudre coulé, mais le Babenberg en état de vulnérabilité, il n'a pas pu rallier le port de Fiume.
Libye : un corps français détruit, il ne reste que quelques Britanniques sans eau ni nourriture.

Mises en production : un croiseur de combat et un dreadnought allemands, une flotille de destroyers autrichiens et une autre d'ottomans. Percées technologiques : chasseurs de 3e génération, tactiques de chars, tranchées niveau 4 en Allemagne, commandement niveau 3 dans l'Empire Ottoman.

Pertes ennemies totales ce tour-ci : 7 corps, un détachement, un porte-avions, des centaines d'avions, quatre villes importantes et une mine de houille. C'est une blessure extrêmement grave, peut-être mortelle. J'en reste abasourdi car je ne voyais pas les choses évoluer si rapidement.
Re: Rêves et cauchemars impériaux (interdit à griffon)
Les Anglais essayent de reprendre Anvers, et sont fauchés par les mitrailleuses hâtivement installées. L'Entente réussit là où elle a concentré son artillerie, en Franche-Comté. Un corps de réserve est annihilé.
Si la guerre sous-marine tourne au ralenti, la France sombre doucement. Le moral national coule en-dessous de la barre de 50%.
En Italie, une timide contre-offensive ennemie échoue vite. L'artillerie hongroise est en place et pillonne Venise. La place Saint-Marc gravement endommagée, aucun secours par mer attendu, la garnison a du mal à se motiver pour combattre.
Un corps italien est haché par les combats en première ligne, un autre sévèrement endommagé.
Dans le détroit d'Otrante, le piège se referme sur une flotille de destroyers britanniques.
Cela libère l'U-14, qui s'inscrit dans les livres d'histoire comme bourreau de l'Andrea Doria.
Libye : le QG anglais est évacué, le VIe corps qui couvrait cette retraite se rend.
France : un corps saxon attaque les Belges, déjà épuisés par leur offensive avortée.
La garde exploite cette victoire locale et tente de contourner le dispositif britannique en Flandres.
Percée également autour de Verdun, où un corps français est détruit. De plus, en Flandres comme à Toul, l'Entente perd ses derniers avions de reconnaissance. Il ne reste plus que quelques chasseurs britanniques autour de Boulogne.
À Belfort, nous poussons nos troupes à l'assaut, malgré des réserves limitées. La cavalerie prussienne sabre une partie de l'artillerie ennemie.
Mer du Nord : après l'Iron Duke et sans s'occuper des destroyers britanniques, les sous-marins tournent autour du cuirassé "Emperor of India".
L'Autriche-Hongrie commissionne un nouveau croiseur lourd. Selon nos calculs, l'Allemagne pourra mettre des chars en production la semaine prochaine. Pour finir, une vue sur le palmarès du Ier corps ottoman. Trois nations ont déjà souffert face à lui.


Si la guerre sous-marine tourne au ralenti, la France sombre doucement. Le moral national coule en-dessous de la barre de 50%.

En Italie, une timide contre-offensive ennemie échoue vite. L'artillerie hongroise est en place et pillonne Venise. La place Saint-Marc gravement endommagée, aucun secours par mer attendu, la garnison a du mal à se motiver pour combattre.

Un corps italien est haché par les combats en première ligne, un autre sévèrement endommagé.

Dans le détroit d'Otrante, le piège se referme sur une flotille de destroyers britanniques.

Cela libère l'U-14, qui s'inscrit dans les livres d'histoire comme bourreau de l'Andrea Doria.

Libye : le QG anglais est évacué, le VIe corps qui couvrait cette retraite se rend.

France : un corps saxon attaque les Belges, déjà épuisés par leur offensive avortée.

La garde exploite cette victoire locale et tente de contourner le dispositif britannique en Flandres.

Percée également autour de Verdun, où un corps français est détruit. De plus, en Flandres comme à Toul, l'Entente perd ses derniers avions de reconnaissance. Il ne reste plus que quelques chasseurs britanniques autour de Boulogne.

À Belfort, nous poussons nos troupes à l'assaut, malgré des réserves limitées. La cavalerie prussienne sabre une partie de l'artillerie ennemie.

Mer du Nord : après l'Iron Duke et sans s'occuper des destroyers britanniques, les sous-marins tournent autour du cuirassé "Emperor of India".

L'Autriche-Hongrie commissionne un nouveau croiseur lourd. Selon nos calculs, l'Allemagne pourra mettre des chars en production la semaine prochaine. Pour finir, une vue sur le palmarès du Ier corps ottoman. Trois nations ont déjà souffert face à lui.

- Boudi
- Khan Océanique
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Re: Rêves et cauchemars impériaux (interdit à griffon)
N'hésite pas à mettre les dates.Les Anglais essayent de reprendre Anvers

« Et c’est parti ! (Поехали! [Poïekhali!]) »
https://fr.pobediteli.ru/
Un petit calcul, et on s’en va !
https://fr.pobediteli.ru/
Un petit calcul, et on s’en va !
Re: Rêves et cauchemars impériaux (interdit à griffon)
On peut les voir quand l'interface est visible en entier, comme sur le second screen en haut à droite : 29 juillet 1916. Je peux la rajouter dans le texte si ça facilite la lecture 

- Boudi
- Khan Océanique
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Re: Rêves et cauchemars impériaux (interdit à griffon)
En ouverture de post, en gras souligné ! 

« Et c’est parti ! (Поехали! [Poïekhali!]) »
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Un petit calcul, et on s’en va !
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Re: Rêves et cauchemars impériaux (interdit à griffon)
C'est le minimum syndical...

"Le monde est assez grand pour satisfaire les besoins de tous mais il sera toujours trop petit pour satisfaire l'avidité de quelques-uns..."
Re: Rêves et cauchemars impériaux (interdit à griffon)
12 août 1916
Contre-attaques meurtrières à Cambrai et Belfort, les pointes allemandes sont enfoncées sans plus de façons.
Italie : l'Autriche-Hongrie pousse l'offensive, presque sans artillerie pour l'appuyer. Les pertes montent en flèche, mais von Hötzendorf suppose que l'ennemi n'a plus de réserves, contrairement à l'Alliance.
Alors que deux corps italiens modernes montent au front pour intercepter notre avancée, il ne reste justement plus grand chose de ce front : en tout et pour tout 5 corps, dont deux en très mauvais état et deux autres obsolètes. Seuls les chasseurs de montagne français pourraient nous donner du fil à retordre et empêcher une conquête rapide de Vérone.
La série de succès navals continue : le Szent Istvan se paye l'escradre groupée autour du croiseur léger d'Entrecasteaux.
La flotte du Sultan appuie ces efforts et donne le coup de grâce au croiseur Pise ...
... tandis que les bombardiers navals fraichement formés s'en prennent aux sous-marins de l'Entente.
L'occupation de la Grèce a apporté des dividendes importantes, ses aérodromes et ports sont de la plus grande utilité.
France : nous soufflons dans les Flandres par nécessité de consolider. Les assauts de cette semaine se portent sur Reims et les abords de Toul.
Trois corps français sont détruits, Toul commence à être isolée. À Belfort, courte pause pour remplir les rangs et organiser un semblant de logistique fonctionnelle. D'une manière générale, nous choisissons l'offensive à outrance, quitte à griller les grasses réserves formées par les vétérans de l'Est. Toutefois, la France reste solide et bien armée. Elle a eu le temps de se préparer.
Face aux besoins gigantesques du front, l'industrie de guerre à du mal à tenir le rythme. Si une partie de la chasse peut être équipée des nouveaux Albatros D III ...
... il faudra encore attendre avant de lancer la production de chars A7V.
Vue rapprochée du front italien.
Comparaison des pertes :
Autres : les Ottomans ont pris Rhodes et se rapprochent de Sirte en Libye. Il n'y a plus aucune opposition armée en vue. La production d'obus est améliorée en Allemagne, la cadence est passée à 1,8 millions d'obus par mois. L'Empire Ottoman autorise la construction d'un nouveau croiseur léger.
Contre-attaques meurtrières à Cambrai et Belfort, les pointes allemandes sont enfoncées sans plus de façons.
Italie : l'Autriche-Hongrie pousse l'offensive, presque sans artillerie pour l'appuyer. Les pertes montent en flèche, mais von Hötzendorf suppose que l'ennemi n'a plus de réserves, contrairement à l'Alliance.

Alors que deux corps italiens modernes montent au front pour intercepter notre avancée, il ne reste justement plus grand chose de ce front : en tout et pour tout 5 corps, dont deux en très mauvais état et deux autres obsolètes. Seuls les chasseurs de montagne français pourraient nous donner du fil à retordre et empêcher une conquête rapide de Vérone.

La série de succès navals continue : le Szent Istvan se paye l'escradre groupée autour du croiseur léger d'Entrecasteaux.

La flotte du Sultan appuie ces efforts et donne le coup de grâce au croiseur Pise ...

... tandis que les bombardiers navals fraichement formés s'en prennent aux sous-marins de l'Entente.

L'occupation de la Grèce a apporté des dividendes importantes, ses aérodromes et ports sont de la plus grande utilité.
France : nous soufflons dans les Flandres par nécessité de consolider. Les assauts de cette semaine se portent sur Reims et les abords de Toul.


Trois corps français sont détruits, Toul commence à être isolée. À Belfort, courte pause pour remplir les rangs et organiser un semblant de logistique fonctionnelle. D'une manière générale, nous choisissons l'offensive à outrance, quitte à griller les grasses réserves formées par les vétérans de l'Est. Toutefois, la France reste solide et bien armée. Elle a eu le temps de se préparer.

Face aux besoins gigantesques du front, l'industrie de guerre à du mal à tenir le rythme. Si une partie de la chasse peut être équipée des nouveaux Albatros D III ...

... il faudra encore attendre avant de lancer la production de chars A7V.

Vue rapprochée du front italien.

Comparaison des pertes :

Autres : les Ottomans ont pris Rhodes et se rapprochent de Sirte en Libye. Il n'y a plus aucune opposition armée en vue. La production d'obus est améliorée en Allemagne, la cadence est passée à 1,8 millions d'obus par mois. L'Empire Ottoman autorise la construction d'un nouveau croiseur léger.