WE soviétique 13/41, WE US 14/40.
Bon là c'est clair on s'achemine vers un Barbarossa ultra précoce, sans doute pour le prochain tour, automne 1940.

Les Panzers sont montés au niveau technologique supérieur, 8 en attaque, 7 en défense.
Toute la Wehrmacht, hormis ce qui garnit les côtes, s'est massée sur le front de l'Est.
En Pologne occidentale : 8 infanteries, 4 artilleries, 1 char, 2 stukas, 2 chasseurs.

En Prusse orientale : 3 bombardiers lourds, 1 stuka, 1 chasseur, 1 para, 4 infanteries, 2 artilleries et 8 chars.

Soit une force de frappe impressionnante. L'URSS n'a pas eu le temps de se préparer à une telle vague d'assaut. Bien sûr, il ya a des fragilités dans cette stratégie. Dans les Balkans, la Yougoslavie vient de vivre un coup d'état pro-alliés. La Grèce est libre. La Roumanie, la Hongrie et la Bulgarie et même l'Italie n'ont pas encore rejoint l'Allemagne dans sa vendetta. L'Egypte est tenue solidement par les Anglais, prêts à foncer sur la Libye.
L'Union soviétique arrive au terme de plusieurs recherches, mais le temps est compté.

Ce tour l'URSS est obligée de sacrifier de nombreuses ressources (les 10 camions, soit 50 supplies) , qui seront absolument vitales pour reconstruire des usines à l'arrière ou déplacer des armées :

C'est un lourd effort pour la production soviétique balbutiante.
La RAF bombarde la France, au prix d'un bombardier tactique endommagé touché par la flak, mais 2 voies ferrées sautent. Le but est de compliquer l'acheminement de futures milices roumaines ou hongroises de second ordre en France occidentale, ce qui permettrait à l'ennemi d'envoyer de bonnes infanteries en Russie.

Les effectifs en fin de tour, avec la production allemande, révélée par l'espionnage :
