Le Quartier Général

Ha, Le moyen age, période si contrasté, faites de bravoures et de massacres, d'échanges et d'obscurantisme, d'honneur et de viol. Dans le royaume franc qui aborde l'an 1081 avec apréhension, cette réalité n'est encore que faiblement percu. Les temps sont dures, l'heure est au travail des champs, de la pierre, de la salissure, de la boue et des pluies incessantes qui fouettent sur les hommes comme pour le rapeller leur triste sort.


Ces pauvres hères virent arriver 2 chevaliers en armure, a leur blasons, ils faisaient parti de la garde de l'ancien roi doit personne ne savait ou ils étaient . Avaient ils été kidnappés? En tout depuis sa disparition , de sinistres barons faisaient la loi sur le royaume.


Très vite il apparut que ces 2 individus étaient pouchassés par le baron de Davil, dit le Serpent qui gouvernaient ces terres.


Le combat fut bref , la maitrise de l'épé des 2 chevaliers ne faisaient aucun doute. Ce ceux purent prirent la fuite , et se dirigèrent alors vers une terre un peu plus a l'est ou se trouvait un chateau , enfin , si on peut considérer un plaine entouré de vieux murs délabrés comme un chateau. L'un des chevaliers était en réalité Sir Williams , l'un des bras droit du roi perdu , cherchant déséspéremment a retrouver son maitre. L'autre était le serviteur de Sir Williams, Mathew, qui avait vu sa cité d'enfance brulé et dévasté par les barons onnis.

Mathew se mit a l'oeuvre dans le but de construire une cité lui permettant de réaliser l'ambition de son maitre. Les forets au alentours furent exploités ainsi que les mines de pierre.


Des moines demandirent a Mathew son aide pour reconstruire le pont qui leurs permettraient d'atteindre leur monastère. En bon chrétien , Mathew ne pit refuse et autorisa les moines a puiser dans ses réserves pour construire leur pont. Ceux ci lui donnèrent en échange un troupeau de mouton qui allait s'avérer bien pratique pour l'élevage.





Etrange individus tout de meme ces moines et leur quete d'une soit disant sainte relique. Enfin ils partirent, des marchands flammants de passage dans la région prirent commande auprès de Mathew. Ils avaient grand besoin de fourures vu l'hiver épouvantable qui s'abattait sur toute la Flandre. Mathew se mit d'abord a traquer les lapins qui rodaient aux alentours.
Dans ce role la, les archers et leur chien ne faisaient pas de pitié.


Les bergeries s'occupaient de tondre les moutons donnés par les pretres, bref la ville prospérait.

Enfin un peu de Moyen-Âge parmis les AARs

C'est Stronghold 2? N'est-il pas truffé de bugs?

Bon courage en tous cas!

C'est bien Stronghold II, j'ai hésité entre lui et le I mais vu que j'avais très peu joué au II c'était l'occasion.

Pour les bugs y'en a , du style les boeufs qui disaparaissent dans la carrière mais ca c'est amélioré avec les patchs.

Par contre les graphismes.

En effet le 1 était bien plus joli

Mais je note que les créateurs se sont donnés de la peine pour l'originalité des missions. C'était déjà un point fort du 1

T'as pris la campagne 'gestion' ou la campagne 'guerriere' ?

Guerrière bien sur, je compte montrer un des points forts de cette opus a savoir les sièges.

J avais pratiquement terminé cette campagne, mais la derniere mission était vraiment trop 'ardue' et j ai laché...

J espere que tu pourras nous montrer le screen final...

Les marchands flammands furent livrés a temps, notre modeste cité était prospère et Sir Samara se prélassait en organisant fete sur fete.


Le vin coulait a flots et l'insouciance demeurait quand un messager vient tirer Samara de sa torpeur. Olaf, un chef de guerre vicking se dirigait droit sur notre cité sans défense. Comment connaissait-il notre position et surtout pourquoi nous attaquaient-ils alors qu'il y avait des cités bien plus riches aux alentours, nous l'ignorions. Mais nous allions devoir organiser des défenses a la hate et le temps pressait.



Ni une, ni deux, la cité fut mise en état d'alerte, la production de tissu fut abandonné pour la production de lance et de flèche. Nous nous devions d'etre pret avant la prochaine attaque. Un premier mur fut contruit au niveau du pont.



Les moines vienrent nous aider nous fournissant un régiment de moines soldats qui nous seraient fort utiles. Notre armée était désormais paré a affronter le terrible Olaf.

mais ce n'est pas laid du tout comme jeu !

Je trouve ça honorable aussi.

Franchement je trouve ça moche, c'est d'ailleurs très dommage pour un jeu aussi bon. Ils auraient mieux fait de rester au moteur graphique du 1:



Ce qui n'empêche pas l'AAR de Samara d'être très bon

griffon a écrit :mais ce n'est pas laid du tout comme jeu !

+1
C'est juste Von Aasen qui à mauvais gout.

La production tournait a plein régime, les tissus fabriqués étaient revendus aux flammands ce qui me permettait de lancer la production de lances et de recruter de nouveaux piquiers . Le circuit de fabrication était bien huilé, cotons transformés en tissus, bois en lance et viande de lapin pour le peuple (du moins que ce qu'il en restait après le repas des nobles).





Les éclaireurs barbares arrivèrent. Pensant pouvoir profiter du butin avant les autres, ces imbéciles attaquèrent , cachés derrière des fourrés , mes hommes les attendaient de pied ferme. Sir Samara les provoqua et les forca a l'attaquer, c'est alors que 17 piquiers et 5 moines soldats surgirent de leur dos. Les barbares furent massacrés




L'armée principal d'Olaf arrivait, Samara harangua une dernière fois ses hommes. "Songez que du haut de ce rocher, 1 millions d'années nous contemple, ils peuvent nous prendre notre liberté mais il ne nous prendront pas non put** de 40 tissus cria t-il.



La dernière vague était autrement plus forte, les pires guerriers de tout le royaume, ceux qui avaient ravagés Curthumbrie , ceux dont on disait qu'ils mangaient le coeur de bébés mort nés avec un délicieux chianti et quelques fèves étaient arrivés. le choc fut rude, Sir Samara étaient resté en arrière, et quelques barbares en profitèrent pour essayer de l'isoler. Nos piquiers étaient totalement inexpérimentés et beaucoup furent massacrés dés les premiers coups. Heureusement les moines soldats tirent la ligne et Samara massacra les quelques imprudents venu tater de sa lame. Après avoir vu qu'ils ne pourraient vaincre, les barbares se replièrent .


La cité était sauvé. Samara se rendit au monastère prier pour sa victoire puis prit son cheval. Un messager venait l'avertir que Sir Williams avait besoin de son aide. Cette fois il ne serait plus question de défendre mais de prendre une ville fortifié.