En 1945, j'ai du quitter précipitamment la petite principauté dont j'était le prince, quelque part dans les alpes autrichiennes.

Apparement j'avais misé sur le mauvais cheval...

En tout cas l'officier de la CIA qui m'a capturé durant ma fuite m'a laissé un choix très simple:
Ou bien j'allais prendre en main une ile dans les caraïbes pour empecher les bolchéviques égorgeurs d'enfant d'y prendre pied, ou il me faisait fusiller.
Quand j'ai découvert le trou à rat ou j'allais échouer, je me suis demandé si je n'aurais pas du choisir la deuxième solution.

Je me proclame immédiatement Empereur des Caraïbes, lumière de l'occident, rempart de la civilisation, Rio Grande de la pensée, découvreur de l'infini et divers autres titres mineurs...


Mon objectif serait simple: m'en mettre plein les poches.
Cheu veu refoir ma germanie...

En dix ans et malgré le peu d'argent disponible j'ai réussi à batir pas mal de choses sur ce caillou.
J'ai devellopé l'agriculture nottammentle tabac et assuré les exportations de bois.
J'ai construit un immeuble, une église et des casernes et des postes de police...

Les gens étaient tellement content que j'ai meme réussi à emporter les élections haut la main rendant fous de joie les électeurs.
Ils ont interet à en profiter car ça risque bien de ne pas se reproduire de sitôt.

Voici le bilan général en 1960:
Je compte désormais attirer les touristes et transformer l'ile en paradis fiscal doté de nombreuses banques.
Vue de l'ile
De sympathiques immigrants nous ont rejoint

Viva el president!!