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GPO 8 ** AARs et diplomatie **
Posté : mar. nov. 01, 2005 8:01 pm
par lemarseillais
Moi, roy de France, j'ai l'immense honneur d'ouvrir le bal...
Posté : mer. nov. 23, 2005 11:54 am
par Aedan
***** Chroniques du royaume de Castille *****
La fin de la guerre de cent-an en France
Le conflit dynastique opposant les Lancastre et les Valois durait depuis si longtemps qu'il était devenu fort difficile de savoir quelle famille avait le plus de légitimité à occuper le trone de France bien que visiblement le peuple de France aurait eu beaucoup de mal à accepter un roi etranger.
En cette année 1419, Les Lancastre semblaient en mesure d'emporter la décision sur le champ de bataille notament aprés la grande victoire d'Henry sur les Français sous les murs de Paris.
Mais les Français réagirent de manière energique attitant les Anglais toujours plus à l'intérieur des terres pendant que leurs alliés écossais semaient la désolation dans le nord de l'Angleterre.
Les combats principaux de portèrent alors dans la vallée du Rhone et en Provence. L'armée d'Henry V remportait souvent les batailles mais s'usait inexorablement. Paradoxalement, d'apres nos observateur, le parlement d'Angleterre refusa d'accorder des crédits suplémentaires et de lever de nouvelles troupes pour allimenter l'effort de guerre.
Henry V, abandonné de son pays et privé de ressource combattait ainsi seul avec son frère le Duc de Bedford. Avec les 5000 derniers survivants de son armée, il finissait par tomber l'arme à la main dans le sud-est de la France bientot suivit à son tour par Bedford dont l'armée était devenu famélique.
La guerre se termina par un desastre de l'Angleterre alors qu'elle disposait de generaux exeptionels, des moyens financiers necessaires, d'allié puissant (Les duc de Bretagne et de Bourgogne) et que la désorganisation de la France était pourtant si grande. Ce desastre était du en grande partie car l'effort de guerre ne fut pas allimenté par la l'Angleterre au moment crucial laissant ses soldats sur le continent à l'abandon...
L'Angleterre cedait ainsi à la France ses duchés d'Aquitaine et de Normandie et ne conservait plus que la ville de Calais sur le continent.
La France elle triomphait. Non seulement le Dauphin Charles parvint à bouter les Anglais hors de France, mais en même temps il repris le controle de ses vassaux et chatia sévérement le duc de Bourgogne en lui confisquant les Flandres, riche terre de commerce.
La Guerre s'acheva ainsi sur une Angleterre appauvrie et sur une France resplendissante d'unité et de puissance.
La fin de la reconquista en Espagne
Le royaume de Castille crea autour d'elle une vaste alliance Ibérique en partenariat avec les Royaumes du Portugal, d'Aragon et de Navarre. La reconquista pouvait reprendre.
La 1ere offensive contre Grenade fut fulgurante et l'emirat fut entierement occupé. Mais l'emir avait obtenu le soutien de Fez et d'Alger.
Le général Castillan Alvaro de Luna débarqua à Oran puis marcha sur Alger qu'il conquis apres un siège assez court. Quand aux armée du Portugal, elle gerroyère ave courage contre les Marocains. Mais la resistance s'intensifia dans les Aures et les djebels des montagnes de l'Atlas. La paix fut signé à Grenade et l'emirat cedait la place de Gibraltar à la Castille.
Ceci ne devait pas etre une paix définitive. Pour la gloire, de dieu, du Christ et du royaume, il faller chasser les Musulmans de la Péninsule.
Une deuxième offensive fut lancée. Mais une crise éclata à Madrid qui degenera en guerre civile entre les partisant d'Alvaro da Luna et ses adversaires. Abandonant le Siège de Grenade à un contingent castillan, Alvaro de Luna se porta vers le nord pour calmer les rebelles d'extramadure puis des Asturies. Les Aragonais en profitèrent pour capturer l'emir de Grenade et le décapitère annexant ainsi pour leurs propre compte la ville de Grenade et sa province.
Grenade revenait Chrétienne mais sous banniere Aragonaise
La Xeme croisade, en route vers un effroyable desastre
Apres la chute de Grenade, les armées Ibériques allaient etre démobilisées quand une immense clameur monta des Soldats
Jerusalem! Jerusalem !
Alvaro de Luna entendit l'appel de ses soldats et se rendit imméditament à Rome ou le Pape décréta la Xeme croisade pour la libération de la ville sainte.
De retour en terre de Castille, Alvaro de Luna n'avait plus qu'a préparer la nouvelle croisade pour la libération de Jerusalem...
(A suivre et en construction)
Posté : jeu. nov. 24, 2005 12:27 am
par Invité
La Xeme croisade fut préparée dans l'allegresse générale. Dieu n'avait t'il pas permit à la castille et ses alliés de bouter hors d'europe des Maures dont l'occupation avait durée 7 siècles?
Le roi de Castille offrit 1 million de Ducat à Alvaro de Luna pour preparer la croisade. Le Pape ne put lever des indulgences pour financer la croisade et aucun echos des autres grands princes d'europe ne permit d'esperer un soutien autre que moral dans cette grande entreprise.
La préparation dura 2 ans durant lesquels la Castille construisit 15 nouvelles galères pour le transport des croisés castillans.
Enfin quand les navires furent rassemblée, l'expédition quitta le port de Carthagène sous les cris de la foulle en liesse et la bénédiction de tout le clergé de Castille
La puissance redoutable de l'Empire Mamelouk
350 ans aprés la 1ère croisade, la situation en orient avait bien changée. Si les 1er croisés avait rencontré un islam extrement divisé permettant la prise rapide de Jérusalem, il n'en était plus rien à présent. L'Empire Mamelouk était un empire guerrier et extrement puissant, s'etendant de la Cyrénaique à l'Anatolie. Ses richesses et ses ressources en hommes étaient ainsi extrement puissant.
Les Mamelouks pouvaient également compter sur des complicités dans le monde Chrétien et il étaient alliés aux Hospitaliers de Rhodes et surtout avec la puissante république marchande de Venise dont le centre de commerce d'Alexandrie l'alimentait en épices venue d'orient.
Alvaro de Luna disposait de 30.000 hommes dont 20.000 chevaliers et 10.000 hommes d'armes et piétons
L'Objectif de la croisade était Jérusalem mais celle-ci était défendu par un corp de 25.000 Mameluks. Par contre le delta du Nil semblait vulnérable. Les chefs de la croisade dont Alvaro de Luna décidèrent donc de frapper la pieuvre Mameluk à la tete... c'est à dire au Caire pour briser la puissance de l'Empire.
Cette tactique n'était pas nouvelle. De l'offensive du roi Amaury de Jérusalemn en 1164 à celle de Saint-Louis dans les années 1240, le croisés connaissait la vulnérabilité du delta du Nil.
La flotte croisée approcha ainsi 2 siècle plus tard une nouvelle fois du port Egyptien de Damiette et l'armée Castillane débarqua. Alvaro de Luna débarqua sur une plage proche de Damiette et defit sans difficulté les 6.000 Mameluk qui tentèrent de le repousser.
Sans s'attarder devant Damiette qu'il contourna, il se porta sur Le Caire non défendu et en fit le siège. La croisade s'engageait sous les meilleurs hospices...
La déroute devant Le Caire
Le siège était engagé depuis 3 semaines quand une armée Mameluk de 24.000 h traversa le Nil en venant d'Alexandrie et se porta à la rencontre des croisés. Et malgré la supériorité numérique des croisés... ce fut la déroute et un massacre car la surprise fut totale. Sur 30.000h, seul 7.500 cavaliers survécurent et purent s'enfuir en direction du Sinaï.
Alvaro de Luna était abattu... dieu l'avait t'il oublié? Mais les Mamelouks poursuivirent les croisés en déroute dans le Sinaï et les repoussa en Palestine.
Mais en Palestine se trouvait le corps de 25.000 Mameluks et les croisés risqu'ai l'encerclement. Apres un accrochage justement devant Jérusalem, Alvaro de Luna pu eviter le gros des armées ennemis en filant vers l'Ouest pour rejoindre la cote à Jaffa. Il ne restait alors plus que 3.400 cavaliers à Alvaro de Luna.
Le calvaire de l'armée croisée
Alvaro de Luna attendait à Jaffa l'arrivée de la flotte Castillane pour l'évacuer lui et ses hommes à bout de force... mais la flotte croisée n'apparut jamais à l'Horizon...
Si la flotte croisée n'avait pu se porter au secour d'Alvaro de Luna, c'est que devant Damiette, elle fut surprise par la totalité de la flotte Vénitienne qui la mis alors en déroute la forçant à s'enfuire vers l'Ouest trouver refuge dans les ports Aragonais de Sicile. Les Vénitiens poursuivirent et infligèrent une nouvelle défaite à la flotte croisée au large de Malte avant que celle-ci pu enfin trouver refuge à Messine. Puis les Vénitiens reprirent la direction de l'est stoppant la leur sanglantes poursuite.
Le Pape informé entra dans une rage noire et excomunia immédiatement Venize et ses habitants, ainsi que tout les Chrétiens qui feront du commerce avec les Vénitiens.
Dans Jaffa, Alvaro de Luna, se sentant abandonné et sachant que l'armée Mamelouk approchait (40.000h à présent), il décida de reprendra la route du nord.
Dépassant Acre, il pria devant cette grande forteresse dont la chute en 1299 marqua la fin des états croisés. Puis ce fut Tyr, Sidon, Tortose et Tripoli qui furent dépassée tallonée par l'armée Mamelouk.
Mais devant Antioche, une nouvelle armée Mamelouk de 30.000 barra la route. Alvaro de Luna parvint à franchir l'Oronte mais perdit 1.000 hommes suplémentaire.
Alvaro et ses 2.500 survivants était talloné par des forces monstrueuses... ll remonta encore vers le nord et demanda l'asile à Trebizonde qui le lui refusa. Rattrapé une nouvelle fois par les Mameluks...Il se fit battre mais parvint avec 2.000 cavalier a echapper une nouvelle fois à la nasse et à s'enfuir vers le Sud-Ouest et les terres des Hospitaliers de petite arménie. Une troupe de 1000 chevaliers de l'Hospital fut mise en déroute mais les Mameluks une enieme fois surgirent sur les arrière des croisés forçant Alvaro da Luna de retraiter une nouvelle fois sur Antioche
La Castille augmente son effort
La flotte croisée apres avoir quitté Messine parvint enfin à Carthagène. La nouvelle des désastres d'orient allimenta une nouvelle ferveur en Castille.
Jérusalem ! Il faut sauver Alvaro da Luna!
De tout le royaume, de nouveaux nobles, chevalier et simple paysans embrassèrent la sainte croix et se croisèrent. 6 mois plus tard, une nouvelle armée croisée de 20.000 hommes s'embarquait à Carthagène pour l'orient.
La mission était double.... surprendre la vigilance de la flotte Vénitienne et parvenir en orient sans encombre et sauver Alvaro Da Luna avant qu'il ne soit trop tard.
Au sud de la Sardaigne, la flotte croisée fut une nouvelle fois interceptée par les Vénitiens et perdit 2 galères et 2.000 h envoyé par le fond avant que la retraite permit de sauver l'armée et de debarquer à Palerme en terre Aragonaise. Puis la flotte appareila une nouvelle fois et parvint à rejoindre le levant sans nouvelle mauvaise rencontre.
Parvenu devant Antioche, elle pu receuillir Alvaro de Luna et son millier de chevalier rescapé apres un périple de plus de 3.000 lieues.
La reprise de la croisade
Alvaro de Luna portée par dieu reçu une nouvelle fois les encouragement du Pape par l'intermediaire du cardinal de ferrare, légat de sa sainteté et l'exortant à poursuivre le combat.
Reposé et revigoré, Alvaro de Luna reprit le commandement de la croisade. La flotte croisé se porta devant Damiette esperant trouver l'Egype non défendu avec plus de 80.000 Mameluks actuellement présent en Syrie. La nouvelle armée croisée se porta immédiatement sur Le caire et entama un nouveau siège.
Mais de nouvelles forces Mameluks convergèrent de toute l'Egypte et se rassemblèrent une nouvelle fois de l'autre coté du Nil. Cependant le siège de la capitale Mameluk avançait et les premiere fissures dans les murailles firent leurs apparitions...
Mais l'empire Mameluk n'était pas au bout de ses ressources... La nouvelle armée rassemblée et forte de 39.000h marche traversent actuellement le Nil pour se porter sur l'armée croisée composée de seulement 19.000 croisé de Castille.
Cette fois le choc sera décisif.... un nouveau désastre sonnerait le glas et la fin de la Xeme croisade.... A moins que de grands princes Chrétiens décisaient de prendre la croix et de soulager la Castille qui seule lutte contre l'Islam et pour la lbération du saint-sépulcre.
Que dieu protège les croisés et leur donne enfin la victoire!
Don Aedan
Posté : ven. nov. 25, 2005 12:19 am
par ric novice
Chef ! Chef ricson ! pfoouuu pfouuu [reprend son souffle] on peut arrêter de fuir ! ils ne nous poursuivent plus !
Hum il serait judicieux de se refugier au plus profond de la forêt, au milieu des elans et des ours dans 2m de neige
Mais on va geler chef !
bah on va construire des igloos !, formez les rangs, on s'enfonce dans la forêt
GrossBaff, viens voir ici,comment on fait les igloos deja ?
mais chef,on était mieux dans nos chaumières avec nos femmes et enfants
(il est temps de les haranguer, c'est vrai je suis le chef

)
Vickings !
fils de thor et d'odin,
nous avons crus que le temps de la liberté avait sonné
quand nos ennemis de toujours les vils danois
nos oppresseurs toujours assoifés de conquêtes
ravageant à maintes reprises les peuplades germaniques
Ces démons de danois qui se pretendent nos maîtres
qui nous ont soumis par le passé
voulaient nous entrainer dans des guerres sans fin
Alors du plus profond de la terre suedoise
de ces vickings épris de liberté
s'est elevé le vent de la révolte
Des chaînes brisés, l'esclave combat son maître
et son auxilliaire le traitre norvegien
glorieux vickings, nos ancêtres sont fiers de vous
vous avez defait les norvegiens
occupé leur capitale et capturer leur roy
Les renforts danois ont été passés par le fil de l'épée
Beaucoup de nos frères sont morts
Nous pensions toucher la flamme de la liberté
le demoniaque Roy danois devant la defaite de son vassal norvegien
soudoya le puissant duché de Novogorad !
Notre juste combat trouve sa limite davant une telle traitrise
la guerre est perdue !!!Il nous faudra ceder quelques forêts et fleuves
mais l'avenir nous appartient !
Elevez des igloos, chassez l'ours, utlisez toutes les ressources de la forêt
Notre descendance nous vengera !!!
Moi Ricson,je prefere rejoindre le banquet d'odin que de vivre dans la honte d'avoir echoué devant mon peuple.
Adieu mes fréres, Par Thor !!!! mon épée que je me transperce le corps

.
..
...
1997, bien loin des côtes, decouverte des restes calcinés d'un drakkar enfouis dans la tourbe en pleine forêt suedoise , les archeologues sont perplexes et penchent pour le dernier voyage mortuaire d'un important chef vicking....

des traces d'occupation humaines (feux, os et atelier de forge) attestent d'une activité humaine durable, aucunes traces d'habitation suggerent au scientifique que ces hommes ont surement habités dans des igloos mais le mystère reste entier sur la motivation voir la contrainte qui a animée ces hommes suedois du début du XV S à se refugier dans cette forêt perdu de tout....
:hypno:
Posté : ven. nov. 25, 2005 10:07 pm
par Danton
Mon fils,
Chaque jour, je sens les ailes noires de la mort s’approcher toujours plus de moi : mon corps est usé et fatigué, mon esprit endormi et désespéré

. Tu dois connaître la vérité car tu es désormais l’espoir de notre famille et je n’aurai peut-être personne à mes côtés, ni prêtre ni compagnon d’arme, lorsque la grande faucheuse viendra réclamer son dû… Il me faut épancher mon âme, même si cela m’est difficile. Je ne te laisse ni richesse ni influence, mais une prédiction, qui me vient de mon père, et de son père avant lui : « Un jour, un membre de notre famille commandera toutes les armées d’Autriche et se couvrira de gloire au nom de l’Empereur : cela est écrit dans les astres ! Peut-être seras-tu l’élu, peut-être pas, mais ne fléchit jamais : le destin de notre famille doit s’accomplir et le prix sera notre sang, sur 15 générations au moins. Je prie le Seigneur de n’avoir pas fait dévier notre destin familial car, tu dois le savoir, j’ai failli à ma tâche, après 20 ans de bons et loyaux services qui m’ont usé prématurément »
« Le déclin a commencé en 1430, lorsque, tu t’en souviens assurément, l’Archiduc a décidé d’ouvrir les hostilités contre l’alliance Wurtemberg, Wurzburg, Suisse et Baden. Je suis parti comme les autres, fier et heureux de pouvoir verser mon sang pour notre vénéré souverain, mais nous avons été dupé, mon fils, tu le sais déjà. Dieu m’a épargné, mais mes compagnons d’arme sont tombés comme des mouches et rien n’est venu pousser sur le sol que nous avions inondé de notre sang : nos alliés, mais était-ce vraiment des alliés, nous ont arraché les fruits de notre indiscutable victoire

. La Saxe a annexé le Magdebourg, la Bavière s’est goinfrée du Wurtemberg et du Wurzburg, que nous venions de vassaliser de force pour la plus grande gloire de l’Archiduc.
Tant de sang pour engraisser ces ingrats, mais Judas n’en avait jamais assez : ils nous ont appelé à l’aide contre l’alliance du nord (Oldenburg, Kleves, Hessen, Cologne), mais se sont bien gardé d’envoyer un seul soldat combattre leurs ennemis. Pour l’honneur de l’Archiduc, et de sa parole donnée, toute la jeunesse courageuse de notre pays a été fauchée sous les balles ennemies et sous le regard narquois de nos chers alliés. Ils sont tombés en confiant leur âme juste et droite à Dieu, le Très Haut, et il n’est plus resté que les vieux, ceux qui, comme moi, entre deux boucheries, avaient trouvé le temps de fonder famille

.
Pour toi et tes sœurs, je me suis accroché, comme tant d’autres, et nous avons opposé la ruse à la force, la rapidité de notre peur à la masse innombrable. Et nous avons usé encore plus nos vieilles jambes à marcher du nord au sud, d’est en ouest, irritant l’ennemi, harcelant ses lourdes colonnes invincibles, prenant d’assaut des villes par surprise : le Hannover est tombé, puis le Hessen

. Fou de rage et n’arrivant jamais à se débarrasser de nous, l’ennemi impie a mobilisé plus de 70.000 hommes… Nous étions trois fois moins nombreux, mais bien tapis dans les obscurs forêts du nord et j’ai honte de te le dire mais telle est la vérité : nous sommes resté caché, frissonnant de froid mais surtout de peur

.
Mais nous restions de vieux soldats rusés et, acculés, nous avons su faire des merveilles : alors que les grosses colonnes adverses partaient assiéger le Hannover, nous avons bondi hors de notre cachette et nous avons fondu tel le faucon sur le petit lapin hessois

. Pour un bref instant, nous avons retrouvé nos jambes de 20 ans et la vaillance de notre jeunesse : le duc du Hessen a été capturé vivant, ses gardes dispersés, et nous avons obtenu la rançon convoitée par l’Archiduc : le Hannover et des vivres pour assurer notre retraite. Naturellement, les félons espéraient bien récupérer promptement la province cédée, déjà assiégée, et nous anéantir malgré la parole donnée.
Mais l’Archiduc, tout vieillissant qu’il était, était lui aussi resté un vieux renard et, dans la nuit complice, il nous a guidé hors de cette nasse infernale : c’est grâce à lui que nous avons pu nous réfugier en Saxe. Le malheureux a rendu son âme à Dieu sitôt son armée sauvée. Il ne nous a jamais abandonné et pour cela tu dois en faire le serment comme je l’ai déjà fait : sois toujours fidèle aux Archiducs d’Autriche.
Son fils, Ladislas Postumus, était un homme jeune et énergique, il nous a laissé sans ordres et a mobilisé des troupes plus jeunes pour terminer le travail que nous étions incapables de réaliser. Tu faisais partie de ces nouveaux contingents et tous mes vieux compagnons, apprenant eux aussi l’enrôlement de leurs fils, ont partagé mon bonheur, bien fugitif hélas, car que pouvions-nous répondre à vos lettres qui nous suppliaient de vous laisser des ennemis à terrasser pour la gloire de l’Autriche ? Que pouvions-nous répondre à cela ? Comment avouer que nous étions battus et démoralisés ? En vérité, je te le dis, nous avons eu honte de nous et nos vieilles épaules se sont affaissées encore plus

.
Nous avons alors ramassés nos mousquets et nous sommes repartis plein nord : une cohorte de vieillards contre la redoutable alliance du nord. David contre Goliath. Mais mieux valait affronter une mort assurée que votre regard attristé, voire plein de pitié, quand vous auriez vu et compris quel fut notre échec. A un contre trois, nous nous sommes précipité au Hannover, afin de récupérer le seul gain de cette guerre qui n’en finissait pas : si nous pouvions obtenir une paix globale tout en gardant cette province, alors que nous aurions pu vous revoir sans honte aucune.
L’ennemi impie, très largement supérieur en nombre, a bien ri en voyant nos pauvres cohortes de vieillards avancer en clopinant et en bavant vers leurs lignes retranchées. Nous étions fous et je ne cherche aucune excuse : la mitraille qui nous a fauché était accueillie presque comme une délivrance. Que n’avons-nous tant véçu pour vivre cette infâmie ? Oh vieillesse ennemie

… Mais Dieu est miséricordieux et allait nous accorder à tous une fin rapide. Je n’oublierai jamais les visages des soldats ennemis en ces moments tragiques, mon fils : ils riaient ! Nous étions pathétiques et il ne nous restait plus qu’à sombrer dans l’oubli.
C’est à ce moment que tu as surgis, toi et tes compagnons, menés par notre nouvel Archiduc, votre jeunesse et votre bravoure bien en avant. Nous avons eu les larmes aux yeux : jadis, nous étions comme vous, mais le temps est passé et ses outrages sont innombrables. Votre puissante charge de cavalerie a perforé les rangs moqueurs de l’ennemi, dispersés leurs colonnes et la victoire a changé de camp

. Nous avons tendu nos bras fatigués vers vous, nos fils chéris, qui nous apportiez notre délivrance. Tout était pardonné, oublié.
Mais vous n’êtes pas venu vous jeter dans nos maigres bras : vous avez continué sur votre lancée, sans même nous voir peut-être et vous avez traqué l’ennemi impitoyablement. Votre fougue a permis à l’Archiduc d’obtenir enfin une paix blanche. Nous sommes resté là, en arrière, inutiles, comme de vieux arbres morts. Vous aviez raison cependant et nous avons retrouvé notre fierté : nous avons failli, mais la relève est assurée. Venge l’honneur terni de ton vieux père fatigué et puisses-tu ne jamais connaître la déchéance de la vieillesse.
Vous êtes le nouvel espoir du royaume et nous prions pour que vous obteniez les succès que nous avons été incapables d’offrir à l’Empereur. Prier et espérer, que nous reste t-il d’autre à faire ? Maintenant que tu connais la vérité, ne sois pas trop dure envers un pauvre vieillard impotent qui n’a jamais cessé de t’aimer et pardonne moi, mon fils. Venge l’honneur de la famille, accomplis notre destin. Sois brave et même héroïque comme je n’ai pas su l’être. Que Dieu te garde…
Posté : ven. nov. 25, 2005 10:38 pm
par lemarseillais
Posté : dim. nov. 27, 2005 2:48 pm
par lemarseillais
[align=center]Paroles de joueur :[/align]
Trop souvent je constata avec désarroi le malheur de la France ; trop de fois je la vis sombrer dans les bas-fonds de la médiocrité incapable de se soulever, de se relever de sa lourdeur ; trop rarement je vis une France gouvernée d'une main de fer et d'une main de chef, oh non que le destin s'acharne sur ma si noble patrie, quand d'aucuns osent laisser l'ia à la tête de mon pays ; trop tôt je l'ai vu sombrer dans la mélancolie de sa gloire imaginaire.
Et honte suprême ! Quand je vis mon si beau pays, à maintes reprises, ignoré, bafoué, négligé telle une nation qui ne compte pas dans la hiérarchie du monde.
Je n'en pouvais plus de tant de malheur, de faits qui allaient tant à l'encontre de mes convictions. Mais je n'oserais plagier le grand Général qui résume déjà excellement, précisément la pensée de tout grand patriote : "Toute ma vie, je me suis fait une certaine idée de la France... Le sentiment me l'inspire aussi bien que la raison. Ce qu'il y a, en moi, d'affectif imagine naturellement la France, telle la princesse des contes ou la madone aux fresques des murs, comme vouée à une destinée éminente et exceptionnelle. J'ai, d'instinct, l'impression que la Providence l'a créé pour des succès achevés ou des malheurs exemplaires. S'il advient que la médiocrité marque, pourtant, ses faits et gestes, j'en éprouve la sensation d'une absurde anomalie, imputable aux fautes des Français, non au génie de la patrie. Mais aussi, le côté positif de mon esprit me convainc que la France n'est réellement elle-même qu'au premier rang ; que, seules, de vastes entreprises sont susceptibles de compenser les ferments de dispersion que son peuple porte en lui-même ; que notre pays, tel qu'il est, parmi les autres, tels qu'ils sont, doit, sous peine de danger mortel, viser haut et se tenir droit. Bref, à mon sens, la France ne peut être la France sans la grandeur."
Voilà ce que je pense ! Voilà ce que sera ma France ! J'affirme et j'assume mes propos : la France sera tout en haut, quiconque s'interposera, quiconque briguera cette place, devra me vaincre définitivement, sous peine de me voir inlassablement ressurgir. Car comme le papillon est attiré par la lumière, qu'il ne peut s'en détourner, qu'une force supérieure à toute autre le mût vers celle-ci, la France, elle, est aspirée par le sommet de la hiérarchie. Ce n'est pas un espoir, une demande ; non, c'est l'ordre normal des choses.
Néanmoins, il ne faut pas se tromper, grandeur de la France ne veut pas dire impérialisme, ni hégémonie. La grandeur ne s'obtient pas que par la force, ne s'obtient pas au détriment des autres ; elle se forge par les autres. C'est vote sublimation de la France qui construira sa grandeur.
Je déclare donc que la politique française sera articulée autour de cete idée unique de grandeur, et cela durant toute la gpo.
En conséquence, j'annonce que la France est d'or et déjà prête à assumer son statut, celui d'arbitre du monde. Ainsi, exemple de notre rôle, nous prêterons main forte à la Castille, soit financièrement, soit militairement, pour la libération de Jerusalem. Comme nous avons déjà aidé financièrement certains pays. De plus, la Suède, si elle en fait la demande, et si nous en avons la possibilité (technique), peut se voir offrir l'aide d'une partie de l'armée française commandée par Richemont lui-même. D'autre part, l'Autriche est assuré de notre garantie concernant ses terres actuelles, si d'aventures ces ennemis prétendent à en prendre possession, nous, Français, serions prêt à vous aider (dans la mesure d'une possibilité technique).
Posté : sam. déc. 03, 2005 2:21 pm
par Aedan
Dieu intervient et sauve la Croisade
Alvaro de Luna attendait le choc des armées Mamelouks avec inquiétude coincé entre la ville du Caire et le Nil.
Les Mamelouks ont rassemblé leur plus grande armée, Chamelier, archer à cheval et troupes à pied sont inombrables
Face a ces 39.000 infidèles, Alavaro Da Luna dispose de 19.000h dont 12.000 chevaliers de Castille...toute la noblesse du royaume est rassemblé. Les Mamelouks fort de leur supériorité avancent en ligne avec leurs archer sur les cotés qui commencent à harceller les croisés. Le soleil se lève sur la plaine... Les Mamelouk qui viennent de traverser le fleuve d'Ouest en Est ont le soleil dans les yeux... les croisés eux l'ont de dos...
Alvaro se présente alors devant ses soldats:
Soldat du Christ, ceci est la bataille décisive! Montrons à ces chiens la valeur des hommes de Castille!
Pour le Christ ! , pour Jerusalem! , pour sauver votre vie..... chaaaaaargez !
Sous la charge des chevaliers croisés, le centre Mamelouk se debanda. Les Mamelouk sont prit de panique, la charge Castillane est irresistible...
Les croisés perdront 2.000 hommes, les Mamelouks plus de 30.000.... Dieu aura choisi d'accomplir un miracle.
La Chute du Caire et la Conquete de l'Egypte
Apres la destruction de l'armée Mamelouk, les défenseurs du Caire à bout de vivre décidèrent d'ouvrir les portes de la Ville et Alvaro de Luna put faire son entrée.
La Ville abritait de nombreuses reliques dont la plus ancienne était la Vrai Croix dérobée par Saladin au roi de Jérusalem Guy de Lusignan sur le champs de bataille d'Hattin en 1186 apres que l'armée croisée fut anéhantie.
La Vrai Croix fut immédiatement chargée sur un navire à destination de la Cathédrale de Tolède en Castille. Alvaro De Luna jurant qu'elle serait replacée dans le Saint-Sépulcre une fois Jérusalemn libéré.
La conquete de l'Egypte se poursuivit. L'arrivée de la vrai croix à Tolède entraina un nouvel afflux d'hommes de toute la Castille désireux de se croiser. Une nouvelle armée de 20.000h prit la mer pour l'Egypte avant d'être une nouvelle fois intercepté par les Vénitiens au Sud de la Sicile mais heureusement sans gravité.
Grace a ces nouvelles forces, l'Egypte fut rapidement conquise et notament les deux ports vitaux de Damiette et d'Alexandrie.
La libération de la ville Sainte. La restauration du royaume de Jérusalem
L'Egypte sous controle et la tete de la pieuvre Mamelouk coupée, il était tant que les croisés se mettent en route pour Jerusalem.
Dans le Sinaï, Alvaro bouscula une armée Mamelouk encore une fois soutenus par des Hospitaliers.
Et ce fut enfin l'arrivé devant Jerusalem. Plus de 2 siècles aprés sa chute définitive (en 1244), les croisées entamèrent le siège avec la moitié de l'armée. Un fort détachement croisé se porta au nord pour mener le siège d'Acre et couvrir Jérusalem en cas de contre-attaque venant de Syrie.
Puis finalement enfin Jérusalem Tomba et Alvaro de Luna pu entrer dans la ville. Deux siècles apres sa chute, Jérusalem redevenait Chrétienne.
Le Sultan Mamelouk était pret à négocier. La Castille obtenait Jérusalem évidement mais aussi le port marchand d'Alexandrie pour garder un controle sur l'Egypte Mamelouk et la priver des ressources necessaires à une contre attaque à moyen terme sur Jérusalem.
Le royaume des cieux de Jérusalem était fondé avec à sa tete comme 1er roi un grand noble de Savoie
La Xeme croisade s'était achevé par un immense succé pour les armées du Christ. Au total 100.000 fils de Castille avait prit la croix, 1 millions 500.000 ducats avait été dépensé... mais Jérusalemn était libéré!
Venize envahi la Castille
Pendant que les armées de Castille combattaient croisées en Egypte, Les Vénitiens débarquèrent en force en Castille.
Une 1ere tentative eu lieu à Murcie mais les vénitiens par manque de moyen restèrent bloqué sous les murs de la ville.
Par contre ce furent 13.000 Véntiens qui débarquèrent à Cadix dans le sud de l'Andalousie et se portèrent imédiatement sur Séville qui fut prise et pillé comme Contantinople par le passé.
Mais les Vénitiens étaient partout et organisèrent un 3eme débarquement dans le nord de l'Espagne et s'enparèrent de la capitale des Asturie à savoir la ville d'Oviédo avant de mettre le Siège devant Santander
La Castille était à bout de force car ses armées combattaient loin en Orient quand survint la nouvelle que le roi d'Aragon au lieu de nous aider à repousser ces hérétiques de Vénitien choisi de déclarer la guerre au puissant et ami royaume de France. Le roi d'Aragon etait-il devenu fou?
30.000 Navarrais et 40.000 Aragonais prirent la route du nord et attaquèrent le Languedoc pour affronter les Français. Apres quelques batailles sanglantes et indécises, les forces Françaises renversèrent la situation et envahir l'Aragon à leur tour.
En échange d'une demande de compensation Française limité au Roussillon, la Castille décida de ne pas intervenir au coté de ses alliés et condamna publiquement l'Aragon pour entraver ainsi l'effort de la Xeme croisade pour des motifs purement personnel...
La guerre se termina par une défaite Aragonaise et la session effetive du Roussillon
Le retour de Terre Sainte d'Alvaro de Luna
Alvaro de Luna débarqua à Murcie et détruisit le contingent Venitien. Traversant toute l'Andalousie, il se porta sur Seville et écrasa l'armée vénitienne.
Laissant quelques forces pour effectuer le siège, il se porta alors vers le nord, dégagea Santander et repris Oviédo aux Vénitiens.
A la nouvelle de la chute de Seville, les Vénitiens accepèrent enfin de déposer les armes et de signer la paix. Ils venaient de perdre 40.000 hommes en espagne.
Une fois la paix retrouvé, Alvaro de Luna respecta sa parole et aprés avoir prié devant la Sainte Croix, reprit une derniere fois la route de la terre sainte afin de restituer la Sainte-Croix et la remplacer dans le saint-Sépulcre. Moins d'un an apres son retour à Jérusalem, Alvaro de Luna aprés 30 ans de service à la tête des forces de Castille s'eteignit dans la paix et fut inhummé, conformement à ses directives, dans les tombeaux des anciens rois de Jérusalem.
L'avenir du royaume de Jerusalem
Le royaume de Jérusalem est dans une situation délicate car entouré de toute par par le toujour puissant Empire Mamelouk. Il n'a pas retrouvé ses dimensions de 1185 et les villes de Acre, Beyrout et Anthioche sont toujours occupé.
La Castille a naturelement assuré de son soutien le royaume de Jérusalem. Grace soit loué également au roi de France et à l'Archiduc d'Autriche qui ont également prit des engagement de protection de ce saint royaume des cieux devant toutes menace et notamment musulmane.
Il nous semble important que Jerusalem retrouve au plus tot, les moyens également autonome de sa protection et des nombreux pélérins Chrétiens qui vont affluer à nouveau en terre Sainte.
La Castille s'engage à verser régulierement de l'Or à Jerusalem. Nous invitons tout les grands princes Chrétiens à en faire de même en fonction de leurs possibilités. Donnez votre or pour Jérusalem, c'est garentir sa place dans le royaume des cieux....
Don Aedano
Posté : sam. déc. 03, 2005 4:57 pm
par lemarseillais
Que dire !!! Il ne se passe pas grand chose en France....pour le moment.
1419
1437
1447
1454

Posté : dim. déc. 04, 2005 12:16 am
par Invité
La lune est voilée par quelques nuages, Ricson II souleve la lourde hache et tranche la corde, saisit une torche et la lance sur le drakkar qui s'eloigne au gré du courant
Lentement le feu gagne du terrain, grignotte les parties les plus inflammables et c'est un grand brasier qui illumine les flots, le chef Ricson I rejoint le banquet d'Odin
***
Le lendemain.....
"Chef, chef, un miracle !!!!, un marchand russe qui revient de la capitale Danoise nous assure que l'host de 9000 vickings envoyé par feu Ricson I a survecu aux danois et assiége la capitale !"
"Par Thor, alors mon pére Ricson I est mort pour rien ?, mon épée !!! que je me transperce le corps et que je rejoigne le banquet d'odin"
"NON !!!! on vous aime et vous devez guider le peuple"
"Tu as raison, Grossebaff, mon épée que je pourfende ces vils danois, allons secourir nos fiers soldats !"

Ricson II, portrait
Et c'est ainsi que Ricon II, fils de Riscson I, s'en alla fendre le crane de quelques danois pour se constituer un service à boire et venger la mort de Ricson I,le terrible vicking mort pour l'honneur
Les dieux vickings lui insoufflérent un vent divin qu'il le rendait invinsible et fit abattre sur ces ennemis de terribles fleaux comme ces vils soldats de novgorad, obligés de fuir la suède pour defendre leur duché contre les moscovites....
La suéde a resisté, seule contre la norvege, le danemark et novogorad, et par deux fois a occupé des capitales ennemies, obligeant le Roy du danemark a cedé la province de snake et une colonie norvegienne.
Gloire à la lignée des Ricson, Par thor !!!
Posté : lun. déc. 12, 2005 8:00 pm
par Danton
Une fois encore, le SERG était à feu et à sang et les brutes incendiaires toujours les mêmes : les Bavarois et les Saxons, maudits soient-ils. Ladislas Postumus, en vieux renard rusé et patient, guettait l’occasion d’agir pour croquer ces si remuantes poules bien dodues

. Malheureusement, il lui manquait ce casus belli sans lequel son intervention aurait dérogé aux règles de l’honneur que nous appliquons si scrupuleusement : la réputation de la maison des Habsbourgs est et restera sans tache. Nous sommes un pieux exemple pour le monde barbare sans foi ni loi

.
La paix se fit sans qu’une occasion se présentât et Ladislas en éprouva tant de chagrin qu’il s’éteignit prématurément

. Son fils, Friedrich V, allait assurer la relève. Tout le SERG, avide de justice et de paix, s’empressa de l’élire Empereur : « Tu seras tel l’aigle royal, planant au-dessus de nous et veillant sur nous ». Dieu lui-même nous approuve et nous remplirons notre mission sacrée avec la plus grande dévotion et le plus grand fanatisme : quand les Impériaux avancent, l’ennemi recule

.
Les criminels bavarois firent fi de nos avertissements, ne comprenant pas que, désormais, le SERG s’était trouvé un berger vigilant qui ne permettrait aucune violation de la paix impériale : les brutes repartent dans leur marche sanglante et incendiaire en 1458 et un ultimatum leur est aussitôt envoyé. Il sera ignoré, méprisé

.
L’Aigle Royal, qui planait paresseusement dans les cieux de l’empire, s’abattit alors inexorablement, en piqué, sur le petit lapin bavarois, complètement pris au dépourvu et mis en pièce avant même d’avoir eu l’occasion de comprendre ce qui lui arrivait. Le noble rapace s’apprêtait alors à reprendre son envol, sa proie sanguinolente entre ses justes griffes

, mais les Bavarois, comme tous les lapins

, avaient été très prolifiques : des hordes bestiales surgirent de partout, qui débordèrent nos défenses et prirent même, brièvement, le contrôle de notre province de Salzburg.
Le Hessen et la Saxe impie entrèrent à leur tour dans la danse et, craignant notre juste colère, tentèrent d’empêcher notre envol. Mais tous leurs efforts furent vain et ils ont été châtié comme il se devait : les provinces d’Anspach et Wurtemberg ont été cédées par la Bavière, Anhalt par la Saxe. La justice triomphait et l’Aigle Royal pouvait recommencer à planer noblement, veillant jalousement sur le territoire que Dieu lui a confié

.
Nous prenons dès lors très mal l’intrusion injustifiée des Suédois en terre germanique : oui, vous avez souffert de la tyrannie danoise, oui nous compatissons, mais non, cela ne vous donne pas le droit d’aller voler dans la bergerie de vos voisins

! Rendez-nous le mouton Meclenbourgois et l’Aigle Royal étendra son ombre protectrice sur les vikings du nord et veillera à ce que le veau gras danois ne puisse plus jamais vous asservir.
L’Empereur Très Chrétien adresse ses plus vives félicitations aux monarques de Castille et de France, qui ont gagné tout notre respect : votre pieuse croisade est un succès complet, Dieu vous récompensera. Nous regrettons de n’avoir pu participer à cette sainte initiative contre l’infidèle, faute de disposer d’une flotte, mais nous faisons le serment de soutenir financièrement, selon nos moyens, le royaume des cieux : un don a déjà été versé et seule la guerre nous a empêché d’en faire de nouveaux. La Chrétienté brille désormais de mille feux en orient et c’est à vous que nous devons cela, que vos noms soient loués.
Posté : mar. déc. 13, 2005 3:25 pm
par Touko
Compte rendu de l'Empire pour le Sultan Mehmed II,
O illustre Sultan, maître de l'Anatolie, de Byzance, de Bulgarie, de Morée,
de Macédoine et de tant d'autres contrée conquis par Votre Majesté et
vos illustres Aïeuls,
Les Vénitiens et Les chevaliers de Rhodes ont été écrasé et humiliés ils ont
payé tribut et céder 4 provinces.
Les citées grecques sont Votres O Grand Sultan, Athènes vient s'ajouter
à la longue liste des citées subjugués par l'armée impériale.
Les armées de raguse et de bosnie ont été écrasée à la bataille de Kossovo.
La bosnie est d'ailleurs assiégée et est sur le point de se rendre, Raguse vie dans la peur et est prête à succombée à son tour.
Les Janissaires et les Spahis attendent vos ordres O Grand Maître pour
repousser toujours plus loin les frontières de l'Empire...
Allah est Grand et Mohammad son messager.
Posté : lun. déc. 19, 2005 1:26 pm
par Touko
Il s'en allé, le conquérant de Byzance, le Sultan des Sultan, Le Padichah de la mer noire, le conquérant du Caire, le Gazi...
Oui Mehmed II le Conquérant, le plus brillant des Sultan qui s'est assis
à ce jour sur le trone des Ottomant s'en est allé dans le royaume d'Allah.
Dis à ceux qui adorait le Sultan qu'il est mort mais dit à ceux qui adore Dieu que l'Islam vit toujours.
Lors de son ascension sur le trône ce n'était qu'un bout de terre qu'il trouva, enséré d'enemis.
Il s'élança à la tête de ses janissaires à l'assaut de Byzance," le phare du monde", et en chassa la dynastie corrompue et pecheresse et en fit sa capitale.
Il écrasa les despotes de Morée et d'Athènes, il fit siens ses royaumes pourri par la décadence et la débauche et rétablit le prestige et le grandeur de ses citées.
Il porta le fer et le feu jusqu'a Venise et Rhodes, qui compte parmis les plus grandes forteresses habités que le monde contient.
Il entra des ses villes, renversa la croix de la basilique saint marc à Venise et la remplaça par l'étoile de l'Islam.
Il retouna ses armées contre l'Hérétique mamelouk, traversa les déserts de lybie et de nubie et fit siennes les anciennes terres des Pharaons.
Il a triplé le territoire de l'Empire, emplit de craintes le coeur de ses
enemis et réformé les lois et l'Etat.
Il laisse à son fils Bayazid II un puissant empire qui ne demande qu'à s'étendre.
Les janissaires ont reçu le dont d'avènement et leur soldes triplé,
ils ne demandent qu'à ce qu'un leader se mettent à leur tête pour
repousser le domaine du Grand Seigneur.
Bayazid II serat-il de la même trempe que son illustre père ?...

Posté : mer. déc. 28, 2005 12:45 am
par lemarseillais
Chronique de France de 1419 à nos jours
La victoire du roi légitime
La situation de la France en 1419 était plus qu'alarmante. En guerre contre les anglais, les bourguignons et les bretons, la France ne disposait que de peu moyens et d'argent et d'aucun chef. L'Angleterre ne voulait pas la paix. Son roi, Henry de Lancastre, épaulé par de bons chefs, voulait légitimer sa couronne (et surtout faire taire les protestations) en entrainant la noblesse anglaise dans une guerre qui devenait quasi traditionnelle pour l'Angleterre depuis 1337.
Bref, si on y rajoute la peste, les temps étaient fort sombres pour la France. Trés vite, 19000 hommes des 38000 que possédait la France furent exterminés dans les plaines parisiennes et champenoises par l'armée d'Henry. Le reste de l'armée française se réfugia alors en Dauphiné, comptant gagner du répis pour réfléchir à l'avenir.
Dans sa grande folie, le roi anglais décida de s'en prendre aux armées françaises réfugiées dans les montagnes.
Alors que 12000 anglais fonçaient vers le Sud, Charles VII appela à l'ost 10000 jeunes barons du duché de Toulouse et des environs. La cavalerie française ne fit qu'une bouchée de l'armée anglaise. Henry était mort et l'armée française quitta les montagnes pour d'abord exterminer les 10000 anglais qui restaient en France. Talbot à son tour allait mourir sous la charge héroïque des chevaliers. Les armées ennemies étaient anéantis et l'Angleterre cédait aussitôt le Poitou, la Normandie, et l'Orléanais.
Charles VII décida qu'il fallait poursuivre l'effort et punir à présent les vassaux félons : le duc de Bretagne et celui de Bourgogne. En quelques mois l'affaire était réglée: la Bourgogne cédait les Flandres, la Bretagne 2 provinces. Avant même l'arrivée de Jeanne d'Arc en 1429, la paix régnée en France.
Le rattachement des terres du royaume de France
Cinq ans après la paix signée avec les Anglais, Chrles le bien servi décida de poursuivre la reconquête du royaume. Ses armées étaient fortes, nombreuses, et magistralement commandées. L'Angleterre devant un tel déploiement ne résista même pas un mois, elle cédait la Gascogne, le pays de Caux et la Picardie. Notre vassal provençal attaqua et annexa dans un peu près les même temps les restes du duché de Bretagne.
La Bourgogne dù, de son côté, faire face à de nombreuses guerres qui l'affaiblirent énormément (et cela aura des préjudices non-négligeable sur l'avenir).
Cette politique de rattachement des terres du royaume se poursuivit par l'héritage des anciens duché d'Auvergne et des Bourbons entre 1437 et 1445. De plus, la guerre éclata entre provençaux et savoyards. Nous ne pouvions laisser nos vassaux seuls face au péril. Les armées du roi vinrent, virent, et remportèrent le piémont de cette guerre ainsi que la soumission de la Savoie.
En 1451, le duché de Provence nous revenait de de légitime héritage. Le royaume était alors uni en son sein.
La France domine l'Europe
Posté : mer. déc. 28, 2005 5:46 pm
par Touko
Missive diplomatique du Grand Seigneur à l'attention de
tout les rois chrétiens
Le Sultan Bayazid II,
que Allah veille sur lui, a décidé ceci:
Que les rois d'Espagne, de France d'Autriche, d'Angleterre et du
Portugal écoutent attentivement.
L'Espagne détient la province d'Alexandrie et cette province nous revient.
Ne chercher pas à savoir pourquoi ou de quel droit, elle nous revient et doit être notre.
Ainsi nous exigeons que l'Espagne nous cède cette province.
En cas de refus nous avons décidé de ceci:
Nos armées écraserons le royaume de jérusalem, celui pour lequel
vous avez versé tant de sang et qui vous est si cher.
Nos esacdrons de Sipahi applaniront les montagnes du liban sous leur sabots,
Nos Janissaires iront à Jérusalem détruire l'eglise édifiée là ou votre seigneur à été crucifié.
Ensuite se sera au tour des basiliques de l'annonciation, à Nazareth, et de la nativité, à Bethléem.
Songer a ce que vous pourriez perdre...il n'appartient qu'à vous roi
du Portugal, d'Angleterre, de France et d'Autriche de raisonner le roi d'Espagne, de lui ouvrir les yeux devant tant de malheurs que pourrait
occasionner son refus, et il ne pourra en être tenu que pour l'unique coupable du malheur qui vous accablera car il aura préféré compté les ducats que lui rapportent le centre de commerce d'Alexandrie plutôt
que d'épargner bien des souffrances à ses correligionnaires.
De la main du Sultan Bayazid II Khan, fils de Mehmed II Fatih Khan.
Posté : mer. déc. 28, 2005 6:16 pm
par lemarseillais
Missive du roi de France au Sultan :
Qu'est ce que cela ? Des menaces ?
Pourquoi subitement le Sultan se met il à revendiquer des terres alors que son silence fut éclatant quand l'Espagne s'attaqua au royaume Mamelouks.
Nous faisons savoir au chef des Infidèles que l'existence du royaume de Jérusalem n'est qu'un retour à la normal. Nous, par la grâce de Dieu, seront trés attentif au devenir de ce royaume béni de Dieu. Autant le sort des musulmans d'Alexandrie ne nous importe peu autant nous ne tolérerons pas que le royaume de Jérusalem soit bafoué dans cette histoire.
Dès que les rois chrétiens seront de retour de vacances nous aimerions nous entretenir avec eux (

).
PS: le roi de Suède ne va pas être content d'avoir été oublié

Posté : dim. janv. 15, 2006 7:28 pm
par Aedan
*****Chronique des Espagnes*****
L'appel à la XIeme croisade
Si le royaume de Jérusalem avait été reconstitué, il n'en demeurait pas moins extrement fragile, le pouvoir Mamelouk n'ayant put etre brisé.
Le Nouveau Pape entendit les appel desespérés du nouveau roi de Jérusalem et ordonna à ses légats dans se rendre dans les cours d'europe et de précher une nouvelle croisade.
La Castille une nouvelle fois décida d'apporter tout son concour à cette nouvelle croisade. Certe Saint Alvaro da Luna n'était plus, mais la noblesse castillane était toujour aussi dévouée à défendre le saint sépulcre. Le Roi de France bien qu'étant déjà engagée dans des luttes intérieures décida d'apporter également tout le soutien de l'ost de la chevalerie française... le plus puissant d'occident.
Quand à l'archiduc d'autriche, privé de flotte, il dut se resoudre la mort dans l'ame à envoyer des subsides à Jérusalem.
Les Croisés Castillans se regroupèrent à Carthagène et ceux de France dans le port de Marseille.
Le plan était le suivant:
Les croisés Castillans débarqueraient à Alexandrie afin de frapper l'empire Mamelouk une nouvelle fois au coeur. Il faudra occuper toute l'Egypte, s'enparer du Caire et si possible capturer le Sultan pour le forcer à la paix.
Les Croisés français devraient eux débarquer en terre-sainte afin d'écraser les armées mamelouks de Syrie et de dégager ces régions des forces mulsulmanes pendant que les armées de Jérusalem devaient s'enparer des pricinpales villes d'orient.
La Campagne bien que fort longue se déroula sans incident. Les Castillans en Egypte défirent les armées Mamelouks et s'emparèrent du Caire et de la personne du Sultan. Il est à noter que ces croisées de Castille furent parfoit commandée directement par de grands féodaux Français dont les sciences de la guerre firent des merveilles. Combattant cote à cote, les croisés Castillans et Français fraternisèrent abondament dans leurs joie de défendre le royaume des cieux.
Finalement, le royaume de Jérusalem fut finalement agrandit de 3 provinces à savoir le Sinai, Acre et Beyrouth.
Cette XIeme croisade se terminait ainsi sur une nouvelle victoire éclatante de la Chrétienté. Les rois de France et de Castille se montrant désormais comme les principaux défenseurs de la foi Chrétienne.
Desastre en Terre-Sainte
L'emir du hedjaz voyait d'un trés mauvais oeil la montée en puissance du royaume de Jérusalem et lui déclara la guerre.
Le roi et les nobles de Jérusalem se sentirent assez fort pour affronter les forces musulmanes dans demander d'aide en occident et notament au roi de Castille, Suzerain thorique de Jerusalem.
Helas les forces de Jérusalem furent misent en déroute et le royaume occupé.
Heureusement les subsides versées par l'Autriche, la Castille et surtout une nouvelle fois par la France permirent au roi de Jerusalem d'acheter une treve au prix d'une rançon importante.
Mais cela ne devait permettre qu'un modeste gain de temps.
Quelques années plus tard, l'emir du Hedjaz franchit une nouvelle fois le Jourdain et Jerusalem une nouvelle fois n'appela pas l'aide de l'occident.
L'ensemble des forces de Jérusalem furent détruites dans un desastre comparable à Hattin. Cet fois l'Or d'occident ne permit pas d'échapper à la catastrophe et le royaume de Jerusalem du ceder toute les terres conquises au cour de la XIeme croisade
Posté : dim. janv. 15, 2006 7:49 pm
par Aedan
Réponse du royaume trés chrétien d'espagne au sultan Ottoman
Nous ne pouvons que constater le dynamisme de votre jeune empire et son extension récente en direction de l'Egype. Les ressources dont vous disposer sont à présent doubles de celle du royaume d'Espagne.
Sachez cependant que les souverains Catholiques d'Espagne ne compte pas abandoner Jérusalem et le saint Sépulcre pour lesquels plus de 100.000 de nos fils sont par le passé tombé et les millions de ducats dépensés pour la defense de la ville sainte ou repose aujourd'hui encore la dépouille du trés saint Alvaro de Luna, heros et croisé Castillan qui libéra Jérusalem.
Aujourd'hui et pour toujour, l'Espagne fera ce qu'il faut pour défendre la terre sainte et Jerusalem. Nous savons déjà pouvoir compter sur le soutien inconditionnel du puissant royaume de France qui fit tant pour les croisades par le passé, ainsi que par l'archiduc d'Autriche ainsi que nous l'esperons par le roi du Portugal et d'Aragon.
Vous essayez de semer la discorde au sein de la Chrétienté en mentionant Alexandrie car vous savez que cette ville est un des elements clefs de la défense de la ville sainte. Sachez cependant que la Chrétienté ne peut être qu'unie derriere l'espagne car l'eglise et les grands princes savent ce que fit et fera encore l'espagne pour la défense de la chrétienté en orient.
Alors pour conclure, nous préciserons que l'Espagne n'est pas hostile par nature à la négociation et qu'une certains nombres de choses pouront être discutés. Cela ne veut cependant pas dire que la Chrétienté et l'Espagne en particulier cederont à toutes les demandes.
Nous vous avons fait une nouvelle proposition, nous attendons avec impatience votre réponse.
Si l'Espagne devait devoir combattre à nouveau pour Jérusalem et Alexandrie, c'est par milliers que nos fils reprendront la croix comme le firent leurs pères et leurs grand-pères au cours des deux croisades précédentes....
Posté : lun. janv. 16, 2006 3:04 pm
par ric novice
Déclaration Suedoise
Le corps diplomatique representé par la famille des Ricsons n’est point outragé d’avoir été oublié dans les négociations autour du Royaume de Jerusalem et les revendications turcs sur la ville d’Alexandrie et le commerce generé par ce phare de la culture de l’egypte.
Bien que nous prions avec ferveur pour la sauvegarde de tous les chrétiens sur la terre natale du Christ et partout dans le monde, il convient d’être réaliste sur le poids diplomatique voir militaire que la Suède pourrait apporter à ce conflit
En effet notre humble royaume est confronté depuis 8 decennies à des attaques incessantes de nos turbulents voisins danois, norvegiens, et russes à présent
Et quand ce ne sont pas nos voisins les fauteurs belliqueux, ce sont nos alliés qui nous solliciste abondamment, en particulier le duché de Prusse, prompt à envoyer moults declarations de guerre.
A cette logique guerriere, la suède répond avec courage et honneur et les différentes guerres furent des plus heroiques par rapport à nos moyens.
Oui le peuple Suédois souffre de ses terribles voisins, et n’aspire qu’à la prosperité.
C’est pour cela qu’il serait indecent de la part du Royaume de Suède de prétendre apporter une solution ou bien prendre part à ce conflit qui se dessine.
Mais soyez assurer que dans chaque foyer de Suède, le vicking prira avec ferveur pour la venue de Dieu et son règne sur terre.
Posté : lun. janv. 16, 2006 3:14 pm
par lemarseillais
Aedan a écrit :
Nous savons déjà pouvoir compter sur le soutien inconditionnel du puissant royaume de France qui fit tant pour les croisades par le passé,
C'est bizarre je ne me souviens pas de cela. En tout cas je n'ai jamais tenu de tels propos ça c'est sur.
Mais bon j'imagine qu'il s'agit d'une faute de frappe et que le texte exacte était l'Eglise peut compter sur le soutien inconditionnel de la France.....pas l'Espagne.
Posté : mer. janv. 25, 2006 9:28 pm
par Danton
Sombre prologue
Février 1496. Un voile de ténèbres s’abat sur la chrétienté : l’ottoman attaque la République de Venise ! Or, le monstre lui a déjà pris la Crête, Corfou, Raguse, Istria, Ionia… L’ultime perversion va donc se réaliser : l’ignoble annexion de Venise par les infidèles

! Certains diront que les Vénitiens sont responsables de leurs malheurs : ne se sont-ils pas alliés jadis avec l’infidèle contre les justes croisés de Castille ? Ils ont été excommunié pour ce crime, mais doivent-ils tous payer pour la folie du Doge

?
Le Pape lance un vibrant appel au monde chrétien : les excommuniés vénitiens ne doivent pas tomber sous le joug ottoman ! Ils doivent retrouver la lumière divine au sein d’une grande nation chrétienne. L’Espagne très chrétienne est malheureusement embourbée dans des problèmes internes (rebelles…), la France fille de l’église fait curieusement la sourde oreille mais, heureusement, il reste l’Autriche, ultime rempart de la chrétienté.
Avec la bénédiction du Pape (« Sauvez Venise ! »), l’Empereur entre en guerre contre l’infidèle puis contre Venise, car celle-ci ne sera plus jamais désormais à l’abris d’un coup de main ottoman. Le Pape est un sage quand il affirme que la seule solution désormais possible, à cause de l’insatiable appétit ottoman, est d’intégrer Venise à une puissante nation chrétienne

.
La Croisade pour sauver Venise
Un conflit contre Venise pose un problème permanent pour une nation essentiellement terrestre : si une flotte bloque l’Adriatique, impossible d’atteindre la cité des Doges. Au nord, les armées impériales, à l’est les hordes infidèles avides de meurtres et de pillages. Au sud, en Adriatique, une flotte musulmane de l’Ak Koyunlu. Et, au centre, Venise, la ville condamnée par sa propre folie.
Fort de l’appui naval de ses alliés, le Sultan, qui a agit dans le plus grand secret et avec une immense fourberie

, croit la partie déjà gagnée mais, en avril 1496, la marine impériale d’Autriche crée la surprise en surgissant subitement en Adriatique ! Une dizaine de galères seulement, mise à flot tout récemment dans nos ports de Hollande et redirigés en hâte vers la méditerranée quelques mois seulement avant l’assaut du Sultan !
La bataille fait rage des heures durant, nos braves marins de Hollande rugissent inlassablement leur mot d’ordre « Alles voor Oostenrijk, Oostenrijk voor christus ! » et bondissent de ponts en ponts pour aller semer l’effroi chez l’ennemi, qui dispose d’une grande supériorité numérique, mais n’a pas la foi comme nos marins l’ont.
Et Dieu vient au secoure de ses fidèles : victoire ! Cette immense victoire navale nous offre aussitôt un avantage inestimable : nos armées peuvent fondre sur Venise alors que la Sultan, fou de rage, doit rester l’arme au pied en Istria

!
40.000 Italiens, nos alliés, se précipitent à sa rencontre… c’est une défaite. Pire, la flotte ottomane surgit à son tour ! Trois fois plus nombreuse que la marine impériale et, surtout, commandée par un amiral exceptionnel, la terrible Kemal Reis, maudit soit-il, elle a facilement raison de nos héroïques flamands

. Le contrôle de l’Adriatique est perdu et ne sera plus jamais récupéré de toute la guerre : heureusement, nos armées ont déjà établies le siège de Venise, qui avance plutôt bien.
Un nouvel assaut austro-italien est lancé en Istria, pour empêcher le fameux général Hadim Sinan de passer à Venise… C’est une défaite. Mais les soldats du Christ ne renoncent pas. Jamais. Dieu est avec l’Autriche, nous lutterons et nous vaincrons ! Hourra !
La bataille de la place Saint-Marc
Le Sultan finit par se décider et lance Hadim Sinan contre Venise. Le choc est terrible et de celui-ci dépendra l’issue de la guerre. Si nous échouons, Venise sera annexée par l’infidèle. La chrétienté retient son souffle mais, malheureusement, personne ne vient guère nous aider. Les Janissaires fous furieux hurlent comme des démons et se jettent contre nos soldats, épuisés et affamés à cause du blocus que les ottomans leur font subir depuis des mois. Hadim Sinan, de plus, est un général d’une grande qualité… nos armées fléchissent, la bataille est perdue et avec elle Venise la belle

! La chrétienté va perdre un de ses bastions à cause de l’inactivité totale de certains !
Alors que tout semble perdu et que nos soldats, terrifiés, se demandent déjà comment ils vont bien pouvoir rentrer chez eux, la flotte turque bloquant toujours les accès, des centaines et des centaines de civils vénitiens surgissent, entassés sur des gondoles : des femmes et des enfants principalement, les hommes ayant déjà depuis longtemps ralliés les rangs impériaux . Et tous de crier d’une seule voix : « Autrichiens, nous sommes Autrichiens ! Ne nous abandonnez pas entre les griffes du démon ! Vive l’Empereur ! Vive l’Autriche, notre pays !

».
Aaaah, les braves gens ! Cela redonne courage à nos héros, qui n’ignorent pas le sort terrible que les Janissaires infligeront aux vénitiens, catholiques et autrichiens comme eux : on resserre les rangs et on tient bon. Pour le Christ ! Rendu fou furieux par cette ultime résistance inattendue, Hadim Sinan se jette contre nos rangs et tente de démembrer à mains nues les officiers impériaux… Il est battu comme le chien qu’il est et retourne dans sa niche en gémissant

. Victoire !!! Miracle de la foi ! Dieu est avec l’Empereur ! Venise est sauvée !
L’infidèle se replie alors sur Mantoue, qu’il incendie avec haine : l’ottoman se promène en Italie du nord, déjà le Pape est menacé, et ravage tout sur son passage ! Mais une fois encore, seul l’Empereur vient au secourt du saint-père et des catholiques : ses armées investissent enfin la province d’Istria et établissent le siège de la province. Vagues après vagues, les infidèles se jettent contre nous, pour s’ouvrir un chemin vers Venise, toujours assiégée, mais les Impériaux tiennent bons.
Joyeux épilogue
Plus personne ne peut donc atteindre Venise la belle ! L’ottoman nous bloque grâce à son contrôle des mers, mais nous le bloquons grâce à notre contrôle des terres et le siège continue toujours. L’Ak Koyunlu se distingue par son fanatisme, envoyant hordes et hordes, comme un taureau fou, mais l’Empereur ne cède pas un pouce de terrain. Le Sultan, conscient de son échec, décide de tenter alors un ultime coup de poker : embarquer ses armées en Adriatique et les débarquer aussitôt directement à Venise, pour un nouveau choc de titans

.
Mais les derniers partisans du Doge fou capitulent enfin et les Vénitiens se jettent tous à plat ventre, implorant l’Empereur de les prendre sous sa protection

. Le Pape envoit un message sans équivoque : « Prenez Venise et gardez là, c’est sa seule chance d’échapper à l’infidèle ». Soit. L’Empereur n’ira pas contre la volonté du Pape et du peuple vénitien : Venise rejoint l’empire ! Hourra !
Le Sultan a été refoulé et, déjà, l’Istria va tomber entre nos justes mains de pieux croisé, mais Bayezid II préfère vassaliser la province avant sa chute… Encore une province catholique libérée de l’emprise ottomane ! Vive l’Autriche, vive l’Empereur ! Une paix blanche est rapidement signée avec le Sultan, il n’y a plus aucune raison de se battre.
Le Pape se rend à Vienne et décerne avec émotion le titre de ‘Champion de la Chrétienté’ à l’Empereur Frédéric V, une reconnaissance rarissime accordée seulement aux plus fidèles serviteurs de l’église catholique romaine. Elle avait été décernée pour la dernière fois, en 1450, au héros Castillan Alvaro de Luna, libérateur de Jérusalem, il y a plus de 50 ans

.
Les nations d’Espagne et d’Autriche ont désormais chacune leur champion de la chrétienté, une autre nation catholique suivra t-elle l’exemple de ces deux vertueux ? Ou les Habsbourgs resteront-ils à jamais les seuls vrais défenseurs de la Chrétienté ? L’avenir nous le dira...
Posté : jeu. janv. 26, 2006 11:52 am
par Touko
Au nom d'Allah,
Nos armées sous le commandement du beylerbey Sinan Pacha ont écrasé les armées de Mantoue, alliée de l'Autriche.
Nos troupes sont allé razzié jusqu'au environs de Piacenza.
Notre flotte commandé par le kapoudan Pacha Kemal Reis ont écrasé les radots autrichien.
Les victoires s'accumulaient, "allons jusqu'a Vienne la Grande!" s'étaient exclamé Sinan Pacha, grisé par la facilité et la faiblesse des armées qui lui étaient opposés.
Il fut ramené à la raison par les ordres du Sultan, c'est Venise que le Grand Maître veut! Vienne n'a que peu d'importance!
C'est ainsi que nos troupes durent embarqués pour débarquer à Venise et écraser les troupes autrichiennes qui y faisaient le siège.
Le débarquement fut opéré de nuit et au petit matin tout était prêt pour la bataille.
"Soldats Du Grand Maître, en ce jour vous ne combattrer pas pour le Sultan mais pour Allah! Songer à la gloire qui vous couvrira lorsque vous reviendrez dans vos foyers! Plus grande encore sera la gloire de celui qui sera mort pour repousser le territoire de Dieu!
Vous pourrez dire, oui j'y était à cette grande bataille de Venise!
Votre place au Paradis est Garantit!
Djihad! Djihad!"
Les premières heures de combat furent en notre faveur, les chrétiens térorisés par la fureur de nos troupes qui s'élançaient tels des lions fuyaient dans toute les directions!
Victoire!
Hélas nos troupes trop confiantes se ruèrent dans la ville elle même pour la pillée et déja ils se disputaient le butin.
les chrétiens voyant celà en profitèrent, le reste ne mérite pas d'être raconté...
Les armées du Grand Seigneur étaient pour la première fois défaites...
La mort dans l'âme Sinan Pacha ordonna la retraite...
Quelques jours plus tard après cette sinistre défaite la ville tomba dans les griffes autrichiennes alors qu'une puissante armée étaient rassemblé en Grèce, le temps nous avait fait défaut...
Venise était dorénavant autrichienne et il aurait fallu allé jusqu'a vienne pour en prendre possession.
Le Sultan signa la paix.
Sinan ne put que baisser la tête en présence de son maître.
Mais celui-ci ne lui en tint pas rigeur,
"Allons, fidèle serviteur, cesse de baisser la tête, relève là!
Nos troupes ont certes été vaincu à Venise mais c'est la volonté d'Allah.
Nous reviendrons et cette fois l'étendard de l'Islam floterra non seulement sur Venise mais sur Vienne...".
Posté : lun. janv. 30, 2006 9:22 am
par lemarseillais
Lettre royale à sa Sainteté Leon X
François Ier, fils de feu Louis XII, roi de France par la grâce de Dieu, à vous sa Seigneurerie salut.
Si je prends la plume, votre Sainteté, c'est que l'inquiètude gagne mes terres, gagne mes gens. Certains disent que le pape aurait des affinités particulières avec des maisons chrétiennes qu'il n'aurait pas avec d'autres, d'autres affirment que sa Sainteté a été acheté bon gré mal gré pour ses bienfesances, d'autres, encore, prétendent que vous vouez une haine à la France suite à l'ordonnance royale de feu Charles VII.
Evidemment, le roi de France n'accorde pas de crédits à de tels ragots. Toutefois, vos décisions ont suscité des incompréhensions...des inquiétudes graves, je le sens, pour l'avenir.
Descendant de St-Pierre, je vous le demande qu'est ce qui motive vos choix ?
Il y a un an encore, au concordat de Bologne, la France était heureuse de retourner dans l'obédience complète de la papauté en levant les effets de la Pragmatique sanction de Bourges. Et en réponse de nos actes, vous nous aviez promis un avenir radieux, vous nous aviez promis un tour de table pour l'affaire venitienne, vous nous aviez promis de ne pas mettre la France à l'écart des tractations qui faisaient cours entre les royaumes ibériques et vous-mêmes quant à une bulle spéciale leur octroyant des privilèges.
Et aujourd'hui rien ! Venise est toujours autrichienne sans autres explications de la part de l'archiduc que : c'est la volonté de sa Sainteté. Cela nous interpele au plus haut point car sa Sainteté, nous l'imaginons, n'a nullement la prétention de disposer du sort de terres, certes chrétiennes, mais sur lesquelles il n'a qu'une autorité spirituelle.
Et ce traité de Tordesillas ! Quelle infâmie pour les autres nations chrétiennes exclues de l'accord. Pourquoi ce qu'on appelle le Nouveau monde serait il réservé aux royaumes ibériques ? Est ce le Seigneur qui vous a inspiré ce dessein ? Est ce le Seigneur, tout-puissant, vivant et dirigeant le paradis, luttant contre les forces du Malin, et faisant régner paix et amour de par le monde, est-ce-lui qui serait venu un matin dans votre couche pour vous souffler à l'oreille :"je veux un traité de Tordesillas !".......évidemment que non. Ceci encore ne doit être que ragot colporté par votre entourage, mais au jamais, nous l'espèrons, tenu de la bouche même de sa Sainteté.
Quoiqu'il en soit nous attendons de votre part des mesures énergiques pour faire changer cet état de fait. Le royaume de France refuse de reconnaitre ce traité si il n'incorpore pas toutes les maisons chrétiennes désireuses d'y figurer. Je vous prie votre Sainteté d'hâter votre réponse car la maison de France se verrait obligé de promulguer une nouvelle ordonnance soustrayant l'Eglise de France de l'obédience papale. Nous ne voulons pas en arriver là, la preuve est le concordat de Bologne. Alors agissez je vous en prie, pour la paix entre les maisons chrétiennes agissez.
Je recommande votre Sainteté au Seigneur.
Posté : lun. janv. 30, 2006 9:35 am
par lemarseillais
Lettres royales au roi du Portugal
Cher cousin, vous êtes probablement au courant, comme moi, des tensions qu'il y eut entre des hommes de nos deux royaumes, loin par dela les mers, dans une région appelée Maderey.
Avant toute proclamation officielle, il convient de discuter paisiblement. Tout ceci n'est peut être qu'un malencontreux manque de communication.
En effet, depuis presque 10 ans, bien avant votre arrivée sur les terres voisines de Maderey, je faisais envoyer des missionaires à charge pour eux d'établir un comptoir commercial et d'entamer l'évangelisation des autochtones. Ce qui donc correspond exactement au même but que vous poursuivez, si j'ai bien compris la teneur de ce traité de Tordesillas.
Or je ne vous cacherais pa que la tâche fut difficile mais après des années d'efforts, et juste au moment de votre arrivée, les premières bases de ce travail furent posées. Pour être aussitôt détruit dans la furia des paiens....certains de mes hommes affirment que les protugais y sont pour quelque chose dans cela.
Evidemment j'accorde plus de poids à la parole de votre royale personne qu'à des hommes ivres trop souvent. Aussi, si vous m'assurez que jamais le portugal n'a voulu nuir à l'établissement français je vous croirais. Par contre, si vous me garantissais de cela, alors je me permets de vous demander de restituer à la France cette terre où nous avons produit tant d'effort. Car la manière dont vous vous l'êtes accaparée est fort déloyal et déshonnorante pour votre maison. Il est évident que la facilité de votre implantation s'explique uniquement par le long travail en amont que nous avions déjà réalisé nous français.
J'attends avec impatience votre réponse qui je n'en doute pas sera conciliante..finalement nous oeuvrons à la même chose tout les deux : l'extension de la vraie foi.
Je vous recommande au Seigneur.
Posté : lun. janv. 30, 2006 10:34 am
par LeRenard
Cher cousin Français ,
Nous ne connaissons pas de tension entre les hommes de nos 2
Royaumes, mais nous avons eu des nouvelle de cette région.
Il semblerait que de méchant payens y habitent et qu'ils se
montrent très agressifs.
Notre armée sur place nous a rapporté qu'ils se sont opposés
par la force a l'arrivée des marchants Français les dégustants
comme de vulgaire morceaux de viandes. brrrr effrayant n'est ce pas....
Nos hommes ont bien essayer de renvoyer en enfer ces mécréants
mais ils sont malheureusement trop nombreux et nos hommes
bien incapable de réduire a néant par la force leurs tribues.
Nous avons par contre établi un plan pour construire une petite
place forte sur la Côte que nos hommes pourrons défendre
pour la gloire du Christ. Nous pensons qu'il est préférable quue cela
soit au Portugal d^évangéliser cette région fortement peuplée de
sauvages, car la France ne dispose pas encore des relais dont
dispose le Royaume Portugais. Nous reconnaissons la puissance et
la Gloire Française, mais nous lui demandons de reconnaître que cette
région de l'Inde est sous notre influence. TOut comme nous lui reconnaissons
la propriété de sa colonnie somalienne pourtant placée sur les terres
attribuées par le Pape au Portugal.
Nous espérons que le ROi de France comprendra que le Portugal c'est
donné pour mission d'évangéliser les sauvages d'Inde et du Brésil.
C'est un voeux pieux. Notre ROyaume et le votre se sont toujours
montrés pacifique l'uhn envers l'autre, et même lorsque notre vassal
Toscans si peu chrétiens qu'il soit fut attaqué par vos troupes nous
avons acquiésé.
Alors veuillez croire en notre amitié sincère, et pour la gloire de Dieu
laissez au Portugal mener sa mission d'évangélisation en Indes et au
Brésil comme nous vous laissons maître de votre politique européene.
Nous sommes prêt a dédommager la France pour les pertes infligées
par les sauvages.
Cordiales salutations
Posté : lun. janv. 30, 2006 10:36 am
par lemarseillais
la France sous le choc
Moi, François Ier, roi de France par la grâce de Dieu, annonce avoir été accusé en personne par le roi d'Espagne d'hérétique.
Je ne puis supporté une telle humiliation. J'attends une réaction immédiate de sa Sainteté. J'exige des excuses officielles de la part de la maison d'Espagne.
Ceci est une affaire trés grave, l'honneur de la maison de France est en jeu. Si les excuses ne viennent immédiatement alors nous laverons notre honneur par la guerre.
Posté : lun. janv. 30, 2006 12:49 pm
par lemarseillais
A l'adresse du roi du Portugal
nous prenons actes de votre décision et aviserons donc de la meilleur position à adopter. Quoiqu'il en soit nous vous sommes gré de proposer une réparation pour le comptoir français détruit mais si cela n'est pas de votre fait vous n'avez pas à payer.
Concernant la colonie en Somalie, sachez que cela est une regretable méprise et que nous ne verrions aucun inconvénient à ce que vous la preniez. Nous ne comptons jamais rien en faire.
Concernant la Toscane nous n'avons fait que porter aide à nos alliés et n'avons rien pris à la Toscane, vous ne pouvez tenir de tels propos qui nous font passer pour une nation attaquant un de vos vassal.
Concernant le traité que vous a octroyé le pape, je vous rappelle qu'il n'est pas reconnu par la maison de France.
Concernant, enfin, nos relations futures j'espère de tout coeur qu'elles seront bonnes, comme deux royaumes frères, mais les événements récents, vos amis, tout ceci ne m'aménent que peu d'espoir.
Veuillez accepter mes salutations.
Le roi de France.
Posté : lun. janv. 30, 2006 6:26 pm
par lemarseillais
Déclaration de guerre
Le temps des excuses est révolus roi d'Espagne.
Posté : lun. janv. 30, 2006 7:52 pm
par Aedan
Sa majestée impériale était pour le moment fort occupée et ne pouvait répondre du fait de son jeune age.
Nous ferons prochainement une déclaration officielle.
Don Aedano de la Vega
Régent d'Espagne
Au nom de sa trés gracieuse majesté impériale
Karl V / Carlos V Habsbourg
Empereur du saint-empire Germanique.
Archiduc d'Autriche
Roi des Espagne
Posté : jeu. févr. 02, 2006 12:22 pm
par lemarseillais
Ordonnance de Reims, janvier 1417.
Par la grâce de Dieu roi des Francs, François fils de feu Louis roi de France, à vous tous salut.
Face à l'absence de réaction de sa Sainteté dans l'affaire importante pour laquelle nous l'avons personnellement sollicitée, nous décidons et avons décidé de rétablir la Pragmatique Sanction de Bourges en le même estat de choses. A savoir que le roi de France redevient le protecteur et chef de l'Eglise de France, qu'il pourvoit à la nommination du clergé de son Eglise, que la dîme restera entre les mains du clergé de France. Sa Sainteté garde la primauté sur les ordres monastiques implantés en France et sous sa direction, comme il peut solliciter audience ou conseil du clergé de France. Le clergé de France continuera a obéir aux conciles décidés par le pape ainsi qu'aux bulles pontificales si celles-ci ne vont pas à l'encontre de l'Eglise de France instituée et dirigée par nous.
Posté : jeu. févr. 02, 2006 12:38 pm
par lemarseillais
Missives royales
Au roi de l'Espagne salut,
cher Cousin mal-élevé nous sommes dans le regret de constater que vous n'accordez pas toute l'importance que vous devriez à l'affaire qui nous oppose. L'absence totale de réaction de votre part depuis à présent 3 semaines (3 jours réels = 3 semaines EU2) ne fait que renforcer l'immense colère que vous avez suscité chez mon peuple par vos insultes.
Nous nous voyons contraint de vous rappeler que les maigres pourparlers qu'il y a eu depuis notre déclaration de guerre ne représentent en rien une garantie contre celle-ci. En l'état des choses la guerre est plus imminente encore qu'il y a 3 semaines. Hâtez vous notre patience est déjà à saturation.
Posté : jeu. févr. 02, 2006 1:07 pm
par lemarseillais
Manuel d'histoire américain de 1998
La situation en Europe au début de ce XVIe siècle était tendu.
L'espagne devenait presque subitement la nation la plus riche d'Europe grâce à ses mines d'ors mexicaines et son union avec l'Aragon. Toutefois, elle n'était pas encore la grande puissance qu'elle allait être car ses armées étaient obsolètes face aux premières puissances d'alors. Aussi l'Espagne suscitait les convoitises et les rancoeurs chez l'EO à cause de l'affaire d'Alexandrie.
Affaire qui avait vu s'opposer les nations chrétiennes. L'Espagne pour des raisons obscures ne voulait surtout pas cèder le cot contre l'indépendance éternelle de jérusalem, préférant faire couler le sang dans une nouvelle croisade. L'Autriche penchait plus de cette avis comme le Portugal. La France se retrouvait isolée pour promouvoir une idée plus pacifique et plus juste à nos yeux aujourd'hui.
Mais la France d'alors était ce que sont les Etats-Unis aujourd'hui. Fidèle à son honneur de chrétien, la France laissa l'Espagne ne pas résoudre l'affaire d'Alexandrie. Evidemment, les rapports entre ces 2 nations devinrent moins bons. Jusqu'au jour où le roi d'Espagne insulta personnellement le roi de France. Refusant de s'excuser la France n'avait d'autre choix que de laver son honneur par la guerre.
Certaines nations, comme l'Autriche, laissèrent peser l'incertitude sur leur participation à ce conflit qui ne devait ête qu'un duel entre 2 nations. L'Espagne alarmée avait fait appel à tous ceux susceptible d'en vouloir à la France. L'Autriche en faisait partie. Il faut dire que la France s'était permis de faire remontrance à l'Autriche quant à son annexion de Venise, comme la France par la suite avait pris sous sa sauvegarde nombres d'états allemands que l'ogre autrichien avalait goulument en seulement quelques décennies. La France fit comprendre à l'Autriche qu'elle devait réfréner ses ardeurs. C'était un drame pour la France car elle aurait tant aimé vivre en paix avec ses voisins allemands mais devant les innombrables appels à l'aide la France se devait d'assurer son rôle.
C'est pour cela que l'Autriche soutint l'Espagne dans ce conflit contre la France. Et c'est ainsi qu'elle coura à sa perte. Car une fois l'Espagne vaincue, Madrid captive capitula. 5 ans plus tard la France fonçait sur l'Autriche par vengeance faisant éclater le nord de l'empire autrichien.
Posté : dim. févr. 05, 2006 3:25 pm
par lemarseillais
Le traité du Pardon
La France, insultée par le roi d'Espagne et de Sicile, Charles Quint, avait alors déclaré la guerre à l'Espagne puisque celle-ci ne formulait pas d'excuses. Mais après moults négociations le roi de France a accepté le pardon espagnol et annonce aux cours européennes la signature d'un traité avec l'Espagne.
Pour que les princes de ce monde puissent en être témoin, les termes de ce traité sont publiés et transmis à toutes les cours.
1- Ce traité durera jusqu'à la mort du roi d'Espagne Charles Quint. Il ne pourra pas être rompu par l'Espagne, la France dispose du droit de mettre fin à ce traité quand bon lui semble.
2- L'Espagne s'engage à ne pas déclarer la guerre à la France, à ne pas se retrouver en guerre contre celle-ci par le jeu des alliances, à ne pas porter les armes contre les armées ou les terres ou les biens français (colonies où qu'elles se trouvent).
3- La diplomatie française vis à vis de l'Espagne n'est en rien limitée par ce traité, néanmoins une déclaration de guerre du roi de France contre le royaume d'Espagne mettrait aussitôt fin à ce traité.
Le roi de France, François Ier engage son honneur sur ce traité.
** Précision technique: si nos deux pays se retrouvent en guerre par le biais de nos alliés ia, sans qu'aucun de nous 2 n'ait eu intention d'en profiter pour faire la guerre, si nous cherchons aussitôt à faire la paix, alors cela ne peut être considéré comme une rupture de traité.
Posté : dim. févr. 05, 2006 3:36 pm
par Aedan
Au nom de la paix entre la France et l'Espagne,
Nous Charles Habsbourg, roi des Espagnes sous le titre de Carlos 1er et roi de Sicile sous le nom de Carlo IV déclare apporter notre royal signature a ce traité proposé par le roi de France François 1er de Valois.
Ce traité sera honnoré tant que je gouvernerais l'Espagne et la Sicile. Il n'engage que les terres que je gouverne au moment de la signature de ce traité c'est à dire le Royaume d'Espagne et celui de Sicile ainsi que toute leurs dépendances directes.
Nous reconaissons également publiquement avoir fait insulte au roy de France en le traitant d'herétique.
Charles Habsbourg
Roi des Espagne
Roi de Sicile
Posté : lun. févr. 06, 2006 12:34 pm
par Touko
Au Nom d'Allah
C'est le coeur plein de tristesse que je m'exprime, notre Grand Sultan
Selim Yavuz est mort, que le Dieu l'accueille au paradis et le comble de mille bienfaits.
Ce grand conquérant, l'égal de notre grand Sultan Mehmed Fatih, que Dieu le garde, à oeuvré pour la grandeur de l'Islam, à oeuvré pour la propagation de la foi triomphatrice partout ou elle était menacée.
Des montagnes de la lointaine perse, jusqu'au steppes de crimée, des désert de l'arabie aux cataractes du Nil, des montagnes du caucase aux forêts des balkans en passant par les îles grecques de méditéranée, voilà jusqu'ou s'étend notre grand empire grâce a Dieu et son serviteur...
Il a fait ployé le genou au Sophi de Perse, agenouillé le descendant de Gengis Khan, écrasé le khan turkmène de l'ak konyoulu, rendu humble l'arrogant tzar de russie...mais Allah à décidé qu'il était temps pour lui de bénéficier d'un repos légitime et il a rapellé son fidèle serviteur.
Il laisse un grand empire qui s'étend sur 3 continents à son succésseur et fils, Suleyman...
Ce jeune Sultan, à la haute stature, au regard grave et à l'esprit vif, sera t-il de la même trempe que ses illustres ailleuls...
qu'Allah guide les pas de son fidèle serviteur car il n'y à qu'avec l'appui du Très Haut qu'on peut réussir...

Posté : mar. févr. 07, 2006 5:16 pm
par LeRenard
Dans un plais de la Côte portugaise
Le Roi du Portugal finissant de lire une copie du traité du pardon....
- Le Roi d'Espagne céde ainsi aux demandes Françaises et s'engage
jusqu'à sa mort à ne pas guerroyer contre le Roi de France. Voilà, une
grande victoire française, les nobles autrichiens doivent être heureux.
Ce traité risque fort de changer passablement de choses dans la
carte politique de notre beau continent.
- Mon conseiller ??
- Oui Monseigneur ?
- Convoquez sur le champs l'Ambassadeur français, il est temps pour
nous d'avoir une petite conversation.
Posté : dim. févr. 12, 2006 5:59 pm
par lemarseillais
Information diplomatique
Le puissant royaume de France fait savoir qu'il a décidé de placer le royaume de Pologne sous sa protection.
Quiconque s'attaquera à la Pologne sans raison légitime, et cela jugez par nous, provoquera automatiquement une réaction militaire de la France.
Posté : jeu. févr. 16, 2006 11:49 am
par Touko
Les étendars Turcs de retour...
Round 1: la campagne de Hongrie
Le plan est le suivant:
à l'est Soliman avec 20.000 hommes se dirigera vers Maros en passant par la Serbie et Banat.
à l'ouest Gazi Husrev avec 30.000 hommes foncera sur Pest.
intercalé entre les deux ailes de l'armée ottomane, Bali avec 40.000 hommes.
Le 21 février 1939 les armées impériales passent la frontière hongroise.
elles défont rapidement les armées hongroises d'une technologie dépassée...
Début avril Gazi Husrev assiège Pest et lance l'assaut, en quelques heures la garnison est écrasée et la ville prise...
De son côté Soliman plante sa tente à Maros, Le Padichah à la tête de ses troupes pènètrent dans la ville et à midi l'appel à la prière retentit dans la ville...
Un prisonnier hongrois nous apprend que les forces réunies du Roi d'Autriche
et de Hongrie campent à Magyar.
Soliman envoi sur le champ un messager transmettre ses ordres à Gazi Hursev qui se trouve encore à Pest; le choc aura lieu à Magyar dans quelques jours, le temps que Bali resté en retrait rejoigne le
Padicha à Maros.
Le 1er aôut les armée de Bali et de Soliman se rejoignent...
à marche forcé les armées ottomanes arrivent dans les plaines de Magyar
le 15 aôut, 60 000 turcs vont affronter 80 000 austro-hongrois...
La victoire doit être rapide car Soliman aprend qu'une colonne autrichienne de 40 000 hommes arrive...
Soliman harangue ses soldats, promet de sombtueuses récompenses
aux troupes, et se met à la tête des troupes de Roumélie.
Gazi Hursev à la charge des troupes de l'anatolie.
Bali commande 10.000 sipahi et timariotes auquels s'ajoutent
des mercenaires serbes et valaques.
La mélée est furieuse, Gazi Husrev recule mais tient bon tandis que
Soliman transperce le centre du dispositif autrichien et Bali inflige
une cinglante défaite aux hongrois.
La mélée finale s'engage le 16 août après la grande prière du matin.
Les akinci et les azab forment les premières lignes et chargent les autrichiens.
Les sipahi, timariotes et cavaliers serbes tounoient sur les arrières autrichiens.
Les janissaires forment un carré autour de la tente de Soliman.
Les irréguliers turcs seront repoussé avec de grandes pertes des 2 côtés,
Soliman présser, ordonne à Bali de charger les arrières du dispositif autrichien tandis que les janissaires chargeront de front.
Le plan du Padichah est exécuter, le sol gronde, l'éclats des cimeterres innonde la plaine de lumière, le sifflement des flêches se fait entendre jusqu'en orient, les canons tonnent, l'herbe se teinte de rouge...
L'Aga des Janissaires tue le général autrichiens, ses hommes rompent leur formation et se débandent tandis que pour les hongrois toute retraite est impossible, ils sont encerclés et taillés en pièce!
le corps de Lajos, roi de Hongrie sera retrouvé dans les marais.
Les ottomants sont maître du terrain et s'empressent d'assiéger la capitale du royaume hongrois,
les dignitaires de la ville conscients de la situation catastrophique dans lasquelles ils se trouvent confient les clés de la ville au Padichah et ouvrent les portes aux étendarts turcs!
La hongrie a cesser d'exister! Mais le Padichah dans son extrème générosité se contente de 3 provinces
et place un noble, Janos Zapolaya sur le trone hongrois, vassal de la sublime porte.
La campagne de Hongrie est terminée mais la guerre contre les Habsbourg ne fait que commencer..
Posté : dim. févr. 19, 2006 12:18 pm
par Aedan
***** Chronique du royaume d'Espagne *****
Le roi d'espagne Carlos 1er Habsbourg avait été obligé en 1517 à signer au nom de l'espagne un humiliant traité imposé par François 1er de France. De son vivant Charles Habsbourg renonçait à toute guerre contre la France pour ses terres d'Espagne et de Sicile.
Mais en 1519, Charles Habsbourg devenait également archiduc d' Autriche et empereur d'Allemagne à la mort de son Grand-père l'empereur Maximilien.
Décidant de rester à Vienne, sa majesté impériale nommat le duc Aedano de la Dos comme 1er ministre et régent de ses terres ibériques et sicilienne.
La Conquete de l'empire Inca
L'Espagne rassembla en Argentine à Buenos Aires des forces formidables, plus de 50.000h dans l'objectif de réaliser la conquete. Ces forces furent rassemblées en deux armées de conquete commandé par Les généraux Cortez et Pizzaro.
Les deux colonnes Espagnoles franchirent le plateau Bolivien avant de déboucher sur la cote pacifique. Pizzaro effectua la conquete du Chilie vers le Sud tandis que Cortez se portant vers le Nord réalisa la conquète du Perou. Repoussant des horde de milliers d'incas, les forces Espagnoles ne furent jamais en difficulté, les villes incas étant systématique prisent d'assaults. Finalement en une année de campagne, Cortez et Pizzaro avait reussi la Conquete du formidable empire Inca.
Le royaume de Chimu fut également écrasé mais non annexer en dehord d'une riche province aurifère.
Partis d'Argentine, esPizzaro et Cortez ateignirent enfin la Colombie et le port espagnol de Carthagena
L'Offensive turque sur la Hongrie. La France honte de la Chrétienté
1539, le Sultan Soliman lance ses hordes immondent sur le pauvre Royaume de Hongrie.
La Conquete sera fulgurante et la Hongrie rapidement détruite.
Sa majesté impériale Charles Quint entra imméditament en guerre pour tenter de sauver la Hongrie. Mobilisant toute les ressources Habsbourg, les armée Impériale et Autrichienne entreprirent de lutter avec acharnement en Hongrie.
Mobilisant également ses forces d'Espagne, la Flotte Espagne forte de 180 galères débarquèrent 80.000 Espagnols devant Constantinople. Lançant imméditament l'assault, la prise de la ville échoua d'extreme justesse.
Mais le but principal fut atteind, Soliman Abandonna l'offensive en Hongrie pour degager Constantinople. Soliman infligea une terrible défaite aux Espagnols dont l'armée pourchassé fut quasiment anéhentie.
Les terres d'Espagne augmentèrent leur effort de guerre. Les impots furent porter à leurs maximum et 100.000h furent levé en Castille en en Aragon et une nouvelle offensive fut lancé sur Constantinople. Celle-ci échoua à nouveau et Soliman du à nouveau quitter la Hongrie pour degager sa capitale.... les pertes espagnoles furent terribles et les survivant rejeté à la mer.
Mais la determination de la régence d'Espagne de porter secour à l'Empereur de faiblit pas, malgré une inflation qui s'embale (+4% en 3 ans), 100.000 Soldat furent à nouveau levé dont cette fois une puissante cavalerie qui avait fait dfault jusqu'a présent dans les plaines de Thrace. Dans moins d'une semaine, 130.000 Espagnols débarqueront à nouveau à Constantinople tandis qu'une nouvelle vague est déja en préparation en Espagne pour lancer une vaste offensive sur l'Egypte.
Le but étant de deborder les capacités defensives et finacière de l'Empire Ottoman et le forcer à relacher sa pression sur l'Autriche...
Mais le monstre Français devait à nouveau montrer sa perfidie la plus extreme. Montrant que la France heberge bien l'antéchrist sur son sol, que ses rois sont maudits et lache... sans srucpules et sans foi en jesus Christ le sauveur du monde... Le roi de France entra en guerre contre l'empire dans l'unique but d'aider ses amis turcs à écraser, détruire la turquie et réduire des millions de Catholique de Hongrie à l'Esclavage sur les galères turques, castré dans les palais de Constantinople ou servir forcée dans ses armée de Janissaire.
Le monde sait à présent que la France est sans foi et sans honneur. Mais le monde Chrétien s'en fout... il existe une désafection totale pour des notion de bien et de défense de la foi.
Le diable est en france, habite son roi et ses gouvernants.
La France exige que la régence d'Espagne fasse la paix avec ses amis turcs afin que Soliman puisse esperer tuer autant de catholique Autrichien que sont déjà mort des Catholiques Hongrois.
La régence d'espagne obéira aux ordre venu de Vienne, venu de son empereur.
Sa sainteté le pape, allié des Habsourg et de la régence d'Espagne a déjà lancé une excomunication générale sur le royaume de France, son roi et ses habitant tant qu'ils ne renverseront pas le gouvernement et la dynastie diabolique qui les gouvernent.
La France est jetée au banc de toute la Chrétienté. Que son roi se circoncise et se convertisse à l'islam.... il n'est plus digne de se prétendre Chrétien!
Don Aedano de la Dos
régent d'Espagne
Au nom de sa majesté impériale Charles Quint Habsbourg
Posté : dim. févr. 19, 2006 2:10 pm
par lemarseillais
Chroniques de St Denis
La France coloniale
Alors que le roi François Ier n'était monté sur le trône de France que depuis 2 ans, il frappait un grand coup diplomatique en soumettant l'Espagne à un traité spécial qui accordait à la France une totale libertée d'action vis à vis de l'Espagne.
C'est que notre nouveau roi s'intéressait fortement à ce qu'on appelle le Nouveau Monde. Déjà les ibériques et les anglais envoyaient des centaines de colons par-delà les mers. Le royaume de France, premiere puissance d'Europe, se devait de faire partie de cette aventure.
En 1525, le grand roi acheta les services d'un navigateur florentin, Verrazano. Ce dernier partit de Dieppe avec un équipage normand et 15 caravelles, dont La Dauphine armée par son ami Jean Ango. Soutenu avec vigueur par le roi de France, l'explorateur découvrit de nombreuses terres en Amérique du Nord, pour la plupart battant déjà pavillon anglais. Cette nouvelle attrista le roi de France qui somma Verrazano de poursuivre les recherches et de trouver des terres vierges.
Cette obstination porta ses fruits. Des terres au Mexique, aux Antilles, au Canada furent découvertes. Le roi fit envoyé moults colons acquérir ces terres au nom du royaume de France. Mais ce qui demeura être le plus beau triomphe de la France fut l'annexion de terres indiennes. Les indiens sont des indigènes, quasi nus, armés d'arc et de fléches qui vivent en troupeau comme vivent nos bêtes. Ils s'appelaient entre eux Iroquois et les Lenapes. La conquête des terres indiennes étaient un grand pas pour le christiannisme car aussitôt le roi de France envoya de nombreux missions pour évangéliser ces autochtones.
La France ne faisait qu'assurer son statut de fille de l'Eglise.
La catastrophe de 1539 : conséquence de l'affaire d'Alexandrie
Il n'est pas en général pas besoin de rappeler l'affaire célébre d'Alexandrie. Néanmoins nous en dirons quelques mots qui permettront aux générations futures de mieux saisir l'état des choses en 1539. Le béni roi de Castille, ami de notre royaume, qui avait libéré Jérusalem des chaines musulmanes, avait également par la même occasion capturé la puissante cité antique d'Alexandrie. Cette prise avait alors suscité beaucoup d'interrogations mais fidèle à nos amis espagnols d'alors le roi de France n'avait rien dit.
Il faut dire qu'il s'agissait de terres musulmanes. Evidemment si la Castille, puis l'Espagne, avait fourni des efforts pour convertir cette terre nous aurions compris la raison de cette capture. Mais ce n'en était pas le cas. Et nous craignions alors que la sauvegarde de Jerusalem soit menacée à court terme par l'Infidèle qui réclamait Alexandrie comme sienne.
Malheureusement nos craintes se révélèrent exactes. Dans la dernière partie du 15e siècle, les ottomans menacèrent ouvertement Jerusalem.
La suite arrive.....
Posté : dim. févr. 19, 2006 2:17 pm
par Aedan
L'Espagne fournit tout les efforts necessaires. Alexandrie est désormais une des plus grandes villes catholiques du monde, se plaçant juste derriere Paris.
Les Habsbourgs combattent les Musulmans. Alavaro de Luna, saint de Castille et libérateur de Jerusalem est toujour enterré dans le saint Sepulcre.
La France pays diabolique, anti-catholique et bientot musulman n'est plus cette fille ainée de l'Eglise, mais une vielle catin tombée dans le vice et la luxure et qui copule avec les mahométans des que l'occasion se présente.
La France, bannie de la Chrétienté, excomuniée par le Pape, responsable du massacre et de l'asservisement de millions de catholiques en Hongrie n'est plus à meme d'etre écoutée et de faire entendre sa voix au sein de la Chrétienté.
La Maison des Valois demeurera à jamais souillée, son sang est maudit et nous conseillons aux grandes familles d'europe de ne plus offrir ses princes et princesses à une famille aussi décadente, diabolique et vicieuse...
Posté : mar. févr. 21, 2006 7:48 pm
par Danton
L’Autriche face à son destin
Acte I. Les ténèbres déferlent sur le champion du Christ
1539, de sombres nuages s’accumulent au-dessus de l’Europe : le Malin avance ses pions. L’Empereur, rempart de la chrétienté, est aussitôt investi par le Seigneur d’une mission sacrée : il faut sauver la chrétienté

! Le premier coup viendra du nord : les vikings déferlent sur la pauvre Pologne… Avec la bénédiction de la France, état perfide, qui avait poussé la duplicité jusqu’à garantir officiellement, à la face du monde, l’intégrité territoriale de la Pologne ! Voilà ce que vaut la parole du Roi de France : RIEN

! Danzig est dérobée, seul l’Empereur a le courage de protester devant cette infamie.
Le diable poursuit alors son sinistre plan, puisque la première partie a si bien réussi : l’empire ottoman agresse sauvagement la catholique Hongrie ! Sans hésiter un seul instant, le Sauveur autrichien se précipite et les armées impériales franchissent la frontière, bien décidées à repousser la marée maléfique

.
La très catholique Espagne se croise aussitôt et entre en guerre à nos côtés… mais la France, état perfide, nous attaque dans le dos ! Le coup de poignard du traître converti à l’Islam

! Le viking du nord suit le mouvement, l’Europe chrétienne tremble : le berger des âmes est son dernier espoir. Vive l’Empereur !
Acte II. Les marées montantes et descendantes
Le choc des titans a lieu devant Buda : l’arrivée inopinée d’une colonne de renforts constituée de 40.000 autrichiens fait pencher la balance dans le camp des justes : plus de 70.000 impériaux luttent pour le bon droit contre moins de 20.000 infidèles menés par le Sultan ! Mais le Malin a trop bien préparé son coup sournois, l’innocente brebis est lacérée, égorgée… :( La Hongrie disparaît. Les trois malfaisants ont réussi leur coup : dépouiller le paladin béni ! Dieu les punira comme il se doit.
Le peuple élu contre-attaque de toutes ses forces et écrase les Suédois au Holstein, Bremen, Mecklenburg et Danzig. Nos frères d’Espagne lancent alors l’assaut contre Constantinople l’impie, ce qui permet à nos armées d’avancer dans les Balkans : tout va pour le mieux, sauf en Hollande, où nous reculons en bon ordre devant les Français

.
Notre élan se brise alors contre la multitude ignoble de nos ennemis perfides : nos frères Ibériques sont décimés en Thrace, le boucher Soliman revient alors dans les Balkans et pulvérise nos preux. Pire, la France, état perfide, vient au secoure du viking du nord, en grand péril : Guise nous chasse de Bremen et Meclenburg, mais subi une magistrale défaite devant Danzig

, tout comme les Suédois après lui : Dieu est avec nous, nous lutterons et nous vaincrons !
Acte III. 1543 – 1544. L’Empire contre-attaque
Nos frères Ibériques signent la paix avec l’infidèle, condition exigée par le très musulman Roi de France pour retirer son pays de la guerre : et il ose encore se prétendre chrétien après ses dernières actions

? Plus personne n’est dupe et les premières mosquées apparaissent déjà en région parisienne. On raconte que le peuple de France pourrait bien se soulever contre cette infamie, mais la vengeance divine sera pire encore

!
Nos armées repartent fièrement au combat et infligent une hallucinante série de défaites à nos ennemis : les Suédois sont écrasés en Allemagne, Bremen, Meclenburg et, mieux, Danzig tombent entre nos justes mains ! Par deux fois, Soliman le perfide tente de traverser le Danube au Pest, chaque fois nos violents assauts de cavalerie le rejettent de l’autre côté du fleuve : le monstre ne passera pas

!
A un contre deux, nos héros rivalisent de prouesses et tous peuvent sentir le vent de la victoire, mais l’ennemi mobilise massivement, la guerre ne fait que commencer. Des dizaines de milliers de bons Hongrois, persécutés par l’infidèle, rallient nos armées, gonflant nos rangs. Mort à l’infidèle, mort à ceux qui nous agressent, mort aux ennemis de Dieu !
Acte IV. 1545 – 1547. L’Archange Gabriel sauve la capitale impériale
Après quelques nouvelles, mais éphémères, victoires dans les Balkans, nos armées sont débordées par une offensive de très grande ampleur des ennemis de Dieu : les hordes maudites déferlent, l’Istria et Steiermark tombent, mais Soliman est sèchement battu par nos paladins de lumière devant Vienne l’étincelante. Un maigre répit.
Au nord, la marine impériale d’Autriche subit une lourde défaite, qui brise net le rêve autrichien d’invasion de la Suède, pays duquel jaillissent sans cesse de nouveaux vikings : à 10 contre 1, ceux-ci finissent par avoir raison de notre résistance à Danzig et le siège de la ville commence

. Seigneur, n’abandonne pas ton fidèle serviteur ! Abat ton bras vengeur et dévaste les hordes impies qui traquent les brebis de Dieu !
L’infidèle revient devant Vienne et lance l’assaut : les portes de la capitale sont enfoncées, la chrétienté va succomber… Apparaît alors l’Archange Gabriel ! « Vienne tu ne prendras pas ! L’Empereur est le champion de lumière ! Retourne dans ton trou ténébreux, impie ! ». Terrorisé, Soliman prend la fuite, violement poursuivi par 30.000 Autrichiens qui viennent de surgir sur ses arrières ! Dieu est grand ! Ce miracle galvanise nos hommes et un groupe d’audacieux vient mettre le siège… devant Constantinople elle-même !
Le sournois Soliman utilise alors toute sa ruse maléfique pour duper nos cœurs purs : il parvient à isoler le gros de l’armée impériale au sud est du Danube et, cela fait, détruit tous les ponts puis se précipite comme un rapace sur Vienne, phare de la chrétienté

. L’assaut est donné, les portes de la ville sont à nouveau enfoncées, seuls 400 braves résistent encore et refusent de céder : Dieu viendra nous sauver

!
L’Archange Gabriel surgit une nouvelle fois et ouvre les flots déchaînés du Danube devant nos pieuses armées, qui se lancent aussitôt au combat : Soliman est écrasé, victoire

! Dieu a sauvé la capitale impériale, une fois encore. Miracle de la foi, Ferdinand écrase exactement au même moment 35.000 Suédois devant Danzig ! Le vent de la Fortuna a tourné, le Malin a échoué.
Acte V. 1548 – 1550. Ultimes coups de butoirs des vikings du nord
Le sournois Soliman arrive à temps pour sauver Constantinople, mais se heurte ensuite à nos inflexibles paladins : il est à nouveau écrasé au Pest et ne peut empêcher la reprise du Steiermark. Un statut quo va dès lors s’installer sur ce front, où restera néanmoins stationné jusqu’à la fin près de 70.000 Impériaux prêts à tout pour défendre la mère patrie, mais l’ottoman ne reviendra plus à la charge, la guerre s’achève de fait sur ce front dès le mois de février 1549.
Le viking du nord, lui, n’a pas encore dit son dernier mot : il nous assaille au Bremen, où nous le taillons en pièce, mais non sans y laisser quelques plumes, reprend brièvement le riche Mecklenburg avant d’en être à nouveau chassé et repousse une fois encore la petite mais courageuse marine impériale d’Autriche. Après tous ces carnages arrive l’incroyable : 50.000 Suédois débarquent ! A Vienne, c’est la stupéfaction : comment ce petit pays désertique a-t-il pu lever une telle armée après 12 années de guerre

?
Visiblement, le viking du nord est aussi déterminé et fanatique que l’Empereur

… mais il lui manque l’appui de Dieu (et de ses alliés

), qui vient en aide à son champion éternel : les Impériaux sont vainqueurs, l’ennemi est écrasé et traqué impitoyablement. L’ultime assaut Suédois a échoué : les vikings n’ont pas repris pied sur le continent !
Acte VI. 13 années de guerre
La Suède se rend à l’évidence et, le 28 décembre 1550, cède Bremen et Mecklenburg à l’Autriche, gardant ainsi Danzig pour elle, objectif impérial avoué pourtant : après 13 années de guerre, il fallait en finir et l’offre du viking était juste et bonne, nous ne pouvions la refuser, même si cela ne correspondait pas à nos désirs

. Une paix blanche suit rapidement avec l’empire ottoman et la paix revient enfin : les campagnes de l’empire sont ravagées, nos coffres sont vides, les rebelles saccagent nos provinces malgré tous les efforts de nos loyaux alliés, mais Dieu ne nous abandonnera pas : IL nous a donné la victoire, IL nous apportera une prospérité nouvelle, nous n’en doutons pas un seul instant et LE prions toutes les heures.
« Comment cela s’appelle t-il quand le jour se lève et que tout est saccagé, que l’air pourtant se respire, qu’on a tout perdu, que la ville brûle et que les innocents s’entretuent ? »
« Cela a un très beau nom, cela s’appelle l’aurore »
(Sophocle, Électre)
