Bon...
J'ai lancé une partie en HoI Classique. Pas trop d'industrialisation, par peur d'un manque de matières premières.
Travail techno intensif, notamment en communications et doctrines.
J'ai tenté de soutenir par corps expéditionnaires les républicains espagnols, mais j'ai fini par les abandonner à leur sort. Les nationalistes ont gagné, mais j'ai pu en les travaillant par la diplo éviter que leur alignement ne soit trop "fasciste". Par contre, j'ai échoué à empêcher Hongrie et Bulgarie à se jeter dans les bras du Reich.
La guerre commence en mars (ou avril...) 1939, suite à l'attaque Italienne sur l'Albanie.
Trop tôt, je suis en plein réarmement moi. Seuls mes escadrilles de D-520 sont prêtes, bien que trop peu nombreuses.
Ainsi que trois divisions blindés de Hotchkiss H-39 (Char moyen I-75mm)
Par contre, je me suis fourvoyé niveau infanterie et en regardant le comparatif (F6), je me rends compte qu'il faut que j'abandonne mon attitude qualitative (divs+brigades) ainsi que la production de chasseurs et surtout bombardiers en piqué Loire-Nieuport pour accroître sacrément mes effectifs... :(
Les brits (event de sphère d'influence) choisissent donc de réagir. J'étais pas trop pret, ca ne m'arrangeait pas. J'espérais arriver à Rome et à tout le moins pupetiser l'Italie avant septembre.
Raté. Objectif un peu trop optimiste vu mon absence -pour le moment- de supériorité numérique.
Une fois le printemps installé et mes premières nouvelles divisions prêtes, je lance l'offensive: objectif = percer à Genoa, remonter le long du Pô vers Venise (boulot des divisions blindés) vers Venise pour encercler l'armée Italienne. Tout celà marche, même si c'est long, trop long (ah ce que j'aurais donné pour quelques divisions motorisées/mécanisées...).
Sans oublier la résistance et les contre-attaques des Italiens encerclés (avant que la nasse ne soit fermées, ils ne se sont pas laissés faire dis-donc!).
Hélas, la victoire n'est complète que fin aout. Le plan a échoué: il faut ramener au moins la moitié des forces vers les frontières du Nord, la tension est grandissante avec le reich. Par conséquent, le front Italien se fixe à Bologne (les Italiens sont aidés en celà par le terrain montagneux et l'épuisement des troupes Françaises après tant de semaines de marche et de combats.).
Septembe, la guerre avec l'Allemagne. Heureusement, les Belges m'avaient accordé l'accès militaire début 1939, ce qui m'a permis de préparer mes positions.
La Pologne a tenu trois mois, puis les boches se sont ramenés. Ils déclarent la guerre contre la Belgique début 1940 et quelques semaines plus tard, se lancent à l'assaut de la Belgique.
Les combats sont terribles dans la province de Bruxelles et à Arlon, mais nos soldats, se battant vaillament; avec tout le courage de leurs pères, réussissent à repousser l'assaillant, avec de très lourdes pertes pour ce dernier. (le bilan n'est pas rose pour nous non plus. Ca plus les pertes contre l'Italie... je dois arrêter de renforcer l'armée, le MP ne suit plus. Heureusement, je suis dans un rapport 2 pour 3 seul face à l'Allemagne. Et le Royaume-Uni est derrière!)

Servants d'un canon antichar, pendant la bataille de Belgique.
Leurs ardeurs calmées, les Allemands rentrent dans leur soi-disant Reich de mille ans.
