Le Quartier Général

J’ouvre ce topic pour nos parties Age Of Wonders 2 Shadow Magic


Partie du 20 juillet 2011, trois joueurs s’affrontent :


Introduction

Riri, Maître des Archontes et de la magie du feu, le côté lumineux.

Samara, Maître des Humains et de la magie de l’eau, la neutralité.

Danton, Maître des Ombres et de la magie de la mort, le côté obscur


Le choix des camps se faisant en secret, c’est au final une surprise de voir les trois alignements représentés et cela aura d’immenses conséquences. Trois magies bien différentes aussi.


Tours 1 à 20 Combats contre les indépendants et les batraciens tout vert de Samara

Mes débuts ont été assez prudents, remplis de combats contre les indépendants. Une première grande victoire fut la conquête d’un village humain indépendant, rapidement amené sous la botte des ombres (déportation de la population humaine et colonisation par les ombres ). Le Dantonisme fête sa victoire sanglante avec la construction d’un sanctuaire dédié à l’esprit de la magie. J’ai trouvé que ce choix s’imposait au niveau RP (oui, on peut aussi en faire dans ce type de jeux ) : la compétence de mon mage des ombres, le Danton , était en effet « Erudit », tout bêtement. Je ne sais si c’est un choix avisé, de fait il fut peu utile, mais il a dicté certains de mes choix. Une première traque des Infidèles me fut confiée et aussitôt réalisée, ce qui m’a fait gagner un bouclier magique (quête mineure réussie)

Arrive ensuite le temps des bourdes . Un assaut contre une bête fontaine de pouvoir, indispensable pour combler mon déficit de plus en plus criant en mana, se solde en désastre : les trois molosses des enfers me coûtent trois unités, dont mon meilleur héros… (saloperie de combat auto, en manuel cela ne serait jamais arrivé ). Quasi au même moment commence l’invasion verte : des batraciens arrivent de partout, menés par le prolifique Samara, qui pond ses grenouilles à un rythme affolant . Plus on en tue, plus il en vient.

Le Danton, pris d’une malvenue inspiration, envoi alors ses troupes massacrer quelques nains qui gardent une taverne : un soudard Elfe à moitié ivre, Lemarseillais, ravi de voir sa lourde note payée par les ombres, accepte de me rejoindre. Stupide erreur, les heurts se multiplient : un Elfe au milieu des ombres, cela fait tâche . L’ingrat trahit, une fois de plus, et déserte puis prend d’assaut la fontaine de pouvoir si chèrement payée . Le mécréant est aussitôt passé par les armes , mais les 125 pièces d’or payées pour sa note sont perdues à jamais.


Tours 21 à 40. Les capitales tombent les unes après les autres

Des nouvelles arrivent alors de l’est : les humains, assiégés par les armées des Archontes, profitent d’un moment d’inattention chez leurs assiégeants pour contre-attaquer et balayent tout sur leur passage. La résistance des Archontes de Riri « à la boule de feu facile » est cependant prometteuse : Paladins, Vengeurs et Légionnaires se battent solidement, mais les humains de Samara ont le don de transformer déroute en victoire. Et celles-ci s’enchainent à un rythme soutenu : la « simple » contre-attaque devient rapidement raz de marée qui balaye tout sur son passage

L’esprit de magie confie alors une nouvelle mission d’éradication des Infidèles au Danton, qui sort ses troupes et traque longuement les fuyards, finalement rattrapés et à nouveau éradiqués (réussite d’une quête moyenne, gain un bouclier supplémentaire, complètement inutile car confié à mon Seigneur). Mais le hasard de cette longue course-poursuite a amené les ombres plus près que prévu du domaine Samarien. Une nuée de batraciens qui court partout et dans tous les sens attire l’attention du Danton : le nid ne doit pas être loin . Une mission d’exploration est menée, quand des nouvelles arrivent de l’est : la déferlante Samarienne a tout balayé sur son passage, le Haut Seigneur Riri, Maître des Archontes, disparaît de la surface de la terre !

Panique à Umbria, la capitale Dantonienne des Ombres : avec le domaine de Riri entre ses mains, les humains de Samara vont prendre un rapide et irrésistible ascendant. Mais la mission d’exploration tombe alors sur la capitale Samarienne et l’assaut est lancé ! Les ombres et reine araignée se jouent des murailles, le Champion des humains, boosté par magie, est mis hors de combat d’entrée de jeux, emprisonné dans les toiles robustes. Un voile d’ombre s’abat en outre sur l’ensemble du champ de bataille : la nuit éternelle recouvre la capitale des humains, les ombres sortent de partout, renforcées par l’obscurité omniprésente : les Dantoniens pulvérisent l’opposition et s’emparent de Samaria, la capitale des humains !


Tours 41 à 60. De friables conquêtes

Victoire éblouissante qui permet de tout équilibrer, mais rien n’est encore joué : le Haut Seigneur Samara a retrouvé une tour de mage, celle de Riri. En outre, alors que l’esprit de l’ordre de la capitale conquise confie au Danton la mission de conquérir une autre ville Samarienne plus à l’ouest, Minas Tirith, faiblement défendue, les Ombres trainent : d’abord déporter la population humaine puis repeupler avec des ombres, puis s’emparer des fontaines de pouvoir ennemies, visiter les arènes etc etc. Grave erreur.

Car durant tout ce temps, les Samariens recrutent comme des fous dans Minas tirith, sortant troupes sur troupes (construction accélérée, bien joué , mais quel est le coût ?). Mais l’est Samarien se révolte : les Archontes de Feu Riri refusent l’oppression humaine et reprennent leur indépendance !

Ce mouvement de révolte généralisée est une aubaine pour les Dantoniens, qui se décident enfin à bouger : Minas Tirith est prise d’assaut, mais au prix de lourdes pertes cette fois (A noter, un remarquable « 14 » de dégâts infligés par mes ombres en un seul coup ). Duellistes et baliste s’en sont donnés à cœur joie. En outre, des hordes de batraciens déferlent et ne font que précéder une solide armée humaine, menée par le Haut Seigneur Samara lui-même (chassé des villes conquises aux Archontes par les partisans de Riri, merci à eux ).

Alors que le mouvement de déportation était quasi achevé dans Minas Tirith, les Ombres Dantoniennes doivent évacuer pour se précipiter à Samaria : l’arrivée in extremis de ces renforts détourne l’armée humaine de sa cible mais Minas Tirith se révolte et repasse indépendante. Les Samariens s’en emparent…

Commence alors une nouvelle course contre la montre. L’œil du Danton a perçu le danger et des renforts quittent Umbria, à marches forcées. En outre, on recrute dans Samaria. Les humains, de leur côté, ramènent les troupes victorieuses du combat contre les Archontes, mais ce sont des troupes désormais vaincues : tout le royaume Ririen s’est révolté. Minas Tirith ne disposant pas de tour de mage, ni de lourdes infrastructures militaires, les Samariens sont en sursis et les Ombres ne l’ignorent pas : alors que les humains viennent camper devant Samaria, les Dantoniens restent confiants, malgré l’échec de la course contre la montre : les renforts des Ombres sont encore loin alors que ceux des humains sont arrivés. Mais Samaria produit…

Le Haut Seigneur Samara et son plus grand héros, Khaan, tentent alors une ultime manœuvre : un défi. Prendre Samaria d’assaut était suicidaire, mais un combat en rase campagne… Fiers et intrépides , les Dantoniens relèvent le défi et quittent leurs murs protecteurs : le destin des terres du Milieu va se jouer, au 60° jour de la guerre.

Les Samariens cependant manquent cruellement d’unités lourdes, Khaan excepté (une terreur, trois artefacts sur lui… ) et ne résistent pas aux Ombres du Danton. Curieusement, tout comme les arbalétriers humains se sont particulièrement distingués lors des combats contre les Archontes, ce ne seront pas les unités les plus puissantes des Ombres qui se distingueront le plus, mais bien les Danselames, redoutables guerriers (unité de niveau 2 cependant).

Aux généraux Dantoniens revient l’honneur de transpercer le Haut Seigneur Samara , qui sombre à son tour dans le néant : victoire au 60° jour de guerre ! Les Ombres du Danton dominent toutes les terres du milieu , le côté obscur l’a emporté !


Merci à Riri et Samara pour cette partie, qui s’est réellement jouée à pas grand-chose. Riri a été perdu par le timing, j’ai été au contraire bien sauvé par un bon timing



C'étaient les chroniques Dantoniennes des Terres du Milieu

Merci à Riri et Samara pour cette partie, qui s’est réellement jouée à pas grand-chose. Riri a été perdu par le timing, j’ai été au contraire bien sauvé par un bon timing

Et dire que le bien aurait pu triompher si simplement je ne m'étais pas planté d'un ou deux hex.

Je ferais les chroniques de la prochaine partie de mon coté, il me faut des screens sinon je suis perdu.

Mais partie très sympa avec le Maître Danton et Samara, faut remettre le couvert !

Superbe résumé Danton .

Sinon mes 3 principales erreurs auront été une :

-D'avoir trop attendu pour lancer mes unités lourdes, j'ai constamment reporté leur production estimant mes villes pas encore prête pour en supporter le cout, grave erreur. La venue de l'armée de Danton prématuré a causé ma perte.

-Avoir négligé de monter une armée au nord, et surtout, avoir privilégié les défenses des mes villes annexes plutôt que ma capitale. Je pensait naïvement que Danton allait attaquer les cités les plus faibles d'abord .

-Négliger l'armée Dantoniste, et ses unités spéciales comme les ombres qui sont redoutables pour les sièges. J'aurai du m’adapter et changer ma défense.

A charge de revanche

En même temps, je n'ai pas vraiment choisi d'attaquer plutôt ta capitale: c'était tout simplement la première ville sur laquelle je suis tombé

Et quand tu m'as balancé un nuage pestilentiel sur mon armée, je me suis dit que tu devais avoir usé ta magie donc j'ai foncé et voilà (au final, tu avais encore des réserves magiques, mais bon, l'assaut fut un succès, le reste importe peu )

Vous faites toutes les batailles en automatique?

Les batailles contre les indépendants uniquements

Ce qui entraine des résultats parfois fort déplaisants

Les combats entre humains sont en automatique uniquement si le rapport de force penche trop fort en faveur d'un camp (l'autre capitule alors automatiquement) ou, si j'ai bien vu, si les forces impliquées sont trop réduites.

Tout le reste est en manuel

Je fus un simple spectateur des grosses batailles Samara/ Riri, mais c'est plus sympa de pouvoir assister à ces batailles que de rester à attendre (en outre, cela apporte des infos très utiles )

Partie ultra jouissif ce soir. Merci Danton .

La victoire des deux frères ennemis, le dantonisme et le samarien contre la bete terrible et ses lutins cheatés.

J'ai tout relancé juste pour avoir le plaisir de pouvoir passer sur le QG et poster à mon tour mon immense satisfaction

Quelle grandiose victoire nous avons remporté

L'alliance des Samariens-Dantoniens a vaincu, nous pouvons à présent aller profiter du sommeil du Juste

ha, vous avez de la chance que j' ai été retenu ailleurs

je vais remettre de l' ordre dans tout ça et fissa

Partie du 21 juillet


Trois joueurs une fois encore.

Samara et ses Halfelins, magie de l’eau

Danton et ses ombres, magie de la mort

Pitiver et ses Syrons, magie de la vie


Le sandwiche Dantonien

Un début difficile pour moi : des sorts initiaux complètement pourris et, surtout, j’ai rapidement compris, en effet, que je me trouvais juste au milieu de la carte, avec Pitiver au nord et Samara au sud. La carte étant en outre minuscule (nos demandes d’utiliser une carte plus grande se sont heurtées à la même réponse que pour le choix de la magie de base, des constructions de base ou des combats contre une unique unité en automatique ou non : « C’est ainsi et pas autrement » ), la prise en sandwiche était inévitable.

Et très vite ce qui devait arriver arriva : l’armée des ombres était coincée. Certes, une ville indépendante avait été repérée à l’ouest, Dax, mais les Pitiveriens s’en étaient emparés avec une armée conséquente constituée en outre quasi exclusivement d’unités aériennes, contre lesquels les ombres ne pouvaient rien faire et, pour ne rien arranger, une puissante armée Halfeline campait au sud d’Umbria, guettant la sortie de l’armée des ombres . La situation était bloquée : les Dantoniens pouvaient battre une armée ennemie, mais avec des pertes telles que l’autre allait automatiquement débouler et s’emparer d’Umbria. L’absence de sorts de conjuration n’aidait en outre pas vraiment pour augmenter la taille de l’armée.


L'offensive intrépide

Mais si les Pitiveriens semblaient trouver, au nord, bien des villes pour se développer, les Samariens, eux, semblaient aussi dans l’impasse que les Dantoniens et au final, désabusés, ils levèrent enfin le siège d’Umbria pour marcher contre Dax. Les Syrons leur tombèrent dessus avec leur horde d’unités volantes et la magie Halfeline échoua à les ramener de force à terre pour équilibrer la bataille. Ce fut un désastre, à l’issu duquel il s’avéra surtout que ni les Samariens ni les Dantoniens n’avaient encore envie de combattre , lassés qu’ils étaient par les incessantes exigences et manœuvres sournoises des Pitiveriens.

Le Danton, excédé, se lança alors à son tour, l’armée de siège Halfeline n’étant plus : direction le nord et la capitale des maudits Pitiveriens . Cette offensive surprise et éclaire cloue l’ennemi sournois et le prend complètement au dépourvu : la capitale n’est que maigrement défendue, essentiellement par des fées invoquées et des lutins astraux. L’assaut est lancé tambour battant : les Dantoniens n’ont aucune unité lourde à opposer aux redoutables lutins (unité de niveau 3), mais ils sont ingénieux, bien commandés et surtout très tenaces … Les coups pleuvent et les rangs ennemis s’éclaircissent, mais les lutins tombés se relèvent et reprennent le combat ! Mauvaise surprise. Les Pitiveriens crient victoire, plus orgueilleux que jamais, mais ils ne connaissent pas encore le Dantonisme Universel et Triomphant

Les Danselames épuisés repartent à l’assaut, les généraux Dantoniens chargent et refusent de retraiter : lentement mais surement, les lutins astraux mordent une fois de plus la poussière, définitivement cette fois. Le Haut Seigneur Pitiver lui même est fendu en deux, sa mort scelle le sort des Pitiveriens (pas d’autre tour de mage pour le recueillir). La victoire est acquise ! Survient alors l’incroyable : quelques fées survivantes refusent d’admettre la défaite et partent se cacher dans les clochers de la ville, où elles plantent l’étendard des Syrons. Faute de disposer de tireurs, d’unité aérienne ou de magie, les Dantoniens ne peuvent éradiquer ces indésirables, qui prennent grand soin de ne surtout pas attaquer, étant complètement dominés et vaincus par les Ombres du Danton. Et le temps passe, passe et passe encore. Pitiver vaincu garde ses fées dans son clocher et attend, attend et attend encore .

Ecoeurés, mais ne voulant pas y passer toute la soirée, les Dantoniens Victorieux, Maîtres de la capitale à l’exception de ces clochers, se replient, incrédules : une victoire qui leur est volée. Pitiver le Sournois récupère sa tour et amène des renforts en hâte. Les Dantoniens Vainqueurs tentent un nouvel assaut mais, faute de disposer de soins, arrivent avec une armée épuisée : le repli est aussitôt décidé.


L'implacable alliance des Justes

Les Pitiveriens se vantent encore et encore, font les paons sans comprendre que leur sort est désormais scellé : Samariens et Dantoniens se réunissent en secret et font le serment d’achever la Bête ignoble. Une alliance est scellée et les hordes se précipitent à nouveau au nord. Les Pitiveriens massent leurs troupes, notamment des lutins astraux (6 unités, qui vont ressusciter chacun une fois… ) et se taisent soudainement quand ils comprennent que l’assaut sera commun

La ville maudite voit arriver du nord la cavalerie Halfeline, menée par le Haut Seigneur Samara en personne , qui n’a pas hésité à quitter sa tour de mage pour apporter le soutien de sa magie à l’assaut, de l’ouest les Danselames et archers des Ombres, du sud les veuves noires et archers Dantoniens encore : Umbria a été vidée de ses archers. Samariens et Dantoniens ne disposent d’aucune unité lourde capables de s’opposer aux innombrables lutins, mais ils ont mieux : une Détermination Implacable . Unis comme les doigts de la main, ils avancent sans trembler : les murailles ennemies ? Les unités lourdes adverses ? Les résurrections des lutins ? Tout cela sera brisé, démantibulé, exterminé ! Rien ni personne ne pourra les empêcher de danser ce soir au-dessus du corps démembré du Haut Seigneur Pitiver . Le Sournois a scellé son sort.

Et les hordes s’élancent, implacables. Soutenus par la magie de deux Hauts Seigneurs, les assiégeants compensent leurs faiblesses par leur détermination sans faille : l’ennemi recule. Les uns après les autres, les lutins astraux succombent aux coups meurtriers des Danselames Dantoniens ou des cavaliers Halfelins. Les Ombres de l’aile ouest sont les premiers à prendre position sur les remparts et, surprise, les Syrons loin de les contre-attaquer, exécutent une sortie massive contre l’aile sud Dantonienne. Le Sournois espère sans doute que Samariens et Dantoniens en viennent désormais aux mains pour le contrôle de la ville : quand ils se seront entretués, les troupes sorties reviendront prendre les murailles d’assaut.

Mais le Fourbe doit rapidement déchanter : les archers Dantoniens criblent de flèches les lutins qui s’opposent encore à la cavalerie halfeline, le Haut Seigneur Samara cible de sa magie les Syrons qui assaillent l’aile sud des ombres. Celle-ci, moins puissante que l’aile ouest, finit par succomber et les Syrons se précipitent alors sur cette dernière, renforcés par les lutins ressuscités. La boucherie reprend, mais pas un seul flottement dans les rangs des assiégeants pourtant dépourvus d’unités lourdes : ils avancent, déterminés et résolus . Et les rangs ennemis s’éclaircissent de plus en plus, les lutins décapités ne reviennent plus d’entre les morts.

Le général en chef des armées Dantoniennes abat enfin son glaive vengeur sur le cou du Haut Seigneur Pitiver, qui sombre à nouveau dans le néant, mais tente une fois encore de nier sa défaite : ses derniers lutins prennent la fuite et courent de gauche à droite, refusant le combat, refusant d’admettre la défaite . C’est sous-estimer dangereusement la détermination des Samaro-Dantoniens : la traque se met en place et les Danselames des ombres poussent devant eux les lutins paniqués, qui viennent s’écraser directement sur les cavaliers Halfelins, qui ont habilement refermé le cercle mortel. C’est la curée, les derniers Pitiveriens sont jetés à terre et dépecés : VICTOIRE !

Les Terres du Milieu sont libérées de ces fourbes sans scrupules ! Samariens et Dantoniens fêtent joyeusement la victoire, le triomphe de l’honneur, de la détermination, du courage et de la vertu contre la sournoiserie mesquine

Magnifique compte rendu encore une fois.

La bataille a durée plus de 25 minutes, des effectifs plétoriques d'un coté, avec le sournois qui disposait d'unités lourdes et de l'avantage énorme de la muraille et du placement , et nous de notre courage, et nos sorts.

Le sournois a attaqué l'aile faible de ton dispositif, mais a affaibli son centre pour cela, une fois les dancelames et archers dantoniens dans la place, ça été un carnage.

ps: la cavalerie halfeling est très bof. Des roublards auraient été plus utiles, mais bon , j'ai fixé ses troupes pendant que danton menait la charge, ca me suffit.

Je connais mal les halfelins, mais j'aurais tendance à approuver, avec un bémol: dans un siège, les roublards sont sans doute meilleurs, mais pour une bataille rangée, les cavaliers doivent être préférables. A tester

La sortie du Sournois fut une grosse faute je dirais: une fois positionnés sur les remparts, mes archers ont pu réaliser des cartons... Les assiégeants qui tirent du haut des remparts sur les assiégés en bas, c'était un renversement de situation très amusant