L’arrivée en Angleterre de la 8th USAAF va redonner aux bombardements stratégiques une vigueur nouvelle, sans commune mesure avec tout ce qui avait déjà été fait pour le moment : vagues après vagues, les B-17 américaines et leurs homologues anglais déferlent sur le Reich. La Luftwaffe tente bien de faire front, mais elle est rapidement débordée : après le premier assaut, il n’y a plus de chasseur au-dessus du Reich et les Alliés peuvent revenir achever le travail lors d’une seçonde vague particulièrement meurtrière

Pour faire bonne mesure, les Anglo-Américains lancent une violente offensive en Italie : Leeb est taillé en pièce et part rejoindre Rommel en Allemagne pour se retaper (encore un quartier-général détruit, c’est l’hécatombe

Bilan du tour en Europe
De très maigres avancées, mais une saignée pour l’économie allemande (environs 90 BP perdus, les plus lourdes pertes jamais subies en un tour depuis le début de la guerre

Le problème majeur reste que l’armée rouge a pour le moment un caractère beaucoup trop peu offensif, faute de moyens (le bonus perdu pour Léningrad et Moscou non contrôlé se fait cruellement sentir. L’aide des ploutocrates a été accrue, mais pas assez, l’Angleterre reçoit plus des USA que l’URSS : les occidentaux se méfieraient-ils du camarade Staline ?) : peu de bombardiers, aucun blindés, les assauts se font à la baïonnette et par vagues humaines. En Italie, rien de décisif, et les Alliés doivent préparer Overlord à présent. Les bombardements stratégiques par contre ont permis d’obtenir des succès non négligeables.
A suivre : les batailles de la mer du Corail et de Midway
