Au printemps, je vais quelquefois m'asseoir à la lisière d'un champ fleuri.
Lorsqu'une belle jeune fille m'apporte une coupe de vin , je ne pense guère à mon salut.
Si j'avais cette préoccupation, je vaudrais moins qu'un chien
Le château de Bonaguil est un des derniers châteaux forts construits. Il est bâti sur un éperon calcaire qui domine d'une trentaine de mètres le confluent de deux étroites vallées, sur un affluent de la Thèze. Il présente la particularité de ne pas être sur une position stratégique : le château ne défend pas une ville, ni le passage d'un fleuve, ni une vallée importante ou une route commerciale.
Sa construction débute au XIIIe siècle, puis il est entièrement repris à la fin du XVe siècle et au début du XVIe siècle par le baron Bérenger de Roquefeuil qui lui ajoute tous les perfectionnements défensifs du Moyen Âge finissant. Il intègre à partir de 1480 les derniers perfectionnements de la défense au moyen de l’artillerie tant pour utiliser celle-ci que pour s'en prémunir : imposante barbacane couvrant l'accès au château, canonnières par dizaines tant dans les tours que dans les courtines, chambres de tir casematées (« voûtées ») à l'abri des boulets adverses et permettant des feux bas et rasants, « moineau » casematé interdisant toute circulation au fond du grand fossé, terrasses d'artillerie étagées au pied du corps de place qui constituent autant d'enceintes successives à forcer, aménagement à des fins défensives d'une grotte naturelle située sous l'éperon rocheux.
À son achèvement vers 1510, il apparaît cependant obsolète.
visité aussi. Il a beaucoup plus à madame, sauf l’accès au sommet du Donjon: peur du vide et tremblement, j'ai cru que je ne la redescendrai jamais .
Moi, dès qu'il y a un château, j'suis comme un gosse
Le château de Bonaguil est un des derniers châteaux forts construits. Il est bâti sur un éperon calcaire qui domine d'une trentaine de mètres le confluent de deux étroites vallées, sur un affluent de la Thèze. Il présente la particularité de ne pas être sur une position stratégique : le château ne défend pas une ville, ni le passage d'un fleuve, ni une vallée importante ou une route commerciale.
Sa construction débute au XIIIe siècle, puis il est entièrement repris à la fin du XVe siècle et au début du XVIe siècle par le baron Bérenger de Roquefeuil qui lui ajoute tous les perfectionnements défensifs du Moyen Âge finissant. Il intègre à partir de 1480 les derniers perfectionnements de la défense au moyen de l’artillerie tant pour utiliser celle-ci que pour s'en prémunir : imposante barbacane couvrant l'accès au château, canonnières par dizaines tant dans les tours que dans les courtines, chambres de tir casematées (« voûtées ») à l'abri des boulets adverses et permettant des feux bas et rasants, « moineau » casematé interdisant toute circulation au fond du grand fossé, terrasses d'artillerie étagées au pied du corps de place qui constituent autant d'enceintes successives à forcer, aménagement à des fins défensives d'une grotte naturelle située sous l'éperon rocheux.
À son achèvement vers 1510, il apparaît cependant obsolète.
Au printemps, je vais quelquefois m'asseoir à la lisière d'un champ fleuri.
Lorsqu'une belle jeune fille m'apporte une coupe de vin , je ne pense guère à mon salut.
Si j'avais cette préoccupation, je vaudrais moins qu'un chien