Tour 4/30.
Un, puis deux chasseurs de chars fascistes tirent sur le peloton JMLO, mais leurs obus tombent à côté. Les nôtres répliquent :
Image saisissante d'un perforant capturé en plein vol à 700m/s, à moins de deux mètres de sa cible :
Un char fasciste de moins !
Les échanges de tirs se poursuivent au gré des lignes de vue, les tanks ennemis se déplaçant. C'est un peloton de 6 chars qui est repéré là-bas, au nord, à 900m. Peloton disparate, puisque sont identifiés 3 chasseurs de chars (Marder ?) dont un liquidé, 1 Pz III (certain) , 1 Pz IV (certain) ainsi qu'un dernier blindé jugé comme étant un second Pz III.
Maintenant, nous savons que l'ennemi a panaché ses forces : chasseurs de chars, Pz III, Pz IV. Au moins.
Qu'affrontons-nous ? Le PZ IV a déjà été étudié, encore qu'il est fort possible que nous n'ayons pas affaire à ceux équipés d'une plaque de surblindage, intéressons-nous aux comparatifs T34/Marder et T34/Pz III. Bien sûr, les chasseurs de chars ne sont pas formellent identifiés comme des Marders, mais c'est le plus probable. Sinon quoi d'autre ?
T34/Marders :
L'ennemi est clairement très fragile. Nous le transperçons à n'importe quelle distance. Il permet par contre à Jag de s'équiper de moult 75mm à 46 calibres, mortels pour nos T34, et ce à moindre frais. On peut donc s'attendre à croiser un paquet de ces bestioles. Par contre leur optique est signalée comme pas terrible, ils peuvent donc largement louper leurs coups à longue distance, ce qui vient d'être fatal, nous l'avons vu, à un de leurs représentants.
T34/Pz III, ici étudié dans sa version J.
Blindage de 70mm en tout, mais très peu incliné, canon de seulement 50mm mais à 60 calibres. A engager plutôt autour 500m, sa puissance de perforation ne peut presque rien contre nos T34 (en étant optimiste) au delà de cette distance et notre 76mm commence à lui faire mal à cette limite. Par contre lui a de bonnes optiques à l'inverse du Marder. En dessous de 500m son tube devient franchement dangereux. Au delà de 500m, par contre, nos perforants n'entameront pas sa cuirasse. La distance d'engagement idéale est donc dramatiquement réduite.
Une petite partie de l'OOB ennemi est donc maintenant repéré. A nouveau l'heure est à la manœuvre, même si les échanges de tirs avec le groupe ennemi nord ne sont pas totalement terminés.
