en Russie, ça ne s'arrange pas.
Dans le nord, Timonchenko a subi une défaite mais les finlandais n'exploitent pas.
Le golfe de Finlande a été le témoin d'une bataille navale, largement remportée par la flotte allemande, aidée par l'aviation finlandaise.
Les sous-marins allemands ont aussi infligé des pertes supplémentaires à nos transports dans le port de Tallinn.
Heureusement, Pskov a tenu (de justesse) ainsi que Vitebsk.
Nos corps en fuite n'ont pu être rejoints par les avants-gardes allemandes comme nous l'espérions justement.

Dans le sud centre, la progression est tellement rapide que 3 PzK allemands se trouvent un peu au delà de leurs lignes de
ravitaillement, au nord de Kursk dont la garnison a tenu in extremis.
Moghilev est tombée mais Bryansk a tenu bon.
Plus au sud, la chute de Gomel a permis l'encerclement de 3 corps perdus au milieu des marais du Pripet, avec quelques partisans polonais.

Dans le sud, Chinisau est tombée et interrompant provisoirement tout mouvement vers l'est, les forces de l'Axe sont descendues pour isoler et attaquer Kherson.

Dans le nord, un semblant de front commence à se mettre en place.
Vatutin a quand même décidé de tenter de garder une liaison terrestre avec Léningrad mais il peut encore changer d'avis.
Nos tranports ont finalement pu débarquer le corps à l'ouest de Tallinn mais réduit à un seul step (au lieu des 2 à
l'embarquement), le corps est perdu en cas d'attaque (au moins, j'ai retrouvé 7 de mes 8 PP utilisés pour l'embarquement).

Le front de Joukov, lui, va de Kalinin à Ryazan et Tula; c'est lui qui reçoit le gros des renforts.
Notons que dans la poche du Pripet, un corps mécanisé encerclé inflige 1 perte et fait reculer un corps allemand.

Aucun renfort envoyé encore ce tour mais Konev vient de prendre le commandement d'un corps mécanisé, embryon de sa future armée pour l'hiver.
Et le général Popov (+1 en défense) vient d'arriver à Sébastopol.

En Egypte maintenant, la totalité de nos renforts navals est arrivé et nos renforts terrestres at aériens seront bientôt à pied d'oeuvre.
Les italiens ont fait venir un corps mécanisé supplémentaire.
On va donc faire du bombardement côtier à notre tour car la situation navale s'est totalement retournée.
En prévision du bombardement côtier qui doit avoir lieu, le DD australien est envoyé faire un sweep ASW sur zone.

Il n'en a même pas le temps car il tombe en plein sur un sub italien (2 pertes partout) et se replie derrière notre propre sub.
Afin de sécuriser le plus possible le passage pour les cuirassés, le second DD est envoyé un peu plus à l'ouest pour faire un second sweep ASW.
La chance est avec nous, le sweep permet de détecter le second sub italien mais celui-ci plonge à temps et évite l'attaque.
Nos BB peuvent alors bombarder le mécanisé italien (2 coups).
Pendant ce temps, tous nos renforts aériens ont débarqué ainsi que le mécanisé canadien.

Au large de la pointe du Finistère, le convoi de 29 pts a été totalement détruit, comme prévu.
Notre SAC a répliqué mais encore une fois, le sous-marin a plongé à temps.

La bonne nouvelle, c'est qu'avec 4 Uboats identifiés ici plus celui opérant en mer Baltique, il y a peu de chance qu'il y
en ait un 6ième et donc l'océan Atlantique est libre.
Du coup, nos destroyers pour la plupart légèrement endommagés abandonnent les transports de troupes et repartent vers les
ports anglais pour réparation.
Quant aux transports, ils filent pleine vitesse vers le sud, hors de portée des Uboats visibles.
Un garnison est également embarqué pour le sud mais doit d'abord faire un crochet par le nord pour s'éloigner des subs.
