Nabulio a écrit :[
Sur chaque pion il y a trois jauges, respectivement rouge, bleue et verte.
La première représente le capital humain, les troupes composant l'unité (représentée par les cœurs sur les rapports de bataille), la seconde la cohésion (Représentée par le quadrillage et la croix noire dans les rapports), la troisième le ravitaillement.
Merci pour les encouragements à continuer.
Pour ce qui est du jeu proprement dit, j'ai l'impression que cela commence à s'équilibrer, il commence enfin à concentrer ses forces, derrière des cours d'eau qui plus est, le front risque de se figer à l'Est comme au Tennessee. C'est pourquoi j'attends beaucoup du débarquement à Savannah pour l'obliger à envoyer des pompiers éteindre l'incendie (pendant que Butler file pour débarquer ailleurs gnark gnark gnark)
Je me joins au concert des félicitations sur son AAR, Nabulio, qui est vraiment dans la même veine que le précédent.
J'ai l'impression que ton adversaire a un bon moment mené une guerre statique et purement défensive, avec pour mot d'ordre Wait and see. Je ne suis pas certain que ce genre de stratégie soit payante.
"On commence par dire: cela est impossible pour se dispenser de le tenter, et cela devient impossible, en effet, parce qu'on ne le tente pas", Charles Fourier.
"Personne, par la guerre, ne devient grand", Yoda, L'Empire contre-attaque.
Pas de retour de mon adversaire depuis lundi alors que je n'attends qu'une chose, c'est le tour suivant pour voir l'effet de mon débarquement et pouvoir continuer le mouvement...
EDIT: j'aurai du me plaindre avant, je viens à l'instant de recevoir son mail.
Franchement Nabulio j'ai pas une expérience totalement satisfaisante avec les jeux Ageod
malgré un intérêt certain ............
Mais tu donnes envie de replonger dedans !
Juste une question comment gère t'on dans ce jeu les renforts et les remplacements ?
(pas de boite du diable ? )
SOL INVICTVS
Au printemps, je vais quelquefois m'asseoir à la lisière d'un champ fleuri.
Lorsqu'une belle jeune fille m'apporte une coupe de vin , je ne pense guère à mon salut.
Si j'avais cette préoccupation, je vaudrais moins qu'un chien