On To Paris.
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- Calimero
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Re: On To Paris.
Ton adversaire semble un peu avoir baissé la bras... Cela dis rien qu'avec l'erreur de vierville sur mer la partie est quasi fichu pour lui non? :(
« Il est deux catégories de Français qui ne comprendront jamais l’histoire de France : ceux qui refusent de vibrer au souvenir du sacre de Reims ; ceux qui lisent sans émotion le récit de la fête de la Fédération. »
Marc Bloch
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Re: On To Paris.
dans un wargame ,le résultat "aux points" est un artifice !
ce qui compte c'est de prendre Paris ou de ne pas perdre la Virginie !
ce qui compte c'est les objectifs que l'on se donne !
pas d'obtenir le "highscore"
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Lorsqu'une belle jeune fille m'apporte une coupe de vin , je ne pense guère à mon salut.
Si j'avais cette préoccupation, je vaudrais moins qu'un chien
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Re: On To Paris.
Oui enfin quand on joue à un jeu, on en accepte les règles dès le départ. ici, comme dans les HPS, comme dans tous les wagames, ce sont les points qui font le vainqueur : d'où leur nom : points de VICTOIRE.
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Re: On To Paris.
Je sais pas on verra bien. C'est sûr que pour lui ne pas avoir vu l'importance de Vierville est une sacrée boulette, mais moi je l'ai laissé s'enfoncer fans le bocage à l'ouest de Caen d'un autre côté. Il a manqué de réaction sur ce tour aussi à Pegasus Bridge, sortir ses commandos d'élite de ce mauvais pas était peut-être jouable.GA_Thrawn a écrit :Ton adversaire semble un peu avoir baissé la bras... Cela dis rien qu'avec l'erreur de vierville sur mer la partie est quasi fichu pour lui non? :(
On ne peut de toutes façons encore rien dire, on a joué 10% de la partie, c'est trop tôt.
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Re: On To Paris.
Y a eu des erreurs des 2 cotés, mais c'est assurement ton adversaire qui a fait les plus grosses boulettes : avance incroyablement lente dans le secteur d'omaha alors qu'il y avait - et c'est une faute - bien trop peu en face ; cet oubli fatal de la prise de vierville qui doit etre fait au plus tard au tour 2 ; des imprecisions au nord de Caen qui ont couté l'équivalent d'une bonne division...
Bref tu es dans une bonne situation pour la suite. Place tes futurs renforts au centre pour l'instant pour finir de verrouiller l'espace et continue l'offensive vers les plages brits (je suis sur que tu peux liberer cette 21e PzD pour renforcer ton attaque avec à présent 2 DI à foutre sur Caen + bataillons support, et bientot tu va avoir le concours de la 1ere SSPzD si je me rappelle bien).
Bref tu es dans une bonne situation pour la suite. Place tes futurs renforts au centre pour l'instant pour finir de verrouiller l'espace et continue l'offensive vers les plages brits (je suis sur que tu peux liberer cette 21e PzD pour renforcer ton attaque avec à présent 2 DI à foutre sur Caen + bataillons support, et bientot tu va avoir le concours de la 1ere SSPzD si je me rappelle bien).
Kentoc'h mervel eget bezañ saotret
"Celui qui croit qu'une croissance exponentielle
peut continuer indéfiniment dans un monde fini
est un fou, ou un économiste."
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Re: On To Paris.
Tour 9/76, mercredi 14 juin 1944.
Zone I, Cotentin.

Face à un ennemi parfaitement immobile, les troupes allemandes passent à l'action. Les M10 Tank destroyer attaqués la veille n'ont pas bougé, ils sont maintenant en rupture de ravitaillement, c'est le moment de les liquider :

Pourquoi se priver d'une seconde attaque, puisque nos troupes sont encore disponibles ? Cette fois avec le concours massif de l'artillerie. Les Américains perdent l'équivalent d'un bataillon.

Ces attaques confortent nos positions sur la route, avec maintenant 2 carrefours entre nos mains. Nous espérons que le ravitaillement ennemi destiné à la 82ème airborne, devant du coup passer par les marais, n'atteindra pas, ou mal, les bataillons US au sud de la route.

Et bien sûr, à Carentan, le drapeau à svastika flotte toujours sur l'hôtel de ville, dans une ville aussi calme qu'il y a 10 jours, avant l'invasion.
Zone II, d'Omaha à Villers-Bocage.

C'est très clairement le front où nous souffrons le plus. L'ennemi met un terme à la saga "Vierville sur mer". Après avoir pris la ville hier, il réduit au silence les derniers supplétifs russes isolés sur la côte.

Je crois qu'on n'entendra plus parler de Vierville sur mer avant longtemps...
Puis la pression est mise autour d'Isigny. Si Isigny tombe, Carentan tombera dans la foulée. Pour l'instant on s'accroche, et on tient toujours la ville :

Ici, on ne recule pas ! :

Mais là, la rage au ventre, nous devons céder 4km de terrain :

Dans les camions, des troupes de la Luftwaffe arrivent en renfort. Mais venues du Pas-de-Calais, elles sont encore au sud de Villers-bocage. Elles n'auront aucune valeur en attaque, mais pourront boucher des trous en défense :

Zone III, de Gold à Thurey-Harcourt.

Tandis que là aussi l'ennemi fait preuve d'un surprenant immobilisme, sans doute à cause de la boue ? , nous maintenons la pression sur Sword.
Nous reprenons dans un premier temps Ouistreham, que les Anglais ont abandonné. Un morceau de côte est à nouveau à nous ! Autant dire que les Ouistrehamais ne sont pas fous de joie, dans une bourgade en ruines.
Puis les assauts reprennent, sur un ennemi certes retranché, mais en terrain clair. Il ne fait pas le poids face à nos monstres de 60 tonnes.
Ici, malheureusement, la photo a été prise juste avant les combats, mais les Anglais ont sévèrement morflés !

Une autre offensive pour la route, la route de Luc sur Mer, ça va sans dire :

Sword est maintenant à portée de canons. Déjà, nous privons les Britanniques de quelques axes routiers, et l'obligeons à reculer en dehors des voies carrossables son unité de ravitaillement.
L'état des points le 14 au soir :
Nous passons de 3356 à 3584 points d'avance. La destruction des M10 rapporte 36 points.
Unités KIA le 14 juin :
USA : 702ème Tank Destroyer, Cotentin,
GER : 439ème Ost bataillon, Omaha Beach,
GER : 630ème Ost bataillon, Omaha Beach,
GER : 1er Bataillon du 32ème Rgt de Flak, secteur d'Isigny (sud d'Omaha).
Zone I, Cotentin.

Face à un ennemi parfaitement immobile, les troupes allemandes passent à l'action. Les M10 Tank destroyer attaqués la veille n'ont pas bougé, ils sont maintenant en rupture de ravitaillement, c'est le moment de les liquider :

Pourquoi se priver d'une seconde attaque, puisque nos troupes sont encore disponibles ? Cette fois avec le concours massif de l'artillerie. Les Américains perdent l'équivalent d'un bataillon.

Ces attaques confortent nos positions sur la route, avec maintenant 2 carrefours entre nos mains. Nous espérons que le ravitaillement ennemi destiné à la 82ème airborne, devant du coup passer par les marais, n'atteindra pas, ou mal, les bataillons US au sud de la route.

Et bien sûr, à Carentan, le drapeau à svastika flotte toujours sur l'hôtel de ville, dans une ville aussi calme qu'il y a 10 jours, avant l'invasion.
Zone II, d'Omaha à Villers-Bocage.

C'est très clairement le front où nous souffrons le plus. L'ennemi met un terme à la saga "Vierville sur mer". Après avoir pris la ville hier, il réduit au silence les derniers supplétifs russes isolés sur la côte.

Je crois qu'on n'entendra plus parler de Vierville sur mer avant longtemps...
Puis la pression est mise autour d'Isigny. Si Isigny tombe, Carentan tombera dans la foulée. Pour l'instant on s'accroche, et on tient toujours la ville :

Ici, on ne recule pas ! :

Mais là, la rage au ventre, nous devons céder 4km de terrain :

Dans les camions, des troupes de la Luftwaffe arrivent en renfort. Mais venues du Pas-de-Calais, elles sont encore au sud de Villers-bocage. Elles n'auront aucune valeur en attaque, mais pourront boucher des trous en défense :

Zone III, de Gold à Thurey-Harcourt.

Tandis que là aussi l'ennemi fait preuve d'un surprenant immobilisme, sans doute à cause de la boue ? , nous maintenons la pression sur Sword.
Nous reprenons dans un premier temps Ouistreham, que les Anglais ont abandonné. Un morceau de côte est à nouveau à nous ! Autant dire que les Ouistrehamais ne sont pas fous de joie, dans une bourgade en ruines.
Puis les assauts reprennent, sur un ennemi certes retranché, mais en terrain clair. Il ne fait pas le poids face à nos monstres de 60 tonnes.
Ici, malheureusement, la photo a été prise juste avant les combats, mais les Anglais ont sévèrement morflés !

Une autre offensive pour la route, la route de Luc sur Mer, ça va sans dire :

Sword est maintenant à portée de canons. Déjà, nous privons les Britanniques de quelques axes routiers, et l'obligeons à reculer en dehors des voies carrossables son unité de ravitaillement.
L'état des points le 14 au soir :
Nous passons de 3356 à 3584 points d'avance. La destruction des M10 rapporte 36 points.
Unités KIA le 14 juin :
USA : 702ème Tank Destroyer, Cotentin,
GER : 439ème Ost bataillon, Omaha Beach,
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Re: On To Paris.
Des supplétifs hiwis qui tiennent la ville en étant isolés? dans la réalité il en aurait sans doute profité pour se rendre le plus vite possible et je les comprend!
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Re: On To Paris.
Oui, tu n'as pas tort, considérons donc qu'ils se sont rendus. (BIN ne gère pas les redittions, à l'inverse de BII, où les Italiens de Riwan lèvent les bras par dizaines de milliers).
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Re: On To Paris.
Tu confirmes ton avance, c'est bien.
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Re: On To Paris.
Merci !
On fait ce qu'on peut !
Jour 10/76, jeudi 15 juin 1944.
Zone I, Cotentin.

Le front nord Cotentin s'est littéralement disloqué après 10 jours d'immobilisme. Les Américains ont basculé leur 2nd armoured division, jusqu'alors stationnée autour de Carentan, sur ce front, et les Sherman M4, appuyés par l'infanterie, l'artillerie et l'aviation tactique ont percé notre ligne de défense.

Ce n'est toutefois pas tant cette attaque certes réussie qui explique la dislocation de nos lignes, mais l'utilisation intensive de l'aviation qui coupe nos voies de ravitaillement. Le beau temps est revenu sur la France et avec lui, des milliers d'avions à étoile blanche ou à cocarde rouge-blanc-bleu bombardent à nouveau nos routes depuis le Cotentin jusqu'à Caen. Le résultat est particulièrement destructeur dans le Cotentin. Ici, nombre d'unités allemandes sont dans une zone noire et donc non ravitaillées :
Au nord notre ligne a été reculée un peu comme nous le pouvions en zone verte, c'est à dire en zone où nos troupes reçoivent carburant, nourriture et munitions. Il va sans dire que la bataille pour Valognes et Montebourg va bientôt commencer, et plus tôt que prévue. Aussi, nous minons les approches de Valognes.
Pour imager l'efficacité des bombardements alliés, montrons notre artillerie totalement désemparée, coupée de l'arrière, incapable de se mouvoir ou de tirer. Et parmi celle-ci, cruelle désillusion, nos puissants Nebelwerfer !

Il est bien fini le temps où nous rêvions de rejeter les Américains dans les marais ! Il nous faut reculer de 15 à 20 kilomètres, et préparer les défenses de St-Sauveur et Bricquebec !
Au sud les Américains relancent leurs attaques sur Carentan. Leur 79ème DI est venue remplacer leur 2ème DB. Mais nos paras, épaulés par une brigade de Stugs, tiennent encore bon !

Que Carentan soit toujours allemande le soir du 15 juin relève du miracle.
Zone II, d'Isigny à Villers-Bocage.

A l'image de ce qui se passe à Carentan, les Américains renouvèlent leurs assauts sur Isigny. Mais la ville elle-même étant bien défendue, c'est en périphérie qu'ils attaquent :

Ce qui menace maintenant la zone Carentan - Isigny, c'est tout simplement un débordement au sud par les forces descendant d'Omaha, aboutissant à un encerclement de notre Kampfgruppe Von Der Heydte et de notre 91ème division de paras. Nous hésitons à évacuer les 2 villes, mais décidons finalement de prendre un risque : celui de défendre les 2 villes encore un petit jour... encore un petit jour...
Dans le secteur de Villers-bocage, l'état-major de la Wehrmacht commet une lourde erreur en oubliant complètement de donner l'ordre de bouger à la 16ème division de la Luftwaffe, qui du coup reste plantée dans le bocage. Elle aurait du se retrancher entre Balleroy et Caumont. Rage !
Zone III, de Gold à Thurey-Harcourt.

Au nord de Caen, les évènements semblent se précipiter, et nous nous demandons si nous ne sommes pas en train de purement et simplement rejeter les Anglais à la mer. On se bat maintenant sur la plage.
Luc-sur-mer est trop bien défendue pour qu'une attaque frontale soit rentable. Nous attaquons donc à côté, avec des résultats destructeurs :

L'opération continue avec la destruction de canons antichars :

Puis enfin les combats sur la plage dont nous parlions à l'instant, où les anglais à découvert, empêtrés dans le sable et dos à la mer, sont fauchés par nos mitrailleuses et les canons de nos chars :

Maintenant il est évident que nous sommes à nouveau exposés et plus que jamais à une contre-attaque en plaine. Mais ce que nous venons de détruire ne viendra plus nous taquiner.
Au sud, dans le bocage, une opération sur le dispositif anglais échoue lamentablement :

L'état des points le 15 au soir :
Nous passons de 3584 à 3911 points d'avance.
Unités KIA le 15 juin :
UK : 62ème Brigade anti tank (17 pounder), secteur Sword,
UK : 44ème Motorised Infantry, (15ème DI), secteur Sword.


Jour 10/76, jeudi 15 juin 1944.
Zone I, Cotentin.

Le front nord Cotentin s'est littéralement disloqué après 10 jours d'immobilisme. Les Américains ont basculé leur 2nd armoured division, jusqu'alors stationnée autour de Carentan, sur ce front, et les Sherman M4, appuyés par l'infanterie, l'artillerie et l'aviation tactique ont percé notre ligne de défense.

Ce n'est toutefois pas tant cette attaque certes réussie qui explique la dislocation de nos lignes, mais l'utilisation intensive de l'aviation qui coupe nos voies de ravitaillement. Le beau temps est revenu sur la France et avec lui, des milliers d'avions à étoile blanche ou à cocarde rouge-blanc-bleu bombardent à nouveau nos routes depuis le Cotentin jusqu'à Caen. Le résultat est particulièrement destructeur dans le Cotentin. Ici, nombre d'unités allemandes sont dans une zone noire et donc non ravitaillées :

Au nord notre ligne a été reculée un peu comme nous le pouvions en zone verte, c'est à dire en zone où nos troupes reçoivent carburant, nourriture et munitions. Il va sans dire que la bataille pour Valognes et Montebourg va bientôt commencer, et plus tôt que prévue. Aussi, nous minons les approches de Valognes.
Pour imager l'efficacité des bombardements alliés, montrons notre artillerie totalement désemparée, coupée de l'arrière, incapable de se mouvoir ou de tirer. Et parmi celle-ci, cruelle désillusion, nos puissants Nebelwerfer !

Il est bien fini le temps où nous rêvions de rejeter les Américains dans les marais ! Il nous faut reculer de 15 à 20 kilomètres, et préparer les défenses de St-Sauveur et Bricquebec !
Au sud les Américains relancent leurs attaques sur Carentan. Leur 79ème DI est venue remplacer leur 2ème DB. Mais nos paras, épaulés par une brigade de Stugs, tiennent encore bon !

Que Carentan soit toujours allemande le soir du 15 juin relève du miracle.
Zone II, d'Isigny à Villers-Bocage.

A l'image de ce qui se passe à Carentan, les Américains renouvèlent leurs assauts sur Isigny. Mais la ville elle-même étant bien défendue, c'est en périphérie qu'ils attaquent :

Ce qui menace maintenant la zone Carentan - Isigny, c'est tout simplement un débordement au sud par les forces descendant d'Omaha, aboutissant à un encerclement de notre Kampfgruppe Von Der Heydte et de notre 91ème division de paras. Nous hésitons à évacuer les 2 villes, mais décidons finalement de prendre un risque : celui de défendre les 2 villes encore un petit jour... encore un petit jour...
Dans le secteur de Villers-bocage, l'état-major de la Wehrmacht commet une lourde erreur en oubliant complètement de donner l'ordre de bouger à la 16ème division de la Luftwaffe, qui du coup reste plantée dans le bocage. Elle aurait du se retrancher entre Balleroy et Caumont. Rage !
Zone III, de Gold à Thurey-Harcourt.

Au nord de Caen, les évènements semblent se précipiter, et nous nous demandons si nous ne sommes pas en train de purement et simplement rejeter les Anglais à la mer. On se bat maintenant sur la plage.
Luc-sur-mer est trop bien défendue pour qu'une attaque frontale soit rentable. Nous attaquons donc à côté, avec des résultats destructeurs :

L'opération continue avec la destruction de canons antichars :

Puis enfin les combats sur la plage dont nous parlions à l'instant, où les anglais à découvert, empêtrés dans le sable et dos à la mer, sont fauchés par nos mitrailleuses et les canons de nos chars :

Maintenant il est évident que nous sommes à nouveau exposés et plus que jamais à une contre-attaque en plaine. Mais ce que nous venons de détruire ne viendra plus nous taquiner.
Au sud, dans le bocage, une opération sur le dispositif anglais échoue lamentablement :

L'état des points le 15 au soir :
Nous passons de 3584 à 3911 points d'avance.

Unités KIA le 15 juin :
UK : 62ème Brigade anti tank (17 pounder), secteur Sword,
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Re: On To Paris.
ton adversaire est une femme




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Au printemps, je vais quelquefois m'asseoir à la lisière d'un champ fleuri.
Lorsqu'une belle jeune fille m'apporte une coupe de vin , je ne pense guère à mon salut.
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Re: On To Paris.
Jour 11/76, vendredi 16 juin 1944.
Vue générale du front de Normandie.

Zone I, Cotentin.

Au nord nous n'en finissons plus de reculer pour échapper aux zones interdites non seulement par l'aviation, mais aussi par l'artillerie de marine.
Ici, le village de Montebourg est encadré par les tirs de marine sur 15km de profondeur :

Gênées par l'aviation, nos troupes en plein repli (qui parle de fuite ? ) sont harcelées par l'ennemi qui ne laisse plus aucun répit :

Alors qu'à l'ouest la situation se consolide (nous parviendrons peut-être à sauver notre artillerie), au sud l'ennemi renouvelle ses assauts sur Carentan. Mais nos troupes, encore une fois, tiennent bon :

Nous devrons malgré tout abandonner la ville à l'ennemi dans la soirée. Sur nos arrières, Isigny vient de tomber, laissant planer sur nos paras un fort risque d'encerclement. Nous nous replions donc, non sans faire sauter un pont derrière nous.
Zone II, d'Isigny à Villers-Bocage.

Aidés par leur aviation, les lignes américaines avancent sur 5 kilomètres. Mais la nouvelle majeure est bien sûr la chute d'Isigny, après de durs combats :

Nos troupes tentent maintenant de consolider une nouvelle ligne sur la Vire, derrière les ponts qui ont sauté pour la plupart. Une unité de reconnaissance US, en pointe depuis 2 jours, est néanmoins parvenue à franchir le cours d'eau. Plus au sud-est, Les unités de la Luftwaffe (de l'infanterie, pas des avions ! ) ont presque terminé de s'installer au sud de Balleroy. Pourrons-nous compter sur elles ?
Zone III, de Gold à Villers-Bocage.

Les Anglais ont contre-attaqué nos troupes dans la plaine, juste au sud de Sword.
Une première attaque nous oblige à reculer. Le bataillon de reconnaissance de la 21ème Panzer est contraint de rester sur place, du fait des règles d'empilement qui autorisent un maximum de 4 unités par hexagone.

Il est donc liquidé à l'attaque suivante :

C'est la première fois que nous perdons une unité d'une panzer division.
La situation devient chaude autour de Sword. Les Anglais ont décidé de reculer leurs lignes dans le bocage derrière l'Odon (un affluent de l'Orne), nous abandonnant ainsi Evrecy, un village à points. Mais ce recul de quelques kilomètres leur a permis d'affecter la 3ème division d'infanterie Canadienne dans le secteur de Sword, ainsi que plusieurs autres unités non endivisionnées de chars et de commandos. La situation va devenir plus difficile autour des plages britanniques. Nos unités d’élite des Panzer Division affichent de plus en plus de têtes de mort, symboles des pertes encaissées.
Pour l'instant, nous décidons malgré tout de maintenir la pression :

Et de reprendre Luc sur mer, un important objectif à 25 PV par tour pour l'Allemagne, ce qui compense la perte d'Isigny :

L'état des points le 16 au soir :
Nous passons de 3911 à 4121 points d'avance.
Unités KIA le 16 juin :
GER : 21ème Panzer Aufklarung (21ème Pzd) secteur de Sword.
Vue générale du front de Normandie.

Zone I, Cotentin.

Au nord nous n'en finissons plus de reculer pour échapper aux zones interdites non seulement par l'aviation, mais aussi par l'artillerie de marine.
Ici, le village de Montebourg est encadré par les tirs de marine sur 15km de profondeur :

Gênées par l'aviation, nos troupes en plein repli (qui parle de fuite ? ) sont harcelées par l'ennemi qui ne laisse plus aucun répit :

Alors qu'à l'ouest la situation se consolide (nous parviendrons peut-être à sauver notre artillerie), au sud l'ennemi renouvelle ses assauts sur Carentan. Mais nos troupes, encore une fois, tiennent bon :

Nous devrons malgré tout abandonner la ville à l'ennemi dans la soirée. Sur nos arrières, Isigny vient de tomber, laissant planer sur nos paras un fort risque d'encerclement. Nous nous replions donc, non sans faire sauter un pont derrière nous.
Zone II, d'Isigny à Villers-Bocage.

Aidés par leur aviation, les lignes américaines avancent sur 5 kilomètres. Mais la nouvelle majeure est bien sûr la chute d'Isigny, après de durs combats :

Nos troupes tentent maintenant de consolider une nouvelle ligne sur la Vire, derrière les ponts qui ont sauté pour la plupart. Une unité de reconnaissance US, en pointe depuis 2 jours, est néanmoins parvenue à franchir le cours d'eau. Plus au sud-est, Les unités de la Luftwaffe (de l'infanterie, pas des avions ! ) ont presque terminé de s'installer au sud de Balleroy. Pourrons-nous compter sur elles ?
Zone III, de Gold à Villers-Bocage.

Les Anglais ont contre-attaqué nos troupes dans la plaine, juste au sud de Sword.
Une première attaque nous oblige à reculer. Le bataillon de reconnaissance de la 21ème Panzer est contraint de rester sur place, du fait des règles d'empilement qui autorisent un maximum de 4 unités par hexagone.

Il est donc liquidé à l'attaque suivante :

C'est la première fois que nous perdons une unité d'une panzer division.
La situation devient chaude autour de Sword. Les Anglais ont décidé de reculer leurs lignes dans le bocage derrière l'Odon (un affluent de l'Orne), nous abandonnant ainsi Evrecy, un village à points. Mais ce recul de quelques kilomètres leur a permis d'affecter la 3ème division d'infanterie Canadienne dans le secteur de Sword, ainsi que plusieurs autres unités non endivisionnées de chars et de commandos. La situation va devenir plus difficile autour des plages britanniques. Nos unités d’élite des Panzer Division affichent de plus en plus de têtes de mort, symboles des pertes encaissées.
Pour l'instant, nous décidons malgré tout de maintenir la pression :

Et de reprendre Luc sur mer, un important objectif à 25 PV par tour pour l'Allemagne, ce qui compense la perte d'Isigny :

L'état des points le 16 au soir :
Nous passons de 3911 à 4121 points d'avance.
Unités KIA le 16 juin :
GER : 21ème Panzer Aufklarung (21ème Pzd) secteur de Sword.
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Re: On To Paris.
La reprise de Luc sur Mer est tout de même un beau succès
. Historiquement, les britanniques avaient tout de même tenus solidement l'autre rive de l'Orne entre Colombelle et Troarn, ce qui leur a permis de disposer de bases de départ à l'est de Caen pour leurs offensives ultérieures.Apparement, avant qu'ils ne reprennent Pégasus Birdge et qu'ils reppasent l'Orne, tu as de la marge... 


« Je viens en paix, mais si vous me baisez, je vous tuerai tous »
Gal Mattis - (futur) secrétaire à la défense du (futur) Président des Etas Unis d'Amérique Donald Trump
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- Boudi
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Re: On To Paris.
Mouais, je te remercie mais je trouve néanmoins que la situation s'est bien dégradée depuis 2 jours. Son aviation n'a jamais frappé aussi fort, occasionnant des trous de ravitaillement parfois profonds de 3 hexagones, ce qui m'oblige à reculer à chaque fois d'autant, sinon mes unités basculeraient dans le rouge (statut isolée, non ravitaillée) au tour suivant et ce serait le massacre.
A ce rythme il est à Cherbourg dans 3 jours.
Mon métronome, c'est l'invasion IRL. Est-il en retard ? Est-il en avance ? Voila ce que je trouve sur le net :
Dès lors la libération de Cherbourg avec sont port en eau profonde devient primordiale.
Le 7e Corps américain, débarqué à Utah, commandé par le général John Lawton Collins est chargé de la capture de Cherbourg.
Après une percée vers Portbail et Barneville, les troupes américaines coupent la presqu'île du Cotentin en deux à partir du 18 juin.
Les villes de Valognes et de Montebourg sont libérées dès le 19 juin.
La bataille pour Cherbourg s'engage le 21 juin. Encerclées, les troupes allemandes résistent avec acharnement. Après de violents combats, le général Karl von Schlieben se rend avec ses 37 000 soldats, le 26 juin.
Valognes et Montebourg tombent donc le 19 juin. Là, nous somme le 16 juin, il est aux portes de Montebourg. Il a donc plus que récupéré son retard, il a 2 jours d'avance sur l'invasion IRL. Alors certes, il est aussi 4 jours en retard à Carentan, et il est encore loin de couper le Cotentin en 2. On verra bien...
A ce rythme il est à Cherbourg dans 3 jours.

Mon métronome, c'est l'invasion IRL. Est-il en retard ? Est-il en avance ? Voila ce que je trouve sur le net :
Dès lors la libération de Cherbourg avec sont port en eau profonde devient primordiale.
Le 7e Corps américain, débarqué à Utah, commandé par le général John Lawton Collins est chargé de la capture de Cherbourg.
Après une percée vers Portbail et Barneville, les troupes américaines coupent la presqu'île du Cotentin en deux à partir du 18 juin.
Les villes de Valognes et de Montebourg sont libérées dès le 19 juin.
La bataille pour Cherbourg s'engage le 21 juin. Encerclées, les troupes allemandes résistent avec acharnement. Après de violents combats, le général Karl von Schlieben se rend avec ses 37 000 soldats, le 26 juin.
Valognes et Montebourg tombent donc le 19 juin. Là, nous somme le 16 juin, il est aux portes de Montebourg. Il a donc plus que récupéré son retard, il a 2 jours d'avance sur l'invasion IRL. Alors certes, il est aussi 4 jours en retard à Carentan, et il est encore loin de couper le Cotentin en 2. On verra bien...
« Et c’est parti ! (Поехали! [Poïekhali!]) »
https://fr.pobediteli.ru/
Un petit calcul, et on s’en va !
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Re: On To Paris.
Jour 12/76, samedi 17 juin 1944.
Bon, j'ai fait une bêtise : j'ai oublié de tirer le screen général de la carte à la fin de mon tour. Les images sont donc après le tour allié, mais avant le tour allemand. Ce n'est pas bien grave toutefois, car hormis les mouvements sur Sword matérialisés par des flèches rouges, le front allemand bouge finalement peu.
Zone I, Cotentin.

Comment nous battre sans ravitaillement ? Tout le nord de la Péninsule, de Montebourg à Cherbourg en passant par Bricquebec n'est plus du tout ravitaillé. Nos unités sont paralysées, incapables de combattre. Si en théorie le Cotentin n'est toujours pas coupé en deux entre le nord et le sud, puisqu'une bande de 30 à 40 km de large est toujours allemande sur le bord ouest de la presqu'ile, il en va tout autrement dans la pratique : l'aviation alliée empêche la logistique de remonter sur le nord. C'est la seule explication. Bref, nos défenses installées à Montebourg et Valognes ont viré au rouge, demain les deux villes devraient tomber. Pour rattraper ce qui est rattrapable, il faudrait placer 2 ou 3 batteries AA dans la région de St-Sauveur, et encore...
En parlant de batteries AA, notons une chose très surprenante : l'ennemi a débarqué une unité anti-aérienne dans la périphérie de Cherbourg ! Stupéfaction ! Il peut faire cela ? Si nous n'avions pas laissé une unité dans la ville par précaution, le port tombait !
Une attaque ennemie à la périphérie de Montebourg :

Au sud, l'ennemi a peu bougé, s'est emparé de Carentan abandonnée, et a liquidé une brigade d'infanterie mal positionnée en plaine.

Zone II, d'Isigny à Caen.

Si dans le bocage, d'Isigny à Caen, le front d'une centaine de km n'a pratiquement pas bougé, il en va tout autrement au nord de la capitale normande où les Britanniques changent de stratégie ! Ils abandonnent Sword, reculent de 5 à 15 km vers l'ouest pour se retrancher derrière la Seulles. Très bien. La rive droite de la Seulles est consitutée de forêts, nous allons poursuivre l'ennemi (flèches rouges) , nous projeter dans ces bois (il en aurait été tout autrement si la rive droite avait été un découvert). Et pourquoi pas ? Demain, peut-être franchirons-nous la Seulles, direction : Courseulles-sur-mer et Juno beach !
En attendant, taquinons l'Anglais dans le bocage, avec la 2ème panzer, qui a peu combattu ces derniers 12 jours.

L'état des points le 17 au soir :
Nous passons de 4121 à 4340 points d'avance.
Unités KIA le 17 juin :
GER : 2/FJT Infantry, secteur de Carentan.
Bon, j'ai fait une bêtise : j'ai oublié de tirer le screen général de la carte à la fin de mon tour. Les images sont donc après le tour allié, mais avant le tour allemand. Ce n'est pas bien grave toutefois, car hormis les mouvements sur Sword matérialisés par des flèches rouges, le front allemand bouge finalement peu.
Zone I, Cotentin.

Comment nous battre sans ravitaillement ? Tout le nord de la Péninsule, de Montebourg à Cherbourg en passant par Bricquebec n'est plus du tout ravitaillé. Nos unités sont paralysées, incapables de combattre. Si en théorie le Cotentin n'est toujours pas coupé en deux entre le nord et le sud, puisqu'une bande de 30 à 40 km de large est toujours allemande sur le bord ouest de la presqu'ile, il en va tout autrement dans la pratique : l'aviation alliée empêche la logistique de remonter sur le nord. C'est la seule explication. Bref, nos défenses installées à Montebourg et Valognes ont viré au rouge, demain les deux villes devraient tomber. Pour rattraper ce qui est rattrapable, il faudrait placer 2 ou 3 batteries AA dans la région de St-Sauveur, et encore...
En parlant de batteries AA, notons une chose très surprenante : l'ennemi a débarqué une unité anti-aérienne dans la périphérie de Cherbourg ! Stupéfaction ! Il peut faire cela ? Si nous n'avions pas laissé une unité dans la ville par précaution, le port tombait !
Une attaque ennemie à la périphérie de Montebourg :

Au sud, l'ennemi a peu bougé, s'est emparé de Carentan abandonnée, et a liquidé une brigade d'infanterie mal positionnée en plaine.

Zone II, d'Isigny à Caen.

Si dans le bocage, d'Isigny à Caen, le front d'une centaine de km n'a pratiquement pas bougé, il en va tout autrement au nord de la capitale normande où les Britanniques changent de stratégie ! Ils abandonnent Sword, reculent de 5 à 15 km vers l'ouest pour se retrancher derrière la Seulles. Très bien. La rive droite de la Seulles est consitutée de forêts, nous allons poursuivre l'ennemi (flèches rouges) , nous projeter dans ces bois (il en aurait été tout autrement si la rive droite avait été un découvert). Et pourquoi pas ? Demain, peut-être franchirons-nous la Seulles, direction : Courseulles-sur-mer et Juno beach !
En attendant, taquinons l'Anglais dans le bocage, avec la 2ème panzer, qui a peu combattu ces derniers 12 jours.

L'état des points le 17 au soir :
Nous passons de 4121 à 4340 points d'avance.
Unités KIA le 17 juin :
GER : 2/FJT Infantry, secteur de Carentan.
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