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Loyalistes et Patriotes.
Posté : sam. avr. 07, 2007 7:16 pm
par Boudi
[align="center"]Loyalistes et patriotes.
Un AAR Birth of America. Grande campagne 1775.
Britanniques contre IA Américaine.
Patch 1.11
[/align]
Avril 1775. Depuis le congrès de Philadelphie, les colonies américaines sont entrées en rebellion contre la Couronne. Il va falloir rétablir l'ordre dans le nouveau monde et châtier les insurgés. Cette mission ne devrait prendre que quelques semaines. L'armée anglaise est la meilleure du monde. En face, nous n'avons que des paysans qui s'enfuieront aux premières salves.
Posté : sam. avr. 07, 2007 7:37 pm
par Boudi
Tiens marrant, j'ai posté depuis plus de 10 mn, et Griffon ne me propose toujours pas une PBEM ??
Posté : sam. avr. 07, 2007 7:53 pm
par Boudi
Printemps-Eté 1775.
La majeure partie des colonies ont plus ou moins choisi de soutenir les rebelles : La zone de conflit est délimitées par une bordure rouge foncée. Elle englobe le Canada et les 13 colonies. Les zones loyalistes sont en rouge clair, les zones rebelles en bleu clair.
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Tout au sud, seuls la Georgie ,le Tenessee, peuplé d'indiens fidèles à l'Angleterre, et la Floride, pris aux Espagnols, restent contrôlés par la Couronne Royale. Le Canada constitue par compte une excellente base de départ pour rétablir l'ordre. Les ports fortifiés de Boston et de Norfok constituent des territoires anglais en pleines zones rebelles.
Mais Boston est assiégée par une bande armée hétéroclite. Des renforts sont attendus sous peu.
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Nos objectifs sont clairs : Il s'agit ni plus ni moins de mater l'insurrection dans les 13 colonies :
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Posté : sam. avr. 07, 2007 10:06 pm
par jmlo
Bonne chance 8)
Par contre un détail : à l'époque le tennessee est peuplé d'indiens (pro anglais) et la Floride est une ancienne colonie espagnole occupé par l'Angleterre !(et qui redeviendra espagnole en 1783)
Posté : dim. avr. 08, 2007 9:00 am
par Boudi
Merci ! Je corrige le texte !
Posté : dim. avr. 08, 2007 9:59 am
par griffon
Boudi a écrit :Tiens marrant, j'ai posté depuis plus de 10 mn, et Griffon ne me propose toujours pas une PBEM ??
j'étais en "vacances"
de plus je ne prendrais pas le risque sur ce jeu
que je redécouvre en solo depuis un mois !
Posté : dim. avr. 08, 2007 12:54 pm
par Boudi
Posté : lun. avr. 09, 2007 2:54 pm
par Boudi
Avril 1775.
Les rares unités qui ont décidé (courageusement) d’enfreindre les ordres d’immobilisme sont au Canada. Les lacs et rivières étant encore gelés, c’est à pied que ces unités qui n’ont pas froid aux yeux vont gagner des positions plus méridionales.
• Le 7ème Royal Fusiliers de Carleton quitte Québec, entame une marche forcée pour rejoindre Montréal.
• A l’inverse la Milice de Montréal part rejoindre dans le port de Ticonderoga, Etat de New-York, le 26ème Cameronians de Richard Prescott, en route lui aussi pour la même destination.
Nous prenons le risque de laisser sans défense des positions stratégiques mais nous doutons fort que les insurgés puisse s’y rendre à travers la neige et le gel qui règne dans ces régions.
Hélas, les choses ne se passent pas comme prévu. Les marches forcées sont ratées, et pire, Ticonderoga est entre-temps occupé par les insurgés avant que nous ne puissions y arriver. Du coup, la structure censée accueillir la Milice de Montréal et le 26ème Cameronians après une longue marche devient hostile. Sans ravitaillement, impossible d’en faire le siège.
Par contre, les renforts attendus d’Angleterre sont arrivés à Boston. Les effectifs de l’armée de Sa Majesté aux Amériques sont doublés.
Posté : lun. avr. 09, 2007 4:45 pm
par Boudi
Juillet 1775.
Sir Thomas Gage a enfin donné les ordres d'attaque. Plusieurs armées anglaises sortent de Boston avec pour mission d'écraser les insurgés et de faire basculer le Massachussets.
Le 6 juillet, notre 17 Rgt de Dragon rencontre aux abords de Providence des miliciens ennemis, 3 fois plus nombreux. Notre cavalerie recule en bon ordre et se replie dans Providence, qui bascule ainsi dans le camp anglais.
Le 14 juillet, nous perdons un Régiment de troupes de marine dans l'attaque de Newport. Le Régiment, monté dans des barques, s'est fait faucher à vue sur la plage. Malgré le soutien des canons du HMS London, nos troupes d'élite ont été massacrées. Les rapports montraient pourtant la ville de Newport sans défense. Herreur fatale.
15 juillet. Dans la région de Peabody, au nord de Boston, l'armée de Gage engage une bataille rangée contre l'armée insurgée d'Artemas Ward. Les pertes sont très lourdes de part et d'autre, Gage préfère rompre le combat.
Nous avons sans doute eu tord d'enlever à Sir Gage son état-major, nous remarquons que pas moins de 6 généraux commandaient l'armée américaine.
Les pertes de Gage sont terribles, bien supérieures à ce que le rapport initiale de la bataille pouvait laisser supposer :
Nos troupes se sont bien déployées dans le Massachussets et le Rhode Island, mais les déconvenues ont été sévères.
Posté : jeu. avr. 12, 2007 8:51 pm
par Boudi
Eté 1775.
Notre conquête du Massachussets est plus longue que prévu. Nous avons eu quelques accrochages avec les insurgés, mais aucune véritable bataille rangée. Le gros de l'armée continentale s'est retranché dans Sprinfield, que nous assiégons maintenant avec 7 régiments sous le commandement de Sir William Howe. Dans le Rhode Island, seul Newport nous échappe.
Dans "le sud profond" les effectifs sont moindres de part et d'autre, nénamoins les "Georgia Tories" de Brown ont été sévèrement touchés par des rebelles, de fait les ports fluvieaux et côtiers de Camden et Charleston nous échappent.
On signale aussi des colonnes rebelles dans la région du lac Ontario, le Général Caldwell étant lui-même enfermé dans Oswego avec son état major, mais sans unité. Ces culs terreux se sont donc enfoncés beaucoup plus à l'ouest que nous ne pouvions l'imaginer au départ.
La situation n'est pas critique, mais pourrait être meilleure.
Répartition des zones de contrôles, fin de l'été 1775.
En rouge les zones loyalistes, en bleu les zones insurgées.
De Boston au lac Ontario.
Posté : ven. avr. 13, 2007 9:24 pm
par Boudi
Septembre 1775.
L'armée continentale est prise au piège dans Springfield (Massachussets) depuis juillet. Il y a là 11 Régiments Rebelles enfermés. Autant dire qu'ils sont faits comme des rats. Ils n'ont plus qu'à se rendre où à mourir de faim. De toutes manières, ils seront pendus au bout d'une corde. L'armée de Sir Gage, renforcée et reposée depuis ses combats de l'été, marche sur Springfield depuis Boston avec ses canons. Avec l'artillerie, Springfield tombera.
Mais avant que Gage n'ait rejoint Howe, les rebelles tentent une sortie ! C'est la bataille de Springfield, 8 septembre 1775. l'armée anglaise totalise 9300 hommes, les Rebelles 7800. Après plusieurs heures d'affrontement, les rebelles sont repoussés ! Ils sont contraints de retourner sous la protection de leurs murs. Murs qui d'ailleurs, à l'issue de la bataille, sont abattus en de nombreux points.
L'armée anglaise a perdu 2500 hommes, morts ou blessés, les rebelles plus de 4600.
Octobre verra tomber Springfied puis viendra le châtiment des traitres ! A l'issue de la bataille, Howe est nommé commandant en chef de l'armée britannique en Amérique du Nord, à la place de Gage.
Près du Lac Ontario, les insurgés ont donné l'assaut sur les fortifications d'Oswego. La garnison a tenu bon, sous le commandement exemplaire de Sir Caldwell. Des renforts de volontaires écossais, partis de Montreal, arrivent par voie fluviale.
Posté : lun. avr. 16, 2007 12:31 pm
par Boudi
Hiver 1775/1776.
L'Hiver du Nouveau Monde s'est abattu sur nos troupes. Nous découvrons en lui un ennemi aussi terrifiant que ces diables d'insurgés. Blizzard, averses de neige, verglas : Nos troupes souffrent cruellement des conditions climatiques. Les pertes en hommes sont souvent loin d'être anectodiques, comme le prouvent les saignées dans l'armée de Smith, obligé de se réfugier en toute hâte avec ses 5 régiments dans Boston, sous les bourrasques de neige. La plupart de nos unités étant dans cette situation, tous les sièges des places ennemies doivent être interrompus afin de gagner des villes ou des forts où se mettre à l'abri. Mais les ordres étant partis fin janvier seulement, de nombreuses pertes sont à comptabiliser.
Seul Sir Henry Hamilton, insensible au froid, continue sa tournée des villages indiens au sud du lac Ontario. Habile parlementaire, il lève des troupes de fiers guerriers qui vont submerger l'ennemi le printemps venu.
Au sud, le siège de Norfolk, tenu par les rebelles, se poursuit. Notre flotte ayant pu obtenir quelques résultats contre la garnison, Lord Dunmore donne l'ordre d'attaquer la ville. Hélas, ce sera un échec cuisant. Coupé de toute base amie suite à la chute de Portsmouth, Dunmore sera même contraint de gagner nos navires courant février 1776.
En nouvelle Angleterre, l'armée loyaliste s'empare d'Hartford, (Connecticut). Toutes les villes stratégiques de Nelle Angleterre sont entre nos mains, à l'exception de Norwith, (New Hampshire).
Le 03 février, l'armée de Thomas Brown, assiégée dans Camden, South Carolina, ne peut résister à un nouvel assaut et succombe. Thomas Brown parvient à échapper au désastre et se réfugie à Orangeburg.
A noter que j'ai été obligé de maquiller le screen qui m'annonçait une victoire.
Le 09 février, une seconde armée anglaise est anéantie, celle de William Cadwell, lors de la bataille d'Albany, Etat de New York. Cadwell trouve refuge à Pittsfield.
Posté : jeu. avr. 26, 2007 9:48 pm
par Boudi
Printemps 1776.
En ce début de printemps 1776, il est facile de résumer la guerre qui nous oppose aux rebelles : c'est le jeu du chat et de la souris. Nous quittons une position pour poursuivre les rebelles, et la ville que nous venons d'abandonner tombe entre leurs mains, tandis que nous même prenons le contrôle d'une de leur ville. Nous souffrons d'une faiblesse en effectifs, qui nous empêche de tenir à la fois les positions acquises et d'en gagner de nouvelles. Dans cette situation difficile, nous allons abandonner la région de Norfolk, où nous sommes trop isolés au sud, pour tenter de reprendre aux insurgés la région de New-York, plus proche de nos fiefs de Nelle-Angleterre.
Le 22 mars, Sir Francis Smith remporte une victoire intéressante contre les continentaux.
Avril 1776 marque le début d'une stratégie de pillages tous azimuts, pillages confiés à nos alliés iroquois récemment levés par Hamilton. Les zones continentales situées au sud des grands lacs sont parcourues en tous sens par ces tribus très habiles pour ce sport. Quelques combats éparses nous opposent à Washington en Nouvelle Angleterre.
Courant Mai, Caldwell perd 2 compagnies de miliciens dans un engagement contre le Général Montgommery.
Par bonheur, nous recevons enfin d'importants renforts : des mercenaires allemands débarquent à Boston, avec une forte artillerie qui nous manquait cruellement lors des sièges des positions fortifiées rebelles. A Quebec, Lord Burgoyne s'affiche avec une imposante armée.
Aussitôt, Burgoyne embarque son armée sur de nombreux bateaux à fond plat qui descendent le St Laurent, direction Montreal. Les mercenaires allemands (accompagnés d'unités bien britanniques, il est vrai) marchent sur Portsmouth dans le but d'écraser l'armée de Washington, que nous savons retranchée là-bas. Nous avons décomposé cette armée en plusieurs unités, de même langue, et chacune marche indépendemment des autres. Autre avantage, l'artillerie, très lente, ne freine pas l'infanterie qui arrivera sur place en premier.
Hélas, les premières batailles menées par ces renforts donnent de piètres résultats :3 engagements, 3 défaites dont 2 sévères :
Posté : ven. avr. 27, 2007 8:59 am
par griffon
un peu hors sujet mais cet AAR
me donne envie de revoir
l'excellent film "Barry Lindon"
Posté : ven. avr. 27, 2007 12:03 pm
par aheuc
Je plussoie.
Tiens ça ,serait une bonne idée qu'ils créent un Addon "Guerres en dentelles" pour Boa. J'achèterais le jeu du coup.
Posté : ven. avr. 27, 2007 1:59 pm
par jmlo
A une époque c'était plus ou moins prévu mais aux dernières nouvelles Ageod s'oriente plutôt sur un nième jeu Napoleonien ...
Posté : ven. avr. 27, 2007 2:04 pm
par Boudi
Eté 1776.
L'Eté a été favorable aux armées de sa majesté. Le mois d'aôut a été particulièrement exemplaire.
* Nous reprenons Fort Chambly, près de Montréal, grâce à un assaut courageux de Sir Richard Prescott. Nous assiégions Chambly depuis des mois, il fallait en finir.
* Le 2 août, nous donnons l'assaut sur New-York. Le grand port ne tient pas 1/2 journée. New-York est prise !
* Norwich et Ticontegora, respectivement dans le New Hampshire et l'Etat de New-York, passent sous contrôle britannique.
Le Canada Le New Hampshire, Le Massachussets, Le Connecticut, Le Rhode Island sont intégralement Loyalistes.
Nous avons conservé nos positions en Caroline du Sud et avons ouvert des perspectives en Caroline du Nord avec la prise d'Hillsboro.
Nos positions sont aussi à peu près maintenues dans l'immense état de New-York, qui court de l'Atlantique au lac Ontario. La chute de New-York même est un atout apréciable.
Les autres états restent des bastions insurgés, pour l'instant, à l'image de la Pennsylvanie, du New Jersey, du Delaware, du Maryland, les territoires immenses de Virginie, les états Frontière...
Posté : ven. avr. 27, 2007 9:32 pm
par Boudi
Septembre 1776.
Le mois de septembre est si riche en évènements qu'il mérite un compte-rendu à lui seul. Quelle est la situation en début de mois ?
Deux villes voisines, stratégiques de part leur taille, sont assiégées par les rebelles :
Springfield, assiégée par l'armée du Colonel Alexander,
Hartford, assiégée par la XI Continental army.
Ces deux villes ne sont tenues, chacune, que par 1 régiment d'infanterie. La situation est difficile. Il ne faut pas que ces villes tombent. Il faut donc leur envoyer des secours.
Quels sont les moyens disponibles ?
Au plus près, l'armée d'importance disponible, c'est celle de Sir Charles Grey, qui vient juste de prendre New-York, avec celle, plus réduite, de Sir William Howe. Mais l'armée de Grey a épuisé la moitié de ses munitions. Elle doit donc rester à New-York et recharger. Howe marchera donc seul sur Hartford, depuis New-York, avec son infanterie et ses canons.
Très loin de là, au nord de Porsmouth, l'armée d'Alexander Leslie, avec ses nombreux mercenaires allemands, marche sur Falmouth. Contre-ordre immédiat. Un seul régiment marchera sur la ville, la puissante armée, environ 20 régiments, faisant demi-tour pour gagner le coeur du Massachussets : la ville de Brattleboro, voisine de Springfield.
Les évènements vont alors s'enchainer :
Le 02 septembre, Avant que son contre-ordre ne puisse être mis à exécution, Leslie rencontre et pulvérise l'armée de Nathanael Greene. Masi les pertes de Leslie sont lourdes.
Néanmoins, 16 unités de milices insurgées sont détruites. De nombreux blessés rebelles sont achevés à la baïonnette. Des prisonniers sont pendus pour l'exemple.
Même jour, 2 septembre, la XIème armée continentale stoppe le siège d'Hartford et donne l'assaut aux fortifications : Les Rebelles seront là aussi taillés en pièces. Notre garnison, le 22ème d'infanterie, est pratiquement anéantie mais tient bon.
Le 3 septembre, la Xième Continental renouvelle l'assaut : elle est à nouveau repoussée et laisse 3 compagnies de réguliers sur le terrain.
Les 11 et 12 septembre, Sir Henry Clinton défait l'armée de Charles Lee, un peu au nord de Springfield. Durant cette bataille de 2 jours, L'armée américaine est complètement annihilée, les chariots de ravitaillement récupérés. Une nouvelle fois, les blessés sont achevés sur place, selon la pratique courante de l'armée anglaise.
Le Bon Roi Georges sera content d'apprendre les résultats obtenus par son armée !
Posté : ven. avr. 27, 2007 10:31 pm
par griffon
j'ai remplacé la musique de BOA
par la Bo du "dernier des mohicans" !
c'est pas mal !
quand je joue a ACW je passe en boucle
"the battle of shiloh hill"
mais ca me file le bourdon !
Posté : mar. mai 01, 2007 2:25 am
par Boudi
Octobre - Novembre 1776.
La bataille de Nash : L'armée de Cornwallis est anéantie !
Octobre 1776. Charles Cornwallis, brillant Général, épaulé par Sir John Vaughan, est en garnison dans Williamston, importante bourgade de Caroline du Nord. 3 Régiments d'infanterie, 1 régiment d'artillerie, 1 régiment de soutien sont sous ses ordres.
Tenir Williamston, pourtant port stratégique, n'est pas suffisant pour ce brillant tacticien. Il lui faut plus. Porsmouth et Norfolk sont un peu au nord. Quel coup d'éclat, quel essort donné à sa carrière si ces places fortes insurrectionnelles pouvaient tomber entre ces mains !
Cornwallis se met alors en marche. Warrenton, au nord ouest, semble une étape obligatoire avant de franchir un fleuve. Mais Warrenton ne sera jamais atteinte. C'est dans la région de Nash que Cornwallis va croiser les insurgés. A l'occasion de cette terrible bataille de 2 jours, son armée va être anéantie.
Cornwallis et Vaughan pourront s'échapper, mais l'artillerie est perdue, l'armée est perdue, même si, faible compensation, les rebelles subissent de fortes pertes.
Novembre 1776.
Alors que suite à la bataille de Nash, Williamston (NC), devenue sans défense, tombe aux mains des rebelles, bien plus au nord, Albany, dans l'Etat de New-York, est enfin occupée ! Les Rebelles en sont chassés à l'issue d'une bataille mémorable, au cours de laquelle Washington le traître sera lui-même vaincu !
Hatford, New-York, Tinconderoga, Albany. Les places fortes des états du centre tombent les unes après les autres entre les mains de sa Majesté.
Cet automne 1776 réaffirme la prépondérance anglaise dans les comtés du nord de l'Amérique, et la force - toute provisoire - de la rébellion, dans les comtés du sud.
Posté : mar. mai 01, 2007 4:10 pm
par Boudi
Hiver 1776/1777. (dec 76 - fev 77).
Forte de la leçon de l'hiver précédent, l'armée anglaise du nouveau monde a pris ses quartiers d'hiver. Toutes les unités sont retranchées dans les villes,prêtes à défendre les murs. Nous laissons la rase campagne et son blizzard mortel aux insurgés. Nos alliés Iroquois, eux, ont regagné la chaleur de leur village dès les premières neiges.
La situation est toutefois différente en Caroline du Sud, où, sous des latitudes plus clémentes, les armées peuvent se déplacer. En fait, notre infériorité numérique est flagrante dans cet état, et nous nous contentons de tenir nos bastions. Cependant, la chute de Camden ne pourra être évitée. mais cette chute est aussi une page glorieuse écrite par le 14ème RI, qui, à 3 contre 1, repoussera jusqu'à épuisement des hommes et des munitions les assauts insurgés.
Le printemps est maintenant là. la fonte des neiges s'amorce. L'objectif principal est clair : Philadelphie et Wyoming doivent revenir à la Couronne.
Posté : mar. mai 01, 2007 5:06 pm
par mad
Tiens Boudi, ton AAR m'auras permis de retrouver les magnifiques villes de Springfield (le Général H.J. Simpson y habitait) et situer Pookighpsee...
Et dé découvrir le jeu par la même occasion
Posté : mar. mai 01, 2007 9:36 pm
par Boudi
Printemps 1777.
Sous peu, l'insurrection sera totalement réprimée. Le printemps 1777 sera en effet à marquer d'une pierre blanche. En mai, la nouvelle se répend telle une trainée de poudre : Philadelphie est tombée ! La ville est passée sous contrôle britannique !
La ville, eu égard à son importance stratégique pour les 2 camps, était finalement peu défendue. Une batterie de canons de marine était sa défense la plus sérieuse. Grey s'empare facilement de la cité le 8 mai.
Ceci permet de lever une nouvelle unité loyaliste parmi les volontaires civils fidèles à la couronne.
La nouvelle survient quelques jours après l'annonce d'une importante victoire, remportée bien plus au sud, à Hillsboro, en Caroline du Nord.
Fort de leur succès remporté à Camden, les rebelles ont tenté de reprendre la ville en donnant l'assaut. Mais les défenses d'Hillsboro étaient autrement plus sérieuse et Valentine Jones remporte une belle victoire en repoussant l'attaque. Les insurgés sont décimés. Mais l'infirmerie du camp retranché est remplie de soldats aux blessures impressionantes. Bras, jambes sont découpés à la scie à un rythme soutenu, dans une atmosphère où s'entremêlent l'odeur écoeurante du sang versé et les hurlements des blessés. Ils sont plus d'un à attendre la mort, en retenant leurs intestins dans leurs mains, appelant leurs mères une dernière fois tels des enfants égarés.
Au nord, William Howe marche sur Fort Stanwix, dernière base insurgée d'importance sur la route du lac Ontario depuis Boston. Il doit s'emparer d'abord de German Flats, ce qui est fait le 11 mai, non sans pertes.
Posté : jeu. mai 03, 2007 8:25 pm
par Boudi
Eté 1777.
L'Eté démarre sur les chapeaux de roue, avec la conquête de Fort Sullivan (Charleston) , Ville objectif, au mois de juin. C'est aussi en juin que Washington se prend une déculottée contre une banque d'Iroquois surgie sur ses arrières. Mais Juillet et Août seront à contrario très calme. Le siège de Fort Stanwix est commencé.
Posté : sam. mai 05, 2007 4:14 pm
par Boudi
Hiver 1777/1778.
L'armée anglaise dans son ensemble, du Canada à la Caroline du sud, a gagné le refuge des villes et des forts. Par question de sortir sous les frimas de l'hiver. Quelques rapides mouvements sont autorisés en Caroline du sud, au climat nettement plus clément, mais des marches d'un maximum de 30 j, pour gagner une ville, alors que le manteau blanc s'approche, là aussi, néanmoins.
Les insurgés, eux, continuent de courir en tous sens. Ils nous reprennent ansi quelques villes, non défendues et sans grand importance. C'est à cette occasion que Fort Vincennes, dans les lointaines plaines de l'ouest, passe aux mains des rebelles.
Posté : lun. mai 07, 2007 5:48 pm
par Boudi
Cruel printemps 1778 !
Les beaux jours revenus, l'armée anglaise se remet en marche. Mais le 6 avril, l'armée de Cornwallis est une nouvelle fois (il avait déjà encaissé une sévère défaite à l'automne 1776) écrasée à Camden, en Caroline du sud. Jamais nous n'avions encore croisé pareille armée ennemie. Nous ne pensions pas les Continentaux capables de lever de telles forces.
Et un malheur n'arrivant jamais seul, la France et l'Espagne nous déclarent la guerre !
Posté : lun. mai 07, 2007 5:56 pm
par Bartimeus
Héhéhé , tu va combattre les regiment a fleur de lice, je te souhaite bonne chance (ça va nous aider pour la revolution ^^). Par contre jeter pas au courant pour l'espagne. Ils apparaissent en tant que nation ou mercenaire ?
Allez les rednecks, vous pouvez tenir !
Sinon tres jolie AAR qui ma donner envie de prendre ce jeux. A mon avis il doit pas couter des sommes extravagente.
Posté : lun. mai 07, 2007 7:00 pm
par Boudi
Je te le recommande chaudement. Même contre l'IA il tient ses promesses.
Pour les Espagnols, je pense qu'ils arrivent comme des unités régulières à partir de leurs colonies des Antilles, mais je ne les ai pas encore vus.
Posté : lun. mai 07, 2007 7:48 pm
par jmlo
A l'époque la Louisiane était espagnole d'ou leur présence dans la guerre d'indépendance.
Tu trouvera plus d'infos içi :
http://www.birth-of-america.com/french/BIO-BOA.html
Posté : sam. mai 12, 2007 4:31 pm
par Boudi
Eté 1778.
L'heure est grave.
L'armée française a débarqué aux Amériques et a entrepris de conquérir toute la Nelle Angleterre. Boston, notre fief, est assiégé, coupé du monde par la terre et par la mer !
De nombreux détachements, français et insurgés, nous ont repris 5 villes. Une puissante armée française, sous le commandement du comte de Rochambeau s'apprête à attaquer Springfiled ! Newport est déjà tombée !
Les insurgés sont parvenus à lever des troupes massives et parviennent à contrer nos unités les plus puissantes.
L'armée anglaise est contrainte à la défensive. Même notre marine a subit de cruels revers contre une flotte française stupéfiante d'audace.
Des renforts marchent sur Boston. L'armée de Sir William Howe rejoint la Nelle Angleterre au plus vite. Il n'est plus question de conquérir des terres à l'ouest, mais bel et bien de défendre nos villes côtières.
Au sud du pays, Willimington a vaillamment résisté à l'assaut d'une armée de miliciens. mais pour combien de temps ? La ville, malgré ses bouches à feu, ne saurait résister longtemps à l'armée continentale de plusieurs milliers d'hommes aperçue à quelques lieues.
Au chapitre des bonnes nouvelles, nous ne pouvons guère espérer que la capitulation de Norfolk, sous le siège de l'armée de Sa Majestée le bon Roi Georges depuis 3 mois. Mais qu'en sera-t-il exactement ?
Posté : sam. mai 12, 2007 8:52 pm
par Boudi
Automne 1778.
Septembre et octobre auront mis la Caroline du sud et la Caroline du nord sous les feux de l'actualité.
Les 1er et 3 septembre, Horiato Gates, Général insurgé, pense que c'est une bonne idée de donner l'assaut sur Hillsboro. Il a tort. Il laissera la totalité de son armée, 12 compagnies, sur le champ de bataille.
James Robertson, commandant de la place d'Hillsboro, sera proposé pour la Georges cross.
Non loin de là, au sud ouest, la garnison insurgée de Charlotte se rend à l'armée de Sa Majestée. Les Rebelles sont aussitôt enchaînés. Leur sort est entre les mains du Bon Roi Georges. Charlotte est une nouvelle ville stratégique qui repasse sous la Couronne.
C'est en octobre que mettant fin à un siège interminable, Leslie donne l'assaut aux défenses de Norfolk. La ville repasse sous contrôle anglais sans trop de difficulté.
Mais en même temps, une mauvaise nouvelle vient atténuer notre joie : Augustine Prevost succombe sous le nombre à Fort Sullivan.
Nous gagnons ainsi une ville objectif pour en perdre une autre quelques jours plus tard...
Le 12 octobre Camden, ville stratégique, se soumet à son tour :
30 novembre 1778 : Charleston (Ft Sullivan) aux mains des rebelles,
Camden entre les nôtres :
Situation générale en Nelle Angleterre :
Posté : sam. mai 12, 2007 10:20 pm
par Bartimeus
Dans la place principale de la ville de Camden
Allez les Français, bouter les rosbif hors des USA !!! Vive la France
(Bartimeus sera arreter et pendue 2 jour plus tard)
Allez, serieusement tres beaux AAR Boudi !!!
Posté : dim. mai 13, 2007 8:34 am
par Boudi
Merci !
Excellent, ce jeu !
Posté : dim. mai 13, 2007 12:34 pm
par Lafrite
Boudi a écrit :Merci !
Excellent, ce jeu !
Et par mail c'est encore mieux 8)
Posté : dim. mai 13, 2007 12:46 pm
par Boudi
Lafrite a écrit :
Et par mail c'est encore mieux 8)
C'est une invitation ? :nice:
Hiver 1778/1779
Situation générale à fin février 1779 :
Villes obectifs loyalistes hors carte :
Québec, Halifax, Ft Niagara, Ft Detroit, Pensacola, Kingston.
Ville objectif insurgée hors carte :
Pittsburg.
Objectifs fixés par le Grand Etat-Major pour l'année 1779 :
* Sécuriser la Nelle Angleterre
* Ecraser le corps exépditionnaire français
* Conserver Norfolk
* Conserver nos villes stratégiques en Caroline.
[/quote]
Posté : jeu. mai 17, 2007 1:53 pm
par Bartimeus
Alors, la courone d'angletaire a decider de laisser tomber ça colonie !! ^^ Elle a eu peur devant les troupes française
Posté : lun. mai 21, 2007 9:40 am
par Boudi
Non, la couronne d'Angleterre a pris quelques jours de congés loin de l'ordi. La partie se poursuit à un rythme pépère.
Posté : dim. mai 27, 2007 9:44 pm
par Boudi
Campagne printemps/été 1779. (Mars - août 1779)
Cette campagne, qui a pour but principal de déloger l'ennemi de Nouvelle Angleterre commence fort. Mais pas comme nous l'avions prévu. Après 2 assauts successifs en l'espace de 15 jours, Lord francis Rwadon doit abandonner l'idée de reprendre Charleston (Ft Sullivan) à l'ennemi. Un nouveau coup dur en Caroline du Sud pour les soldats de Sa Majestée.
Mais en Nelle Angleterre, la puissante armée de Lord Clinton, constitué spécialement aux fins d'exterminer les français et les rebelles dans cette colonie, écrase l'ennemi à New London, le 1er juillet. Les 11 batteries de William Philipps, Brigadier Général d'artillerie, ont fait leur oeuvre.
C'est aussi durant cette campagne que le compte d'Estaing, Amiral de la flotte française, commence à perdre ses plus belles unités. Les français n'ont jamais été des marins bien redoutables...
L'été 1779 se termine par de nombreux sièges en cours :
Posté : ven. juin 01, 2007 10:33 pm
par Boudi
Posté : jeu. juin 07, 2007 8:49 pm
par Bartimeus
Erf, j'ai l'impression que l'independence des Etats-Unies est compromis....
Posté : ven. juin 08, 2007 3:32 am
par Boudi
Nos avis convergent.
Posté : ven. juin 08, 2007 3:21 pm
par SeNTEnZa
c'est tres beau ... mais ca a l'air tres confus comme interface ... la prise en main est plutot rapide ? ou c'est un enfer ?
Posté : ven. juin 08, 2007 3:43 pm
par Boudi
Très sincèrement, au départ, ça m'a rebuté. Puis je m'y suis remis quelques semaines plus tard, après quelques AAR de Lafrite & JMLO. C'est passé comme lettre à la poste. Je pense qu'il y a des jours où on est prédisposé à maîtriser les concepts d'un jeu, et des jours non.
Tu peux t'y lancer, je te le conseille franchement. Ou alors attend la sortie de BoA gold, prévue pour l'automne : un BoA avec les améliorations d'ACW, une extension de la carte à l'ouest etc...
Posté : ven. juin 08, 2007 3:48 pm
par Lafrite
Tu peux acheter
BoA maintenant à 27€ et faire l'upgrade en version Gold pour 9.99€ en septembre
Topic sur la version Gold
http://www.ageod.com/forums/showthread.php?t=4144
Posté : ven. juin 08, 2007 9:01 pm
par Boudi
31 août 1781.
La victoire finale approche. Les dernières places insurgées tombent, l’une après l’autre. En cette fin d’été, seuls Fort Detroit, à la frontière des terres connues, et Pittsburgh, en Pennsylvanie, nous échappent encore en tant que site objectif. Les deux places sont assiégées par nos armées : elles tomberont.
Charleston a été prise durant l’hiver, et quelques foyers résiduels de la rébellion restent à mater pour que la ville soit entièrement à nous. Située en caroline du Sud, au climat relativement doux en hiver, nous avons pu nous en emparer courant décembre 1780/janvier 1781.
Alors qu’à la même époque, mais sous l’impitoyable hiver Canadien, les rebelles tentent un assaut sur Montréal perdu d’avance. Néanmoins, cette attaque, qui n’est pas la première, nous pousse à renforcer les défenses de la ville par l’affectation d’un régiment d’infanterie et d’un régiment d’artillerie. 90 jours de marche pour rallier la ville.
Après 4 longs mois de marche, parfois sous la neige, des pertes non négligeables dues à ce transit épuisant, Von Riedesel a enfin atteint Fort Detroit. Le siège des Espagnols est commencé. Au loin, du ravitaillement tente de le rejoindre au plus vite. Mais les distances sont si longues, sur de mauvais chemins. Les déplacements, dès que l’on quitte la côte est, prennent des semaines et des semaines.
Pittsburgh est aussi assiégée. Les distances nous y posent les mêmes problèmes que pour Fort Détroit. Il aura fallu parfois 4 mois de marche pour rejoindre les palissades ennemies. Nous avons du dissocier l’artillerie, plus lente que l’infanterie, et la faire transiter par navire afin de ne pas perdre trop de temps. Car c’est une course contre l’hiver. Pittsburgh doit être enlevée avant les 1ères neiges ou nos hommes vont mourir de froid en des terres hostiles et sauvages.
Mais la voie fluviale est possible du nord au sud, pas d’est en ouest. L’artillerie doit donc poursuivre par ses propres moyens. 3 puissantes armées anglaises marchent ainsi sur la ville rejoindre Burgoyne et ses hommes, déjà sur place. Mais un peu au sud, à Fort Cumberland, une armée américaine de belle taille est repérée. Elle va à la rescousse de Pittsburgh, à n’en pas douter. Ca va chauffer dans la région.
Plus au sud, sur les bords du Potomac, Leslie poursuit sa ronde des villes insurgées. Alexandria sera prise, comme les autres villes tombées entre ses mains depuis Norfolk.
Posté : sam. juin 09, 2007 4:28 pm
par Boudi
Combats de septembre 1781.
Voyant les armées ennemies approcher, Burgoyne pense à juste titre qu'il vaudrait mieux les affronter à l'intérieur de Pittsburgh que sous ses palissades. Aucuen brèche n'a été percée pour l'instant, tant pis, Burgoyne se décide à donner l’assaut tout de même, la garnison de Fort Pittsburgh semble minimale. La décision est bonne : le Fort est pris sans combat : la garnison, jugeant sans doute le rapport de force disproportionné, a abandonné le fort à notre barbe durant la nuit. Fort Pittsburgh est à nous. Les armées de Stewart et Clinton s’approchent à grand pas du fort… l’armée américaine dont nous avons déjà parlé est déjà sur place. Les palissades représentent pour l’instant une faible protection, de multiples brèches ayant déjà été percées par les rebelles..
Philipps, lui, s’est tout simplement fait prendre son artillerie par l’ennemi. Nous pensions bien que faire transiter 4 régiments d’artillerie sans la protection de l’infanterie était ma foi très risqué. Nous avons pris ce risque : nous avons eu tort. Voilà plusieurs dizaines de canons passés à l’ennemi et qui vont se retourner contre nous.
Posté : ven. juin 15, 2007 8:24 pm
par Boudi
Décembre 1781.
C’est terminé. Tout est fini aux Amériques. Les derniers combats nous ont donné les dernières places fortes insurgées.
Aux frontières des territoires, les Espagnols ont été écrasés dans Fort Detroit.
Le même jour, Cornwallis remporte une bataille décisive à Wilmington, au sud de Philadelphie. Rare sont les Américains, qui, privés de Généraux, en réchapperont.
Wilmington occupée par Cornwallis, après les combats :
Leslie s’empare d’Alexandria, mais ses pertes sont lourdes :
Les villes importantes tenues par l’armée anglaise, la rébellion se débande vite. En conséquence, les rares français qui le peuvent rembarquent pour l’Europe. Le 18 décembre 1781, la paix d’Amsterdam est signée entre l’Angleterre, la France et l’Espagne. La guerre aux Amérique est terminée.
Nota : normalement, j’aurais du tenir les objectifs jusqu’en décembre 1783. Mais la partie est déjà bouclée. Je vois mal l’IA me reprendre quoi que ce soit.
Posté : ven. juin 15, 2007 9:22 pm
par Lafrite
Excellent AAR.
Maintenant tu peux essayer l'autre camp, ce sera beaucoup moins simple
Posté : sam. juin 16, 2007 1:42 pm
par Boudi
Merci !
Ma prochaine partie BoA, elle sera en PBEM. Encore moins simple ! 8)
Posté : sam. juin 16, 2007 2:35 pm
par jmlo
Boudi a écrit :
Ma prochaine partie BoA, elle sera en PBEM. Encore moins simple ! 8)
Ce sera plus simple coté anglais ...
