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LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : jeu. oct. 23, 2014 1:50 pm
par jolou
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Salut a tous, pour les vacances, je vous propose un petit jeu, je suis sur que tout le monde a eu envie de faire faire d'autre choix a napoléon (Pour lui faire donner le pouvoir aux rois, le faire fuir, envahir l'Angleterre, le tuer pour favoriser louis XVIII .... :o: ) donc j'ai acheté le livre Vous êtes Napoléon Bonaparte et je vais donc accepter quatre joueurs qui j'en sur feront le bon choix !
J'attend donc l'arrivé de quatre courageux joueurs avant de commencer les hostilité par un gros gros pavé :o:

Peu d'hommes ont eu un destin comparable à celui de Napoléon Bonaparte. Peu d'hommes ont à ce point marqué l'histoire du monde...
La vie de Napoléon n'a cependant été qu'une suite de prises de risques parfois extraordinairement audacieux et de choix cruciaux qui modifièrent du tout au tout le destin de la France et de l'Europe.
Vous êtes Napoléon Bonaparte.
Quels vont être vos choix, et quel va être votre destin ? Allez-vous devenir empereur des Français et mourir à Sainte-Hélène ?
Allez-vous, lassé des excès de la Révolution, tenter votre chance en Orient ou aux États-Unis d'Amérique ? Allez-vous périr sur un champ de bataille, victime du mauvais sort ?
Ou parviendrez-vous à éviter les erreurs de l'illustre personnage dont vous allez jouer le rôle, pour mourir tranquillement dans votre lit, dans une France impériale prospère et en paix avec le reste de l'Europe ?
La plupart des choix proposés dans ce livre ne font appel qu'à votre bon sens ou à votre jugement stratégique de la situation. Parfois, cependant, les risques encourus par Napoléon furent tels que l'échec ou la réussite étaient aussi aléatoires qu'un jet de dés : c'est pourquoi vous êtes invité à vous munir d'un dé ordinaire à six faces.
Votre histoire débute le 15 août 1769, jour de la naissance du futur empereur, dans votre maison de famille d'Ajaccio. Le destin de Napoléon Bonaparte est entre vos mains.
Refaites l'Histoire et changez la face du monde...

Voila donc, Soldats présentez vous :o:

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaporte

Posté : jeu. oct. 23, 2014 1:52 pm
par Nabulio
A chaque fois je ne suis pas assez rapide, cette fois j'en profite. Présent !

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaporte

Posté : jeu. oct. 23, 2014 1:53 pm
par griffon
Pourquoi pas ? ;)

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaporte

Posté : jeu. oct. 23, 2014 1:55 pm
par Reborn
J'en suis. :o:

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaporte

Posté : jeu. oct. 23, 2014 1:59 pm
par Elvis
Poreil, Je tente egolement : :wink:

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaporte

Posté : jeu. oct. 23, 2014 2:03 pm
par DarthMath
Ay Caramba !! :yho: A 2 mn près !! :chicos:

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaporte

Posté : jeu. oct. 23, 2014 2:05 pm
par Lunarc
J'en suis!

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaporte

Posté : jeu. oct. 23, 2014 2:08 pm
par stratcom
Trop tard. :o:

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaporte

Posté : jeu. oct. 23, 2014 2:09 pm
par gladiatt
Méfie toi Jolou, on avait réussi a saborder Kennedy ! Attends toi à l'apocalypse ici :mrgreen:

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaporte

Posté : jeu. oct. 23, 2014 2:14 pm
par Lunarc
gladiatt a écrit :Méfie toi Jolou, on avait réussi a saborder Kennedy ! Attends toi à l'apocalypse ici :mrgreen:
Un lien!Un lien! :clap:

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaporte

Posté : jeu. oct. 23, 2014 2:18 pm
par gladiatt

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaporte

Posté : jeu. oct. 23, 2014 2:29 pm
par jolou
Bah allez je vous prend tous ! Soyons fou ! (Je me rappelle aussi que vous avez fait tuez napoléon par un hussard non? )


Lunarc, gladiatt, DarthMath, stratcom, Elvis, Reborn, griffon, Nabulio.
Vous êtes né le 15 août 1769 à Ajaccio, dans l'île de Corse, le deuxième d'une famille de petite noblesse comportant huit enfants, honorablement connue mais peu fortunée. Malgré une tradition d'indépendance, votre petite patrie, la Corse, vient de passer de la tutelle de la république italienne de Gênes à celle du royaume de France, à la suite du combat de Pontenuovo où les troupes royales françaises ont sévèrement battu les indépendantistes corses dirigés par le général Pascal Paoli et parmi lesquels on trouvait votre père Charles Buonaparte.
Vos parents ont cependant eu par la suite des relations amicales avec le comte de Marbeuf, commandant des troupes françaises en Corse. L'appui du comte a permis d'obtenir des bourses d'étude pour trois enfants Buonaparte, dont une d'élève officier au collège militaire de Brienne en votre faveur. On vous considère, à Brienne puis à l'École royale de Paris, comme un demi-étranger, pauvre, réservé, mais énergique, excellent en mathématiques et lisant beaucoup.
En fait, sans en avoir encore pleinement conscience, vous êtes un chef-né, et votre caractéristique principale est l'ambition et la volonté de réussir. Les décisions que vous allez prendre au cours de vos aventures répondront donc d'abord au goût de vivre un destin exceptionnel. Cela ne vous empêchera pas cependant de ressentir d'autres émotions, et d'ajouter à votre ambition personnelle d'autres objectifs si vous le souhaitez.
Pour l'instant, en passe de devenir le premier officier corse de l'armée française, vous devez choisir une spécialité à la fin de vos études militaires.
Préférez-vous :
• l'infanterie, choix le plus classique, où il y a le plus grand nombre de commandements disponibles ?
• la cavalerie, dont les coûteux uniformes vous paraissent les plus prestigieux ?
• ou l'artillerie, arme moderne, technique, qui jouera à votre avis un rôle toujours plus important dans les batailles ?
Ce choix effectué n'a pas de conséquence immédiate.

En 1789, l'année de vos vingt ans, alors que vous êtes lieutenant en garnison à Valence, la France entre dans une période extraordinaire et violente. On proclame pour la première fois que tous les hommes doivent être libres et égaux en droits. La masse du peuple français et surtout la bourgeoisie éduquée n'acceptent plus les privilèges héréditaires, comme l'exemption d'impôt, dont bénéficient la noblesse et le clergé. Le roi Louis XVI, en principe tout-puissant, mais faible de caractère, voit son autorité et son prestige contestés.
Le 14 juillet, la foule parisienne révoltée prend d'assaut la forteresse royale de la Bastille et en massacre la garnison. Le roi accepte que des représentants de la noblesse, du clergé et du « tiers état » (tous les autres Français, soit plus de 90 % de la population) forment une assemblée chargée d'établir un nouveau système de gouvernement en France. On se dirige à grands pas vers une société sans privilèges où tous auront les mêmes droits. Ces événements politiques agitent les officiers français, tous d'origine noble. Bientôt certains vont partir à l'étranger.
Vous vous sentez plus corse que français et voyez dans ces troubles politiques une occasion de lutter pour l'indépendance de votre patrie et d'y jouer un rôle prépondérant. Votre père était devenu pro-français par opportunisme, mais il est mort d'un cancer. La Corse est divisée en trois factions : les indépendantistes sont dirigés par le général Paoli, tandis que les partisans de la France se répartissent en deux groupes, l'un en faveur du Roi, avec pour chef Buttafuoco, l'autre populaire et
bientôt républicain, avec à sa tête Salicetti. Vous et votre frère Lucien n'avez aucune sympathie pour Buttafuoco et le pouvoir royal, mais vous gardez des amis dans les deux autres clans.
De passage à Ajaccio à l'occasion d'une permission, vous haranguez la foule enthousiaste contre les troupes du Roi. Un groupe armé est prêt à vous suivre...
Allez-vous passer aux actes et marcher contre la garnison ?
• Oui
• Non

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaporte

Posté : jeu. oct. 23, 2014 2:34 pm
par Lunarc
jolou a écrit :Bah allez je vous prend tous ! Soyons fou ! (Je me rappelle aussi que vous avez fait tuez napoléon par un hussard non? )


Lunarc, gladiatt, DarthMath, stratcom, Elvis, Reborn, griffon, Nabulio.
Vous êtes né le 15 août 1769 à Ajaccio, dans l'île de Corse, le deuxième d'une famille de petite noblesse comportant huit enfants, honorablement connue mais peu fortunée. Malgré une tradition d'indépendance, votre petite patrie, la Corse, vient de passer de la tutelle de la république italienne de Gênes à celle du royaume de France, à la suite du combat de Pontenuovo où les troupes royales françaises ont sévèrement battu les indépendantistes corses dirigés par le général Pascal Paoli et parmi lesquels on trouvait votre père Charles Buonaparte.
Vos parents ont cependant eu par la suite des relations amicales avec le comte de Marbeuf, commandant des troupes françaises en Corse. L'appui du comte a permis d'obtenir des bourses d'étude pour trois enfants Buonaparte, dont une d'élève officier au collège militaire de Brienne en votre faveur. On vous considère, à Brienne puis à l'École royale de Paris, comme un demi-étranger, pauvre, réservé, mais énergique, excellent en mathématiques et lisant beaucoup.
En fait, sans en avoir encore pleinement conscience, vous êtes un chef-né, et votre caractéristique principale est l'ambition et la volonté de réussir. Les décisions que vous allez prendre au cours de vos aventures répondront donc d'abord au goût de vivre un destin exceptionnel. Cela ne vous empêchera pas cependant de ressentir d'autres émotions, et d'ajouter à votre ambition personnelle d'autres objectifs si vous le souhaitez.
Pour l'instant, en passe de devenir le premier officier corse de l'armée française, vous devez choisir une spécialité à la fin de vos études militaires.
Préférez-vous :
• l'infanterie, choix le plus classique, où il y a le plus grand nombre de commandements disponibles ?
• la cavalerie, dont les coûteux uniformes vous paraissent les plus prestigieux ?
• ou l'artillerie, arme moderne, technique, qui jouera à votre avis un rôle toujours plus important dans les batailles ?
Ce choix effectué n'a pas de conséquence immédiate.

En 1789, l'année de vos vingt ans, alors que vous êtes lieutenant en garnison à Valence, la France entre dans une période extraordinaire et violente. On proclame pour la première fois que tous les hommes doivent être libres et égaux en droits. La masse du peuple français et surtout la bourgeoisie éduquée n'acceptent plus les privilèges héréditaires, comme l'exemption d'impôt, dont bénéficient la noblesse et le clergé. Le roi Louis XVI, en principe tout-puissant, mais faible de caractère, voit son autorité et son prestige contestés.
Le 14 juillet, la foule parisienne révoltée prend d'assaut la forteresse royale de la Bastille et en massacre la garnison. Le roi accepte que des représentants de la noblesse, du clergé et du « tiers état » (tous les autres Français, soit plus de 90 % de la population) forment une assemblée chargée d'établir un nouveau système de gouvernement en France. On se dirige à grands pas vers une société sans privilèges où tous auront les mêmes droits. Ces événements politiques agitent les officiers français, tous d'origine noble. Bientôt certains vont partir à l'étranger.
Vous vous sentez plus corse que français et voyez dans ces troubles politiques une occasion de lutter pour l'indépendance de votre patrie et d'y jouer un rôle prépondérant. Votre père était devenu pro-français par opportunisme, mais il est mort d'un cancer. La Corse est divisée en trois factions : les indépendantistes sont dirigés par le général Paoli, tandis que les partisans de la France se répartissent en deux groupes, l'un en faveur du Roi, avec pour chef Buttafuoco, l'autre populaire et
bientôt républicain, avec à sa tête Salicetti. Vous et votre frère Lucien n'avez aucune sympathie pour Buttafuoco et le pouvoir royal, mais vous gardez des amis dans les deux autres clans.
De passage à Ajaccio à l'occasion d'une permission, vous haranguez la foule enthousiaste contre les troupes du Roi. Un groupe armé est prêt à vous suivre...
Allez-vous passer aux actes et marcher contre la garnison ?
• Oui
• Non
-L'artillerie, arme moderne, technique, qui jouera à votre avis un rôle toujours plus important dans les batailles!
-Et oui,on se lance a l'attaque de la garnison!

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaporte

Posté : jeu. oct. 23, 2014 2:35 pm
par gladiatt
- artillerie, arme moderne, puissante, élégante, rafinée :mrgreen:
- non, on ne fait rien ( modèle queue plate de sous préfecture, en hommage à un éminent membre du QG :mrgreen: )

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaporte

Posté : jeu. oct. 23, 2014 2:37 pm
par DarthMath
Artillerie / Non
:signal:

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaporte

Posté : jeu. oct. 23, 2014 2:38 pm
par griffon
Artillerie

Nous marchons contre les suppôts de la tyrannie .

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaporte

Posté : jeu. oct. 23, 2014 2:38 pm
par Nabulio
-L'artillerie, l'arme savante.
-On ne fait rien, je ne veux pas être le roitelet de la Corse, un plus grand destin m'attend.

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaporte

Posté : jeu. oct. 23, 2014 2:51 pm
par stratcom
> Cavalerie. Image

> On marche contre la garnison.

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaporte

Posté : jeu. oct. 23, 2014 3:01 pm
par Elvis
Artillerie
Et bien evidemment nous marchons contre la garnison

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaporte

Posté : jeu. oct. 23, 2014 3:10 pm
par jolou
Lunarc, griffon, stratcom, elvis
Lorsque vous le sommez de faire déposer les armes, le chef des troupes royalistes garde son sang-froid et dispose ses canons. L'enthousiasme de vos partisans se rafraîchit vite et vous décidez d'attendre des renforts avant de donner l'assaut à la garnison. Malheureusement, au bout de quelques heures d'une situation tendue, c'est un nouveau détachement de troupes royales qui surgit sur vos arrières.
Toute résistance est maintenant inutile. Vous êtes désarmé. Vous savez qu'en tant qu'officier rebelle, vous pouvez être fusillé. Le chef du détachement qui vous a fait mettre bas les armes attend des instructions de son supérieur hiérarchique. L'évolution de la situation politique à Paris, où le pouvoir passe de plus en plus aux révolutionnaires, contre lesquels le Roi fait preuve d'une grande mollesse, fait réfléchir le général, qui doit prendre une décision. Ne souhaitant ni attiser les troubles ni prendre des mesures qui pourraient lui être reprochées par la suite, il donne l'ordre de vous libérer.
Vos propres opinions vis-à-vis de la France évoluent. Il est vrai que la situation a changé. La Corse est reconnue territoire national français avec les mêmes droits que les autres provinces. Le pouvoir est maintenant détenu à Paris par une nouvelle assemblée, la Convention, qui veut aller très vite pour promouvoir l'idéal de liberté, supprimer les privilèges des classes supérieures, permettre à la grande majorité des Français de devenir propriétaire, à tous d'être instruits, et rêve enfin de proclamer la République. Vous adhérez à ce programme, en vous disant qu'un gouvernement républicain facilitera la réussite d'un homme comme vous, sans fortune, mais plein de talent et d'énergie. Vous vous êtes fait nommer, en tant qu'officier, commandant en second derrière Paoli de la Garde nationale corse, formée de volontaires
pro-républicains. Préparation d'élections, réunions politiques mouvementées, bagarres, discours antiroyalistes enflammés, vous êtes l'un des Corses les plus en vue pendant cette période troublée. Mais au dessus d'Ajaccio se dresse la citadelle menaçante, toujours aux mains des troupes royalistes.

Les plus échauffés parmi vos partisans vous proposent de lancer la Garde nationale et une partie de la population d'Ajaccio à l'assaut de la citadelle pour en chasser l'armée.
• Si vous acceptez, rendez-vous au «84», page 41.
• Si vous refusez, rendez-vous au «100», page 47.
Nabulio, DarthMath, Gladiatt ( :mrgreen: )
Vos propres opinions vis-à-vis de la France évoluent. Il est vrai que la situation a changé. La Corse est reconnue territoire national français avec les mêmes droits que les autres provinces. Le pouvoir est maintenant détenu à Paris par une nouvelle assemblée, la Convention, qui veut aller très vite pour promouvoir l'idéal de liberté, supprimer les privilèges des classes supérieures, permettre à la grande majorité des Français de devenir propriétaire, à tous d'être instruits, et rêve enfin de
proclamer la République. Vous adhérez à ce programme, en vous disant qu'un gouvernement républicain facilitera la réussite d'un homme comme vous, sans fortune, mais plein de talent et d'énergie. Vous vous êtes fait nommer, en tant qu'officier, commandant en second derrière Paoli de la Garde nationale corse, formée de volontaires pro-républicains. Préparation d'élections, réunions politiques mouvementées, bagarres, discours antiroyalistes enflammés, vous êtes l'un des Corses les plus en vue pendant cette période troublée. Mais au dessus d'Ajaccio se dresse la citadelle menaçante, toujours aux mains des troupes royalistes.
Les plus échauffés parmi vos partisans vous proposent de lancer la Garde nationale et une partie de la population d'Ajaccio à l'assaut de la citadelle pour en chasser l'armée.
• Si vous acceptez, rendez-vous au «84», page 41.
• Si vous refusez, rendez-vous au «100», page 47.
Bon ben, vous revoila devant le même choix, tous ensemble :lolmdr:

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaporte

Posté : jeu. oct. 23, 2014 3:14 pm
par stratcom
> On monte à l'assaut de la citadelle.

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaporte

Posté : jeu. oct. 23, 2014 3:19 pm
par DarthMath
Je voudrais savoir ce que propose Paoli pour pouvoir faire l'inverse !! :o: :chicos:
Bon sinon, je refuse ... 100

Ah, au fait, il y a marqué "Bonaporte" en titre ... ça la fout mal ... :o: :wink:

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : jeu. oct. 23, 2014 3:24 pm
par jolou
Je vois pas de quoi tu veux parler :o:

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : jeu. oct. 23, 2014 3:28 pm
par gladiatt
Niet, nein, 100 !

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : jeu. oct. 23, 2014 3:32 pm
par Nabulio
Montez à l'assaut d'une forteresse qui ne m'a rien faite, et puis quoi encore ?
• Si vous refusez, rendez-vous au «100», page 47.

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : jeu. oct. 23, 2014 3:51 pm
par Elvis
Calmons nos braves partisans : Le temps n'est pas encore propice a la bataille...
Patience est mere de vertu...


• Si vous refusez, rendez-vous au «100», page 47.

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : jeu. oct. 23, 2014 3:52 pm
par Reborn
Hého, j'ai pas joué moi ! :o: :y en a qui bosse:

Donc, je prend l'infanterie car on n'est pas une mauviette.
Et on ne charge pas la garnison.

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : jeu. oct. 23, 2014 4:02 pm
par Lunarc
84

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaporte

Posté : jeu. oct. 23, 2014 4:06 pm
par gladiatt
DarthMath a écrit : Ah, au fait, il y a marqué "Bonaporte" en titre ... ça la fout mal ... :o: :wink:
Toi, tu vas finir par prendre la Bona-porte.... :o:

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : jeu. oct. 23, 2014 4:11 pm
par Reborn
100 - Je refuse.

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : jeu. oct. 23, 2014 5:05 pm
par griffon
A l'assaut , ca passe ou ca casse !

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : jeu. oct. 23, 2014 6:06 pm
par jolou
Griffon, Lunarc, stratcom
Le commandant de la citadelle ne se laisse pas impressionner. Une fusillade brève mais violente éclate et fait une dizaine de morts parmi vos compagnons. Les soldats sont bien abrités derrière leurs remparts, bien approvisionnés, bien commandés, et peuvent bombarder la ville avec leur artillerie. Il faut vous résigner à l'échec.Craignant les représailles, vous quittez la Corse pour monter à Paris. Sans argent, considéré par les conservateurs comme un dangereux agitateur, vous mettez votre espoir dans les extrémistes dirigés par Robespierre.
Robespierre et ses amis l'emportent. La République est proclamée et le Roi sera bientôt guillotiné. L'armée française est en pleine mutation, comme tout le pays. Vous êtes considéré par le nouveau gouvernement comme un jeune officier politiquement sûr, et recevez le grade de capitaine avec le commandement d'un bataillon en Corse, sous les ordres du général Paoli, gouverneur militaire de l'île.
Cependant, l'attitude de Paoli suscite bientôt la méfiance de la Convention. Il a en effet pris des contacts de plus en plus fréquents avec des envoyés anglais, ennemis de la France. Vous recevez secrètement de Paris une lettre vous donnant pour instruction d'arrêter Paoli.
C'est un ordre terrifiant, car il ne sort quasiment jamais d'Ajaccio, et presque toute la population de la ville est de son côté. Décidez-vous :
• De rassembler les soldats en lesquels vous avez le plus confiance, et d'arrêter Paoli ? Rendez-vous au «345», page 167.
• De révéler à Paoli l'ordre secret de la Convention et de passer dans le camp pro-anglais ? Rendez-vous au «51», page 24.
• Ou, aucune de ces deux solutions ne vous paraissant satisfaisante, de continuer à entretenir des relations normales, bien que de plus en plus distantes, avec Paoli, tout en écrivant à la Convention que vos forces sont insuffisantes pour procéder à l'arrestation demandée, et que du reste il n'y a pas de preuve de la trahison du général ? Rendez-vous au «153», page 72.

reborn, Elvis, Nabulio, gladiatt, Darthmath
Les événements se précipitent. Sous le prétexte de secourir la famille royale française, tous les rois d'Europe se sont unis contre la France, dont ils jalousent la puissance et dont la république révolutionnaire représente une menace pour leurs régimes. L'Angleterre, pays le plus riche et industrialisé, y voit l'occasion d'abaisser un concurrent dangereux et de s'emparer des colonies françaises grâce à la supériorité de la marine de guerre anglaise sur toutes les mers.
Sur le continent européen, l'Autriche et la Prusse sont les ennemis les plus menaçants. Ces deux pays hésitent cependant à s'engager militairement à fond contre la France, car ils craignent que la Russie, restée neutre, ne s'empare pendant ce temps de toute la Pologne.
En proie à la guerre civile dans l'Ouest, où Vendéens et Bretons sont restés en majorité royalistes, en pleine crise économique et financière, la France peut compter en revanche sur l'enthousiasme et l'énergie des jeunes troupes républicaines.
Cependant, une grave menace se précise. Craignant pour leurs biens ou leurs têtes, les commerçants de Toulon ont livré par surprise leur ville et les 32 navires qui se trouvaient au port à 30 000 soldats anglais, italiens, espagnols transportés par l'escadre britannique de l'amiral Hood. Si cette tête de pont se renforce, les armées étrangères pourront remonter vers Lyon, grande ville pro-royaliste. Ce sera probablement la fin de la République.
Vous savez que dans cette circonstance critique les officiers républicains devront prendre de grands risques, mais que les promotions seront rapides. Il faut absolument vous distinguer dans la bataille pour reprendre Toulon.
Reborn
Dommage, car l'état-major du général Carteaux est bien pourvu en officiers d'infanterie et de cavalerie, alors que les artilleurs n'ont pas de chef compétent. Pour vous distinguer, il va vous falloir prendre la tête des troupes marchant à l'assaut des lignes anglaises, où vous distinguez les uniformes rouges bien abrités derrière les fortifications.
Plusieurs assauts se brisent devant le feu précis des Anglais. La situation empire. Les ordres du général Carteaux sont incohérents, on entend partout dans le camp français les râles des mourants et les gémissements des blessés qui sont mal soignés. La France et l'Europe entière attendent dans l'angoisse les résultats de la bataille de Toulon. Il faut en finir : vaincre ou mourir.
(Lancé de dé qui crée le scénario du milieu, tu ne meurt pas, mais la bataille est perdue)
L'attaque désordonnée des Français est repoussée avec plusieurs milliers de morts. Il faut lever le siège. Cette grave défaite a un retentissement immense en France. Partout les royalistes reprennent confiance. Aidés par les armées étrangères qui convergent vers le coeur du pays, ils ne tardent pas à triompher dans plusieurs grandes villes, ainsi qu'à Paris où votre régiment a été rappelé d'urgence.
Malgré vos efforts, les royalistes triomphent et occupent la Convention.
Vous êtes jeté en prison.
Les artisans et ouvriers des faubourgs donnent des signes d'agitation contre les royalistes vainqueurs qui tergiversent. Ce répit vous sauve. Les généraux républicains Hoche et Jourdan ont réussi à stopper l'avance des armées ennemies et foncent sur Paris à marches forcées avec quatre divisions. Quelques jours plus tard, la République est restaurée par les armes et tous les prisonniers politiques libérés. Vous l'avez échappé belle.

Le gouvernement est maintenant dans les mains de cinq « directeurs », surnommés « les cinq rois ». Parmi eux se trouve Barras, qui a fait de vous son protégé.
Vous êtes nommé général de division et votre rôle consiste à maintenir l'ordre contre les opposants de droite comme de gauche. Votre solde a été sensiblement augmentée; elle vous permet d'habiter un bel hôtel particulier rue des Capucines, d'envoyer de l'argent à votre famille et d'offrir de coûteux cadeaux à la belle Mme de Beauharnais, l'ancienne amie de Barras. Elle n'est pas insensible à vos attentions et à vos regards enflammés, et votre cour est bientôt couronnée de succès.
Peu importe qu'elle ait six ans de plus que vous et deux enfants, vous êtes amoureux fou et passez avec elle plusieurs nuits inoubliables.
Mais votre gentille fiancée de vingt ans, Désirée, continue à vous envoyer de Marseille des lettres pleines de tendresse. Il vous faut maintenant choisir entre deux femmes.
• Allez-vous, comme le souhaite votre mère, choisir la douce Désirée et considérer que votre relation avec Mme de Beauharnais n'était qu'une brève passion, agréable mais sans avenir ? Rendez-vous au «192», page 90.
• Ou bien trouvez-vous que Mme de Beauharnais, gaie, spirituelle, a beaucoup trop de classe et de sensualité pour que vous y renonciez, d'autant que par ses relations elle peut être fort utile à votre carrière ? Rendez-vous au «338», page 163.
Elvis, Nabulio, gladiatt, Darthmath
Vous n'êtes pas long à démontrer que l'artillerie de siège dont dispose le général Carteaux a été disposée de façon inefficace. Examinant tout, disposant vos canons aux meilleurs emplacements, encourageant vos soldats, vous déployez une activité prodigieuse mais vous vous heurtez à l'ignorance de Carteaux, ancien peintre qui doit ses galons à la politique et qui sait peut-être réprimer une émeute mais sûrement pas diriger une armée. Ses décisions militaires sont catastrophiques. Vous êtes certain qu'un meilleur plan d'attaque peut faire tomber la résistance de la ville. Vous avez gardé les stupides ordres écrits que vous a adressés Carteaux.
Vous n'êtes que capitaine. Allez-vous prendre le risque d'écrire aux commissaires de la République Barras, Gasparin et Robespierre le Jeune, afin de demander le remplacement de votre chef ?
• Si oui, rendez-vous au «19», page 11.
• Si vous renoncez à cette idée, rendez-vous au «333», page 161.

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : jeu. oct. 23, 2014 6:11 pm
par Lunarc
Arrêtons le traître a la République! :yho:
345!

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : jeu. oct. 23, 2014 6:17 pm
par Reborn
338 - On laisse tomber la vieille et on se rabat sur la jeunette. Image

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : jeu. oct. 23, 2014 6:20 pm
par Elvis
Le sort de la République est en jeu, et nous devons faire ce qui est nécessaire pour assurer la victoire
Le général Carteaux est incompétent et doit être remplacé
Nous avertissons donc les commissaires de la république ...

• Si oui, rendez-vous au «19», page 11.

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : jeu. oct. 23, 2014 6:21 pm
par griffon
La convention est l'émanation du peuple souverain

obéir est un devoir , 345 p167

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : jeu. oct. 23, 2014 6:50 pm
par gladiatt
Expliquons aux Représentants de la République comment une guerre doit être menée, et virons Carteaux !!
- rendez vous au 19, page 11

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : jeu. oct. 23, 2014 7:20 pm
par Nabulio
Jouons au Corbeau et virons les incompétents !
• Si oui, rendez-vous au «19», page 11.

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : jeu. oct. 23, 2014 7:40 pm
par stratcom
Même pas peur. :o:

• De rassembler les soldats en lesquels vous avez le plus confiance, et d'arrêter Paoli ? Rendez-vous au «345», page 167.

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : jeu. oct. 23, 2014 8:12 pm
par sval06
:sad: trop tard... suis pas en vacances :|

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : jeu. oct. 23, 2014 8:19 pm
par DarthMath
Dénonçons, dénonçons ... :siffle: 19

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : jeu. oct. 23, 2014 10:28 pm
par Lunarc
Je serais sans doute pas là demain matin(et je suis pas sur d'être présent pour l'aprem...)

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : ven. oct. 24, 2014 9:32 am
par jolou
Lunarc, Griffon, Stratcom
Vous avez pris une décision courageuse mais difficile. L'intervention
de votre troupe n'est pas passée inaperçue, et bientôt une émeute
éclate pour protéger Paoli.
Jet de dé pour les trois (Qui donne a chacun un résultat différent :goutte: )

Stratcom
Comme vous le craigniez, les choses se passent mal. Vous n'avez pu rassembler qu'une vingtaine de gardes nationaux pour arrêter l'homme le plus populaire de Corse. En arrivant à son domicile, vous constatez qu'il n'est pas seul, et bientôt une foule de ses partisans déchaînés se rue sur votre petite troupe pour délivrer le général. Plusieurs coups de feu éclatent, vous atteignant en pleine poitrine. Vous étiez un jeune homme plein d'énergie et l'un de vos professeurs avait dit de vous : « Ira loin si les circonstances le favorisent. » Cela n'a pas été le cas. Votre jeune carrière se termine ici. Votre famille s'attachera, dans la tradition corse, à vous venger, mais pour vous cela ne fait plus aucune différence.
Griffon
Comme vous le craigniez, les choses se passent mal. Vous n'avez pu rassembler qu'une vingtaine de gardes nationaux pour arrêter l'homme le plus populaire de Corse. En arrivant à son domicile, vous constatez qu'il n'est pas seul, et bientôt une foule de ses partisans déchaînés se rue sur votre petite troupe pour délivrer le général. Plusieurs coups de feu éclatent et des corps ensanglantés s'effondrent autour de vous. Il vous faut rapidement battre en retraite et fuir.Ayant réussi à traverser la montagne, vous parvenez à Bastia d'où vous repartez vers Ajaccio sur un brick, avec 400 républicains à bord. La citadelle vous reçoit à coups de canon. Vous apercevez à la longuevue, sur une plage, quelques kilomètres plus au nord, un petit groupe de personnes qui brandit un drapeau français. Vous vous rendez compte avec émotion qu'il comprend votre mère Letizia et plusieurs de vos frères et soeurs. Recueillis sur votre navire, ils vous apprennent que le domaine familial a été saccagé et que votre tête a été mise à prix par l'Assemblée corse acquise à Paoli. Il faut vous réfugier en France avec votre famille.
Chassé, proscrit de votre île natale, ainsi que votre famille, par les alliés de l'Angleterre, cette fois pas de doute, vous vous sentez bien français et républicain. Une fois votre famille modestement installée à Toulon, vous réintégrez l'armée française basée à Nice et participez à la répression d'un soulèvement de royalistes à Avignon.
Votre personnalité et vos idées politiques s'affirment. Vous être ennemi de l'anarchie, des émeutes sanglantes, de la violence dans les rues, qui plaisent aux extrémistes. Vos ordres, vos prises de position énergiques mais réfléchies sont appréciés par vos supérieurs.
Un soir, on frappe violemment à la porte de votre modeste chambre. C'est un soldat qui vous apporte une invitation d'Augustin Robespierre, dit Robespierre le Jeune, commissaire politique de la République dans la région avec pratiquement droit de vie et de mort sur tout ennemi de la République. Vous l'avez déjà rencontré à Paris et vous savez que son frère aîné Maximilien, surnommé « l'Incorruptible ») et partisan d'une lutte à mort contre les rois et les nobles, devient l'un des hommes forts de la Convention.
• Acceptez-vous l'invitation ? Rendez-vous au «139», page 65.
• Ou invoquez-vous un prétexte pour refuser ? Rendez-vous au «8», page 6.
Lunarc
L'opération n'est pas facile. Vous vous présentez avec une vingtaine de gardes nationaux au domicile de Paoli pour l'arrêter. Il n'est pas seul, et bientôt une troupe hurlante de ses partisans suit votre groupe dans l'espoir de le délivrer. Vous proclamez à la foule menaçante qu'agissant dans la légalité républicaine, vous garantissez au général un procès équitable à Paris, mais qu'il sera immédiatement abattu en cas d'attaque contre vous. La rage au coeur et proférant les pires menaces contre vous et votre famille, ses amis doivent vous laisser vous embarquer avec votre prisonnier sur un brick à destination de Toulon.
Lunarc, Griffon
Chassé, proscrit de votre île natale, ainsi que votre famille, par les alliés de l'Angleterre, cette fois pas de doute, vous vous sentez bien français et républicain. Une fois votre famille modestement installée à Toulon, vous réintégrez l'armée française basée à Nice et participez à la répression d'un soulèvement de royalistes à Avignon.
Votre personnalité et vos idées politiques s'affirment. Vous être ennemi de l'anarchie, des émeutes sanglantes, de la violence dans les rues, qui plaisent aux extrémistes. Vos ordres, vos prises de position énergiques mais réfléchies sont appréciés par vos supérieurs.
Un soir, on frappe violemment à la porte de votre modeste chambre. C'est un soldat qui vous apporte une invitation d'Augustin Robespierre, dit Robespierre le Jeune, commissaire politique de la République dans la région avec pratiquement droit de vie et de mort sur tout ennemi de la République. Vous l'avez déjà rencontré à Paris et vous savez que son frère aîné Maximilien, surnommé « l'Incorruptible ») et partisan d'une lutte à mort contre les rois et les nobles, devient l'un des hommes forts de la Convention.
• Acceptez-vous l'invitation ? Rendez-vous au «139», page 65.
• Ou invoquez-vous un prétexte pour refuser ? Rendez-vous au «8», page 6.
Reborn
Après un mariage avec la belle veuve Beauharnais, expédié à toute allure, vous pénétrez le coeur battant dans la chambre conjugale. Joséphine, c'est le nom de votre épouse, est très attachée à un petit chien et insiste pour qu'il reste dans la chambre.
• Si vous acceptez, rendez-vous au «28», page 15.
• Si vous refusez, au risque de contrarier Joséphine, rendez-vous au «180», page 84.
Elvis, Gladiatt, Nabulio, Darthmath
Vos arguments ont convaincu le gouvernement. Le général Carteaux est remplacé par le général Doppet, ancien médecin. Il est pire que Carteaux, impressionné par le sang, et fait sonner la retraite alors que la victoire était presque acquise. Cette fois, ce sont les troupes, inutilement décimées, qui sont furieuses, proches de la révolte, et exigent un général de métier.Tant de protestations ont été entendues. Doppet est à son tour remplacé par le général Dugommier, vieille ganache sympathique et expérimentée avec qui vous établissez immédiatement un climat de confiance. Impressionné par vos talents, Dugommier vous laisse carte blanche pour établir le plan d'attaque.
L'attaque est un succès complet, et tous s'accordent pour déclarer que le mérite principal vous en revient. Légèrement blessé par un coup de baïonnette anglaise, vous êtes évacué, et directement promu du grade de capitaine à celui de général de brigade, chargé de reconstruire les fortifications de Toulon et de toute la côte de Marseille à Nice contre un éventuel retour des Anglais.
Dans Toulon reconquise, le sublime se mélange à l'horrible. Les bagnards se sont tous portés volontaires pour éteindre les incendies, mais la répression anti-royaliste dirigée par Fouché est épouvantable, et les exécutions sommaires se multiplient. Vous rencontrez par hasard deux jeunes gens compromis dans la collaboration avec les Anglais qui vous supplient de les aider à s'embarquer clandestinement sur un navire.
• Si vous les aidez, rendez-vous au «287», page 137.
• Si vous refusez, rendez-vous au «96», page 46

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : ven. oct. 24, 2014 9:37 am
par stratcom
Ce fut rapide. :o:

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : ven. oct. 24, 2014 9:42 am
par gladiatt
jolou a écrit :L

Elvis, Gladiatt, Nabulio, Darthmath
Vos arguments ont convaincu le gouvernement. Le général Carteaux est remplacé par le général Doppet, ancien médecin. Il est pire que Carteaux, impressionné par le sang, et fait sonner la retraite alors que la victoire était presque acquise. Cette fois, ce sont les troupes, inutilement décimées, qui sont furieuses, proches de la révolte, et exigent un général de métier.Tant de protestations ont été entendues. Doppet est à son tour remplacé par le général Dugommier, vieille ganache sympathique et expérimentée avec qui vous établissez immédiatement un climat de confiance. Impressionné par vos talents, Dugommier vous laisse carte blanche pour établir le plan d'attaque.
L'attaque est un succès complet, et tous s'accordent pour déclarer que le mérite principal vous en revient. Légèrement blessé par un coup de baïonnette anglaise, vous êtes évacué, et directement promu du grade de capitaine à celui de général de brigade, chargé de reconstruire les fortifications de Toulon et de toute la côte de Marseille à Nice contre un éventuel retour des Anglais.
Dans Toulon reconquise, le sublime se mélange à l'horrible. Les bagnards se sont tous portés volontaires pour éteindre les incendies, mais la répression anti-royaliste dirigée par Fouché est épouvantable, et les exécutions sommaires se multiplient. Vous rencontrez par hasard deux jeunes gens compromis dans la collaboration avec les Anglais qui vous supplient de les aider à s'embarquer clandestinement sur un navire.
• Si vous les aidez, rendez-vous au «287», page 137.
• Si vous refusez, rendez-vous au «96», page 46
Qu'ils se débrouillent, z'avait qu'a pas miser le mauvais chameau ! "96" page 46.

Pauvre Stratcom tout de même :sad:

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : ven. oct. 24, 2014 9:43 am
par Nabulio
Pas de passe-droit pour les collabos !
Vous rencontrez par hasard deux jeunes gens compromis dans la collaboration avec les Anglais qui vous supplient de les aider à s'embarquer clandestinement sur un navire.
• Si vous refusez, rendez-vous au «96», page 46

R.I.P. Stratcom :shock:
ça dégomme sec...

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : ven. oct. 24, 2014 10:33 am
par jolou
Pas de chance pour lui mais c'est le jeu ! :o:

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : ven. oct. 24, 2014 11:40 am
par Reborn
Ah je me suis trompé de numéro hier soir. Je veux pas finir avec la vieille Joséphine. :yho:

180 - Bon tant pis, on va se mettre à l'oeuvre mais sans le chien pour mater ... :o:

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : ven. oct. 24, 2014 11:47 am
par griffon
Une invitation chez Robespierre ? Comment refuser ?

j'accepte avec enthousiasme

Rendez-vous au «139», page 65

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : ven. oct. 24, 2014 12:06 pm
par DarthMath
287 car il faut savoir faire preuve de magnanimité et d'empathie pour devenir un grand chef !! :notice: :wink:

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : ven. oct. 24, 2014 12:10 pm
par Nabulio
DarthMath a écrit :287 car il faut savoir faire preuve de magnanimité et d'empathie pour devenir un grand chef !! :notice: :wink:
Social-traître, la patrie aura ta peau !

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : ven. oct. 24, 2014 12:16 pm
par DarthMath
Quand je serai devenu Empereur, je te nommerai à la tête des lanciers polonais de la Garde, pour que tu puisses faire preuve de ton courage au défilé de Somosierra !! :wink:

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : ven. oct. 24, 2014 5:03 pm
par Lunarc
139! :clap:
Revenu juste a temps..... :chicos:

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : ven. oct. 24, 2014 5:16 pm
par jolou
Manque plus que Elvis

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : ven. oct. 24, 2014 7:55 pm
par Elvis
jolou a écrit :Manque plus que Elvis
Désolé, journée tres occupée et je suis de retour à l instant

Il est bien hors de question de supporter des collaborateurs de la perfide albion

Si vous refusez, rendez-vous au «96», page 46

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : ven. oct. 24, 2014 10:05 pm
par jolou
Reborn
Est-ce le soutien de Barras – et l'intérêt qu'il porte à votre épouse – , l'impression favorable ressentie par son collègue Carnot à la lecture de votre audacieux plan de conquête de l'Italie, ou la médiocrité de quelques généraux qu'il faut remplacer ? Toujours est-il qu'un planton vous apporte votre nomination de général en chef de l'armée d'Italie.
C'est une grande promotion, bien que les meilleures armées françaises, commandées par Moreau et Jourdan, soient sur la frontière du Rhin.
On vous laisse entendre que vous êtes chargé de mener une attaque de diversion et de lever de lourdes taxes en Italie du Nord afin de subvenir aux frais de votre armée et si possible de renflouer les caisses de la République. Ces ordres inattendus n'assombrissent pas votre joie, et après une dernière étreinte passionnée avec votre femme, vous roulez vers Nice, siège de votre nouveau quartier général.
Sur place, à Nice, le contact avec votre armée est brutal. La discipline est à peu près nulle, les soldats n'ont pas été payés depuis des mois, la plupart n'ont pas de chaussures et ils ont faim. Vous disposez de 4 000 chevaux plus ou moins malades et de 27 petits canons. Le gouvernement n'a plus d'argent. Vous n'en apportez pas, et des vivres non plus. Il y a 300 000 francs dans la caisse de l'armée, de quoi nourrir les hommes pendant un mois à raison d'un seul repas par jour.
L'accueil de vos adjoints, les généraux Augereau, Masséna, La Harpe, Sérurier, est en outre exécrable. Plus âgés et expérimentés que vous, ils vous considèrent comme un jeune arriviste et ne s'en cachent pas.
Enfin, c'est encore l'hiver, et de l'autre côté des Alpes enneigées se trouvent 25 000 soldats piémontais et 45 000 soldats autrichiens avec 200 canons, sans parler du détachement anglais stationné dans le port de Livourne. Une fois déduits les déserteurs et les malades, vous ne pouvez guère compter que sur 30000 hommes. Il vous faut prendre une décision sur-le-champ.
• Optez-vous pour la prudence, en promettant l'envoi rapide d'argent et de nourriture, et en écrivant au gouvernement que toute offensive est impossible avant l'arrivée de ses subsides ? Rendez-vous au «169», page 78.
54
• Optez-vous pour l'audace ? Vous êtes décidé à galvaniser l'armée, enflammer son enthousiasme à l'idée de pénétrer pour la gloire de la République dans une région fertile, et attaquer l'ennemi immédiatement. Rendez-vous au «259», page 122.
Griffon, Lunarc
Augustin Robespierre vous explique qu'après en avoir parlé à son frère Maximilien, vous êtes pressenti pour commander les 5 000 hommes de la Garde nationale de Paris, dont le rôle est de protéger la Convention et le gouvernement contre toute menace.
La décision qu'on vous demande de prendre est grave. Vous savez que les hommes et les passions vont bientôt se déchaîner, alors que la France est en guerre contre tous ses voisins. Le Roi, sur proposition de Maximilien Robespierre et de quelques autres, vient d'être jugé coupable d'entente avec l'ennemi et de trahison, et guillotiné. Enfin, les luttes entre factions politiques deviennent acharnées. Le commandement qu'on vous propose est une grande marque de confiance et un poste clé. Si vous acceptez, vous misez sur l'amitié de Robespierre. En cas d'échec de celui-ci, votre sort sera lié au sien. Votre ambition vous pousse à accepter mais votre prudence ainsi que la violence excessive de certains amis de Robespierre vous incitent à refuser.
• Si vous acceptez, rendez-vous au «64», page 30.
• Si vous refusez, rendez-vous au «100», page 47.
Elvis,Nabulio, gladiatt
Reconnus et dénoncés par des voisins, les jeunes gens sont rapidement exécutés.
Remarqué au cours du siège de Toulon par des politiciens influents comme Barras et Robespierre le Jeune, dont le frère Maximilien est devenu une sorte de dictateur républicain, vous envisagez l'avenir avec une certaine confiance. Vous faites par-venir aux frères Robespierre et au général Dugommier un plan de conquête de l'Italie avec une armée de 55000 hommes, qui les enthousiasme par sa hardiesse. En même temps, après quelques bonnes fortunes sentimentales, vous vous êtes fiancé à une jeune et charmante Marseillaise, Désirée Clary. Tout va bien.
Formidable coup de théâtre à Paris, dont la nouvelle stupéfie toute la France. Maximilien Robespierre et tous ses amis, qui ont usé et abusé de la guillotine, ont été déclarés hors la loi et exécutés à leur tour à l'instigation de Tallien, Sieyès, Barras et Carnot par une majorité de députés craignant pour leur peau. Vous passez pour un protégé d'Augustin Robespierre, et certains en profitent pour vous décrire comme un dangereux extrémiste. Vous êtes arrêté et une enquête à votre sujet
est ordonnée. Votre aide de camp Junot, que vous avez fait nommer lieutenant à Toulon et qui est amoureux de votre soeur, vous fait remarquer qu'aux heures des repas il n'y a qu'une seule sentinelle dans la cour, et vous propose de tenter l'évasion.
• Si vous acceptez, jetez un dé : si le hasard vous donne 1, rendezvous au «309», page 148; s'il vous donne 2, rendez-vous au «88», page 42 ; s'il vous donne 3, 4, 5 ou 6, rendez-vous au «173», page 80.
• Si vous décidez de rester et d'écrire au gouvernement pour vous justifier, rendez-vous au «231», page 109.
DarthMath
Votre complicité permet aux jeunes Toulonnais de quitter la Francen sur un navire suédois.Remarqué au cours du siège de Toulon par des politiciens influents
comme Barras et Robespierre le Jeune, dont le frère Maximilien est devenu une sorte de dictateur républicain, vous envisagez l'avenir avec une certaine confiance. Vous faites par-venir aux frères Robespierre et au général Dugommier un plan de conquête de l'Italie avec une armée de 55000 hommes, qui les enthousiasme par sa hardiesse. En même temps, après quelques bonnes fortunes sentimentales, vous vous êtes fiancé à une jeune et charmante Marseillaise, Désirée Clary. Tout va bien.
Formidable coup de théâtre à Paris, dont la nouvelle stupéfie toute la France. Maximilien Robespierre et tous ses amis, qui ont usé et abusé de la guillotine, ont été déclarés hors la loi et exécutés à leur tour à l'instigation de Tallien, Sieyès, Barras et Carnot par une majorité de députés craignant pour leur peau. Vous passez pour un protégé d'Augustin Robespierre, et certains en profitent pour vous décrire comme un dangereux extrémiste. Vous êtes arrêté et une enquête à votre sujet est ordonnée. Votre aide de camp Junot, que vous avez fait nommer lieutenant à Toulon et qui est amoureux de votre soeur, vous fait remarquer qu'aux heures des repas il n'y a qu'une seule sentinelle dans la cour, et vous propose de tenter l'évasion.
• Si vous acceptez, jetez un dé : si le hasard vous donne 1, rendezvous au «309», page 148; s'il vous donne 2, rendez-vous au «88», page 42 ; s'il vous donne 3, 4, 5 ou 6, rendez-vous au «173», page 80.
• Si vous décidez de rester et d'écrire au gouvernement pour vous justifier, rendez-vous au «231», page 109.

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : ven. oct. 24, 2014 10:12 pm
par Nabulio
J'ai fois en la justice.
• Si vous décidez de rester et d'écrire au gouvernement pour vous justifier, rendez-vous au «231», page 109.

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : ven. oct. 24, 2014 10:14 pm
par Reborn
169 - On ne fera rien avec une armée d'affamés.

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : ven. oct. 24, 2014 10:23 pm
par Elvis
Je saurai prouver au gouvernement que j ai toujours agit au nom de la République et jamais selon les intérêts de ces vils Robespierre et consort qui méritent leur sort...

• Si vous décidez de rester et d'écrire au gouvernement pour vous justifier, rendez-vous au «231», page 109.

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : sam. oct. 25, 2014 8:20 am
par gladiatt
Je crois que j'ai assez démontré par le passé mon attachement à la cause de la République:
-rendez vous au 231

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : sam. oct. 25, 2014 9:14 am
par griffon
Robespierre n'est pas un tyran

Son poste il le doit au peuple souverain et à ses représentants qui l'ont élu (et au suffrage universel )

Bien évidement que j'en suis !


rendez-vous au «64», page 30

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : sam. oct. 25, 2014 11:16 am
par DarthMath
Tout pareil que mes camarades injustement emprisonnés ... jouer le destin de la France sur un coup de bol aux dés, c'est trop dangereux ... surtout pour moi ... :froid: :chicos:
231 donc. :signal:

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : sam. oct. 25, 2014 1:53 pm
par Lunarc
64,page 30. :signal:

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : sam. oct. 25, 2014 4:34 pm
par jolou
nabulio, Elvis, gladiatt, Darthmath
Votre argumentation est habile. Vous rappelez dans une lettre à la Convention que vous avez donné des preuves irréfutables de votre loyauté envers la République, et que votre famille a perdu pour cette cause tous ses biens en Corse. Si vous avez fréquenté Robespierre le Jeune, c'était pour la lutte commune, en particulier à Toulon, mais vous n'auriez pas hésité à renier cette amitié si vous aviez pensé que les frères Robespierre aspiraient à la dictature. Confiant dans le jugement
de la Convention, vous n'aspirez qu'à rendre de nouveaux services à la République. Vos arguments ont convaincu. Vous êtes réhabilité.
A Paris où vous êtes rentré, l'atmosphère devient plus gaie. La Convention a cependant fort à faire tant avec l'opposition royaliste qu'avec l'opposition « jacobine » ultra-républicaine composée des anciens partisans de Robespierre. La stabilité politique n'est pas encore pour demain. De plus, la République connaît une crise financière qui ne va aller qu'en s'aggravant. La valeur des billets de banque diminue, les désordres de toute nature ont développé le marché noir, les spéculateurs
et les fournisseurs des armées s'enrichissent rapidement alors que les gens modestes ne mangent pas à leur faim.
Réintégré dans l'armée, vous cherchez un nouveau commandement dans l'artillerie en rappelant vos exploits de Toulon, mais le nouveau ministre de la Guerre vous qualifie en privé d'arriviste, et objecte votre jeune âge. On vous propose finalement le commandement de deux régiments d'infanterie envoyés en Vendée contre les insurgés royalistes.
Ce poste ne vous plaît guère, car il s'agit de combattre des Français, et à Toulon vous avez pris goût à commander des artilleurs.
• Si vous vous résignez à accepter, rendez-vous au «240», page 114.
• Si vous refusez en insistant auprès du nouveau gouvernement et notamment de Carnot, Sieyès et Barras pour demander le grade de général d'artillerie à l'armée d'Italie, et en en profitant pour exposer une nouvelle fois votre plan de conquête de ce pays, rendez-vous au «188», page 87.
• Si vous refusez, en demandant plutôt de diriger une mission militaire française chargée de réorganiser l'armée turque, qui pourrait devenir par la suite une alliée, rendez-vous au «9», page 6.
Reborn
Vos problèmes s'aggravent. Les troupes grognent, les vivres s'épuisent, l'argent n'arrive pas, et le gouvernement vous fait savoir qu'il faudra vous en passer ou le prendre où il se trouve, en Italie. Il vous faut quand même passer les Alpes et tenter l'attaque.Vos tergiversations ont affaibli l'armée. Toutefois, vos troupes sont
courageuses, et remportent un premier succès à Montenotte.
Vous foncez à marches forcées sur l'adversaire, trop confiant. La rapidité et l'audace de vos manoeuvres vous donnent la supériorité numérique à chaque combat, alors que l'armée adverse est bien plus nombreuse.
L'agressivité et l'enthousiasme de vos soldats font le reste et vous remportez de brillantes victoires à Millesimo et à Dego, bien que l'ennemi ne soit nullement ridicule. Mieux, vous avez réussi à séparer complètement Piémontais et Autrichiens. Le roi de Piémont panique et demande un armistice pour sauver Turin, sa capitale.
En fait, vous ne disposez pas de gros canons pour assiéger une grande ville fortifiée, mais les Piémontais l'ignorent et les négociations commencent. Votre habileté stupéfie les diplomates chevronnés qui vous sont envoyés et pensaient avoir affaire à un soldat ne connaissant que l'art militaire et qu'il serait aisé de mystifier. Ils en sont pour leurs frais et doivent conclure un accord avantageux pour la France. Le Piémont cesse les hostilités et envoie au gouvernement français, enchanté, une indemnité financière importante. Enfin, votre déclaration suivant laquelle le peuple français souhaite apporter la liberté etveut être l'ami de tous les autres peuples a fortement impressionné les Italiens. Influencés par la propagande anti-française, ils voyaient dans votre armée une bande de tueurs fanatiques traînant des guillotines.
En deux semaines, vous avez remporté des succès éclatants et attiré l'attention de toute l'Europe.
(Reborn a eu de la chance, il a eu un bon lancée de dés mais aurait put se retrouver en déroute a cause de ces tergiversation )

Vous prenez l'habitude de rédiger après chaque victoire des bulletins d'information qui sont lus avec de plus en plus d'intérêt dans toute la France et vont beaucoup contribuer à votre popularité. Mais la conduite de vos soldats vis-à-vis des civils devient préoccupante. Les scènes de pillage de plus en plus violentes se multiplient, ce qui nuit à la discipline et exaspère les populations locales. On vous rapporte un cas particulièrement inexcusable. Trois soldats français se sont rendus coupables de viol et de torture, puis ont massacré toute une famille italienne sans défense. Votre adjoint le général Sérurier vous demande de faire un exemple, à ses yeux indispensable, et de fusiller ces trois hommes.
• Si vous acceptez cette exécution, rendez-vous au «332», page 160.
• Si vous la refusez, rendez-vous au «124», page 58.
Griffon, Lunarc
Vous avez maintenant partie liée avec Maximilien Robespierre.
Cette homme, dont les yeux verts scrutateurs trahissent la fermeté, est calme et élégant. Animé d'une volonté de fer, il est prêt à tout pour le triomphe de ses idées, de la République et de la patrie en danger, et envoie des milliers d'adversaires à la guillotine.
Frappant d'abord à gauche, il vous charge de faire arrêter en une nuit Hébert et ses amis, appelés les Enragés, violemment antireligieux. Vos soldats quadrillent efficacement les quartiers populaires de Paris et les Enragés sont guillotinés sans qu'il y ait de manifestation en leur faveur.
Puis Robespierre frappe à droite et organise le jugement de son rival Danton, qui dirige le groupe des Indulgents et souhaite faire cesser les condamnations à mort. Votre tâche est plus difficile car Danton est populaire, mais vous tenez bien vos troupes en main et il n'y a aucun incident pendant la semaine du procès qui se termine par l'exécution de Danton. Cependant, vous êtes mal à l'aise. Le groupe de Robespierre terrifie tout le monde, mais il va à votre avis trop loin. Allez-vous :
• dire au dictateur que vous êtes lassé de tant d'exécutions, et que vous démissionnez ? Rendez-vous au «367», page 178 ;
• aller trouver Carnot, ministre de la Guerre, et demander une affectation sur les frontières, pour vous battre contre les armées étrangères ? Rendez-vous au «250», page 118 ;
• rester commandant de la Garde nationale de Paris ? Rendez-vous au «238», page 113 ;
• vous enfuir pour les États-Unis ? Rendez-vous au «378», page 184.

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : sam. oct. 25, 2014 4:51 pm
par Reborn
Ce n'est pas de la chance, c'est du talent. :notice:

332 - Évidemment, on les exécute. La loi, c'est moi. :o:

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : sam. oct. 25, 2014 4:58 pm
par griffon
Ce n'est pas que je n'aime pas Robespierre , bien au contraire

mais je suis un militaire qui a besoin d'action .



"aller trouver Carnot, ministre de la Guerre, et demander une affectation sur les frontières, pour vous battre contre les armées étrangères ? Rendez-vous au «250», page 118"

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : sam. oct. 25, 2014 4:59 pm
par gladiatt
jolou a écrit :nabulio, Elvis, gladiatt, Darthmath
Votre argumentation est habile. Vous rappelez dans une lettre à la Convention que vous avez donné des preuves irréfutables de votre loyauté envers la République, et que votre famille a perdu pour cette cause tous ses biens en Corse. Si vous avez fréquenté Robespierre le Jeune, c'était pour la lutte commune, en particulier à Toulon, mais vous n'auriez pas hésité à renier cette amitié si vous aviez pensé que les frères Robespierre aspiraient à la dictature. Confiant dans le jugement
de la Convention, vous n'aspirez qu'à rendre de nouveaux services à la République. Vos arguments ont convaincu. Vous êtes réhabilité.
A Paris où vous êtes rentré, l'atmosphère devient plus gaie. La Convention a cependant fort à faire tant avec l'opposition royaliste qu'avec l'opposition « jacobine » ultra-républicaine composée des anciens partisans de Robespierre. La stabilité politique n'est pas encore pour demain. De plus, la République connaît une crise financière qui ne va aller qu'en s'aggravant. La valeur des billets de banque diminue, les désordres de toute nature ont développé le marché noir, les spéculateurs
et les fournisseurs des armées s'enrichissent rapidement alors que les gens modestes ne mangent pas à leur faim.
Réintégré dans l'armée, vous cherchez un nouveau commandement dans l'artillerie en rappelant vos exploits de Toulon, mais le nouveau ministre de la Guerre vous qualifie en privé d'arriviste, et objecte votre jeune âge. On vous propose finalement le commandement de deux régiments d'infanterie envoyés en Vendée contre les insurgés royalistes.
Ce poste ne vous plaît guère, car il s'agit de combattre des Français, et à Toulon vous avez pris goût à commander des artilleurs.
• Si vous vous résignez à accepter, rendez-vous au «240», page 114.
• Si vous refusez en insistant auprès du nouveau gouvernement et notamment de Carnot, Sieyès et Barras pour demander le grade de général d'artillerie à l'armée d'Italie, et en en profitant pour exposer une nouvelle fois votre plan de conquête de ce pays, rendez-vous au «188», page 87.
• Si vous refusez, en demandant plutôt de diriger une mission militaire française chargée de réorganiser l'armée turque, qui pourrait devenir par la suite une alliée, rendez-vous au «9», page 6.
La République a suffisamment d'ennemis à l'extérieur, je ne tiens pas à combattre des compatriotes, même fourvoyés.
J'insiste auprès du nouveau gouvernement pour être affecté à l'armée d'Italie, en tant que général d'artillerie, c'est ma spécialité, je pourrais rendre de biens meilleurs services grâce à cette arme.
- je me rend au "188", page 87

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : sam. oct. 25, 2014 5:45 pm
par Lunarc
jolou a écrit :
Griffon, Lunarc
Vous avez maintenant partie liée avec Maximilien Robespierre.
Cette homme, dont les yeux verts scrutateurs trahissent la fermeté, est calme et élégant. Animé d'une volonté de fer, il est prêt à tout pour le triomphe de ses idées, de la République et de la patrie en danger, et envoie des milliers d'adversaires à la guillotine.
Frappant d'abord à gauche, il vous charge de faire arrêter en une nuit Hébert et ses amis, appelés les Enragés, violemment antireligieux. Vos soldats quadrillent efficacement les quartiers populaires de Paris et les Enragés sont guillotinés sans qu'il y ait de manifestation en leur faveur.
Puis Robespierre frappe à droite et organise le jugement de son rival Danton, qui dirige le groupe des Indulgents et souhaite faire cesser les condamnations à mort. Votre tâche est plus difficile car Danton est populaire, mais vous tenez bien vos troupes en main et il n'y a aucun incident pendant la semaine du procès qui se termine par l'exécution de Danton. Cependant, vous êtes mal à l'aise. Le groupe de Robespierre terrifie tout le monde, mais il va à votre avis trop loin. Allez-vous :
• dire au dictateur que vous êtes lassé de tant d'exécutions, et que vous démissionnez ? Rendez-vous au «367», page 178 ;
• aller trouver Carnot, ministre de la Guerre, et demander une affectation sur les frontières, pour vous battre contre les armées étrangères ? Rendez-vous au «250», page 118 ;
• rester commandant de la Garde nationale de Paris ? Rendez-vous au «238», page 113 ;
• vous enfuir pour les États-Unis ? Rendez-vous au «378», page 184.
On peut faire quoi,si on fuit vers les States.....? :siffle: :mrgreen:

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : sam. oct. 25, 2014 5:54 pm
par Reborn
Lunarc a écrit :On peut faire quoi,si on fuit vers les States.....? :siffle: :mrgreen:
Choisis l'option et on le saura. :chicos:

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : sam. oct. 25, 2014 6:01 pm
par jolou
Personnellement, je ne l'ai jamais choisis mais bon j'imagine qu'on peut combattre les anglais en 1812 :?

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : sam. oct. 25, 2014 6:03 pm
par Lunarc
D'accord.
Donc,je m'enfuis vers les States,car je trouve que la Révolution s'est fourvoyée dans une mauvaise voie avec Robespierre.
378,page 184

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : sam. oct. 25, 2014 7:13 pm
par Elvis
J argumente auprès du nouveau gouvernement que j ai fait italien en 2eme langue, et que donc je serai plus utile de l'autre coté des Alpes

• Si vous refusez en insistant auprès du nouveau gouvernement et notamment de Carnot, Sieyès et Barras pour demander le grade de général d'artillerie à l'armée d'Italie, et en en profitant pour exposer une nouvelle fois votre plan de conquête de ce pays, rendez-vous au «188», page 87.

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : sam. oct. 25, 2014 9:15 pm
par Nabulio
Hors de question que je tire sur d'autres Français.

Ce poste ne vous plaît guère, car il s'agit de combattre des Français, et à Toulon vous avez pris goût à commander des artilleurs.
• Si vous refusez en insistant auprès du nouveau gouvernement et notamment de Carnot, Sieyès et Barras pour demander le grade de général d'artillerie à l'armée d'Italie, et en en profitant pour exposer une nouvelle fois votre plan de conquête de ce pays, rendez-vous au «188», page 87.

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : dim. oct. 26, 2014 12:43 am
par DarthMath
L'huile d'olive étant de meilleure qualité en Italie qu'en Turquie, je rejoins mes camarades au 188.

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : dim. oct. 26, 2014 10:50 am
par jolou
Lunarc
A Boston, où vous vous êtes provisoirement installé, les récits de vos aventures et des conflits européens intéressent, passionnent parfois, mais ne sont pas vécus comme sur le vieux continent. Les lettres de change sur des banques françaises et anglaises que vous avez emportées ont fait l'objet d'opposition de la part du nouveau gouvernement français, et vous devez faire face aux embarras d'un long et coûteux procès avec des disponibilités financières réduites. L'intérêt pour les Français et votre prestige personnel sont réels et vous valent un cercle d'amis et même d'admirateurs. Mais il faut bien vivre, et trouver des revenus.
L'adaptation à la vie américaine ne se fait pas sans difficulté. Le récit de vos aventures et des conflits européens ne parvient ici que déformé et simplifié. Il existe pourtant un courant de sympathie vis-àvis de la France – dont l'aide a facilité l'indépendance des États-Unis d'Amérique – , de la Révolution française, par réaction contre les régimes monarchiques, et de vous-même parce que vous incarnez assez bien l'une comme l'autre.
Cependant, l'argent manque, d'autant qu'il ne vous a été possible d'emmener qu'une somme assez modeste. Vous décidez de suivre le conseil donné par la banque Morgan de spéculer sur le cours des blés.
Une récolte record fait s'effondrer les cours de Chicago alors que vous aviez spéculé à la hausse. Vous voici ruiné, dans un pays étranger dont vous parlez mal la langue et où la fortune tient lieu de noblesse.
Votre logeuse vous met à la porte. Vous êtes profondément abattu, l'avenir vous semble bouché et misérable. Il vous reste de l'arsenic.
• Si vous optez pour le suicide, rendez-vous au «141», page 66.
• Si vous décidez de refaire votre vie au Texas, rendez-vous au «310», page 148.
• Si vous préférez monnayer vos talents et connaissances dans le milieu plus cultivé de Philadelphie, comme on vous en fait la proposition, rendez-vous au «187», page 87.
Darthmath, Nabulio, Elvis, gladiatt
Votre nouvelle affectation est à l'étude. En attendant, vous goûtez à la vie parisienne. Les nouveaux riches, fournisseurs du gouvernement, spéculateurs heureux ou spécialistes de la revente des terres confisquées au clergé et à la noblesse, donnent des fêtes magnifiques mais souvent scandaleuses. Vous y rencontrez la vicomtesse de Beauharnais dont le mari a été guillotiné. Elle passe pour avoir été l'amie du général Hoche et celle de Barras, politicien influent mais corrompu – on le
surnomme « le roi des pourris » – qui vous a remarqué au siège de Toulon. La beauté et l'élégance de la vicomtesse vous font quelque peu oublier Désirée, votre fiancée marseillaise. Malheureusement, les goûts follement dépensiers de Mme de Beauharnais s'accommodent mal à vos finances et à la modestie du logement que vous occupez rue de la Huchette. Vous sentez bien que les prochains mois peuvent être décisifs pour votre carrière.
C'est maintenant l'opposition royaliste qui devient de plus en plus ouvertement agissante à Paris, tirant parti des luttes entre républicains et de la déception générale. Il y a des rumeurs de coup d'État et la Convention, inquiète, délègue ses pouvoirs militaires à Barras qui ne dispose que de 8 000 soldats dans la région parisienne. Les royalistes peuvent compter sur près du triple d'hommes en armes. Barras cherche un professionnel pour diriger les troupes gouvernementales et connaît vos talents militaires qu'il a pu observer à Toulon. Il vous propose le poste. Vous hésitez. Cette mission est loin d'être gagnée d'avance, elle n'est pas glorieuse et relèverait plus en temps normal d'un chef de la police que d'un militaire. Mais elle peut vous donner le pouvoir.
• Si vous acceptez, rendez-vous au «294», page 140.
• Si vous refusez, rendez-vous au «129», page 60.
• Si vous décidez de retourner votre veste et de passer avec une partie de vos troupes du côté des royalistes, rendez-vous au «207», page 96.
Reborn
Votre fermeté paie. La discipline est restaurée. Les approvisionnements sont assurés, et l'attitude de la majorité des habitants redevient amicale, encore que des petits groupes de partisans attaquent sporadiquement vos soldats isolés.Les Autrichiens, avides de revanche, marchent contre vous. Vous endiguez leur attaque de front, effectuez un brillant mouvement tournant avec votre cavalerie et votre artillerie légère. Stimulant alors l'ardeur de vos grenadiers qui contre-attaquent à Lodi, vous remportez une très belle victoire. Le général ennemi Wurmser doit se réfugier avec 13 000 hommes dans la place fortifiée de Mantoue que vous encerclez
aussitôt, le reste de ses troupes refluant vers l'Autriche. Pleins d'admiration, vos soldats décident entre eux de vous donner affectueusement le surnom de « petit caporal » qui vous restera. Mais vous savez que cette bataille avait une grande importance militaire et politique. Vous pouvez maintenant faire de grands projets.Vous recevez une lettre du Directoire, le gouvernement de Paris. Il vous félicite pour vos victoires et vous annonce son intention de vous placer sous l'autorité du général Kellermann. Obéissant à ses instructions, vous devrez prendre la tête de l0 000 hommes pour attaquer le royaume de Naples tandis qu'il poursuivra la guerre contre les Autrichiens en Italie du Nord.
Cette lettre a sur vous l'effet d'une douche glaciale. Vous êtes furieux. Il est clair que les Directeurs, en butte à l'indifférence ou à l'hostilité croissante de l'opinion publique, s'inquiètent de votre popularité et de l'enthousiasme suscités en France par vos succès. Sans doute n'ont-ils pas apprécié non plus l'esprit d'indépendance dont vous avez fait preuve en traitant avec le Piémont. Vous pensez n'avoir en rien mérité d'être mis sous les ordres d'un autre général. De plus, l'expédition vers Naples vous paraît inutile et dangereuse.
• Vous pouvez vous résigner à accepter la décision de Paris. Rendez- vous alors au «292», page 139.
• Vous pouvez aussi contester cette décision, en accélérant l'envoi d'argent et de chefs-d'oeuvre artistiques à Paris, mais en écrivant à Barras et à Carnot qu'il faut à votre armée un seul chef, Kellermann ou vous, mais pas les deux à la fois, et qu'il faut du reste une conception unique de l'action militaire et diplomatique en Italie. Comme on sait que Kellermann n'a rien d'un négociateur, ce dernier argument, ajouté à vos succès et à la pression de l'opinion publique, peut être décisif pour que vous gardiez seul votre commandement. Mais cette lettre peut aussi servir de prétexte pour vous demander de démissionner. Si vous vous décidez à l'envoyer, rendez-vous au «230», page 108.
Griffon
Carnot n'est pas dupe de vos explications. Mais il sait aussi que la patrie a besoin de militaires de talent. Il vous congédie en vous promettant une réponse dans les deux jours.(Jet de dé loupé pour griffon) Au petit jour, une compagnie entière cerne votre logis. Son commandant vous lit une condamnation à mort du tribunal révolutionnaire. La sentence est immédiatement applicable.Vos justifications sont à peine écoutées. Robespierre a fait bien trop peur et le temps n'est pas aux demi-mesures. Après un jugement expéditif, des gendarmes vous conduisent immédiatement sur une place où se tient une guillotine gardée par la troupe. On ordonne de battre les tambours et quelques curieux regardent votre tête tomber dans la sciure.

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : dim. oct. 26, 2014 11:15 am
par GA_Thrawn
Griffon a été griffonisé :lolmdr: :lolmdr:

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : dim. oct. 26, 2014 11:27 am
par griffon
Je suis fier de mon parcours ,

droit dans mes bottes . :o:

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : dim. oct. 26, 2014 11:32 am
par DarthMath
Le Roi ne reviendra pas !! :notice: 294

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : dim. oct. 26, 2014 11:41 am
par Nabulio
• Si vous acceptez, rendez-vous au «294», page 140.
La Liberté oui, la Chienlit, non !

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : dim. oct. 26, 2014 12:15 pm
par Elvis
J'accepte histoire de redorer mon blason, et me faire quelques amities avec le gouvernement actuel

• Si vous acceptez, rendez-vous au «294», page 140.

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : dim. oct. 26, 2014 1:18 pm
par gladiatt
jolou a écrit :
Darthmath, Nabulio, Elvis, gladiatt
Votre nouvelle affectation est à l'étude. En attendant, vous goûtez à la vie parisienne. Les nouveaux riches, fournisseurs du gouvernement, spéculateurs heureux ou spécialistes de la revente des terres confisquées au clergé et à la noblesse, donnent des fêtes magnifiques mais souvent scandaleuses. Vous y rencontrez la vicomtesse de Beauharnais dont le mari a été guillotiné. Elle passe pour avoir été l'amie du général Hoche et celle de Barras, politicien influent mais corrompu – on le
surnomme « le roi des pourris » – qui vous a remarqué au siège de Toulon. La beauté et l'élégance de la vicomtesse vous font quelque peu oublier Désirée, votre fiancée marseillaise. Malheureusement, les goûts follement dépensiers de Mme de Beauharnais s'accommodent mal à vos finances et à la modestie du logement que vous occupez rue de la Huchette. Vous sentez bien que les prochains mois peuvent être décisifs pour votre carrière.
C'est maintenant l'opposition royaliste qui devient de plus en plus ouvertement agissante à Paris, tirant parti des luttes entre républicains et de la déception générale. Il y a des rumeurs de coup d'État et la Convention, inquiète, délègue ses pouvoirs militaires à Barras qui ne dispose que de 8 000 soldats dans la région parisienne. Les royalistes peuvent compter sur près du triple d'hommes en armes. Barras cherche un professionnel pour diriger les troupes gouvernementales et connaît vos talents militaires qu'il a pu observer à Toulon. Il vous propose le poste. Vous hésitez. Cette mission est loin d'être gagnée d'avance, elle n'est pas glorieuse et relèverait plus en temps normal d'un chef de la police que d'un militaire. Mais elle peut vous donner le pouvoir.
• Si vous acceptez, rendez-vous au «294», page 140.
• Si vous refusez, rendez-vous au «129», page 60.
• Si vous décidez de retourner votre veste et de passer avec une partie de vos troupes du côté des royalistes, rendez-vous au «207», page 96.
Puisque décidément tout tourne autour du pouvoir politique, autant me faire bien voir de Barras. Par ailleurs, hors de question de laisser tomber la République.
J'accepte, en me rendent au "294".

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : dim. oct. 26, 2014 1:24 pm
par Reborn
292 - Allons écraser les Italiens du Sud, ça ne devrait pas durer bien longtemps. :o:

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : dim. oct. 26, 2014 5:04 pm
par Lunarc
187,page 87.
Mais ou est-ce que ça va me mener,tout ça? :lolmdr:

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : dim. oct. 26, 2014 5:38 pm
par jolou
Lunarc
Votre ténacité contre le mauvais sort obtient une certaine récompense.
Vous devenez salarié et bientôt membre influent de l'American Historical Society. Vous êtes introduit dans les milieux militaires qui apprécient tant vos propres talents que votre récit commenté des grandes batailles européennes, ce qui vous vaut un poste d'enseignant à temps partiel à l'Académie militaire des élèves officiers. Progressivement accepté et même réclamé dans les cercles les plus huppés, vous avez l'honneur d'être reçu par le président Jefferson, dont la vaste culture est comparable à la vôtre. Vous vous entretiendrez régulièrement avec le Président sur des sujets aussi variés que les luttes politiques, le droit en France et en Amérique, l'esclavage, l'architecture, l'industrialisation. Disposant maintenant de revenus suffisants pour mener une vie confortable, vous avez réussi à refaire votre vie.
Vous avez réussi à changer de vie comme de nationalité et à faire fortune. Les États-Unis étant maintenant en paix pour longtemps, il vous faut renoncer à la gloire militaire. Mais vous menez une vie confortable dans votre belle maison du centre de Philadelphie ou votre magnifique propriété de Virginie. Votre famille s'est faite à sa nouvelle patrie. Vous avez même réussi, non sans mal, à parler l'anglais sans accent. Votre frère Joseph vous a rejoint en Amérique, et votre mère Letizia vous rend une visite de six mois... mais elle préfère rentrer en Europe. Malgré vos origines, l'influence que vous avez au parti démocrate vous permettra d'être élu gouverneur de Virginie. Vos talents de juriste vous permettront enfin de terminer votre carrière comme juge de la Cour suprême des États-Unis, avec la satisfaction de participer à
l'édification d'un pays neuf et fort.
Lunarc, premier a finir en vie ! (Le Grand vainqueur sera celui qui aura le poste le plus élevé au moment de sa mort ! (Si vous n'êtes plus empereur a ce moment la, tant pis pour vous :mrgreen: )

Reborn
Votre nouveau supérieur, Kellermann, a soixante et un ans, soit plus du double de votre âge. Bien que son sang-froid ait permis de battre les Prussiens à Valmy quatre ans plus tôt, il n'a ni votre audace ni vos talents militaires. Pas question pour lui de se laisser influencer par un « gamin » qu'il jalouse peut-être. Malgré vos objections, il vous donne l'ordre formel de lancer une attaque immédiate contre le lointain royaume de Naples avec le corps de 10 000 hommes qui vous est confié.Pour attaquer Naples, il vous faut traverser les États du pape qui est hostile à la France. Vous devez laisser 2 000 hommes à Rome et 3 000 autres pour protéger vos voies de communication avec le Nord, que les troupes anglaises de Livourne ou de Corse pourraient attaquer. Avec les 5 000 hommes qui vous restent, vous entrez sans difficulté dans le royaume de Naples, mais la grande majorité de la population vous est hostile.
Jet de dé favorable a Reborn
Vous devez livrer bataille près de Potenza, à un contre deux. Vos troupes sont plus aguerries mais fourbues. Vous formez l'infanterie en carrés et commandez vous-même le feu pour repousser la charge de la cavalerie napolitaine.
Jet de dé encore favorable a Reborn :shock:
Vous avez su donner l'élan victorieux. Le roi de Naples ne tarde pas à se décourager et se retire en Sicile. Ce nouveau triomphe étonne la France. Vous êtes bien son meilleur général. Comme de son côté Kellermann n'a guère été brillant, évitant de justesse un désastre, vous avez la joie de le voir muté et de vous retrouver commandant de toute l'armée française d'Italie.
Vous quittez le soir même Livourne pour regagner le nord de l'Italie.
Les armées françaises de Jourdan et de Moreau ne sont toujours pas passées à l'offensive en Allemagne, et des renforts autrichiens affluent vers l'Italie.
Déjà, les journaux de Londres et de Vienne annoncent votre écrasement inévitable. Un jour que vous prenez le café avec votre femme sur la terrasse de votre villa, vous apercevez au loin les taches blanches que font les colonnes autrichiennes qui commencent à descendre dans la plaine. Il faut fuir. Bientôt, la situation évolue. Vous avez massé les 35 000 hommes dont vous disposez devant et autour de Mantoue, la ville fortifiée où se trouvent toujours 12 000 soldats ennemis. Vous avez 200 gros canons, utiles contre les murailles de la ville mais trop peu mobiles pour être utilisés en bataille. Marchant vers vous dans la direction du sud, 60 000 Autrichiens sont répartis en deux corps qui seront séparés pendant encore deux jours par le lac de Garde : 25 000 hommes à l'ouest commandés par Quasdanowich, 35 000 hommes à l'est commandés par Wurmser. Vous n'avez jamais été en situation aussi critique depuis le début de la campagne d'Italie. Il vous faut prendre une décision immédiate.
• Si vous décidez d'attendre l'ennemi et de résister sur place, rendezvous au «165», page 77.
• Si vous vous décidez pour la retraite immédiate en abandonnant gros canons et matériel lourd, rendez-vous au «391», page 191.
• Si vous acceptez de perdre vos canons, mais en marchant à la rencontre de l'ennemi pour tenter de battre séparément ses deux colonnes avant qu'elles ne soient rassemblées au sud du lac de Garde, rendezvous au «401», page 197.
gladiatt, Elvis, Nabulio, DarthMath
L'émeute gronde. L'assaut décisif sera donné demain matin par les nombreuses sections armées de citoyens pro-royalistes. Vous groupez vos troupes près des Tuileries. Conscient de votre infériorité numérique, vous envisagez d'aller chercher les quarante canons restés en banlieue pour les utiliser dans les rues de Paris. Cela n'a jamais encore été fait.
• Si vous donnez l'ordre à votre chef d'escadron Murat d'aller chercher les canons avec quatre cents cavaliers, rendez-vous au «280», page 134.
• Si vous décidez de vous passer des canons, rendez-vous au «195», page 91.

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : dim. oct. 26, 2014 5:44 pm
par Elvis
J adore l'odeur de la poudre a canon au petit matin... Ca embaume l'air des rues de Paris

• Si vous donnez l'ordre à votre chef d'escadron Murat d'aller chercher les canons avec quatre cents cavaliers, rendez-vous au «280», page 134.

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : dim. oct. 26, 2014 5:50 pm
par Nabulio
• Si vous donnez l'ordre à votre chef d'escadron Murat d'aller chercher les canons avec quatre cents cavaliers, rendez-vous au «280», page 134.
La mitraille calmera la canaille royaliste.

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : dim. oct. 26, 2014 5:55 pm
par Lunarc
Seulement Gouverneur de Virginie et Juge de la Cour Suprême?
On a même pas massacrés d'Anglais..... :chair:
Quand on dit que Napoléon n'avait pas de très grandes ambitions..... :chicos:

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : dim. oct. 26, 2014 5:59 pm
par jolou
Tu aurais pu combattre des anglais si le sort t'avait été favorable lors de l'épisode sur le blé ^^
(Estime toi heureux, tu aurais pu finir comme chef d'un groupe de 200 garde texans mal habillé tué par des mexicain :fume2: )

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : dim. oct. 26, 2014 6:00 pm
par Nabulio
Tu es en vie toi au moins et tu mourras de ta belle mort :mrgreen:

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : dim. oct. 26, 2014 6:02 pm
par DarthMath
280 aussi ... Murat devrait être suffisamment rapide ... :o:

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : dim. oct. 26, 2014 6:09 pm
par Lunarc
Et si j'avais décider de me suicider,ça aurait donné quoi?

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : dim. oct. 26, 2014 6:11 pm
par jolou
Tu serais mort sans rien :mrgreen:

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : dim. oct. 26, 2014 6:32 pm
par Reborn
401 - On écrase successivement les deux corps autrichiens. 8-)
Pas besoin de canons quand on est un meneur d'hommes. :o: :vive les gars de l'infanterie:

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : dim. oct. 26, 2014 6:35 pm
par gladiatt
jolou a écrit :
gladiatt, Elvis, Nabulio, DarthMath
L'émeute gronde. L'assaut décisif sera donné demain matin par les nombreuses sections armées de citoyens pro-royalistes. Vous groupez vos troupes près des Tuileries. Conscient de votre infériorité numérique, vous envisagez d'aller chercher les quarante canons restés en banlieue pour les utiliser dans les rues de Paris. Cela n'a jamais encore été fait.
• Si vous donnez l'ordre à votre chef d'escadron Murat d'aller chercher les canons avec quatre cents cavaliers, rendez-vous au «280», page 134.
• Si vous décidez de vous passer des canons, rendez-vous au «195», page 91.
Désolé pour le retard.
On va aller chercher ces canons, ca sera fort utile et ca rétablira la balance !
-Murat va me chercher les canons au "280" page 134

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : dim. oct. 26, 2014 6:37 pm
par Reborn
Les quatre du dessus ne sont décidément pas très hardis. :siffle:

"À vaincre sans péril, on triomphe sans gloire." :notice:

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : dim. oct. 26, 2014 6:44 pm
par Lunarc
Reborn a écrit :Les quatre du dessus ne sont décidément pas très hardis. :siffle:

"À vaincre sans péril, on triomphe sans gloire." :notice:
Pas ma faute,moi je voulais conquérir le Canada!
Les raisons économiques ont empêchés cette attaque.... :o:

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : dim. oct. 26, 2014 6:54 pm
par jolou
Reborn
Cette contre-attaque audacieuse était la seule solution. A l'est, Wurmser réussit à percer vos lignes et à faire une entrée triomphale dans Mantoue, mais pendant ce temps vous vous précipitez à l'ouest et battez son lieutenant Quasdanowich à Lonato. Ce corps est détruit ou prend la fuite. Wurmser réagit trop tard et son attaque à Castiglione échoue. Votre cavalerie le sabre dans les reins et le repousse à son tour vers les montagnes autrichiennes. Vos soldats enthousiastes décident de vous faire passer du grade de « caporal » à celui de « sergent ».
Vous n'êtes pas au bout de vos soucis militaires. Moreau et Jourdan sont finalement entrés en Allemagne, mais, commettant la même faute que Wurmser et Quasdanowich, ils sont restés trop éloignés l'un de l'autre et se sont fait battre par l'archiduc Charles d'Autriche à Bamberg, Altenkirchen et Würzburg.
Vous êtes épuisé, malade, mais vous trouvez cependant la force de battre une nouvelle fois Wurmser à Bassano, d'envoyer un corps expéditionnaire en Corse pour en chasser les Anglais et de tenir en respect les États italiens qui savent que le maréchal autrichien Alvinczy descend vers le sud avec une nouvelle armée. Le pont d'Arcole sur l'Adige devient une position stratégique importante, mais Alvinczy l'a fait solidement garder par 10 000 hommes
et 20 canons, qui fauchent à plusieurs reprises les colonnes d'assaut françaises. Décidé à emporter la position, vous galvanisez vos hommes en leur demandant s'ils sont des lâches ou s'ils sont toujours les vainqueurs de Lodi.
Allez-vous prendre le risque de vous porter vous-même à la tête des troupes qui doivent enlever le pont ?
• Si vous prenez ce risque, rendez-vous au «407», page 201.
• Si vous ne le prenez pas, rendez-vous au «251», page 119.
gladiatt,Darthmath, Nabulio, Elvis
La nuit est tombée, et Murat tarde à revenir. Peut-être les émeutiers ont-ils eu la même idée que vous et se sont-ils emparés des canons ?
Pour peu qu'ils aient dans leurs rangs un artilleur compétent, votre situation sera tout à l'heure désespérée.
A 5 heures du matin, vous entendez un roulement sourd et des bruits de sabots sur le pavé. C'est Murat qui arrive enfin avec les canons, dont il s'est emparé juste avant les royalistes. Vous les disposez immédiatement aux points stratégiques autour des Tuileries. Le matin est calme, mais la foule des insurgés se rassemble lentement, menaçante, et se prépare à donner l'assaut. Les députés tremblent.
Sous le commandement de Barras, vous prenez les choses fermement en main. Emplacement judicieux des canons, qui prennent en enfilade les rues d'où vient l'attaque des sections, clarté de vue, sang-froid alors que la confiance d'une partie de vos troupes faiblit, énergie : vos ordres sont des modèles d'efficacité. Les canons font des brèches sanglantes dans les rangs des assaillants. Au bout de deux heures, l'émeute est définitivement écrasée
Votre participation décisive aux récents combats et le fait que vous n'ayez trempé dans aucune exécution ont fait de vous un homme en vue. Le gouvernement est maintenant dans les mains de cinq « directeurs », surnommés « les cinq rois ». Parmi eux se trouve Barras, qui a fait de vous son protégé.
Vous êtes nommé général de division et votre rôle consiste à maintenir l'ordre contre les opposants de droite comme de gauche. Votre solde a été sensiblement augmentée; elle vous permet d'habiter un bel hôtel particulier rue des Capucines, d'envoyer de l'argent à votre famille et d'offrir de coûteux cadeaux à la belle Mme de Beauharnais, l'ancienne amie de Barras. Elle n'est pas insensible à vos attentions et à vos regards enflammés, et votre cour est bientôt couronnée de succès.
Peu importe qu'elle ait six ans de plus que vous et deux enfants, vous êtes amoureux fou et passez avec elle plusieurs nuits inoubliables. Mais votre gentille fiancée de vingt ans, Désirée, continue à vous envoyer de Marseille des lettres pleines de tendresse. Il vous faut maintenant choisir entre deux femmes.
• Allez-vous, comme le souhaite votre mère, choisir la douce Dési183rée et considérer que votre relation avec Mme de Beauharnais n'était qu'une brève passion, agréable mais sans avenir ? Rendez-vous au «192», page 90.
• Ou bien trouvez-vous que Mme de Beauharnais, gaie, spirituelle, a beaucoup trop de classe et de sensualité pour que vous y renonciez, d'autant que par ses relations elle peut être fort utile à votre carrière ?
Rendez-vous au «338», page 163.

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : dim. oct. 26, 2014 7:04 pm
par Reborn
251 - La boucherie, c'est pas trop mon truc. :o:

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : dim. oct. 26, 2014 7:09 pm
par DarthMath
On poursuit dans l'historique ... ;) ... la vieille brune plutôt que la jeune blonde, donc ... on se rattrapera plus tard !! :chicos: 338

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : dim. oct. 26, 2014 7:09 pm
par gladiatt
jolou a écrit :
gladiatt,Darthmath, Nabulio, Elvis
La nuit est tombée, et Murat tarde à revenir. Peut-être les émeutiers ont-ils eu la même idée que vous et se sont-ils emparés des canons ?
Pour peu qu'ils aient dans leurs rangs un artilleur compétent, votre situation sera tout à l'heure désespérée.
A 5 heures du matin, vous entendez un roulement sourd et des bruits de sabots sur le pavé. C'est Murat qui arrive enfin avec les canons, dont il s'est emparé juste avant les royalistes. Vous les disposez immédiatement aux points stratégiques autour des Tuileries. Le matin est calme, mais la foule des insurgés se rassemble lentement, menaçante, et se prépare à donner l'assaut. Les députés tremblent.
Sous le commandement de Barras, vous prenez les choses fermement en main. Emplacement judicieux des canons, qui prennent en enfilade les rues d'où vient l'attaque des sections, clarté de vue, sang-froid alors que la confiance d'une partie de vos troupes faiblit, énergie : vos ordres sont des modèles d'efficacité. Les canons font des brèches sanglantes dans les rangs des assaillants. Au bout de deux heures, l'émeute est définitivement écrasée
Votre participation décisive aux récents combats et le fait que vous n'ayez trempé dans aucune exécution ont fait de vous un homme en vue. Le gouvernement est maintenant dans les mains de cinq « directeurs », surnommés « les cinq rois ». Parmi eux se trouve Barras, qui a fait de vous son protégé.
Vous êtes nommé général de division et votre rôle consiste à maintenir l'ordre contre les opposants de droite comme de gauche. Votre solde a été sensiblement augmentée; elle vous permet d'habiter un bel hôtel particulier rue des Capucines, d'envoyer de l'argent à votre famille et d'offrir de coûteux cadeaux à la belle Mme de Beauharnais, l'ancienne amie de Barras. Elle n'est pas insensible à vos attentions et à vos regards enflammés, et votre cour est bientôt couronnée de succès.
Peu importe qu'elle ait six ans de plus que vous et deux enfants, vous êtes amoureux fou et passez avec elle plusieurs nuits inoubliables. Mais votre gentille fiancée de vingt ans, Désirée, continue à vous envoyer de Marseille des lettres pleines de tendresse. Il vous faut maintenant choisir entre deux femmes.
• Allez-vous, comme le souhaite votre mère, choisir la douce Dési183rée et considérer que votre relation avec Mme de Beauharnais n'était qu'une brève passion, agréable mais sans avenir ? Rendez-vous au «192», page 90.
• Ou bien trouvez-vous que Mme de Beauharnais, gaie, spirituelle, a beaucoup trop de classe et de sensualité pour que vous y renonciez, d'autant que par ses relations elle peut être fort utile à votre carrière ?
Rendez-vous au «338», page 163.
Joséphine !! si elle est gaie est spirituelle, et que la passion nous emporte, alors c'est elle qu'il me faut choisir !
-Rendez vous au "338" page 163

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : dim. oct. 26, 2014 7:11 pm
par Greyhunter
jolou a écrit :(Estime toi heureux, tu aurais pu finir comme chef d'un groupe de 200 garde texans mal habillé tué par des mexicain :fume2: )
On sait donc maintenant que le scénariste de jour J se contente de repomper ses "scénarios" dans des livres dont vous êtes le héros. :o:

Image

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : dim. oct. 26, 2014 7:19 pm
par jolou
:mrgreen:
Je l'ai lu, comme quasiment toujours un point de départ possible mais l'histoire part vite en couille (Pour Finir par napoléon qui lance une vendetta contre Adams il me semble) :siffle:

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : dim. oct. 26, 2014 7:24 pm
par GA_Thrawn
Au fait tu réécris tous les textes ou tu as trouvé un fichier pdf du livre? :signal:

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : dim. oct. 26, 2014 7:27 pm
par Nabulio
• Ou bien trouvez-vous que Mme de Beauharnais, gaie, spirituelle, a beaucoup trop de classe et de sensualité pour que vous y renonciez, d'autant que par ses relations elle peut être fort utile à votre carrière ?
Rendez-vous au «338», page 163.
Les appuis politiques avant tout.

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : dim. oct. 26, 2014 7:29 pm
par jolou
J'ai acheté la version PDF du livre (Après l'avoir cherché durant des jours et des jours en téléchargement qui aurait été bien sur totalement approuvé par la loi :o: )
Mais je n'ai pas trouvé Kennedy ni De Gaulle :sad:

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : dim. oct. 26, 2014 7:43 pm
par GA_Thrawn
J'ai les trois en version papier. Ou as tu trouvé un site vendant le pdf? :shock:

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : dim. oct. 26, 2014 7:43 pm
par Elvis
Josephine ! avec elle, les nuits sont bien plus torride qu'avec le glaçon marseillais

Rendez-vous au «338», page 163.

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : dim. oct. 26, 2014 7:45 pm
par jolou
Bouquineo il me semble.

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : dim. oct. 26, 2014 7:48 pm
par GA_Thrawn
Ha oui on dirait que le bouquin a été réédité...

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : dim. oct. 26, 2014 8:04 pm
par jolou
En parlant du fait que tu possede les trois livres,a tu l'envie de faire un LDVELH sur un des deux autres? :signal: (Il me semble que tu en avait déja fait un sur Kennedy )

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : dim. oct. 26, 2014 8:16 pm
par GA_Thrawn
Ho mais j'ai fais de gaulle aussi...les sagouins me l'ont tué. Tu dois pouvoir le retrouver sur le forum :signal:

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : dim. oct. 26, 2014 9:14 pm
par jolou
Reborn
Vos soldats refluent en désordre, après un nouvel assaut infructueux.
Une bousculade confuse vous fait tomber dans le marais proche du pont, où vous restez englué, sous le tir de l'ennemi, durant de longues minutes.
Il vous faudra trois jours de manoeuvres subtiles et une diversion créée à dix kilomètres de là par vos musiciens, qui n'auront jamais sonné la charge aussi fort, pour déloger les Autrichiens du pont et remporter la victoire.
Alvinczy retraite, se réorganise, puis réussit à lancer une offensive. Six colonnes ennemies convergent sur le plateau de Rivoli pour vous y écraser.
Après un dur combat, vous remportez in extremis une grande victoire, grâce à l'arrivée de renforts et à une fabuleuse charge de cavalerie menée par Murat et par Lasalle.
Art ou génie, vous n'avez à aucun moment douté, contre toute apparence, et vous avez crevé huit chevaux en quatre jours. Après cette campagne extraordinaire, vous contrôlez toute l'Italie du Nord et du centre.
La France délire de joie, mais son gouvernement, lui, n'a plus aucun prestige. On le juge incompétent et corrompu. Vous êtes devenu indispensable. Les Directeurs ne songent plus à vous ôter votre commandement, mais plutôt à vous laisser le plus longtemps possible en Italie, de peur que, rentré en France, vous ne profitiez de votre immense popularité pour aspirer à la dictature militaire.
Vous recevez plusieurs lettres de Talleyrand, nouveau ministre français des Relations extérieures, qui a discerné en vous un homme qui monte et vous renseigne en détail sur la situation en France. Vous apprenez que la débâcle financière est presque complète. Les armées manquent de pain. Les billets de banque ne valent plus rien. Le pays est infesté de brigands. Le désordre est tel que l'activité commerciale et industrielle est quasiment nulle. A Paris, tout le monde complote, surtout
les royalistes. Le peuple souhaite dans sa grande majorité garder les conquêtes de la Révolution, mais veut l'ordre, la sécurité, la stabilité économique, la liberté religieuse.
Tout cela, le gouvernement, dirigé par quelques idéologues sectaires et de plus en plus corrompus dans des combines individuelles malhonnêtes, ne peut le procurer. Sentant qu'il risque d'être renversé, il vous demande d'envoyer 10 000 hommes à Paris pour affermir l'ordre républicain. Vous comprenez qu'il demande l'intervention de l'armée contre l'opposition dirigée par la majorité de l'Assemblée devenue proroyaliste.
Vous pouvez décider :
• Soit de monter sur Paris avec 10 000 hommes. Rendez-vous au «176», page 81.
• Soit de rester en Italie, préférant organiser le pays et conduire les pourparlers de paix avec l'Autriche plutôt que de livrer de peu glorieux combats à Paris, tout en envoyant cependant les 10 000 hommes demandés avec Augereau, le plus républicain de vos généraux. Rendezvous au «316», page 150.
• Soit de faire la sourde oreille. Rendez-vous au «368», page 178.
Darthmath, gladiatt, Nabulio, Elvis
Après un mariage avec la belle veuve Beauharnais, expédié à toute allure, vous pénétrez le coeur battant dans la chambre conjugale. Joséphine, c'est le nom de votre épouse, est très attachée à un petit chien et insiste pour qu'il reste dans la chambre.
• Si vous acceptez, rendez-vous au «28», page 15.
• Si vous refusez, au risque de contrarier Joséphine, rendez-vous au
«180», page 84.
Vous rejoignez la voie que reborn a prit plus tôt (Qu'il a d’ailleurs super bien réalisé pour l'instant :o: )

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : dim. oct. 26, 2014 9:20 pm
par Elvis
J aime pas les betes.
Va falloir mettre les choses au clair et apprendre à marcher droit : A la maison, le boss, c'est moi !

• Si vous refusez, au risque de contrarier Joséphine, rendez-vous au «180», page 84.

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : dim. oct. 26, 2014 9:21 pm
par Reborn
Un peu facile pour eux car je leur ouvre la voie. :o:

368 - Que les ânes qui dirigent le pays se débrouillent. Je reviendrai rétablir l'ordre de ma propre initiative. :o:

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : dim. oct. 26, 2014 10:27 pm
par Nabulio
• Si vous refusez, au risque de contrarier Joséphine, rendez-vous au
«180», page 84.
Pas de chien dans la chambre, non mais !

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : dim. oct. 26, 2014 10:30 pm
par gladiatt
jolou a écrit :
Darthmath, gladiatt, Nabulio, Elvis
Après un mariage avec la belle veuve Beauharnais, expédié à toute allure, vous pénétrez le coeur battant dans la chambre conjugale. Joséphine, c'est le nom de votre épouse, est très attachée à un petit chien et insiste pour qu'il reste dans la chambre.
• Si vous acceptez, rendez-vous au «28», page 15.
• Si vous refusez, au risque de contrarier Joséphine, rendez-vous au
«180», page 84.
Quoi, un clebs dans la chambre ? Ca va pas ?
-si vous refusez, au risque de contrarier Josephine, rendez-vous au "180", page 84

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : dim. oct. 26, 2014 11:10 pm
par jolou
Personne ne le veut? :cry: ça donne lieu a un passage comique :siffle:

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : lun. oct. 27, 2014 2:46 pm
par DarthMath
Allez, je me dévoue pour le vaudeville ... :wink:
28

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : lun. oct. 27, 2014 3:11 pm
par jolou
Reborn
Sans le renfort demandé, le gouvernement est en mauvaise posture. Pour éviter d'être renversé par l'Assemblée, il se décide pourtant à l'épreuve de force en faisant arrêter le député pro-royaliste d'André et plusieurs meneurs de l'opposition.Après quelques échauffourées, modérés et royalistes l'emportent.
Les Directeurs Barras et Rewbell sont emprisonnés. D'André devient le chef du gouvernement et vous écrit en vous invitant à vous déclarer publiquement en faveur du retour de la royauté en France.
• Si vous passez dans le camp royaliste, rendez-vous au «207», page 96.
• Si vous marchez sur Paris avec votre armée dans le but de restaurer la République, rendez-vous au «65», page 31.
• Si vous pensez qu'il est préférable désormais de renoncer à poursuivre votre carrière en France, les perspectives de succès devenant trop aléatoires et les risques trop grands, et que vous décidiez d'aller offrir vos services au sultan de Turquie qui a besoin de bons généraux, rendez-vous au «3», page 4.
Elvis, Nabulio, gladiatt
Est-ce le soutien de Barras – et l'intérêt qu'il porte à votre épouse – , l'impression favorable ressentie par son collègue Carnot à la lecture de votre audacieux plan de conquête de l'Italie, ou la médiocrité de quelques généraux qu'il faut remplacer ? Toujours est-il qu'un planton vous apporte votre nomination de général en chef de l'armée d'Italie.
C'est une grande promotion, bien que les meilleures armées françaises, commandées par Moreau et Jourdan, soient sur la frontière du Rhin. On vous laisse entendre que vous êtes chargé de mener une attaque de diversion et de lever de lourdes taxes en Italie du Nord afin de subvenir aux frais de votre armée et si possible de renflouer les caisses de la République. Ces ordres inattendus n'assombrissent pas votre joie, et après une dernière étreinte passionnée avec votre femme, vous roulez
vers Nice, siège de votre nouveau quartier général.
Darthmath
Alors que vous êtes enlacé dans l'obscurité avec Joséphine, et proche du septième ciel, vous ressentez une vive douleur à la fesse.
Dérangé dans son habitude de dormir avec sa maîtresse et jaloux, le petit chien vous a cruellement mordu. Voilà une blessure qui n'aura pas été acquise au service de la République.
Elvis, Nabulio, gladiatt, Darthmath
Sur place, à Nice, le contact avec votre armée est brutal. La discipline est à peu près nulle, les soldats n'ont pas été payés depuis des mois, la plupart n'ont pas de chaussures et ils ont faim. Vous disposez de 4 000 chevaux plus ou moins malades et de 27 petits canons. Le gouvernement n'a plus d'argent. Vous n'en apportez pas, et des vivres non plus. Il y a 300 000 francs dans la caisse de l'armée, de quoi nourrir les hommes pendant un mois à raison d'un seul repas par jour.
L'accueil de vos adjoints, les généraux Augereau, Masséna, La Harpe, Sérurier, est en outre exécrable. Plus âgés et expérimentés que vous, ils vous considèrent comme un jeune arriviste et ne s'en cachent pas. Enfin, c'est encore l'hiver, et de l'autre côté des Alpes enneigées se trouvent 25 000 soldats piémontais et 45 000 soldats autrichiens avec 200 canons, sans parler du détachement anglais stationné dans le port de Livourne. Une fois déduits les déserteurs et les malades, vous ne
pouvez guère compter que sur 30000 hommes. Il vous faut prendre une décision sur-le-champ.
• Optez-vous pour la prudence, en promettant l'envoi rapide d'argent et de nourriture, et en écrivant au gouvernement que toute offensive est impossible avant l'arrivée de ses subsides ? Rendez-vous au «169»,page 78.
• Optez-vous pour l'audace ? Vous êtes décidé à galvaniser l'armée, enflammer son enthousiasme à l'idée de pénétrer pour la gloire de la République dans une région fertile, et attaquer l'ennemi immédiatement. Rendez-vous au «259», page 122.

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : lun. oct. 27, 2014 3:16 pm
par DarthMath
:lolmdr:
C'est ce qui s'appelle se faire casser un coup !! :chicos:

Bon sinon, de l'audace, toujours de l'audace !! Il faut reprendre ses bottes et sa résolution de 1791 !! 259

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : lun. oct. 27, 2014 3:17 pm
par gladiatt
jolou a écrit :

Elvis, Nabulio, gladiatt, Darthmath
Sur place, à Nice, le contact avec votre armée est brutal. La discipline est à peu près nulle, les soldats n'ont pas été payés depuis des mois, la plupart n'ont pas de chaussures et ils ont faim. Vous disposez de 4 000 chevaux plus ou moins malades et de 27 petits canons. Le gouvernement n'a plus d'argent. Vous n'en apportez pas, et des vivres non plus. Il y a 300 000 francs dans la caisse de l'armée, de quoi nourrir les hommes pendant un mois à raison d'un seul repas par jour.
L'accueil de vos adjoints, les généraux Augereau, Masséna, La Harpe, Sérurier, est en outre exécrable. Plus âgés et expérimentés que vous, ils vous considèrent comme un jeune arriviste et ne s'en cachent pas. Enfin, c'est encore l'hiver, et de l'autre côté des Alpes enneigées se trouvent 25 000 soldats piémontais et 45 000 soldats autrichiens avec 200 canons, sans parler du détachement anglais stationné dans le port de Livourne. Une fois déduits les déserteurs et les malades, vous ne
pouvez guère compter que sur 30000 hommes. Il vous faut prendre une décision sur-le-champ.
• Optez-vous pour la prudence, en promettant l'envoi rapide d'argent et de nourriture, et en écrivant au gouvernement que toute offensive est impossible avant l'arrivée de ses subsides ? Rendez-vous au «169»,page 78.
• Optez-vous pour l'audace ? Vous êtes décidé à galvaniser l'armée, enflammer son enthousiasme à l'idée de pénétrer pour la gloire de la République dans une région fertile, et attaquer l'ennemi immédiatement. Rendez-vous au «259», page 122.
L'audace ! On fonce ! Et on va déstabiliser l'ennemi en le prenant de court.
- rendez vous au "259" page 122.

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : lun. oct. 27, 2014 3:18 pm
par Reborn
65 - On marche sur Paris et on détruit inopinément la ville. :o:

Edit : Les messieurs du dessus pourraient me remercier de leur avoir donnés les bonnes réponses. :o:

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : lun. oct. 27, 2014 3:20 pm
par Elvis
le rapport de force est largement en notre faveur

On attaque !

• Optez-vous pour l'audace ? Vous êtes décidé à galvaniser l'armée, enflammer son enthousiasme à l'idée de pénétrer pour la gloire de la République dans une région fertile, et attaquer l'ennemi immédiatement. Rendez-vous au «259», page 122

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : lun. oct. 27, 2014 3:24 pm
par DarthMath
J'espère surtout que ma blessure ne va pas s'infecter après de longues étapes harassantes à cheval !! :froid:

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : lun. oct. 27, 2014 3:43 pm
par Nabulio
• Optez-vous pour l'audace ? Vous êtes décidé à galvaniser l'armée, enflammer son enthousiasme à l'idée de pénétrer pour la gloire de la République dans une région fertile, et attaquer l'ennemi immédiatement. Rendez-vous au «259», page 122.
De l'audace, toujours de l'audace !

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : lun. oct. 27, 2014 3:44 pm
par Nabulio
Peut être que pour l’intérêt de la partie, il serait bon que Reborn attende qu'on le rejoigne (ou que l'on meurt) avant de continuer à jouer.

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : lun. oct. 27, 2014 4:02 pm
par DarthMath
Je seconde cette motion ! :notice:

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : lun. oct. 27, 2014 4:08 pm
par jolou
Ok on va faire ça alors.

DarthMath, gladiatt, Elvis, Nabulio
Élan, autorité, précision des ordres, compétence militaire : vous savez parler à vos officiers et à la troupe. Même les sceptiques passent de l'hostilité à la confiance. Mais vous devez décider d'un plan de campagne.
• Allez-vous choisir de concentrer vos forces, en essayant de battre complètement l'armée piémontaise et de la séparer du gros des forces autrichiennes avant d'affronter celles-ci ? Rendez-vous au «371», page 180.
• Ou préférez-vous une attaque frontale sur toute la frontière, afin d'éviter tout risque d'infiltration ennemie sur vos arrières ? Rendezvous au «75», page 38.

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : lun. oct. 27, 2014 4:11 pm
par DarthMath
Concentration des forces, toujours !! :notice:
371

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : lun. oct. 27, 2014 4:11 pm
par Nabulio
• Allez-vous choisir de concentrer vos forces, en essayant de battre complètement l'armée piémontaise et de la séparer du gros des forces autrichiennes avant d'affronter celles-ci ? Rendez-vous au «371», page 180.

La rapidité et la concentration sont les clé de la victoire !

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : lun. oct. 27, 2014 7:01 pm
par gladiatt
c'est l'ennemi qu'il faut éparpiller, façon puzzle. On disperse; on ventile !

• Allez-vous choisir de concentrer vos forces, en essayant de battre complètement l'armée piémontaise et de la séparer du gros des forces autrichiennes avant d'affronter celles-ci ? Rendez-vous au «371», page 180.

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : lun. oct. 27, 2014 8:07 pm
par Elvis
Tout pareil que mes camarades : on met une raclée aux piemontais, puis apres on s'occupe des autrichiens...

• Allez-vous choisir de concentrer vos forces, en essayant de battre complètement l'armée piémontaise et de la séparer du gros des forces autrichiennes avant d'affronter celles-ci ? Rendez-vous au «371», page 180.

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : lun. oct. 27, 2014 8:13 pm
par jolou
Elvis, gladiatt, Nabulio, Darthmath
Vous foncez à marches forcées sur l'adversaire, trop confiant. La rapidité et l'audace de vos manoeuvres vous donnent la supériorité numérique à chaque combat, alors que l'armée adverse est bien plus nombreuse.
L'agressivité et l'enthousiasme de vos soldats font le reste et vous remportez de brillantes victoires à Millesimo et à Dego, bien que l'ennemi ne soit nullement ridicule. Mieux, vous avez réussi à séparer complètement Piémontais et Autrichiens. Le roi de Piémont panique et demande un armistice pour sauver Turin, sa capitale.
En fait, vous ne disposez pas de gros canons pour assiéger une grande ville fortifiée, mais les Piémontais l'ignorent et les négociations commencent. Votre habileté stupéfie les diplomates chevronnés qui vous sont envoyés et pensaient avoir affaire à un soldat ne connaissant que l'art militaire et qu'il serait aisé de mystifier. Ils en sont pour leurs frais et doivent conclure un accord avantageux pour la France.
Le Piémont cesse les hostilités et envoie au gouvernement français, enchanté, une indemnité financière importante. Enfin, votre déclaration suivant laquelle le peuple français souhaite apporter la liberté et veut être l'ami de tous les autres peuples a fortement impressionné les Italiens. Influencés par la propagande anti-française, ils voyaient dans votre armée une bande de tueurs fanatiques traînant des guillotines.
En deux semaines, vous avez remporté des succès éclatants et attiré l'attention de toute l'Europe.
Vous prenez l'habitude de rédiger après chaque victoire des bulletins d'information qui sont lus avec de plus en plus d'intérêt dans toute la France et vont beaucoup contribuer à votre popularité. Mais la conduite de vos soldats vis-à-vis des civils devient préoccupante. Les scènes de pillage de plus en plus violentes se multiplient, ce qui nuit à la discipline et exaspère les populations locales. On vous rapporte un cas particulièrement inexcusable. Trois soldats français se sont rendus
coupables de viol et de torture, puis ont massacré toute une famille italienne sans défense. Votre adjoint le général Sérurier vous demande de faire un exemple, à ses yeux indispensable, et de fusiller ces trois hommes.
• Si vous acceptez cette exécution, rendez-vous au «332», page 160.
• Si vous la refusez, rendez-vous au «124», page 58.

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : lun. oct. 27, 2014 8:28 pm
par gladiatt
jolou a écrit :Elvis, gladiatt, Nabulio, Darthmath
Vous foncez à marches forcées sur l'adversaire, trop confiant. La rapidité et l'audace de vos manoeuvres vous donnent la supériorité numérique à chaque combat, alors que l'armée adverse est bien plus nombreuse.
L'agressivité et l'enthousiasme de vos soldats font le reste et vous remportez de brillantes victoires à Millesimo et à Dego, bien que l'ennemi ne soit nullement ridicule. Mieux, vous avez réussi à séparer complètement Piémontais et Autrichiens. Le roi de Piémont panique et demande un armistice pour sauver Turin, sa capitale.
En fait, vous ne disposez pas de gros canons pour assiéger une grande ville fortifiée, mais les Piémontais l'ignorent et les négociations commencent. Votre habileté stupéfie les diplomates chevronnés qui vous sont envoyés et pensaient avoir affaire à un soldat ne connaissant que l'art militaire et qu'il serait aisé de mystifier. Ils en sont pour leurs frais et doivent conclure un accord avantageux pour la France.
Le Piémont cesse les hostilités et envoie au gouvernement français, enchanté, une indemnité financière importante. Enfin, votre déclaration suivant laquelle le peuple français souhaite apporter la liberté et veut être l'ami de tous les autres peuples a fortement impressionné les Italiens. Influencés par la propagande anti-française, ils voyaient dans votre armée une bande de tueurs fanatiques traînant des guillotines.
En deux semaines, vous avez remporté des succès éclatants et attiré l'attention de toute l'Europe.
Vous prenez l'habitude de rédiger après chaque victoire des bulletins d'information qui sont lus avec de plus en plus d'intérêt dans toute la France et vont beaucoup contribuer à votre popularité. Mais la conduite de vos soldats vis-à-vis des civils devient préoccupante. Les scènes de pillage de plus en plus violentes se multiplient, ce qui nuit à la discipline et exaspère les populations locales. On vous rapporte un cas particulièrement inexcusable. Trois soldats français se sont rendus
coupables de viol et de torture, puis ont massacré toute une famille italienne sans défense. Votre adjoint le général Sérurier vous demande de faire un exemple, à ses yeux indispensable, et de fusiller ces trois hommes.
• Si vous acceptez cette exécution, rendez-vous au «332», page 160.
• Si vous la refusez, rendez-vous au «124», page 58.

Hors de question que l'on laisse passer des comportements pareils, inexcusables et barbares. Qu'on exécute ces salauds !
• Si vous acceptez cette exécution, rendez-vous au «332», page 160.

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : lun. oct. 27, 2014 8:34 pm
par Elvis
on execute : la discipline est le ciment de notre armée

• Si vous acceptez cette exécution, rendez-vous au «332», page 160.

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : lun. oct. 27, 2014 8:37 pm
par Nabulio
Pas d'assassins dans mon armée !
• Si vous acceptez cette exécution, rendez-vous au «332», page 160.

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : lun. oct. 27, 2014 9:41 pm
par DarthMath
Idem ... au peloton ! :notice:

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : lun. oct. 27, 2014 10:02 pm
par jolou
Darthmath, Nabulio, Elvis, gladiatt
Votre fermeté paie. La discipline est restaurée. Les approvisionnements sont assurés, et l'attitude de la majorité des habitants redevient amicale, encore que des petits groupes de partisans attaquent sporadiquement vos soldats isolés.Les Autrichiens, avides de revanche, marchent contre vous. Vous endiguez leur attaque de front, effectuez un brillant mouvement tournant avec votre cavalerie et votre artillerie légère. Stimulant alors l'ardeur de vos grenadiers qui contre-attaquent à Lodi, vous remportez une très belle victoire. Le général ennemi Wurmser doit se réfugier avec 13 000 hommes dans la place fortifiée de Mantoue que vous encerclez aussitôt, le reste de ses troupes refluant vers l'Autriche. Pleins d'admiration, vos soldats décident entre eux de vous donner affectueusement le surnom de « petit caporal » qui vous restera. Mais vous savez que cette bataille avait une grande importance militaire et politique. Vous pouvez maintenant faire de grands projets.
Vous recevez une lettre du Directoire, le gouvernement de Paris. Il vous félicite pour vos victoires et vous annonce son intention de vous placer sous l'autorité du général Kellermann. Obéissant à ses instructions, vous devrez prendre la tête de l0 000 hommes pour attaquer le royaume de Naples tandis qu'il poursuivra la guerre contre les Autrichiens en Italie du Nord.
Cette lettre a sur vous l'effet d'une douche glaciale. Vous êtes furieux. Il est clair que les Directeurs, en butte à l'indifférence ou à l'hostilité croissante de l'opinion publique, s'inquiètent de votre popularité et de l'enthousiasme suscités en France par vos succès. Sans doute n'ont-ils pas apprécié non plus l'esprit d'indépendance dont vous avez fait preuve en traitant avec le Piémont.
Vous pensez n'avoir en rien mérité d'être mis sous les ordres d'un autre général. De plus, l'expédition vers Naples vous paraît inutile et dangereuse.
• Vous pouvez vous résigner à accepter la décision de Paris. Rendez-vous alors au «292», page 139.
• Vous pouvez aussi contester cette décision, en accélérant l'envoi d'argent et de chefs-d'oeuvre artistiques à Paris, mais en écrivant à Barras et à Carnot qu'il faut à votre armée un seul chef, Kellermann ou vous, mais pas les deux à la fois, et qu'il faut du reste une conception unique de l'action militaire et diplomatique en Italie. Comme on sait que Kellermann n'a rien d'un négociateur, ce dernier argument, ajouté à vos succès et à la pression de l'opinion publique, peut être décisif pour que vous gardiez seul votre commandement. Mais cette lettre peut aussi servir de prétexte pour vous demander de démissionner. Si vous vous décidez à l'envoyer, rendez-vous au «230», page 108.

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : lun. oct. 27, 2014 10:06 pm
par DarthMath
On ne nous privera pas de nos lauriers chèrement acquis !! J'écris pour plaider ma cause ... 230

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : mar. oct. 28, 2014 7:38 am
par Nabulio
• Vous pouvez aussi contester cette décision, en accélérant l'envoi d'argent et de chefs-d'oeuvre artistiques à Paris, mais en écrivant à Barras et à Carnot qu'il faut à votre armée un seul chef, Kellermann ou vous, mais pas les deux à la fois, et qu'il faut du reste une conception unique de l'action militaire et diplomatique en Italie. Comme on sait que Kellermann n'a rien d'un négociateur, ce dernier argument, ajouté à vos succès et à la pression de l'opinion publique, peut être décisif pour que vous gardiez seul votre commandement. Mais cette lettre peut aussi servir de prétexte pour vous demander de démissionner. Si vous vous décidez à l'envoyer, rendez-vous au «230», page 108.
Je n'ai pas envie de partir à Naples avec seulement 10 000 hommes...

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : mar. oct. 28, 2014 9:19 am
par gladiatt
jolou a écrit :Darthmath, Nabulio, Elvis, gladiatt

• Vous pouvez aussi contester cette décision, en accélérant l'envoi d'argent et de chefs-d'oeuvre artistiques à Paris, mais en écrivant à Barras et à Carnot qu'il faut à votre armée un seul chef, Kellermann ou vous, mais pas les deux à la fois, et qu'il faut du reste une conception unique de l'action militaire et diplomatique en Italie. Comme on sait que Kellermann n'a rien d'un négociateur, ce dernier argument, ajouté à vos succès et à la pression de l'opinion publique, peut être décisif pour que vous gardiez seul votre commandement. Mais cette lettre peut aussi servir de prétexte pour vous demander de démissionner. Si vous vous décidez à l'envoyer, rendez-vous au «230», page 108.
[/quote]

-Je ne digère que tres mal l'idée qu'un autre vienne finir le travail et en retirer la gloire ! Je plaide ma cause au "230", page 108

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : mar. oct. 28, 2014 9:25 am
par Elvis
There can be only ONE, et ca sera moi

Vous pouvez aussi contester cette décision, en accélérant l'envoi d'argent et de chefs-d'oeuvre artistiques à Paris, mais en écrivant à Barras et à Carnot qu'il faut à votre armée un seul chef, Kellermann ou vous, mais pas les deux à la fois, et qu'il faut du reste une conception unique de l'action militaire et diplomatique en Italie. Comme on sait que Kellermann n'a rien d'un négociateur, ce dernier argument, ajouté à vos succès et à la pression de l'opinion publique, peut être décisif pour que vous gardiez seul votre commandement. Mais cette lettre peut aussi servir de prétexte pour vous demander de démissionner. Si vous vous décidez à l'envoyer, rendez-vous au «230», page 108.

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : mar. oct. 28, 2014 11:18 am
par jolou
Elvis, gladiatt, Nabulio, Darthmath
Il semble que vous l'ayez emporté. Le Directoire ne parle plus de vous placer sous les ordres du pointilleux Kellermann. Vous effectuez à la tête de vos troupes une belle entrée dans Milan évacué par les Autrichiens.
Beaucoup de Milanais modestes craignent les républicains français qu'ils jugent encore athées, pillards et sanguinaires. Mais toute la bourgeoisie préfère clairement la France à l'Autriche. La noblesse et la simplicité de votre attitude gagnent bien des coeurs et finalement l'accueil dans le centre de la ville est triomphal.
Vos soldats sont déguenillés mais fiers, et la prestance de vos officiers ne laisse pas indifférentes beaucoup de belles Milanaises. La plus belle et la plus célèbre de toutes, la cantatrice Grassini, vous lance des regards de braise et des sourires à dégeler un glacier mais, fidèle à votre épouse, vous repoussez ses avances.
Vous êtes pleinement heureux et ne doutez plus d'avoir un grand rôle à jouer en France, en Italie, peut-être encore ailleurs. Cependant, la nuit, vous vous sentez bien seul.
Votre joie est brutalement assombrie par plusieurs lettres en provenance de votre famille qui laisse entendre que, loin de souhaiter vous rejoindre en Italie comme vous le lui avez demandé, car elle vous manque de plus en plus, votre femme Joséphine a des relations très intimes avec un jeune et séduisant lieutenant de hussards. Vous êtes inquiet, jaloux, désespéré. Les rares lettres de votre femme sont évasives et n'arrangent rien.
• Décidez-vous de changer de ton en exigeant son arrivée à Milan, et en envoyant une seconde lettre au gouvernement demandant que tout soit fait pour lui faciliter le voyage ? Rendez-vous alors au «36», page 18.
• Ou, torturé par la jalousie, décidez-vous de rentrer sur-le-champ à Paris en invoquant un prétexte quelconque, bien que votre présence en Italie reste nécessaire ? Rendez-vous alors au «126», page 59.
(Après ce choix, je pense qu'on peut reprendre Reborn ^^)

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : mar. oct. 28, 2014 11:29 am
par DarthMath
Je reste en Italie et je demande qu'elle me rejoigne, la bougresse !! Aaaah, les femmes !! :siffle: :chicos:
36

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : mar. oct. 28, 2014 11:32 am
par gladiatt
jolou a écrit :Elvis, gladiatt, Nabulio, Darthmath

• Décidez-vous de changer de ton en exigeant son arrivée à Milan, et en envoyant une seconde lettre au gouvernement demandant que tout soit fait pour lui faciliter le voyage ? Rendez-vous alors au «36», page 18.
Non, je ne suis pas Jaloux. Si elle ne veut plus de moi, je ne peut rien y faire et ne vais pas la contraindre.
En revanche, si elle veut me rejoindre, volontiers. Et SURTOUT, hors de question que je quitte l'Italie.
-Rendez-vous au "36", page 18.

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : mar. oct. 28, 2014 12:00 pm
par Nabulio
Abandonner la gloire militaire pour une pièce de Feydeau avec amant dans le placard, non merci !
• Décidez-vous de changer de ton en exigeant son arrivée à Milan, et en envoyant une seconde lettre au gouvernement demandant que tout soit fait pour lui faciliter le voyage ? Rendez-vous alors au «36», page 18.

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : mar. oct. 28, 2014 1:13 pm
par Elvis
Un petit week end en Italie ne peut pas faire de mal

• Décidez-vous de changer de ton en exigeant son arrivée à Milan, et en envoyant une seconde lettre au gouvernement demandant que tout soit fait pour lui faciliter le voyage ? Rendez-vous alors au «36», page 18.

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : mar. oct. 28, 2014 1:23 pm
par Reborn
Vos choix sont passionnants. :o:

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : mar. oct. 28, 2014 3:22 pm
par Elvis
Reborn a écrit :Vos choix sont passionnants. :o:

Ben j attends 1812 pour ne pas reproduire la meme erreur :

(...)
decidez vous de declarer la guerre a la Russie
ou
Finalement les russes ne sont pas si penibles et on saura faire avec..

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : mar. oct. 28, 2014 3:39 pm
par jolou
Elvis, Nabulio, gladiatt, Darthmath
Vous dormez mal. Mais, joie, arrive enfin une lettre annonçant l'arrivée prochaine de votre épouse. Les Directeurs ont beaucoup facilité les choses. Conscients maintenant de l'importance de votre rôle en Italie, ils savaient que vous deveniez de plus en plus nerveux et craignaient pour votre santé et votre équilibre, mais cela vous l'ignorez.Profitant de l'inactivité de l'armée française du Rhin commandée par Moreau et par Jourdan, les Autrichiens préparent une armée de secours allemande et hongroise pour délivrer Mantoue que vous assiégez.
Plusieurs villes italiennes commencent du reste à mal supporter les exigences de l'armée française en réquisitions et en impôts – vous avez promis d'envoyer de l'argent frais à Paris – et surtout les agissements détestables des civils français qui suivent votre armée et se comportent en pays conquis. Des troubles naissent, des soldats français sont égorgés dans les rues de Binasco, de Pavie et dans les faubourgs de Milan.
• Si vous vous contentez de protester, en admettant que les Italiens avaient des raisons d'être mécontents, rendez-vous au «360», page 174.
• Si vous estimez qu'il est indispensable de vous faire craindre en exerçant une répression limitée mais violente contre les quartiers en révolte : exécution des hommes pris les armes à la main, pillage et destruction des maisons, rendez-vous au «97», page 46.
Après ce choix et celui d'après Reborn participera, désolé Reborn :console:

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : mar. oct. 28, 2014 4:38 pm
par gladiatt
jolou a écrit : • Si vous estimez qu'il est indispensable de vous faire craindre en exerçant une répression limitée mais violente contre les quartiers en révolte : exécution des hommes pris les armes à la main, pillage et destruction des maisons, rendez-vous au «97», page 46.
[/quote]

J'aime pas ça, mais il me semble nécessaire d'assurer mes arrières ! Pas d'insurrection dans mon dos. Je me rends au "97".

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : mar. oct. 28, 2014 4:42 pm
par DarthMath
Je souhaite pour ma part me concilier la population ... 360

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : mar. oct. 28, 2014 5:22 pm
par Nabulio
• Si vous estimez qu'il est indispensable de vous faire craindre en exerçant une répression limitée mais violente contre les quartiers en révolte : exécution des hommes pris les armes à la main, pillage et destruction des maisons, rendez-vous au «97», page 46.

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : mar. oct. 28, 2014 5:44 pm
par Elvis
Une main de fer dans un gant d'acier

• Si vous estimez qu'il est indispensable de vous faire craindre en exerçant une répression limitée mais violente contre les quartiers en révolte : exécution des hommes pris les armes à la main, pillage et destruction des maisons, rendez-vous au «97», page 46.

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : mar. oct. 28, 2014 6:21 pm
par jolou
Darthmath
Tous les mécontents, tous les partisans de l'Autriche et tous les adversaires de la République prennent votre mansuétude pour de la faiblesse et s'unissent pour organiser des attentats contre les Français.
Vous êtes maintenant bien forcé de réagir mais le tiers de vos troupes, éparpillé dans des opérations de police, va vous manquer pour affronter l'armée autrichienne.
Jet de dé favorable a darthmath
Elvis, Nabulio, gladiatt
Cette fermeté était malheureusement nécessaire. Les attentats cessent. Votre moral en hausse à la suite des retrouvailles avec votre femme, vous vous préparez à affronter la nouvelle armée autrichienne.
Darthmath, Elvis, Nabulio, gladiatt
Votre activité militaire et diplomatique est prodigieuse. Vous négociez un accord avec le pape, considéré à la fois comme un chef d'État et le chef des catholiques. Sa Sainteté s'engage à rompre son alliance avec l'Autriche et à faire cesser toute propagande anti-française par son clergé. Vous taxez tous les États italiens, pour le grand bonheur des finances de la République. La partie de l'Italie occupée par votre armée est bien administrée et l'ordre y règne. Vous occupez le port de Livourne, que les Anglais évacuent à la hâte pour se replier en Corse. Là, vous avez la surprise de recevoir une invitation à dîner pour
vous-même et quelques officiers de votre choix, chez le grand-duc Ferdinand, frère de l'empereur d'Autriche avec qui la France est en guerre. Le grand-duc, qui possède un palais à Livourne, est connu pour son pacifisme et jouit d'un grand prestige dans toute l'Europe. Bien que votre armée contrôle la ville, il n'est pas question de faire violence au grand-duc. Cette action serait inutile et susciterait la colère et le mépris dans tous les pays européens.
• Allez-vous accepter son invitation sans prendre de précaution particulière ? Rendez-vous au «86», page 41.
• Allez-vous vous rendre à l'invitation, mais exiger que les plats soient goûtés en votre présence, par peur du poison ? Rendez-vous au «20», page 12.
• Allez-vous refuser ? Rendez-vous au «325», page 154.

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : mar. oct. 28, 2014 6:27 pm
par gladiatt
jolou a écrit :
• Allez-vous accepter son invitation sans prendre de précaution particulière ? Rendez-vous au «86», page 41.
Sans précaution particulière. Pas de raison de vexer mon hôte !
Rendez-vous au «86», page 41.

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : mar. oct. 28, 2014 6:41 pm
par Nabulio
Entre gens du monde, pas d'inquiétude
• Allez-vous accepter son invitation sans prendre de précaution particulière ? Rendez-vous au «86», page 41.

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : mar. oct. 28, 2014 7:13 pm
par Elvis
Mouais une bonne bouffe ca ne se refuse pas, mais pas confiance...

• Allez-vous vous rendre à l'invitation, mais exiger que les plats soient goûtés en votre présence, par peur du poison ? Rendez-vous au «20», page 12.

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : mer. oct. 29, 2014 1:40 pm
par DarthMath
Je refuse ... il est trop tôt pour négocier avec l'ennemi ... 325

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : mer. oct. 29, 2014 4:55 pm
par jolou
Nabulio, gladiatt
Le grand aristocrate autrichien vous reçoit magnifiquement. La conversation est intéressante, le repas se passe agréablement. Ce n'est pas grâce à votre naissance, mais par votre mérite et votre remarquable personnalité, que vous avez été reçu par l'un des plus grands seigneurs d'Europe. C'est flatteur et cela peut vous servir plus tard.
Elvis
Il n'y a pas de poison dans les magnifiques plats que vous présente le grand-duc. La soirée se passe agréablement. Il est flatteur pour vous, officier d'origine modeste, que vos qualités soient reconnues et appréciées par l'un des plus grands seigneurs d'Europe, même d'un pays ennemi. Cela ajoute à votre renommée et peut vous être utile plus tard.
Darthmath, Elvis, Nabulio, gladiatt
Vous quittez le soir même Livourne pour regagner le nord de l'Italie.
Les armées françaises de Jourdan et de Moreau ne sont toujours pas passées à l'offensive en Allemagne, et des renforts autrichiens affluent vers l'Italie.
Déjà, les journaux de Londres et de Vienne annoncent votre écrasement inévitable. Un jour que vous prenez le café avec votre femme sur la terrasse de votre villa, vous apercevez au loin les taches blanches que font les colonnes autrichiennes qui commencent à descendre dans la plaine. Il faut fuir.
Bientôt, la situation évolue. Vous avez massé les 35 000 hommes dont vous disposez devant et autour de Mantoue, la ville fortifiée où se trouvent toujours 12 000 soldats ennemis. Vous avez 200 gros canons, utiles contre les murailles de la ville mais trop peu mobiles pour être utilisés en bataille. Marchant vers vous dans la direction du sud, 60 000 Autrichiens sont répartis en deux corps qui seront séparés pendant encore deux jours par le lac de Garde : 25 000 hommes à l'ouest commandés par Quasdanowich, 35 000 hommes à l'est commandés par Wurmser. Vous n'avez jamais été en situation aussi critique depuis le début de la campagne d'Italie.
Il vous faut prendre une décision immédiate.
• Si vous décidez d'attendre l'ennemi et de résister sur place, rendezvous au «165», page 77.
• Si vous vous décidez pour la retraite immédiate en abandonnant gros canons et matériel lourd, rendez-vous au «391», page 191.
• Si vous acceptez de perdre vos canons, mais en marchant à la rencontre de l'ennemi pour tenter de battre séparément ses deux colonnes avant qu'elles ne soient rassemblées au sud du lac de Garde, rendezvous au «401», page 197.

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : mer. oct. 29, 2014 4:57 pm
par DarthMath
Manoeuvrons !! 401

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : mer. oct. 29, 2014 5:10 pm
par Elvis
Par Horace, allons a la rencontre des forces ennemies et ecrasons les separement, les unes apres les autres.
Les canons, on les recuperera plus tard...

• Si vous acceptez de perdre vos canons, mais en marchant à la rencontre de l'ennemi pour tenter de battre séparément ses deux colonnes avant qu'elles ne soient rassemblées au sud du lac de Garde, rendezvous au «401», page 197.

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : mer. oct. 29, 2014 5:14 pm
par Nabulio
Rapidité et concentration !
• Si vous acceptez de perdre vos canons, mais en marchant à la rencontre de l'ennemi pour tenter de battre séparément ses deux colonnes avant qu'elles ne soient rassemblées au sud du lac de Garde, rendezvous au «401», page 197.

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : mer. oct. 29, 2014 5:33 pm
par gladiatt
On prend l'ennemi en détail pour mieux le défaire !

• Si vous acceptez de perdre vos canons, mais en marchant à la rencontre de l'ennemi pour tenter de battre séparément ses deux colonnes avant qu'elles ne soient rassemblées au sud du lac de Garde, rendezvous au «401», page 197.

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : mer. oct. 29, 2014 5:44 pm
par jolou
gladiatt,Nabulio, Elvis, Darthmath
Cette contre-attaque audacieuse était la seule solution. A l'est, Wurmser réussit à percer vos lignes et à faire une entrée triomphale dans Mantoue, mais pendant ce temps vous vous précipitez à l'ouest et battez son lieutenant Quasdanowich à Lonato. Ce corps est détruit ou prend la fuite. Wurmser réagit trop tard et son attaque à Castiglione échoue. Votre cavalerie le sabre dans les reins et le repousse à son tour vers les montagnes autrichiennes. Vos soldats enthousiastes décident de vous faire passer du grade de « caporal » à celui de « sergent »
Vous n'êtes pas au bout de vos soucis militaires. Moreau et Jourdan sont finalement entrés en Allemagne, mais, commettant la même faute que Wurmser et Quasdanowich, ils sont restés trop éloignés l'un de l'autre et se sont fait battre par l'archiduc Charles d'Autriche à Bamberg, Altenkirchen et Würzburg.
Vous êtes épuisé, malade, mais vous trouvez cependant la force de battre une nouvelle fois Wurmser à Bassano, d'envoyer un corps expéditionnaire en Corse pour en chasser les Anglais et de tenir en respect les États italiens qui savent que le maréchal autrichien Alvinczy descend vers le sud avec une nouvelle armée.
Le pont d'Arcole sur l'Adige devient une position stratégique importante, mais Alvinczy l'a fait solidement garder par 10 000 hommes et 20 canons, qui fauchent à plusieurs reprises les colonnes d'assaut françaises. Décidé à emporter la position, vous galvanisez vos hommes en leur demandant s'ils sont des lâches ou s'ils sont toujours les vainqueurs de Lodi.
Allez-vous prendre le risque de vous porter vous-même à la tête des troupes qui doivent enlever le pont ?
• Si vous prenez ce risque, rendez-vous au «407», page 201.
• Si vous ne le prenez pas, rendez-vous au «251», page 119.
Désolé pour Reborn mais il devra attendre encore :o:

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : mer. oct. 29, 2014 5:47 pm
par DarthMath
Allez, la fortune sourit aux audacieux !! Chaaaaarge !!
407

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : mer. oct. 29, 2014 5:47 pm
par Nabulio
Risquer une balle dans une opération qui a du panache mais qui est une stupidité tactique, non merci.
• Si vous ne le prenez pas, rendez-vous au «251», page 119.

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : mer. oct. 29, 2014 5:50 pm
par gladiatt
Allez-vous prendre le risque de vous porter vous-même à la tête des troupes qui doivent enlever le pont ?
• Si vous prenez ce risque, rendez-vous au «407», page 201.

mode Stark on:
-CHAAARRGGGEEEZZZZ !! :2gun:

:mrgreen:

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : mer. oct. 29, 2014 6:12 pm
par Elvis
Il faut montrer l'exemple

Je charge a la tete de mes hommes, sabre au clair , et l etendart tricolore dans l autre main...

• Si vous prenez ce risque, rendez-vous au «407», page 201.

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : mer. oct. 29, 2014 6:18 pm
par Reborn
On va perdre au moins un des Napoléon sur ce coup. :chicos:

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : mer. oct. 29, 2014 6:41 pm
par jolou
Elvis, gladiatt, Darthmath
Suivi de plusieurs généraux, vous prenez la tête d'une nouvelle attaque.
Le feu autrichien est meurtrier. Le capitaine Muiron se précipite devant vous et s'écroule, mortellement blessé par une balle qui vous était destinée.
Darthmath ( Une chance sur 6 de tomber sur le mauvais choix, pas de chance ^^)
Vos soldats forment une muraille humaine pour vous défendre, mais plusieurs tireurs d'élite embusqués vous prennent pour cible. Les balles se logent dans votre poitrine et votre tête. L'Histoire continuera sans vous.
gladiatt, Elvis, Nabulio
Vos soldats refluent en désordre, après un nouvel assaut infructueux.
Une bousculade confuse vous fait tomber dans le marais proche du pont, où vous restez englué, sous le tir de l'ennemi, durant de longues minutes.
Il vous faudra trois jours de manoeuvres subtiles et une diversion créée à dix kilomètres de là par vos musiciens, qui n'auront jamais sonné la charge aussi fort, pour déloger les Autrichiens du pont et remporter la victoire. Alvinczy retraite, se réorganise, puis réussit à lancer une offensive.
Six colonnes ennemies convergent sur le plateau de Rivoli pour vous y écraser. Après un dur combat, vous remportez in extremis une grande victoire,
grâce à l'arrivée de renforts et à une fabuleuse charge de cavalerie menée par Murat et par Lasalle. Art ou génie, vous n'avez à aucun moment douté, contre toute apparence, et vous avez crevé huit chevaux en quatre jours. Après cette campagne extraordinaire, vous contrôlez toute l'Italie du Nord et du Centre.
La France délire de joie, mais son gouvernement, lui, n'a plus aucun prestige. On le juge incompétent et corrompu. Vous êtes devenu indispensable. Les Directeurs ne songent plus à vous ôter votre commandement, mais plutôt à vous laisser le plus longtemps possible en Italie, de peur que, rentré en France, vous ne profitiez de votre immense popularité pour aspirer à la dictature militaire.
Vous recevez plusieurs lettres de Talleyrand, nouveau ministre français des Relations extérieures, qui a discerné en vous un homme qui monte et vous renseigne en détail sur la situation en France. Vous apprenez que la débâcle financière est presque complète. Les armées manquent de pain. Les billets de banque ne valent plus rien. Le pays est infesté de brigands. Le désordre est tel que l'activité commerciale et industrielle est quasiment nulle. A Paris, tout le monde complote, surtout les royalistes. Le peuple souhaite dans sa grande majorité garder les conquêtes de la Révolution, mais veut l'ordre, la sécurité, la stabilité économique, la liberté religieuse. Tout cela, le gouvernement, dirigé par quelques idéologues sectaires et de plus en plus corrompus dans des combines individuelles malhonnêtes, ne peut le procurer. Sentant qu'il risque d'être renversé, il vous demande d'envoyer 10 000 hommes à Paris pour affermir l'ordre républicain.
Vous comprenez qu'il demande l'intervention de l'armée contre l'opposition dirigée par la majorité de l'Assemblée devenue proroyaliste.
Vous pouvez décider :
• Soit de monter sur Paris avec 10 000 hommes. Rendez-vous au «176», page 81.
• Soit de rester en Italie, préférant organiser le pays et conduire les pourparlers de paix avec l'Autriche plutôt que de livrer de peu glorieux combats à Paris, tout en envoyant cependant les 10 000 hommes demandés avec Augereau, le plus républicain de vos généraux. Rendezvous au «316», page 150.
• Soit de faire la sourde oreille. Rendez-vous au «368», page 178.
Voila ! Après ce choix, Reborn pourra enfin rejouer ! (Sauf si quelqu'un prend le troisième choix :siffle: )

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : mer. oct. 29, 2014 7:02 pm
par Elvis
L'Italie, c'est bien, mais il faut voir plus grand.

Je remonte à Paris avec ma garde rapprochée

• Soit de monter sur Paris avec 10 000 hommes. Rendez-vous au «176», page 81.

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : mer. oct. 29, 2014 7:04 pm
par DarthMath
jolou a écrit :( Une chance sur 6 de tomber sur le mauvais choix, pas de chance ^^)
Vos soldats forment une muraille humaine pour vous défendre, mais plusieurs tireurs d'élite embusqués vous prennent pour cible. Les balles se logent dans votre poitrine et votre tête. L'Histoire continuera sans vous
:goutte: :sad: :surrender:

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : mer. oct. 29, 2014 7:07 pm
par gladiatt
Maintenir la république me parait un objectif valable, mais à la force des armes ? Non.
Je reste en Italie avec comme objectif de battre définitivement l'Autriche.


• Soit de faire la sourde oreille. Rendez-vous au «368», page 178.

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : mer. oct. 29, 2014 7:22 pm
par GA_Thrawn
Je me permet de mettre un intermède "photos" :o:

http://mashable.com/2014/10/27/napoleon ... -veterans/

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : mer. oct. 29, 2014 7:26 pm
par griffon
Impressionnant :shock:

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : mer. oct. 29, 2014 7:34 pm
par jolou
Merci Thrawn, c'est impressionnant

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : mer. oct. 29, 2014 8:03 pm
par Nabulio
On tente de sauver le régime sans trop se mouiller, histoire qu'il tienne encore un peu pendant que j'engrange encore plus de gloire
• Soit de rester en Italie, préférant organiser le pays et conduire les pourparlers de paix avec l'Autriche plutôt que de livrer de peu glorieux combats à Paris, tout en envoyant cependant les 10 000 hommes demandés avec Augereau, le plus républicain de vos généraux. Rendezvous au «316», page 150.

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : mer. oct. 29, 2014 9:16 pm
par jolou
Nabulio
Le baroudeur Augereau est toujours prêt à casser du royaliste. Dès son arrivée à Paris, les choses ne traînent pas : 160 fusillés, 400 députés arrêtés à la sortie de l'Assemblée et envoyés au bagne de Cayenne. Les royalistes, terrorisés, ne parleront pas de soulèvement avant longtemps.
gladiatt
Sans le renfort demandé, le gouvernement est en mauvaise posture.
Pour éviter d'être renversé par l'Assemblée, il se décide pourtant à l'épreuve de force en faisant arrêter le député pro-royaliste d'André et plusieurs meneurs de l'opposition.
Reborn
L'opinion française est partagée. Désirant l'ordre et la sécurité avant tout, elle ne demanderait pas mieux qu'un retour à la royauté, mais craint que ne soient alors remises en cause les nombreuses ventes de biens confisqués aux nobles et au clergé. Et puis leurs représentants ne vont-ils pas vouloir revenir à leurs passe-droits et exemptions d'impôts, au détriment des autres Français ? D'André n'ayant pas eu le courage ou l'autorité pour apaiser ces craintes, il n'y a aucune désertion de votre armée et votre contre-attaque a des chances de succès.
Elvis, Reborn
Votre départ a des conséquences fâcheuses en Italie. Vos lieutenants sont énergiques mais n'ont pas votre talent et se font battre à plusieurs reprises. L'armée française doit évacuer la région de Vérone et se replier sur le Milanais. Cependant, votre arrivée à Paris permetau gouvernement de frapper le parti royaliste. Les chefs sont arrêtés à leur domicile ou même à la sortie de l'Assemblée, les plus extrémistes sont fusillés.
Nabulio, gladiatt, Elvis, Reborn
Les royalistes ont été pris de vitesse. Tous leurs chefs sont jetés en prison, la plupart déportés. Les Directeurs font quadriller Paris par la troupe mais l'alerte a été chaude. Vous sentez que la France a maintenant besoin d'un homme fort et respecté, qui ne renie pas la République mais qui offre paix, tolérance
religieuse et prospérité économique. Votre but est maintenant tout tracé : montrer que vous êtes le héros attendu, et parvenir à exercer en France un pouvoir sans partage.
Votre seul rival dangereux, le général Hoche, dont la jeunesse, la popularité et le talent pouvaient être comparés aux vôtres, vient de mourir d'épuisement et de tuberculose.
Le but des Directeurs sera désormais de vous éloigner le plus souvent possible de Paris, car ils ont compris toute la portée de votre ambition. Cependant, il faut pour l'immédiat terminer la guerre avec l'Autriche.Vous dirigez des discussions pour arriver à un traité de paix avec
l'Autriche.
La situation diplomatique est complexe. La France veut avant tout conserver la Belgique et la rive gauche du Rhin. Les armées autrichiennes ont été plusieurs fois vaincues, mais la popularité de l'empereur Franz et l'aide financière de l'Angleterre rendent possible la levée de nouvelles troupes. La Russie pourrait en
outre envoyer 60 000 soldats en renfort. Pour que celle-ci se résigne à traiter sur la base des conditions françaises, tout indique qu'il faut que l'une des deux conditions suivantes soit remplie.
Ou bien vous réussissez à occuper Vienne, sa capitale, mais vous craignez que les 74 000 hommes dont vous disposez maintenant soient encore insuffisants pour cela. Ou bien l'Autriche reçoit Venise en compensation. La république de Venise n'aime pas la France, dont elle a du reste tué quelques officiers, et l'attaquera si elle est vaincue.
Vous tenez conseil. Allez-vous vous décider :
• Pour le « réalisme » : occuper Venise, et en négocier l'échange contre la rive gauche du Rhin avec l'Autriche ? Rendez-vous au «282», page 135.
• Pour la poursuite de la guerre sur le sol autrichien, en marchant vers Vienne ? Rendez-vous au «143», page 67.

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : mer. oct. 29, 2014 9:19 pm
par Reborn
143 - A Vienne ! :yho:

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : mer. oct. 29, 2014 9:27 pm
par Elvis
il nous faut avoir les mains libres pour assurer notre destin qui nous appelle..
Un peu de realpolitik s'avère nécessaire...

et puis de toutes façons, Venise, c'est un peu surfait...

• Pour le « réalisme » : occuper Venise, et en négocier l'échange contre la rive gauche du Rhin avec l'Autriche ? Rendez-vous au «282», page 135.

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : mer. oct. 29, 2014 10:10 pm
par gladiatt
On va pas finasser longtemps, et on va tenter de satisfaire les Autrichiens :
• Pour le « réalisme » : occuper Venise, et en négocier l'échange contre la rive gauche du Rhin avec l'Autriche ? Rendez-vous au «282», page 135.

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : mer. oct. 29, 2014 10:31 pm
par Nabulio
J'ai besoin d'une victoire pour prendre le pouvoir, je n'abandonne pas la proie pour l'ombre.
• Pour le « réalisme » : occuper Venise, et en négocier l'échange contre la rive gauche du Rhin avec l'Autriche ? Rendez-vous au «282», page 135.

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : mer. oct. 29, 2014 10:54 pm
par jolou
Reborn
Vous traversez les cols alpins enneigés et marchez sur Vienne en ayant dû laisser 20000 hommes garder l'Italie du Nord. L'armée de l'archiduc Charles, le meilleur général autrichien, vous attend sur une forte position qu'il est difficile de contourner. Il faut lancer une attaque frontale, sans manoeuvre savante. L'aube se lève sur un jour lourd d'angoisses et d'incertitudes. Vous êtes transi par une pluie fine et glaciale.

Jet de dé favorable a reborn, il doit posséder une dizaine de trèfles a quatre feuille

Dragons contre uhlans, grenadiers français en bleu foncé contre grenadiers hongrois en bleu clair et infanterie autrichienne en blanc, le spectacle est magnifique et la lutte indécise. Tenu en échec jusqu'à 14 heures, vous finissez par l'emporter en créant, grâce à votre utilisation supérieure de l'artillerie, le désordre dans les rangs autrichiens. Ceuxci sont alors enfoncés par Murat en uniforme écarlate et sa cavalerie
lourde. C'est une grande victoire. Plutôt que de voir sa capitale ravagée, l'Empereur accepte aussitôt les conditions de paix proposées, sans recevoir Venise.
Nabulio, Elvis, gladiatt
Que dire de votre attitude ? Elle est quelque peu cynique, car les Vénitiens occupés pensaient que vous alliez garantir l'indépendance de leur État et y permettre plus de justice sociale. Mais elle est efficace,
La neige est tombée sur les Alpes, rendant la marche sut Vienne encore plus hasardeuse. L'Autriche accepte, moyennant certaines conditions, la cession de la rive gauche du Rhin à la France et les troupes de l'Empereur occupent Venise deux jours après votre départ. Les Parisiens retiennent, eux, qu'après leur avoir donné des victoires, vous leur apportez la paix.
Nabulio, Elvis, Reborn, gladiatt
Votre retour à Paris est un formidable succès personnel. Même ceux qui vous craignent ne peuvent s'empêcher de ressentir une certaine admiration à votre égard. Mais malgré l'enthousiasme populaire et l'appui, déjà, de quelques hommes influents comme Talleyrand, il n'est pas encore temps de prendre le pouvoir.
Les Directeurs, eux, n'ont aucune envie de vous voir inoccupé et vous nomment aussitôt général en chef de l'armée d'Angleterre, avec laquelle la France est toujours en guerre. Peut-on faire traverser la Manche à toute une armée malgré la supériorité évidente de la Royal Navy, qui parvient souvent à bloquer les ports français et paraît à plus forte raison capable de tailler en pièces une lente flottille de débarquement ? Vous inspectez les côtes et les ports, interrogez marins, pêcheurs et contrebandiers.
• Si finalement vous pensez qu'avec une météorologie favorable et de la chance l'entreprise est jouable, et que vous recommandiez le débarquement en Angleterre, rendez-vous au «4», page 5.
• Si au contraire vous pensez que même si avec beaucoup de chance une armée française peut débarquer à peu près intacte en Angleterre, elle aura de grosses difficultés à recevoir équipements et munitions face à une armée anglaise résolue, et si vous abandonnez l'idée d'une attaque de l'île, rendez-vous au «43», page 20.
• Si, enfin, tout en pensant qu'une attaque directe de l'Angleterre est trop risquée, vous tenez à diriger une expédition spectaculaire et proposez l'envoi d'une armée en Égypte, pays faisant en principe partie de l'empire turc, mais étant en réalité indépendant – , dont l'Angleterre s'emparera tôt ou tard pour protéger son important commerce avec l'Inde si la France ne la devance pas, rendez-vous au «82», page 40.

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : mer. oct. 29, 2014 11:08 pm
par Reborn
4 - On attaque. En cas de succès, l'île de Bretagne sera restituée à un Etat breton indépendant. :o:

(et au pire, le nabot crèvera :siffle: )

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : mer. oct. 29, 2014 11:56 pm
par Antonius
:hurle: Et c'est Reborn qui reçoit les gonades d'or du trophé Lugan!

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : jeu. oct. 30, 2014 6:02 am
par Elvis
Moi je prefere le soleil et les plages de la Mer rouge et de mediterranee

• Si, enfin, tout en pensant qu'une attaque directe de l'Angleterre est trop risquée, vous tenez à diriger une expédition spectaculaire et proposez l'envoi d'une armée en Égypte, pays faisant en principe partie de l'empire turc, mais étant en réalité indépendant – , dont l'Angleterre s'emparera tôt ou tard pour protéger son important commerce avec l'Inde si la France ne la devance pas, rendez-vous au «82», page 40.

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : jeu. oct. 30, 2014 8:32 am
par gladiatt
jolou a écrit : gladiatt

• Si au contraire vous pensez que même si avec beaucoup de chance une armée française peut débarquer à peu près intacte en Angleterre, elle aura de grosses difficultés à recevoir équipements et munitions face à une armée anglaise résolue, et si vous abandonnez l'idée d'une attaque de l'île, .
.
L’Egypte ne me tente pas. Pour le climat j'aurais apprécié l'Outre Manche, mais les Rosbifs ne vont pas être d'accord. Donc, choix médian. rendez-vous au «43», page 20

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : jeu. oct. 30, 2014 9:00 am
par Nabulio
• Si au contraire vous pensez que même si avec beaucoup de chance une armée française peut débarquer à peu près intacte en Angleterre, elle aura de grosses difficultés à recevoir équipements et munitions face à une armée anglaise résolue, et si vous abandonnez l'idée d'une attaque de l'île, rendez-vous au «43», page 20.
Envahir l’Angleterre est une utopie et ma gloire doit être suffisante pour discréditer le Directoire détesté, pas la peine de partir au loin.

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : jeu. oct. 30, 2014 11:21 am
par jolou
Nous avons un vainqueur du prix Bernard Lugan (Piètre récompense ! La meilleur étant celle du prix de queue plate de sous prévôté :o: )

Reborn
Soucieux de vous éloigner de Paris, les Directeurs veulent aussi en découdre avec l'Angleterre. Votre plan est accepté.
La marine anglaise est en force à Gibraltar. Les navires français de Méditerranée ne peuvent renforcer l'escadre d'invasion rassemblée à Boulogne, Dunkerque, Calais et Ostende. Vous décidez de tenter la traversée du pas de Calais tous feux éteints, par une nuit sans lune. Le vent souffle à la tempête. Ces conditions difficiles améliorent les chances d'échapper à la surveillance des Anglais, mais rendent les communications entre vaisseaux très difficiles.

Je crois que Reborn est protégé par le dieu de la chance dans cette partie :shock:

Après une nuit périlleuse et mouvementée, votre navire réussit à mettre à l'ancre devant une plage anglaise. Votre escadre a été dispersée par quelques combats navals et surtout par la mer déchaînée. Vous devez attendre le jour dans l'incertitude pour juger la situation.

Je suis sur que le dieu de la chance est avec Reborn :goutte:

Votre flotte a souffert, mais le gros de la force d'invasion reste intact, groupé autour de votre navire amiral. Malgré le mauvais temps, vous décidez de ne pas risquer d'attendre l'arrivée de forces navales ou terrestres ennemies et ordonnez le débarquement immédiat. Vous voici sur le sol anglais ! Toute la journée est nécessaire pour rallier les troupes et leur rendre un semblant d'ordre. Vous n'avez que 40 000 hommes en état de combattre, il ne faut pas espérer recevoir des renforts de sitôt, les navires anglais patrouillant en force dans le pas de Calais. Vous donnez dans la soirée l'ordre de marcher sur Londres. L'armée anglaise vous attend à Bleakheath. Malgré le manque de cavalerie et d'artillerie, vous réussissez à percer les lignes anglaises et à pénétrer dans Londres. Cet exploit n'avait pas été renouvelé depuis Guillaume le Conquérant. Vous vous rendez compte cependant qu'après ce fantastique succès il n'est pas possible d'aller plus loin. Votre armée est tout juste suffisante pour tenir la capitale, assurer à peu près les approvisionnements et les communications
avec la côte. Malgré la nuit, les Anglais coulent la majorité des navires français qui tentent le débarquement. Enfin, des prisonniers anglais vous informent d'un complot pour vous assassiner, avec la complicité de plusieurs de vos officiers et peutêtre même d'un membre du gouvernement français. Il n'y a aucune
preuve, mais vous décidez que le moment est venu de conclure un accord avec l'Angleterre, qui récupérera sa capitale mais devra rendre les colonies françaises qu'elle a envahies. Vous pensez profiter de votre dernier succès pour vous emparer du pouvoir à Paris.
Bien que vous n'ayez pas remporté le succès militaire complet que vous espériez, vous vous rendez compte que vous n'avez pas perdu votre popularité à Paris.
L'agitation est à son comble. Vos ennemis vous accusent de crime, de rébellion, d'abandon de commandement en temps de guerre, et demandent l'application de la loi martiale. Mais votre retour suscite de folles espérances car la grande majorité des Français, écoeurée par les politiciens, veut un chef énergique et respecté qui assure à la fois la paix, la sécurité, l'union nationale, le rétablissement de l'économie et la liberté de culte après onze ans d'agitation révolutionnaire et de guerre. Vous avez une image d'homme intègre, à l'écart des combines politiques et financières. Dans de nombreuses villes on organise des fêtes populaires en votre honneur. Vous estimez vos chances. Sont pour vous l'opinion publique et la majorité de l'armée, hormis les généraux. Parmi ceux-ci, Jourdan, Moreau, Augereau et surtout Bernadotte, qui avait les mêmes ambitions que vous et admirait les mêmes femmes, vous jalousent.
L'attitude des députés est incertaine, bien que votre frère Lucien préside une des deux assemblées. Deux personnages importants vous sont acquis, le ministre de la Police, Fouché, et Talleyrand, qui était il y a encore quelques mois ministre des Relations extérieures. Vous arrivez à la conclusion qu'il vous faut l'appui de deux au moins des cinq Directeurs. Ceux-ci, qu'on appelle tantôt les cinq rois, tantôt les cinq pourris, sentent la menace que fait peser sur eux votre retour et parlent déjà de vous donner un autre commandement pour vous éloigner une nouvelle fois de Paris. Parmi les cinq, le faible Roger Ducos vous suivra sans difficulté. De quel autre Directeur allez-vous chercher le soutien, en prenant comme prétexte, pour commencer la conversation, que vous proposez de vous
mettre au service du pays en devenant vous-même Directeur ?
Barras est le plus brillant, peut-être le plus habile, mais aussi le plus corrompu et discrédité. Il rappelle à qui veut l'entendre que c'est lui qui a facilité votre carrière lors de l'émeute royaliste de Paris. Gohier, ancien extrémiste, ministre de la Justice sous la Terreur, est devenu un bourgeois respectable qui s'intéresse d'abord à ses succès féminins. Il fait du reste une cour assidue bien que sans succès à votre propre épouse.
Moulin, ancien général peu connu, passe pour être un fidèle républicain. Sieyès, ancien ecclésiastique, bon juriste, ambitieux et susceptible, a de l'influence sur les députés. On compte sur lui pour proposer une nouvelle constitution.
• Si vous cherchez pour allié Barras, rendez-vous au «277», page 133.
• Si vous choisissez Gohier, rendez-vous au «365», page 177.
• Si vous choisissez Moulin, rendez-vous au «31», page 16.
• Si vous choisissez Sieyès, rendez-vous au «76», page 38.
Bon ben reborn est repartis pour attendre que les autres le rejoigne :mrgreen:

Nabulio, gladiatt
Les Directeurs souhaitent vous tenir éloigné de Paris et de la vie politique. Ils vous nomment général en chef de l'armée d'Orient. La mission paraît lointaine mais glorieuse, vous ne pouvez refuser.
Nabulio, gladiatt, Elvis
Vous êtes chargé de conquérir l'Égypte, mais ce projet doit rester secret. Vous préparez immédiatement tous les détails de l'expédition : troupes, marins, navires, approvisionnements, matériel et même savants, car vous voulez étudier le pays et y faire rayonner la culture française. Vous cherchez à persuader deux femmes de se joindre à l'expédition, sans pouvoir leur en révéler le but. Vous y parvenez avec Mme Monge, femme du meilleur mathématicien français, qui ne serait pas venu sans elle. Plus laborieusement avec votre propre femme, qui n'a aucune envie de quitter Paris.Votre flotte rassemblée à Toulon a fière allure. Il y a 400 vaisseaux, 55 000 hommes, 1 000 chevaux, 1 000 canons. Votre femme manque à l'appel. Elle dit de ne pas se sentir bien. Avant de mettre à la voile, vous promettez aux soldats richesse et gloire, en gardant le secret sur le but de l'expédition pour accroître les chances d'éviter l'escadre anglaise de Méditerranée commandée par le redoutable Nelson. Malgré des vents faibles, vous arrivez sans encombre à mi-parcours, en vu de l'île de Malte. Vous êtes tenté de vous y arrêter pour vous ravitailler en eau douce qui manque déjà, et en profiter pour conquérir cette île et en faire une puissante base navale française au milieu de la Méditerranée. Mais cet intermède ne va-t-il pas augmenter les chances de rencontrer l'escadre anglaise qui vous recherche ?
• Si vous choisissez la prise de Malte, rendez-vous au «123», page 58.
• Si vous choisissez de poursuivre votre route, rendez-vous au «58»,
page 28.

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : jeu. oct. 30, 2014 11:44 am
par Lunarc
Reborn est bien parti pour conquérir le monde! :lolmdr:

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : jeu. oct. 30, 2014 12:37 pm
par gladiatt
Droit au but, inutile de perdre du temps avec un caillou que l'on ne pourra pas contrôler à cause de la Navy.

• Si vous choisissez de poursuivre votre route, rendez-vous au «58»,
page 28.

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : jeu. oct. 30, 2014 12:38 pm
par Elvis
On prendra Malte au retour

• Si vous choisissez de poursuivre votre route, rendez-vous au «58»,
page 28.

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : jeu. oct. 30, 2014 12:43 pm
par Reborn
Voilà ce qui a manqué à Bonaparte : une paire de cojones. 8-)

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : jeu. oct. 30, 2014 2:11 pm
par Antonius
Cet exploit n'avait pas été renouvelé depuis Guillaume le Conquérant.
Image
:o:

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : jeu. oct. 30, 2014 2:37 pm
par Nabulio
Croisons droit sur l'Egypte.
• Si vous choisissez de poursuivre votre route, rendez-vous au «58»,
page 28.

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : jeu. oct. 30, 2014 2:48 pm
par DarthMath
Reborn a écrit :Voilà ce qui a manqué à Bonaparte : une paire de cojones. 8-)
Ce qu'il ne faut pas lire, tout de même ... :o:

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : jeu. oct. 30, 2014 3:22 pm
par jolou
gladiatt, Nabulio, Elvis
Marins, soldats, officiers et chevaux souffrent tous de la soif, et les vents restent faibles. Les navires se traînent. Une vigie voit quelques voiles à l'horizon, puis elles disparaissent.Fausse alerte. L'escadre de Nelson est plus rapide que la vôtre, mais elle ignorait votre destination et n'a pu vous intercepter. Vous voici devant la côte égyptienne et Alexandrie, après cinquante‑sept jours de voyage. La soif et la crainte de voir apparaître les navires anglais imposent un débarquement rapide, malgré une forte houle. Il y a des noyés, la côte est aride et inhospitalière, la chaleur féroce, le moral des troupes très bas. Vous dirigez votre armée vers Alexandrie qu'il faut prendre au plus vite, sous peine de mourir de soif.
Alexandrie est prise sans difficultés, après quelques coups de canon qui ont détruit la porte principale de l'enceinte fortifiée. Votre armée peut se refaire une santé. Elle en a besoin, car des combats plus sérieux s'annoncent. Le retour dans la ville d'une vingtaine d'hommes épuisés, à demi morts de soif, et le récit de leur aventure impressionnent les plus braves. Ce sont les rescapés d'une patrouille de 150 hommes que vous aviez envoyée dans la direction du Caire. Perdus dans le désert, ils ont été surpris en pleine canicule par des cavaliers mamelouks et pour la plupart massacrés sur place. La peau blanche des plus jeunes a cependant plu aux vainqueurs qui les ont violés avant de leur couper la tête.Votre famille, qui n'a jamais aimé Joséphine, vous en raconte de
belles sur votre épouse. Imitant des membres du gouvernement, Joséphine s'est servie de ses relations pour se faire payer très cher par des fournisseurs douteux l'obtention de contrats lucratifs de fournitures aux armées. On vous parle aussi avec force détails de la liaison de votre femme avec un jeune hussard. Vous êtes accablé de chagrin, désespéré, et passez une nuit épouvantable. Le lendemain matin, vous vous regardez dans un miroir et votre visage vous fait peur.
• Si, tout à votre vengeance, vous décidez de rentrer immédiatement avec quelques navires en France, en laissant le commandement sur place au général Kléber, rendez-vous au «253», page 120.
• Si, triste, furieux, vous décidez de rester malgré tout, de prendre une maîtresse, et de préparer la prochaine bataille contre les mamelouks, rendez-vous au «10», page 6.

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : jeu. oct. 30, 2014 3:26 pm
par gladiatt
Je vais pas me prendre le choux pour une trainée. Si tant est que la rumeur soit vraie.
Et surtout, j'ai des Mamelouks à quicher !


• Si, triste, furieux, vous décidez de rester malgré tout, de prendre une maîtresse, et de préparer la prochaine bataille contre les mamelouks, rendez-vous au «10», page 6.

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : jeu. oct. 30, 2014 3:34 pm
par Elvis
Ca va chier des bulles chez les mamelouks


• Si, triste, furieux, vous décidez de rester malgré tout, de prendre une maîtresse, et de préparer la prochaine bataille contre les mamelouks, rendez-vous au «10», page 6.

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : jeu. oct. 30, 2014 3:58 pm
par Nabulio
• Si, triste, furieux, vous décidez de rester malgré tout, de prendre une maîtresse, et de préparer la prochaine bataille contre les mamelouks, rendez-vous au «10», page 6.
Je veux que les pyramides me contemplent !

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : jeu. oct. 30, 2014 4:21 pm
par jolou
gladiatt, Nabulio, Elvis
Après un bref moment passé avec une jeune Égyptienne de seize ans, à laquelle des fanatiques couperont plus tard la tête, vous choisissez, pour oublier vos déboires conjugaux, Pauline Fourès, une Française blonde de vingt ans qui avait obtenu de suivre l'armée. Elle est charmante, courageuse et gaie.
• Si vous souhaitez l'inviter vous-même à dîner et à passer la soirée en votre compagnie, rendez-vous au «90», page 43.
• Si vous préférez faire transmettre l'invitation par l'ancien sergent Junot, rendez-vous au «229», page 108.
• Si vous préférez enfin charger votre chef d'état-major Duroc de cette mission inhabituelle, rendez-vous au «366», page 178.
Faite gaffe, vous risquez de changer le cours de l'histoire avec ce choix :siffle:

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : jeu. oct. 30, 2014 4:30 pm
par Nabulio
Je monte en première ligne et je paie de ma personne.
• Si vous souhaitez l'inviter vous-même à dîner et à passer la soirée en votre compagnie, rendez-vous au «90», page 43.

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : jeu. oct. 30, 2014 4:44 pm
par gladiatt
jolou a écrit :
Faite gaffe, vous risquez de changer le cours de l'histoire avec ce choix :siffle:
Diantre, comment cela :lolmdr:
jolou a écrit :
Après un bref moment passé avec une jeune Égyptienne de seize ans, à laquelle des fanatiques couperont plus tard la tête, vous choisissez, pour oublier vos déboires conjugaux, Pauline Fourès, une Française blonde de vingt ans qui avait obtenu de suivre l'armée. Elle est charmante, courageuse et gaie.
• Si vous souhaitez l'inviter vous-même à dîner et à passer la soirée en votre compagnie, rendez-vous au «90», page 43.
Je n'ai pas besoin que l'on me fasse mes commissions !! Je l'invite moi même, rendez-vous au «90», page 43

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : jeu. oct. 30, 2014 6:32 pm
par GA_Thrawn
Après un bref moment passé avec une jeune Égyptienne de seize ans, à laquelle des fanatiques couperont plus tard la tête, vous choisissez, pour oublier vos déboires conjugaux, Pauline Fourès, une Française blonde de vingt ans qui avait obtenu de suivre l'armée. Elle est charmante, courageuse et gaie.

Rien que son nom est un appeau à blague jagienne :o:

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : jeu. oct. 30, 2014 6:50 pm
par Reborn
Aller ou non baiser sa maitresse change le cours de l'Histoire mais prendre Londres, non ? :o:

76 - Bon, on choisit l'abbé corruptible (juriste comme par hasard).

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : jeu. oct. 30, 2014 7:04 pm
par jolou
Pour qu'un livre prenne en compte un changement de l'histoire, faudrait plutôt que ce soit un logiciel avec une bonne IA :o:

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : jeu. oct. 30, 2014 9:56 pm
par Elvis
Après l'effort, le réconfort

• Si vous souhaitez l'inviter vous-même à dîner et à passer la soirée en votre compagnie, rendez-vous au «90», page 43.

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : ven. oct. 31, 2014 9:14 am
par jolou
Elvis, Nabulio, gladiatt
Cette démarche voyante entame un peu votre crédit de général en chef, mais vous réussissez à séduire la belle Pauline.Il vous faut maintenant marcher sur Le Caire affronter l'armée de Mourad Bey avec ses 40 000 fantassins turcs et ses 6 000 cavaliers mamelouks aux habits splendides brodés d'or. La rencontre a lieu devant les célèbres Pyramides. Les mamelouks se préparent à charger.
• Si vous donnez l'ordre d'attaquer, rendez-vous au «306», page 146.
• Si vous donnez l'ordre de former chaque division en carrés de six rangs de profondeur avec bagages au centre et canons aux angles, rendez- vous au «79», page 39.

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : ven. oct. 31, 2014 10:05 am
par Nabulio
Laissons ces rutilants mamelouks s'écraser sur nos carrés.
• Si vous donnez l'ordre de former chaque division en carrés de six rangs de profondeur avec bagages au centre et canons aux angles, rendez- vous au «79», page 39.

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : ven. oct. 31, 2014 10:18 am
par gladiatt
jolou a écrit :Elvis, Nabulio, gladiatt
Cette démarche voyante entame un peu votre crédit de général en chef, mais vous réussissez à séduire la belle Pauline.Il vous faut maintenant marcher sur Le Caire affronter l'armée de Mourad Bey avec ses 40 000 fantassins turcs et ses 6 000 cavaliers mamelouks aux habits splendides brodés d'or. La rencontre a lieu devant les célèbres Pyramides. Les mamelouks se préparent à charger.
• Si vous donnez l'ordre d'attaquer, rendez-vous au «306», page 146.
• Si vous donnez l'ordre de former chaque division en carrés de six rangs de profondeur avec bagages au centre et canons aux angles, rendez- vous au «79», page 39.

Laissons les être les vagues. Je serais la digue !

• Si vous donnez l'ordre de former chaque division en carrés de six rangs de profondeur avec bagages au centre et canons aux angles, rendez- vous au «79», page 39.

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : ven. oct. 31, 2014 4:21 pm
par Elvis
Formons les carres !.
• Si vous donnez l'ordre de former chaque division en carrés de six rangs de profondeur avec bagages au centre et canons aux angles, rendez- vous au «79», page 39.

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : ven. oct. 31, 2014 4:25 pm
par jolou
Nabulio, Elvis, gladiatt
Disciplinés, vos hommes attendent le choc sans tirer, puis fusillent l'ennemi à cinquante pas. Le carnage est affreux et en face il y a peu de survivants. Vous faites une entrée triomphale au Caire. Bientôt, vous administrez toute l'Égypte, alternant la sagesse, en , annonçant que vous respecterez partout la religion islamique, et la fermeté, en faisant, suivant la coutume du pays, couper et exposer la tête des traîtres comme le chérif Seid Mohammed Koraïn. Vous êtes surnommé le « Père du Feu », établissez des relevés pour le creusement du canal de Suez et entretenez une correspondance avec Tippoo Sahib, ennemi de l'Angleterre en Inde.
Mais de terribles nouvelles arrivent. La flotte française a été surprise à Aboukir, près d'Alexandrie, par les Anglais et presque complètement détruite, malgré l'héroïsme des marins. Il est clair, de plus, que le sultan Sélim III est maintenant décidé à s'allier à l'Angleterre pour reconquérir l'Égypte.
• Si vous décidez d'attendre son attaque, rendez-vous au «37», page 18.
• Si vous décidez de frapper le premier en Palestine et en Syrie, rendez-vous au «208», page 97.
• Enfin, si vous pensez que vous perdez votre temps et envisagez un retour en France, rendez-vous au «303», page 145.

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : ven. oct. 31, 2014 4:28 pm
par Reborn
Pourquoi perdre sa flotte et se perdre dans les sables de l'Egypte alors qu'il suffisait de débarquer en Albion et mater les perfides anglais ? :o: 8-)

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : ven. oct. 31, 2014 4:46 pm
par gladiatt
Ici j'ai du ravitaillement aisément, et je peux préparer mes positions. Je ne vais pas aller me fourvoyer dans le désert syrien.


• Si vous décidez d'attendre son attaque, rendez-vous au «37», page 18.

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : ven. oct. 31, 2014 5:47 pm
par Nabulio
J'ai déjà visité le Mont Thabor
• Si vous décidez d'attendre son attaque, rendez-vous au «37», page 18.

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : ven. oct. 31, 2014 8:33 pm
par Elvis
Heureux, qui comme Elvis a fait un beau voyage...
• Enfin, si vous pensez que vous perdez votre temps et envisagez un retour en France, rendez-vous au «303», page 145.

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : ven. oct. 31, 2014 9:48 pm
par jolou
Elvis
Vous recevez de mauvaises nouvelles d'Europe. La guerre a repris et les Autrichiens ont chassé les Français d'Italie. Un sentiment de rage et d'impuissance vous saisit. Vous décidez de laisser le commandement de l'armée d'Égypte à Kléber et de tenter de forcer avec deux frégates
le blocus naval anglais pour rentrer en France.Vous tentez le retour en France en naviguant près des côtes et tous feux éteints pour échapper aux patrouilles navales anglaises.Vous avez réussi à rentrer sans encombre en France.
• Si, songeant que pendant que vous couriez tous ces dangers, Joséphine filait le parfait amour avec un autre, vous êtes toujours déterminé à vous venger de façon effroyable, rendez-vous au «361», page 175.
• Si votre colère s'est un peu calmée, et que vous préfériez tirer un trait sur ce qui s'est passé, en pensant aux conséquences qu'aurait sur votre carrière un violent scandale, rendez-vous au «217», page 102.
Nabulio, gladiatt
Bientôt 20 000 janissaires commandés par Mustapha Pacha et transportés par les navires anglais débarquent à Aboukir. Vous vous portez à leur rencontre. Les deux armées s'observent en silence pendant deux heures, puis votre artillerie se déchaîne. La première ligne turque est déconfite, Lannes et Murat avec sa cavalerie se ruent sur la seconde et font un effarant massacre. Les janissaires ont du courage, mais aucune méthode. Ils se défendent par petits groupes qui sont exterminés les uns après les autres, le dos à la Méditerranée dont les eaux rougies charrient des milliers de cadavres. Il n'y a que quelques survivants.
Vous recevez de mauvaises nouvelles d'Europe. La guerre a repris et les Autrichiens ont chassé les Français d'Italie. Un sentiment de rage et d'impuissance vous saisit. Vous décidez de laisser le commandement de l'armée d'Égypte à Kléber et de tenter de forcer avec deux frégates le blocus naval anglais pour rentrer en France.Vous tentez le retour en France en naviguant près des côtes et tous feux éteints pour échapper aux patrouilles navales anglaises.
Vous avez réussi à rentrer sans encombre en France.
• Si, songeant que pendant que vous couriez tous ces dangers, Joséphine filait le parfait amour avec un autre, vous êtes toujours déterminé à vous venger de façon effroyable, rendez-vous au «361», page 175.
• Si votre colère s'est un peu calmée, et que vous préfériez tirer un trait sur ce qui s'est passé, en pensant aux conséquences qu'aurait sur votre carrière un violent scandale, rendez-vous au «217», page 102.

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : ven. oct. 31, 2014 9:57 pm
par gladiatt
C'était bien la peine de rester, on a la même suite que Elvis :o:

M'en fout des frasques de la rombière, j'ai un taf de ouf à assurer moi.

• Si votre colère s'est un peu calmée, et que vous préfériez tirer un trait sur ce qui s'est passé, en pensant aux conséquences qu'aurait sur votre carrière un violent scandale, rendez-vous au «217», page 102.

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : ven. oct. 31, 2014 10:25 pm
par Nabulio
Pas plus de gloire qu'Elvis malgré la magnifique victoire d'Aboukir...
• Si votre colère s'est un peu calmée, et que vous préfériez tirer un trait sur ce qui s'est passé, en pensant aux conséquences qu'aurait sur votre carrière un violent scandale, rendez-vous au «217», page 102.

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : sam. nov. 01, 2014 7:42 am
par Elvis
Comment puis je prétendre à régner sur le Monde si je ne suis pas capable de faire régner l'ordre dans mon couple !
• Si, songeant que pendant que vous couriez tous ces dangers, Joséphine filait le parfait amour avec un autre, vous êtes toujours déterminé à vous venger de façon effroyable, rendez-vous au «361», page 175.

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : sam. nov. 01, 2014 10:39 am
par jolou
Elvis
Vous apprenez que, terrifiée, votre femme s'est réfugiée chez le directeur Barras, son ancien amant. Ivre de fureur, vous ne vous contrôlez plus et faites irruption à son domicile. Après avoir bousculé les domestiques, vous les retrouvez tous deux dans la salle à manger. Vous giflez Joséphine, et Barras faisant mine de sortir un pistolet, vous lui plongez votre sabre dans la poitrine !

Jet de dé favorable a Elvis

Atterré, vous vous rendez compte que ce meurtre au cours d'une scène de jalousie risque d'être jugé à la fois ridicule et odieux, si vous restez passif. Mais, bien qu'étant le premier personnage de l'État, Barras était un homme douteux et corrompu.
Vous pouvez invoquer la légitime défense. Votre popularité est encore intacte..
C'est maintenant ou jamais qu'il faut conquérir le pouvoir. Vous pensez pouvoir suspendre toute accusation contre vous en recherchant l'alliance de Sieyès, le plus influent des Directeurs auprès des députés.Il n'y a pas de sympathie entre cet orgueilleux et vous, mais une conjonction d'intérêts entre deux hommes intelligents. Bientôt, l'accord est conclu.
372
Nabulio, gladiatt
L'inutilité de la vengeance vous apparaît. De plus, vous avez abandonné votre armée en temps de guerre et vos ennemis au gouvernement peuvent crier à la faute grave et demander votre mise à la retraite d'office ou même un jugement pour désertion et trahison. Désormais il ne faut plus attendre, mais conquérir le pouvoir.Bien que vous n'ayez pas remporté le succès militaire complet que vous espériez, vous vous rendez compte que vous n'avez pas perdu votre popularité à Paris.
L'agitation est à son comble. Vos ennemis vous accusent de crime, de rébellion, d'abandon de commandement en temps de guerre, et demandent l'application de la loi martiale. Mais votre retour suscite de folles espérances car la grande majorité des Français, écoeurée par les politiciens, veut un chef énergique et respecté qui assure à la fois la paix, la sécurité, l'union nationale, le rétablissement de l'économie et la liberté de culte après onze ans d'agitation révolutionnaire et de guerre.
Vous avez une image d'homme intègre, à l'écart des combines politiques et financières. Dans de nombreuses villes on organise des fêtes populaires en votre honneur.
Vous estimez vos chances. Sont pour vous l'opinion publique et la majorité de l'armée, hormis les généraux. Parmi ceux-ci, Jourdan, Moreau, Augereau et surtout Bernadotte, qui avait les mêmes ambitions que vous et admirait les mêmes femmes, vous jalousent. L'attitude des députés est incertaine, bien que votre frère Lucien préside une des deux assemblées. Deux personnages importants vous sont acquis, le ministre de la Police, Fouché, et Talleyrand, qui était il y a encore quelques mois ministre des Relations extérieures. Vous arrivez à la conclusion qu'il vous faut l'appui de deux au moins des cinq Directeurs. Ceux-ci,
qu'on appelle tantôt les cinq rois, tantôt les cinq pourris, sentent la menace que fait peser sur eux votre retour et parlent déjà de vous donner un autre commandement pour vous éloigner une nouvelle fois de Paris.
Parmi les cinq, le faible Roger Ducos vous suivra sans difficulté. De quel autre Directeur allez-vous chercher le soutien, en prenant comme prétexte, pour commencer la conversation, que vous proposez de vous mettre au service du pays en devenant vous-même Directeur ? Barras est le plus brillant, peut-être le plus habile, mais aussi le plus corrompu et discrédité. Il rappelle à qui veut l'entendre que c'est lui qui a facilité votre carrière lors de l'émeute royaliste de Paris.
Gohier, ancien extrémiste, ministre de la Justice sous la Terreur, est devenu un bourgeois respectable qui s'intéresse d'abord à ses succès féminins. Il fait du reste une cour assidue bien que sans succès à votre propre épouse. Moulin, ancien général peu connu, passe pour être un fidèle républicain. Sieyès, ancien ecclésiastique, bon juriste, ambitieux et susceptible, a de l'influence sur les députés. On compte sur lui pour proposer une nouvelle constitution.
• Si vous cherchez pour allié Barras, rendez-vous au «277», page 133.
• Si vous choisissez Gohier, rendez-vous au «365», page 177.
• Si vous choisissez Moulin, rendez-vous au «31», page 16.
• Si vous choisissez Sieyès, rendez-vous au «76», page 38.
Elvis et reborn vont attendre ce choix la puis après, c'est partis pour la prise de pouvoir !

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : sam. nov. 01, 2014 11:15 am
par gladiatt
Nabulio, gladiatt
L'inutilité de la vengeance vous apparaît. De plus, vous avez abandonné votre armée en temps de guerre et vos ennemis au gouvernement peuvent crier à la faute grave et demander votre mise à la retraite d'office ou même un jugement pour désertion et trahison.
Alors ça c'est fort de café ! Je n'ai rien abandonné du tout, je conduisais mon armée en Egypte bien tranquillement, et alors même que je n'avais pas choisi ce poste, et voici qu'on me dit que j'ai abandonné mon poste ?????????????? :sad: :shock:


Bon, admettons.
Si Sieyès est influent (en plus il a mis au point tout seul les grand carreaux sur les feuilles de cours :mrgreen: ) alors ce sera lui.
jolou a écrit :
• Si vous choisissez Sieyès, rendez-vous au «76», page 38.

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : sam. nov. 01, 2014 11:33 am
par Nabulio
Il rédige une nouvelle Constitution ? Cela tombe bien, j'ai plein d'idées.
• Si vous choisissez Sieyès, rendez-vous au «76», page 38.

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : sam. nov. 01, 2014 11:48 am
par griffon
On se demande comment Napo pouvait passer les portes

avec les cornes qu'il portait ! :lolmdr:

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : sam. nov. 01, 2014 12:50 pm
par jolou
Nabulio, gladiatt, Reborn
Il n'y a pas de sympathie entre cet orgueilleux et vous, mais une conjonction d'intérêts entre deux hommes intelligents. Bientôt, l'accord est conclu.
Elvis, Nabulio, gladiatt, Reborn
Il est convenu que vous allez être nommé chef de la garnison de Paris. Des affiches en votre faveur seront partout placardées dans la capitale. Les assemblées seront transférées à Saint-Cloud sur proposition de votre frère Lucien, qui invoquera avec son habituel talent d'orateur un complot extrémiste. Puis Sieyès déclarera le gouvernement dissous par la démission de Roger Ducos, la sienne et peut-être celle de Barras, qu'on aura tenté d'acheter au préalable (s’il n’est pas mort au cours d’un épisode précédent ). Enfin, les députés seront invités à nommer le nouveau gouvernement. Tout semble au point.
La veille du coup d'État, Sieyès paraît préoccupé. Il vous informe qu'une partie des députés adopte une attitude méfiante ou hostile et il propose d'arrêter dans la nuit les opposants les plus actifs.
• Si vous acceptez, rendez-vous au «352», page 170.
• Si vous préférez rester dans la légalité, rendez-vous au «17», page 10.

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : sam. nov. 01, 2014 12:54 pm
par gladiatt
jolou a écrit : • Si vous préférez rester dans la légalité, rendez-vous au «17», page 10.
[/quote]


Ne brusquons pas les choses, inutile de passer en force si on peut le faire dans les clous.

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : sam. nov. 01, 2014 1:00 pm
par Elvis
On reste dans la légalité car je n ai pas envie de donner des motifs à une opposition après ma prise de pouvoir
De toute façon il sera toujours temps de les arrêter après ma nomination officielle à la tête du gouvernement

• Si vous préférez rester dans la légalité, rendez-vous au «17»

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : sam. nov. 01, 2014 2:50 pm
par Reborn
352 - Est-ce que je suis du genre à aimer la finesse ? Non, foutez-les aux cachots. :o:

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : sam. nov. 01, 2014 3:21 pm
par Nabulio
• Si vous préférez rester dans la légalité, rendez-vous au «17», page 10.

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : sam. nov. 01, 2014 3:55 pm
par jolou
Reborn
Cette mesure énergique a étouffé toute velléité de résistance. Les députés croient volontiers au complot extrémiste décrit par votre frère Lucien, et nomment les trois consuls proposés. Vous êtes Premier consul, et maître de la France.
Après une bonne nuit, vous vous attaquez dès le lendemain à la tâche. Elle est immense, la France ayant besoin d'être relevée dans tous les domaines. Enfin, vous pouvez donner libre cours à vos capacités exceptionnelles. Création de la Banque de France, réorganisation de la justice, de l'administration des impôts, création du Conseil d'État, nominations de préfets et de généraux, mise en chantier d'un code de lois simple et d'une remarquable clarté, lancement de grands travaux, rétablissement de l'ordre, tout cela est réalisé en quelques mois. Restent à prendre plusieurs décisions importantes. La première concerne les finances publiques. Il y a en caisse 167 000 francs or, pour 474 millions de dettes. L'État a plusieurs fois déjà spolié les épargnants qui lui avaient consenti des prêts en se déclarant en banqueroute.
Homme neuf jugé honnête et compétent, vous disposez d'un capital de confiance qui peut inciter les Français à se remettre au travail. Le financier Gaudin propose d'annoncer le remboursement des emprunts d'État en or et non plus en papier-monnaie dévalué, et de chercher à renflouer le Trésor public en proposant l'émission d'un nouvel emprunt remboursable sur les futurs impôts.
• Allez-vous assumer le risque de prendre en charge ce remboursement
pour retrouver la confiance des épargnants ?

La seconde décision concerne le retour des émigrés royalistes qui
ont fui la France pendant la période révolutionnaire.

• Allez-vous, comme le propose Talleyrand, autoriser le retour de
tous ceux qui le désirent, pourvu qu'ils n'aient pas pris les armes contre
la République française ?

Enfin, en matière religieuse, les révolutionnaires avaient mené la
vie dure à la religion catholique.

• Allez-vous reconnaître que « le catholicisme est la religion de la
majorité des Français » et admettre la liberté de culte pour tous ?
Répond par oui ou par non a chaque question puis attend que les autres arrive : p

Nabulio, Elvis, gladiatt
La séance décisive des assemblées est ouverte, et les choses ne se présente pas bien. Lucien a exposé la thèse du complot extrémiste.
Vos partisans, qui ne donnent pas dans la nuance, expliquent que le char de l'État navigue sur un volcan et que votre bras est le seul rempart contre les mains des vautours de droite et de gauche qui, assoiffés de sang, veulent dépecer le squelette de la République, mais ces belles images n'entraînent pas la réaction espérée.
Dehors, vous pouvez compter sur les soldats venus de Paris, mais pas sur la garde des assemblées qui n'a aucune raison de se révolter contre ses maîtres. Les choses s'aggravent quand, pressé par les députés de donner des précisions sur un complot imaginaire, fatigué, nerveux, vous perdez patience et devenez carrément fumeux, allant jusqu'à vous comparer au dieu du Jour, de la Guerre et de la Fortune. Les députés répondent par des rires, des huées et même des coups, tandis que vos amis, pensant que vous avez perdu la tête, vous traînent hors de la salle. Votre frère a la présence d'esprit de suspendre la séance
et de vous rejoindre dans la cour où attendent les soldats. Il veut leur parler.
• Si vous estimez que tout est perdu et que vous renoncez, rendezvous au «376», page 183.
• Si vous vous interposez, estimant que c'est à vous de parler aux soldats, rendez-vous au «228», page 108.
• Si vous laissez Lucien parler, rendez-vous au «50», page 24.

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : sam. nov. 01, 2014 4:14 pm
par gladiatt
jolou a écrit :
Vos partisans, qui ne donnent pas dans la nuance, expliquent que le char de l'État navigue sur un volcan et que votre bras est le seul rempart contre les mains des vautours de droite et de gauche qui, assoiffés de sang, veulent dépecer le squelette de la République, ]

On dirait un discours du maire de Champignac :mrgreen: :lolmdr:

jolou a écrit :
• Si vous vous interposez, estimant que c'est à vous de parler aux soldats, rendez-vous au «228», page 108.
Comme je l'ai dit, je n'ai pas l'habitude de faire faire mes commissions.

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : sam. nov. 01, 2014 4:35 pm
par Reborn
• Allez-vous assumer le risque de prendre en charge ce remboursement
pour retrouver la confiance des épargnants ?

Oui. L'économie doit être relancée et la confiance est vitale pour cela.

• Allez-vous, comme le propose Talleyrand, autoriser le retour de
tous ceux qui le désirent, pourvu qu'ils n'aient pas pris les armes contre
la République française ?

Non, ce sont des traitres qui ne rêvent que de rétablir l'ancien ordre.

• Allez-vous reconnaître que « le catholicisme est la religion de la
majorité des Français » et admettre la liberté de culte pour tous ?

Oui ! Que l'on entame un Te Deum en mon honneur. Image

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : sam. nov. 01, 2014 4:59 pm
par Nabulio
Ch'uis trop vénère pour parler à mes keums.
• Si vous laissez Lucien parler, rendez-vous au «50», page 24.

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : sam. nov. 01, 2014 6:30 pm
par Elvis
La baïonnette a toujours été un bon moyen de mettre au pas une assemblée houleuse.
• Si vous vous interposez, estimant que c'est à vous de parler aux soldats, rendez-vous au «228», page 108.

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : sam. nov. 01, 2014 7:08 pm
par jolou
Elvis, gladiatt
Vous n'avez retrouvé qu'une partie de vos moyens. Ce n'est pas avec votre autorité habituelle, mais en homme presque désespéré qui joue son va-tout, que vous demandez aux soldats de chasser les députés de la salle où ils sont rassemblés et de les disperser.

Jet de dé favorables aux deux

« Foutez-moi ça dehors !» crie Murat.
Baïonnette en avant et au son du tambour, les troupes se précipitent dans la grande salle et font fuir les députés comme des moineaux. Vous en faites rattraper ensuite une centaine qui votent sans difficulté le nouveau gouvernement. Vous êtes Premier consul de la République.
Après une bonne nuit, vous vous attaquez dès le lendemain à la tâche. Elle est immense, la France ayant besoin d'être relevée dans tou les domaines. Enfin, vous pouvez donner libre cours à vos capacités exceptionnelles. Création de la Banque de France, réorganisation de la justice, de l'administration des impôts, création du Conseil d'État, nominations de préfets et de généraux, mise en chantier d'un code de lois simple et d'une remarquable clarté, lancement de grands travaux, rétablissement de l'ordre, tout cela est réalisé en quelques mois. Restent à prendre plusieurs décisions importantes. La première concerne les finances publiques. Il y a en caisse 167 000 francs or, pour 474 millions de dettes. L'État a plusieurs fois déjà spolié les épargnants qui lui avaient consenti des prêts en se déclarant en banqueroute. Homme neuf jugé honnête et compétent, vous disposez d'un capital de confiance qui peut inciter les Français à se remettre au travail. Le financier Gaudin propose d'annoncer le remboursement des emprunts d'État en or et non plus en papier-monnaie dévalué, et de chercher à renflouer le Trésor public en proposant l'émission d'un nouvel emprunt remboursable sur les futurs impôts.
• Allez-vous assumer le risque de prendre en charge ce remboursement
pour retrouver la confiance des épargnants ?
La seconde décision concerne le retour des émigrés royalistes qui
ont fui la France pendant la période révolutionnaire.
• Allez-vous, comme le propose Talleyrand, autoriser le retour de tous ceux qui le désirent, pourvu qu'ils n'aient pas pris les armes contre la République française ?
Enfin, en matière religieuse, les révolutionnaires avaient mené la
vie dure à la religion catholique.
• Allez-vous reconnaître que « le catholicisme est la religion de la majorité des Français » et admettre la liberté de culte pour tous ? Après avoir répondu à ces trois questions, rendez-vous au «154», page 72.
Nabulio
Expliquant que vous avez failli être assassiné par quelques traîtres, Lucien est écouté avec attention car, président d'une des assemblées,
il représente la légitimité républicaine. Avec sang‑froid, il décrit la grande masse des députés menacés par quelques agents armés de l'Angleterre. Ajoutant qu'il serait le premier à se retourner contre vous s'il pensait que vous aspiriez à la dictature, il demande à la troupe de vider la salle. Des hourras s'élèvent.« Foutez-moi ça dehors !» crie Murat.
Baïonnette en avant et au son du tambour, les troupes se précipitent dans la grande salle et font fuir les députés comme des moineaux. Vous en faites rattraper ensuite une centaine qui votent sans difficulté le nouveau gouvernement. Vous êtes Premier consul de la République.
Après une bonne nuit, vous vous attaquez dès le lendemain à la tâche. Elle est immense, la France ayant besoin d'être relevée dans tou les domaines. Enfin, vous pouvez donner libre cours à vos capacités exceptionnelles. Création de la Banque de France, réorganisation de la justice, de l'administration des impôts, création du Conseil d'État, nominations de préfets et de généraux, mise en chantier d'un code de lois simple et d'une remarquable clarté, lancement de grands travaux, rétablissement de l'ordre, tout cela est réalisé en quelques mois. Restent à prendre plusieurs décisions importantes. La première concerne les finances publiques. Il y a en caisse 167 000 francs or, pour 474 millions de dettes. L'État a plusieurs fois déjà spolié les épargnants qui lui avaient consenti des prêts en se déclarant en banqueroute. Homme neuf jugé honnête et compétent, vous disposez d'un capital de confiance qui peut inciter les Français à se remettre au travail. Le financier Gaudin propose d'annoncer le remboursement des emprunts d'État en or et non plus en papier-monnaie dévalué, et de chercher à renflouer le Trésor public en proposant l'émission d'un nouvel emprunt remboursable sur les futurs impôts.
• Allez-vous assumer le risque de prendre en charge ce remboursement
pour retrouver la confiance des épargnants ?
La seconde décision concerne le retour des émigrés royalistes qui
ont fui la France pendant la période révolutionnaire.
• Allez-vous, comme le propose Talleyrand, autoriser le retour de tous ceux qui le désirent, pourvu qu'ils n'aient pas pris les armes contre la République française ?
Enfin, en matière religieuse, les révolutionnaires avaient mené la
vie dure à la religion catholique.
• Allez-vous reconnaître que « le catholicisme est la religion de la majorité des Français » et admettre la liberté de culte pour tous ? Après avoir répondu à ces trois questions, rendez-vous au «154», page 72.[/quote]

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : sam. nov. 01, 2014 7:14 pm
par Nabulio
Le financier Gaudin propose d'annoncer le remboursement des emprunts d'État en or et non plus en papier-monnaie dévalué, et de chercher à renflouer le Trésor public en proposant l'émission d'un nouvel emprunt remboursable sur les futurs impôts.
• Allez-vous assumer le risque de prendre en charge ce remboursement
pour retrouver la confiance des épargnants ?
OUI
La seconde décision concerne le retour des émigrés royalistes qui
ont fui la France pendant la période révolutionnaire.
• Allez-vous, comme le propose Talleyrand, autoriser le retour de tous ceux qui le désirent, pourvu qu'ils n'aient pas pris les armes contre la République française ?
OUI
Enfin, en matière religieuse, les révolutionnaires avaient mené la
vie dure à la religion catholique.
• Allez-vous reconnaître que « le catholicisme est la religion de la majorité des Français » et admettre la liberté de culte pour tous ?
OUI
Après avoir répondu à ces trois questions, rendez-vous au «154», page 72.

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : sam. nov. 01, 2014 8:00 pm
par Elvis
Enfin au Pouvoir
Va falloir apprendre à marcher droit maintenant !

Et il faut se mettre à la tache car avec moi, le changement; c'est maintenant !

Le financier Gaudin propose d'annoncer le remboursement des emprunts d'État en or et non plus en papier-monnaie dévalué, et de chercher à renflouer le Trésor public en proposant l'émission d'un nouvel emprunt remboursable sur les futurs impôts.
• Allez-vous assumer le risque de prendre en charge ce remboursement
pour retrouver la confiance des épargnants ?
OUI :il est indispensable d avoir une base saine avant de mener les reformes économiques nécéssaires, même si il faut se serrer la ceinture pendant quelques temps...

La seconde décision concerne le retour des émigrés royalistes qui
ont fui la France pendant la période révolutionnaire.
• Allez-vous, comme le propose Talleyrand, autoriser le retour de tous ceux qui le désirent, pourvu qu'ils n'aient pas pris les armes contre la République française ?
OUI : Toutes les énergies, pourvues qu'elles me soient totalement dévouées, sont indispensables à la reconstruction du pays
Je vais bâtir un gouvernement d'ouverture


Enfin, en matière religieuse, les révolutionnaires avaient mené la
vie dure à la religion catholique.
• Allez-vous reconnaître que « le catholicisme est la religion de la majorité des Français » et admettre la liberté de culte pour tous ?
OUI : Paris vaut bien une messe, comme disait l'autre

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : sam. nov. 01, 2014 10:21 pm
par gladiatt
jolou a écrit :
Le financier Gaudin propose d'annoncer le remboursement des emprunts d'État en or et non plus en papier-monnaie dévalué, et de chercher à renflouer le Trésor public en proposant l'émission d'un nouvel emprunt remboursable sur les futurs impôts.
• Allez-vous assumer le risque de prendre en charge ce remboursement
pour retrouver la confiance des épargnants ?

OUI

La seconde décision concerne le retour des émigrés royalistes qui
ont fui la France pendant la période révolutionnaire.
• Allez-vous, comme le propose Talleyrand, autoriser le retour de tous ceux qui le désirent, pourvu qu'ils n'aient pas pris les armes contre la République française ?

OUI. Si ils n'ont rien entrepris contre la République, alors ils sont les bienvenus dans leur pays.


Enfin, en matière religieuse, les révolutionnaires avaient mené la
vie dure à la religion catholique.
• Allez-vous reconnaître que « le catholicisme est la religion de la majorité des Français » et admettre la liberté de culte pour tous ?

OUI. Liberté de conscience bon sang !!

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : dim. nov. 02, 2014 10:33 am
par jolou
Reborn, Nabulio, Elvis, gladiatt
Faites le compte de vos décisions. Ces trois mesures allaient dans le sens de la réconciliation nationale et du renouveau de la France. Si vous avez par exemple décidé le remboursement des emprunts en or, cette mesure inespérée pour les créditeurs de l'État a un retentissement énorme. Le nouvel emprunt est facilement couvert par les épargnants français et même des banques étrangères. Tout le pays est maintenant prêt à travailler, à payer ses impôts, et ne craint plus les réquisitions arbitraires d'un gouvernement aux abois. Vous pourrez avoir une politique ambitieuse dans tous les domaines.
Comptez pour un point chaque réponse positive que vous avez donnée au «11», page 7. Vous avez donc 0, 1, 2 ou 3 points. Ce résultat aura son importance plus tard. Gardez-le en mémoire.Vous déployez une activité et une puissance de travail qui, en comparaison, ramènent Louis XIV et Richelieu au rang d'aimables dilettantes.
Mais il vous faut repartir à l'armée, pour essayer de conclure victorieusement la guerre qu'une coalition européenne menée par les ennemis de toujours, l'Autriche et l'Angleterre, fait à la France. Il ne se passe rien de décisif en Allemagne, où l'armée française est commandée par Moreau, tandis que le détachement français en Italie est assiégé dans Gênes, bloqué du côté de la terre par les troupes autrichiennes et du côté de la mer par la flotte anglaise.
Sachant que les défenseurs de Gênes sont héroïques mais manquent de vivres, vous concevez le plan audacieux de faire traverser au printemps les grands cols alpins encore enneigés à l'armée de réserve, la meilleure de France, dont vous prenez le commandement. Le transport des canons – fûts logés dans des troncs d'arbres creusés et tirés par une centaine d'hommes, roues portées à dos d'homme sur la neige et la glace – est particulièrement difficile, mais vous menez à bien ce fantastique exploit, comparable à ce qu'avait fait deux mille ans plus tôt le grand général carthaginois Hannibal. Vous parvenez dans les plaines italiennes, sur l'arrière des Autrichiens qui sont déployés plus à l'ouest. Cela signifie que celle des deux armées qui subirait un échec n'aurait pas de ligne de retraite et serait sans doute acculée à la capitulation.
L'opinion publique française est inquiète. Si vous êtes tué, prisonnier ou sévèrement battu, votre régime s'effondrera et la France retombera dans le chaos de la guerre civile. Avant le choc qui peut être décisif, vous retrouvez avec plaisir deux anciennes connaissances : la belle chanteuse Grassini, qui a toujours
eu beaucoup d'admiration pour vous et vous permet de passer quelques journées délicieuses en sa compagnie, et le vaillant général Desaix,un adjoint courageux et fidèle qui vient de rentrer d'Égypte. N'ayant pas encore reçu tout votre matériel, vous vous établissez avec 30 000 hommes dans le village de Marengo, entre la rivière Bassida à l'ouest, qui vous sépare du gros de l'armée autrichienne, et le fleuve Pô à l'est. Les Autrichiens n'ont pas jeté de pont sur la Bassida... Il vous est possible de faire traverser le Pô à Desaix à la tête de 8000 hommes pour vous assurer qu'une division autrichienne ne cherche pas à vous tourner par le sud et l'est.
• Si vous décidez de donner cet ordre à Desaix, rendez-vous au «67», page 33.
• Si vous préférez attendre à Marengo le regroupement de votre armée, rendez-vous au «334», page 161.

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : dim. nov. 02, 2014 10:48 am
par gladiatt
jolou a écrit :
N'ayant pas encore reçu tout votre matériel, vous vous établissez avec 30 000 hommes dans le village de Marengo, entre la rivière Bassida à l'ouest, qui vous sépare du gros de l'armée autrichienne, et le fleuve Pô à l'est. Les Autrichiens n'ont pas jeté de pont sur la Bassida... Il vous est possible de faire traverser le Pô à Desaix à la tête de 8000 hommes pour vous assurer qu'une division autrichienne ne cherche pas à vous tourner par le sud et l'est.
• Si vous décidez de donner cet ordre à Desaix, rendez-vous au «67», page 33.
Je préfère qu'on m'éclaire ma position et qu'on évite d'être tourné ! Desaix va donc traverser le Pô avec ses cavaliers.

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : dim. nov. 02, 2014 11:17 am
par Nabulio
• Si vous décidez de donner cet ordre à Desaix, rendez-vous au «67», page 33.

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : dim. nov. 02, 2014 12:24 pm
par Elvis
Desaix doit passer le Po pour nous donner l initiative contre les autrichiens
Au pire, c'est les choses tournent mal, on pourra compter comme d habitude sur les renforts de Grouchy

• Si vous décidez de donner cet ordre à Desaix, rendez-vous au «67», page 33.

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : dim. nov. 02, 2014 2:56 pm
par Reborn
Idem. On connait bien le jeu maintenant. :o:

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : dim. nov. 02, 2014 3:51 pm
par jolou
Reborn, Elvis, Nabulio, gladiatt
Catastrophe. Y a-t-il eu négligence de la part de vos éclaireurs ou des sentinelles ? Certains ont été égorgés dans la nuit. Toujours est-il que le lendemain vous êtes réveillé par des tirs d'artillerie, avec en outre une surprise fort désagréable. Les Autrichiens ont construit deux ponts pendant la nuit et passent en force la Bassida. L'affaire se présente mal, vous êtes inférieur en tout : hommes, canons, munitions.
• Si vous donnez l'ordre à Desaix de vous secourir en revenant à marche forcée avec sa division, au son du canon, rendez-vous au 334», page 161.
• Si vous ne donnez pas cet ordre, rendez-vous au «218», page 103.
:siffle: :help

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : dim. nov. 02, 2014 3:55 pm
par Reborn
334 - Je n'aime pas du tout ça. Donnez l'ordre à Desaix de revenir. :sad:

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : dim. nov. 02, 2014 4:10 pm
par Elvis
Il faut rappeler Grouchy Desaix

• Si vous donnez l'ordre à Desaix de vous secourir en revenant à marche forcée avec sa division, au son du canon, rendez-vous au 334», page 161.

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : dim. nov. 02, 2014 4:18 pm
par gladiatt
jolou a écrit :Reborn, Elvis, Nabulio, gladiatt
Catastrophe. Y a-t-il eu négligence de la part de vos éclaireurs ou des sentinelles ? Certains ont été égorgés dans la nuit. Toujours est-il que le lendemain vous êtes réveillé par des tirs d'artillerie, avec en outre une surprise fort désagréable. Les Autrichiens ont construit deux ponts pendant la nuit et passent en force la Bassida. L'affaire se présente mal, vous êtes inférieur en tout : hommes, canons, munitions.
• Si vous donnez l'ordre à Desaix de vous secourir en revenant à marche forcée avec sa division, au son du canon, rendez-vous au 334», page 161.
• Si vous ne donnez pas cet ordre, rendez-vous au «218», page 103.
:siffle: :help
Et pourquoi je ne rappellerais pas Desaix ???? Il doit marcher au bruit du canon, et me renforcer, illico !!

• Si vous donnez l'ordre à Desaix de vous secourir en revenant à marche forcée avec sa division, au son du canon, rendez-vous au 334», page 161.

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : dim. nov. 02, 2014 4:31 pm
par Nabulio
• Si vous donnez l'ordre à Desaix de vous secourir en revenant à marche forcée avec sa division, au son du canon, rendez-vous au 334», page 161.

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : dim. nov. 02, 2014 5:40 pm
par jolou
Reborn, Elvis, Nabulio, gladiatt
Vous avez bien fait, toutes vos forces sont nécessaires pour résister aux 40 000 Autrichiens et 100 canons qui ont réussi à traverser la Bassida à la faveur de l'obscurité en surprenant vos avant-postes. Ne disposant que de 15 canons et de munitions réduites, vous devez faire un large appel à la cavalerie. Dragons et hussards de Kellermann mettent sabre au clair et chargent l'ennemi.
Les troupes adverses sont, elles aussi, excellentes et bien commandées. Malgré le courage de vos cavaliers et l'opiniâtreté de l'infanterie, qui tire sans discontinuer depuis plusieurs heures, les Autrichiens sont plus nombreux, leur artillerie meurtrière, et il faut reculer. Plus grave, les munitions s'épuisent, et le moment approche où des régiments entiers risquent de se faire mitrailler sans pouvoir se défendre. L'intervention de la garde consulaire vous fait gagner une heure, mais il faut battre en retraite et la possibilité d'un désastre se précise.
Maître du terrain, le général autrichien envoie des bulletins de victoire complète, vous croit en déroute et fait progresser ses troupes sans protection de flanc. Cet excès de confiance lui est fatal. Vous avez reçu des fourgons de munitions, et surtout Desaix a réussi à abriter sa division derrière une colline qui surplombe la route où s'engouffrent, joyeuses, les colonnes ennemies. Son attaque est une surprise totale. Balles, mitraille et boulets fauchent les insouciants qui refluent en complet désordre. Écoutant à peine les ordres, toute votre armée hurlant d'enthousiasme se lance dans une contre-attaque générale.
Imitant Desaix, Lannes, Kellermann et Murat font eux aussi des prodiges. Au soir, vous avez remporté une grande victoire. Hélas ! vous avez perdu un ami, car Desaix a été mortellement blessé en menant la charge décisive. Mais toute la France célèbre votre victoire dans une joie qui surpasse tout ce qu'on avait vu jusque-là.
Vive Bonaparte ! Vive le Premier consul ! Vous avez maintenant, ratifiés par un vote populaire, tous les pouvoirs d'un dictateur, peut-être plus étendus que ceux d'un roi.
De son côté, en Allemagne, Moreau ayant remporté plusieurs victoires, l'Autriche et même l'Angleterre, à qui la guerre coûte cher, se résignent à conclure la paix, qui confirme à la France la possession de la Belgique et de la rive gauche du Rhin et lui rend ses colonies. Vous vous penchez une nouvelle fois sur la question religieuse et les rapports avec le pape.
Comme il est avéré que la majorité des Français souhaite pratiquer la religion catholique, certains vous conseillent d'aller plus loin et de faire du catholicisme la religion officielle, dont l'enseignement sera obligatoire.
• Si vous suivez ce conseil, rendez-vous au «93», page 44.
• Si vous pensez plus raisonnable de confirmer seulement le principe de liberté religieuse et de tolérance, tout en négociant avec le pape un accord vous permettant d'exercer un contrôle sur la hiérarchie ecclésiastique en France, rendez-vous au «383», page 187.

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : dim. nov. 02, 2014 5:48 pm
par Nabulio
• Si vous pensez plus raisonnable de confirmer seulement le principe de liberté religieuse et de tolérance, tout en négociant avec le pape un accord vous permettant d'exercer un contrôle sur la hiérarchie ecclésiastique en France, rendez-vous au «383», page 187.

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : dim. nov. 02, 2014 6:00 pm
par Lunarc
jolou a écrit :Reborn, Elvis, Nabulio, gladiatt
lui rend ses colonies.
Les colonies Française n'ont donc pas été rétrocédé a Reborn par l'Angleterre?
Ah les fourbes..... :o: :o: :o: :o: :o:

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : dim. nov. 02, 2014 6:25 pm
par gladiatt
jolou a écrit : Maître du terrain, le général autrichien envoie des bulletins de victoire complète, vous croit en déroute et fait progresser ses troupes sans protection de flanc. Cet excès de confiance lui est fatal. Vous avez reçu des fourgons de munitions, et surtout Desaix a réussi à abriter sa division derrière une colline qui surplombe la route où s'engouffrent, joyeuses, les colonnes ennemies. Son attaque est une surprise totale. Balles, mitraille et boulets fauchent les insouciants qui refluent en complet désordre. Écoutant à peine les ordres, toute votre armée hurlant d'enthousiasme se lance dans une contre-attaque générale.
Imitant Desaix, Lannes, Kellermann et Murat font eux aussi des prodiges. Au soir, vous avez remporté une grande victoire. Hélas ! vous avez perdu un ami, car Desaix a été mortellement blessé en menant la charge décisive. Mais toute la France célèbre votre victoire dans une joie qui surpasse tout ce qu'on avait vu jusque-là.
pfffiou, l'est pas passée loin celle la :goutte:


Bon, sinon, je l'ai toujours dit: respect et tolérance !

• Si vous pensez plus raisonnable de confirmer seulement le principe de liberté religieuse et de tolérance, tout en négociant avec le pape un accord vous permettant d'exercer un contrôle sur la hiérarchie ecclésiastique en France, rendez-vous au «383», page 187.

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : dim. nov. 02, 2014 6:49 pm
par jolou
Lunarc a écrit :
jolou a écrit :Reborn, Elvis, Nabulio, gladiatt
lui rend ses colonies.
Les colonies Française n'ont donc pas été rétrocédé a Reborn par l'Angleterre?
Ah les fourbes..... :o: :o: :o: :o: :o:
Perfide Albion :o:

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : dim. nov. 02, 2014 7:02 pm
par Reborn
93 - Dieu est avec moi et je vais l'en remercier. :o:

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : dim. nov. 02, 2014 8:51 pm
par Elvis
Faut pas pousser non plus
J ai dit que je tolérais, pas que j encourageais

*Si vous pensez plus raisonnable de confirmer seulement le principe de liberté religieuse et de tolérance, tout en négociant avec le pape un accord vous permettant d'exercer un contrôle sur la hiérarchie ecclésiastique en France, rendez-vous au «383», page 187.

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : dim. nov. 02, 2014 9:11 pm
par jolou
Elvis, gladiatt, Nabulio
Alors que les royalistes s'inquiètent de vos succès, qui gênent leur propagande, vous recevez une lettre du comte de Provence, frère de l'ancien roi guillotiné, et qui aspire à devenir lui-même roi de France sous le nom de Louis XVIII. Il rend hommage à vos qualités et vous invite à décider vous-même de votre récompense si vous organisez le rétablissement de la royauté en France.
• Si vous choisissez d'envoyer une réponse non seulement négative, mais dure et insultante afin de marquer votre détermination, rendezvous au «59», page 28.
• Si vous décidez de répondre par la négative, mais en termes courtois et en soulignant que vous ne nourrissez pas d'hostilité personnelle contre le prétendant au trône de France, la situation ne change pas dans l'immédiat, mais l'attitude politique est différente. Rendez-vous au «274», page 131.
• Si vous pensez accepter la proposition du comte de Provence, en demandant le poste de gouverneur à vie de la Corse, une récompense financière et honorifique importante et, si vous le souhaitez, votre maintien à la tête des armées, rendez-vous au «102», page 48.
• Si enfin vous hésitez, vous demandant si cette solution est bien la meilleure pour la France, et si vous voulez connaître l'avis de votre ministre Talleyrand, homme intelligent et habile qui a connu tous les régimes politiques, rendez-vous au «32», page 16.
Reborn
Vous êtes allé trop loin et trop vite dans le rétablissement du catholicisme, qui passe de l'état de religion persécutée à celui de religion officielle quasi obligatoire. Il y a autour de vous trop d'anciens républicains extrémistes compromis dans les persécutions et parfois les exécutions antireligieuses pour qu'une grave menace ne pèse pas sur vous,quand on sait que parmi ces athées militants qui se sentent à leur tour menacés figure Fouché, le redoutable ministre de la Police. A-t-il comploté contre vous ? Probablement. Toujours est-il qu'un après-midi, alors que vous vous reposez dans votre résidence de la Malmaison, un colonel adjoint du général Moreau demande à vous voir pour vous faire des révélations importantes. Dès qu'il est introduit par les gardes, il fait feu sur vous avec un pistolet de gros calibre.

Jet de dé de Reborn, surprise il est néga....ah non réussis :roll:

Peut-être le bras de l'assassin a-t-il tremblé. Mais c'est aussi grâce à un réflexe étonnant que vous réussissez à éviter le coup. Le colonel subira quatre interrogatoires poussés mais, exalté à l'idée d'avoir combattu pour son idéal, il sera fusillé sans avoir révélé le nom de ses complices.
• Si cet attentat dont vous ignorez les auteurs – républicains extrémistes ou royalistes – vous a dégoûté de la politique et convaincu de favoriser l'accession au trône du roi Louis XVIII, rendez-vous au «225», page 106.
• Si, tout en renforçant sévèrement les mesures de sécurité autour de vous, vous voulez rester à votre poste, rendez-vous au «274», page 131.

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : dim. nov. 02, 2014 10:03 pm
par Reborn
274 - C'est un miracle, Dieu m'a choisi pour guider le monde vers un nouvel âge reminiscent ! Image
Je reste et je pourchasse les traitres dans tout le Royaume la République. :o:

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : dim. nov. 02, 2014 10:25 pm
par Elvis
Le roi, c'est moi ! Enfin, je veux dire le Consul, c'est moi !

• Si vous choisissez d'envoyer une réponse non seulement négative, mais dure et insultante afin de marquer votre détermination, rendezvous au «59», page 28.

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : dim. nov. 02, 2014 10:43 pm
par gladiatt
jolou a écrit :
• Si vous décidez de répondre par la négative, mais en termes courtois et en soulignant que vous ne nourrissez pas d'hostilité personnelle contre le prétendant au trône de France, la situation ne change pas dans l'immédiat, mais l'attitude politique est différente. Rendez-vous au «274», page 131.

Non merci, c'est sympa gars, mais je crois que je vais rester un peu, hein...

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : lun. nov. 03, 2014 8:03 am
par Nabulio
l'homme de la pampa, parfois rude, reste toujours courtois

• Si vous décidez de répondre par la négative, mais en termes courtois et en soulignant que vous ne nourrissez pas d'hostilité personnelle contre le prétendant au trône de France, la situation ne change pas dans l'immédiat, mais l'attitude politique est différente. Rendez-vous au «274», page 131.

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : lun. nov. 03, 2014 7:54 pm
par jolou
Nabulio, gladiatt
Ceux qui veulent rétablir à tout prix la royauté de droit divin en France n'ont pas désarmé. Ils savent qu'ils ne peuvent plus compter sur vous pour vous effacer volontairement en faveur du Roi. Ils savent aussi que votre popularité est au zénith. Mais ne pourront-ils pas trouver dans votre entourage quelques mécontents qui leur procurent des informations sur vos déplacements ou même des complicités pour déjouer les mesures de surveillance destinées à vous protéger ?

Ils ont tous les deux trois.

Votre police ne peut vous garantir une sécurité absolue, mais elle est bien organisée et ses indications permettent d'arrêter tous les comploteurs royalistes qui
n'ont pas pris la fuite. Les interrogatoires laissent à penser que le célèbre général républicain Moreau, sans comploter activement, avait certaines indications sur les projets dirigés contre vous. Cette information vous parait suspecte. Il peut s'agir d'une provocation... Vous réclamez un complément d'enquête.
Elvis
Compte tenu des termes très durs que vous avez employés dans votre réponse au comte de Provence, il n'est évidemment plus question d'accord ou même de correspondance avec lui ou le parti royaliste. Voilà une raison supplémentaire pour eux de ne pas lésiner sur les moyens, s'ils veulent se débarrasser de vous. Vous avez intérêt à renforcer votre police.
Reborn, Elvis
Ceux qui veulent rétablir à tout prix la royauté de droit divin en France n'ont pas désarmé. Ils savent qu'ils ne peuvent plus compter sur vous pour vous effacer volontairement en faveur du Roi. Ils savent aussi que votre popularité est au zénith. Mais ne pourront-ils pas trouver dans votre entourage quelques mécontents qui leur procurent des informations sur vos déplacements ou même des complicités pour déjouer les mesures de surveillance destinées à vous protéger ?
Vérifiez le nombre de points (0, 1,2 ou 3) obtenus selon les décisions que vous avez prises aux numéros 11 et 154. Si vous avez écrit au comte de Provence en termes insultants, cela renforce le fanatisme des royalistes les plus fidèles, déduisez un point. Si ce n'est pas le cas, par choix ou simplement parce que la question ne s'est pas posée, ne déduisez rien.

Reborn et Elvis ont deux

Les comploteurs royalistes ont réussi à obtenir des informations sur votre emploi du temps. Un soir que vous vous rendez à l'opéra en voiture attelée et escortée par des dragons, une fantastique déflagration se produit quand vous entrez dans la rue Saint-Nicaise. La moitié de votre escorte et plusieurs passants sont tués sur le coup ou grièvement blessés, cinquante maisons sont détruites ou endommagées. Une barrique remplie d'explosif a été mise à feu à votre passage, mais par bonheur deux secondes trop tard. Le plan était bien au point. Il s'en est fallu de peu que vous ne soyez transformé en chaleur, lumière et chairs éclatées. Toutefois, à quelque chose malheur est bon. L'opinion publique indignée par cet attentat meurtrier vous soutient encore davantage.
Votre police ne peut vous garantir une sécurité absolue, mais elle est bien organisée et ses indications permettent d'arrêter tous les comploteurs royalistes qui n'ont pas pris la fuite. Les interrogatoires laissent à penser que le célèbre général républicain Moreau, sans comploter activement, avait certaines indications sur les projets dirigés contre vous. Cette information vous parait suspecte. Il peut s'agir d'une provocation... Vous réclamez un complément d'enquête.
Elvis, Reborn, Nabulio, gladiatt
Vous pouvez éprouver une certaine satisfaction. Il semble que vous n'ayez plus à craindre, pour un temps, de menace intérieure sérieuse, révolte ou attentat. De nouveaux traités de paix avec les pays européens, conclus par vos soins, ont permis de récupérer la Lorraine et de favoriser en Hollande, en Suisse et en Italie du Nord la création de républiques amies de la France et fixant avec elle des accords militaires. Débarrassé de tout souci immédiat, vous avez maintenant le loisir de vous consacrer à la stratégie et aux problèmes diplomatiques qui mettront votre habileté à l'épreuve et pourront engager l'avenir du pays pour longtemps. L'heure des grands choix politiques a sonné. Avec vos conseillers, vous tentez de résumer la situation en Europe. Le royaume de Grande- Bretagne n'a que 13 millions d'habitants mais bénéficie d'une situation exceptionnelle. La protection naturelle que lui offrent les mers contre
les invasions est renforcée par une formidable marine de guerre et de commerce. Il possède de loin l'empire colonial le plus important, l'industrie la plus puissante et la plus moderne, la plus grande puissance financière dont il se sert traditionnellement avec habileté pour attiser les rivalités en Europe et favoriser la coalition des puissances européennes contre celle d'entre elles qui paraît la plus forte et la plus dangereuse. La France est passée avec la conquête de la Belgique et de la rive gauche du Rhin de 29 à 33 millions d'habitants, ce qui en fait le pays le plus peuplé d'Europe, et la deuxième puissance industrielle, maritime et coloniale, toujours derrière l'Angleterre. , qui compte 27 millions d'habitants, bénéficie du prestige séculaire de son empereur, mais c'est une mosaïque de peuples et de langues.
La Russie, avec 30 millions d'habitants, et la Prusse, plus moderne, avec 7 millions d'habitants, sont des États jeunes et ambitieux. Les autres pays européens ont une importance secondaire. Quelle va être votre politique ?

Au bout d'un an de paix, de sérieuses tensions éclatent dans plusieurs domaines avec l'Angleterre. Vous convoquez son ambassadeur. Celui-ci explique qu'il y a des principes sur lesquels Sa Très Gracieuse Majesté britannique ne peut transiger. Il s'agit :
- de la conclusion d'un traité commercial franco-anglais, garantissant la libre entrée des marchandises anglaises en France ;
- de l'engagement de la France de ne pas essayer d'élargir son influence en Inde, chasse gardée des Anglais, et de n'envoyer aucune troupe en Égypte ;
- de garantir à l'Angleterre pour au moins dix ans la possession de l'ile de Malte, base navale importante, idéalement située au coeur de la Méditerranée ;
- de l'engagement de la France de ne laisser aucun de ses soldats aux Pays-Bas et en Suisse, même avec l'accord des gouvernements intéressés.
Talleyrand vous conseille d'accepter. Il pense que toute nouvelle conquête finira mal et qu'il faut admettre les contraintes d'une entente durable avec l'Angleterre. Il propose donc de répondre favorablement aux exigences de l'ambassadeur, quitte à discuter point par point le traité de commerce pour éviter la débâcle de nos industries textile et mécanique, moins compétitives, et obtenir des avantages pour nos exportations. Nombreux, en revanche, sont ceux qui se montrent mécontents ou indignés par les conditions anglaises : industriels craignant la concurrence, bourgeoisie des ports qui souhaite le développement du commerce et l'expansion coloniale, anciens révolutionnaires. Dans une assez large majorité, l'armée, l'administration et l'opinion publique sont hostiles à l'Angleterre. Confiant dans la force de l'armée française, vous êtes vous-même agacé par les caricatures désobligeantes qui vous raillent dans certains
journaux anglais.
• Si vous acceptez les conditions anglaises, rendez-vous au «18», page 10.
• Si vous les refusez, rendez-vous au «98», page 46.

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : lun. nov. 03, 2014 8:00 pm
par Reborn
18 - Ma foi, ces conditions semblent parfaitement justes et acceptables.
A nos commerçants et industriels de s'adapter à la concurrence et de s'améliorer. :o:

Quand aux caricatures, qu'ils se marrent bien. Rappelons leur que je suis déjà venu pisser dans la Tamise. :signal:

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : lun. nov. 03, 2014 8:05 pm
par gladiatt
jolou a écrit : • Si vous acceptez les conditions anglaises, rendez-vous au «18», page 10.
Les conditions anglaises sont dures, mais il convient de ne pas s'attirer leur foudre: ils ont la puissance financière pour alimenter les autres nations, ils sont à l'abri sur leur ile. Le commerce français devra donc s'adapter à cette concurrence. Se lancer en Inde alors que les Anglais y sont déja implantés est stupide. D'autres territoires sont intéressants, comme les Antilles à sucre.
J'accepte.

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : lun. nov. 03, 2014 8:17 pm
par Elvis
Le développement économique en Europe est un gage de paix, mais il est hors de question de laisser les raines aux anglais
De plus, si nous sommes favorables à un rapprochement économique avec l Angleterre, il est hors de question de se laisser dicter des conditions compromettant la sécurité intérieure de la nation, et nous devons garder nos troupes en Suisse et aux Pays bas

• Si vous les refusez, rendez-vous au «98», page 46.

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : lun. nov. 03, 2014 8:23 pm
par Nabulio
• Si vous acceptez les conditions anglaises, rendez-vous au «18», page 10.
Je suis populaire car faiseur de paix. Laissons les Anglais rompre la trêve en ne respectant pas le traité.

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : lun. nov. 03, 2014 8:59 pm
par jolou
Elvis
Après ces grandes manoeuvres diplomatiques, les espoirs de paix s'amenuisent. Les nuages s'amoncellent entre la France, première puissance du continent européen, et l'Angleterre, principale puissance maritime, alliée de l'Autriche et de la Russie, peut-être également de la Prusse qui hésite.
Toutefois, la guerre n'a pas encore repris quand vous devez de nouveau faire face à un complot royaliste destiné à vous assassiner.
Votre police, très active, est en train de découvrir un nouveau réseau de complicités dont le but est simple : vous envoyer dans un monde meilleur. Sont plus ou moins compromis dans cette affaire les généraux Pichegru – ce qui n'est pas une grande surprise car vous le soupçonniez de sympathies royalistes – et Moreau, pourtant l'un des généraux républicains les plus connus. Tous deux sont arrêtés. Pichegru se suicide dans sa cellule. Reste Moreau qui ne semble pas avoir joué de rôle actif dans la conspiration mais en connaissait le projet et ne l'a pas dénoncé, soit par solidarité militaire, soit par jalousie envers vous. Moreau est un ancien compagnon d'armes.
• Si vous lui pardonnez, en demandant seulement sa mise à la retraite anticipée, rendez-vous au «353», page 171.
• Si vous le bannissez hors de France, rendez-vous au «177», page 82.
• Si vous prononcez sa condamnation à mort, rendez-vous au «241», page 115.
Nabulio, Reborn, gladiatt
Le récent traité de paix prévoit que les princes allemands qui perdent des villes à l'ouest du Rhin en faveur de la France doivent obtenir des compensations à l'est. Mais où et comment ? Ce n'est pas précisé, et l'Autriche, cosignataire du traité et dont l'empereur exerce une sorte de suzeraineté en Allemagne, veut favoriser ses amis.
Cela ne va pas sans frictions, et plusieurs princes allemands demandent votre aide. Vous avez la possibilité de favoriser la création d'États allemands amis de taille moyenne : Hesse, Wurtemberg, Bavière, Bade, prêts à passer avec la France des accords militaires dirigés contre l'Autriche.
Là encore Talleyrand prêche la modération : il faut en rester à la francisation des villes allemandes devenues françaises comme Cologne, Mayence, Sarrebruck, Coblence, Aix-la-Chapelle, Bonn, sur le modèle alsacien, et rester rigoureusement neutre au-delà du Rhin.
Sinon, la Prusse et l'Autriche réunies chercheront une revanche contre la France dès qu'elles auront une occasion favorable. Selon lui, même si l'Autriche renforce son influence en Allemagne centrale, c'est à la rivalité de la Prusse qu'elle devra s'opposer.
• Si vous suivez les conseils de Talleyrand, rendez-vous au «158»,
page 74.
• Si vous décidez de consolider la présence française en Allemagne centrale, en chassant du même coup l'Autriche, rendez-vous au «98», page 46.

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : lun. nov. 03, 2014 9:04 pm
par Reborn
158 - Il y a déjà fort à faire de ce côté du Rhin. Pas besoin d'aller s’immiscer dans les affaires germano-teutonnes. :o:

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : lun. nov. 03, 2014 9:11 pm
par Nabulio
• Si vous suivez les conseils de Talleyrand, rendez-vous au «158»
Laissons les chiens germaniques s'entredéchirer pour les os.

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : lun. nov. 03, 2014 9:16 pm
par Elvis
Une complicité, même passive contre mon auguste personne ne peut etre laissée impunie
Néanmoins, au vu des circonstances, et en considération de ses états de service, je décide son bannissement

• Si vous le bannissez hors de France, rendez-vous au «177», page 82.

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : mar. nov. 04, 2014 9:17 am
par gladiatt
Nabulio a écrit :• Si vous suivez les conseils de Talleyrand, rendez-vous au «158»
Laissons les chiens germaniques s'entredéchirer pour les os.

Pas mieux !!

• Si vous suivez les conseils de Talleyrand, rendez-vous au «158»

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : mer. nov. 05, 2014 12:11 pm
par gladiatt
On a perdu Jolou, ou quelqu'un à omis de répondre :euh:

Jolou, j'espère que ca va ? :signal:

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : mer. nov. 05, 2014 12:38 pm
par Greyhunter
gladiatt a écrit :On a perdu Jolou, ou quelqu'un à omis de répondre :euh:

Jolou, j'espère que ca va ? :signal:
Image

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : mer. nov. 05, 2014 1:32 pm
par jolou
Salut a tous !
Désolé de n'être pas venu, mais j'avais des tonnes de devoir :help
En tout cas, je vais bien merci gladiatt !

Elvis
La rage au coeur, Moreau part en Amérique. De nouveaux rapports de police vous sont transmis.
Vous apprenez que la conspiration était dirigée par un proche parent, non précisé, de celui qui se fait appeler Louis XVIII. Ce prince devait venir à Paris immédiatement après votre mort pour préparer le retour de la royauté. Votre police pense qu'il s'agit du duc d'Enghien, qui vit sans se cacher à Ettenheim, en Allemagne, à quelques kilomètres seulement de la frontière française. Vous êtes las de servir de cible à des assassins. Votre colère est terrible. Allez-vous donner l'ordre, comme certains vous le conseillent, de violer la frontière et d'envoyer 300 dragons enlever le duc d'Enghien pour le ramener prisonnier à Paris ?
• Si vous donnez cet ordre, rendez-vous au «57», page 27.
• Si vous ne le donnez pas, rendez-vous au «131», page 61.
gladiatt, Nabulio, Reborn
C'est maintenant en Italie que se posent des problèmes. Comme en Allemagne, le pays est tiraillé entre de nombreuses factions : princes italiens accrochés à leurs trônes, partisans d'une république indépendante englobant toute l'Italie, et admirateurs intéressés de la France ou de l'Autriche.
• Si vous souhaitez n'intervenir à aucun prix en Italie, pour laisser les Italiens décider de leur propre sort, rendez-vous au «286», page 137.
• Si vous avez l'intention de calquer votre attitude sur celle de l'Autriche – si elle bouge, vous aussi – , rendez-vous au «130», page 61.
• Si vous voulez entreprendre une politique plus ambitieuse, visant à la création d'un État italien inféodé à la France, rendez-vous au «56», page 27.

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : mer. nov. 05, 2014 1:38 pm
par Reborn
130 - On ne va certainement pas laisser les autrichiens avoir les mains libres en Italie. On les surveille donc, se tenant prêt à agir si besoin.

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : mer. nov. 05, 2014 2:09 pm
par griffon
Connaissant Elvis , je suis sur qu'il va aller chercher le ci-devant duc d'Enghien :siffle:

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : mer. nov. 05, 2014 2:39 pm
par gladiatt
jolou a écrit :Salut a tous !
Désolé de n'être pas venu, mais j'avais des tonnes de devoir :help
En tout cas, je vais bien merci gladiatt !
Tant mieux :signal:

jolou a écrit :• Si vous avez l'intention de calquer votre attitude sur celle de l'Autriche – si elle bouge, vous aussi – , rendez-vous au «130», page 61.
S'ils bougent une oreille, je réagit !!

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : mer. nov. 05, 2014 2:52 pm
par Nabulio
• Si vous avez l'intention de calquer votre attitude sur celle de l'Autriche – si elle bouge, vous aussi – , rendez-vous au «130», page 61.

J'aurais bien créée une Italie unie et indépendante mais le choix n'existe pas...

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : mer. nov. 05, 2014 3:34 pm
par Elvis
griffon a écrit :Connaissant Elvis , je suis sur qu'il va aller chercher le ci-devant duc d'Enghien :siffle:

et par la peau des fesses que je vais le ramener !
Il est temps de faire le menage et quand on me cherche on me trouve... tant pis pour les degats collateraux

Par la meme occasion, ordre aux Dragons de ramener egalement Palpatine , Reborn, Jagermeister, Michel Drucker et Jean Pierre Pernaud...

voila, fallait pas m enerver ! :twisted:
• Si vous donnez cet ordre, rendez-vous au «57», page 27.

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : mer. nov. 05, 2014 4:31 pm
par jolou
Elvis
L'enlèvement du duc s'est opéré sans difficulté. Son attitude est digne. Il avoue souhaiter votre renversement, mais nie avoir dirigé le complot destiné à vous assassiner. Il y a contre lui des présomptions sérieuses, mais pas de preuves.
• Si vous décidez de le faire fusiller, rendez-vous au «319», page 152.
• Si vous décidez de le laisser libre de ses mouvements à Paris tout en le faisant surveiller par la police, rendez-vous au «346», page 167.
• Si vous décidez de le renvoyer en Allemagne, rendez-vous au «131», page 61.
Reborn, Nabulio, gladiatt
La cour de Vienne est divisée. La France reste là-bas l'adversaire principal, et l'établissement en Italie d'une frontière commune aux deux pays inquiète, mais plusieurs guerres malheureuses ont rendu prudents les bellicistes autrichiens et font que l'Empereur continue à accepter, au moins pour l'instant, vos conditions de paix. Le statu quo est respecté en Italie.
Malgré les rivalités des grandes nations, une paix durable en Europe de l'Ouest ne semble plus impossible. A l'est, vous pensez que les dissensions entre la Russie, la Prusse et l'Autriche au sujet de la Pologne et du démembrement de l'empire turc sont moins visibles que les frictions franco-anglaises, mais au moins aussi profondes.
On n'observe plus à Paris l'austérité vertueuse voulue par Robespierre ou les excès inverses et scandaleux du Directoire, mais une société plus calme qui cherche à améliorer son sort et y parvient souvent. Vous vous demandez parfois si c'est bien la meilleure voie pour imiter vos grands modèles, César et Alexandre. Les affaires espagnoles viennent compliquer la situation internationale. La cour d'Espagne offre un triste spectacle. Le roi Charles IV est faible et borné, la Reine mesquine et acariâtre, son amant – qui est également le Premier ministre – est le type même de l'arriviste sans scrupule, et le jeune prince héritier Ferdinand se révèle sournois et cruel. Ce charmant tableau de famille révèle aussi une absence complète de politique cohérente, le sort du pays tournant autour des relations orageuses de ces quatre personnages. Ne se sentant plus tout à fait en sécurité dans son propre palais, le roi panique et sollicite votre appui. Vous tenez dans cet imbroglio l'occasion de dépasser ses espérances en installant des garnisons françaises à Madrid et dans les principales villes du nord du pays.

Si vous donnez suite à ce projet, rendez-vous au «87», page 42.
• Si vous y renoncez - ce qui est inévitable si vous avez déjà connu des difficultés en Espagne - , rendez-vous au «244», page 115.

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : mer. nov. 05, 2014 4:41 pm
par Reborn
244 - Hého, c'est pas à nous d'aller rétablir l'ordre dans ce bazar.
Et je déteste les senteurs d'huile ... :o:

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : mer. nov. 05, 2014 4:54 pm
par gladiatt
jolou a écrit :
Reborn, Nabulio, gladiatt• Si vous y renoncez - ce qui est inévitable si vous avez déjà connu des difficultés en Espagne - , rendez-vous au «244», page 115.
[/quote]

Ah non, pas le guepier espagnol !!

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : mer. nov. 05, 2014 4:54 pm
par Nabulio
• Si vous y renoncez - ce qui est inévitable si vous avez déjà connu des difficultés en Espagne - , rendez-vous au «244», page 115.
Pas un seul doigt dans ce panier de crabes !

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : mer. nov. 05, 2014 5:25 pm
par Elvis
Au poteau !

On ne sait jamais, meme si il est innocent, il pourrait devenir coupable dans le futur

• Si vous décidez de le faire fusiller, rendez-vous au «319», page 152.

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : mer. nov. 05, 2014 5:37 pm
par Elvis
Nabulio a écrit :• Si vous y renoncez - ce qui est inévitable si vous avez déjà connu des difficultés en Espagne - , rendez-vous au «244», page 115.
Pas un seul doigt dans ce panier de crabes !
Reborn a écrit :244 - Hého, c'est pas à nous d'aller rétablir l'ordre dans ce bazar.
Et je déteste les senteurs d'huile ...
gladiatt a écrit : Reborn, Nabulio, gladiatt• Si vous y renoncez - ce qui est inévitable si vous avez déjà connu des difficultés en Espagne - , rendez-vous au «244», page 115

Ah non, pas le guepier espagnol !!

Pff, avec ceux la au pouvoir, ils nous feraient un pays de queue plate, avec l'Inspecteur Derrick interdit au moins de 16 ans parce que trop violent.... :surrender: :tongue:

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : mer. nov. 05, 2014 5:46 pm
par Reborn
Moi je voulais devenir Empereur de Bretagne. Image

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : mer. nov. 05, 2014 5:51 pm
par Elvis
Reborn a écrit :Moi je voulais devenir Empereur de Bretagne. Image

Mode Michel Serrault : Empereur de Bretagne, c'est bien aussi.... :wink:

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : mer. nov. 05, 2014 5:55 pm
par Nabulio
Moi je veux devenir "empereur des Français mourant en 1848 en voyant le printemps des peuples s'inspirer des idéaux révolutionnaires et renverser toutes les vieilles monarchies croulantes", pour cela il va falloir durer...

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : mer. nov. 05, 2014 6:02 pm
par jolou
Elvis
C'est vrai que les royalistes voulaient vous assassiner. Mais vous n'aviez pas trempé dans les excès sanglants de la Révolution. Maintenant, vous aussi avez du sang sur les mains. En tout cas, votre détermination à vous défendre est claire pour tous.

Votre famille vous donne du souci. Votre femme dépense follement. Vous savez qu'elle ne déteste pas monnayer ses recommandations en faveur de tel ou tel négociant désireux d'enlever des marchés d'État. Ce que vous n'apprendrez que beaucoup plus tard, c'est qu'elle n'a rien trouvé de mieux pour arrondir ses fins de mois que d'accepter de grosses sommes de Fouché, à qui elle répète vos commentaires sur tous les sujets. Elle ne se rendait pas bien compte qu'elle permettait ainsi à votre propre ministre de la Police de vous espionner. Vos frères et soeurs, qui, mis à part Lucien, vous doivent à peu près tout, offrent le
délicieux spectacle de parvenus gonflés de leur importance et intransigeants sur les détails de l'étiquette. Seule votre mère reste d'une dignité à toute épreuve.
Ces problèmes familiaux et le récent complot vous font davantage vouloir assurer l'avenir. Vous savez que votre popularité reste très forte.
• Si vous décidez de demander par plébiscite votre nomination de Premier consul à vie, avec droit de nommer votre successeur, rendezvous au «81», page 40.
• Si vous préférez vous faire élever par les Français à la dignité d'empereur, comme Charlemagne, rendez-vous au «234», page 111.
Nabulio, Reborn, gladiatt
L'Angleterre et la France parviennent à se tolérer sans affrontement. Ce n'est pas sans mal. Si un accord à peu près satisfaisant a pu être trouvé concernant quotas et prix des produits coloniaux comme le thé, le cacao, le tabac, le sucre, il y a toujours un sérieux antagonisme concernant les droits de douane des textiles et des produits métallurgiques anglais. Qu'ils soient trop élevés, et les industriels anglais crient au blocus de fait et à une intolérable fermeture de débouchés. Qu'ils soient trop bas, et les industriels français unanimes parlent de concurrence insoutenable, les acculant à la faillite et à la ruine. Vous savez qu'il y a à boire et à manger dans ces gémissements, mais que les divergences d'intérêt sont réelles..
Vous êtes de plus exaspéré par les projets des émigrés français de Londres, qui souhaitent votre disparition quels qu'en soient les moyens, ainsi que par les caricatures féroces qu'une partie de la presse anglaise dirige contre vous. Aussi communiquez-vous deux exigences par une note brutale à l'ambassadeur d'Angleterre : l'extradition des comploteurs royalistes français et la censure des journaux anti-français. La réponse parvient rapidement. Elle est courtoise, un peu ironique, et totalement négative.
Londres rappelle sa tradition de terre d'asile et de liberté de presse, et laisse entendre que vous pourriez vous inspirer de cette politique. La lettre précise en outre que les Anglais n'accorderont pas les concessions commerciales que vous avez demandées.
• Si vous décidez de vous contenter de ces réponses et de mettre votre orgueil dans votre poche, rendez-vous au «380», page 185.
• Si vous n'admettez pas ces refus, rendez-vous soit au «118», page 55, si vous venez de faire la guerre contre une armée russo-autrichienne, soit au «98», page 46 dans le cas contraire.

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : mer. nov. 05, 2014 6:08 pm
par Reborn
380 - Contactez les journaux et veillez à multiplier par cinq le nombre de caricatures sur ces maudits anglais. :o: :mesures fortes:

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : mer. nov. 05, 2014 6:15 pm
par Nabulio
• Si vous décidez de vous contenter de ces réponses et de mettre votre orgueil dans votre poche, rendez-vous au «380», page 185.
Les chiens aboient et la caravane passe.

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : mer. nov. 05, 2014 6:38 pm
par Elvis
Empereur, ca fait classe sur le C.V.

• Si vous préférez vous faire élever par les Français à la dignité d'empereur, comme Charlemagne, rendez-vous au «234», page 111.

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : mer. nov. 05, 2014 8:16 pm
par gladiatt
• Si vous décidez de vous contenter de ces réponses et de mettre votre orgueil dans votre poche, rendez-vous au «380», page 185.

Je m'en bat l’œil de leur caricatures ....

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : mer. nov. 05, 2014 8:55 pm
par jolou
Elvis
Les Français ont voté selon vos souhaits. Vous voici nommé empereur héréditaire des Français. Vous projetez de faire venir le pape à Paris, afin que votre sacre ait lieu à Notre-Dame en grande pompe.
Mais le problème de votre descendance se pose. Vous n'avez pas encore d'enfant, sans savoir si la responsabilité en revient à vous-même ou à votre femme.
• Si vous décidez de divorcer rapidement, rendez-vous au «254», page 120.
• Si vous décidez de ne pas divorcer, du moins pour l'instant, car vous estimez que votre jeunesse vous permet de ne pas être pressé pour prendre une décision et que votre vie sentimentale, partagée entre votre femme et des conquêtes de passage, est satisfaisante, rendez-vous au «70», page 35.
Reborn, Nabulio, gladiatt
La paix paraissant assurée dans l'avenir immédiat, vous vous remettez au travail pour faire de la France un État moderne. Vous voulez d'abord franciser durablement la Belgique et les pays situés sur la rive gauche du Rhin et de langue allemande. Mais cela dans le respect des coutumes et surtout des langues locales, allemand ou flamand. Cette sage politique permet l'attachement de la majorité de ces populations travailleuses à la France, alors que les souverains de Prusse et d'Autriche continuent à mener une politique de monarchie absolue fondée sur l'inégalité et l'obéissance aveugle.
Vous poursuivez vos grands travaux, ports, routes, chemins vicinaux qui désenclavent les villages, ponts, voirie et aménage-ment des villes.
Connaissant le retard scientifique et industriel de la France par rapport à l'Angleterre, vous développez les accords commerciaux franco-anglais, en fait des compromis destinés à éviter la reprise de la guerre, car les Anglais ont un sens très vif de leurs intérêts économiques. Parallèlement, vous développez l'instruction secondaire et supérieure, la création des lycées, de remarquables corps d'ingénieurs dont le plus prestigieux est l'École polytechnique, accordez facilités et appuis aux scientifiques Monge, Laplace, Arago, Gay-Lussac, Ampère, Fresnel, Cuvier et Champollion.
Rapidement, le rayonnement culturel et la prospérité de la France atteignent le prestige militaire que les armées révolutionnaires et impériales ont su lui donner.
Bien que tout cela n'enchante pas les milieux dirigeants britanniques, ils s'habituent à voir en vous un partenaire autant qu'un rival. Tandis qu'ils consolident leur implantation en Inde, où vous avez conservé quelques ports, la reconstruction partielle de votre marine vous permet d'envisager à votre tour une politique d'expansion coloniale.
• Si vous vous contentez de renforcer l'influence française par l'envoi de quelques explorateurs, missionnaires, commerçants et militaires au Sénégal et dans la partie de l'Afrique occidentale où il n'y a ni Anglais ni gouvernement autochtone, en n'envisageant une éventuelle expédition militaire qu'en Algérie dont le dey a une attitude généralement inamicale vis-à-vis des pays européens et protège des nids de pirates qui terrorisent la Méditerranée, rendez-vous au «400», page 196.
• Si vous décidez en revanche de faire outre-mer un effort maritime et militaire sans précédent pour contester aux Anglais la suprématie en Inde dont ils sont si jaloux, rendez-vous au «337», page 163.

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : mer. nov. 05, 2014 9:03 pm
par gladiatt
Il est illusoire de concurrencer l'Angleterre en quelques années. Il faudrait des décennies pour creer infrastructures et points d'appuis nécessaires à les battre.


• Si vous vous contentez de renforcer l'influence française par l'envoi de quelques explorateurs, missionnaires, commerçants et militaires au Sénégal et dans la partie de l'Afrique occidentale où il n'y a ni Anglais ni gouvernement autochtone, en n'envisageant une éventuelle expédition militaire qu'en Algérie dont le dey a une attitude généralement inamicale vis-à-vis des pays européens et protège des nids de pirates qui terrorisent la Méditerranée, rendez-vous au «400», page 196.

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : mer. nov. 05, 2014 9:20 pm
par Nabulio
• Si vous vous contentez de renforcer l'influence française par l'envoi de quelques explorateurs, missionnaires, commerçants et militaires au Sénégal et dans la partie de l'Afrique occidentale où il n'y a ni Anglais ni gouvernement autochtone, en n'envisageant une éventuelle expédition militaire qu'en Algérie dont le dey a une attitude généralement inamicale vis-à-vis des pays européens et protège des nids de pirates qui terrorisent la Méditerranée, rendez-vous au «400», page 196.
Allons nous amuser en Algérie, unir de nouveau les deux littoraux de la Méditerranée souvenir de l'Empire romain :yho:

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : mer. nov. 05, 2014 9:50 pm
par Reborn
337 - Y en a marre d'être des lopettes. On va à nouveau péter la gueule aux anglais, mais cette fois-ci dans les colonies.
Faut bien voyager un peu. :o:

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : mer. nov. 05, 2014 9:57 pm
par Elvis
Bon faudrait voir a assurer la descendance, mais si je divorce avant l'arrivée du Pape, ca risque de coincer dans les rouages car le vieux de Rome ne vas pas apprécier
S'agit pas trop de le titiller le saint père si je veux ma couronne sur la tête et assurer la paix en Italie car l'armée du Vatican est plutôt puissante si je ne me trompe pas..

'Monsieur de Talleyrand, le Pape, combien de divisions ?'

• Si vous décidez de ne pas divorcer, du moins pour l'instant, car vous estimez que votre jeunesse vous permet de ne pas être pressé pour prendre une décision et que votre vie sentimentale, partagée entre votre femme et des conquêtes de passage, est satisfaisante, rendez-vous au «70», page 35

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : jeu. nov. 06, 2014 6:30 pm
par jolou
Elvis
Votre épouse a eu un entretien privé avec Pie VII. Elle lui révèle que vous n'êtes pas mariés religieusement. Le Saint-Père sursaute. Vous vivez donc en état de concubinage. Il est inflexible. De nouveau, la cérémonie du sacre est remise en question. Si vous voulez que le sacre ait lieu, il faut vous marier religieusement auparavant.
• Dans ce cas, rendez-vous au «293», page 140.
• Si vous refusez, rendez-vous au «427», page 212.
Reborn
Vous avez présumé de vos forces. La possession de l'Inde est chaque année plus vitale pour le commerce et l'industrie britanniques. La guerre éclate et, malgré les exploits du corsaire malouin Surcouf qui inflige des pertes sévères aux convois anglais dans l'océan Indien, votre marine subit une défaite au large de Diégo-Suarez, à l'extrémité de Madagascar.
• Si vous acceptez de mettre un terme à la guerre en cédant à l'Angleterre vos possessions en Inde – quelques ports – et en Amérique – Antilles et Guyane françaises et Saint-Pierre-et-Miquelon – , rendez-vous au «400», page 196.
• Si vous ne renoncez pas au risque d'une nouvelle lutte en Europe contre les autres pays jaloux de la France, et à qui Londres promet de nouveau de gros subsides, s'ils entrent en campagne contre vous, rendez- vous au «260», page 123.
Nabulio, gladiatt
Tout en maintenant une armée forte avec service militaire par tirage au sort, vous n'êtes plus attiré par la gloire militaire. Vous vous joignez cependant à l'Angleterre et à la Russie pour aider les patriotes grecs luttant contre les Turcs pour conquérir leur indépendance. Insensiblement, vous nouez des liens durables avec l'Angleterre. C'est une entente de raison plutôt que d'amour, qui ne va pas sans frictions, mais les deux grands pays d'Europe occidentale sont plus avancés économiquement et politiquement que les monarchies traditionnelles de Russie, de Prusse et d'Autriche, qui pratiquent une politique de répression contre toute réforme sociale incarnée par le chancelier autrichien Metternich. Les observateurs étrangers doivent admettre que la France s'est enrichie sous votre direction, possède la deuxième économie du monde, connaît le décollage économique de la révolution industrielle, et que les difficultés sociales qui en résultent sont dans l'ensemble moins graves qu'ailleurs.
Elles sont aussi mieux acceptées, car on sait que le régime que vous avez mis en place permet la progression de ceux qui n'ont pour eux ni la naissance ni la fortune, mais seulement le mérite. Ce n'est pas une société idéale, mais c'est un grand progrès. Vous avez favorisé l'éclosion d'une école de peinture française
renommée avec David, Géricault, Ingres, Gros et les jeunes Corot et Delacroix, ce dernier étant le fils naturel probable de votre ministre Talleyrand.
Gardant d'excellentes relations avec le poète allemand Goethe que vous avez fait officier de la Légion d'honneur, vous vous êtes efforcé de séduire Chateaubriand et Lamartine, les deux écrivains français les plus doués. Peine perdue pour le premier qui, royaliste, vous poursuit de sa haine, mais pas avec le second, sensible et généreux. A l'occasion d'un important remaniement gouvernemental, vous êtes résolu à faire nommer ministres Lamartine et votre frère Lucien avec qui vous vous êtes réconcilié. Allez-vous profiter de ce changement pour nommer à des ministères ou à des postes de grande responsabilité vos autres frères Joseph, Louis et Jérôme ? Ils n'ont pas fait preuve jusqu'à présent de sens politique ou de compétences remarquables. Mais vous êtes tenté de consolider votre pouvoir en y faisant participer votre famille.
• Si Joseph, Louis et Jérôme Bonaparte entrent au gouvernement, rendez-vous au «393», page 192.
• S'ils n'y entrent pas, rendez-vous au «430», page 213.

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : jeu. nov. 06, 2014 6:36 pm
par Reborn
260 - Je reste droit dans ses bottes. Plutôt la mort que la souillure !

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : jeu. nov. 06, 2014 7:11 pm
par Nabulio
Lucien est le seul qui tienne la route, n'ai-je pas dit que je privilégiais le mérite sur la naissance ?
• S'ils n'y entrent pas, rendez-vous au «430», page 213.

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : jeu. nov. 06, 2014 7:24 pm
par gladiatt
• S'ils n'y entrent pas, rendez-vous au «430», page 213.

Je vais pas les laisser saboter le fragile édifice que j'ai mis en place !

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : jeu. nov. 06, 2014 10:03 pm
par Elvis
Pie machin, il va faire gentiment ce qu on lui dit si il veut rentrer en un seul morceau à Rome
Va vite comprendre que c'est moi qui fait la loi chez moi, et ses conseils il se les garde pour ses cul-benis

• Si vous refusez, rendez-vous au «427», page 212.

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : ven. nov. 07, 2014 7:17 pm
par jolou
Elvis
Le refus du pape ne vous empêche pas d'être nommé en grande pompe empereur des Français. L'absence de cérémonie religieuse vous déçoit un peu et permettra à certains de vos ennemis de tourner votre titre d'empereur en dérision. D'un autre côté, la pompe guerrière donnée à votre sacre satisfait vos généraux, et l'absence d'ecclésiastiques réconforte les plus républicains de vos partisans.
Le jacobin Augereau n'aura pas à aller à Notre-Dame !
Contre l'Angleterre, vous ne pouvez envisager d'attaque directe qu'en contrôlant une semaine avec votre marine le détroit de la Manche, le pas de Calais. Vous disposez d'une flottille, nombreuse mais de qualité médiocre, pour le transfert de troupes. Seule, elle n'a aucune chance contre la Royal Navy. Il vous faut l'appui de votre escadre de guerre renforcée par des navires espagnols. Là aussi, les navires et le personnel laissent à désirer. Numériquement, vous êtes cependant à égalité avec les Anglais. Vous avez concentré une superbe armée de 100 000 hommes à Boulogne en face de l'Angleterre. Harcelés par les Anglais, lents dans leurs manoeuvres de diversion destinées à tromper l'ennemi, vos amiraux tardent à concentrer leurs navires dans la future zone d'opérations. Or vous apprenez que l'Autriche et la Russie, une nouvelle fois alliées de l'Angleterre, se mobilisent contre vous et préparent une invasion de la France. Il semble qu'une première armée soit à la veille d'envahir votre allié bavarois avant d'attaquer la France elle-même :
• Si vous décidez d'attendre encore à Boulogne, dans l'espoir d'une victoire navale sur les Anglais, rendez-vous au «144», page 67.
• Si vous décidez de vous porter à la rencontre de l'ennemi austrorusse, rendez-vous au «295», page 140.
Reborn
Toutes les grandes puissances font maintenant bloc contre la France. Vous prenez l'offensive et battez Russes et Prussiens à Lützen et Bautzen, grâce à l'enthousiasme que vous avez su communiquer à vos jeunes soldats recrutés à la hâte pour compenser les lourdes pertes des campagnes précédentes. Mais pratiquement dénué de cavalerie, vous ne pouvez exploiter ces succès. Après Desaix, après Lannes, vos amis Bessières et Duroc sont tués.
À Dresde, vous réussissez avec 100 000 hommes à battre 250 000 Russes, Prussiens, Autrichiens, Suédois réunis. Mais ailleurs, en Allemagne, vos lieutenants Oudinot, Macdonald, Vandamme et Ney sont battus par Blücher, Kleist, Ostermann et l'ancien maréchal français Bernadotte qui vous hait. Il est devenu prince héritier de Suède en attendant d'en devenir le roi et dissimule soigneusement sa poitrine sur laquelle est tatoué de façon indélébile « Mort aux tyrans ».
Toute l'Allemagne grouille de régiments de l'un et l'autre camp qui affluent vers Leipzig où une gigantesque bataille se déclenche. Au bout de trois jours, vous luttez à un contre trois, presque encerclés; les munitions se raréfient, et, comme il fallait s'y attendre, les Saxons et les Wurtembergeois passent à l'ennemi. Il vous faut retraiter en catastrophe vers la France, en passant du reste sur le corps de l'armée bavaroise qui vous a trahi à son tour et vous croyait fini. De plus, le typhus se déclare dans votre armée. L'Espagne et la Hollande doivent être évacuées. Murat, votre beau-frère que vous avez fait roi de Naples, vous
trahit, et Bernadotte n'hésite pas, lui, à demander à vos ennemis de l'installer sur le trône de France. Vous recevez un message de leur part vous proposant la paix contre la renonciation à toutes les conquêtes de la France. Cette appellation sibylline inclut probablement la Belgique, la rive gauche du Rhin et la Savoie.
• Si vous acceptez, rendez-vous au «248», page 118.
• Si vous refusez, rendez-vous au «374», page 181.
Nabulio, gladiatt
En vieillissant, vous commencez à établir un bilan. Il est exceptionnel. Vous avez montré du génie comme général, comme législateur, comme administrateur, comme politique. Parti de rien, vous avez réussi à faire sortir la France de cette mutation violente qu'a été la Révolution. Vous avez su trouver et imposer un équilibre social inespéré entre les anciens possédants, la bourgeoisie fortunée qui, livrée à elle-même, a déjà montré qu'elle n'avait pas toujours plus de générosité sociale que les aristocrates, et les couches sociales plus modestes qui savent qu'elles ne sont pas oubliées. Vous avez donné des lois claires et universelles là où tout n'était avant la Révolution que fatras confus, particularismes et inégalités. Vous avez permis un remarquable essor économique, même si le retard industriel sur l'Angleterre n'a pas été comblé. Vous avez donné à la France ses frontières naturelles, tout en facilitant avec souplesse et générosité en Belgique et en Rhénanie l'assimilation des populations de langues ou de traditions différentes, et vous avez donné davantage de stabilité au caractère national français sans renier ses qualités.surtout, après avoir gagné des guerres, vous avez su gagner la paix, en renonçant à davantage de gloire et à de nouvelles aventures militaires que votre puissance vous permettait d'envisager. Bien entendu, tout n'est pas parfait. Il vous a fallu abandonner le
rêve de fonderies États-Unis d'Europe. Mais la France n'avait pas réellement les moyens de cette politique, et les monarchies héréditaires d'Europe centrale et orientale restent trop puissantes pour qu'une tentative dans ce sens ne se termine pas par un échec et un flot de sang. Votre propre régime reste plus autoritaire que démocratique, bien que vous organisiez de temps à autre des référendums au suffrage universel. Cela vous arrange, mais il faut reconnaître que le degré d'analphabétisation, surtout dans les campagnes ne plaidait pas en faveur d'un régime purement parlementaire et les luttes de partis qu'il aurait entraîné. Vous n'êtes ni saint ni infaillible. Mais même vos adversaires reconnaissent en vous un grand homme aux qualités supérieures. Vous dirigerez encore pendant vingt ans, dans une relative sérénité, une France en paix avec elle-même.
Et voila deux vainqueur ! Ils ont la fin avec Napoléon qui meurt dans son lit, Empereur de France, ne reste plus qu'a attendre les deux autres :o:

Vainqueur :
Nabulio
Gladiatt
Lunarc

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : ven. nov. 07, 2014 7:25 pm
par griffon
J'aime pas trop Napo

mais j'en préfère un qui meurt les bottes aux pieds et le sabre en main :siffle:

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : ven. nov. 07, 2014 7:27 pm
par Reborn
jolou a écrit :Reborn
Toutes les grandes puissances font maintenant bloc contre la France. Vous prenez l'offensive et battez Russes et Prussiens à Lützen et Bautzen, grâce à l'enthousiasme que vous avez su communiquer à vos jeunes soldats recrutés à la hâte pour compenser les lourdes pertes des campagnes précédentes. Mais pratiquement dénué de cavalerie, vous ne pouvez exploiter ces succès. Après Desaix, après Lannes, vos amis Bessières et Duroc sont tués.
À Dresde, vous réussissez avec 100 000 hommes à battre 250 000 Russes, Prussiens, Autrichiens, Suédois réunis. Mais ailleurs, en Allemagne, vos lieutenants Oudinot, Macdonald, Vandamme et Ney sont battus par Blücher, Kleist, Ostermann et l'ancien maréchal français Bernadotte qui vous hait. Il est devenu prince héritier de Suède en attendant d'en devenir le roi et dissimule soigneusement sa poitrine sur laquelle est tatoué de façon indélébile « Mort aux tyrans ».
Toute l'Allemagne grouille de régiments de l'un et l'autre camp qui affluent vers Leipzig où une gigantesque bataille se déclenche. Au bout de trois jours, vous luttez à un contre trois, presque encerclés; les munitions se raréfient, et, comme il fallait s'y attendre, les Saxons et les Wurtembergeois passent à l'ennemi. Il vous faut retraiter en catastrophe vers la France, en passant du reste sur le corps de l'armée bavaroise qui vous a trahi à son tour et vous croyait fini. De plus, le typhus se déclare dans votre armée. L'Espagne et la Hollande doivent être évacuées. Murat, votre beau-frère que vous avez fait roi de Naples, vous
trahit, et Bernadotte n'hésite pas, lui, à demander à vos ennemis de l'installer sur le trône de France. Vous recevez un message de leur part vous proposant la paix contre la renonciation à toutes les conquêtes de la France. Cette appellation sibylline inclut probablement la Belgique, la rive gauche du Rhin et la Savoie.
• Si vous acceptez, rendez-vous au «248», page 118.
• Si vous refusez, rendez-vous au «374», page 181.
Image

Ah oui, plusieurs années se sont passées en quelques lignes. :lolmdr:

374 - Je refuse.
Et il paraît que l'île d'Elbe est très jolie. :o:

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : ven. nov. 07, 2014 8:18 pm
par gladiatt
jolou a écrit :

Et voila deux vainqueur ! Ils ont la fin avec Napoléon qui meurt dans son lit, Empereur de France, ne reste plus qu'a attendre les deux autres :o:
P'tain déja :shock: . Je me rappelais pas du tout de l'enchainement de ce livre jeu :goutte:

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : sam. nov. 08, 2014 12:29 am
par Elvis
Boulogne - Vienne : ca doit pouvoir se faire en quelques semaines
On sera de retour pour les prochaines grandes marées pour embarquer vers l Angleterre


• Si vous décidez de vous porter à la rencontre de l'ennemi austrorusse, rendez-vous au «295», page 140.

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : sam. nov. 08, 2014 8:22 am
par jolou
Elvis
Votre rapidité de mouvement a surpris les Prussiens qui hésitent encore à joindre leurs 200 000 hommes à la coalition anti-française, et les Autrichiens, persuadés que vous ne bougerez pas avant qu'ils aient joint leurs forces avec celles des Russes, qui se dirigent vers l'ouest à petites étapes.
Vous avez au contraire conçu un plan magistral. La rapidité et la précision de vos mouvements sont sans précédent dans l'histoire militaire. Vos maréchaux constatent avec ahurissement que vous connaisse par coeur chaque étape prévue chaque jour pour chaque bataillon. Vos soldats, qui marchent jour et nuit, eux, n'ont qu'un désir : se battre pour souffler un peu. La première armée autrichienne basée à Ulm vous croit à huit jours de là, mais vous êtes déjà derrière elle et l'encerclez à distance. Deux jours plus tard, vous recevez la capitulation sans condition de 27 000 hommes et de 18 généraux, avec 60 canons et 40 drapeaux. La route de Vienne est libre, après ce remarquable succès, et Murat s'y précipite – en outrepassant du reste vos ordres – pour pénétrer triomphant dans la capitale autrichienne. Cependant, il vous reste à affronter la deuxième armée autrichienne et l'armée russe réunies.
Votre armée est excellente et expérimentée. Les soldats vous font confiance et son prêts à se surpasser pour vous. Vous vous portez en Moravie, au nord de Vienne, à la rencontre de l'armée austro-russe enfin réunie. Vous occupez le plateau de Pratzen au-dessus d'Austerlitz pendant dix jours, étudiant chaque ruisseau et chaque repli de terrain. L'ennemi a une légère supériorité numérique. Vous avez de bonnes raisons de penser qu'au contraire des Autrichiens, les Russes qui ne vous ont encore jamais affronté sont eux aussi très confiants et imaginent que vous souhaitez éviter la bataille.
Enfin on vous informe que si l'alcool ne manque pas, le ravitaillement de vos troupes n'est pas assuré.
• Si vous décidez de mener une bataille défensive qui peut durer plusieurs jours en restant sur la bonne position du plateau de Pratzen pour repousser l'attaque ennemie, rendez-vous au «60», page 28.
• Si vous préférez attirer l'ennemi dans un piège en reculant, surtout sur votre aile droite, afin qu'à la poursuite de celle-ci il dégarnisse son centre que vous attaquerez pour le couper en deux, rendez-vous au «328», page 157.
Reborn
460 000 hommes sont prêts à se ruer sur la France. Pour l'instant 220 000 soldats ennemis franchissent le Rhin, les autres occupent l'Allemagne. En rassemblant des jeunes, si jeunes que beaucoup' ont des airs de filles qui les font surnommer les « Marie-Louise », vous disposez 60 000 soldats. Essayant de faire front partout, vous attaquez Blücher à Brienne, lieu de votre ancien collège militaire.
Après vous avoir repoussé, vos adversaires marchent séparément vers Paris. Ne disposant que d'un homme contre trois, aidé parfois par les paysans ulcérés par les brutalités des Prussiens et des cosaques, vous frappez successivement au nord et au sud par des manoeuvres audacieuses et brillantes, remportant sept victoires en un mois. Vous libérez Troyes que le tsar de Russie, l'empereur d'Autriche et le roi de Prusse viennent d'évacuer en toute hâte. Paris est peut-être sauvé. Malheureusement, Soissons est remis à l'armée prussienne qui peut traverser l'Aisne peu de temps avant que vous ne soyez en position de l'écraser. Paris prend peur, les bourgeois enterrent leur or et les pensionnats de jeunes filles déguisent leurs élèves en garçons.
Des patrouilles russes interceptent plusieurs rapports de police faisant allusion à la faiblesse de vos effectifs et signalant une forte activité dans la capitale du parti royaliste gonflé par les opportunistes de tout poil. Du coup, les alliés, qui étaient inquiets et proches du découragement, se ressaisissent. Vous sentez la chance tourner, et à Arcissur-Aube, où s'est regroupée l'armée de Schwarzenberg, vous menez plusieurs charges de cavalerie, résolu à vaincre ou à mourir. Mais vous ne parvenez ni à l'un ni à l'autre. Un commando prussien et nn officier royaliste battent la campagne pour vous trouver. Leur mission consiste à vous assassiner.
Pendant ce temps, c'est l'armée de Blücher qui a repris son avance vers Paris. Quand les trahisons d'Augereau et de Marmont, votre plus ancien compagnon d'armes, s'en mêlent et que la majorité de vos maréchaux vous signifient qu'ils ne veulent plus se battre car ils préfèrent retrouver leurs châteaux, leurs femmes et leurs fortunes plutôt que de mourir sur le champ de bataille, vous réalisez qu'il n'y a plus rien à faire.
L'occupation de Paris se fait sans désordre grave, mais avec son cortège inévitable de scènes désagréables. Les sénateurs que vous avez nommés font une cour servile aux nouveaux maîtres. Des officiers russes jettent des pièces d'argent à ceux qui crient « Vive le Roi, vivent les Bourbons ! » et des passants se ruent et se battent entre eux pour les récupérer. Votre femme et votre fils de quatre ans sont placés sous la garde de l'empereur d'Autriche. Vos frères ont fui. Parmi vos proches, seuls vos soeurs Hortense et Pauline et le maréchal Macdonald vous sont fidèles jusqu'au bout. Ému, vous donnez à ce dernier le sabre turc de Mourad Bey. Puis, retiré à Fontainebleau avec vos derniers soldats, vous signez votre abdication : Peu après, dans une crise de désespoir incontrôlable, vous avalez le poison qui ne vous quitte plus depuis quelque temps.

Jet de dé favorable a Reborn

Votre fidèle serviteur égyptien Roustan vous a vu faire le geste fatal.
Usant pour la première fois contre vous de sa force herculéenne, il vous force à vomir. Après plusieurs heures de frissons et de tremblements, vous êtes tiré d'affaire. Mais une partie du poison a été ingurgitée et affaiblit votre organisme de façon irréversible.
Sur proposition du Tsar et après que tous vos adversaires se sont concertés, il a été décidé de vous laisser la souveraineté de la petite île italienne d'Elbe. Alors que la plupart des grands dignitaires de France rivalisent de bassesse dans l'espoir de sauver leur place, vos vieux soldats se battent entre eux pour avoir l'honneur de faire partie des 600 hommes qui pourront tout abandonner et vous suivre dans cet exil. L'adieu à ceux qui restent est émouvant. Pendant le voyage, la foule vous acclame. En revanche, dans la Provence royaliste, le ton change complètement. Des groupes de passants lapident votre voiture,
vous insultent, vous pendent et vous brûlent en effigie. À Aix, la foule déchaînée hurle sa haine. Les humiliations se succèdent. Un officier russe vous protège, puis, pour échapper à la populace, vous revêtez l'uniforme du cocher avec une cocarde blanche royaliste ou celui d'un général autrichien.
Vous n'avez jamais craint la mort sur le champ de bataille, mais là vous ressentez la peur et le dégoût. Enfin vous arrivez à la côte où la frégate anglaise Undaunted vous emmène à l'île d'Elbe en passant au large de la Corse. Que de souvenirs... Ayant repris votre sang-froid, vous déclarez : « Je suis un homme qu'on tue, mais qu'on n'outrage pas. »
Vous prenez enfin possession de votre royaume d'opérette dont la capitale, Porto Ferraio, est l'ancienne sous-préfecture du département français de Méditerranée, capitale Livourne. Pendant ce temps, le roi Louis XVIII fait son entrée à Paris, et certains de vos vieux grognards ont baissé leur bonnet à poil sous leurs yeux pour ne pas avoir à le regarder.

L'île d'Elbe, votre royaume, est charmante, mais bien petite, avec seulement 20 000 habitants. Du haut d'une colline on voit la Corse, beaucoup plus grande. Vous recevez de nombreux visiteurs dont votre mère Letizia Bonaparte, votre belle et fidèle maîtresse polonaise Marie Walewska et son fils, votre fils. Votre charmante soeur Pauline vous a rejoint. Votre femme, elle, est devenue pendant ce temps la maîtresse du général comte autrichien Neipperg. Il est borgne, mais bel homme. Comme d'habitude, vous modernisez tout dans l'île : routes, ponts, hygiène, voirie, éducation, mines, agriculture. Et vous recevez des nouvelles de France. Cela ne va pas trop bien.
Le roi Louis XVIII est un modéré, qui menace de placer votre buste sur son bureau si son frère ne cesse de le harceler de hâter la « débonapartisation » de la France. Mais le pays est secoué de tensions, du fait des anciens émigrés qui veulent récupérer leurs biens nationalisés et vendus depuis vingt-cinq ans et réclament les positions qu'ils auraient pu atteindre s'ils étaient restés en France. C'est ainsi que l'armée licencie ou met en retraite anticipée 22 000
officiers qui ont fait bien des guerres, pour les remplacer par des nobles qui n'ont rien fait, ou même, pour quelques-uns, se sont battus contre la France dans les rangs prussiens, russes ou autrichiens. Par ailleurs, des rumeurs inquiétantes filtrent du congrès de Vienne, où les diplomates européens refont la carte de l'Europe. Elbe est trop près, vous faites encore peur. Il serait question de vous déporter dans l'île anglaise de Sainte-Hélène, au large des côtes d'Afrique. Vous constatez que le colonel anglais Campbell, dont vous avez admis la présence comme intermédiaire possible pour des pourparlers avec les
puissances européennes et qui est chargé de vous espionner, est absent. Il fait régulièrement des escapades à Florence pour retrouver la belle comtesse Miniaci dont il est éperdument amoureux.
• Vous pouvez tenter le tout pour le tout, miser sur votre popularité auprès de la majorité des Français et tenter de débarquer en France avec un millier d'hommes. Rendez-vous alors au «275», page 132.
• Vous pouvez vous rendre à Naples où règne votre beau-frère Murat, le « sabreur ». Murat vous a sauvé plusieurs batailles et peut-être la vie, mais comme roi de Naples il s'est déjà allié aux autres puissances européennes contre vous. Si vous prenez cette décision, en espérant que les liens familiaux vous aideront, rendez-vous au»257», page 121.
• Si vous décidez de rester à Elbe et de ne pas bouger, rendez-vous au «268», page 128.

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : sam. nov. 08, 2014 9:38 am
par Elvis
Bon, sans surprise... :notice:

• Si vous préférez attirer l'ennemi dans un piège en reculant, surtout sur votre aile droite, afin qu'à la poursuite de celle-ci il dégarnisse son centre que vous attaquerez pour le couper en deux, rendez-vous au «328», page 157.

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : sam. nov. 08, 2014 10:36 am
par jolou
Je part d'ici quelques minutes donc vous n'aurez rien jusqu'a mon retour demain soir :signal:

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : sam. nov. 08, 2014 12:08 pm
par Nabulio
Victory is mine ! Et empereur c'est quand même plus classe que gouverneur de la Virginie, je dis ça je dis rien :mrgreen:

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : sam. nov. 08, 2014 1:49 pm
par Reborn
275 - Désormais, il n'a plus que moi et le peuple français. Un millier de braves, c'est bien assez pour mes talents.

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : lun. nov. 10, 2014 5:08 pm
par jolou
Reborn
Votre mère a le coeur serré en vous voyant partir, car elle sait que vous allez courir de grands risques. Vous embarquez vos soldats à bord du brick l'Inconstant et des quelques petits voiliers dont vous disposez, et quittez le port de Porto Ferraio, sans attirer l'attention de la frégate anglaise Partridge qu'on aperçoit à l'horizon, revenant à l'île d'Elbe avec le colonel Campbell à son bord, ni celle des deux frégates françaises Melpomène et Fleur de lys qui ne vous voient probablement pas car votre flottille est masquée par les reflets du soleil couchant. En revanche, un autre bateau français, le Zéphyr, vous aperçoit et met le cap sur vous. Son capitaine connaît l'Inconstant et son équipage. Vous demandez aux cinq cents grenadiers entassés sur le pont d'ôter leur bonnet à poil et de se mettre à plat ventre, cachés par le bastingage. Le capitaine du Zéphyr échange les salutations d'usage avec celui de l'Inconstant et prend même de vos nouvelles.Soulagement général. Le Zéphyr poursuit sa route. Vous apercevez encore plus tard à l'horizon un gros vaisseau de guerre, mais il ne fait
pas attention à vous et vous débarquez sans encombre au golfe Juan. De là vous rédigez des proclamations à l'adresse de l'armée et du pays.
Vous êtes résolu à remonter sur Grenoble et Lyon en suscitant des ralliements, évitant soigneusement la Provence très royaliste. A Laffrey, un peu avant Grenoble, votre avant-garde rencontre le 5' régiment de voltigeurs de ligne qui dispose comme vous d'un millier d'hommes et a pour mission de vous arrêter et vous emprisonner. Les officiers des deux camps discutent amicalement, mais chacun se dit déterminé à faire son devoir.
Le commissaire Vauthier prévient les voltigeurs du roi que vous allez marcher vers eux sans défense. Les jeunes soldats sont livides.
Vous écartez vos lanciers polonais et vos grenadiers, et vous vous avancez seul, suivi de Drouot, Cambronne et Bertrand. Faisant face aux voltigeurs, vous leur dites d'une voix forte : « S'il en est un parmi vous qui veuille tuer son empereur, me voilà ! » Le capitaine Rondon, qui commande le détachement, donne l'ordre à un caporal de vous faire des sommations, puis de tirer.

Après quelques secondes interminables, des hourras s'élèvent, les soldats mettent leur shako au bout de leur baïonnette et fraternisent avec vos troupes.
Plus vous remontez vers le nord, plus l'accueil des populations est enthousiaste. A Lyon, le comte d'Artois, frère du Roi, est menacé par la foule et doit s'enfuir. Le maréchal Ney, qui avait promis de vous ramener dans une cage de fer mais qui subit avec sa femme depuis un an les remarques mesquines et acerbes des aristocrates, tombe dans vos bras, et toutes les troupes qui vous sont opposées passent sous votre commandement. Vous écrivez avec ironie au Roi : « Monsieur mon frère, inutile de m'envoyer de nouveaux soldats, j'en ai assez. » À Paris, d'où le Roi s'est enfui, l'accueil est bon, sans plus.
Vous vous attachez à ramener à vous des hommes compétents et honnêtes comme le général alsacien Rapp et Lazare Carnot. Avec élégance, vous félicitez les rares dignitaires qui ne changent pas de camp et sont restés jusqu'au bout fidèles au Roi. Vous savez que votre retour risque de ressouder contre vous la coalition des quatre grandes puissances, Angleterre, Autriche, Prusse et Russie, d'autant que l'empereur d'Autriche, chez qui votre femme s'est réfugiée, lui a interdit, ainsi qu'à votre fils, de communiquer avec vous. Mais il vous faut d'abord organiser votre gouvernement. Pour faire face au péril étranger, vous
aimeriez avoir comme par le passé tous les pouvoirs, mais vous devez constater que l'opinion publique a changé. Il existe maintenant un fort courant d'idées libérales.

Vous souhaitez reprendre les pouvoirs presque absolus qui étaient les vôtres auparavant. Cela vous facilitera du reste la conduite de la guerre et de la diplomatie. Mais autour de vous des protestations s'élèvent. Il y a eu trop de guerres, de sang versé, la France aspire à plus de liberté, en particulier à la liberté de la presse, et à une constitution plus libérale que ce qu'elle a connu avec Louis XVIII et vous-même.
• Si vous consentez à préparer une constitution libérale ne vous laissant que le pouvoir exécutif, mais pas le législatif, rendez-vous au «343», page 166.
• Si vous refusez, rendez-vous au «235», page 111.
Elvis
Vous avez battu en retraite, conformément à votre plan audacieux, et avez donné l'ordre à la cavalerie de Murat de reculer après chaque petit engagement contre les cosaques. L'ennemi y voit des preuves de sa supériorité. Dans le soir qui tombe, vous voyez l'infanterie russe quitter à son tour le plateau de Pratzen que vous avez abandonné pour descendre vers l'étang gelé de Telnitz dans le but d'écraser le lendemain votre aile droite.
D'une façon à peu près inédite dans l'histoire militaire, vous rassemblez le maximum de troupes autour de vous et leur expliquez la faute que les ennemis sont en train de commettre et votre plan pour la bataille du lendemain. Vos soldats sont enthousiastes et font des feux de joie avec la paille des champs. Les Russes croient que l'armée française brûle ses équipements pour retraiter avant le jour. Si grande est votre confiance que plus tard dans la nuit vous discutez
avec compétence théâtre et musique avec vos maréchaux. Le lendemain, votre aile droite, barricadée dans le village de Sokolnitz, résiste courageusement à un contre trois ou quatre. Vous lancez alors dans la brume, musique en tête et baïonnette au canon, les 25 000 hommes de Soult à l'assaut du plateau de Pratzen, qui est occupé rapidement alors qu'un soleil magnifique se lève.
Réalisant leur faute, les Russes lancent leurs réserves en contreattaque. Les formidables régiments des chevaliers-gardes de Préoprajeski et Séménovski, suivis des cosaques et des uhlans autrichiens, font reculer les fantassins mais se heurtent dans une formidable mêlée à vos cuirassiers, mamelouks et chasseurs de la garde. Au bout de quatre heures, ils sont définitivement repoussés. Vous redescendez aussitôt du plateau de Pratzen pour prendre à revers la gauche russe coincée dans un étau et repoussée sur l'étang gelé.
Votre succès est extraordinaire par ses résultats – l'ennemi a perdu 20 000 tués, 30 000 prisonniers, 45 drapeaux, 150 canons qui, fondus, permettront de fabriquer la colonne de la place Vendôme à Paris – mais aussi par la manière dont il a été obtenu, car tout s'est passé comme si vous aviez vous-même ordonné les mouvements des troupes adverses.
L'empereur d'Autriche vous demande aussitôt une entrevue pour conclure la paix. Il sera bientôt suivi du tsar de Russie. Votre triomphe est total.

En plein triomphe, la logique de vos conquêtes vous pousse à contrôler par royaumes ou duchés interposés. – à la tête desquels vous placerez parents et amis – la majeure partie de l'Allemagne et de l'Italie, sans parler de la Hollande et de la Suisse. Vous vous acheminez en fait vers la formation des États-Unis d'Europe, ou du moins d'Europe occidentale, sous la direction de l'État « le mieux gouverné », bien entendu la France.
Existe-t-il une politique de rechange ? Vous pouvez envisager de vous retirer en pleine gloire derrière les frontières du Rhin et des Alpes pour tenter de retrouver une paix durable en Europe, basée sur l'équilibre des forces et non la prééminence française, paix qui serait acceptable pour l'Angleterre dont le nouveau chancelier, Fox, paraît moins anti-français que Pitt, son prédécesseur. A vrai dire, les inconvénients de cette politique de la modestie sont immédiats et évidents, et son succès aléatoire, d'autant que la santé de Fox est fragile.
• Si vous tenez à renoncer à toutes vos conquêtes, rendez-vous au
«233», page 110.
• Si vous préférez organiser et contrôler plus de la moitié de l'Europe,
rendez-vous au «118», page 55.

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : lun. nov. 10, 2014 5:16 pm
par Reborn
343 - Le temps de la dictature est terminé. Les Lumières vont me guider jusqu'à la victoire. :o:

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : lun. nov. 10, 2014 5:41 pm
par Elvis
Nous venons de montrer au monde entier l'éclatante supériorité de mon armée.
Les anglais se rendront à l'évidence que leur prospérité passe par une Europe en paix, même si admirative d'Elvis 1er.
Les nouveaux gouvernements indépendants, qui nous seront redevables, finiront de saper saperont l'autorité chancelante de Vienne, et ainsi nous n'aurons plus besoin de nos braves grognards pour assurer notre influence sur l'Europe occidentale


• Si vous tenez à renoncer à toutes vos conquêtes, rendez-vous au
«233», page 110.

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : mar. nov. 11, 2014 11:42 am
par jolou
Reborn
Vous réussissez à former un gouvernement comprenant des libéraux. Les puissances européennes ayant décidé de vous mettre hors la loi et de diriger toutes leurs armées vers la France, il faut vous résigner à la guerre. Vos effectifs sont réduits par la nécessité d'envoyer des détachements en Vendée et dans le Midi royaliste. Vous pouvez en revanche compter sur le soutien des populations du nord et de l'est de la France, et sur une bonne armée.
Vous disposez d'environ 100 000 hommes. Les armées prussienne et anglaise sont chacune d'un effectif comparable au vôtre, et campent en Belgique, respectivement à Charleroi et à Bruxelles. Vous pouvez attaquer ou attendre de doubler vos effectifs, mais alors Russes et Autrichiens seront arrivés, ce qui vous obligera toujours à vous battre à un contre deux.
• Si vous décidez d'attaquer, rendez-vous au «311», page 148.
• Si vous décidez d'attendre, rendez-vous au «379», page 184.
Elvis
Malgré les rivalités des grandes nations, une paix durable en Europe de l'Ouest ne semble plus impossible. A l'est, vous pensez que les dissensions entre la Russie, la Prusse et l'Autriche au sujet de la Pologne et du démembrement de l'empire turc sont moins visibles que les frictions franco-anglaises, mais au moins aussi profondes.
On n'observe plus à Paris l'austérité vertueuse voulue par Robespierre ou les excès inverses et scandaleux du Directoire, mais une société plus calme qui cherche à améliorer son sort et y parvient souvent. Vous vous demandez parfois si c'est bien la meilleure voie pour imiter vos grands modèles, César et Alexandre.
Les affaires espagnoles viennent compliquer la situation internationale. La cour d'Espagne offre un triste spectacle. Le roi Charles IV est faible et borné, la Reine mesquine et acariâtre, son amant – qui est également le Premier ministre – est le type même de l'arriviste sans scrupule, et le jeune prince héritier Ferdinand se révèle sournois et cruel. Ce charmant tableau de famille révèle aussi une absence complète de politique cohérente, le sort du pays tournant autour des relations orageuses de ces quatre personnages. Ne se sentant plus tout à fait en sécurité dans son propre palais, le roi panique et sollicite votre appui. Vous tenez dans cet imbroglio l'occasion de dépasser ses espérances en installant des garnisons françaisesà Madrid et dans les principales villes du nord du pays.
• Si vous donnez suite à ce projet, rendez-vous au «87», page 42.
• Si vous y renoncez - ce qui est inévitable si vous avez déjà connu des difficultés en Espagne - , rendez-vous au «244», page 115.

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : mar. nov. 11, 2014 1:02 pm
par Elvis
Nous declinons courtoisement la requete de Charlie..

Envoyez des troupes etrangeres dans un pays pour soutenir un gouvernement chancelant et hai par son propre peuple ne peut qu'aboutir a un echec..

Attendons que la pomme tombe de l'arbre pour nous emparer
Dans quelques semaines, voire quelques moi, la bande a Charlie devra fuir le pays, et nous porpososerons alors notre soutien au nouveau gourvernement de Madrid qui aura alors besoin de l appui francais pour retablir le calme dans la peninsule, le rendant ainsi redevable a notre personne

Tout vient a point, a qui sait attendre

• Si vous y renoncez - ce qui est inévitable si vous avez déjà connu des difficultés en Espagne - , rendez-vous au «244», page 115.

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : mar. nov. 11, 2014 3:16 pm
par Reborn
379 - Les russes et les autrichiens ne valent rien. Qu'ils viennent s’effondrer sur nos défenses. :o:

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : mar. nov. 11, 2014 5:26 pm
par jolou
Elvis
L'Angleterre et la France parviennent à se tolérer sans affrontement.Ce n'est pas sans mal. Si un accord à peu près satisfaisant a pu être trouvé concernant quotas et prix des produits coloniaux comme le thé, le cacao, le tabac, le sucre, il y a toujours un sérieux antagonisme concernant les droits de douane des textiles et des produits métallurgiques anglais. Qu'ils soient trop élevés, et les industriels anglais crient au blocus de fait et à une intolérable fermeture de débouchés. Qu'ils soient trop bas, et les industriels français unanimes parlent de concurrence insoutenable, les acculant à la faillite et à la ruine. Vous savez qu'il y a à boire et à manger dans ces gémissements, mais que les divergences d'intérêt sont réelles..
Vous êtes de plus exaspéré par les projets des émigrés français de Londres, qui souhaitent votre disparition quels qu'en soient les moyens, ainsi que par les caricatures féroces qu'une partie de la presse anglaise dirige contre vous. Aussi communiquez-vous deux exigences par une note brutale à l'ambassadeur d'Angleterre : l'extradition des comploteurs royalistes français et la censure des journaux anti-français. La réponse parvient rapidement. Elle est courtoise, un peu ironique, et totalement négative.
Londres rappelle sa tradition de terre d'asile et de liberté de presse, et laisse entendre que vous pourriez vous inspirer de cette politique.
La lettre précise en outre que les Anglais n'accorderont pas les concessions commerciales que vous avez demandées.
• Si vous décidez de vous contenter de ces réponses et de mettre votre orgueil dans votre poche, rendez-vous au «380», page 185.
• Si vous n'admettez pas ces refus, rendez-vous soit au «118», page 55, si vous venez de faire la guerre contre une armée russo-autrichienne, soit au «98», page 46 dans le cas contraire.
Reborn
Dans les provinces du sud et de l'ouest de la France, la conscription se fait mal. Vous réussissez cependant à réunir 200 000 hommes, mais les Anglo-Prussiens qui descendent de Belgique vers Paris sont un peu plus nombreux, tandis que Russes, Autrichiens, Suisses et Suédois ont finalement réussi à aligner près de 300 000 hommes qui pénètrent en Champagne. Vous portant sur la frontière la plus menacée, vous battez Wellington et Blücher à Amiens, mais les cosaques et les uhlans sont déjà à Meaux et le Parlement, soucieux d'éviter de nouvelles luttes dans la capitale, vous abandonne et déclare Paris ville ouverte.
Coupé des provinces de l'Est qui vous sont le plus fidèles, menacé d'être encerclé par des forces très supérieures, vous ne pouvez poursuivre la lutte avec chance de succès, bien que vous n'ayez pas été battu.
Vous pourriez peut-être garder provisoirement le pouvoir en revenant à la dictature complète, comme vous le propose votre frère Lucien, prêt à recommencer le coup d'État qui vous avait permis de devenir Premier consul. Mais les circonstances ont changé. Il vous faudrait exécuter tous les opposants, même les modérés comme La Fayette ou Benjamin Constant. Vous n'en avez guère envie. Et puis vous êtes harassé. Cette baisse d'énergie influence probablement Davout, votre ministre de la Guerre. Toujours est-il qu'il se décide à vous abandonner.
Il vous faut abdiquer. Espérant que les ports de l'Atlantique seront moins bien gardés par les Anglais que ceux de la Manche, vous vous réfugiez à Rochefort.
Dans l'immédiat, vous n'y courez aucun risque, car la place est tenue par le 14ème régiment de marine, et aussi bien civils que militaires vous y acclament.
Vous hésitez sur la conduite à tenir.
• Si vous décidez d'attendre que les événements à Paris se clarifient, en espérant que devant le danger d'une nouvelle invasion étrangère on va encore faire appel à vos talents militaires, rendez-vous au «272», page 131.
• Si vous décidez de vous embarquer sur l'une des deux frégates françaises présentes dans la rade de Rochefort, la Saale et la Méduse, pour tenter de gagner l'Amérique, rendez-vous au «285», page 136.
• Si vous préférez vous rendre à l'Angleterre, le plus opiniâtre mais le plus démocratique de vos ennemis, en montant à bord du vaisseau anglais Bellerophon qui croise au large, rendez-vous au «397», page 194.

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : mar. nov. 11, 2014 5:32 pm
par Reborn
397 - Je vais prendre le choix jagoulesque et me rendre en Angleterre. :chicos: :au bûcher: :destion à la jeanne d'arc:

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : mar. nov. 11, 2014 5:57 pm
par Elvis
Il est inutile de nous faire un ennemi de l Angleterre, car comme notre Empire, il s agit de la puissance la plus moderne , comparée aux puissances vieillissantes de l Est de l Europe.
Ces vieux émigrés réactionnaires peuvent continuer à pourrir sous le crachin de Londres, bientôt plus personne ne leur portera d'attention quand la prospérité économique, engendrée par de saines relations commerciales basées sur la libre concurrence, prévaudra entre Elvispolis (notre nouvelle capitale) et Londres

• Si vous décidez de vous contenter de ces réponses et de mettre votre orgueil dans votre poche, rendez-vous au «380», page 185.

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : mer. nov. 12, 2014 3:07 pm
par jolou
La paix paraissant assurée dans l'avenir immédiat, vous vous remettez au travail pour faire de la France un État moderne. Vous voulez d'abord franciser durablement la Belgique et les pays situés sur la rive gauche du Rhin et de langue allemande. Mais cela dans le respect des coutumes et surtout des langues locales, allemand ou flamand. Cette sage politique permet l'attachement de la majorité de ces populations travailleuses à la France, alors que les souverains de Prusse et d'Autriche continuent à mener une politique de monarchie absolue fondée sur l'inégalité et l'obéissance aveugle.
Vous poursuivez vos grands travaux, ports, routes, chemins vicinaux qui désenclavent les villages, ponts, voirie et aménage-ment des villes. Connaissant le retard scientifique et industriel de la France par rapport à l'Angleterre, vous développez les accords commerciaux franco-anglais, en fait des compromis destinés à éviter la reprise de la guerre, car les Anglais ont un sens très vif de leurs intérêts économiques. Parallèlement, vous développez l'instruction secondaire et supérieure, la création des lycées, de remarquables corps d'ingénieurs dont le plus prestigieux est l'École polytechnique, accordez facilités et appuis aux scientifiques Monge, Laplace, Arago, Gay-Lussac, Ampère, Fresnel, Cuvier et Champollion.
Rapidement, le rayonnement culturel et la prospérité de la France atteignent le prestige militaire que les armées révolutionnaires et impériales ont su lui donner.
Bien que tout cela n'enchante pas les milieux dirigeants britanniques, ils s'habituent à voir en vous un partenaire autant qu'un rival. Tandis qu'ils consolident leur implantation en Inde, où vous avez conservé quelques ports, la reconstruction partielle de votre marine vous permet d'envisager à votre tour une politique d'expansion coloniale.
• Si vous vous contentez de renforcer l'influence française par l'envoi de quelques explorateurs, missionnaires, commerçants et militaires au Sénégal et dans la partie de l'Afrique occidentale où il n'y a ni Anglais ni gouvernement autochtone, en n'envisageant une éventuelle expédition militaire qu'en Algérie dont le dey a une attitude généralement inamicale vis-à-vis des pays européens et protège des nids de pirates qui terrorisent la Méditerranée, rendez-vous au «400», page 196.
• Si vous décidez en revanche de faire outre-mer un effort maritime et militaire sans précédent pour contester aux Anglais la suprématie en Inde dont ils sont si jaloux, rendez-vous au «337», page 163.
Reborn
Vous montez majestueusement à bord du Bellerophon dans votre célèbre uniforme de colonel de chasseurs de la garde, suivi de quatre généraux, quinze officiers et soixante domestiques. La presse anglaise avertie est divisée.
Les conservateurs veulent vous pendre ou vous enfermer à vie dans un donjon obscur. Les libéraux sont libéraux... Les Prussiens ont fait savoir qu'ils souhaitent votre exécution. Vous remettre à Louis XVIII déclencherait une nouvelle guerre civile. Le gouvernement de lord Liverpool décide d'éviter à tout prix un nouveau retour de votre part en France. Et, tandis que vous attendez au large de la rade de Plymouth, il statue sur votre sort : vous serez déporté dans l'îlot tropical et isolé de Sainte-Hélène, accompagné de trois généraux, onze domestiques et un médecin. Vous protestez, indigné, en appelez à l'honnêteté, l'hospitalité bafouée( Dont vous avez profité, les Anglais ayant laissé Londres pour vous tout seul il y a quelques temps) , la loi anglaise de l'habeas corpus. Rien n'y fait. Vous êtes transféré sur le Northumberland qui cingle vers Sainte-Hélène.
Vous êtes transféré à Sainte-Hélène, îlot volcanique peu hospitalier que vous atteignez après soixante-douze jours de navigation. Vous disposez d'une mauvaise habitation où les rats circulent la nuit. Pour toute promenade, autorisée seulement dans un espace bien délimité, vous êtes suivi d'un officier chargé de vous surveiller. Aucun contact avec la population anglaise, noire ou asiatique n'est permis sans autorisation.
Arrive le nouveau gouverneur, Hudson Lowe, qui a commandé les Corsican Rangers, un régiment de volontaires corses anti-français. Il est froid, mesquin et maladroit. Ce n'est pas un sadique, mais il ne veut rien négliger pour appliquer les instructions de Londres. Celles-ci sont claires. Il est de la plus haute importance d'éviter votre évasion, et rien ne doit rappeler que vous êtes autre chose qu'un prisonnier de guerre. Vous vous plaignez d'être aussi mal traité qu'un convict du célèbre bagne de Botany Bay en Australie, ce qui est exagéré, mais c'est surtout moralement que votre captivité est dure. Tout courrier est sévèrement censuré, et pas question pour vous d'envoyer ou de recevoir une lettre de votre fils. Les officiers anglais sont corrects et des marins vous
offrent même à l'occasion des fleurs, mais rien ne vous laisse espérer une évasion.
Cependant, le commandant d'un brick américain vous fait savoir, par l'intermédiaire du général comte Montholon, l'un de ceux qui vous ont suivi dans votre exil, qu'il est prêt, moyennant la promesse d'une forte somme, à aborder de nuit dans une petite crique, à vous cacher dans la cale et à vous faire passer en Amérique. Ce projet ne vous inspire pas confiance, tant la garde et le couvre-feu sont sévères, mais vous n'avez pas mieux.
• Si vous tentez cette aventure, rendez-vous au «331», page 160.
• Si vous la refusez, jugeant plus digne ou plus réaliste d'envoyer des lettres de protestation au gouvernement britannique pour qu'il consente à vous transférer en Angleterre, ou, simplement, si vous craignez qu'un échec ne rende vos conditions de détention encore plus dures, rendezvous au «424», page 209.

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : mer. nov. 12, 2014 3:21 pm
par Reborn
331 - Vivre libre ou mourir. :o:

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : mer. nov. 12, 2014 4:10 pm
par Elvis
Le Monde est assez grand et riche pour l Angleterre et nous, sans que l on est a ce marcher sur les pied

• Si vous vous contentez de renforcer l'influence française par l'envoi de quelques explorateurs, missionnaires, commerçants et militaires au Sénégal et dans la partie de l'Afrique occidentale où il n'y a ni Anglais ni gouvernement autochtone, en n'envisageant une éventuelle expédition militaire qu'en Algérie dont le dey a une attitude généralement inamicale vis-à-vis des pays européens et protège des nids de pirates qui terrorisent la Méditerranée, rendez-vous au «400», page 196.

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : mer. nov. 12, 2014 4:12 pm
par Lunarc
Reborn arrive! :clap: :chicos: :chicos:

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : mer. nov. 12, 2014 8:02 pm
par jolou
Reborn
La surveillance d'Hudson Lowe et de ses soldats et espions est sans doute trop méthodique pour vous offrir une chance véritable. Alors que, soutenu par Marchand, votre plus fidèle serviteur, vous êtes parvenu à traverser dans la nuit d'encre un petit bois de pins qui surplombe la falaise abrupte que vous comptiez descendre, des cris de sentinelles s'élèvent. Vous ne saurez jamais si les Anglais vous ont découvert fortuitement, ou s'ils ont poussé le cynisme jusqu'à vous laisser atteindre la côte afin de vous prendre en flagrant délit de tentative d'évasion.
Le soldat qui vous crie ses sommations est un tireur d'élite. Il vous loge une balle dans la tête. Votre carrière se termine là.
Fallait bien que ça arrive un jour a reborn d'avoir un mauvais lancer de dé :console:

Elvis
Tout en maintenant une armée forte avec service militaire par tirage au sort, vous n'êtes plus attiré par la gloire militaire. Vous vous joignez cependant à l'Angleterre et à la Russie pour aider les patriotes grecs luttant contre les Turcs pour conquérir leur indépendance. Insensiblement, vous nouez des liens durables avec l'Angleterre. C'est une entente de raison plutôt que d'amour, qui ne va pas sans frictions, mais les deux grands pays d'Europe occidentale sont plus avancés économiquement et politiquement que les monarchies traditionnelles de Russie, de Prusse et d'Autriche, qui pratiquent une politique de répression contre toute réforme sociale incarnée par le chancelier autrichien Metternich. Les observateurs étrangers doivent admettre que la France s'est enrichie sous votre direction, possède la deuxième économie du monde, connaît le décollage économique de la révolution industrielle, et que
les difficultés sociales qui en résultent sont dans l'ensemble moins graves qu'ailleurs.
Elles sont aussi mieux acceptées, car on sait que le régime que vous avez mis en place permet la progression de ceux qui n'ont pour eux ni la naissance ni la fortune, mais seulement le mérite. Ce n'est pas une société idéale, mais c'est un grand progrès. Vous avez favorisé l'éclosion d'une école de peinture française renommée avec David, Géricault, Ingres, Gros et les jeunes Corot et Delacroix, ce dernier étant le fils naturel probable de votre ministre
Talleyrand. Gardant d'excellentes relations avec le poète allemand Goethe que vous avez fait officier de la Légion d'honneur, vous vous êtes efforcé
de séduire Chateaubriand et Lamartine, les deux écrivains français les plus doués. Peine perdue pour le premier qui, royaliste, vous poursuit de sa haine, mais pas avec le second, sensible et généreux.
A l'occasion d'un important remaniement gouvernemental, vous êtes résolu à faire nommer ministres Lamartine et votre frère Lucien avec qui vous vous êtes réconcilié. Allez-vous profiter de ce changement pour nommer à des ministères ou à des postes de grande responsabilité vos autres frères Joseph, Louis et Jérôme ? Ils n'ont pas fait preuve jusqu'à présent de sens politique ou de compétences remarquables. Mais vous êtes tenté de consolider votre pouvoir en y faisant participer votre famille.
• Si Joseph, Louis et Jérôme Bonaparte entrent au gouvernement, rendez-vous au «393», page 192.
• S'ils n'y entrent pas, rendez-vous au «430», page 213.

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : mer. nov. 12, 2014 8:05 pm
par jmlo
L'auteur du bouquin est anglais ? :o:

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : mer. nov. 12, 2014 8:07 pm
par Reborn
Fallait baisser la queue toute la partie pour gagner. :o:

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : mer. nov. 12, 2014 8:28 pm
par jolou
Il fallait être un adepte du Poltronisme pour gagner :o:

PS1 : (Sinon l'auteur est français il me semble.)

PS2 : (Sinon on peut finir Roi des Grecs aussi et partir a la conquête de l'Inde avec les anglais )

PS3 : Je ne l'ai pas malheureusement :?

PS4 : (J'ai toujours rêvé de faire ça pardonnez moi cet égarement passager :o: )

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : mer. nov. 12, 2014 8:31 pm
par Elvis
et pourquoi pas des vacances sur un yacht d'un riche homme d'affaires tant que l'on y est... ?

On ne melange pas pouvoir et interets personnels ou familiaux

• S'ils n'y entrent pas, rendez-vous au «430», page 213.

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : mer. nov. 12, 2014 8:33 pm
par Elvis
Reborn a écrit :Fallait baisser la queue toute la partie pour gagner. :o:

Ben dans le cas present, fallait surtout baisser la tete pour eviter la balle anglaise :lolmdr:

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : mer. nov. 12, 2014 9:04 pm
par jolou
Elvis
En vieillissant, vous commencez à établir un bilan. Il est exceptionnel. Vous avez montré du génie comme général, comme législateur comme administrateur, comme politique. Parti de rien, vous avez réussi à faire sortir la France de cette mutation violente qu'a été la Révolution. Vous avez su trouver et imposer un équilibre social inespéré entre les anciens possédants, la bourgeoisie fortunée qui, livrée à elle-même, a déjà montré qu'elle n'avait pas toujours plus de générosité sociale que les aristocrates, et les couches sociales plus modestes qui savent qu'elles ne sont pas oubliées.
Vous avez donné des lois claires et universelles là où tout n'était avant la Révolution que fatras confus, particularismes et inégalités. Vous avez permis un remarquable essor économique, même si le retard industriel sur l'Angleterre n'a pas été comblé. Vous avez donné à la France ses frontières naturelles, tout en facilitant avec souplesse et générosité en Belgique et en Rhénanie l'assimilation des populations de langues ou de traditions différentes, et vous avez donné davantage de stabilité au caractère national français sans renier ses qualités. Surtout, après avoir gagné des guerres, vous avez su gagner la paix,
en renonçant à davantage de gloire et à de nouvelles aventures militaires que votre puissance vous permettait d'envisager. Bien entendu, tout n'est pas parfait. Il vous a fallu abandonner le rêve de fonderies États-Unis d'Europe. Mais la France n'avait pas réellement les moyens de cette politique, et les monarchies héréditaires d'Europe centrale et orientale restent trop puissantes pour qu'une tentative ce sens ne se termine pas par un échec et un flot de sang. Votre propre régime reste plus autoritaire que démocratique, bien que vous organisiez de temps à autre des référendums au suffrage universel. Cela
vous arrange, mais il faut reconnaître que le degré d'analphabétisation,n surtout dans les campagnes ne plaidait pas en faveur d'un régime purement
parlementaire et les luttes de partis qu'il aurait entraîné. Vous n'êtes ni saint ni infaillible. Mais même vos adversaires reconnaissent en vous un grand homme aux qualités supérieures. Vous dirigerez encore pendant vingt ans, dans une relative sérénité, une France en paix avec elle-même.
Et voila, le dernier vainqueur !
Je vous propose maintenant de vous départagez en suivant une autre voie (ce serait injuste de faire un tirage au sort, imaginez que Lunarc gagne alors qu'il a le grade le plus petit (Ou que Elvis gagne car il a su toutes les bonnes réponses a l'avance :o: :mrgreen: )). Donc on va commencez une nouvelle voie

Donc pour tout les survivants(Nabulio,Gladiatt,Lunarc, Elvis) premier choix :

Turquie ou Inde?

Aussi, Nabulio, gladiatt auront un avantage il peuvent lors d'un choix ou d'un lancé de dé me demander de prendre le meilleur (Vu qu'ils ont terminé Empereur et désolée Elvis mais tu a eu les bon choix a l'avance :console: ) (une seul fois ^^)

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : mer. nov. 12, 2014 10:24 pm
par gladiatt
jolou a écrit :
Donc pour tout les survivants(Nabulio,Gladiatt,Lunarc, Elvis) premier choix :

Turquie ou Inde?
Et concrètement on fait comment ???? :euh: On se téléporte dans un de ces pays ?

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : jeu. nov. 13, 2014 6:17 pm
par jolou
Concrétement vous me dites si vous voulez allez en Turquie ou en Inde et on recommence (a partir du passage de l'arrivé)

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : jeu. nov. 13, 2014 9:00 pm
par Nabulio
Allez, zou ! en Inde éternelle

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : jeu. nov. 13, 2014 10:15 pm
par Lunarc
Turquie. :clap:
Se convertir a l'Islam puis entamer la conquête de l'Europe au nom de notre nouvelle religion,on peut le faire? :chicos:

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : ven. nov. 14, 2014 9:47 am
par gladiatt
L'Inde, avec ses moussons, ses maladies tropicales, ses jungles invivables, ses Rajah à moitié fous, ses castes imperméables, me semble un mauvais choix :o:

Tentons le coup en Turquie. Climat méditerranéen, tradition militaire, héritage scientifique, potentiel a developper, etc....

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : sam. nov. 15, 2014 1:15 pm
par jolou
Manque plus que Elvis !

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : lun. nov. 17, 2014 6:06 am
par Elvis
Arf, desole, je croyais que c etait bon pour moi

Turquie alors

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : lun. nov. 17, 2014 5:29 pm
par jolou
Elvis, gladiatt, Lunarc
Embarqué à bord d'un navire grec, vous parvenez sans difficulté à Constantinople. Là, il vous faut patienter deux semaines en vivant dans un hôtel insalubre avant d'être reçu par le grand vizir puis par le sultan. Sélirn III aime les Français, il souhaite réformer son pays qui, sous bien des aspects, vit encore à l'ère médiévale, et il a bien besoin d'un conseiller militaire pour réorganiser son armée. Les soldats de l'empire turc sont souvent courageux, mais ignorent à peu près tout des méthodes modernes de combat. La discipline et surtout la cohésion font problème, car le sultan règne sur une mosaïque
de peuples dont certains, comme les chrétiens des Balkans, rêvent de s'émanciper et de conquérir leur indépendance. Enfin, la loyauté de certains
pachas, et surtout des janissaires, est incertaine. Cet ancien corps d'élite, garde personnelle du sultan, a beaucoup perdu de sa valeur militaire, mais ses chefs se prêtent volontiers aux complots de palais. En tout cas, impressionné par votre énergie et le récit de vos combats, le monarque de cet empire troublé est pour vous tout sourire. Après une longue conversation dans un magnifique jardin qui domine la Corne d'Or et le Bosphore, il vous propose une mission auprès des pachas d'Athènes et de Belgrade. Doté de larges pouvoirs, vous devez réorganiser l'artillerie, le génie, les fortifications, les entrepôts militaires.
Bien entendu, votre choix étant limité, vous acceptez.
Votre mission à Athènes est un plein succès. Sans exercer vousmême de commandement, vous avez réussi à donner à l'armée turque de Grèce et à son infrastructure une efficacité bien meilleure, gagnant ainsi la confiance du pacha Ismail. Par ailleurs, vos contacts avec l'élite locale, et en particulier les familles Mavrocordatos et Ypsilanti, ont été excellents.
Après ce succès, vous faites connaissance du pacha de Belgrade, Hadji Mustapha. L'homme est respectable mais se méfie des non-musulmans, et a fort à faire pour réprimer les tentatives de révolte des Serbes. Appréciant vos conseils, il vous propose d'habiter dans son château.
• Si vous acceptez son offre, rendez-vous au «307», page 146.
• Si vous préférez vous installer comme prévu dans la belle maison indépendante mise à votre disposition par le pacha, rendez-vous au «189», page 88.
Nabulio
Vous vous êtes embarqué avec le 3e régiment de lanciers pour Calcutta. Le gouverneur, lord Wellesley, éprouve tout d'abord une certaine suspicion pour l'étranger parlant un anglais approximatif que vous êtes. Vous n'avez rien d'un aristocrate britannique, et le thé de 5 heures n'est pour vous qu'un rite ennuyeux. Cependant, ayant besoin, pour conquérir l'Inde, d'hommes de valeur, votre colonel vous prend en estime. Au cours d'une garden-party qui réunit tous les officiers supérieurs anglais du Bengale, il vous prie de le suivre dans un salon retiré.
Avant d'être introduit auprès du gouverneur, vous croisez un personnage digne des Mille et Une Nuits. Sa robe rouge et blanc étincelle de diamants et de fils d'or ; au milieu de son turban brille un énorme saphir, et la garde du poignard recourbé qu'il porte à la ceinture comprend deux rubis de même taille. L'homme vous scrute intensément de son regard sombre, puis s'éloigne avec majesté. Le gouverneur, qui vous reçoit dans une pièce décorée de tapisseries des Gobelins, vous explique que vous avez vu Rashid Khan, principal conseiller du souverain moghol de Delhi. Celui-ci voudrait un instructeur européen pour moderniser ses troupes. En fait, Rashid Khan, qui sait que la lutte entre les troupes anglaises du Bengale et la coalition formée par le nizam d'Haidarabad, le nabab de Mysore et plusieurs maharadjahs du Maharashtra et du Rajputana est encore indécise, ne veut s'opposer de front à aucun des deux camps et témoigne à chacun de son amitié. Quoi qu'il en soit, votre ascendant et l'autorité que vous avez déjà manifestée vis-à-vis des troupes indigènes ont favorablement impressionné le gouverneur qui vous donne le choix entre cette mission à Delhi et le commandement d'un régiment de gurkhas qui va livrer bataille dans le Dekkan.
• Si vous choisissez Delhi, rendez-vous au «270», page 128.
• Si vous préférez commander le régiment, rendez-vous au «342»,
page 166.

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : lun. nov. 17, 2014 5:34 pm
par Elvis
L'hospitalité ottomane ne se refuse pas

• Si vous acceptez son offre, rendez-vous au «307», page 146.

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : lun. nov. 17, 2014 6:30 pm
par Nabulio
• Si vous choisissez Delhi, rendez-vous au «270», page 128.

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : lun. nov. 17, 2014 9:12 pm
par Lunarc
• Si vous acceptez son offre, rendez-vous au «307», page 146.

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : mer. nov. 19, 2014 4:48 pm
par gladiatt
jolou a écrit :
• Si vous acceptez son offre, rendez-vous au «307», page 146.
.
Oups, désolé du retard.

Je préfère être au calme chez moi... et me démarquer si ca tourne mal ...

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : mer. nov. 19, 2014 6:20 pm
par jolou
Gladiatt, Lunarc, Elvis
Le pacha n'a pas que des amis, et votre présence symbolise l'ouverture de l'empire turc à des influences étrangères, ce qui exaspère les conservateurs qui sont nombreux parmi les fonctionnaires, les religieux et les militaires.
En outre, les mesures de réorganisation de l'armée que vous introduisez nuisent à l'avancement de certains officiers. Une nuit, alors que, fatigué par une longue inspection des casernes de la province, vous dormez profondément dans la magnifique chambre mise à votre disposition, des bruits inhabituels vous réveillent. Des cris étouffés, des pas précipités se transforment bientôt en vacarme. Une importante troupe de janissaires a surpris les sentinelles et monte maintenant les escaliers. Le cimeterre à la main, ils en veulent probablement à la vie du pacha, sûrement à la vôtre. Vous tentez de fuir en sautant sur une terrasse située en contrebas. Jetez un dé.
Gladiatt veut tu utiliser ton Joker ?

Nabulio
L'instruction de la petite armée moghole est un travail important, car elle a beaucoup à apprendre. Vous ne tardez pas à réaliser que Delhi est un centre d'intrigues où Anglais, Français, Russes et représentants de tous les États de l'Inde s'espionnent les uns les autres. Votre rang d'officier britannique, votre qualité de Corse et le professionnalisme de votre action de formation semblent bien disposer le roi moghol à votre égard, qui paraît craindre le nizam, monarque absolu d'Haidarabad. Sa Majesté moghole, qui est encore jeune et curieuse de l'Occident, prend plaisir à s'entretenir fréquemment avec vous sur toutes sortes de sujets, y compris sur le thème dangereux des forces respectives en présence en Inde. Vous savez que vous êtes surveillé par tous, y compris par les Anglais, et que vous êtes devenu un homme important. Un soir de fête magnifique, l'élégante épouse de Rashid Khan vous remet discrètement un billet dans la pénombre. Son mari vous invite à le rejoindre secrètement, tard dans la nuit, dans une aile du palais. Vous faites signe que vous avez compris. Quand la fête se termine et que vous rentrez dans votre appartement – car votre rendez-vous est encore éloigné – , vous avez la surprise d'y découvrir une des petites danseuses tamoules que vous avez admirées tout à l'heure. Elle vous sourit craintivement, et explique en zézayant qu'elle se nomme Zina et qu'elle a un message verbal à vous transmettre, mais qu'il faut d'abord, pour égarer les soupçons, que vous fassiez plus ample connaissance avec elle. Elle est douce et jolie.
• Si vous acceptez, rendez-vous au «95», page 45.
• Si l'offre ne vous tente pas, ou que, pensant que cette histoire est cousue de fil blanc, vous préfériez retrouver aussitôt Rashid Khan, rendez- vous au «166», page 77.

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : mer. nov. 19, 2014 8:16 pm
par Nabulio
On me l'a fait pas, c'est comme ça que Michael Corleone a eu le sénateur Geary....
• Si l'offre ne vous tente pas, ou que, pensant que cette histoire est cousue de fil blanc, vous préfériez retrouver aussitôt Rashid Khan, rendez- vous au «166», page 77.

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : jeu. nov. 20, 2014 12:53 pm
par gladiatt
jolou a écrit :Gladiatt, Lunarc, Elvis
Le pacha n'a pas que des amis, et votre présence symbolise l'ouverture de l'empire turc à des influences étrangères, ce qui exaspère les conservateurs qui sont nombreux parmi les fonctionnaires, les religieux et les militaires.
En outre, les mesures de réorganisation de l'armée que vous introduisez nuisent à l'avancement de certains officiers. Une nuit, alors que, fatigué par une longue inspection des casernes de la province, vous dormez profondément dans la magnifique chambre mise à votre disposition, des bruits inhabituels vous réveillent. Des cris étouffés, des pas précipités se transforment bientôt en vacarme. Une importante troupe de janissaires a surpris les sentinelles et monte maintenant les escaliers. Le cimeterre à la main, ils en veulent probablement à la vie du pacha, sûrement à la vôtre. Vous tentez de fuir en sautant sur une terrasse située en contrebas. Jetez un dé.
Gladiatt veut tu utiliser ton Joker ?
Houla, je le sens pas l'attaque au cimeterre...je veux bien jouer mon joker (et pourquoi les autres l'ont pas ? :euh: ).

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : jeu. nov. 20, 2014 7:53 pm
par jolou
Nabulio
Méfiant malgré tout, vous vous présentez au rendez-vous armé d'un pistolet et de votre épée, en surveillant les alentours. Tout est désert, et une femme âgée, vêtue d'un sari violet, vous attend à l'endroit convenu. Elle ne parle pas anglais, mais vous fait signe de la suivre. Vous franchissez plusieurs portes avec circonspection, pour recevoir un formidable coup de gourdin sur la tempe. Assommé, vous ne voyez pas l'homme qui s'était caché derrière une statue située au-dessus de la porte, et qui vous contemple avec satisfaction.
Après avoir repris péniblement vos esprits, vous réalisez que vous êtes attaché dans ce qui paraît être l'aile d'un temple perdu dans la jungle. Vous entendez les cris des singes et des oiseaux, puis un bruit de pieds nus. Trois gardes birmans de Rashid Khan s'approchent et vous inspectent quelques secondes, puis ils entreprennent méthodiquement de vous étrangler avec un linge qui ne laisse aucune trace sur votre cou. Vous tentez de hurler, en vain, un voile rouge et noir passe devant vos yeux. Les Birmans serrent consciencieusement votre cou pendant plusieurs minutes, puis vous brisent les vertèbres cervicales pour ne prendre aucun risque. Votre corps sera ensuite piétiné par un éléphant. Rashid Khan préviendra les Anglais et le roi moghol de cet affreux accident, en précisant que la bête devenue inexplicablement furieuse a été aussitôt abattue.
Bon ben désolé Nabulio, l’éléphant n'étais pas Poltron :siffle:

Gladiatt, Elvis
La Grèce, elle, est calme. Ayant réussi à regagner Athènes sain et sauf, vous reprenez contact avec vos amis grecs et turcs, et retrouvez vos anciennes fonctions. Les premiers voient en vous un grand homme ami de la Grèce, les seconds, qui appartiennent au parti réformateur, vous considèrent comme un conseiller remarquable et un administrateur de premier ordre. Mais une nouvelle stupéfiante arrive de Constantinople. Les janissaires conservateurs se sont là aussi révoltés. Ils ont, après de sanglants combats dans le palais de Topkapi, couronné Mustapha IV, un réactionnaire. L'ancien sultan Sélim a été jeté en prison, son exécution prochaine ne fait aucun doute. Quelles vont être les conséquences de ces événements à Athènes, où règne une agitation fébrile ?
• Si vous décidez de partir pour Constantinople, pour rendre hommage au nouveau sultan et vous efforcer de conquérir sa confiance, rendez-vous au «114», page 54.
• Si vous vous rendez à Roustchouk pour répondre à l'invitation du pacha Baïrakdar dont la position est inconnue et qui vous a prié de lui rendre visite, rendez-vous au «348», page 168.
• Si vous préférez rester à Athènes, rendez-vous au «377», page 183.
Lunarc
Aux yeux de ces fanatiques vous représentez l'Occidental, l'incroyant détesté. Ils veulent non seulement votre mort, mais vous faire souffrir le plus longtemps possible. Dans une scène de cauchemar, les plus acharnés jouent de leur sabre à vous infliger le plus grand nombre de blessures possible. Égaré de douleur, inondé de sang, votre délivrance vient quand un impatient vous tranche la tête.
:evilfume:

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : jeu. nov. 20, 2014 8:29 pm
par gladiatt
jolou a écrit :
• Si vous préférez rester à Athènes, rendez-vous au «377», page 183.
Hmmm, les intrigues de ces Ottomans me semblent obscures, tortueuses, compliquées. Je reste à Athènes :goutte:

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : ven. nov. 21, 2014 1:07 pm
par Elvis
Voir Constantinople et mourir...

• Si vous décidez de partir pour Constantinople, pour rendre hommage au nouveau sultan et vous efforcer de conquérir sa confiance, rendez-vous au «114», page 54.

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : ven. nov. 21, 2014 1:51 pm
par Lunarc
Je suis maudit....
Je me bats pas contre les anglais,et je me fait buter bêtement par des malades turcomans...... :goutte:

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : ven. nov. 21, 2014 6:34 pm
par Nabulio
Lunarc a écrit :Je suis maudit....
Je me bats pas contre les anglais,et je me fait buter bêtement par des malades turcomans...... :goutte:
Ne te plains pas :mrgreen:

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : ven. nov. 21, 2014 8:40 pm
par jolou
gladiatt
Vous administrez la plus grande partie de la Grèce pour le compte d'un empire turc dont le moins que l'on puisse dire est qu'il est troublé. Vous recevez un jour les chefs des familles Mavrocordatos et Capodistria, les plus prestigieuses et les plus renommées de Grèce. A leur demande, la conversation n'a aucun témoin. Ils vous expliquent que, conscients de la faiblesse de l'empire turc, les patriotes grecs ont décidé de se révolter et de proclamer leur indépendance. Seuls, ils finiraient par être écrasés, mais ils se sont assuré le soutien secret de l'ensemble des puissances européennes et en particulier de l'Angleterre et de la France. Enfin, les Grecs, récusant le prince Ypsilanti, trop russophile, et n'arrivant pas à désigner entre eux un autre leader accepté par tous – ce qui n'est pas étonnant car il ya des rivalités séculaires entre les principales familles – , ont décidé de se tourner vers un homme qui a fait la preuve de ses capacités exceptionnelles, de son sens de l'équité et de son amitié pour le peuple grec : vous.
Vous êtes stupéfait. Mavrocordatos paraît tout à fait sérieux.
• Si vous acceptez son offre, rendez-vous au «198», page 92.
• Si vous refusez, rendez-vous au «115», page 54.
Elvis
Mustapha IV, qui vous a reçu, éclate de rire. Vous n'êtes qu'un imbécile dont il va pouvoir se venger. D'un geste sans réplique, il ordonne de vous entraîner dans une petite salle adjacente, où une dizaine de janissaires vous attendent.
Aux yeux de ces fanatiques vous représentez l'Occidental, l'incroyant détesté. Ils veulent non seulement votre mort, mais vous faire souffrir le plus longtemps possible. Dans une scène de cauchemar, les plus acharnés jouent de leur sabre à vous infliger le plus grand nombre de blessures possible. Égaré de douleur, inondé de sang, votre délivrance vient quand un impatient vous tranche la tête.
Il n'en reste qu'un le Grand, le Magnifique (Mais pas Poltron :cry: ) gladiatt ! (Pour que ça victoire soit homologué, il faut qu'il survive jusqu'a la fin !)

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : sam. nov. 22, 2014 9:24 am
par gladiatt
jolou a écrit : • Si vous acceptez son offre, rendez-vous au «198», page 92.
.
oui oui oui, i am ze king :notice: :clap:

(ah pardon, on m'annonce que ze king, c'est Elvis :o: )

Mais bon, va peut être falloir arracher l'indépendance aux Ottomans, non ?

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : sam. nov. 22, 2014 10:30 am
par jolou
Tous les détails de la révolte sont mis au point. La garnison turque d'Athènes et des principales villes sera massacrée, l'indépendance du royaume grec et l'allégeance à son premier roi, Napoléon 1", proclamées le même jour. Angleterre, France, Autriche et Russie interviendront immédiatement auprès de Constantinople pour garantir la sécurité du nouvel État par des pressions militaires et diplomatiques. Le jour convenu, les choses se passent d'abord bien. Mais un retard dans l'arrivée des troupes anglaises et françaises qui devaient débarquer au Pirée permet au commandant turc, qui a regroupé ses forces, de contreattaquer au mont Hymette, près d'Athènes. Avant le combat, il vous fait savoir qu'il vous réserve les pires supplices, dont le pal et les yeux crevés ne seront que les hors-d'oeuvre.
Résolus à sacrifier leur vie pour l'indépendance de leur pays, les partisans grecs que vous commandez font preuve d'héroïsme. Les soldats turcs n'ont pas les mêmes raisons de mourir et, après un dur combat, ils mettent bas les armes. Deux semaines plus tard, vous êtes sacré roi de Grèce dans un enthousiasme
populaire indescriptible. Vous consacrerez les vingt prochaines années à la tâche passionnante de faire de la Grèce, dont le passé est prestigieux mais qui a pris beaucoup de retard, un État moderne en plein renouveau.
L'idéalisme qui a poussé les puissances européennes à aider la Grèce à devenir indépendante ne durera pas, mais aucun des grands pays ne souhaite voir une nation rivale entretenir des relations trop étroites avec un royaume. Jouant sur ce sentiment, votre habileté diplomatique permettra de garder au fil des années des protections suffisamment actives pour prévenir tout retour militaire des Turcs. Enfin, vous avez la joie d'assurer l'avenir de votre dynastie en ayant trois fils et une fille.
Devenu âgé et moins bien portant, en observant le soleil couchant du haut de l'Acropole, vous ressentez la satisfaction d'avoir eu une existence bien remplie, utile et glorieuse. Vous ne pouvez conquérir le monde ni même l'Europe, mais vos autres rêves se sont réalisés.
:10: Gladiatt !
Tu gagne le prix très estimé de The Poltron Napoléon Awards !
Je vous remercie d'avoir joué a ce petit jeu et je vous dis a bientot pour le reste des Aventure du Poltronisme ! :signal:

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : sam. nov. 22, 2014 10:47 am
par gladiatt
jolou a écrit : :10: Gladiatt !
Tu gagne le prix très estimé de The Poltron Napoléon Awards !
:clap: :yho:

i am the winner, i am the best, i am wonderful :mrgreen:

merci à tous :biere:

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : sam. nov. 22, 2014 11:13 am
par Nabulio
[Mode grognon /ON] Oui mais j'ai quand même été empereur des Français jusqu'à ma belle mort dans mon lit ![Mode OFF]

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : sam. nov. 22, 2014 11:16 am
par gladiatt
Nabulio a écrit :[Mode grognon /ON] Oui mais j'ai quand même été empereur des Français jusqu'à ma belle mort dans mon lit ![Mode OFF]

Moi aussi, moi aussi, moi aussi :chicos: :lolmdr:

on est tous bon de toute manière :ok:

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : sam. nov. 22, 2014 11:53 am
par jolou
En tout cas vous avez tous bien joué, Mention spécial a Reborn qui a quand même réussi a prendre Londres !

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : sam. nov. 22, 2014 2:23 pm
par Lunarc
Moi,j'ai été gouverneur de Virginie! :console:
Est-ce qu'on peut vraiment conquérir toute l'Europe dans le jeu?

Re: LDVELH Vous êtes Napoléon Bonaparte

Posté : sam. nov. 22, 2014 3:18 pm
par jolou
La meilleur fin c'est la fin qu'on obtenu Nabulio et Gladiatt, impossible (a ma connaissance) de conquérir toute l'Europe, on peut "gagner" la campagne de Russie (En n'ayant pas la bérézina) mais ça finie toujours mal. On peut aussi faire copain copain avec les russes mais au bout de quelques temps, ceux ci changent d'avis et veulent se battre :pigepas: