Août -86:
En août, nous envoyons un corps expéditionnaire prendre l'Ile de Corchyra pendant qu'un corps remonte vers Dirrachium relever les deux envoyés en reconnaissance:Archelaos (qui mène le corps grec) et Sadala le thrace retraitent vers l'est de la Macédoine afin de retrouver des niveaux de ravitaillement corrects.
Et là, c'est le drame!! Archelaos tombe le 11 août sur deux légions romaines dans les montagnes à l'Est de Dirrachium. Il faut dire que les Optimates semblent avoir pacifié l'Italie: Nous sommes seuls face au monstre (personne n'a vu mon tracto pelle??)

On s'en sort sans dommages, mais ces légions vont prendre dans la foulée Pharsale très peu défendue à la fin du mois, et Archelaos ne peut retraiter comme prévu.
Septembre -86:
Le conflit se focalise maintenant exclusivement sur la Gréce.
Notre seule arme étant le nombre, on décide de contre-attaquer. Aussi, nous envoyons Sadala reprendre Pharsale. Malheureusement, il ne trouvera pas les légions qui vont prendre Thébes peu défendue ce mois.
Les corps aux alentours de Dirrachium reculent également vers le sud. En tout cas ils essaient car Sulla et un autre corps; soit nouvelles 4 légions arrivent par la côte Dalmate.
Nous prendrons également Corchyra, ce qui fait que à la fin du mois, de tous nos objectifs seule Dirrachium est encore entre les mains romaines.
Situation à la fin du mois: Les Thraces ont coupé la route de retraite aux deux légions un peu aventurées à Thébes. Pendant que 60 000 hommes du Pont sont dans les alentours de Dirrachium. Si on ne se fait pas d'illusions sur leurs chances de survie en un environnement aussi toxique, on ne désespère pas de parvenir à éliminer la menace de Thèbes: Mithridate (à Corinthe), Pharnaces (arrivé à Athènes au bon moment) et Sadala à Pharsale les encerclent.
Au rayon des bonnes nouvelles, des révoltes éclatent en Colchide (soit à l'autre bout de la carte). Nos alliés arméniens vont devoir gérer ça avec les quelques unités sous leur contrôle.

Les gardiens de la paix, au lieu de nous la garder, ils feraient mieux de nous la foutre.
Coluche