AAR The Movies : une histoire sans fin
- Bartimeus
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Re: AAR The Movies : une histoire sans fin
sympa cette AAR, ça change un peu xD ^^
Bonne chance pour la suite, ce jeux est sympa quoi qu'un peu répétitif (sauf si tu t'amuse a faire les scénarios toi même)
Bonne chance pour la suite, ce jeux est sympa quoi qu'un peu répétitif (sauf si tu t'amuse a faire les scénarios toi même)
Olives et Paix
- mad
- Godard de la Tartiflette
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Re: AAR The Movies : une histoire sans fin
Je sais, mais les cheveux Lepers, ils ont pas ça dans l'éditeur ...GA_Thrawn a écrit :Griffon est ressemblant.![]()
Par contre les cheveux de palpat' sont plutôt comme çà:

@Bart : Merci ! De toute façon y'a quand même moyen de bien se marrer avec toutes les possibilités - le plus chiant étant sur la fin l'alcool, toutes les stars finissent poivrotes

- mad
- Godard de la Tartiflette
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Re: AAR The Movies : une histoire sans fin
Le 12 novembre 1927
A : Her Philberg Von Aasen
164 Rockefeller Plaza
New-York
Cher Baron Von Aasen,
Voici comme convenu les résultats des films que nous avons mis sur le marché depuis le début de cette décennie.
Nos 3 premiers nanars de série B nous ont rapporté approximativement 288.000 $ en tout.
Notre quatrième film, sorti juste après la cérémonie des oscars (la petite prison dans la prairie) a rapporté à lui seul 205.407 $
Kara Iskandar a ensuite fait ses premiers pas dans une comédie à moyen budget : « Capitaine barbare. Pour la première fois le budget du film a dépassé les 20.000$, mais nous espérons des recettes de l’ordre de 250.000 $
Surtout, le public semble enfin avoir adhéré au jeu du jeune Kara, qui peut logiquement devenir une étoile montante de nos studios s’il continue à travailler.

Signe que son jeu semble avoir trouvé son public, il est désormais considéré comme un acteur « moyen » - ce qui est une belle réussite quand on voit de la profondeur d’où nous l’avons tiré…

Le tournage de notre blockbuster suivant, « 7 millisecondes d’envie » - notre première incursion dans le domaine de la science fiction – a montré les limites que nous touchions avec l’équipe actuelle.
En effet, il semblerait que le stress provoque chez nos artistes l’envie immodérée de se pochtronner afin d’oublier tous les soucis de l’existence. Ainsi pour nos comédiens, la fête de fin de tournage que nous faisons traditionnellement lorsque toutes les scénes sont tournées à la fin du film, doit désormais avoir lieu chaque matin avant le tournage de la journée.
J’ai ainsi le regret de vous annoncer que si notre dernier film a duré 9 mois et couté 21.000 $, les frais de champagne se chiffrent, eux, à plus de 43.000 $, répartis entre trois personnes dont je vous tairais les noms dans un soucis de confidentialité, au cas ou cette lettre se retrouverait aux mains d’un journaliste peu scrupuleux.
Veuillez trouver également ce cliché qui vous donne une petite idée de l’ambiance lors du tournage (il était 15h20 et le planning prévoyait la mise en place de la scène de la soucoupe volante) :

Vous remarquerez comme moi que la soucoupe volante ressemble étrangement au bar « le poivrot farci » installé depuis peu dans l’enceinte des studios, et géré directement par votre fils, Von Aasen Jr. J’ai cru comprendre que tout le salaire (pourtant conséquent) de Georges Abitbol Thrawn passe ainsi dans des boissons diverses, et plus particulièrement en perroquets baveux (un mélange défrisant de rhum, de téquila et de gin légèrement relevé avec du bourbon et une petite olive verte)
Je n’ose même pas parler de l’état semi-comateux de Kara Iskandar, dont l’élocution est vasouillarde jusqu’à 18h30 en semaine, 21h le samedi.
Or cela risque de poser un léger problème avec l’apparition du cinéma parlant (vous avez certainement entendu parler de la sortie fracassante du Chanteur de Jazz, il y a quelques jours)
Bien que je ne pense pas que les films parlant constituent l’avenir du cinéma (comment un spectateur pourrait il se concentrer sur du son en plus des images ??? Notre cerveau n’est pas fait pour cela, c’est du simple bon sens …) j’ai peur des effets devastateurs si on devait filmer Kara Iskandar à moitié ivre, déglutissant son patois de l’Oklahoma mixé avec les expressions slovénes qu’il avait apprises afin de se faire engager, il y a 7 ans …
Aussi j’aimerais vous faire parvenir les CV de plusieurs artistes prometteurs :
un exilé russe, Piotr Urialoff, fils d’une grande famille d’aristocrates ayant fuit la guerre civile en Union Soviétique et qui semble parfait pour incarner des personnages de science fiction.
J’aimerais également vous toucher deux mots d’une jeune recrue mexicaine, le célèbre « Moustachos » (de son petit nom Miguel Sanchez Ramirez Palpatine) qui a déjà fait fureur dans des cabarets de l’autre côté du Rio Grande.
Je pense également avoir trouvé un metteur en scéne sympathique, Jim « Griffon » Smith, bien que quelques unes de ses exigences puissent sembler doucement iconoclastes. J’ai ainsi cru comprendre qu’il refuse de tourner une scéne un jour de pluie et qu’il attache aux conditions atmosphériques une attention soutenue Ainsi pas de tournage en extérieur si nous dépassons les 1015 hectopascals (?)

La mise en place de cette nouvelle équipe permettrait d’insuffler un peu de sang frais dans nos productions, de varier les films et, surtout, d’envoyer Boudi-Bouda, Kara Iskandar et Georges A. Thrawn aux alcooliques anonymes sans que les studios ne soient obligés de fermer…
Vous remerciant pour la confiance que vous ne cessez de me temoigner,
Samuel Marlouberg ,
Directeur de la Pouf Prod Burg - TM
A : Her Philberg Von Aasen
164 Rockefeller Plaza
New-York
Cher Baron Von Aasen,
Voici comme convenu les résultats des films que nous avons mis sur le marché depuis le début de cette décennie.
Nos 3 premiers nanars de série B nous ont rapporté approximativement 288.000 $ en tout.
Notre quatrième film, sorti juste après la cérémonie des oscars (la petite prison dans la prairie) a rapporté à lui seul 205.407 $
Kara Iskandar a ensuite fait ses premiers pas dans une comédie à moyen budget : « Capitaine barbare. Pour la première fois le budget du film a dépassé les 20.000$, mais nous espérons des recettes de l’ordre de 250.000 $
Surtout, le public semble enfin avoir adhéré au jeu du jeune Kara, qui peut logiquement devenir une étoile montante de nos studios s’il continue à travailler.

Signe que son jeu semble avoir trouvé son public, il est désormais considéré comme un acteur « moyen » - ce qui est une belle réussite quand on voit de la profondeur d’où nous l’avons tiré…

Le tournage de notre blockbuster suivant, « 7 millisecondes d’envie » - notre première incursion dans le domaine de la science fiction – a montré les limites que nous touchions avec l’équipe actuelle.
En effet, il semblerait que le stress provoque chez nos artistes l’envie immodérée de se pochtronner afin d’oublier tous les soucis de l’existence. Ainsi pour nos comédiens, la fête de fin de tournage que nous faisons traditionnellement lorsque toutes les scénes sont tournées à la fin du film, doit désormais avoir lieu chaque matin avant le tournage de la journée.
J’ai ainsi le regret de vous annoncer que si notre dernier film a duré 9 mois et couté 21.000 $, les frais de champagne se chiffrent, eux, à plus de 43.000 $, répartis entre trois personnes dont je vous tairais les noms dans un soucis de confidentialité, au cas ou cette lettre se retrouverait aux mains d’un journaliste peu scrupuleux.
Veuillez trouver également ce cliché qui vous donne une petite idée de l’ambiance lors du tournage (il était 15h20 et le planning prévoyait la mise en place de la scène de la soucoupe volante) :

Vous remarquerez comme moi que la soucoupe volante ressemble étrangement au bar « le poivrot farci » installé depuis peu dans l’enceinte des studios, et géré directement par votre fils, Von Aasen Jr. J’ai cru comprendre que tout le salaire (pourtant conséquent) de Georges Abitbol Thrawn passe ainsi dans des boissons diverses, et plus particulièrement en perroquets baveux (un mélange défrisant de rhum, de téquila et de gin légèrement relevé avec du bourbon et une petite olive verte)
Je n’ose même pas parler de l’état semi-comateux de Kara Iskandar, dont l’élocution est vasouillarde jusqu’à 18h30 en semaine, 21h le samedi.
Or cela risque de poser un léger problème avec l’apparition du cinéma parlant (vous avez certainement entendu parler de la sortie fracassante du Chanteur de Jazz, il y a quelques jours)
Bien que je ne pense pas que les films parlant constituent l’avenir du cinéma (comment un spectateur pourrait il se concentrer sur du son en plus des images ??? Notre cerveau n’est pas fait pour cela, c’est du simple bon sens …) j’ai peur des effets devastateurs si on devait filmer Kara Iskandar à moitié ivre, déglutissant son patois de l’Oklahoma mixé avec les expressions slovénes qu’il avait apprises afin de se faire engager, il y a 7 ans …
Aussi j’aimerais vous faire parvenir les CV de plusieurs artistes prometteurs :
un exilé russe, Piotr Urialoff, fils d’une grande famille d’aristocrates ayant fuit la guerre civile en Union Soviétique et qui semble parfait pour incarner des personnages de science fiction.
J’aimerais également vous toucher deux mots d’une jeune recrue mexicaine, le célèbre « Moustachos » (de son petit nom Miguel Sanchez Ramirez Palpatine) qui a déjà fait fureur dans des cabarets de l’autre côté du Rio Grande.
Je pense également avoir trouvé un metteur en scéne sympathique, Jim « Griffon » Smith, bien que quelques unes de ses exigences puissent sembler doucement iconoclastes. J’ai ainsi cru comprendre qu’il refuse de tourner une scéne un jour de pluie et qu’il attache aux conditions atmosphériques une attention soutenue Ainsi pas de tournage en extérieur si nous dépassons les 1015 hectopascals (?)

La mise en place de cette nouvelle équipe permettrait d’insuffler un peu de sang frais dans nos productions, de varier les films et, surtout, d’envoyer Boudi-Bouda, Kara Iskandar et Georges A. Thrawn aux alcooliques anonymes sans que les studios ne soient obligés de fermer…
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- Calimero
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Re: AAR The Movies : une histoire sans fin
J'avais pas capté que j'était Georges Abitbol, le réalisateur le plus classe du monde!
Bac+2 les enfants...
Sans compter que j'ai tourné un premier film avec Palpat'

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Sans compter que j'ai tourné un premier film avec Palpat'
« Il est deux catégories de Français qui ne comprendront jamais l’histoire de France : ceux qui refusent de vibrer au souvenir du sacre de Reims ; ceux qui lisent sans émotion le récit de la fête de la Fédération. »
Marc Bloch
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- mad
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Re: AAR The Movies : une histoire sans fin
C'est vrai que j'avais oublié de préciser que GA équivalait à Georges Abitbol ... mais tout le monde aura d'office reconnu en toi l'homme le plus classe du monde !
(ça se voir surtout à la façon dont tu mastiques ton olive aprés avoir avalé ton perroquet baveux ...)

- Kara Iskandar
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Re: AAR The Movies : une histoire sans fin
Toujours aussi drôle !
Bon je vois que pour moi c'est le début de la gloire, je vais faire péter le box office ! enfin dès que je serais revenu de rehab comme dirait Amy

Bon je vois que pour moi c'est le début de la gloire, je vais faire péter le box office ! enfin dès que je serais revenu de rehab comme dirait Amy

"Je suis fasciné par l'air. Si on enlevait l'air du ciel, tous les oiseaux tomberaient par terre...Et les avions aussi...En même temps l'air tu peux pas le toucher...ça existe et ça existe pas...Ca nourrit l'homme sans qu'il ait faim...It's magic...L'air c'est un peu comme mon cerveau... "
Jean Claude VanDamme
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Re: AAR The Movies : une histoire sans fin
Urialoff ressemble beaucoup à son alias "IRL" 

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- Meilleur jeu 2008 : HOI2
- Meilleur jeu 2009 : Blood Bowl
- Meilleur jeu 2010 : Victoria II
- Meilleur jeu 2011 : Civ V
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Re: AAR The Movies : une histoire sans fin
ouaip faudrait teindre en noir les cheveux et avoir un plus gros nez et bien sur mon charisme en prime... mais la aucun ordi ne peut le dupliquer ! 

Patron du BIG, la chaine youtube qui vous veux du mal !
- mad
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Re: AAR The Movies : une histoire sans fin
Je ne veux pas dévoiler trop d'informations, mais Bill "the Griff" Smith est vraiment un gros boulet
Même les studios concurrents ne veulent pas m'aider à m'en débarasser

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Re: AAR The Movies : une histoire sans fin
Ah ben tiens, du coup, je vais réinstaller The Movies. Ca fait plusieurs fois que j'arrête la partie au moment où les cascades deviennent disponibles (avec l'extension) principalement parce que je n'ai plus de place sur mon terrain.
Faut sans doute bien penser l'architecture générale dès le début et ne pas hésiter à poubelliser les vieux décors, au bout d'un moment...
/Tgx
PS: c'est amusant les cascades quand on n'a pas -encore- de cascadeurs. Les acteurs traditionnels essayant de s'y adonner ont tendance à finir en morceaux assez régulièrement, on se croirait dans une simulation de foot...
Faut sans doute bien penser l'architecture générale dès le début et ne pas hésiter à poubelliser les vieux décors, au bout d'un moment...
/Tgx
PS: c'est amusant les cascades quand on n'a pas -encore- de cascadeurs. Les acteurs traditionnels essayant de s'y adonner ont tendance à finir en morceaux assez régulièrement, on se croirait dans une simulation de foot...

« il se rencontre aussi dans le cœur humain un goût dépravé pour l'égalité, qui porte les faibles à vouloir attirer les forts à leur niveau, et qui réduit les hommes à préférer l'égalité dans la servitude à l'inégalité dans la liberté »
(Alexis de Tocqueville, de la démocratie en Amérique)
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Re: AAR The Movies : une histoire sans fin
Oui alors non hein ! Je réclame des doublures pour les cascades ! Le Slovène de l'Oklahoma est douillet !



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Re: AAR The Movies : une histoire sans fin
on veut la suite !
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Re: AAR The Movies : une histoire sans fin
Ca vient, ça vient
Faut quand même que je joue aussi un peu au jeu avant de faire l'aar 
Pour les cascades, je ne pense pas arriver jusque là (en plus j'ai pas l'add-on). Les plus belles années des studios, ce sont les années 1910-1920 puis aprés c'est sympa jusqu'en 60/70, mais au delà ... trop industriel !


Pour les cascades, je ne pense pas arriver jusque là (en plus j'ai pas l'add-on). Les plus belles années des studios, ce sont les années 1910-1920 puis aprés c'est sympa jusqu'en 60/70, mais au delà ... trop industriel !
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- Calimero
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Re: AAR The Movies : une histoire sans fin
Les années 40/50 doivent être marrantes. J'espère qu'on peut fait plein de films patriotiques! 

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Marc Bloch
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