La suite (stellaire et rodoienne
Rodo Total War - pour l'Empereur !
- mad
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Re: Rodo Total War - pour l'Empereur !
Trop, beaucoup trop de travail
La suite (stellaire et rodoienne
) pas avant la mi novembre ... On ira tater de l'Anglais, j'espére 
La suite (stellaire et rodoienne
Re: Rodo Total War - pour l'Empereur !
Vraiment pas mal comme AAR.
S'il reste des postes à pourvoir dans l'infanterie de Sa Rodoité, je suis preneur.
S'il reste des postes à pourvoir dans l'infanterie de Sa Rodoité, je suis preneur.
« D'après une théorie, le jour où quelqu'un découvrira exactement à quoi sert l'Univers et pourquoi il est là, ledit Univers disparaîtra sur-le-champ pour se voir remplacé par quelque chose de considérablement plus bizarre et inexplicable.
Selon une autre théorie, la chose se serait en fait déjà produite. »
D. Adams
Selon une autre théorie, la chose se serait en fait déjà produite. »
D. Adams
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Re: Rodo Total War - pour l'Empereur !
C'est Aheuc qui est content.mad a écrit :Trop, beaucoup trop de travail![]()
« Et c’est parti ! (Поехали! [Poïekhali!]) »
https://fr.pobediteli.ru/
Un petit calcul, et on s’en va !
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- mad
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Re: Rodo Total War - pour l'Empereur !
Février 1808
La France continue le combat pour la gloire éternelle de Rodo !
Les différentes positions des armées sont approximativement celles-ci pour mémoire :

La Russie a quasi dépecé notre protectorat polonais, mais Rodo a laissé faire - lâcher Varsovie avait un prix pour le Russe, qui a accepté de faire la paix avec la France et même de signer une alliance militaire ! On se moque royalement d'avoir les Russes comme alliés, celà signifie surtout qu'il n'y aura pas de trahison immédiate du tsar et que nous avons la paix à l'Est, une chose bien rare depuis 4 ans... Transfuge prussien, on notera que le gouverneur général Herbert von Palpatine, aprés la destruction du royaume prussien, a proposé ses services au tsar Alexandre Ier. Il est actuellement quelque part à l'est des Balkans, intrigant pour que la Russie reprenne le contrôle de Constantinople au détriment des Ottomans, ainsi que de la Roumanie.
L'Autriche, elle, est réduite à l'extréme, avec 3 provinces et un avant-poste dans le Tyrol. Contrairement à la Russie, qui possède des troupes dit-on encore plus nombreuses que celles de la France, ce confettis d'Etat ne présente aucune menace dans l'immédiat. Rodo tolère les bisbilles entretenues entre l'Autriche et certains de nos Alliés comme la Baviére, cela dissuade ainsi le général Maximilien Reborn d'aller se plaindre auprés des Russes et de recommencer la guerre à l'est.
Le front est étant désormais calme, une grande partie des armées sur place ont pris le chemin de l'ouest : si Rodo sait que la paix viendra de la disparition du danger russe, dans l'immédiat sa survie tient à la destruction du potentiel anglais, notre seu let vrai ennemi depuis des siécles. Les armées de Rodo, Masséna et Murat sont actuellement en Allemagne, à destination des Flandres. Une fois que Ney aura écrasé l'insurrection batave, les armées feront leur jonction et pourront franchir le Channel pour mettre le pied en Angleterre.
La Royale, de fait, a également fait sa jonction en Atlantique. Si quelques avaries nécessitent actuellement des réparations à Brest, la flotte pourra reprendre ensuite sa route pour permettre aux armées françaises de mettre le pied en Albion. Rodo a d'ailleurs décidé de jouer son va-tout face aux Anglais : que la flotte résiste ou non face à Nelson, le temps gagné devrait permettre à la Grande Armée de faire la traversée. Nous vivrons s'il le faut sur la campagne anglaise, et nulle avancée ne sera stoppée avant que Londres ne soit entre les mains de Rodo.
Du potentiel militaire anglais, on sait finalement peu de choses. James Basileon Coelio et sir Peregrine Aheuc tiennent l'île d'une main de fer, et l'on a délégué l'un des plus jeunes généraux, Sir Leaz Marlborough, jusqu'en Espagne pour armer et fanatiser le pays face aux Français.
L'expédition d'Espagne, d'ailleurs, va mal. Le Colonel d'Ar de Sparfell, prince du Rocher, aprés avoir désobéi à ses ordres et abandonné une partie de ses troupes en Sicile pour reprendre la main à Barcelone, a du mal à dépasser les limites de la province : chaque jour, des avnat-postes français sont attaqués par des fanatiques catholiques qui nous considérent désormais comme l'Antéchrist, rien de moins. Les escarmouches ont été majoritairement remportées par les Français, mais d'autres exactions ont été commises en terre basque, sans que Rodo ne puisse trouver de nouvelles recrues pour colmater les brêches. Un Statu quo s'est installé, et tous désespèrent que le colonel d'Ar ne ressorte son sabre et se mette à courser les Espagnols, jusque dans la mort. On attend quelques maigres renforts depuis la France, dont le 184éme régiment d'infanterie du lieutenant Zek, mais pas encore la panacée : tout a été "mangé" par les offensives à l'est puis la croisade actuelle menée contre l'ANgleterre, et qui nécessite toujours plus de concentration d'hommes.
En Italie, là aussi le foyer de rebellion est important, depuis prés d'un an, et a occasionné la plus grande frustration côté français. Une premiére défaite dans les faubourgs de Rome a décimé les troupes de Davout. Sur ordre de Rodo, deux généraux experimentés ont été détachés depuis les terres polonaises. Jmlo commande désormais 60 piéces d'artillerie de 12 livres, soit le plus gros rassemblement d'artillerie des armées rodoiennes, tandis que le général Bebert Pontcarral a sous ses ordres une vingtaine de régiments de ligne.
Tout au sud de la péninsule italienne, l'expédition menée par le général Reygnier a viré à la catastrophe. Abandonné par le colonel d'Ar et ses séides, acculé face à Naples, ses forces ont été quasiment détruites. Ce sont les navires commerciaux français qui, en se sacrifiant, ont permis de débarquer quelques rescapés en Croatie. Les unités se sont ensuite malheureusement délité du fait de la maladie et du rude hiver qui frappe une grande partie de l'Europe. Un des survivants, le colonel Gaspard Sentenza, a eut comme mission de rallier Paris pour y reformer de nouvelles unités d'élite. Quelques jours plus tard, une patrouille a retrouvé le corps de son aide de camp au bord d'une route gelée. Nul n'a vu le colonel Sentenza dans les relais suivants où sont mis à dispositions des chevaux. bref à l'heure qu'il est, tout laisse penser que le colonel Sentenza est mort, tombé dans un ravin, pendu par des partisans serbes ou croates, ou au fond d'un lac aprés que la glace se soit effondrée sous son poids ... (HRP/ impossible de retrouver son unité qui était avant en Croatie, je me demande si le froid ne l'aurait pas tué au passage de tour sans que je m'en aperçoive, son unité était déjà, de mémoire, à un niveau extrémement bas aprés la branlée reçue en Italie)
La France continue le combat pour la gloire éternelle de Rodo !
Les différentes positions des armées sont approximativement celles-ci pour mémoire :

La Russie a quasi dépecé notre protectorat polonais, mais Rodo a laissé faire - lâcher Varsovie avait un prix pour le Russe, qui a accepté de faire la paix avec la France et même de signer une alliance militaire ! On se moque royalement d'avoir les Russes comme alliés, celà signifie surtout qu'il n'y aura pas de trahison immédiate du tsar et que nous avons la paix à l'Est, une chose bien rare depuis 4 ans... Transfuge prussien, on notera que le gouverneur général Herbert von Palpatine, aprés la destruction du royaume prussien, a proposé ses services au tsar Alexandre Ier. Il est actuellement quelque part à l'est des Balkans, intrigant pour que la Russie reprenne le contrôle de Constantinople au détriment des Ottomans, ainsi que de la Roumanie.
L'Autriche, elle, est réduite à l'extréme, avec 3 provinces et un avant-poste dans le Tyrol. Contrairement à la Russie, qui possède des troupes dit-on encore plus nombreuses que celles de la France, ce confettis d'Etat ne présente aucune menace dans l'immédiat. Rodo tolère les bisbilles entretenues entre l'Autriche et certains de nos Alliés comme la Baviére, cela dissuade ainsi le général Maximilien Reborn d'aller se plaindre auprés des Russes et de recommencer la guerre à l'est.
Le front est étant désormais calme, une grande partie des armées sur place ont pris le chemin de l'ouest : si Rodo sait que la paix viendra de la disparition du danger russe, dans l'immédiat sa survie tient à la destruction du potentiel anglais, notre seu let vrai ennemi depuis des siécles. Les armées de Rodo, Masséna et Murat sont actuellement en Allemagne, à destination des Flandres. Une fois que Ney aura écrasé l'insurrection batave, les armées feront leur jonction et pourront franchir le Channel pour mettre le pied en Angleterre.
La Royale, de fait, a également fait sa jonction en Atlantique. Si quelques avaries nécessitent actuellement des réparations à Brest, la flotte pourra reprendre ensuite sa route pour permettre aux armées françaises de mettre le pied en Albion. Rodo a d'ailleurs décidé de jouer son va-tout face aux Anglais : que la flotte résiste ou non face à Nelson, le temps gagné devrait permettre à la Grande Armée de faire la traversée. Nous vivrons s'il le faut sur la campagne anglaise, et nulle avancée ne sera stoppée avant que Londres ne soit entre les mains de Rodo.
Du potentiel militaire anglais, on sait finalement peu de choses. James Basileon Coelio et sir Peregrine Aheuc tiennent l'île d'une main de fer, et l'on a délégué l'un des plus jeunes généraux, Sir Leaz Marlborough, jusqu'en Espagne pour armer et fanatiser le pays face aux Français.
L'expédition d'Espagne, d'ailleurs, va mal. Le Colonel d'Ar de Sparfell, prince du Rocher, aprés avoir désobéi à ses ordres et abandonné une partie de ses troupes en Sicile pour reprendre la main à Barcelone, a du mal à dépasser les limites de la province : chaque jour, des avnat-postes français sont attaqués par des fanatiques catholiques qui nous considérent désormais comme l'Antéchrist, rien de moins. Les escarmouches ont été majoritairement remportées par les Français, mais d'autres exactions ont été commises en terre basque, sans que Rodo ne puisse trouver de nouvelles recrues pour colmater les brêches. Un Statu quo s'est installé, et tous désespèrent que le colonel d'Ar ne ressorte son sabre et se mette à courser les Espagnols, jusque dans la mort. On attend quelques maigres renforts depuis la France, dont le 184éme régiment d'infanterie du lieutenant Zek, mais pas encore la panacée : tout a été "mangé" par les offensives à l'est puis la croisade actuelle menée contre l'ANgleterre, et qui nécessite toujours plus de concentration d'hommes.
En Italie, là aussi le foyer de rebellion est important, depuis prés d'un an, et a occasionné la plus grande frustration côté français. Une premiére défaite dans les faubourgs de Rome a décimé les troupes de Davout. Sur ordre de Rodo, deux généraux experimentés ont été détachés depuis les terres polonaises. Jmlo commande désormais 60 piéces d'artillerie de 12 livres, soit le plus gros rassemblement d'artillerie des armées rodoiennes, tandis que le général Bebert Pontcarral a sous ses ordres une vingtaine de régiments de ligne.
Tout au sud de la péninsule italienne, l'expédition menée par le général Reygnier a viré à la catastrophe. Abandonné par le colonel d'Ar et ses séides, acculé face à Naples, ses forces ont été quasiment détruites. Ce sont les navires commerciaux français qui, en se sacrifiant, ont permis de débarquer quelques rescapés en Croatie. Les unités se sont ensuite malheureusement délité du fait de la maladie et du rude hiver qui frappe une grande partie de l'Europe. Un des survivants, le colonel Gaspard Sentenza, a eut comme mission de rallier Paris pour y reformer de nouvelles unités d'élite. Quelques jours plus tard, une patrouille a retrouvé le corps de son aide de camp au bord d'une route gelée. Nul n'a vu le colonel Sentenza dans les relais suivants où sont mis à dispositions des chevaux. bref à l'heure qu'il est, tout laisse penser que le colonel Sentenza est mort, tombé dans un ravin, pendu par des partisans serbes ou croates, ou au fond d'un lac aprés que la glace se soit effondrée sous son poids ... (HRP/ impossible de retrouver son unité qui était avant en Croatie, je me demande si le froid ne l'aurait pas tué au passage de tour sans que je m'en aperçoive, son unité était déjà, de mémoire, à un niveau extrémement bas aprés la branlée reçue en Italie)
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Re: Rodo Total War - pour l'Empereur !
Première avancée intéressante en Italie, l'apport d'expérience des généraux Bebert et Jmlo semble pouvoir permettre de faire sauter le verrou constitué par le Vatican.

Dieu est avec le Vatican dit-on, mais les armes sont définitivement du côté des Français !
Le général Jmlo tente la concentration d'artillerie qu'il avait déjà apprise auprés du général de brogade Boudi, en Autriche et en Pologne. 60 piéces qui tonnent au même instant, quand elles sont bien situées, permettent d'ecraser n'importe quelle position adverse en très peu de temps.

Tout un flanc gauche canonne à tout va, tandis que le flanc droit s'élance, les fantassins de Bebert Pontcaral brisant les défenses romaines avant que la cavalerie ne les enveloppe et les détruise rapidement. Alors même que le soleil se couche pour ne pas assister à la défaite des soldats de Dieu, les troupes les plus avancées entrent dans la capitale, les chevaux foulant du sabot le sol millénaire du Forum.

La cité du Vatican est rapidement vaincue, on en vient à se demander comment 6 mois plus tôt on avait pu essuyer, au même endroit, une telle défaite. On cherche le Pape, les rumeurs les plus folles court - il serait à bord d'une goélette à destination de Londres ! Il se serait suicidé ! Il errerait quelque part sur le forum, vétu seulement de sandales et de sa mitre !
Ce sont les hommes de Pontcaral qui le retrouvent, dans ses appartements du Quirinal. On l'emmène jusqu'au camp du général français, réputé pour son passé de chanoine avant d'avoir endossé les habits de la Révolution. L'homme gémit, se rue en tout sens et, arrivant à déstabiliser un de ses gardiens, se jette dans le Tibre. Ce 26 février 1808, le pontificat du Pape Pie VII s'arrête d'une bien curieuse manière.
On va devoir réunir le conclave, les Français insistent pour que, contrairement à la précédente fois, il ait bien lieu à Rome, sous leur juridiction. Certains evéques s'étonnent, comment voter sereinement quand les troupes françaises tiennent la ville, les hommes, et donc le conclave ? Un pape arrêté sous le Directoire, un autre décédé sous l'Empire, il va falloir trouver un candidat qui ne soit pas trop en bute avec les Français ... On cherche, on suppute, on ose même : Quoi, Bébert 1er, vraiment ?

Bebert 1er présentant le Saint Livre ou "Gros Livre Rouge", le Code Civil, à ses ouailles

Dieu est avec le Vatican dit-on, mais les armes sont définitivement du côté des Français !
Le général Jmlo tente la concentration d'artillerie qu'il avait déjà apprise auprés du général de brogade Boudi, en Autriche et en Pologne. 60 piéces qui tonnent au même instant, quand elles sont bien situées, permettent d'ecraser n'importe quelle position adverse en très peu de temps.

Tout un flanc gauche canonne à tout va, tandis que le flanc droit s'élance, les fantassins de Bebert Pontcaral brisant les défenses romaines avant que la cavalerie ne les enveloppe et les détruise rapidement. Alors même que le soleil se couche pour ne pas assister à la défaite des soldats de Dieu, les troupes les plus avancées entrent dans la capitale, les chevaux foulant du sabot le sol millénaire du Forum.

La cité du Vatican est rapidement vaincue, on en vient à se demander comment 6 mois plus tôt on avait pu essuyer, au même endroit, une telle défaite. On cherche le Pape, les rumeurs les plus folles court - il serait à bord d'une goélette à destination de Londres ! Il se serait suicidé ! Il errerait quelque part sur le forum, vétu seulement de sandales et de sa mitre !
Ce sont les hommes de Pontcaral qui le retrouvent, dans ses appartements du Quirinal. On l'emmène jusqu'au camp du général français, réputé pour son passé de chanoine avant d'avoir endossé les habits de la Révolution. L'homme gémit, se rue en tout sens et, arrivant à déstabiliser un de ses gardiens, se jette dans le Tibre. Ce 26 février 1808, le pontificat du Pape Pie VII s'arrête d'une bien curieuse manière.
On va devoir réunir le conclave, les Français insistent pour que, contrairement à la précédente fois, il ait bien lieu à Rome, sous leur juridiction. Certains evéques s'étonnent, comment voter sereinement quand les troupes françaises tiennent la ville, les hommes, et donc le conclave ? Un pape arrêté sous le Directoire, un autre décédé sous l'Empire, il va falloir trouver un candidat qui ne soit pas trop en bute avec les Français ... On cherche, on suppute, on ose même : Quoi, Bébert 1er, vraiment ?

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Re: Rodo Total War - pour l'Empereur !
Tu risques de facher la faction geek de l'empire
« Il est deux catégories de Français qui ne comprendront jamais l’histoire de France : ceux qui refusent de vibrer au souvenir du sacre de Reims ; ceux qui lisent sans émotion le récit de la fête de la Fédération. »
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Re: Rodo Total War - pour l'Empereur !
La première décision de bébert 1er sera donc de rétablir l'inquisition, la seconde de nommer 300 cardinaux français, et la troisième sera de lancer le procès en béatification de Savonarole 
« Je viens en paix, mais si vous me baisez, je vous tuerai tous »
Gal Mattis - (futur) secrétaire à la défense du (futur) Président des Etas Unis d'Amérique Donald Trump
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Re: Rodo Total War - pour l'Empereur !
Vive la Royal ! Sus à l'anglois moussaillons !
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Re: Rodo Total War - pour l'Empereur !
Navré de te reprendre, mad, mais il ne s'agit pas du Vatican, mais des états pontificaux, qui couvraient une partie de l'Italie, en particulier le centre, dont le pape était le souverain.mad a écrit :Première avancée intéressante en Italie, l'apport d'expérience des généraux Bebert et Jmlo semble pouvoir permettre de faire sauter le verrou constitué par le Vatican.
Le Vatican est un confetti issu des accords de 1929.
Ce sont les événements qui commandent aux hommes et non les hommes aux événements.
Hérodote
Rien n'arrête le progrès. Il s'arrête tout seul.
Alexandre Vialatte
L'historien ne va pas à reculons, mais il a un rétroviseur.
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Re: Rodo Total War - pour l'Empereur !
Vu l'humiliation que Mad Rodo m'as fait subir je quitte ce triste sir et je me met au service de l’Empereur russe 
Reste à avoir bon cœur et ne s'étonner de rien (Henri II)
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Re: Rodo Total War - pour l'Empereur !
Effectivement État pontifical, j'ai fais un raccourci rapide (Vatican étant plus facile à taper que Etat pontifical, j'entendais bien sur l'Etat, mais aussi les limites géographiques à l'interieur même de Rome)Otto Granpieds a écrit :Navré de te reprendre, mad, mais il ne s'agit pas du Vatican, mais des états pontificaux, qui couvraient une partie de l'Italie, en particulier le centre, dont le pape était le souverain.mad a écrit :Première avancée intéressante en Italie, l'apport d'expérience des généraux Bebert et Jmlo semble pouvoir permettre de faire sauter le verrou constitué par le Vatican.
Le Vatican est un confetti issu des accords de 1929.
Alors que tu as toute cette artillerie sous ton commandement ? Que j'envisage d'y adjoindre des Howitzers et autres mortiers capables de faire rougir d'envie un teuton au corps huilé ? Realy ?jmlo a écrit :Vu l'humiliation que Mad Rodo m'as fait subir je quitte ce triste sir et je me met au service de l’Empereur russe
- jmlo
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Re: Rodo Total War - pour l'Empereur !
Alexandre met à ma disposition 60 orgues de Romanovmad a écrit : Alors que tu as toute cette artillerie sous ton commandement ? Que j'envisage d'y adjoindre des Howitzers et autres mortiers capables de faire rougir d'envie un teuton au corps huilé ? Realy ?
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Re: Rodo Total War - pour l'Empereur !
Avril 1808
Le Tsar Alexandre envoie des émissaires aurpés de Rodo. Son but, assez simple : couper l'Europe en deux. Il ne se souciera pas de ce que nous ferons à l'ouest, tant que l'on ne s’intéresse pas à l'est.

La proposition aurait fait bondir tout officier, puisque la France avait donné sa parole de protéger le duché de Varsovie de tout ennemi, à commencer par les Russes. Une fois, déjà, cette parole avait été trahie, et Rodo avait laissé la Pologne seule face à l'ogre russe. Mais de là à abandonner définitivement le Duché et en faire un cadeau à Alexandre ?
A Varsovie, le Prince Chazam, qui a eut vent de la demande russe, se rassure. La France ne laissera pas faire, Rodo a rétablit le pays, ce n'est pas pour le lacher aux lions ! résister encore un mois maximum et les Français seront là, ils abandonneront leur pacte nocif avec les Russes et reprendront ;la guerre à l'est !
Mais la Pologne est seule, désormais. On apprend un matin que les derniers officiels français quittent Varsovie, ayant accepté les conditions russes. La Pologne n'est plus protegée par Rodo, qui préfére accepter l'ultimatum russe afin de préserver ses chances à l'ouest - et détruire l'Angleterre. La Prince Chazam s'indigne, il fait mander son cousin à Paris, mais l'homme ne dépasse pas la frontiére - aprés avoir étudié son sauf-conduit, les soldats le jettent à terre et emportent son cheval. Qu'il rentre à Varsovie à pied ou à mongolfiére, peut importe, mais qu'il ne rentre pas en territoire français !
Fin mars, aprés avoir détruit les derniéres troupes qui défendaient 'laccés à la capitale, les Russes entrent à Varsovie. Le Prince Chazam, maudissant la France pour sa lâcheté, se défenestre, ne voulant pas entrer dans l'Histoire comme l'homme qui avait fait renaitre puis disparaitre la Pologne dans la même année.
En Italie, alors que les forces napolitaines se scindent en plusieurs armées afin de prendre le contrôle de la campagne romaine, Davout évite les armées secondaires ennemies et tombe sur la force principale défendant la ville de Naples.

En nette inferiorité numérique, les jeux semblent faits pour les Napolitains. Le général Jmlo, toisant le champ de bataille et les troupes italiennes mal vétues, décrete qu'il ne sortira pas son artillerie face à un tel adversaire. Une cantiniére s'esclaffe, le général est réputé pour sortir son artillerie dans à peu prés tous les bistrots mal famés d'Italie, depuis son arrivée des terres à l'est.
Davout ordonne l'attaque, sans se soucier du coup d’éclat de Jmlo. On se passera de ses canons, c'est le fusil français qui gagne une bataille, et le sabre, à défaut d'un canon !
Mais la journée s'avère désastreuse. Les Italiens reculent sans cesse, amenant les Français jusqu'au pied des habitations, toutes les ouvertures se hérissent soudainement de fusils et mitraillent les Français. Et on doit apsser à la maison suivante...

Au bout de plusieurs heures, ce sont 15 régiments français qui se sont proprement délités. On supplie Jmlo de sortir ses canons, mais il refuse : "Ah on s'est bien moqué de mon cousin et de la tartiflette, hein ! Mais aujourd'hui je suis en veine, je serais bien capable d'éradiquer le camp français par erreur !"
On ne prend pas donc pas le risque, et on envoie toutes les troupes françaises sur le terrain. Enfin, aprés avoir perdu la plupart des bastions, les derniers soldats napolitains sont pris à revers.

S'en est fini de Naples, la ville s'ouvre aux vainqueurs français. Mais quelle victoire ...

La moitié d'une armée décimée alors qu'elle supplantait numériquement et qualitativement son adversaire. Mais les Italiens se battaient pour leur nation, constatant les ravages français en Italie. la flotte napolitaine en Adriatique se saborde, pour ne pas tomber entre nos mains. L’Italie est pacifiée, en théorie - de premières émeutes éclatent à Rome, déjà.
Le Pape Bébert 1er semble être un peu trop porté sur la bouteille, lançant des bulles papales et des excommunications vengeresses. Des soldats défilent dans les universités italiennes, brûlant la plupart des fascicules des étudiants car en total désaccord avec la juste parole papale. C'est ensuite les notaires romains qui sont mis à l'amende, accusés de s'être enrichis au dépend de l'Eglise. La colére monte, une semaine de guerre larvée débouche sur une violente nuit d'émeute, non seulement à Rome mais aussi à Naples, et remontant jusqu'à Milan. 2000 soldats français (!!!) sont massacrés à Rome tandis que le Pape répugne à reconstruire ce qui a été détruit : on leur donne la main, et ils veulent le bras !
Mais tout cela, Rodo ne s'en soucie guerre. Il est bientôt dans les Flandres, avec Masséna et Murat sur ses arriéres, tandis que Ney et Bessiéres ont mis le siége devant Amsterdam. Ses forces seront bientôte jointes et, surtout, les navires français, pour la première fois en 8 ans, viennent d'entrer dans la Manche.
Le Tsar Alexandre envoie des émissaires aurpés de Rodo. Son but, assez simple : couper l'Europe en deux. Il ne se souciera pas de ce que nous ferons à l'ouest, tant que l'on ne s’intéresse pas à l'est.

La proposition aurait fait bondir tout officier, puisque la France avait donné sa parole de protéger le duché de Varsovie de tout ennemi, à commencer par les Russes. Une fois, déjà, cette parole avait été trahie, et Rodo avait laissé la Pologne seule face à l'ogre russe. Mais de là à abandonner définitivement le Duché et en faire un cadeau à Alexandre ?
A Varsovie, le Prince Chazam, qui a eut vent de la demande russe, se rassure. La France ne laissera pas faire, Rodo a rétablit le pays, ce n'est pas pour le lacher aux lions ! résister encore un mois maximum et les Français seront là, ils abandonneront leur pacte nocif avec les Russes et reprendront ;la guerre à l'est !
Mais la Pologne est seule, désormais. On apprend un matin que les derniers officiels français quittent Varsovie, ayant accepté les conditions russes. La Pologne n'est plus protegée par Rodo, qui préfére accepter l'ultimatum russe afin de préserver ses chances à l'ouest - et détruire l'Angleterre. La Prince Chazam s'indigne, il fait mander son cousin à Paris, mais l'homme ne dépasse pas la frontiére - aprés avoir étudié son sauf-conduit, les soldats le jettent à terre et emportent son cheval. Qu'il rentre à Varsovie à pied ou à mongolfiére, peut importe, mais qu'il ne rentre pas en territoire français !
Fin mars, aprés avoir détruit les derniéres troupes qui défendaient 'laccés à la capitale, les Russes entrent à Varsovie. Le Prince Chazam, maudissant la France pour sa lâcheté, se défenestre, ne voulant pas entrer dans l'Histoire comme l'homme qui avait fait renaitre puis disparaitre la Pologne dans la même année.
En Italie, alors que les forces napolitaines se scindent en plusieurs armées afin de prendre le contrôle de la campagne romaine, Davout évite les armées secondaires ennemies et tombe sur la force principale défendant la ville de Naples.

En nette inferiorité numérique, les jeux semblent faits pour les Napolitains. Le général Jmlo, toisant le champ de bataille et les troupes italiennes mal vétues, décrete qu'il ne sortira pas son artillerie face à un tel adversaire. Une cantiniére s'esclaffe, le général est réputé pour sortir son artillerie dans à peu prés tous les bistrots mal famés d'Italie, depuis son arrivée des terres à l'est.
Davout ordonne l'attaque, sans se soucier du coup d’éclat de Jmlo. On se passera de ses canons, c'est le fusil français qui gagne une bataille, et le sabre, à défaut d'un canon !
Mais la journée s'avère désastreuse. Les Italiens reculent sans cesse, amenant les Français jusqu'au pied des habitations, toutes les ouvertures se hérissent soudainement de fusils et mitraillent les Français. Et on doit apsser à la maison suivante...

Au bout de plusieurs heures, ce sont 15 régiments français qui se sont proprement délités. On supplie Jmlo de sortir ses canons, mais il refuse : "Ah on s'est bien moqué de mon cousin et de la tartiflette, hein ! Mais aujourd'hui je suis en veine, je serais bien capable d'éradiquer le camp français par erreur !"
On ne prend pas donc pas le risque, et on envoie toutes les troupes françaises sur le terrain. Enfin, aprés avoir perdu la plupart des bastions, les derniers soldats napolitains sont pris à revers.

S'en est fini de Naples, la ville s'ouvre aux vainqueurs français. Mais quelle victoire ...

La moitié d'une armée décimée alors qu'elle supplantait numériquement et qualitativement son adversaire. Mais les Italiens se battaient pour leur nation, constatant les ravages français en Italie. la flotte napolitaine en Adriatique se saborde, pour ne pas tomber entre nos mains. L’Italie est pacifiée, en théorie - de premières émeutes éclatent à Rome, déjà.
Le Pape Bébert 1er semble être un peu trop porté sur la bouteille, lançant des bulles papales et des excommunications vengeresses. Des soldats défilent dans les universités italiennes, brûlant la plupart des fascicules des étudiants car en total désaccord avec la juste parole papale. C'est ensuite les notaires romains qui sont mis à l'amende, accusés de s'être enrichis au dépend de l'Eglise. La colére monte, une semaine de guerre larvée débouche sur une violente nuit d'émeute, non seulement à Rome mais aussi à Naples, et remontant jusqu'à Milan. 2000 soldats français (!!!) sont massacrés à Rome tandis que le Pape répugne à reconstruire ce qui a été détruit : on leur donne la main, et ils veulent le bras !
Mais tout cela, Rodo ne s'en soucie guerre. Il est bientôt dans les Flandres, avec Masséna et Murat sur ses arriéres, tandis que Ney et Bessiéres ont mis le siége devant Amsterdam. Ses forces seront bientôte jointes et, surtout, les navires français, pour la première fois en 8 ans, viennent d'entrer dans la Manche.
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Lunarc
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Re: Rodo Total War - pour l'Empereur !
J'adore cet AAR!
Arrêté pour quelle raison?
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- Boudi
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Re: Rodo Total War - pour l'Empereur !
Avec des screens toujours présents 3 ans après. 
« Et c’est parti ! (Поехали! [Poïekhali!]) »
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Un petit calcul, et on s’en va !
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