04 novembre, dernière semaine de boue. Nos troupes sont toujours réduites à des valeurs offensives dérisoires, aussi nous devons mettre le paquet pour détruire les 2 divisions Panzers enfermées à Vinnistsa :
Ordre de bataille pour la liquidation des derniers Panzers
On remarquera que plus aucune cohérence au niveau de l’armée n'est respectée, pire, ni même au niveau du Front. Point de finesse, on compte juste sur l'impact brutal.
Coupées de leurs arrières depuis plusieurs semaines, et face à la furie déchaînée, les tankistes à croix noires n'offrent qu'une résistance symbolique.
Les panzerschützen se rendent
Les pertes allemandes :
Nous avons réussi à accumuler pas mal de points administratifs, aussi nous opérons des changements à la tête du 2ème Front Ukrainien et de trois armées :
Boudienny laisse sa place à Rokossovsky :
Sukhomlin à Rodin :
Morozov à Zhadov :
Et Pshennikov à Belov :
Les fronts au 18 novembre 1943 :
Moitié Nord, on l'on aperçoit Riga, Kaunas, Vilnius, Minsk (presque dépassée), Brest Litovsk :
Moitié sud, avec Rovno, Tarnapol, Proskurov, Kichinev (Chișinău, Moldavie) et Odessa.
, encore que la jurisprudence wstein impose la prudence, voir son AAR où la prise de Berlin semble impossible, corroborée par ma propre situation à Leningrad. Non ici je répondais certes à Azerty mais aussi à l'interrogation de Griffon concernant Ploesti et 1943, sous la forme : "A l'impossible, nul n'est tenu".
