Mille malheurs !
La perte de Cosmao-Kerjulien n'est qu'un détail. A ne pas vouloir boire, voila ce qui arrive. Moi au moins, avec les litres de chouchen ingurgité, j'ai pu éteindre le feu de l'Orient en pissant dessus.
Qu'on me renvoie à Gibraltar avec une cargaison complète de spiritueux et j'arroserais de tout mon feu ces moules à gaufres !
Pour être sérieux, dans quel état se trouve la Royale à ce moment de la partie ?
Kara Iskandar a écrit :Sombres perspectives...mais s'il y'a bien un homme qui peut nous sortir de ce pétrin c'est Rodo !
Je me donnais 90% de chances, maintenant je m'en donne ... allez ... 60 (ce n'est qu'une ia en face ... face à un humain, dans une telle situation, ce serait foutu je pense)
warsaw bucher a écrit :Mille malheurs !
La perte de Cosmao-Kerjulien n'est qu'un détail. A ne pas vouloir boire, voila ce qui arrive. Moi au moins, avec les litres de chouchen ingurgité, j'ai pu éteindre le feu de l'Orient en pissant dessus.
Qu'on me renvoie à Gibraltar avec une cargaison complète de spiritueux et j'arroserais de tout mon feu ces moules à gaufres !
Pour être sérieux, dans quel état se trouve la Royale à ce moment de la partie ?
Je n'ai perdu "que" 2 navires, même si c'est du lourd ( pas loin de 3.000 en or et 10 tours de production pour chaque navire ... plus les 2000 de l'amiral ... à comparer avec le solde que j'ai désormais à chaque tour )
Villeneuve est en Méditeranée avec sa flotte de 13 bateaux (dont 6 ou 7 trés gros navires), la flotte atlantique qui s'est faite coulée était l'avant garde des renforts que je ramenais depuis Brest et Nantes. Il me reste 3 gros navires dans l'Atlantique, plus 3 autres en création (et pour l'instant c'est tout)
La bonne 10aine de navires marchands que j'ai perdu m'a fait trés, trés mal Jusque là je n'avais pas trop fait attention au fait que mon budget (positif) reposait pour beaucoup sur le commerce maritime. Il faut désormais que je sécurise la Méditerranée (ça veut donc dire liquider la flotte espagnole, en partie amochée, mais toujours solide, et surtout la flotte napolitaine, qui m'a lair assez flippante ...) pour réinvestir dans le commerce. Mes projets de débarquement éventuel en Angleterre (et de liquider la flotte anglaise avant ça) sont pour l'instant renvoyé aux calendes grecques.
A moins que je ne prenne Naples, qui en abdiquant fera aussitôt disparaitre sa flotte, ce qui serait plutôt intéressant (mais pas trés role play, donc j'écarte cette idée)
Attaquer, encore attaquer et toujours attaquer et la les flottes ennemies seront coulées ! Envoi donc ton fier capitaine avec une poignée de brave marin châtier les Napolitains !
Surtout sans que les soviétiques ne les envahissent.... C'est à despérer.
"Cuius testiculous habes, habeas cardia et cerebellum"
Quand vous avez leur pleine attention , le coeur et l'esprit suivent.
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L'été n'est pas qu'une époque de l'année. L'été est un être animé qui aime descendre passer l'hiver dans le Sud.
si la tu comptes reprendre l'aar un jour et que la partie n'est pas finie Manix simple sergent d'infanterie de ligne ne demandant qu'a monté en grade ou a mourir pour l'empereur s'engage!!!!!
" Nul n'est prophète en son pays"
" Or-Azur toujours assure"
Manix a écrit :si la tu comptes reprendre l'aar un jour et que la partie n'est pas finie Manix simple sergent d'infanterie de ligne ne demandant qu'a monté en grade ou a mourir pour l'empereur s'engage!!!!!
Parfait, il y a toujours besoin d'infanterie de ligne
En juillet pour la suite, pas avant, en revanche ... j'ai eu une petite overdose de Napoleoneries, mais le gout va vite me revenir quand je serais en vacances
Les dangers sont multiples pour les troupes de l’empereur Rodo : incursions espagnoles au-delà des Pyrénées, déclaration de guerre de la Russie, changement d’alliance de la république Batave qui bascule du côté anglais, échec français pour soumettre le Vatican et défaite de Davout aux portes de Rome, troupes isolées dans le royaume fantoche des deux-Siciles, défection d’une partie de l’armée d’Ar Sparfell, « prince du Rocher », retourné en vadrouille on ne sait-ou pour taper de l’Espagnol et consolider son faible royaume…
Il faut donc en finir avec la Prusse, avant de se retourner sur les autres adversaires – c’est dans ce secteur que l’armée française, forte de plus de 50.000 hommes contre les restes de l’armée prussienne, peut forcer la décision au terme d’une campagne de prés de 3 ans…
Rodo, qui lorgne sur Danzig, envoie Masséna en éclaireur et masse ses propres troupes un peu plus loin. 80 lieues plus à l’est, Murat a, lui, décidé du terrain : ce sera Friedland…
La victoire de Friedland est totale, exemple de parfaite coordination entre l’infanterie du centre commandée par le général Gladiatt et la cavalerie dirigée par le général Maximus. La faible cavalerie prussienne est anéantie dés les premiers échanges et l’infanterie forme deux goulets dans lesquels vient s’enferrer la masse prussienne. L’infanterie se rabat des 2 côtés et chaque nasse est fermée hermétiquement par la cavalerie qui surgit par l’arrière. A la catastrophe côté prussien et la chute de la Prusse orientale, s’ajoute la mort du major von Clausewitz. Dans sa tente, on retrouve quelques pages griffonnées que les grognards français récupèrent afin d’user de l’envers pour leur courrier aux familles. Une lavandiére récupère la page de garde, barrée d’un grand « de la guerre » Trop tachée, la page finira le soir dans un brasier.
Plus à l’ouest, l’avant-garde de Masséna se heurte à 25.000 soldats prussiens sortis de Danzig. Les ordres de Rodo sont de tenir le plus longtemps, il est fait selon ses ordres. Au bout d’une journée de combat, Masséna doit battre en retraite, avec prés de 50% de pertes dans ses effectifs.
Le premier régiment d’infanterie de ligne a particulièrement souffert, on ne compte plus qu’un homme sur cinq debout. Le colonel Lionel est touché en début d’après-midi par les éclats d’un boulet, son ordonnance meurt sur le coup. On emporte l’homme un peu à l’écart, et on fait venir le chirurgien–major Superchaussette. Une jambe a été arrachée au niveau du tibia lors de la déflagration, quand à l’autre, les muscles ont été arrachés et seuls quelques tendons maintiennent encore péniblement le pied. Double amputation effectuée des mains même du major, tandis que certains s’écrient : « il ne tiendra pas le choc ! »
Mais le colonel Lionel survit au choc et à la perte de sang. C’est la fièvre qui l’emporte dans la nuit, alors qu’on hésitait encore à le bouger. Cette nuit là, ils seront des centaines de Français à agoniser sur des ballots de paille, dans la boue creusée par les cratéres d’obus, ou alors à quelques mètres de leurs camarades, un peu à l'écart, un infirmier ayant constaté une blessure inopérable.
Côté prussien, on tente de se soigner durant la nuit : la victoire sur les Français a couté cher, très cher : prés de 10.000 pertes, et ce n’était qu’une force secondaire, Rodo doit être 40km plus au sud …
Au petit matin, la troupe prussienne reprend son chemin pour Dantzig, quand soudain Rodo s’immisce comme un coin entre elle et la place-forte : les troupes n’ont cessé d’avancer sans prendre aucun repos, afin de bloquer toute retraite de l’ennemie. Deuxième combat en 2 jours pour les Prussiens, dont le moral s’effondre au bout de trois petites heures. La colonne prussienne est anéantie et Rodo peut envoyer un millier d’hommes s’emparer de Dantzig, non défendue.
La campagne de Prusse trouve enfin son terme avec la disparition d’une nation que Rodo avait tant voulu favoriser, mais qui crû bon s’opposer aux desseins français. On rattache les territoires au Duché de Varsovie, permettant ainsi la mise en place d’un territoire tampon entre Français et Russes.
On compte de nombreux prisonniers de marque, mais force est de constater que l'un des plus grands adversaires de la Révolution est absent : Le général Herbert von Palpatine a certainement dû proposer ses services à l'Autriche, la Russie ou l'Angleterre.
En Italie, Davout parvient presque miraculeusement à rejoindre Venise. Les ordres sont clairs : retrouver un semblant d’unité, puis marcher sur Milan et y rejoindre les troupes fraiches envoyées depuis Marseille et qui sont établies à proximité de la cité ennemie. La guerre contre le Pape ? Ce sera pour plus tard, si les troupes ne sont pas envoyées sur un autre secteur européen…
Avec son armée, Ney quitte Berlin et marche plein ouest en direction des unités bataves. Ces dernières, conseillées par des attachés militaires anglais, s’enfuient à la vue des colonnes françaises : il n’est pas encore temps pour elles de mourir quand bien même les sommes versées par l’Anglais sont conséquentes.
L’Anglais, toujours lui, continue d’arroser l’Espagne de son argent. Deux nouveaux comptoirs français sont détruits par l’Armada en Méditerranée tandis que les navires français qui sont capturés sont conduits dans la baie de Cadix. Démâtés, ils augurent de ce que seront les pontons pour les prisonniers de l'armée de Rodo…
L’Amiral Villeneuve, lui, continue à faire des ronds dans l'eau, cherchant désespérément à intercepter les flottes espagnoles, anglaises ou napolitaines. Sans rencontrer une seule des trois ...
Modifié en dernier par mad le lun. août 27, 2012 10:46 pm, modifié 1 fois.
Le Prussien hors jeu, l'empire va pouvoir souffler...un peu. Quant à l'anglois, il ne perd rien pour attendre.
"Je suis fasciné par l'air. Si on enlevait l'air du ciel, tous les oiseaux tomberaient par terre...Et les avions aussi...En même temps l'air tu peux pas le toucher...ça existe et ça existe pas...Ca nourrit l'homme sans qu'il ait faim...It's magic...L'air c'est un peu comme mon cerveau... "
Jean Claude VanDamme
Ces vidéos! j'en suis toujours autant abasourdi par leur beauté!!!
J'était debout sur ma chaise pret à charger le sabre au clair!!!!!!! quand j'ai vu mes collègues me regarder un peu bizarrement
Ne peux tu pas acheter la paix espagnole en vendant le rocher de toute facons perdu? car la perte de tes comptoir va faire un gros trou dans ton budget d'autant plus que la méditérranée devient dangeureuse....
Maximus a écrit :Ces vidéos! j'en suis toujours autant abasourdi par leur beauté!!!
J'était debout sur ma chaise pret à charger le sabre au clair!!!!!!! quand j'ai vu mes collègues me regarder un peu bizarrement
Ne peux tu pas acheter la paix espagnole en vendant le rocher de toute facons perdu? car la perte de tes comptoir va faire un gros trou dans ton budget d'autant plus que la méditérranée devient dangeureuse....
Bon, pour l'Espagne, même si je n'ai pas bien compris pourquoi elle a soudainement laché toutes ses alliances et déclaré la guerre à la France (encore la faute des Anglais ), maintenant que le vin est tiré ... Le message n'est pas encore parvenu jusqu'au Pyrénées, mais Rodo a fait déposer Charles IV et Ferdinand VII pour donner la couronne madriléne à son beau-frére, Mr d'Aspar (dit le prince du Rocher) Et si bien entendu celui -ci se voyait oter son titre de Gibraltar, il serait capable de se vendre à l'ennemi avec toutes ses troupes actuellement embarquées (d'ailleurs pour info ce dernier se trouve quelque part au large des Baléares, à essayer d'éviter les navires ennemis depuis plusieurs semaines )
Et surtout ce serait un poil "gamey" : vu la faiblesse de l'IA, avec ou sans l'Espagne, ça devrait passer ... en fait tout dépend de l'attitude de l'Autriche, si elle entre à nouveau en guerre, les hordes russes (pour l'instant bloquées géographiquement par l'Autriche au sud, et le duché de Pologne au nord) devraient débouler, ce qui donnerait également plus de challenge dans cette partie.
Pour l'instant avec la perte des différents comptoirs, les pertes en navires commerciaux, etc. j'ai un budget quasi-équilibré (1000 en bénéfice chaque tour, contre 15.000 auparavant) et je me "paie" en pillant les villes que je récupère (avant de les léguer aux Polonais )
A priori si Villeuve arrive enfin à mettre un terme à ces raids en Méditerranée, l'argent recoulera à flot.
Du coup j'en viens à espérer qu'il reste toujours aussi peu efficace
J'ai toujours un regret par rapport au moment ou j'ai installé ce mod, j'ai oublié lors de la derniére version d'activer la partie "guerilla d'Espagne" ... qui aurait divisé le pays en une 15aine de provinces et permis, peut-etre, d'en faire le tombeau de l'armée française. Une occasion raté niveau challenge
La victoire de Friedland est totale, exemple de parfaite coordination entre l’infanterie du centre commandée par le colonel Gladiatt
et la cavalerie dirigée par le général Maximus. La faible cavalerie prussienne est anéantie dés les premiers échanges et l’infanterie forme deux goulets dans lesquels vient s’enferrer la masse prussienne.
...
j'aime toujours autant cet AAR, par contre j'ai été dégradé . La dernière fois j'étais général de Brigade. Sans doute un probleme avec mes diplomes: une "bete" maitrise plutot qu'un Master .