Le Quartier Général

Le Royaume de Macédoine est un petit etat au nord de la Grèce. C'est d'ici, de notre capitale Pellas, qu'est partis Ἀλέξανδρος ὁ Μέγας, Alexandros Magnos le conquérant des deux mondes ! C'est avec les chevaux de Théssalie qu'il a pus aller jusqu'a l'Indus et fonder le royaume de Bactres en Orient.

Voici notre royaume en -272 :



Et nos prétentions sur le reste du monde :



Nous sommes en guerre contre les cités Grecques au sud, qui tiennent Athènes, Spartes et Rhodes. Et au nord, contre le roi d'Epiré, le brillant géneral Pyrrhus. Nous disposons pour l'instant de deux armées moyenne au sud, prés d'Athènes et de Corinthe et de garnison solide dans notre capitale Pella, et a Demetrias qui est le verrou de la Grèce.
Hélas Pyrrhus au nord s'est approché de notre capitale avec une forte armée, et on dis même que des elephants l'accompagnerait !

Au sud l'équilibre des forces est trop sensibles pour que nous détachions des troupes en renfort au nord, il va donc falloir faire un choix. Si nous battons Pyrrhus au nord, notre armée sera grandement amoindrie et au sud Corinthe et l'île d'Eubée seront menacés. Nous choisissons donc de porter toute notre attention a l'anéantissement des cités grecques dans un premier temps. Si on ne les subjugue pas rapidement ils seront toujours un problème et il ne faudrait pas qu'il prenne trop goût a leur indépendance..

Acte I : La campagne du Péloponèse :


Le siège est mis devant Athènes dés le début de l'année 272 par le roi, Antigonos Argeades en perssone. Le but est d'affamer les Athéniens qui disposent d'une trop solide garnison est des solides mur de la cité. Sans compter que même si nous prenions la ville ils pourraient se retrancher dans l'acropole, réputée dans le monde entier comme étant imprénable.

Pendant ce temps, un émissaire est envoyé a la rencontre du roi Pyrrhus pour essayer de passer un cessez le feu, voir de négocier une paix durable : nous avons besoins de temps pour écraser les Grecques au sud avant de pouvoir contrer efficacement le royaume d'Epirée..



Hélas notre demande pourtant génereuse sera refusée. Pyrrhus n'est pas un idiot et sa réaction était prévisible, notre capitale Pellas lui tend les bras d'autant qu'une seule phalange tient la cité et hélas il nous en faudrait bien plus pour briser une attaque de la ville. Au mieux si Pyrrhus décide de mettre le siège de la cité cela nous ferait gagner du temps contre le Koinon Hellenon, mais aucun renfort n'est prévus et ne peut être levé tant que nos finances resteront dans le rouge.

Et pour cela nous devons conquérir de nouvelles cités. Conquérir le monde grecque qui sera alors le nouveau coeur de notre empire, riche graçe au commerce dans la mer Egée, peuplé de fiers grecques capable de nous fournir d'excellents hoplite et du plus grand savoir au monde !

La campagne du Péloponése débute donc, pendant que le roi assiège Athènes, son frère Krateros Argeades et son armée prés de Corinthe se dirigent vers Sparte et rencontre l'armée Grecque. Un groupe d'archers cretois mercenaires, réputé comme les meilleurs au monde sont recrutés pour venir compléter une armée bien légère..



L'équililbre des forces n'est clairement pas en notre faveur, mais nous disposons de la phalange, impénetrable et invincible ! Appuyés par les cavaliers lourds de notre géneral. En face ces misérables grecques n'ont que des hoplites et des javeliniers a nous opposer, ces armes et cette façon de combattre sont d'un autre âge ! Alexandre le Grand a conquis son immense empire graçe aux phalange macédonienne et aux chevaux de Théssalie !

Nous disposons d'une phalange classique, composée de citoyens et de deux hoplites citoyenne, autant dire que la qualitée de nos troupes est trés médiocre, seuls les archers cretois forment une troupe d'élite, mais en face les grecques ne doivent pas être mieux lotis..

La Phalange au centre, les hoplites sur les ailes. Les tirailleurs en avant et les archers derrière. La cavalerie de notre géneral se place en retrait.



Notre phalange forme un mur infranchissable de sarisse !



Le géneral décide de se placer en avant sur le flan droit, afin de pouvoir charger les tirailleurs énemis si ils venaient a être trop séparée des hoplites. Pendant ce temps les archers crétois commencent leur travail macabre et assène une pluie de flèche enflammée sur les pauvres grecques.



Tout semble jouer pour nous, pourtant, dans le ciel Krateros Argeades voit de mauvais présages..

Les deux armées se regardent.

Hélas les grecques ont pus recruter des phalanges mercenaires, nous pensions avoir cet avantage mais il n'en est rien. Pire : ces soldats professionnels sont bien mieux entraînés que nos citoyens a l'art de la guerre et du maniement de la Sarisse.

Les grecques n'attendent pas leur renfort pour passer a l'attaque, sûr de leur victoire. La phalange énemis se dirige vers le notre et l'engage. Les combats entre phalanges, sont avec le contournement le seul moyen de contrer efficacement ces formations. Hélas notre ennemis a aussi compris leur rôle sur le champs de bataille.

Pendant ce temps le général ennemis lui même, a la tête d'hoplites spartiate fonce sur notre flanc gauche a la rencontre de nos troupes de citoyens.. Ces guerrieres sont réputés être parmis les meilleurs au monde. Dés leur enfance ils subissent un entraînement militaire stricte, on dit même qu'il est "spartiate" tant leur renommée est grande ! Ils ont passés toute leur vie a s'entraîner et en face nos pauvres recrues ne sont que des citoyens normaux ayant une vie civile en dehors du service militaire..



Nous envoyons aussitot les troupes du flanc droit en renfort sur le flanc gauche, tandis que notre phalange tente de prendre de vitesse la phalange énemis. Hélas ces derniers entament une manoeuvre de contournement et se retrouve dans notre dos ! Nous sommes pris a notre propre jeu, et nos phalanges voyant le combat perdus d'avance prennent leurs jambes a leur cou et fuient le champs de bataille ! Les hoplites spartiate taillent en pièce nos hommes et la charge du géneral n'y fera rien.



La bataille se transforme dés lors en déroute et nous donnont l'ordre a toute les troupes restante de fuir le champ de bataille. La bravoure ne servirai a rien face a ces guerriers sans pitié.

La campagne du Péloponèse débute fort mal, même si Athène tombe entre nos mains aprés un siège bien mené.



Et nous sommes obliger de nous retrancher dans Corinthe et d'amener les derniers renforts des garnisons de Mytilène et Demetrias pour résister a une éventuelle contre-attaque. L'armée du roi est venue fusionner avec celle de son frère et se place prés de Corinthe.



La seule bonne nouvelle est notre victoire navale au large de la Crête, nous avons couler la flotte héllenique et désormais leur chef de faction se retrouve coincé sur l'île !



Pendant ce temps au nord, Pyrrhus qui a déjà tenter par deux fois de forcer les murs de notre capitale Pellas, a l'aide de ses éléphants, mais qui les perdra graçe a nos javeliniers ayant reçus un entraînement spécifique depuis le début de l'année (Hélas les captures d'écran n'ont pas marché ). Il se dirige maintenant sur la ville avec la ferme intention de la prendre, éléphants ou pas !

Au sud, Eudamidas le Lakédemonien ne manquant pas de cullot vient assiéger Corinthe alors que la grande armée du roi campe a quelques lieux. La bataille va être inévitable, c'est une occasion rêver de se venger de la débâcle précédente. Cette fois ci nous avons le nombre avec nous, mais le doute prend le roi : et si les grecques lui réservait un autre piège ? Une nouvelle défaite serait trés dangereuse pour l'avenir de la Macédoine, et alors qu'il réfléchissait un émissaire arriva au galops. De trés mauvaises nouvelles en vérité, Pyrrhus venait de commencer le siège de la capitale, il lui faudrait au moins une saison pour passer a l'assaut, le temps de mettre en place le siège.

Il faudrait donc écraser cette armée venus sur Corinthe et dans la foulée allez mettre le siège de Sparte en ésperant réussir un assaut forcé le plus rapidement possible.



Le terrain est trés boisé et le roi va s'en servir sciemment. Le temps de rassembler tout les renforts, nos troupes vont discrètement partir vers la gauche sur une petite colline boisée surplombant les grecques.




Malheureusement ils commencent a mettre en mouvement leur troupes : le guet-apens a l'air éventé et nos troupes se sont faites repérés! Du moins c'est ce que ce dis le général jusqu'a ce qu'il se rende compte qu'apparement seuls nos troupes les plus avancées, des tireurs de javelots, se sont faites repérées, et l'ennemi n'a envoyé que des tireurs pour nous contrer, croyant certainement que le gros de nos troupes allait alors surgir par leurs flancs.



Les tireurs énemis tombent nez a nez avec les notres, supérieurs en nombre la première volée de javelots brise leur morale, le géneral voyant la situation tourner a notre avantage charge alors l'ennemis et les met en déroute.

Voyant cela et estimant sûrement la bataille perdus d'avance, l'ennemi se retire.



Nous arrivons tout de même a prendre a revers une unité de hoplites classique, meilleurs que les levés de citoyens, elle leur fera surrement durement défaut pour les prochaines batailles. Car l'objectif est raté, l'ennemis s'est replié et c'est toute l'armée Sparte que nous allons a nouveau devoir affronter pour prendre la ville.
Le géneral ennemis perd prés de 300 hommes mais il ne s'agit pas du coeur de son armée, toujours intacte..



Soit ! Le plan tient toujours, allons assiéger Sparte et espérons que Niké nous accorde la victoire. L'ennemis a moins de troupes que nous mais ce sont pour la plupart de bonnes troupes tandis que notre armée est composée au tiers de javeliniers peu combatifs..

C'est une bonne idée de populariser ce mod avec un AAR , bonne chance !

(C'est pas la faction la plus difficile tu devrai pouvoir te débarrasser de tes 2 ennemis relativement facilement)

L'ennemi va nous affronter a quelques lieux de Sparte.

Ses forces seront divisés au début du combat, nous allons essayer d'en tirer profit.
Composés maintenant de 3 unités de Phalange notre armée ressemble enfin a une véritable armée macédonienne, et les chances que nous nous fassions prendre de flanc sont moindre. Nous placons trés classiquement les phalanges au centre, les unités de tirailleurs en avant et les archers en retrait. Le géneral ainsi qu'une levée de citoyens hoplites vont rester un peu en retrait pour se porter là où l'ennemi décidera d'attaquer.

Un premier détachement de hoplite est envoyé dans notre direction, ils ont l'air esseulé et l'occasion est parfaite pour amoindrir l'ennemi avant que le gros de ses forces n'arrive.



Hélas nous n'arrivons pas a briser rapidement leur moral, et tandis que le combat s'étternise et que la cavalerie lourde du géneral perd de plus en plus d'hommes, la première armée grecque arrive en face de nos lignes. Il s'agit de tirailleurs et d'unités de tir principalement, avec une unité de hoplite citoyenne.



Les renforts venus de Sparte arrivent en ordre dispersé sur le flanc gauche, tandis que le géneral tente vainement de mettre en déroute quelques tirailleurs.



De fiers guerriers Sparte, prés de deux unités au complète arrivent sur notre flanc gauche et déjà la levée de citoyens hoplite est prise a parti ainsi que la phalange du flanc gauche. Encore une mauvaise nouvelle ce sont des phalanges énemis que nous voyons au loin et qui se dirigent sur notre phalange droite.
Les archers crétois, bien disciplinés assènent leur traditionnelle pluie de flèche enflammées, mais ils sont déjà bien amoindris par les précédents combat.



Le général tente alors une charge dans le dos des guerriers spartiate, c'est sûrement notre seule chance contre ces guerriers hors norme.



Les deux phalanges sur le flanc droit entrent en contacte, nous ne pouvons qu'espérer qu'ils tiennent le plus longtemps possible mais nous retrouvons les mercenaires, toujours aussi compétent. A long terme la phalange ennemi prendra l'avantage. Il faut que le flanc gauche cède !

Les levés de hoplites sont envoyés se soustraire a la phalange du flanc gauche, avec l'appui de celle du centre pour essayer de prendre de coté les spartiates.



Hélas la tentative va rapidement ouvrir tout un flan a notre ennemis. Engagés dans un combat long et pénible contre les spartiate leur arrière est complètement dépourvue et une autre unité de spartiate s'apprête a prendre a revers la phalange !

Nous essayons par tout les moyens de briser le flanc droit ennemis mais la phalange mercenaire oppose une résistance acharnée avec l'appuis d'une unité de levée hoplites grecques. Nos tirailleurs ayant tiré tout leurs javelots viennent se joindre au combat.



Le géneral est alors nerveux. Nerveux mais confiant, la supériorité numérique sur le flanc droit est incontestable, et même si la situation est critique sur le flanc gauche un retournement leur serait fatal ! Hélas les tirailleurs sont de bien piètre combattant et se font prendre sous une pluie de javelots, ils vont rapidement commencer a fuir le champs de bataille.
Les mercenaires ennemis, toujours aussi vaillant résistent farouchement et commencent même a reprendre l'avantage !



Ca y est ! Ils craquent, mais c'est au tour de notre flanc gauche pris a revers par une charge brutale de l'infanterie d'élite des Lakédemoniens de fuir. Ils ne sont plus que 3 mais continuent de prendrent en chasse nos troupes !



Tout cela n'aura servis a rien, et les spartiate engagés depuis le début contre le flanc gauche nous mènent toujours la vie dur.



Et ils vont tenir, et tenir.. ne lâchant jamais, ces hommes sont des fou ! Des sanguinaires éduqués dans la seule vue du sang, préférant mourir pour défendre leur cité que de laisser un pouce de terrain.

Las ! Notre général est brisé, il fuit le champs de bataille et le reliquat du centre cède définitivement quand les dernières troupes grecques les prennent de flanc.



Le résultat est moins défaitiste, finalement nos troupes ont fais beaucoup de morts, et parmi leurs meilleurs unités. Mais notre propre armée est décimée, réduite a moins de 300 hommes. Encore un nouveau repli sur Corinthe ou de nouvelles levées d'hoplite citoyenne ont lieu pour venir recompleter notre armée.

jmlo a écrit :C'est une bonne idée de populariser ce mod avec un AAR , bonne chance !

(C'est pas la faction la plus difficile tu devrai pouvoir te débarrasser de tes 2 ennemis relativement facilement)

Ouaip, j'ai commencer avant une campagne avec justement les grecque et le défis est de taille, au début le macédonien domine largement, et contrairement a moi elle se sers trés bien de ses phalanges Mais elle est bien trop avancé et je n'ai pas fait de screen au début donc je me suis lancé dans une campagne avec la macédoine. Ils disposent au moins des phalanges qui sont la clé pour faire la guerre a l'Est.

Sinon c'est éffectivement pour faire de la pub a cet excellent mod, comme vous pouvez le voir les combats sont beaucoup plus long et indécis que dans la vanilla. Et même aprés, avec de bonnes unités, affronter une grosse armée ennemi est toujours intéressant.

Super cet AAR

Les Dieux ne sont pas avec nous ! Athéna est sûrement courroucé que nous ayons pris sa citadelle et asservis son peuple, mais Alexandre l'a prouvé, les Macédoniens sont de redoutables guerriers et nous ne nous rendrons jamais devant l'adversité !

Pella, assiegé depuis quelques saisons par Pyrrhus est finalement prise d'assaut.



L'ennemi est bien plus nombreux que nous et a construit 3 béliers. Nous n'avons qu'une seule phalange pour résister, le reste de nos troupes étant des unités de tir et la cavalerie du géneral.. Si nous voulons avoir une chance de repousser l'ennemi il ne reste qu'une solution : défendre dans l'étroit corridor formé par la rue principale. Notre phalange déploiera alors le maximum de son potentiel et nous comptons sur eux pour bloquer l'ennemi pendant que les tirreurs et la cavalerie leur feront le plus de dégâts possible.

Ils ne passeront pas !



Ils arrivent.. Pyrrhus en fin tacticien qu'il est a mis en première ligne des barbares, avec leur épées ils sont bien plus dangereux pour la phalange, car avec leur nombre ils vont forcement passer a travers la rangée de sarris a un moment ou a une autre.



L'armée d'Epirée semble gigantesque ! A la mesure de la réputation de son roi en tout cas, la phalange ressere les rangs mais la peur se lit déjà dans tout les soldats, même si ils battent cent, deux cents, trois cents ennemis.. il en restera toujours d'autre pour prendre la ville.



Les meilleurs soldats de Pyrrhus sont là, en première ligne eux aussi, reconnaissable avec leur grand bouclier rond finement décoré.



Le géneral se lance dans la bataille avec sa cavalerie mais il ne réussit qu'a écarter la formation des phalanges déjà entrains de ployer sous le nombres..



Ce qui devait arriver arriva, quand on charge la garde royale du royaume d'Epirée !




La défaite est sans appel et a un gout bien amer.. nous ne leur avons même pas infliger autant de pertes que le nombre de nos soldats et Pellas notre capitale, la seule cité ou nous pouvions recruter des phalanges et des soldats fidèles au royaume vient de tomber !

Alors qu'au sud la campagne du péloponèse s'enlise, la cité de Démetrias, la clé de la Grèce devient notre ultime rempart contre la fin du royaume. La garnison est renforcée et des hoplites classiques sont même levés, car avec la destruction de notre armée l'argent commence a revenir dans les caisses, enfin.

Si ça continue il ne va pas être très long cet AAR !

Tu joues en quelle difficulté au fait?

Trés difficile/trés difficile !

Bon courage

Le plus dur est de se débarasser des grecs et (surtout) Epire au début

Ensuite, la richesse des villes et la sécurité de la Grèce permettent des expansions multiples

Q: Which is the recommend difficult setting for Europa Barbarorum?
A: Europa Barbarorum is best played on Very Hard / Medium. The AI is aggressive (in particular the slave faction) but don’t get stat bonuses on the battlefield. If you want a real challenge try VH/VH but be aware enemy units on the battlefield are getting massive bonuses (afaik: +7 attack, +7 defence, and a huge morale boost), you could have your fullstack army is hacked to pieces by 5 units levies...

http://forums.totalwar.org/vb/showthrea ... ee&t=84854

Boarf c'est des conneries, j'ai gagné de belles batailles et pourtant je suis en vh/vh.. !

Soon : la suite

La différence entre VH et H ne doit pas être énorme, et l'IA a bien besoin d'un tel bonus sur le champ de bataille

Bah , c'est une question de gout : je n'aime pas être obligé de donner de gros bonus à l'IA parce qu'elle est nul

Nous sommes alors en l'an -271, 6 ans se sont déjà écoulés depuis le début de la campagne du péloponèse et aucun résultat probant n'a était obtenus. Pire, toutes nos tentatives se sont soldés par un échec cuisant, mais d'un autre coter notre coriace ennemis, les courageux grecques du Koinon Hellenon, ne doivent pas être mieux lotis. Avec la chute de la riche ville d'Athènes, seul la cité de Sparte et l'île de Rhodes sont encore tenus par ces derniers et le chef de faction est toujours bloqué sur l'île de Crète avec son armée a entretenir grace au coups de force de notre flotte.

Alors que Pellas, notre capitale est tombée, nous reçevons le soutiens d'une famille de nobles Thraciens trés influent dans le nord du Pont. En signe d'alliance un de leur fils, un grand guerrier Thrace rompus depuis longtemps aux barbare de son peuple, et tout comme sa famille plus coutumiers a nos moeurs hellénique, est marié a une fille de notre famille. On célèbre l'alliance au prytanée de Démetrias, notre nouvelle (et temporaire) capitale, comme le veut la tradition.



Il est donc temps de tenter le tout pour le tout dans le Péloponèse. Les débris de notre armée sont reformés (sauf les phalanges, avec la chute de la capitale nous ne pouvons plus en recruter nul part, n'ayant pas de casernes assez grande pour leur entraînement) et nous regroupons nos 3 généraux de la région qui iront combattre avec leur garde personnelle au lieu de rester gouverner les cités. En face les forces grecques sont de 600 a 700 hommes, mais la plupart de leur fantassins d'élites, les terribles spartiate ainsi que leur phalange mercenaire, ont déjà était bien éprouvés par les précédentes campagnes.

Le roi, l'héritier et Neikomachos Narthakios, le nouveau membre Thraciens de la famille se dirigent avec notre petite armée vers Sparte. Une embuscade d'un général spartiate nous attendait ! L'imprudent, il pense sûrement que seul avec ses guerriers il viendra a bout de toute notre armée ?

Nous retournons l'embuscade a notre avantage et rapidement le géneral ennemis et ses guerriers d'exceptions se retrouvent encerclés par nos hommes, la cavalerie des généraux chargent dans leurs arrière et une lutte a mort s'engage. Nous le savons trés bien ils ne fuiront pas le champs de bataille, ils préfèrent la mort a la lâcheté !



Ils n'ont plus aucune chance de s'en sortir vivant, mais ils se battent encore comme des lions, jusqu'au dernier !



Le reste de son armée est mise en déroute, une hoplite citoyenne et des tirailleurs principalement.



Cette victoire semble de bonnes augures ! Un général Sparte et tout ses hommes sont mort, leur armée est toujours plus grande que la notre, mais l'avantage commence a tourner en notre faveur.

Le siège de Sparte est mis dans la foulée.

Comme il y a quelques années, les Sparte nous attaquent avec une armée située a l'extérieure de la ville et le combat s'engage contre les forces ennemis divisés en deux armée, l'une sur le champs de bataille et l'autre arrivant au pas cadencé des Spartiates de la ville des fous.

Nous plaçons notre armée en ordre de bataille en haut d'une colline, le terrain est boisé et n'avantage pas la cavalerie, mais soit nous allons le prendre a notre avantage.



La première armée grecques et située en contre bas de nos positions, nous avançons nos tirailleurs dans la foret, en avant, où ils se camouflent en attendant d'être a portée de leurs ennemis. La cavalerie sur les deux flancs de l'infanterie aura pour mission de charger les forces ennemis déjà éttrilées par une nuée de javelots.

Le plan se déroule a merveille, et trés vite, le général Spartiate de la première armée, celui là même qui avait enfoncé notre flanc gauche lors de la précédente bataille arrive avec ses quelques guerriers encore survivant.
Nous donnons la charge sans pitié, le roi en tête de ses hommes écrase les hoplites sous l'assaut terrifiant des chevaux lancer au galops.



Le plan se déroule a merveilles, les premières forces ennemis ont était écrasés sans mal, et rapidement nous avons pus tourner notre ligne d'infanterie pour contrer l'arriver des forces de renfort sur notre gauche.

Le dernier obstacle se dressant entre nous et la victoire est un corps entier du dernier général Sparte encore vivant. Nous allons lancer la charge, mais pas question de prendre des risques inutiles : notre infanterie de hoplite viendra appuyer la charge par l'autre coter de manière a les prendre en sandwich. Nos cavaliers d'élite pourront sans trop de risques se soustraire a la mêlée pour lancer une nouvelle charge fracassante. L'assaut est donné !




Mais ils résistent encore et commencent a massacrer notre cavalerie, peu a l'aise dans des combats de mêlée surtout contre les plus redoutables piquiers au monde.. Si nous voulons éviter un massacre inutile des meilleurs cavaliers du royaume, la seule solution est de charger a nouveau !



La victoire est a nous ! Nous avions sur estimé les forces ennemis, ou plutot la précédente embuscade s'est relever être une bataille cruciale : groupé l'armée grecques aurait pus nous battre, mais nous les avons battues les unes aprés les autres . La victoire est sans appel, et Sparte est vide de tout défenseur, mort pendant la bataille.

Spartes est enfin a nous ! Avec la fin du dernier bastion continentale des cités libres des hellènes il ne leur reste plus que l'île de Rhodes. Riche, puissamment défendue, la ville abrite le célèbre colosse, battis avec les armes de bronze des soldats venus pour conquérir l'île, en vain.
Au nord, le royaume d'Epirée reste toujours une menace mortelle, et une armée de prés de 1000 hommes a était repérée en macédoine. Si Pyrrhus prend Démetrias les choses vont devenir trés délicate et le reconquête risque d'être longue.

Deux choix s'offrent alors au roi :
- soit il va mettre le siège devant Rhodes, mais cela risque de prendre beaucoup de temps, la cité est bien défendue par de solides murailles en pierre.
- soit il va au nord contrer une éventuelle attaque sur Démetrias, et avec un peu de chance et si Niké nous accorde une victoire retentissante, il tente ensuite de reprendre notre capitale depuis déjà bien trop longtemps aux mains de l'ennemi.

C'est le premier choix qui sera retenus. Si Pyrrhus attaque, ce qui n'est pas sûr, et que son avance est irrésistible, mieux vaut ne plus avoir d'autres ennemis que lui afin de concentrer toutes nos forces. D'autant que si Rhodes tombe entre nos mains, cela ferra une deuxième île, avec Lesbos, ou nous pourrions nous réfugier pour reconquérir le continent.

Le cap est donc mis sur l'île au colosse, la perle de la méditerranée orientale. Le débarquement se déroule sans problèmes, mais a peine le siège de la ville mis une force en embuscade dans les forets de l'île viens a notre rencontre.



Nous nous plaçons dos a la ville, pour intercepter les renforts dés leur arrivée et les écraser rapidement.



Le plan marche a merveille, les renforts de la ville sont écrasés par une charge puissante de toute notre infanterie et cavalerie.



Le dispositif replacés, nous pouvons accueillir sans trop de problèmes le gros de l'armée ennemis bien plus faible en nombre que nous. Ce sont des guerriers hoplites d'élite, ils n'ont pas l'entraînement des Spartiate mais sont mieux protégés par une lourde cuirasse de fer, ils restent des guerres redoutable par ailleurs, mais face a une rangée de sarisse leur ardeur est modérée..



Encore une fois la victoire est notre grace a l'éparpillement des armées grecques. Quelques soldats auront pus s'échapper et revenir dans la ville, mais l'assaut sera rapidement régler et Rhodes tombe entre nos mains !




Et avec la ville, c'est le dernier refuge des grecques "libres" qui tombent ! Ils n'auront pas goutté longtemps a leur indépendance, mais ces cités seront traités avec diplomatie : pour peu que notre présence ne soit pas trop envahissante les taxes sur le commerce dans le bassin Égéens viendront grossir notre trésorerie.




Fin de l'acte I : La campagne du Péloponèse

Et je vous invite vivement a lire les descriptifs des régions capturés ou des merveilles que je met et que je mettrais encore, ce mod regorge de petits détails historiques intéressant.

belle campagne même si il y a eu des moments critiques

La Grèce est en passe d'être réunifiée sous l'égide du Royaume de Macédoine Et cette fois-ci, les Spartiates combattent à nos côtés

Môssieur Leaz, nous attendons la suite

Ch'ais pas pourquoi je l'attendais celle là

Bientot, bientot..

Et, une petite question : pourquoi préférer Europa Barbarorum à Rome Total Realism ?

NB : courageux de jouer en VH/VH.

necroproject a écrit :Et, une petite question : pourquoi préférer Europa Barbarorum à Rome Total Realism ?

Franchement y'a pas photo entre les 2 :
- Avec son système de script a lancer au démarrage EB améliore bien plus le jeu de base (qui en a bien besoin)
- Il y a des objectifs de victoire personnalisée pour chaque faction.
- Les 4 types de gouvernent pour chaque province est une trouvaille géniale pour un mod sur l'antiquité.
- ... et j'en oublie moi qui ne joue plus à Rome depuis 2 ans au moins (je suis passé a MTW II )

Et puis mais c'est plus personnel je trouve qu'il y a trop de provinces sur la carte de RTR : 50 rien que pour l'Italie c'est trop surtout que c'est le chiffre à atteindre pour gagner une campagne longue !

C'est sûr que sur RTR, on peut atteindre les 6 à 7 batailles par tour au vu du nombre de provinces. Le pire étant effectivement le tryptique Italie-Grèce-Asie Mineure (Chypre et ses 3 villes, on croit rêver).

A la limite, les meilleures parties, de mon point de vue, sont celles que l'on perd car au moins, le nombre de batailles devenant limitées celles-ci n'en sont que plus intéressantes. Toi qui joue MTW2, tu dois en avoir de beaux souvenirs à arrêter les mongols ou Tamerlan, où il faut "s'amuser" à perdre 50 batailles avant de repousser l'invasion.

Un joueur byzantin qui n'a pas apprécié que les mongols traversent l'irak turc et la syrie fatimide (contre lesquels ils étaient en guerre) sans coup férir pour se ruer sur l'Asie Mineure

ha mince je pensais que c etait rome total war , alexander... ( dur dur la campagne dans cette add-on )

necroproject a écrit :C'est sûr que sur RTR, on peut atteindre les 6 à 7 batailles par tour au vu du nombre de provinces. Le pire étant effectivement le tryptique Italie-Grèce-Asie Mineure (Chypre et ses 3 villes, on croit rêver).

c'est la partie ou je préfere TR à EB car plus réaliste historiquement

si le jeu pouvait permettre un mélange des deux !

par contre j'adore la simulation linguistique dans EB

(incroyable le travail effectué )

j'adore entendre les Bretons parler en "Celtic P"

Grr je viens d'aller voir mon compte imageshack et il manque déjà une bonne partie des images uploadé c'est quoi ce foutage de gu..

Quelqu'un connait un site qui garde les images plus d'un mois ?

Sinon, pour vous faire patienter, voilà deux des merveilles du monde grecques, désormait sous la coupe des Macédoniens.

Le fabuleux Rhodios Kolossos et l'imprenable citadelle de l'Akropolis Athenaia :

http://fr.tinypic.com/

plus rapide , plus sympa et tres fiable !

Tu m'a donné envie d'y rejouer. Je réinstalle le mod!

Acte II : La campagne d'Epirée

Maintenant débarrassés de ces satanés grecques toute notre attention doit se porter contre le royaume d'Epirée. Pyrrhus, le grand général ayant mis en déroute nos armées à Pella, serait d'après nos espions en Italie. Apparemment des contentieux l'oppose avec les romains, les nouveaux maitres de l'italie. Ils ont conquis les cités de la grande grèce et même les Etrusques ! Ceux là même qui avaient autrefois dominés la petite cité du Latinium.

Quoi qu'il en soit, nous n'avons aucune ambition sur l'Italie, c'est une lubie de Grecques ! Les véritables richesses du monde sont a l'est.. en orient ! Et pour l'instant surtout.. au nord dans notre capitale toujours occupée.

Malgré l'absence de Pyrrhus les membres de sa famille harcèlent toujours nos forces et menacent de plus en plus la cité de Démetrias. Notre armée, encore a Rhodes, est envoyée aussitot vers le continent.

Hélas ils n'arriveront pas a temps et ce qui devait arriver, arriva :



Si Démetrias tombe c'est toute la grèce qui est menacée, cette cité contrôle les côtes célèbres où Léonidas vaincus les perses, aux thermopyles.

Nous ne disposons que de hoplites pour les arrêter, deux corps de levées citoyenne et deux d'hoplites classiques, ainsi que des tirailleurs bien inutile dans un siège..
Les troupes sont disposés de part et d'autres de la porte :



Au loin nous apperçevons une phalange ! Pire, deux corps de cavalerie lourde sont prêt a charger dans la porte ! Mais notre stratégie de contrôle des portes est éxcellente et le capitaine est confiant sur la capacités de ses hommes a repousser l'ennemi en bon ordre, quand il se sera trop avancer dans le goulot de la porte d'entrée.

Hélas, trois fois hélas ! Les levées placés sur les flancs et censés coupés l'ennemi en deux se révèlent de piètres combattant et nos hoplites sont déjà débordés par le flot. Les hommes entendent au loin le son de la corne qui annonce la charge de la cavalerie et redoublent d'effort. Déjà des soldats ennemis fuient, espérons qu'ils démoraliseront leur anciens camardes de combats !



Mais ils ne céderont pas, et nos hommes, débordés par le nombre, les charges de cavalerie et leur terrible phalange, tombent un à un, avec bravoure et honneur.



Le ciel s'est terriblement assombris au dessus de la grèce et le tonnerre vient du nord, prêt a fondre sur Athènes et les îles. Notre seul espoir réside dans l'armée royale, a peine débarquée dans l'attique et qui s'avance pour une reconquête qui s'annonce dur et longue des terres de nos ancêtres. C'est une bien sombre période pour la macédoine qui se retrouve en exil avec pour principale ville l'ancien bastion de nos pire ennemis les grecques !

Deux petits conseils, comme en VH/VH tes troupes se battent comme des lavettes :

- Si tu cherches à tenir la porte, plutôt qu'un "U", il vaut mieux former un "V" avec 2 phalanges en serrant la porte de près : ainsi, les ennemis seront arrêtés dès l'entrée par tes lances dans leurs flancs sans pouvoir se déployer dans un espace, comme il est arrivé avec ton "U".
- Si tes forces sont vraiment des super lopettes, alors bats-toi directement sur la place centrale de la ville (toujours avec un U ou un V) : en effet, toute troupe qui touche le carré central ne PEUT PAS se débander et se battra donc jusqu'à la mort.

Pour faire en ce moment une partie avec le Séleucide en VH/VH, c'est très utile...

C'est la misère
Mais contre la cavalerie lourde d'Épire, tu n'avais pas de grandes chances ...

Franchement, je me demande pourquoi on trouve cette faction si "facile" : chaque fois que j'ai joué, j'ai vu la macédoine se faire déquiller, soit par l'Epire, soit par la Grèce. Même quand j'ai joué Séleucide (ce qui a amputé les grecs de leurs 2 villes d'Asie Mineure), même en restant allié aux macédoniens durant toute la partie, ceux-ci ont vu leur territoire se réduire comme peau de chagrin.

Peut-être qu'à ce stade, le niveau de difficulté de la bataille joue beaucoup dans celui de la campagne : avec relativement peu de villes de départ et beaucoup d'ennemi dont un gros malade équipé d'éléphants, c'est pas en Très Difficile que l'on va gagner à un contre dix avec pour seule perte l'ivrogne du bataillon qui s'est noyé en s'étouffant dans son vomi.

En passant, un "truc" curieux : autant dans le jeu original, quand on joue Séleucide, les lagides sont très aggressifs et redoutables, autant dans Europa barbarorum, ils m'ont pour ainsi dire pratiquement laissé tranquille pendant je dirais une bonne vingtaine, voire trentaine de tours et ne se sont par la suite guère montrés redoutable (envoit d'une petite armée sur Damas, deux au plus). J'ai même pu prendre toute la côte d'Asie Mineure (qui leur appartient) avec ma seule armée (elles coûtent si cher dans EB que même un empire de la taille des séleucides ne peut pas s'en payer des milliers) et Chypre sans qu'ils réagissent.
Cela dit, cette inaction est heureuse parce qu'à l'Ouest, les grecs sont très agressifs et surtout, à l'Est, la parthie et la bactriane dépècent l'empire qui se voit rejeté hors du plateau iranien.
Jouer les séleucides est plus sympa que prévu, pour ceux qui aimeraient s'y essayer : peu d'armées, moins de combats (la faute aux coûts exorbitants sans doute), des choix stratégiques à effectuer (privilégier l'Est ou l'Ouest, la frontière caucasienne ou l'expansion en Syrie), l'impossibilité de jouer des lignes intérieures (distances trop grandes) et, à la fin (du moins si le jeu ne plante pas), des unités "de fou" comme les éléphants cuirassés (plus de 5000 or/tour d'entretien lol).

Pour la macédoine, celà dépend beaucoup du début de campagne. Ils sont en guerre contre Koinon et Epire et avoir les 2 en même temps est rédibitoire en effet.

Dans ma partie, j'ai eu la chance de voir les armées d'épire partir au nord car ils sont en guerre de l'autre côté, et prendre les villes du sud au grec. Cantonné à la crète et Rhodes, ce dernier ne peut plus rien faire et on peut remonter aller voir Epire.

La perte de Pella est presque inévitable sauf chance, mais si on arrive à avoir ses éléphants et ses plus grosses unités à court terme, ça se déroule sans trop de problèmes, c'est juste une question de temps

La campagne d'épirée commence fort mal.. Certains généraux raillent cette campagne, qui serait selon eux celle de Macédoine ! Mais le défaitisme n'est pas admis chez les glorieux macédoniens, et le roi rassemble tout ce qui est en âge de porter les armes, revenus de Rhodes et de la campagne du Péloponèse nos soldats ne sont plus des bleus sans entrainement mais reste trop légèrement armé face aux phalanges et piquiers lourds de l'ennemi. Il est temps de reprendre Demetrias, et d'ôter aux Epirote l'initiative.



La véritable puissance de notre armée c'est la cavalerie lourde de la famille de Macédoine. Tout nos fils, les plus nobles guerriers et ceux de notre famille dont les ancêtres mériteraient leur place dans l'Illiade ont équipés des cavaliers de la manière la plus lourde qui soit connus dans le monde civilisé. On raconte que dans le lointain orient certains princes équipent leur chevaux d'armure complète !

Même si nous n'en sommes pas là, la cavalerie de macédoine reste un adverse redoutable et redouté de nos ennemis. Afin d'en tirer l'avantage au maximum, trois ouverture sont faite dans les murs de la ville. Notre dernier corps de phalange s'engouffrera en premier et essaiera de fixer d'éventuels assaillant tandis que la cavalerie passera par derrière.



Stratégie qui va s'avérer payante, la cavalerie chargera ces gueux sans leur laisser la moindre chance d'en sortir vivant !



(Quelqu'un sait ce que c'est que les étoiles qui sont sur les cavaliers ennemis ? On dirait une sorte de bonus..)

Seul des phalanges résistent encore au centre de la ville, suivant notre tactique apprise par le maniement des hoplites et les affrontements contre les Sparte, nous l'entourons de toute part avant de donner l'assaut finale. Prises de tout coté la phalange n'est plus qu'une bande de paysans armé de Sarisse bien encombrante !




Voilà une victoire qui donne de l'air a nos armées. Même si le gros des armées d'Epirée n'a pas encore était vaincus, la (re)prise de Démetrias écarte le danger sur la Grèce.

Mais, a peine la ville reprise, voilà qu'Epirée renvois un détachement, un peu trop léger pour notre armée, pour tenter d'affamer nos hommes. Ils ont l'air de nous sous-estimer, et c'est tant mieux ! Tant que l'ennemi ne nous envois pas toute son armée d'un coups toute les chances seront de notre coté et les dieux ne pourront que nous sourire.

L'armée d'Epirée qui assiège Demetrias est faible, mais moins que nous le pensions. Mais l'ardeur et la bravoure de nos géneraux commence a avoir de la renomée dans le monde grecque, et le géneral adverse, prudent, choisis de retraiter sur des positions préparées a l'avance (griffon©).



Les deux armées se font face tout prés de la ville, nos javelinier en avant sont chargés de harceler l'ennemi et de le pousser a charger de manière désordonnée nos lignes. Il est hors de question de charger tête baisser au milieu de toute l'armée adverse, aussi bonne soit notre cavalerie, nos hommes ne sont pas des dieux ni des héros légendaire, et le suicide idiot n'arrangerait pas nos affaires.



Ce qu'il faut c'est prendre les troupes adverse a revers, les balayer comme un fétus de paille en insufflant la peur dans leur coeur.



Notre stratégie fonctionne a merveille, attiré par nos javeliniers l'ennemi s'élance, tandis qu'une autre partie de l'armée reste en retrait craignant - a juste titre - la charge de notre cavalerie dans leur dos.



Nos cavaliers débordent complètement le flanc droit des Epirote et prennent en sandwich les troupes au contacte de notre infanterie. Le géneral ennemis, confus, ne sait pas quoi faire. Une partie de ses troupes retraite, mais l'autre se retrouve prise dans la nasse, et trés vite le piège se referme. Et l'élimination des derniers groupes n'est qu'une formalité car divisés, ils n'ont aucune chance face a la charge surpuissante de la cavalerie !



La charge en elle même terrasse un bon tier de la formation ennemie, le reste pris d'effrois se met a paniquer et rompt la formation aussitôt, ce qui est la pire chose qu'ils puissent faire. Désordonnés ce ne sont plus que des morceaux de viande jetés en pâture a une bande de lion affamés.





L'issue de la bataille est sans appel, les Epirotes sont massacrés. Notre stratégie a fonctionner a merveille et le roi commence a devenir un excellent stratège inspirant du courage a ses hommes. L'espoir renait dans le coeur de nos soldats et la reconquête de Pellas, notre capitale déchue, apparait enfin comme une possibilité dans l'orage qui s'abat sur notre royaume.

La situation ne reste cependant pas très glorieuse, toute nos cités ont une garnison minimale et même les grecs semblent calme pour l'instant grâce aux impôts faible qui leur sont demandés, nous craignons a tout moment une révolte qui remettrais en cause tout le travail fait jusqu'à présent.

Jolie cette reprise, tant de l'AAR que de Démétrias

Pour les "étoiles" (je suppose que tu veux dire les petits drapeaux?) c'est l'expérience des unités. Plus il y en a, plus l'unité est expérimentée

Non, regarde bien le screen, les cavaliers ont des sortes d'étoiles qui dans le jeu s'animent sur eux même dirrectement. Je n'avais pas vus ça dans la version vanilla mais je l'ai déjà observés plusieurs fois dans EB (on le vois bien sur le screen de la cavalerie d'Epirée là où est le pointeur de la souris).

Ah oui, je crois que c'est quand une unité monte d'un niveau en expérience

L'année suivant la prise de Démetrias et la déroute de l'expédition d'Epirée pour reprendre la cité fut mise a profit pour relever une armée. Même si elle ne brillerait pas par sa qualité, les meilleurs troupes seront des hoplites classique grecques, elle compensera au moins notre faible nombre face a un ennemis qui semble entretenir une armée conséquente. Nos espions dans le nord nous rapportent de nombreux mouvements de troupes fort inquiétants autour de notre ancienne capitale.



Les fils de Pyrrhus ne semblent pas vouloir nous laisser reprendre la cité si facilement, d'autant que d'aprés nos espions ils essaieraient de prendre de nouvelles cité le long du Bosporos et vers l'Hyperboré. Notre capitale est situé a un emplacement stratégique, plus au nord ce sont les montagnes et plus au sud Demetrias bloque l'accès, si Epirée s'étend vers le nord ou vers l'est ils feront surement de Pellas une place forte imprenable. Le temps joue donc contre nous et au printemps 267 décision est prise de partir a la reconquête de notre ancienne capitale !



Une armée ennemie est là et tout porte a croire qu'ils ne vont pas nous laisser faire le siège de la ville tranquillement ! Cette fois la bataille sera en nombre de soldats a peu prés équivalent, seul la qualité, le courage et la prouesse de nos hommes pourront faire la différence..
En face ce n'est pas moins que le terrible Pyrrhus en personne qui nous fais face !

Malgré l'équilibre apparent des forces, les généraux ennemis sont divisés, le roi Pyrrhus a le plus petit corps et a exhorté son capitaine dirigeant le gros des forces de l'attendre. Seulement il ne l'entend pas de cette oreille et avide de gloire il se met promptement en route vers nos positions. Leur forces divisés en début de bataille auraient pus nous faire ployer une fois regroupée, mais c'est en deux groupes qu'ils s'avancent, et dans un ordre tout a fait relatif, propice a des charges de cavalerie éclaire et dévastatrice liquidant un ou deux groupes de fantassins avant que les renforts n'arrivent.



De notre coté la ligne est formée, javeliniers en avant, troupes légères au centre et les hoplites classiques, nos troupes les plus solides, en retrait prêt a intervenir a droite, a gauche ou au centre suivant les besoins. Et puisque le premier géneral arrive par la gauche, notre cavalerie s'y place afin d'éviter les débordement et pouvoir fondre sur leur flanc.

Les combats seront plutot bref mais d'une violence rarement atteinte, dans les deux camps les pertes sont grandes, et seul l'intervention de notre cavalerie, ici et là, nous permet d'emporter l'avantage décisif. Alors que le gros des forces adverse est déjà en déroute, les "renforts" arrivent.



La bataille est d'hors et déjà perdue pour Epirée qui ne peut rien face a notre cavalerie surpuissante. Nos pertes seront quand même importante et ne nous permettront pas de pousser plus loin l'avantage de manière rapide et efficace comme l'aurions voulut, car Epirée est un adversaire pleins de ressources.



Aprés la bataille, comme d'habitude nous comptons les morts et chaque soldat fais son récit de bataille, se ventant du nombre de soldat qu'il a pus occire. Et a ce jeu là, nos cavaliers n'ont guère de rivaux dans toute l'armée !



La chute de la ville n'est dés lors plus qu'une question de temps et un cours assaut qui ressemble plus a une passation de pouvoir violente nous ouvre a nouveau les porte de notre capitale ! Pella est a nous ! Dans toute la macédoine ce sont des cris de joie et d'allégresse qui se font entendre. Le tombeau des rois est a nouveau entre des mains sûr, et nous allons enfin pouvoir recruter de nouvelles phalange pour continuer la guerre contre les légions de Pyrrhus. Car déjà a l'horizon nos espions nous rapportent l'arrivée d'une grande armée que le froid et la neige de ce mois de novembre ne semblent pas gêner plus que ça.

Ouf! Tu dois être allégé

Félicitations pour cette belle bataille, pas évidente à gagner avec ces nombreux tirailleurs sans grande valeur
Quelle est la suite de ton plan? Affronter le royaume d'Épire directement?

De nouvelles menaces se profilent-elles à l'horizon?

Le fameux tombeau des rois de Macédoine, l'Aigai :

Et bien en réalité je n'ai pas rejoué depuis juin donc pour les plans j'en ai plus trop actuellement, mais il me reste toute une partie de l'aar a réaliser encore où se jouera le sort d'Epirée..

J'espère que tu finiras par les dérouiller. La distance rend l'Epire assez difficile à attaquer : le temps que ton armée franchisse les monts et te voilà face à d'innombrables ennemis tous prêts à en découdre.

Dans ma partie macédonienne, le plus drôle, ce fut que bien que rapidement mise hors jeu (j'avais réussi à éviter la chute de Pella et ai tué Pyrrhus et ses éléphants en une seule bataille grâce à un terrain favorable), l'Epire continua à prospérer : de la petite cité de Tarente, elle se lança avec succès à la conquête de l'Italie ! Pratique car ainsi, je pus me concentrer ( non sans difficultés) contre le Séleucide et le Lagide.

En tout cas, très belle bataille et profite de ta cavalerie lourde !

j'ai eu un problème en jouant la Macédoine

pas dans ce jeu mais dans Roma Universalis

j'ai réussi a controler l'Epire , les cités Grecques et les iles

plus une partie de la cote d'Asie mineure

grace a une guerre civile chez le Seleucide

ceci fait je mes suis retrouvé dans la cour des grands

mais dans un "cul de sac stratégique"

je pouvais presque parler d'égal à égal avec les grandes puissances

Rome , Carthage , le Seleucide et le Lagide

mais j'étais incapable d'en combattre un de front

avec des chances raisonnables de l'emporter !

d'ou blocage ............

Oui c'est un peu le même problème dans ma partie, si je bat Epiré il ne me restera plus que des "gros" autour de moi, et a pars quelques cités mineure au nord et sur la côte Ionienne je serais obliger de chercher l'affrontement.

Reste a choisir mon ennemis, Rome est le plus "petit" empire mais je crains ses armées et sa prospérité, d'autant que son unité territoriale rendrait la guerre usante et couteuse en homme. A l'est l'empire séleucide est très grand mais paradoxalement bien plus faible : le temps qu'une grosse armée arrive depuis le centre de l'empire et de solides places forte seront déjà arrachés pour tenir, endiguer et contre-attaquer.
Du moins c'est comme ça que j'ai pus progresser dans ma partie avec les Grecques. Reste que justement je l'ai déjà fait avec les grecques.. Alors peut être au sud, contre les Lagides ? Mais ce front est loin de mes terres et apporter des renforts prendra forcément un temps long, donc il faudra prévoir une voir deux armée capable d'être autonome et de remplacer a peu prés les pertes.

Je reste a l'écoute de toute suggestion..

Je tapperais sur le Romain à ta place, en te préparant bien avant. C'est lui le voisin qui viendra te chercher des noises durant les prochaines décennies, le Séleucide a mieux à faire.

l'ideal serait de taper le Romain

pendant qu'il est déja aux prises avec un autre "majeur"

Carthage par exemple !

Leaz a écrit :Oui c'est un peu le même problème dans ma partie, si je bat Epiré il ne me restera plus que des "gros" autour de moi, et a pars quelques cités mineure au nord et sur la côte Ionienne je serais obliger de chercher l'affrontement.

Reste a choisir mon ennemis, Rome est le plus "petit" empire mais je crains ses armées et sa prospérité, d'autant que son unité territoriale rendrait la guerre usante et couteuse en homme. A l'est l'empire séleucide est très grand mais paradoxalement bien plus faible : le temps qu'une grosse armée arrive depuis le centre de l'empire et de solides places forte seront déjà arrachés pour tenir, endiguer et contre-attaquer.
Du moins c'est comme ça que j'ai pus progresser dans ma partie avec les Grecques. Reste que justement je l'ai déjà fait avec les grecques.. Alors peut être au sud, contre les Lagides ? Mais ce front est loin de mes terres et apporter des renforts prendra forcément un temps long, donc il faudra prévoir une voir deux armée capable d'être autonome et de remplacer a peu prés les pertes.

Je reste a l'écoute de toute suggestion..

En même temps, tu l'as fait avec les grecs en VH/VH ? Parce que, si les armées Séleucides sont longues à arriver, une fois que le flot se ramène, il est impressionnant. De plus, tu risques de t'attirer les foudres lagides en t'emparant du sud de l'Asie Mineure. Je me souviens en avoir bien bavé pour repousser jusqu'à la Silicie (Tarse) Ce fut très long et laborieux (bémol : je joue avec d'énormes effectifs, donc phalanges à 242 de pop, ce qui vide très vite les cités de leur population). En fait, le Séleucide, c'est un peu quitte ou double : s'il se fait bouffer de toutes parts, autant participer à la curée. S'il maitrîse les parthes et fait la paix avec l'Egypte, c'est plutôt monstrueux.

Tu peux aussi tenter de t'étendre en prenant la Thrace, ce qui te mettra aux prises avec le Pont, un territoire relativement riche et bien plus faible que les grands empire asiatiques. De plus, sa possession te mettra en bonne posture pour t'emparer de l'Asie Mineure en en contrôlant les portes car tu seras à portée des villes séleucides correspondantes.

Ou bien t'étendre dans les Balkans. Ce n'est pas très glorieux, mais en attendant que la situation politique se décante, ca te fournira une base économique plus sérieuse. Idem pour la prise de la Crete. D'un autre côté, les barbares forment un tampon pour tes villes face aux Daces.

Je déconseille l'attaque de Rome parce que, inversement, si tu les laisses tranquilles, bien souvent, ils te laisseront toi aussi pépère. Cela dit, leur puissance n'est qu'apparente .
Les Lagides, idem, sont trop loins alors à part s'emparer de Chypre...c'est un coup à se retrouver enfermé à Alexandrie pour y subir assaut sur assaut pendant qu'une nation te poignardera dans le dos.

Les Balkans, c'est pas un ramassis de villes provinces propices à la révolte et peuplées de barbares qui ne bronchent qu'au deuxieme javelot planté dans leur estomac? À part quelques mines d'or et une poignée de ports, je ne vois pas trop l'intérêt d'y aller

Bah, en une campagne ambitieuse, conquérir les 3 villes Daces, en faire des villes barbares et ainsi, supprimer tout risque de menace même à long terme sur la frontière Nord. Ca permet de se concentrer ensuite pépère sur les véritables dangers.
Après coup, c'est peut-être ce que j'aurais dû faire au lieu de m'embourber de suite en Asie Mineure...

Je persiste à penser que le coup le plus raisonnable reste l'invasion du territoire du Pont, soit le Nord de l'Asie Mineure.

Y a pas d'autres tribus solides plus au Nord? Genre, les Sauromatae?

Bravo pour cet AAR, ca faisait un moment que je n'étais pas passé et je vois que la grèce est enfin "unifiée"


Pour la suite, je dirais d'aller voir le romain, c'est le plus proche et le moins pénalisant à combattre

Je reposte l'image du début sur les prétentions Macédonienne sur le reste du monde, puisque l'image semble avoir buggué :



Donc j'ai quand même interêt a pousser un peu dans les balkans, en me limitant aux provinces voulues, car aprés il y a un peuple de barbare qui occupe les plaines du Danube. Et cette régions est quand même assez propice a l'établissement de limbes : j'entretiens de bonnes relations avec les Sarmate a qui je verse un petit tribus symbolique de temps en temps, et ce sont la seule véritable menace venant du nord.

Aprés mures réflexion je crois que je vais m'orienter vers Rome ! Aprés tout c'est le défis le plus stimulant, et j'ai bien envis de tâter de l'armée romaine, phalange, hoplites et cavalerie lourde contre princeps, triarii et vélites !

Enfin, ce n'est pas non plus comme si l'Epire était déjà kaputt...