Diplomatie et AARS de la GPO de la rentrée 2005
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Déclaration de l'Etat du Duché de Moscovie
par le Duc de Moscovie, Vassili II
[align=right]Au Trente de Mars de l'An Quatorze-Cent Trente-Sept,[/align]
Par la présente,
Veuillez considérer qu'au vu de leur soutien incommensurable dans notre conflit récent contre le Novgorod et la Horde d'Or, tant militaire que financier, le Duché de Moscovie se déclare Ami Eternellement Reconnaissant des Couronnes d'Angleterre et d'Autriche.
Bien que la dette financière leur a été remboursée, la dette morale reste à honorer. Ces deux Nations peuvent compter sur le soutien du Duché de Moscovie dans toute entreprise future respectant les Principes et Valeurs de notre Etat.
Le Duché de Moscovie tient aussi à remercier les Nations ayant soutenu l'Angleterre dans son expédition face à nos ennemis.
Par Déclaration,
Vassili II, Duc de Moscovie
par le Duc de Moscovie, Vassili II
[align=right]Au Trente de Mars de l'An Quatorze-Cent Trente-Sept,[/align]
Par la présente,
Veuillez considérer qu'au vu de leur soutien incommensurable dans notre conflit récent contre le Novgorod et la Horde d'Or, tant militaire que financier, le Duché de Moscovie se déclare Ami Eternellement Reconnaissant des Couronnes d'Angleterre et d'Autriche.
Bien que la dette financière leur a été remboursée, la dette morale reste à honorer. Ces deux Nations peuvent compter sur le soutien du Duché de Moscovie dans toute entreprise future respectant les Principes et Valeurs de notre Etat.
Le Duché de Moscovie tient aussi à remercier les Nations ayant soutenu l'Angleterre dans son expédition face à nos ennemis.
Par Déclaration,
Vassili II, Duc de Moscovie
Beren Erchamion
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[align=center]Chronique Portugaise 1426-1437[/align]
Affaires Etrangères
A l'Europe
En l'an 1426,
L'Angleterre se décida à monter une expédition pour aider le duché de Moscovie dans ses guerres.
Notre nation, bien que petite et pauvre a pu aider financièrement cette aventure à hauteur de 93 Ducats d'or.
Notre roi espére que les Très Saints Rois Catholiques ont fait de même.
Message pour le nouveau régent Espagnol
Nous, Alfonso V roi du Portugal, acceuillont avec enthousiasme le nouveau régent Espagnol.
Sire Jimbo nous a fait parvenir son testament, et c'est avec réel plaisir que nous vous le ferons partager.
Que l'alliance Ibérique nous soit prospères.
Alfonso V
Affaires Interne
Le roi est mort vive le roi !
Le 14 Aout de l'an de Grâce 1433 notre bon souverain João I trépassa.
Alfonso V du Portugal pris sa succession.
Colonisation
La petite colonie des Azores recus maints et maints colons, nous avons le plaisir d'annoncer qu'elle a maintenant atteint le statut de ville coloniale.
Hasimir, 1er Ministre Portugais
Affaires Etrangères
A l'Europe
En l'an 1426,
L'Angleterre se décida à monter une expédition pour aider le duché de Moscovie dans ses guerres.
Notre nation, bien que petite et pauvre a pu aider financièrement cette aventure à hauteur de 93 Ducats d'or.
Notre roi espére que les Très Saints Rois Catholiques ont fait de même.
Message pour le nouveau régent Espagnol
Nous, Alfonso V roi du Portugal, acceuillont avec enthousiasme le nouveau régent Espagnol.
Sire Jimbo nous a fait parvenir son testament, et c'est avec réel plaisir que nous vous le ferons partager.
Que l'alliance Ibérique nous soit prospères.
Alfonso V
Affaires Interne
Le roi est mort vive le roi !
Le 14 Aout de l'an de Grâce 1433 notre bon souverain João I trépassa.
Alfonso V du Portugal pris sa succession.
Colonisation
La petite colonie des Azores recus maints et maints colons, nous avons le plaisir d'annoncer qu'elle a maintenant atteint le statut de ville coloniale.
Hasimir, 1er Ministre Portugais
Nantais d'un jour, Nantais toujours !
[align=center]10 années de guerre pour la gloire de la nation Suèdoise[/align]
[align=justify]Cette dernière décennie fut gouverné par les larmes et le sang. Une fois de plus notre belliqueux allié danois déclara la guerre à l'alliance de la Baltique, pour une sombre histoire de manteau en peau d'ours rendu taché à la reine Inger. L'ennui est tel dans les cours du Nord de l'Europe pendant l'hiver, que chaque prétexte est bon pour déclencher une guerre.
Honorant notre alliance, nous assiégeâmes la ville de Hambourg, fief de la province du Holstein. La ville tomba rapidement et il fut décidé en haut lieu de lui offrir notre protection en devenant notre vassal, à l'image de la ville voisine de Lübeck. Mais la paix ne pouvait être que globale et nous devions pour cela faire tomber Brème, autre ville rebelle.
Mais cette aventure montra les limites de nos forces. En 3 années de sièges, la ville de Brème résistait toujours fièrement, probablement ravitaillée par la mer. Devant cet échec, nous pûmes que constater la chute de notre allié et vassal de Lübeck, qui tel les femmes de joies, ouvrit grand les portes aux envahisseurs de Poméranie. L'annexion fût immédiate.
Quel camouflet pour la couronne de Suède ! Déposséder de sa ville tant convoitée, où le sang suédois a beaucoup coulé. Cet affront devait être lavé. La régence décidé de mettre toute notre énergie dans la bataille, en formant environ de 30 000 h, dont 6000 cavaliers, une nouveauté dans la jeune armée suédoise. La premier mesure est symbolique. Comprenant la faiblesse des vassaux, le sort de Hambourg changea et la province fut annexer manu militari.
Et ce n'est que plusieurs années de guerre plus tard que Brème et Lübeck tombèrent. Brème fût laissé libre, mais Lübeck est aujourd'hui et pour toujours une terre suèdoise.
Mais cette guerre interminable a marqué fortement les esprits du petit peuple. La déclaration de la régence est attendue avec grande impatience :
Peuple de Suède, vous avez acquis votre indépendance envers la couronne danoise, vous avez acquis votre indépendance économique en étendant votre influence dans les villes commerciales, il est temps aujourd'hui de profiter d'une vie paisible pour vous, vos enfants, et les enfants de vos enfants... Nous déclarons aujourd'hui que la guerre ne sera qu'un acte pour défendre notre nation et nos vies ! [/align]
[align=justify]Cette dernière décennie fut gouverné par les larmes et le sang. Une fois de plus notre belliqueux allié danois déclara la guerre à l'alliance de la Baltique, pour une sombre histoire de manteau en peau d'ours rendu taché à la reine Inger. L'ennui est tel dans les cours du Nord de l'Europe pendant l'hiver, que chaque prétexte est bon pour déclencher une guerre.
Honorant notre alliance, nous assiégeâmes la ville de Hambourg, fief de la province du Holstein. La ville tomba rapidement et il fut décidé en haut lieu de lui offrir notre protection en devenant notre vassal, à l'image de la ville voisine de Lübeck. Mais la paix ne pouvait être que globale et nous devions pour cela faire tomber Brème, autre ville rebelle.
Mais cette aventure montra les limites de nos forces. En 3 années de sièges, la ville de Brème résistait toujours fièrement, probablement ravitaillée par la mer. Devant cet échec, nous pûmes que constater la chute de notre allié et vassal de Lübeck, qui tel les femmes de joies, ouvrit grand les portes aux envahisseurs de Poméranie. L'annexion fût immédiate.
Quel camouflet pour la couronne de Suède ! Déposséder de sa ville tant convoitée, où le sang suédois a beaucoup coulé. Cet affront devait être lavé. La régence décidé de mettre toute notre énergie dans la bataille, en formant environ de 30 000 h, dont 6000 cavaliers, une nouveauté dans la jeune armée suédoise. La premier mesure est symbolique. Comprenant la faiblesse des vassaux, le sort de Hambourg changea et la province fut annexer manu militari.
Et ce n'est que plusieurs années de guerre plus tard que Brème et Lübeck tombèrent. Brème fût laissé libre, mais Lübeck est aujourd'hui et pour toujours une terre suèdoise.
Mais cette guerre interminable a marqué fortement les esprits du petit peuple. La déclaration de la régence est attendue avec grande impatience :
Peuple de Suède, vous avez acquis votre indépendance envers la couronne danoise, vous avez acquis votre indépendance économique en étendant votre influence dans les villes commerciales, il est temps aujourd'hui de profiter d'une vie paisible pour vous, vos enfants, et les enfants de vos enfants... Nous déclarons aujourd'hui que la guerre ne sera qu'un acte pour défendre notre nation et nos vies ! [/align]
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- Foudre de Guerre
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A Vienne,
Le Duc recevra en privé les émissaires porteurs d'une lettre orné du sceau du souverain dont ils se prétendent représentants.
Par le grand Chambellan,
Le Duc recevra en privé les émissaires porteurs d'une lettre orné du sceau du souverain dont ils se prétendent représentants.
Par le grand Chambellan,
Modifié en dernier par univerzz le ven. oct. 14, 2005 6:40 am, modifié 1 fois.
" The answer, my friend, is blowin' in the wind "
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- Clavier en Or
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Chroniques anglaises 1422 - 1448
Après notre victoire sur la france et le traité de paix qui s'en suivit, Henry VI decida de mettre au pas ces irlandais qui avec l'ecosse constituent une menace directe.
Une breve campagne militaire nous apporta la vassalisation de l'irlande ainsi qu'une province : Leinster
Opération moscovie
N'écoutant que notre âme généreuse
, nos navires et soldats s'embarquérent pour les rudes contrées d'europe du nord pour châtier Novogorad qui menace l'existance du duché de moscovie
Une campagne acharnée de plusieurs années se solda par la perte de 65 000 anglais et 7 navires de guerre dans des batailles ou par attrition
Cependant l'opération se solda par un succès puisque le duché de moscovie parvint à prendre 2 provinces


L'angleterre ne tira aucun profit de cette campagne à part la gloire qui revient aux grands royaumes
Le régent remercie les pays qui ont participé financierement...
La campagne ecossaise
De même que l'irlande, notre souverrain ne tolere pas la menace ecossaise, il fut donc decider de mener une guerre préventive, un peu plus diffcile que l'irlande du fait de l'environnement montagneux des highlands et de la présence d'un chef ecossais (portant le kilt).
La vassalisation et la cession d'une province fut le prix de leur defaite
L'avenir ?
Desormais la menace interieure s'est eloignée, notre royaume essaie d'economiser ducat par ducat afin de préparer l'avenir, mais l'âme généreuse du régent toujours prompt à défendre les faibles
ne fait pas beaucoup grossir le tresor royal

Missive diplomatique à l'Espagne
cher cousin,
Votre guerre et les gains obtenus contre le pape sont inadmissibles ! l'angleterre refuse de laisser partir ses filles pour de futures mariages royaux.
Enfin si une croisade était decidée et partagée par les différents pays, sachez que nous y participerons !
Cousin d'espagne, faites penitence et relacher la province d'ancona qui appartient aux états pontificaux
Honni soy qui mal y pense
Après notre victoire sur la france et le traité de paix qui s'en suivit, Henry VI decida de mettre au pas ces irlandais qui avec l'ecosse constituent une menace directe.
Une breve campagne militaire nous apporta la vassalisation de l'irlande ainsi qu'une province : Leinster
Opération moscovie
N'écoutant que notre âme généreuse

Une campagne acharnée de plusieurs années se solda par la perte de 65 000 anglais et 7 navires de guerre dans des batailles ou par attrition
Cependant l'opération se solda par un succès puisque le duché de moscovie parvint à prendre 2 provinces


L'angleterre ne tira aucun profit de cette campagne à part la gloire qui revient aux grands royaumes

Le régent remercie les pays qui ont participé financierement...
La campagne ecossaise
De même que l'irlande, notre souverrain ne tolere pas la menace ecossaise, il fut donc decider de mener une guerre préventive, un peu plus diffcile que l'irlande du fait de l'environnement montagneux des highlands et de la présence d'un chef ecossais (portant le kilt).
La vassalisation et la cession d'une province fut le prix de leur defaite
L'avenir ?
Desormais la menace interieure s'est eloignée, notre royaume essaie d'economiser ducat par ducat afin de préparer l'avenir, mais l'âme généreuse du régent toujours prompt à défendre les faibles


Missive diplomatique à l'Espagne
cher cousin,
Votre guerre et les gains obtenus contre le pape sont inadmissibles ! l'angleterre refuse de laisser partir ses filles pour de futures mariages royaux.
Enfin si une croisade était decidée et partagée par les différents pays, sachez que nous y participerons !
Cousin d'espagne, faites penitence et relacher la province d'ancona qui appartient aux états pontificaux
Honni soy qui mal y pense
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- Humble Posteur
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Chronique Portugaise 1462
[align=center]
CHRONIQUE PORTUGAISE 1448-1462
[/align]
Moi, Hasimir, Premier Ministre Portugais est heureux de vous présenter la Chronique hebdomadaire Portugaise.
Les temps sont calmes au Portugal mais je vais quand même vous narrer notre petite aventure.
MILITAIRE
Le Portugal peut se vanter d'avoir une gigantesque armée, plus de 6000 Cavalier sont stationnés dans la capitale.
Armée qui est énorme en comparaison du revenus Portugais.
Depuis la fin de la guerre contre FEZ et ALGER, le pays vie en paix avec ses voisins.
DIPLOMATIQUE
Le Portugal a placé ses fils et filles dans la quasi totalité des cours Européennes, ceci nous permets de nous divertir pendant les très longues années d'oisiveté.
Nous tenons à féliciter l'Autriche et la France dans leur guerre. Celle ci fut de toutes beautés.
Malgré la défaite Autrichienne, ses armées se sont remarquablement bien battus.
Savoir faire la paix démontre que le régent Autrichien est un sage.
Nous gardons le meilleure pour la fin, notre ami et allié Espagnol, que nous remercions et à qui nous confions toute notre estime et amitié.
ECONOMIQUE
Ce fut une grande période pour le Portugal !
Un grand monarque !
Notre très grand Monarque Alfonso V règne sur notre petite nation.
Ses talents d'économistes ne sont plus à prouver (cf Economie).

Un bon revenus mensuel !
Nous avons passé à plusieurs reprises la barre des 30 Ducats d'Or en revenus mensuel ! Ce qui est un exploit pour notre nation ! Nous tenons à féliciter tout nos marchands qui permettent de créer une telle richesse.
Un premier monopole !
Notre nation a découvert qu'un monopole est dorénavant possible dans les centres de commerce ! Ceci a pour effet de démultiplier nos revenus, mais la concurence est rude et maintenir un monopole est dur.
Des événements clés !
Une déflation est intervenus, enfin !
Les 6% d'inflation nous pénalisait grandement, cet événement est une bénédiction pour les caisses Ô combien vide.

Jamais 2 sans 3 ?
Une rentrée d'argent impromptus est toujours une bénédiction, surtout quand les caisses sont vides !

COLONISATION
Une nouvelle rubrique fait son apparition !
Notre explorateur a découvert une terre au sud du continent Africain que nous avons baptisé TABLE, un comptoir et une première colonie a été implanté.
Nous espérons que cette colonie deviendra bientôt une ville coloniale.
Je profites de cette section pour un rappel à l'ordre !
Les cartes Portugaises sont la seule richesse de notre nation. Nous avons été sollicité à plusieurs reprises par plusieurs nations pour ces dernières.
Il est bien sur évident qu'il n'y aura aucun échange, sans elle, notre nation n'a aucun avenir. Merci de votre compréhension.
CONCLUSION
J'ai le bonheur d'avoir recu un titre (mérité ?)

Moi, Hasimir, Premier Ministre Portugais est heureux de vous présenter la Chronique hebdomadaire Portugaise.
Les temps sont calmes au Portugal mais je vais quand même vous narrer notre petite aventure.
MILITAIRE
Le Portugal peut se vanter d'avoir une gigantesque armée, plus de 6000 Cavalier sont stationnés dans la capitale.
Armée qui est énorme en comparaison du revenus Portugais.
Depuis la fin de la guerre contre FEZ et ALGER, le pays vie en paix avec ses voisins.
DIPLOMATIQUE
Le Portugal a placé ses fils et filles dans la quasi totalité des cours Européennes, ceci nous permets de nous divertir pendant les très longues années d'oisiveté.
Nous tenons à féliciter l'Autriche et la France dans leur guerre. Celle ci fut de toutes beautés.
Malgré la défaite Autrichienne, ses armées se sont remarquablement bien battus.
Savoir faire la paix démontre que le régent Autrichien est un sage.
Nous gardons le meilleure pour la fin, notre ami et allié Espagnol, que nous remercions et à qui nous confions toute notre estime et amitié.
ECONOMIQUE
Ce fut une grande période pour le Portugal !
Un grand monarque !
Notre très grand Monarque Alfonso V règne sur notre petite nation.
Ses talents d'économistes ne sont plus à prouver (cf Economie).
Un bon revenus mensuel !
Nous avons passé à plusieurs reprises la barre des 30 Ducats d'Or en revenus mensuel ! Ce qui est un exploit pour notre nation ! Nous tenons à féliciter tout nos marchands qui permettent de créer une telle richesse.
Un premier monopole !
Notre nation a découvert qu'un monopole est dorénavant possible dans les centres de commerce ! Ceci a pour effet de démultiplier nos revenus, mais la concurence est rude et maintenir un monopole est dur.
Des événements clés !
Une déflation est intervenus, enfin !
Les 6% d'inflation nous pénalisait grandement, cet événement est une bénédiction pour les caisses Ô combien vide.
Jamais 2 sans 3 ?
Une rentrée d'argent impromptus est toujours une bénédiction, surtout quand les caisses sont vides !
COLONISATION
Une nouvelle rubrique fait son apparition !
Notre explorateur a découvert une terre au sud du continent Africain que nous avons baptisé TABLE, un comptoir et une première colonie a été implanté.
Nous espérons que cette colonie deviendra bientôt une ville coloniale.
Je profites de cette section pour un rappel à l'ordre !
Les cartes Portugaises sont la seule richesse de notre nation. Nous avons été sollicité à plusieurs reprises par plusieurs nations pour ces dernières.
Il est bien sur évident qu'il n'y aura aucun échange, sans elle, notre nation n'a aucun avenir. Merci de votre compréhension.
CONCLUSION
J'ai le bonheur d'avoir recu un titre (mérité ?)
Nantais d'un jour, Nantais toujours !
Extrait du dialogue entre Sa Sainteté et Alvaro de Luna, général espagnol qui venait de prendre Rome.
« Merci, vraiment merci à vous... Il est bon de savoir que votre souverain est toujours un aussi bon catholique... lui seul est venu à notre secour »
« Votre sainteté, vous sauver était le devoir de tout bon chrétien »
« Mais seule l’Espagne a bougé... Les autres souverains n’auraient-ils donc pas compris ? Ou, pire, ont-ils vraiment cru que c’était MOI qui avait décider l’annexion barbare de Naples
??? » « Certains rois ont refusé en effet de voir la vérité... peut-être étaient-ils en contact secret avec les infâmes conseillers qui vous avaient séquestré et ont décidé l’annexion de Naples ? » »Mais que voulaient-ils...oui, nous comprenons... naturellement... Naples devait vous revenir un jour, l’Aragon en avait hérité... Pour vous affaiblir, certains auraient donc pactisé avec Satan lui-même ? Ils auraient approuvé notre séquestration ? Mais qui
? »
« Cherchez qui nous a menacé et qui a voulu nous empêcher de vous libérer, et vous aurez la réponse à vos questions » »Il y a de l’excommunication dans l’air... le monde chrétien doit savoir que vous êtes notre sauveur et que nous vous en sommes éternellement reconnsaissant... Prenez donc la province de Marche en plus de Naples 8) ! Ainsi, tous sauront la vérité ! Et les ennemis de notre sainteté se dévoileront... ce sera ceux qui vous menaceront » »Aucune menace ne nous empêchera jamais d’agir en bon chrétien et de vous venir en aide. Tout notre peuple est derrière vous et si vous ordonnez une croisade contre ceux qui vous ont fait tant de mal, sachez que nous en serons. Pour le Christ ! » « Le monde entier va désormais observer de près qui ose nous menacer à travers vous, qui ne parle que de guerre et Dieu jugera. L’enfer attend les impies ! Je vous bénis, mon fils, vous, le Régent et toute votre pacifique nation... »
« Merci, vraiment merci à vous... Il est bon de savoir que votre souverain est toujours un aussi bon catholique... lui seul est venu à notre secour »
« Votre sainteté, vous sauver était le devoir de tout bon chrétien »
« Mais seule l’Espagne a bougé... Les autres souverains n’auraient-ils donc pas compris ? Ou, pire, ont-ils vraiment cru que c’était MOI qui avait décider l’annexion barbare de Naples


« Cherchez qui nous a menacé et qui a voulu nous empêcher de vous libérer, et vous aurez la réponse à vos questions » »Il y a de l’excommunication dans l’air... le monde chrétien doit savoir que vous êtes notre sauveur et que nous vous en sommes éternellement reconnsaissant... Prenez donc la province de Marche en plus de Naples 8) ! Ainsi, tous sauront la vérité ! Et les ennemis de notre sainteté se dévoileront... ce sera ceux qui vous menaceront » »Aucune menace ne nous empêchera jamais d’agir en bon chrétien et de vous venir en aide. Tout notre peuple est derrière vous et si vous ordonnez une croisade contre ceux qui vous ont fait tant de mal, sachez que nous en serons. Pour le Christ ! » « Le monde entier va désormais observer de près qui ose nous menacer à travers vous, qui ne parle que de guerre et Dieu jugera. L’enfer attend les impies ! Je vous bénis, mon fils, vous, le Régent et toute votre pacifique nation... »
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- Foudre de Guerre
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[align=center]La longue guerre[/align]
L’Empire vivait des jours sombres. Partout en Europe, l'irraisonnable guerre avait pris le dessus, particulièrement en France, ou la folie des Valois avait incité ses propres vassaux à briser leurs liens d’avec l’arrogant illuminé pour mieux guerroyer contre leurs faibles voisins: Les Bourbonnais d’abord, l’Auvergne et la Provence prenaient tous leurs distances avec cette pitoyable lignée incapable de gérer leur domaine au point de laisser une jeune pucelle décider du sort du pays.
Pire; l’insoumission commençait à s’étendre chez nos électeurs : le Palatinat avait ainsi décidé de rejoindre l’alliance provençale après que le roi de France ait lâchement quitté celle-ci.
Soucieux de préserver la stabilité dans cette région et toujours prompte à mater les rébellions, l’Autriche entra en guerre pour ramener son voisin à la raison. Le conflit se termina un an plus tard par un modeste tribut offert par l’alliance du sud envers Vienne, enjoignant, du fait de la gloire éternelle qui émanait de notre souverain, le peuple de Mantoue à spontanément prêter allégeance.
Mais hélas, trois fois hélas : à peine la pacifique armée autrichienne s’en retournait dans ses foyers pour pouvoir à nouveau honorer le Très-Haut que le malin refaisait surface. Humiliée par une Auvergne qui la dépassait presque en taille, la France attaquait son ancien vassal, entraînant les pauvres lorrains et alsaciens dans sa déraison.
C’en était trop! Brandissant son épée de justice, Albert puisa dans ses maigres réserves pour ramener paix et raison dans cette région troublée.
Passant à l’offensive, la cavalerie occie 13000 français égarés pendant que le siège de Strasbourg était levé par un Richemond revenu en hâte sur le front, ce qui fût le dernier acte de guerre de celui-ci, qui, repartant après son forfait commis, tomba sur des auvergnats trop heureux de trouver le pillard avec une armée affaiblie dans leurs rases campagnes.
Mais hélas, après tant d’années de lutte, le fier peuple d’Autriche, fatigué de la guerre,avait peu d’hommes disposés à partir dans les contrées de l’ivrogne français. Pourtant la progression allait bon train, Paris était assiégée, tout comme Strasbourg.
C’est alors qu’un premier coup du sort s’abattit sur notre paisible nation, les sièges furent levés par des renforts français qui jusqu’alors fuyaient devant nos hommes. Nul doute que le triste sire avait profité des ducats des nobles provinciaux qu’il trucidait honteusement les uns après les autres. Pourtant, si ce n'est Jean bureau qui levait notre siège en Languedoc, l’armée impériale tenait bon, malgré une infériorité numérique qui devenait de plus en plus évidente.
Et c’est alors que ce statut de quo s’imposait et que des négociations étaient engagées que la Provence, pitoyable ex-vassal décida de rejoindre la France spontanément, oubliant que celle-ci ne lui avait pas porté la moindre assistance dans sa guerre contre l’Anglais, prouvant par là même que des agents français accomplissaient partout leur noirs desseins.
Désormais, le peuple d’Autriche se battait partout contre de la piétaille française à 1 contre 10 et devait adopter une attitude défensive pour la première fois depuis le début du conflit.
Et c’est bien à ce moment qu’apparut l’étendu du complot : alors que Le Duc s’apprêtait à accepter la proposition de paix blanche du roi de France, celui-ci changea d’avis à l’injonction de Stratcomet XIII, pathétique et pitoyable sultan qui avait récemment réussi à perdre la moitié de son territoire devant les révolutions d’autochtones qui demandaient tous à voir le pal trancher le cou du freluquet.
La réaction de tout roi chrétien eût été de refuser d’écouter l’ersatz sultanique mais Charles de France, être qui apparaît dorénavant comme un agent avilit à la solde de l’ottoman préféra revenir en arrière des négociations pour exiger Baden,uniquement pour la relâcher sous forme de vassal, preuve de ses ambitions impérialistes.
Et c’est en ces tristes jours que Ladislas, dit "le Posthume", disparut, son court règne n’ayant duré que le temps de la guerre qu’avait commencé son aïeul, seul à son crédit pu être porté la consolidation de liens avec nombres nations amies d’Europe .
Déjà, des contrées les plus lointaines arrivent des messagers rendant grâce à la personne du nouveau Souverain et lui prouvant que l'Autriche peut compter, en plus du Pape ( qui ne devrait pas tarder à excommunier la France ) sur le soutien de ses nombreux amis.
Que la forc ... foi soit avec nous.
L’Empire vivait des jours sombres. Partout en Europe, l'irraisonnable guerre avait pris le dessus, particulièrement en France, ou la folie des Valois avait incité ses propres vassaux à briser leurs liens d’avec l’arrogant illuminé pour mieux guerroyer contre leurs faibles voisins: Les Bourbonnais d’abord, l’Auvergne et la Provence prenaient tous leurs distances avec cette pitoyable lignée incapable de gérer leur domaine au point de laisser une jeune pucelle décider du sort du pays.
Pire; l’insoumission commençait à s’étendre chez nos électeurs : le Palatinat avait ainsi décidé de rejoindre l’alliance provençale après que le roi de France ait lâchement quitté celle-ci.
Soucieux de préserver la stabilité dans cette région et toujours prompte à mater les rébellions, l’Autriche entra en guerre pour ramener son voisin à la raison. Le conflit se termina un an plus tard par un modeste tribut offert par l’alliance du sud envers Vienne, enjoignant, du fait de la gloire éternelle qui émanait de notre souverain, le peuple de Mantoue à spontanément prêter allégeance.
Mais hélas, trois fois hélas : à peine la pacifique armée autrichienne s’en retournait dans ses foyers pour pouvoir à nouveau honorer le Très-Haut que le malin refaisait surface. Humiliée par une Auvergne qui la dépassait presque en taille, la France attaquait son ancien vassal, entraînant les pauvres lorrains et alsaciens dans sa déraison.
C’en était trop! Brandissant son épée de justice, Albert puisa dans ses maigres réserves pour ramener paix et raison dans cette région troublée.
Passant à l’offensive, la cavalerie occie 13000 français égarés pendant que le siège de Strasbourg était levé par un Richemond revenu en hâte sur le front, ce qui fût le dernier acte de guerre de celui-ci, qui, repartant après son forfait commis, tomba sur des auvergnats trop heureux de trouver le pillard avec une armée affaiblie dans leurs rases campagnes.
Mais hélas, après tant d’années de lutte, le fier peuple d’Autriche, fatigué de la guerre,avait peu d’hommes disposés à partir dans les contrées de l’ivrogne français. Pourtant la progression allait bon train, Paris était assiégée, tout comme Strasbourg.
C’est alors qu’un premier coup du sort s’abattit sur notre paisible nation, les sièges furent levés par des renforts français qui jusqu’alors fuyaient devant nos hommes. Nul doute que le triste sire avait profité des ducats des nobles provinciaux qu’il trucidait honteusement les uns après les autres. Pourtant, si ce n'est Jean bureau qui levait notre siège en Languedoc, l’armée impériale tenait bon, malgré une infériorité numérique qui devenait de plus en plus évidente.
Et c’est alors que ce statut de quo s’imposait et que des négociations étaient engagées que la Provence, pitoyable ex-vassal décida de rejoindre la France spontanément, oubliant que celle-ci ne lui avait pas porté la moindre assistance dans sa guerre contre l’Anglais, prouvant par là même que des agents français accomplissaient partout leur noirs desseins.
Désormais, le peuple d’Autriche se battait partout contre de la piétaille française à 1 contre 10 et devait adopter une attitude défensive pour la première fois depuis le début du conflit.
Et c’est bien à ce moment qu’apparut l’étendu du complot : alors que Le Duc s’apprêtait à accepter la proposition de paix blanche du roi de France, celui-ci changea d’avis à l’injonction de Stratcomet XIII, pathétique et pitoyable sultan qui avait récemment réussi à perdre la moitié de son territoire devant les révolutions d’autochtones qui demandaient tous à voir le pal trancher le cou du freluquet.
La réaction de tout roi chrétien eût été de refuser d’écouter l’ersatz sultanique mais Charles de France, être qui apparaît dorénavant comme un agent avilit à la solde de l’ottoman préféra revenir en arrière des négociations pour exiger Baden,uniquement pour la relâcher sous forme de vassal, preuve de ses ambitions impérialistes.
Et c’est en ces tristes jours que Ladislas, dit "le Posthume", disparut, son court règne n’ayant duré que le temps de la guerre qu’avait commencé son aïeul, seul à son crédit pu être porté la consolidation de liens avec nombres nations amies d’Europe .
Déjà, des contrées les plus lointaines arrivent des messagers rendant grâce à la personne du nouveau Souverain et lui prouvant que l'Autriche peut compter, en plus du Pape ( qui ne devrait pas tarder à excommunier la France ) sur le soutien de ses nombreux amis.
Que la forc ... foi soit avec nous.
Modifié en dernier par univerzz le ven. oct. 14, 2005 6:41 am, modifié 1 fois.
" The answer, my friend, is blowin' in the wind "
[align=center]
Louis XI, roi de France, récit des ans 1437 à 1475
L'ère complexe[/align]
Mon père Charles VII n'eu pas la chance de connaître la paix longtemps. La Bretagne, qui célébrait encore une paix tout juste retrouvée et la liberation que lui avait apportée la France et bien que réduite par la Provence, fut rapidement envahie par Le Duc d'Auvergne. C'en était trop. Malgré un équilibre militaire peu assuré, nous nous portâmes au secours de notre vassal. Les débuts de cette longue guerre qui commencait allaient être difficiles.
Pour ne rien arranger, l'Autriche, pour des raisons obscures, entra en guerre et les combats commencaient rapidement en Alsace Richemond alla y fracasser quelques crânes et faire pietiner l'Autriche.
La cavalerie auvergnate était nombreuse et fougeuse. Richmond, qui se porta ensuite rapidement au combat en Berri avec un contingent faible, fut tué au pied des collines d'Auvergne. La France perdait son meilleur Chef.
Il ne nous restait que Bureau, qui allait maintes fois se couvrir de Gloire. Et une politique allemande qui se revela payante. Nous disposions d'alliés pugnaces, Lorraine, Alsace et la fidèle Savoie. Grâce à leur aide et à un usage prudent de nos forces, nous fûmes en mesure de stabiliser la situation en Maine, Berri, Orléanais, envahies sans lendemain par l'Auvergne.
L'heure de la contre-attaque était venue. Bureau n'était pas l'homme des grandes batailles, mais un formidable défenseur et une preneur de places fortes sans pareil. Prise en tenaille entre nous et nos alliés, l'Auvergne, bien que coriace au combat et malgré la prise de Lyon, vit ses forces rapidement décliner. Au même moment, après avoir piétiné en Alsace, l'Autriche envahit les territoires du Nord, espérant mettre notre économie à genoux. Funeste erreur. Mon père tentât de combattre sur les deux fronts et se rendit rapidement compte que n'était absolument pas la bonne voie. Il fallait avant tout en finir avec l'Auvergne. La prise de Clermond-Ferrand accéléra les choses. Après la reconquête de la Guyenne, l'Auvergne accepta enfin la paix, cédant le Limousin, les Cevennes et surtout le riche Orléanais. Le Duc s'estimait heureux de conserver le Maine et le Berri, bien plus riche, sans réaliser qu'il perdait son arrière pays et devenait un long front.
Mais l'immédiat n'était pas là. Il fallait faire partir les Autrichiens et c'était une partie encore plus difficile. Les ressources en hommes s'épuisaient et les nouvelles provinces devaient encore se rétablir.
Heureusement, le royaume restait soudé, et l'Argent rentrait bien. Mon père n'hésita pas à faire appel aux mercenaires, onéreux certes, mais à la guerre la victoire est la première des considérations, lorsqu'elle est possible. Et elle l'était. L'Autriche pu prendre la mesure des immenses ressources de la France. Après avoir liberé Paris, Bureau pu poursuivre les Autrichiens dans le Nord. Ceux-ci faisaient parvenir régulièrement des renforts, mais bien trop dispersés. Ils avaient également, grâce à une diplomatie patiente, l'avantage de pouvoir réfugier leurs troupes dans plusieurs Etats adjacents (Bourgogne, palatinat...). Mais cela ne fait pas gagner une guerre.
En 1439, Presque toute la Bretagne devint Provencale. Puis l'Auvergne entre en guerre contre la Provence, s'arrogeant le Maine.
Lorsque nous héritâmes de la Provence, nous liberâmes immédiatement les Bretons qui acceptaient notre suzeraieneté. Ils n'allaient malheusement pas tarder à être attaquéa par les Auvergnats.
Des troupes fraîches devenaient disponibles. Des recrutements permanents rencontraient un succès considérable, les volontaires foisonnaient. La situation militaire à l'intérieur devenait franchement bonne. N'ayant aucunement l'intention de poursuivre cette guerre absurde contre l'Autriche, mon père entama des pourparlers. Il proposa d'emblée une offre généreuse: 100 ducats, et l'assurance de ne jamais conquérir une province en Hollande. Mais l'Archiduc, dont le côté caractériel confine volontiers à l'irrationnel, réclama encore plus: 150, ou 200 ducats, et l'assurance également de ne pas toucher à la Franche-Compté. Ceci alors que la dynamique de la guerre ne lui était pas favorable, sans encore lui être catastrophique. Nous proposâmes cependant jusqu'à 150 ducats. Mais non: c'était tout ou rien. Ce fut rien, et même pire pour lui. Nous tenons à signaler que nous n'avons pas entendu parler du sultan à ce moment-là.
Nos armées reprirent leur marche: Lorraine, Alsace, Baden, Wurtemberg, Anhalt furent enlevés les uns après les autres. Le Tyrol fut assiegé, et Salzburg également. L'Autriche et ses soldats démoralisés par la folie de leur souverain perdait bataille sur bataille. Et pourtant, celui-ci réclamait encore, dans sa situation, 200 ducats pour faire la paix. C'est bien la vérité de ce qui s'est passé que nous vous présentons là. Les autres souverains d'Europe accordèrent enfin leur attention à cette absurde situation et finalement, l'Autriche évita l'anéantissement en acceptant de céder le Baden , que nous vassalisions immédiatement.
Les rois de France ont une politique et s'y tiendrons: la plus grande prospérité à l'intérieur de la France, pas de possessions en propre à l'extérieur. Pierre qui roule n'amasse pas mousse.
L'Autriche, elle, aura à regretter longtemps de ne pas avoir accepté notre offre quand il en était temps, et deviendra d'ailleurs d'un aigreur inimaginable.
La période qui s'en suivi fut chaotique. Mon père, épuisé par toutes ses années de luttes mais enflammé par ses victoire, se confondit dans sa politique diplomatique allemande, jusqu'ici très réussie. Il ne réussit pas à jongler entre ses alliés et au final demanda la couronne en Cologne et Palatinat, ruinant nos relations avec les Etats limitrophes avec qui nous avions conclu des alliances dynastiques. Puis mourrut peu après.
Sa gloire deumerera éternelle.
J'héritais d'une situation intelligible à ce moment. Il s'agissait de payer l'Angleterre, selon nos accords, afin de récupere la Normandie, Caux, et le Poitou, de developper ces provinces, et de reconstruire la diplomatie allemande détruite par mon père dans sa fin de règne. Des sommes affolantes durent y être consacrées, mais cela se fit.
Et la guerre, à nouveau. Friesen, en Hollande, alliée, se retrouva en guerre contre la Bourgogne, qui s'agrandissait à nouveau (Luxembourg). Nous ne nous defaussons jamais. Cela dit, et nous ne l'avions pas réalisé de prime abord, nous nous retrouvâmes également en guerre contre la palatinat et le Brabant.
Cette fois cependant, et malgré la mort récente de Jean Bureau, les choses se passèrent bien mieux. L'armée Française disposaient de bonnes ressources et surtout, était devenue au fil de toutes ces années de guerre bien équipée et disciplinée, disposant d'une longueur d'avance sur ses voisins. En comparaison de l'Auvergne, la Bourgogne, dont les armées étaient considérables, presque deux fois plus importantes que les notres, fit pour tout dire n'importe quoi, et trouva la moitié de son armée acculée dans le Sud, pour périr en Languedoc. Elle en gaspillait l'autre dans un dur siège de l'Alsace, victorieux certes, mais absolument pas stratégique. Pendant ce temps, les sièges étaient mis dans toute la Hollande et en Franche Compté avec l'aide de la Savoie, après avoir pris la Bourgogne. Nous rencontrâmes rarement le Palatinat mais il me semble que la situation devenait confuse en Allemagne. Le Brabant , glorieux, fut battu et céda Gueldre. La Bourgogne, finalement, offrit la Franche-Compté, Zeeland, et la Hollande. Enfin !! Des décennies de lutte contre ce felon enfin recompensées. Nous allions pouvoir, comme nous y songions depuis longtemps, créer un réseau de vassaux stables en Hollande, en parfaite harmonie avec une politique diplomatique active et amicale en Allemagne. Les pièces se mettaient en place. Et c'est là que surgit une grave crise diplomatique. La prise de trois provinces souleva une réprobation unanîme de la part de tous les souverains et de la folie furieuse en Autriche, car cela excède les usages en vigueur et les lois de la Guerre, qui considèrent en Europe un tribut de deux provinces soustraites à un Etat souverain comme une limite acceptable. Nous ne pouvons qu'en convenir et sommes parfaitement prêt à faire repentance, mais des négociations sur la manière exacte de procéder sont encore en cours.
Dans tous les cas, nous avons crée des apenages dans toutes les provinces de Hollande, laissant la liberté à ces peuples, mais cela faisait partie de choix de longue date
Cela ne nous empêcha pas recemment d'acquérir pour une somme élevée mais prévue les deux dernière provinces anglaises sur le continent, Calais et La Gascogne.
Societé et Economie.
Toutes les terres incorporées au domaine royal ont joui pendant toutes ces années et malgré les troubles d'une exceptionnelle stabilité, car tel est le souhait des rois de France. Une dispute avec un voisin: nous la réglons quelque qu'en soit le prix. Une famille noble implore notre aide ? Nous l'accordons. Nous fûmes dix fois payés en retour: d'excelentes rentrée fiscales qui ont assuré la prédominance du royaume et nous ont permis sans coup férir de payer l'Angleterre, pas de révoltes, un peuple qui suit son souverain et une population qui augmente.
Malgre les réticences, nous avons favorisé dès que nous le pouvions l'innovation et la centralisation, poursuivant en cela l'oeuvre de nos ancêtres.
La concurrence commerciale en Ile de France et Flandres est dure mais soutenable. Les marchands portugais en particulier sont redoutables. Nous investisson cependant en Allemagne et en Russie.
Nos relations avec les provinces flamandes ont entrané de fructuex échange, et nous avons attiré de nombreux artistes de ces active contrées à notre cour, et avons entamé la constructions d'une académie d'Architecture et de tapisseries qui rayonnera bientôt dans toute l'Europe.
[align=center]
"Les Vendanges", actuellement étudiée par nos étudiants de l'Ecole d'Arts de Paris sous la direction des plus grands maîtres flamands[/align]
Diplomatie
Les relations avec les nations ibériques et surtout avec l'Angleterre sont bonnes, bien que nous ayons exprimé notre désaprobation devant la spoliation du pape.
Notre priorité est en Hollande et Allemangne, nous y voulons de la stabilité.
Notre principal souci est l'Autriche. Elle a récemment annexé par diplomatie le milanais. Bien lui en prenne, qu'elle gère des Italiens qui ne voudront pas d'elle. Qu'elle s'étende au Sud, à l'est, au nord, mais qu'elle nous laisse en paix.
En ce qui nous concerne, et hormis l'exception de la Flandres, nécessaire à la survie de la France car la politique n'est pas un jeu de cour, nous avons comme optique de ne posséder que des terres Françaises. Toutes ces terres, mais rien que ces terres.
LE ROI EST EMPEREUR EN SON ROYAUME.

Louis XI, roi de France, récit des ans 1437 à 1475
L'ère complexe[/align]
Mon père Charles VII n'eu pas la chance de connaître la paix longtemps. La Bretagne, qui célébrait encore une paix tout juste retrouvée et la liberation que lui avait apportée la France et bien que réduite par la Provence, fut rapidement envahie par Le Duc d'Auvergne. C'en était trop. Malgré un équilibre militaire peu assuré, nous nous portâmes au secours de notre vassal. Les débuts de cette longue guerre qui commencait allaient être difficiles.
Pour ne rien arranger, l'Autriche, pour des raisons obscures, entra en guerre et les combats commencaient rapidement en Alsace Richemond alla y fracasser quelques crânes et faire pietiner l'Autriche.
La cavalerie auvergnate était nombreuse et fougeuse. Richmond, qui se porta ensuite rapidement au combat en Berri avec un contingent faible, fut tué au pied des collines d'Auvergne. La France perdait son meilleur Chef.
Il ne nous restait que Bureau, qui allait maintes fois se couvrir de Gloire. Et une politique allemande qui se revela payante. Nous disposions d'alliés pugnaces, Lorraine, Alsace et la fidèle Savoie. Grâce à leur aide et à un usage prudent de nos forces, nous fûmes en mesure de stabiliser la situation en Maine, Berri, Orléanais, envahies sans lendemain par l'Auvergne.
L'heure de la contre-attaque était venue. Bureau n'était pas l'homme des grandes batailles, mais un formidable défenseur et une preneur de places fortes sans pareil. Prise en tenaille entre nous et nos alliés, l'Auvergne, bien que coriace au combat et malgré la prise de Lyon, vit ses forces rapidement décliner. Au même moment, après avoir piétiné en Alsace, l'Autriche envahit les territoires du Nord, espérant mettre notre économie à genoux. Funeste erreur. Mon père tentât de combattre sur les deux fronts et se rendit rapidement compte que n'était absolument pas la bonne voie. Il fallait avant tout en finir avec l'Auvergne. La prise de Clermond-Ferrand accéléra les choses. Après la reconquête de la Guyenne, l'Auvergne accepta enfin la paix, cédant le Limousin, les Cevennes et surtout le riche Orléanais. Le Duc s'estimait heureux de conserver le Maine et le Berri, bien plus riche, sans réaliser qu'il perdait son arrière pays et devenait un long front.
Mais l'immédiat n'était pas là. Il fallait faire partir les Autrichiens et c'était une partie encore plus difficile. Les ressources en hommes s'épuisaient et les nouvelles provinces devaient encore se rétablir.
Heureusement, le royaume restait soudé, et l'Argent rentrait bien. Mon père n'hésita pas à faire appel aux mercenaires, onéreux certes, mais à la guerre la victoire est la première des considérations, lorsqu'elle est possible. Et elle l'était. L'Autriche pu prendre la mesure des immenses ressources de la France. Après avoir liberé Paris, Bureau pu poursuivre les Autrichiens dans le Nord. Ceux-ci faisaient parvenir régulièrement des renforts, mais bien trop dispersés. Ils avaient également, grâce à une diplomatie patiente, l'avantage de pouvoir réfugier leurs troupes dans plusieurs Etats adjacents (Bourgogne, palatinat...). Mais cela ne fait pas gagner une guerre.
En 1439, Presque toute la Bretagne devint Provencale. Puis l'Auvergne entre en guerre contre la Provence, s'arrogeant le Maine.
Lorsque nous héritâmes de la Provence, nous liberâmes immédiatement les Bretons qui acceptaient notre suzeraieneté. Ils n'allaient malheusement pas tarder à être attaquéa par les Auvergnats.
Des troupes fraîches devenaient disponibles. Des recrutements permanents rencontraient un succès considérable, les volontaires foisonnaient. La situation militaire à l'intérieur devenait franchement bonne. N'ayant aucunement l'intention de poursuivre cette guerre absurde contre l'Autriche, mon père entama des pourparlers. Il proposa d'emblée une offre généreuse: 100 ducats, et l'assurance de ne jamais conquérir une province en Hollande. Mais l'Archiduc, dont le côté caractériel confine volontiers à l'irrationnel, réclama encore plus: 150, ou 200 ducats, et l'assurance également de ne pas toucher à la Franche-Compté. Ceci alors que la dynamique de la guerre ne lui était pas favorable, sans encore lui être catastrophique. Nous proposâmes cependant jusqu'à 150 ducats. Mais non: c'était tout ou rien. Ce fut rien, et même pire pour lui. Nous tenons à signaler que nous n'avons pas entendu parler du sultan à ce moment-là.
Nos armées reprirent leur marche: Lorraine, Alsace, Baden, Wurtemberg, Anhalt furent enlevés les uns après les autres. Le Tyrol fut assiegé, et Salzburg également. L'Autriche et ses soldats démoralisés par la folie de leur souverain perdait bataille sur bataille. Et pourtant, celui-ci réclamait encore, dans sa situation, 200 ducats pour faire la paix. C'est bien la vérité de ce qui s'est passé que nous vous présentons là. Les autres souverains d'Europe accordèrent enfin leur attention à cette absurde situation et finalement, l'Autriche évita l'anéantissement en acceptant de céder le Baden , que nous vassalisions immédiatement.
Les rois de France ont une politique et s'y tiendrons: la plus grande prospérité à l'intérieur de la France, pas de possessions en propre à l'extérieur. Pierre qui roule n'amasse pas mousse.
L'Autriche, elle, aura à regretter longtemps de ne pas avoir accepté notre offre quand il en était temps, et deviendra d'ailleurs d'un aigreur inimaginable.
La période qui s'en suivi fut chaotique. Mon père, épuisé par toutes ses années de luttes mais enflammé par ses victoire, se confondit dans sa politique diplomatique allemande, jusqu'ici très réussie. Il ne réussit pas à jongler entre ses alliés et au final demanda la couronne en Cologne et Palatinat, ruinant nos relations avec les Etats limitrophes avec qui nous avions conclu des alliances dynastiques. Puis mourrut peu après.
Sa gloire deumerera éternelle.
J'héritais d'une situation intelligible à ce moment. Il s'agissait de payer l'Angleterre, selon nos accords, afin de récupere la Normandie, Caux, et le Poitou, de developper ces provinces, et de reconstruire la diplomatie allemande détruite par mon père dans sa fin de règne. Des sommes affolantes durent y être consacrées, mais cela se fit.
Et la guerre, à nouveau. Friesen, en Hollande, alliée, se retrouva en guerre contre la Bourgogne, qui s'agrandissait à nouveau (Luxembourg). Nous ne nous defaussons jamais. Cela dit, et nous ne l'avions pas réalisé de prime abord, nous nous retrouvâmes également en guerre contre la palatinat et le Brabant.
Cette fois cependant, et malgré la mort récente de Jean Bureau, les choses se passèrent bien mieux. L'armée Française disposaient de bonnes ressources et surtout, était devenue au fil de toutes ces années de guerre bien équipée et disciplinée, disposant d'une longueur d'avance sur ses voisins. En comparaison de l'Auvergne, la Bourgogne, dont les armées étaient considérables, presque deux fois plus importantes que les notres, fit pour tout dire n'importe quoi, et trouva la moitié de son armée acculée dans le Sud, pour périr en Languedoc. Elle en gaspillait l'autre dans un dur siège de l'Alsace, victorieux certes, mais absolument pas stratégique. Pendant ce temps, les sièges étaient mis dans toute la Hollande et en Franche Compté avec l'aide de la Savoie, après avoir pris la Bourgogne. Nous rencontrâmes rarement le Palatinat mais il me semble que la situation devenait confuse en Allemagne. Le Brabant , glorieux, fut battu et céda Gueldre. La Bourgogne, finalement, offrit la Franche-Compté, Zeeland, et la Hollande. Enfin !! Des décennies de lutte contre ce felon enfin recompensées. Nous allions pouvoir, comme nous y songions depuis longtemps, créer un réseau de vassaux stables en Hollande, en parfaite harmonie avec une politique diplomatique active et amicale en Allemagne. Les pièces se mettaient en place. Et c'est là que surgit une grave crise diplomatique. La prise de trois provinces souleva une réprobation unanîme de la part de tous les souverains et de la folie furieuse en Autriche, car cela excède les usages en vigueur et les lois de la Guerre, qui considèrent en Europe un tribut de deux provinces soustraites à un Etat souverain comme une limite acceptable. Nous ne pouvons qu'en convenir et sommes parfaitement prêt à faire repentance, mais des négociations sur la manière exacte de procéder sont encore en cours.
Dans tous les cas, nous avons crée des apenages dans toutes les provinces de Hollande, laissant la liberté à ces peuples, mais cela faisait partie de choix de longue date
Cela ne nous empêcha pas recemment d'acquérir pour une somme élevée mais prévue les deux dernière provinces anglaises sur le continent, Calais et La Gascogne.
Societé et Economie.
Toutes les terres incorporées au domaine royal ont joui pendant toutes ces années et malgré les troubles d'une exceptionnelle stabilité, car tel est le souhait des rois de France. Une dispute avec un voisin: nous la réglons quelque qu'en soit le prix. Une famille noble implore notre aide ? Nous l'accordons. Nous fûmes dix fois payés en retour: d'excelentes rentrée fiscales qui ont assuré la prédominance du royaume et nous ont permis sans coup férir de payer l'Angleterre, pas de révoltes, un peuple qui suit son souverain et une population qui augmente.
Malgre les réticences, nous avons favorisé dès que nous le pouvions l'innovation et la centralisation, poursuivant en cela l'oeuvre de nos ancêtres.
La concurrence commerciale en Ile de France et Flandres est dure mais soutenable. Les marchands portugais en particulier sont redoutables. Nous investisson cependant en Allemagne et en Russie.
Nos relations avec les provinces flamandes ont entrané de fructuex échange, et nous avons attiré de nombreux artistes de ces active contrées à notre cour, et avons entamé la constructions d'une académie d'Architecture et de tapisseries qui rayonnera bientôt dans toute l'Europe.
[align=center]

"Les Vendanges", actuellement étudiée par nos étudiants de l'Ecole d'Arts de Paris sous la direction des plus grands maîtres flamands[/align]
Diplomatie
Les relations avec les nations ibériques et surtout avec l'Angleterre sont bonnes, bien que nous ayons exprimé notre désaprobation devant la spoliation du pape.
Notre priorité est en Hollande et Allemangne, nous y voulons de la stabilité.
Notre principal souci est l'Autriche. Elle a récemment annexé par diplomatie le milanais. Bien lui en prenne, qu'elle gère des Italiens qui ne voudront pas d'elle. Qu'elle s'étende au Sud, à l'est, au nord, mais qu'elle nous laisse en paix.
En ce qui nous concerne, et hormis l'exception de la Flandres, nécessaire à la survie de la France car la politique n'est pas un jeu de cour, nous avons comme optique de ne posséder que des terres Françaises. Toutes ces terres, mais rien que ces terres.
LE ROI EST EMPEREUR EN SON ROYAUME.
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- Seigneur du Spam
- Messages : 498
- Enregistré le : mar. août 17, 2004 8:12 pm
- Localisation : Suisse
Missive espagnole
Par la présente le ROi d'Espagne affirme, que
les objectifs espgnoles en Italie sont atteints
et que l'Espagne laissera désormais en paix le
Pape et ses conseillers peu avisés. Nous reconnaissons
les prétentions du ROi de France de régner sur toute les
provinces francophones.
Pour ce qui est du souverain qui régne sur l'Angletterre
nous admirons sa gestion efficace et sa grandeur d'âme. Mais
nous ne comprenons pas vraiment pourquoi il s'acharne à se
montrer si peu amical vis-à-vis de la couronne Espagnol.
L'espagne ne nourrit aucune ambition particulière, nous voulons
juste a terme reconquérire les terres espagnoles à l'infidèle.
Que les souverains d'Europe entendent notre message de paix et
d'espérance.
Don Jimbez
Par la présente le ROi d'Espagne affirme, que
les objectifs espgnoles en Italie sont atteints
et que l'Espagne laissera désormais en paix le
Pape et ses conseillers peu avisés. Nous reconnaissons
les prétentions du ROi de France de régner sur toute les
provinces francophones.
Pour ce qui est du souverain qui régne sur l'Angletterre
nous admirons sa gestion efficace et sa grandeur d'âme. Mais
nous ne comprenons pas vraiment pourquoi il s'acharne à se
montrer si peu amical vis-à-vis de la couronne Espagnol.
L'espagne ne nourrit aucune ambition particulière, nous voulons
juste a terme reconquérire les terres espagnoles à l'infidèle.
Que les souverains d'Europe entendent notre message de paix et
d'espérance.
Don Jimbez
Le vrai moyen d'être trompé, c'est de se croire plus fin que les autres. [François de La Rochefoucauld]
Les moyens qui rendent un homme propre à faire fortune sont les mêmes qui l'empêchent d'en jouir. [Rivarol]
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- Foudre de Guerre
- Messages : 1289
- Enregistré le : mer. janv. 05, 2005 3:44 pm
- Localisation : bretagne
Déclarations diplomatiques de Vienne :
*Au glorieux roi d'Angleterre: nous ne comprenons pourquoi votre nation commercante s'entête t'elle à menacer notre cousin espagnol. Vous avez déjà rançonné de belle manière l'arrogant fou de France, visez vous déjà la pacifique Espagne ?
*Au roi de France : nous nous sommes ravis d'avoir à nouveau de vos nouvelles toujours si divertissantes. Après après vouloir "chatier" la Bourgogne qui n'était plus votre vassal depuis le trainté d'Arras, voilà que vous volez les terres qui appartiennent au Saint Empire. Mieux, vous prônez partout n'avoir aucune ambition impérialiste pour mieux annexer ou vasssaliser des provinces hollandaises sur lesquelles vous n'avez aucuns droits.
La dernière preuve de votre folie est encore plus amusante: stabiliser l'allemagne ... pourriez vous nous l'indiquer sur une carte ? Proche de votre lilliputie sans doute ?
Se pourrait il que vous fassiez à nouveau allusion à des provinces du nord du Saint Empire, cette région même ou vous ne cessez de guerroyez, mettant tout à feu et à sang tout vous couvrant de ridicules en réclamant des trônes que l'on ne vous accordera jamais ?
Amusez nous plutôt en convoquant ces conseils que vous appréciez pour convenir de nouvelles lois de la féodalité, règles que votre esprit malade a toutes les peines du monde à respecter.
Peut-être déjà lorgnez vous, rongé par la jalousie, sur l'Empereur, ce qui nous vaut vos déclarations tapageuses " empereur en votre royaume " qui prennent tous leurs sens devant les sommes que vous payez au généreux roi d'Angleterre qui a eut la bonté de préférer vous vendre ces terres qui agrandissent votre domaine.
De plus, puisqu'il apparait que vous demandiez récement la permission à votre créancier pour attaquer la noble Castille peut-être devriez vous officialiser dès maintenant votre allégeance à la couronne d'Angleterre.
*Au Duc de Moscou : Il nous tarde d'avoir de vos nouvelles. Puissez vous repousser loin à l'est le fléau des hordes qui pactise encore et toujours avec le malin. Nous restons à votre disposition si nous pouvons vous être agréable.
*A notre cousin portugais: la stabilité de votre nation et son action pour le développement de la seule vraie foi enorgueillit tous vos amis.
*Au Rey de Castille: nous sommes fort surpris que des nations comme l'Angleterre et la France vous cherche querelle, quelle prétexte auraient t'elles, si ce n'est que d'assouvir leur besoin de sang, de crimes et d'horreurs .
*Au régent de Suède: le développement de votre nation et son rapprochement avec son frère moscovite nous fait grand plaisir, nous serions ravis d'établir une ambassade d'hivers dans votre pays.
*Au glorieux roi d'Angleterre: nous ne comprenons pourquoi votre nation commercante s'entête t'elle à menacer notre cousin espagnol. Vous avez déjà rançonné de belle manière l'arrogant fou de France, visez vous déjà la pacifique Espagne ?
*Au roi de France : nous nous sommes ravis d'avoir à nouveau de vos nouvelles toujours si divertissantes. Après après vouloir "chatier" la Bourgogne qui n'était plus votre vassal depuis le trainté d'Arras, voilà que vous volez les terres qui appartiennent au Saint Empire. Mieux, vous prônez partout n'avoir aucune ambition impérialiste pour mieux annexer ou vasssaliser des provinces hollandaises sur lesquelles vous n'avez aucuns droits.
La dernière preuve de votre folie est encore plus amusante: stabiliser l'allemagne ... pourriez vous nous l'indiquer sur une carte ? Proche de votre lilliputie sans doute ?
Se pourrait il que vous fassiez à nouveau allusion à des provinces du nord du Saint Empire, cette région même ou vous ne cessez de guerroyez, mettant tout à feu et à sang tout vous couvrant de ridicules en réclamant des trônes que l'on ne vous accordera jamais ?
Amusez nous plutôt en convoquant ces conseils que vous appréciez pour convenir de nouvelles lois de la féodalité, règles que votre esprit malade a toutes les peines du monde à respecter.
Peut-être déjà lorgnez vous, rongé par la jalousie, sur l'Empereur, ce qui nous vaut vos déclarations tapageuses " empereur en votre royaume " qui prennent tous leurs sens devant les sommes que vous payez au généreux roi d'Angleterre qui a eut la bonté de préférer vous vendre ces terres qui agrandissent votre domaine.
De plus, puisqu'il apparait que vous demandiez récement la permission à votre créancier pour attaquer la noble Castille peut-être devriez vous officialiser dès maintenant votre allégeance à la couronne d'Angleterre.
*Au Duc de Moscou : Il nous tarde d'avoir de vos nouvelles. Puissez vous repousser loin à l'est le fléau des hordes qui pactise encore et toujours avec le malin. Nous restons à votre disposition si nous pouvons vous être agréable.
*A notre cousin portugais: la stabilité de votre nation et son action pour le développement de la seule vraie foi enorgueillit tous vos amis.
*Au Rey de Castille: nous sommes fort surpris que des nations comme l'Angleterre et la France vous cherche querelle, quelle prétexte auraient t'elles, si ce n'est que d'assouvir leur besoin de sang, de crimes et d'horreurs .
*Au régent de Suède: le développement de votre nation et son rapprochement avec son frère moscovite nous fait grand plaisir, nous serions ravis d'établir une ambassade d'hivers dans votre pays.
" The answer, my friend, is blowin' in the wind "
[align=center]Annonce de la régence Suédoise[/align]
Nous invitons l'ambassadeur Viennois à s'installer à Lubeck, ville dont le climat sera moins hostile que d'autres cités de notre jeune nation.
Quand à la Moscovie, nous avons combattu ensemble pendant plus qu'une décennie. Mais Novgorod a profité des quelques jours de traversée de la Mer Baltique avant la signature de notre nouveau accord militaire, pour attaquer les moscovites. Nous reflechirons à comment chatier cette lacheté !
Nous invitons l'ambassadeur Viennois à s'installer à Lubeck, ville dont le climat sera moins hostile que d'autres cités de notre jeune nation.
Quand à la Moscovie, nous avons combattu ensemble pendant plus qu'une décennie. Mais Novgorod a profité des quelques jours de traversée de la Mer Baltique avant la signature de notre nouveau accord militaire, pour attaquer les moscovites. Nous reflechirons à comment chatier cette lacheté !
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- Humble Posteur
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- Enregistré le : ven. août 19, 2005 11:52 am
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Rapport sur l'Activité de l'Etat du Duché de Moscovie
par le Ministre Berenovitch à Ivan III dit "Veliky", Duc de Moscovie
[align=right]Au Seize d'Août de l'An Quatorze-Cent Soixante-Quinze,[/align]
Monsieur le Duc,
En l'An Quatorze-Cent Trente-Sept, notre Duché se portait bien, se remettant d'années de guerre. C'était sans compter la félonie du Novgorod. Ainsi, en le Premier d'Avril de cette année, ils nous ont une nouvelle fois attaqué. Il fallait leur donner une bonne leçon, mais ils étaient puissants ; heureusement, le Suzdal nous suivit dans ce conflit. Mais une guerre longue contre ce pays nous serait, comme de coutume, toujours défavorable, leurs capacités financières et militaires étant toujours supérieures aux nôtres. Il s'est donc agi de frapper rapidement et stratégiquement. Les victoires s'enchaînèrent mais, avant que nos troupes ne s'épuisent trop et que le Novgorod renverse la situation par l'usure, nous les forçâmes à payer une indemnité de guerre. Mais cela ne faisait que repousser le problème, nous le savions, mais nous n'étions pas assez puissants pour définitivement les écraser. La Paix fut signée en le Dix-Sept de Décembre Quatorze-Cent Trente-Huit.
De nouveau, tout était à recommencer dans le pays. Des rebelles venus du Sud venait piller nos régions mais nous purent de nouveau stabiliser notre Duché, nos marchands rapportant quelque argent.
Mais en l'An Quatorze-Cent Quarante-Trois, Tver déclara son indépendance vis-à-vis de la Lituanie, qui évidemment voulut réprimer l'insurrection dans le sang. L'occasion était trop belle pour reconquérir des terres russes. Nous déclarâmes la guerre à Tver en le Vingt-Neuf de Janvier. Avant l'Hiver suivant, le Vingt-Trois de Novembre, Tver était à nous. Cet acte était certes peu glorieux, mais il était nécessaire pour éviter que ces terres ne redeviennent inutilement Lituaniennes et pour que le peuple de Tver, notre peuple, ne ce soit pas battu pour rien et puisse revenir dans le giron maternel.
La consolidation du Pays pouvait alors reprendre.
Mais il fallait nous protéger des incessantes attaques Novgorodiennes. Après quelques discussions et arrangements, nous rompîrent l'alliance avec le Suzdal pour intégrer, en le Vingt-Sept de Décembre de l'An Quatorze-Cent Cinquante-Deux, celle formée par la Suède avec le Danemark et Brême.
Nous avons honoré cette alliance en déclarant la guerre à la Poméranie, l'Ordre Teutonique et la Prusse en le Dix-Huit de Février de l'An Quatorze-Cent Cinquante-Quatre. Durant ce long conflit, nous avons envahi une grande partie de l'Ordre Teutonique. Pourtant celui-ci refusait de discuter avec nous et il fallut que la Suède, en le Quinze d'Avril Quatorze-Cent Cinquante-Huit, négocie une paix générale, en nous accordant la province de Pskov, Livland lui revenant, sans compter une petite indemnité.
Le Vingt-Huit de Mars de l'An Quatorze-Cent Soixante-Deux, notre Duché Vassili II, votre Père, mourut et votre Avènement fut une grande joie pour notre Peuple, sous le nom d'Ivan III dit "Veliky", Duc de Moscovie.
Mais nombre de provinces nous revenant légitimement se trouvaient encore hors de notre territoire. Nos régions étant pauvres, notre pays ne se développait que trop lentement. Il nous fallait nous agrandir. C'est donc ainsi que nous avons entamé une guerre contre le Suzdal qui refusait de revenir diplomatiquement en notre sein. Nous avons décidé de ne pas demander l'aide de nos alliés et, en le Quatorze d'Avril de l'An Quatorze-Cent Soixante-Quatre, nous avons envahi notre voisin. Il fallut attendre en le Vingt-Neuf de Juillet de l'An Quatorze-Cent Soixante-Cinq pour que notre ennemi avoue sa défaite et signe une reddition totale.
Notre Pays devenait une puissance régionale d'importance. Notre alliance avec notre voisin Suèdois nous assurait une paix durable. Malheureusement, un vice de procédure fut découvert et cette alliance fut considérée comme illégale par l'ensemble des Cours Européennes. Il fut décidé, puisqu'il était impossible de la rompre en bonne et due forme avant son terme, qu'elle reste non suivie de faits. C'est ainsi que notre pays connut une longue période de paix, où le fléau de l'inflation fut réduit et notre Trésorerie grandement améliorée. Notre population croissa sous l'effort d'urbanisation dans nos contrées les plus reculées.
Comme il avait donc convenu, en le Deux de Juillet Quatorze-Cent Soixante-Quinze, notre alliance avec la Suède, Brême et le Danemark parvint à expiration. Il avait été décidé que la Suède, au moins, reste notre allié, mais les émissaires n'eurent le temps de finaliser l'accord qu'en le Quatre de Juillet, le Novgorod nous déclara de nouveau la guerre. L'alliance avec la Suède et Brême fut signée en le Seize de Juillet, mais il était trop tard et au vu des règles internationales, nous étions seuls face à notre puissant ennemi de toujours. Des tractations sont en cours pour voir comment la Suède pourrait nous aider.
Par Déclaration,
Berenovitch, Ministre du Duché de Moscovie
par le Ministre Berenovitch à Ivan III dit "Veliky", Duc de Moscovie
[align=right]Au Seize d'Août de l'An Quatorze-Cent Soixante-Quinze,[/align]
Monsieur le Duc,
En l'An Quatorze-Cent Trente-Sept, notre Duché se portait bien, se remettant d'années de guerre. C'était sans compter la félonie du Novgorod. Ainsi, en le Premier d'Avril de cette année, ils nous ont une nouvelle fois attaqué. Il fallait leur donner une bonne leçon, mais ils étaient puissants ; heureusement, le Suzdal nous suivit dans ce conflit. Mais une guerre longue contre ce pays nous serait, comme de coutume, toujours défavorable, leurs capacités financières et militaires étant toujours supérieures aux nôtres. Il s'est donc agi de frapper rapidement et stratégiquement. Les victoires s'enchaînèrent mais, avant que nos troupes ne s'épuisent trop et que le Novgorod renverse la situation par l'usure, nous les forçâmes à payer une indemnité de guerre. Mais cela ne faisait que repousser le problème, nous le savions, mais nous n'étions pas assez puissants pour définitivement les écraser. La Paix fut signée en le Dix-Sept de Décembre Quatorze-Cent Trente-Huit.
De nouveau, tout était à recommencer dans le pays. Des rebelles venus du Sud venait piller nos régions mais nous purent de nouveau stabiliser notre Duché, nos marchands rapportant quelque argent.
Mais en l'An Quatorze-Cent Quarante-Trois, Tver déclara son indépendance vis-à-vis de la Lituanie, qui évidemment voulut réprimer l'insurrection dans le sang. L'occasion était trop belle pour reconquérir des terres russes. Nous déclarâmes la guerre à Tver en le Vingt-Neuf de Janvier. Avant l'Hiver suivant, le Vingt-Trois de Novembre, Tver était à nous. Cet acte était certes peu glorieux, mais il était nécessaire pour éviter que ces terres ne redeviennent inutilement Lituaniennes et pour que le peuple de Tver, notre peuple, ne ce soit pas battu pour rien et puisse revenir dans le giron maternel.
La consolidation du Pays pouvait alors reprendre.
Mais il fallait nous protéger des incessantes attaques Novgorodiennes. Après quelques discussions et arrangements, nous rompîrent l'alliance avec le Suzdal pour intégrer, en le Vingt-Sept de Décembre de l'An Quatorze-Cent Cinquante-Deux, celle formée par la Suède avec le Danemark et Brême.
Nous avons honoré cette alliance en déclarant la guerre à la Poméranie, l'Ordre Teutonique et la Prusse en le Dix-Huit de Février de l'An Quatorze-Cent Cinquante-Quatre. Durant ce long conflit, nous avons envahi une grande partie de l'Ordre Teutonique. Pourtant celui-ci refusait de discuter avec nous et il fallut que la Suède, en le Quinze d'Avril Quatorze-Cent Cinquante-Huit, négocie une paix générale, en nous accordant la province de Pskov, Livland lui revenant, sans compter une petite indemnité.
Le Vingt-Huit de Mars de l'An Quatorze-Cent Soixante-Deux, notre Duché Vassili II, votre Père, mourut et votre Avènement fut une grande joie pour notre Peuple, sous le nom d'Ivan III dit "Veliky", Duc de Moscovie.
Mais nombre de provinces nous revenant légitimement se trouvaient encore hors de notre territoire. Nos régions étant pauvres, notre pays ne se développait que trop lentement. Il nous fallait nous agrandir. C'est donc ainsi que nous avons entamé une guerre contre le Suzdal qui refusait de revenir diplomatiquement en notre sein. Nous avons décidé de ne pas demander l'aide de nos alliés et, en le Quatorze d'Avril de l'An Quatorze-Cent Soixante-Quatre, nous avons envahi notre voisin. Il fallut attendre en le Vingt-Neuf de Juillet de l'An Quatorze-Cent Soixante-Cinq pour que notre ennemi avoue sa défaite et signe une reddition totale.
Notre Pays devenait une puissance régionale d'importance. Notre alliance avec notre voisin Suèdois nous assurait une paix durable. Malheureusement, un vice de procédure fut découvert et cette alliance fut considérée comme illégale par l'ensemble des Cours Européennes. Il fut décidé, puisqu'il était impossible de la rompre en bonne et due forme avant son terme, qu'elle reste non suivie de faits. C'est ainsi que notre pays connut une longue période de paix, où le fléau de l'inflation fut réduit et notre Trésorerie grandement améliorée. Notre population croissa sous l'effort d'urbanisation dans nos contrées les plus reculées.
Comme il avait donc convenu, en le Deux de Juillet Quatorze-Cent Soixante-Quinze, notre alliance avec la Suède, Brême et le Danemark parvint à expiration. Il avait été décidé que la Suède, au moins, reste notre allié, mais les émissaires n'eurent le temps de finaliser l'accord qu'en le Quatre de Juillet, le Novgorod nous déclara de nouveau la guerre. L'alliance avec la Suède et Brême fut signée en le Seize de Juillet, mais il était trop tard et au vu des règles internationales, nous étions seuls face à notre puissant ennemi de toujours. Des tractations sont en cours pour voir comment la Suède pourrait nous aider.
Par Déclaration,
Berenovitch, Ministre du Duché de Moscovie
Modifié en dernier par Beren le mer. oct. 12, 2005 10:14 pm, modifié 1 fois.
Beren Erchamion
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Déclaration de l'Etat du Duché de Moscovie
par le Duc de Moscovie, Ivan III dit "Veliky"
[align=right]Au Seize d'Août de l'An Quatorze-Cent Soixante-Quinze,[/align]
Par Déclaration,
Au Monarque d'Autriche,
Sensible à votre appel, nous avons fait parvenir, ainsi qu'aux autres Couronnes Européennes, la communication sur l'Activité de l'Etat du Duché de Moscovie. Nous restons touchés par les liens unissant nos deux Nations.
Au Roi de Suède,
Je ne peux que regretter la mésaventure de ce que j'appelle la félonie du Novgorod, qui profita du temps des négociations pour nous déclarer la guerre. Cette situation est particulièrement génante. Mais elle prouve bien que cet adversaire se doit d'être remis à sa place.
J'ose espèrer qu'en vertu de notre alliance, vous déclariez la guerre à ces chiens, bien que nous nous retrouvions alors chacun de notre côté et que cela vous mette dans une situation bien inconfortable et vous fasse pâtir d'une réputation peu enviable. Mais l'occasion est belle d'honorer notre arrangement et de vous remettre les territoires que vous avez réclamés.
Par Déclaration,
Vassili II, Duc de Moscovie
par le Duc de Moscovie, Ivan III dit "Veliky"
[align=right]Au Seize d'Août de l'An Quatorze-Cent Soixante-Quinze,[/align]
Par Déclaration,
Au Monarque d'Autriche,
Sensible à votre appel, nous avons fait parvenir, ainsi qu'aux autres Couronnes Européennes, la communication sur l'Activité de l'Etat du Duché de Moscovie. Nous restons touchés par les liens unissant nos deux Nations.
Au Roi de Suède,
Je ne peux que regretter la mésaventure de ce que j'appelle la félonie du Novgorod, qui profita du temps des négociations pour nous déclarer la guerre. Cette situation est particulièrement génante. Mais elle prouve bien que cet adversaire se doit d'être remis à sa place.
J'ose espèrer qu'en vertu de notre alliance, vous déclariez la guerre à ces chiens, bien que nous nous retrouvions alors chacun de notre côté et que cela vous mette dans une situation bien inconfortable et vous fasse pâtir d'une réputation peu enviable. Mais l'occasion est belle d'honorer notre arrangement et de vous remettre les territoires que vous avez réclamés.
Par Déclaration,
Vassili II, Duc de Moscovie
Beren Erchamion