L'Ombre de la guillotine

jolou
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Re: L'Ombre de la guillotine

Message par jolou »

Vous regardez fébrilement autour de vous. Sur la droite, une porte entrebâillée laisse échapper des relents de viande avariée. Sans prendre le temps de réfléchir, vous vous y engouffrez. Vous vous trouvez dans la cuisine d'une gargote. Une souillon lave soigneusement dans un baquet d'eau sale des écuelles de bois encroûtées de graisse figée. Lorsque vous faites irruption, elle pousse un cri strident. Instinctivement, vous courez vers la porte située à l'autre extrémité de la pièce. Derrière vous, un brouhaha s'élève dans le passage. La porte donne directement dans la salle de l'auberge. Quelques consommateurs lèvent les yeux avec curiosité lorsque vous traversez celle-ci en trombe, en renversant un tabouret au passage, pour gagner la sortie. Vous franchissez la porte d'un bond et vous vous retrouvez dans la rue, cette fois derrière la bande de citoyens armés.
Au moment où, haletant, vous croyez avoir échappé à vos poursuivants, une exclamation retentit derrière votre dos.
— Le v'là ! crie une voix au fort accent parisien. Vous reprenez votre course en louvoyant entre les passants dont certains essayent sans succès de vous arrêter, dévalez des passages obscurs, bondissez par-dessus des monceaux de détritus qui barrent parfois près de la moitié de la chaussée. Dieu merci, aucun de vos poursuivants ne semble disposé à prendre le risque de blesser un témoin innocent en ouvrant le feu sur vous. Petit à petit, les clameurs s'estompent dans le lointain, mais vous continuez à courir jusqu'à ce que vous ayez la certitude d'avoir définitivement distancé la foule lancée à vos trousses. Vous ralentissez alors l'allure et continuez à chercher la maison.
Vous frappez conformément au code que l'on vous a indiqué :

Quatre coups brefs, suivis de trois plus lents. La porte est ouverte par une jeune fille.
— Je viens de la part de M. Gascon, dites-vous.
— De Chevreuse ? demande-t-elle.
— Non, d'Orsay, répondez-vous.
— Entrez vite, dit-elle en regardant anxieusement des deux côtés de la rue.
Vous franchissez le seuil.

Plusieurs personnes sont assises dans une pièce spacieuse, éclairée par des bougies. A votre entrée, un monsieur âgé, à cheveux blancs, se lève pour vous accueillir.
— Bonjour, monsieur, dit-il. Permettez-moi de me présenter et de vous présenter ces personnes. Je suis le marquis de Candeille, naguère l'un des conseillers les plus intimes du roi, aujourd'hui, hélas, rien de plus qu'un fugitif. Et voici ma fille, Marguerite.
Il désigne une femme d'âge mûr, élancée, qui se lève et vous fait une révérence. Vous vous inclinez très bas devant elle.
— Nous avons dû fuir nos demeures sans rien emporter d'autre que les vêtements que nous portons sur nous, dit le marquis. Notre intention est de gagner le plus rapidement possible l'Ecosse, où d'autres partisans de notre vénéré roi sont déjà rassemblés. Notre groupe comprend également le marquis de Serval (il désigne un autre homme âgé, qui boit un verre de vin dans un coin de la pièce ; celui-ci lève les yeux et hoche brièvement la tête en réponse à votre salut) et le comte de La Vallière, accompagné de son épouse, la comtesse de la Vallière, et de leurs enfants, Raoul et Josette.
Le comte, un homme assez jeune qui a quelque chose de militaire dans l'allure, se lève et s'incline en vous serrant énergiquement la main.
— Très honoré de faire votre connaissance, monsieur... ?
Vous vous hâtez de vous présenter, et la jeune fille, Madeleine, vous dispense d'explications embarrassantes en revenant vous apporter un verre de vin. Vous acceptez celui-ci avec reconnaissance et, en le buvant, vous remarquez que les aristocrates vous observent attentivement. Le marquis de Candeille finit par prendre la parole.
— Nous espérions, monsieur d'Auvergne, que vous vous joindriez à notre groupe pour tenter de recouvrer la liberté. Je serai franc. Nous avons terriblement besoin de quelqu'un doté d'une certaine expérience militaire et d'une âme saine dans un corps sain. Et le nombre a toujours été un facteur de réussite.
Épuisé par les événements de la journée, vous acceptez sans trop réfléchir. C'est la meilleure occasion qui se soit présentée jusqu'ici, et il semble qu'elle repose sur un semblant d'organisation. Vous vous promettez d'interroger Madeleine dans la matinée, mais, pour l'instant, vous êtes trop fatigué pour faire quoi que ce soit d'autre que de vous écrouler sur un lit.

Le lendemain matin, une fois restauré, vous allez retrouver Madeleine, qui est en train de préparer un cataplasme pour le marquis de Serval. Apparemment, celui-ci souffre de la goutte. Après avoir posé le cataplasme, Madeleine vous réunit avec le comte de La Vallière et le marquis de Candeille pour vous expliquer les dispositions prises. Elle déroule un plan de Paris sur la vaste table de la cuisine.
— Nous sommes ici, dit-elle en posant son doigt sur la carte. La porte la plus proche est là, à moins d'un kilomètre, mais elle est si bien gardée qu'il n'y a aucun espoir de la franchir. Notre organisation a préféré concentrer ses efforts sur cette porte-ci, celle de la rue des Clefs. Normalement, elle n'est gardée que par une seule sentinelle mais, si celle-ci a besoin d'aide, les renforts ne sont pas loin. Nous avons réussi à soudoyer le gardien habituel, le sergent Valmy. Il prend son service à une heure du matin, et il lui est déjà arrivé à plusieurs reprises de laisser sortir une voiture sans la fouiller, à condition que le cocher lui remette cinq louis d'or. La somme vous coupe le souffle. Avec cinq louis, on peut mener la vie de château pendant au moins deux mois !
— J'ai amené derrière la maison, continue Madeleine, une carriole bâchée et suffisamment de chevaux pour la tirer et permettre à un cavalier d'ouvrir la route. Malheureusement, je n'ai personne pour la conduire : il faudra que l'un de vous s'en charge. Vous partirez d'ici à minuit et demi, et vous arriverez à la porte juste après que Valmy a pris son service. Emportez toutes les armes que vous
possédez. Je ne peux rien vous fournir d'autre que cette carriole. Une fois sortis de Paris, vous prendrez la route du nord-est, qui conduit directement à la forêt. A dix kilomètres de l'enceinte, quittez la route, dissimulez la voiture sous les arbres et attendez qu'on vienne vous trouver. De là, on vous conduira à Calais, dans un endroit 'sûr, d'où un bateau vous emmènera en Angleterre.

A la nuit tombante, vous commencez à charger la carriole. Les femmes et les deux aristocrates âgés voyageront à l'abri de la bâche. Vous avez le choix entre conduire la voiture ou la précéder à cheval, en avant-garde.
-Si vous décidez de faire cavalier seul.
-Si vous préférez conduire la carriole.
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Re: L'Ombre de la guillotine

Message par jolou »

Estimant que vous serez plus efficace à cheval, vous prenez les devants après un dernier adieu de Madeleine. Le comte de La Vallière prend avec maîtrise les rênes de la carriole et vous suit. Vous chevauchez depuis une vingtaine de minutes dans les ténèbres des rues désertes lorsque vous entendez le bruit des sabots, d'un autre cheval. Vous vous retournez et constatez que celui-ci suit la carriole. Qu'allez-vous faire ?
-Laisser la voiture vous dépasser et faire demi-tour pour affronter le poursuivant
-ou crier au comte de forcer l'allure?
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Re: L'Ombre de la guillotine

Message par sval06 »

jolou a écrit :Estimant que vous serez plus efficace à cheval, vous prenez les devants après un dernier adieu de Madeleine. Le comte de La Vallière prend avec maîtrise les rênes de la carriole et vous suit. Vous chevauchez depuis une vingtaine de minutes dans les ténèbres des rues désertes lorsque vous entendez le bruit des sabots, d'un autre cheval. Vous vous retournez et constatez que celui-ci suit la carriole. Qu'allez-vous faire ?
-Laisser la voiture vous dépasser et faire demi-tour pour affronter le poursuivant
-ou crier au comte de forcer l'allure?
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Les gardiens de la paix, au lieu de nous la garder, ils feraient mieux de nous la foutre.

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Re: L'Ombre de la guillotine

Message par jolou »

Vous dégainez votre pistolet et laissez la carriole prendre les devants. Au passage, le comte vous adresse un sourire crispé, et celui que vous lui retournez est tout aussi tendu. Le cavalier s'est arrêté, et il crie au comte de faire halte.Vous le touchez et reprenez en direction de la porte.
En arrivant à la porte, vous découvrez que le sergent Valmy, au lieu d'attendre tranquillement votre venue, a un genou en terre et un fusil braqué sur vous. Le bruit des coups de feu a dû le faire changer d'avis, et il n'est plus disposé à vous aider. Il tire et vous manque. Une escouade de soldats, qui s'était embusquée à proximité, arrive en courant à la rescousse.
-Allez-vous diriger votre cheval droit sur la porte
ou vers les gardes qui essayent d'intercepter la carriole ?
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Re: L'Ombre de la guillotine

Message par sval06 »

La porte, on pourra s'échapper courageusement vu qu'ils sont à pied
Les gardiens de la paix, au lieu de nous la garder, ils feraient mieux de nous la foutre.

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Re: L'Ombre de la guillotine

Message par jolou »

Valmy s'écarte d'un bond et vous passez la porte au galop. A quelques centaines de mètres de l'enceinte, vous faites halte et vous vous retournez sur votre selle. La carriole a réussi à franchir la porte, mais l'un des gardes est parvenu à s'agripper à l'arrière, et il grimpe sur la capote pour atteindre le comte. Qu'allez-vous faire ?
-Revenir sur vos pas pour prêter main-forte aux passagers de la voiture
-ou continuer votre route pour vous mettre en sûreté ?
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Re: L'Ombre de la guillotine

Message par GA_Thrawn »

Il faut aider nos amis, sinon comment continuer à se regarder dans un miroir? :o:
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Re: L'Ombre de la guillotine

Message par jolou »

En piquant des deux pour rejoindre la carriole, vous réalisez que vous n'avez pas rechargé votre pistolet. Vous amenez votre monture au niveau de la voiture et criez au comte de fouetter ses chevaux. Il le fait, et la carriole bondit en avant. Pris au dépourvu,
le soldat lâche prise et tombe. La carriole poursuit sa route, et vous galopez à côté d'elle.
Vous vous éloignez de la ville à bonne allure et atteignez bientôt la forêt dans laquelle Madeleine vous a dit que l'on viendrait vous chercher. Dans l'obscurité, vous quittez la route et dissimulez la voiture sous le couvert. Tout le monde met pied à terre, et vous attendez, dans les ténèbres, l'arrivée de vos guides.

Dans l'obscurité, vous entendez marcher sous les arbres. Lorsque les bruits de pas se rapprochent, vous voyez, à la pâle lueur de la lune, qu'il s'agit de deux hommes amenant des chevaux frais. Ils vous saluent et vous expliquent que votre prochaine étape est une ferme située à près d'une journée de cheval de là. Vous vous mettez en selle — avec une certaine difficulté, en ce qui concerne le marquis de Serval — et vous vous enfoncez plus profondément dans la forêt. Le voyage est long et fatigant. Les femmes et les enfants semblent le supporter assez bien, mais la santé du marquis de Serval est pour vous un souci constant. Ses forces déclinent d'heure en heure, et vous commencez à le soupçonner d'être atteint d'un mal plus grave que la goutte. A la fin de l'après-midi, vous atteignez une petite ferme, quelque part entre Paris et Calais. Vos guides vous y font entrer, et vous sombrez dans un sommeil agité aussitôt après avoir posé la tête sur l'oreiller.

Le lendemain matin, l'état du marquis de Serval s'est aggravé. Il semble que, en plus de la goutte, il ait également de l'arthrite et une maladie de coeur. Il lui est manifestement impossible de reprendre immédiatement la route, mais vos hôtes vous préviennent qu'un navire doit venir vous chercher le soir même sur la côte, non loin de Calais. Il faut vous mettre le plus rapidement possible en relation avec le correspondant local, qui prendra soin de vous.
En entendant cela, le marquis insiste pour que vous l'abandonniez.
— Je vous suivrai dans quelques jours, dit-il.

-Si vous acceptez.
-Si vous refusez et décidez de rester avec lui.
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Re: L'Ombre de la guillotine

Message par warsaw bucher »

On accepte et on le laisse crever.... euh attendre la :mrgreen:
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Re: L'Ombre de la guillotine

Message par jolou »

— Pas question, monsieur, ripostez-vous. Vous ne pouvez pas rester seul. Les autres doivent continuer, d'accord. Mais moi, je ne bouge pas d'ici tant que vous ne serez pas en état de voyager. Comprenant que rien ne vous fera changer d'avis, les autres acquiescent à contrecoeur et se mettent en route. Vous les regardez s'éloigner en vous demandant si vous les reverrez un jour. Plusieurs heures s'écoulent.
L'un des valets de la ferme arrive en courant dans la chambre où vous tenez compagnie au marquis. — Messieurs ! Un important groupe de cavaliers arrive par la route de Paris ! annonce-t-il. Vous vous précipitez à la fenêtre et jetez un coup d'oeil à travers les vitres sales. Il a dit vrai.
-Allez-vous rester avec le marquis
-ou préférez-vous tenter de fuir
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Re: L'Ombre de la guillotine

Message par Urial »

on reste avec le marquis !

nous mourrerons ou vivrons ensemble ! :)
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Re: L'Ombre de la guillotine

Message par GA_Thrawn »

Je crois que tu t'es trompé, on était censé abandonner le marquis Jolou :signal:
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Re: L'Ombre de la guillotine

Message par Bartimeus »

Faut dire aussi que le message était alambiqué ^^
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Re: L'Ombre de la guillotine

Message par warsaw bucher »

Je pensais pourtant avoir été assez clair :lol:
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