feu Urialovichi a écrit :Bon la fin est proche et je ne retirerais donc pas plus d'informations
Du coup ce texte n'est pas la pour que vous disiez : "aller sale turc on te croit pas !" mais pour laisser toute mes reflexions sur nos ennemis.
Je laisse ce testament en gage de mon indeflectible loyauté a la république.
Je suis LE medecin (pas la peine de nier reborn), et quand je me suis sauvé hier soir, je savais que je n'etais plus qu'un mort en sursie, j'ai donc tenté une approche différente (situation désesperé, appel a des solutions désesperé).
Je ne pensais pas trouver un turc, mais grace a ma duperie, j'ai reussi a ce qu'un de nos ennemis ce devoile (surement pour en sauver un autre mais j'y reviendrais).
Au départ, je voulais surtout voir qui ferais quoi, qui chercherais à me faire endosser l'habit de l'ennemi et qui serait le plus virulent a me vilipendé.
Quel ne fut pas mon plaisir de voir Ga dire qu'il avait eu un contact avec un medecin avant que je ne vienne ici vous expliquer l'affaire et donner après coup un texte qui montrait sans l'ombre d'un doute qu'il etait de fabrication bien plus récente !
Oui j'accuse notre bon maire d'etre un turc, qui pour survivre a decider en commun accord avec ses petits camarades, de donner Reborn en pature aux bons senateurs de venise !
Donc nous savons ainsi que deux turcs ce cachent parmi nous (plus mais nous n'avons pas encore percé le masque !)
Donc avant de mourir mes amis voici nos ennemis :
Reborn ! le faux docteur venu sauvé la tête de son complice
GA Tiberi! qui est le la tête "de" turc ! protegé par Reborn quand il a fait l'erreur de dire qu'il avait été contacté par le medecin
ensuite viennent ex equo : Coelio trop prompte a m'accuser, Marius trop prompte a sentir le vent
et en dernier lieu notre cher ami sentenza trop content de faire bruler le medecin.
Attention mes amis, les trois derniers ne sont que des suspision mais j'espere qu'elles permettront au voyant de faire son enquete !
voila mon testament est fini j'attend l'injuste peine qui m'est reservé pour avoir oeuvré pour le bien de la république !
Aucun d'entre vous ne ma soutenue, aucun n'a cru à ma parole, mais je vous pardonne, avec mon souvenir, vous resterez le prompte justicier de notre république!
Ayez, quand cette affreuse affaire sera fini une pensée pour moi, moi Urial le martyr de venise mort pour sa protection.
Le rideau se ferme, la foule demande du sang, je resterais digne jusqu'a mes derniers instants.