Histoire officielle de la grande guerre patriotique (WITE)
- Chef Chaudard
- Foudre de Guerre
- Messages : 1330
- Enregistré le : jeu. déc. 26, 2013 5:57 pm
- Localisation : Derrière le comptoir de ma quincaillerie, à Vesoul
Re: Histoire officielle de la grande guerre patriotique (WIT
Bien vu Schascha ! (manuel §9.2)
- On se bat, on se bat, c'est plutôt qu'on est comme une espèce de poste avancé, quoi. Dans le cas que... comprenez, une supposition, que les Allemands reculent, crac, on est là!
- Pour les empêcher de reculer...
- Non, pour euh..., la tenaille quoi.
- Pour les empêcher de reculer...
- Non, pour euh..., la tenaille quoi.
Re: Histoire officielle de la grande guerre patriotique (WIT
Il va sans dire que ce AAR est une petite merveille ^^ Il me donne presque envie de tester le jeu (presque vu le monstre^^).
Je m'étonne du choix des hordes fascistes au vu de la problématique logistique. Il a choisit des engagements un peu partout sur le front a l'été 1942. Cela a dû se concrétiser par un gouffre abyssal en terme de logistique et de ravitaillement...Sans compter que cela fait le jeu de nos chers soviets qui peuvent donner à merveille dans la guerre d'usure. Guerre que tu maîtrises super bien d'ailleurs, avec de magnifiques tentatives de contre-attaque, très proche du style du vrai Staline qui voulait tjrs envoyer de la chair à canon pour combler les trous !
La défense russe fût d'ailleurs globalement solide malgré quelques peurs suite à la belle tentative d'enveloppement près de Moscou qui a échoué de peu (aurait-il manqué de troupes, par exemple celles parties cueillir des fleurs dans le Caucase ?). D'un autre côté son assaut dans le Caucase me semble avoir un seul but rationnel: couper les ressources en brut de la mère patrie:
d'ailleurs as-tu senti une différence après la prise de Grozny ? Cela a-t-il un impact ingame ?
Encore aurait-il fallut une attaque plus poussée vers Maikop ou la grande Bakou, réservoir de pétrole pour avoir, d'un point de vue historique, avoir un réel impact, (aurait-il manqué de troupes ? par exemple toutes celles déployées pour un assaut sur Moscou ?). Sa grande cavalcade ressemble plus à un pis-aller du fait d'avoir piétiné sur ce front jusqu'à la fin de l'été. Déjà en difficulté d'un point de vu ravitaillement, il pouvait pas espérer mieux en creusant un grand trou dans le Caucase et laissant l’échafaudage aux roumains !
Je reste convaincu que les allemands ne peuvent pas se permettre un effort sur deux fronts en même temps dès 1942. On voit bien que malgré les pertes énormes du chef chaudard, la bête fasciste vacille et perd proportionnellement plus que les stakanovistes à terme. Il aurait fallut détruire des troupes soviétiques pour espérer quelque chose, ou cogner fort à un endroit pour réellement couper les lignes. Je pense que sa doit souffler forts dans les oreilles du haut commandement de la panzerporn ^^
J'ai hâte de voir si tu vas réussir l'encerclement dans le Caucase !!! Cela serait une magnifique nouvelle pour tous les patriotes qui ont tant souffert en 41' puis en 42'.
A noter que d'un certain côté, s'il n'a pas connu l'immense percée historique dans le Caucase avec une armée rouge à deux doigts de s'effondrer, il a pour le moment éviter un Stalingrad, ce qui en soit, lui permet de meilleurs chances pour 1943. Après, y'a l'affaire Grozny... !!!!!!
Désolé pour le pavé ! J'aime bien discuter et débattre (mon avis n'engage que mon humble subjectivité!)
Pour faire plus court: un énorme merci à Chef Chaudard pour le temps investi à nous divertir. Et pour la suite: DAVAAAIIIIII !!! Direction Berlin et mort à la bête fasciste !!!!
Je m'étonne du choix des hordes fascistes au vu de la problématique logistique. Il a choisit des engagements un peu partout sur le front a l'été 1942. Cela a dû se concrétiser par un gouffre abyssal en terme de logistique et de ravitaillement...Sans compter que cela fait le jeu de nos chers soviets qui peuvent donner à merveille dans la guerre d'usure. Guerre que tu maîtrises super bien d'ailleurs, avec de magnifiques tentatives de contre-attaque, très proche du style du vrai Staline qui voulait tjrs envoyer de la chair à canon pour combler les trous !
La défense russe fût d'ailleurs globalement solide malgré quelques peurs suite à la belle tentative d'enveloppement près de Moscou qui a échoué de peu (aurait-il manqué de troupes, par exemple celles parties cueillir des fleurs dans le Caucase ?). D'un autre côté son assaut dans le Caucase me semble avoir un seul but rationnel: couper les ressources en brut de la mère patrie:
d'ailleurs as-tu senti une différence après la prise de Grozny ? Cela a-t-il un impact ingame ?
Encore aurait-il fallut une attaque plus poussée vers Maikop ou la grande Bakou, réservoir de pétrole pour avoir, d'un point de vue historique, avoir un réel impact, (aurait-il manqué de troupes ? par exemple toutes celles déployées pour un assaut sur Moscou ?). Sa grande cavalcade ressemble plus à un pis-aller du fait d'avoir piétiné sur ce front jusqu'à la fin de l'été. Déjà en difficulté d'un point de vu ravitaillement, il pouvait pas espérer mieux en creusant un grand trou dans le Caucase et laissant l’échafaudage aux roumains !
Je reste convaincu que les allemands ne peuvent pas se permettre un effort sur deux fronts en même temps dès 1942. On voit bien que malgré les pertes énormes du chef chaudard, la bête fasciste vacille et perd proportionnellement plus que les stakanovistes à terme. Il aurait fallut détruire des troupes soviétiques pour espérer quelque chose, ou cogner fort à un endroit pour réellement couper les lignes. Je pense que sa doit souffler forts dans les oreilles du haut commandement de la panzerporn ^^
J'ai hâte de voir si tu vas réussir l'encerclement dans le Caucase !!! Cela serait une magnifique nouvelle pour tous les patriotes qui ont tant souffert en 41' puis en 42'.
A noter que d'un certain côté, s'il n'a pas connu l'immense percée historique dans le Caucase avec une armée rouge à deux doigts de s'effondrer, il a pour le moment éviter un Stalingrad, ce qui en soit, lui permet de meilleurs chances pour 1943. Après, y'a l'affaire Grozny... !!!!!!
Désolé pour le pavé ! J'aime bien discuter et débattre (mon avis n'engage que mon humble subjectivité!)
Pour faire plus court: un énorme merci à Chef Chaudard pour le temps investi à nous divertir. Et pour la suite: DAVAAAIIIIII !!! Direction Berlin et mort à la bête fasciste !!!!

- Chef Chaudard
- Foudre de Guerre
- Messages : 1330
- Enregistré le : jeu. déc. 26, 2013 5:57 pm
- Localisation : Derrière le comptoir de ma quincaillerie, à Vesoul
Re: Histoire officielle de la grande guerre patriotique (WIT
Merci Myst pour tous ces compliments
....
effectivement, je crois que mon adversaire a voulu courir 2 lièvres à la fois : Moscou et le pétrole du Caucase, et c'est là l'erreur.
Autre erreur selon moi : la non conquête de la Crimée, qui laisse une épine dans le flanc de la Wehrmacht sur les arrières profonds, et mobilise des troupes, pour le moment roumaines, mais qui risquent de manquer plus à l'Est.
Une menace sur son attaque caucasienne a permis de dégager Moscou, par effet indirect, et c'était le but initial de la manœuvre. En discutant avec mon adversaire, il s'est rendu compte qu'il manquait de percussion pour prendre Moscou, et qu'il envoyait ses panzer à l'abattoir.
En ce qui concerne la perte de Groznyi, je n'ai pas eu un énorme effet : les grosses ressources pétrolières sont à Bakou, qui selon moi, est inatteignable.
Dans l'histoire réelle, les allemands sont arrivés à Maikop (autre centre pétrolifère), pour voir les installations pétrolières en flammes et irréparables. Par contre, les gisements de Bakou (et aussi de Sibérie), ont toujours pu produire à plein.
En ce qui concerne la doctrine, j'essaie de jouer "historique", et de pratiquer l'art opératif à la soviétique : percée par une attaque massive de l'infanterie, avec un soutien d'artillerie conséquent, puis exploitation par les blindés. Mais ce n'est pas si facile que cela à maitriser, surtout en 43. L'armée soviétique manque encore de moyens motorisés : les Willys et autres Studebakers du prêt-bail arrivent encore en quantité limitée.
Sans déflorer la suite des événements (car cet AAR est en différé de plusieurs mois,ce qui permet à mon adversaire de le consulter), je me suis rendu que l'Armée rouge de 43 est loin d'avoir le punch de celle de 44. Les attaques à outrance (typique du style Staline/Joukov) ne donnent pas toujours les résultats espérés en 43, car l'ennemi est particulièrement tenace et habile dans la défensive, avec des PzDiv astucieusement placées sur les points chauds. D'ici quelques mois, les nouvelles unités de l'armée rouge 2.0 auront été créées, et là, la Wehrmacht va vraiment commencer à souffrir.
Quant à l'arrivée à Berlin, la Stavka ne ait pour le moment aucun pronostic, surtout que les alliés capitalistes, au lieu d'ouvrir le second front, cueillent des pâquerettes en Tunisie.
En tout cas merci encore pour ce post, qui m'encourage à continuer cet AAR, il va encore y avoir beaucoup d'action et de surprises !

effectivement, je crois que mon adversaire a voulu courir 2 lièvres à la fois : Moscou et le pétrole du Caucase, et c'est là l'erreur.
Autre erreur selon moi : la non conquête de la Crimée, qui laisse une épine dans le flanc de la Wehrmacht sur les arrières profonds, et mobilise des troupes, pour le moment roumaines, mais qui risquent de manquer plus à l'Est.
Une menace sur son attaque caucasienne a permis de dégager Moscou, par effet indirect, et c'était le but initial de la manœuvre. En discutant avec mon adversaire, il s'est rendu compte qu'il manquait de percussion pour prendre Moscou, et qu'il envoyait ses panzer à l'abattoir.
En ce qui concerne la perte de Groznyi, je n'ai pas eu un énorme effet : les grosses ressources pétrolières sont à Bakou, qui selon moi, est inatteignable.
Dans l'histoire réelle, les allemands sont arrivés à Maikop (autre centre pétrolifère), pour voir les installations pétrolières en flammes et irréparables. Par contre, les gisements de Bakou (et aussi de Sibérie), ont toujours pu produire à plein.
En ce qui concerne la doctrine, j'essaie de jouer "historique", et de pratiquer l'art opératif à la soviétique : percée par une attaque massive de l'infanterie, avec un soutien d'artillerie conséquent, puis exploitation par les blindés. Mais ce n'est pas si facile que cela à maitriser, surtout en 43. L'armée soviétique manque encore de moyens motorisés : les Willys et autres Studebakers du prêt-bail arrivent encore en quantité limitée.
Sans déflorer la suite des événements (car cet AAR est en différé de plusieurs mois,ce qui permet à mon adversaire de le consulter), je me suis rendu que l'Armée rouge de 43 est loin d'avoir le punch de celle de 44. Les attaques à outrance (typique du style Staline/Joukov) ne donnent pas toujours les résultats espérés en 43, car l'ennemi est particulièrement tenace et habile dans la défensive, avec des PzDiv astucieusement placées sur les points chauds. D'ici quelques mois, les nouvelles unités de l'armée rouge 2.0 auront été créées, et là, la Wehrmacht va vraiment commencer à souffrir.
Quant à l'arrivée à Berlin, la Stavka ne ait pour le moment aucun pronostic, surtout que les alliés capitalistes, au lieu d'ouvrir le second front, cueillent des pâquerettes en Tunisie.
En tout cas merci encore pour ce post, qui m'encourage à continuer cet AAR, il va encore y avoir beaucoup d'action et de surprises !
- On se bat, on se bat, c'est plutôt qu'on est comme une espèce de poste avancé, quoi. Dans le cas que... comprenez, une supposition, que les Allemands reculent, crac, on est là!
- Pour les empêcher de reculer...
- Non, pour euh..., la tenaille quoi.
- Pour les empêcher de reculer...
- Non, pour euh..., la tenaille quoi.
Re: Histoire officielle de la grande guerre patriotique (WIT
D'autant plus pour notre pauvre teuton huilé, que la non-attaque de la Crimée risque de se retourner contre lui en 43' !!!
Ton art opératif défensif et contre-offensif ressemble bien aux soviets (tout du moins de ce que j'en comprend), tu le pratiques avec une certaine efficacité.
Pour l'année 43', comme je le disais en fin de post, l'allemand, s'il a réussit à faire sortir des troupes de son expédition "allons boire un café à Grozny", reste potentiellement meurtrier. Le principal atout de la Whermacht reste ses PzDiv qui en position défensive peuvent effectuer des contre-attaques particulièrement meurtrières. Et paradoxalement, je ne pense pas que ses pertes en blindés soient trop fortes en 42'. C'est le nerf de la guerre et il me semble judicieux d'avoir une réponse à cela. Même si j'ai cru comprendre que la statistique ne distingue pas les blindés des camions...
Pour contrer cette formidable force du nain moustachu, j'espère que le maréchal Chef Chaudard va démultiplié les fronts en 43' afin de limiter cet effet.
Pour résumer, je dirais que l'allemand à tout intérêt à concentrer ses efforts là ou le russe doit les disperser, tout au moins porter son effort sur différents points du front car il en a les moyens.
En 1944, Bagration repose en grande partie sur cela. Chaque offensive appelle un déplacement des réserves de PzDiv. Une fois la PanzDiv fixée, le russe attaque là ou elle n'est pas. Pour finalement porter le cœur de son assaut à l'endroit même ou quelques temps avant la masse blindée allemande était présente. Cette stratégie très consommatrice en homme et en matériel est réaliste pour l'URSS, et je dirais même plus efficace car elle a joué sur la force allemande !
Vient me contre-attaquer, je menace telle ville. Et dès que tu es venu défendre, paf, je relance un assaut plus au nord ou au sud!!! Au final, l'allemand dépense ce qu'il a de plus précieux, ses blindés ET son précieux pétrole ^^
Et pour mes compliments, ils sont amplement mérités vu l'énorme temps que tu as du investir pour comprendre et jouer à ce jeu. Et cerise sur le gâteau, tu en sacrifies encore plus pour nous faire partager cela !!! Juste génial !
DAVAIIII !!! Berlin est la prochaine étape (à une ou deux villes près)
Ton art opératif défensif et contre-offensif ressemble bien aux soviets (tout du moins de ce que j'en comprend), tu le pratiques avec une certaine efficacité.
Pour l'année 43', comme je le disais en fin de post, l'allemand, s'il a réussit à faire sortir des troupes de son expédition "allons boire un café à Grozny", reste potentiellement meurtrier. Le principal atout de la Whermacht reste ses PzDiv qui en position défensive peuvent effectuer des contre-attaques particulièrement meurtrières. Et paradoxalement, je ne pense pas que ses pertes en blindés soient trop fortes en 42'. C'est le nerf de la guerre et il me semble judicieux d'avoir une réponse à cela. Même si j'ai cru comprendre que la statistique ne distingue pas les blindés des camions...
Pour contrer cette formidable force du nain moustachu, j'espère que le maréchal Chef Chaudard va démultiplié les fronts en 43' afin de limiter cet effet.
Pour résumer, je dirais que l'allemand à tout intérêt à concentrer ses efforts là ou le russe doit les disperser, tout au moins porter son effort sur différents points du front car il en a les moyens.
En 1944, Bagration repose en grande partie sur cela. Chaque offensive appelle un déplacement des réserves de PzDiv. Une fois la PanzDiv fixée, le russe attaque là ou elle n'est pas. Pour finalement porter le cœur de son assaut à l'endroit même ou quelques temps avant la masse blindée allemande était présente. Cette stratégie très consommatrice en homme et en matériel est réaliste pour l'URSS, et je dirais même plus efficace car elle a joué sur la force allemande !
Vient me contre-attaquer, je menace telle ville. Et dès que tu es venu défendre, paf, je relance un assaut plus au nord ou au sud!!! Au final, l'allemand dépense ce qu'il a de plus précieux, ses blindés ET son précieux pétrole ^^
Et pour mes compliments, ils sont amplement mérités vu l'énorme temps que tu as du investir pour comprendre et jouer à ce jeu. Et cerise sur le gâteau, tu en sacrifies encore plus pour nous faire partager cela !!! Juste génial !

DAVAIIII !!! Berlin est la prochaine étape (à une ou deux villes près)
- Chef Chaudard
- Foudre de Guerre
- Messages : 1330
- Enregistré le : jeu. déc. 26, 2013 5:57 pm
- Localisation : Derrière le comptoir de ma quincaillerie, à Vesoul
Re: Histoire officielle de la grande guerre patriotique (WIT
Pour les OOB, le ratio "humain" est resté stable tout au long de l'année passée avec 1,4 frontovik pour un landser.
Par contre, ce ratio est passé de 1,73 à 2,44 pour les blindés, et surtout de 1,84 à 2,45 pour les canons et de 2,16 à 3,41 pour les avions...
Si l'évolution se confirme, la supériorité soviétique va devenir très nette dans les mois suivants.... Un Bagration (ou équivalent ...) est tout à fait planifiable pour l'été 44.
Je pars en vacances, l'AAR va donc connaitre une petite interruption liée au séjour du chef Chaudarenko dans une Datcha de Crimée (toujours libre d'occupants
)....
Par contre, ce ratio est passé de 1,73 à 2,44 pour les blindés, et surtout de 1,84 à 2,45 pour les canons et de 2,16 à 3,41 pour les avions...
Si l'évolution se confirme, la supériorité soviétique va devenir très nette dans les mois suivants.... Un Bagration (ou équivalent ...) est tout à fait planifiable pour l'été 44.
Je pars en vacances, l'AAR va donc connaitre une petite interruption liée au séjour du chef Chaudarenko dans une Datcha de Crimée (toujours libre d'occupants

- On se bat, on se bat, c'est plutôt qu'on est comme une espèce de poste avancé, quoi. Dans le cas que... comprenez, une supposition, que les Allemands reculent, crac, on est là!
- Pour les empêcher de reculer...
- Non, pour euh..., la tenaille quoi.
- Pour les empêcher de reculer...
- Non, pour euh..., la tenaille quoi.
- Chef Chaudard
- Foudre de Guerre
- Messages : 1330
- Enregistré le : jeu. déc. 26, 2013 5:57 pm
- Localisation : Derrière le comptoir de ma quincaillerie, à Vesoul
Re: Histoire officielle de la grande guerre patriotique (WIT
Semaine du 4 Mars 1943
Le temps s'adoucit sur l'URSS, mais reste encore à la neige. L'armée rouge continue ses efforts pour expulser les envahisseurs fascistes du Caucase. Les opérations sont toujours très actives et se traduisent par 25000 fascistes au tapis, 101 blindés et 87 avions détruits, contre 67000 frontoviki manquants, 422 blindés et 267 avions perdus, côté soviétique.

Dans l'extrème nord, la 55° armée se rue à l'assaut des positions finlandaises, avec succès. Les hommes de Golikov atteigent la ville de Volkhov, sur la rivière du même nom, en refoulant 3 divisions finlandaises qui perdent 1500 hommes dans l'afaire, contre 700 combattants soviétiques.
Devant Thorzok, la 33° armée, secondée par le 1er corps mécanisé, inflige un revers au II. coprs allemand, qui laisse 1300 hommes sur le carreau, contre 800 soviétiques. Quand l'armée rouge passe à l'offensive, le ratio de pertes commence à devenir favorable, et c'est le signe d'une meilleure expérience de la part de nos généraux.
Mais une fois encore, l'essentiel des grandes opérations se concentre entre Kharkov (limite nord) et le Caucase (limite sud), face aux fronts Centre, Sud Ouest, Sud, Transcaucasien et Nord Caucasien.

Grande nouvelle ! Face à la pression des fronts Centre et Sud Ouest (Généraux Tolbukhin et Koniev), l'ennemi bat en retraite ! Il semblait en effet que les attaques des dernières semaines avaient sérieusement ébranlé la capacité de combat des fantoches hongrois et italiens qui forment la majorité des troupes qui nous sont opposées dans cette zone. L'ennemi abandonne le noeud ferroviaire de Valuyki, et se replie derrière le Donets. Il entame donc un repli de 60 à 100 km. L'armée rouge libère toute la région comprise entre la Kalitva et le Donets. Le bassin industriel du même nom sera bientôt en vue, avec la possibilité pour l'armée rouge de libérer l'importante cité industrielle de Vorochilovgrad.

Entre Tatsinskaïa et Rostov, le front sud maintient la pression contre les fantoches mussoliniens. La 9° armée pulvérise 3 divisions italiennes, et la Stavks décide d'introduire la 1° armée de tanks de Rotmistrov pour passer à l'exploitation le long de la rive nord du Don. 30 km plus au sud, Rotmistrov malmène le corps de Almpini qui cède du terrain, mais la logistique défaillante empêche les tankistes de la 1° armée de tanks d'exploiter leur avantage. Mais Rostov n'est plus qu'à 45 km de nos chenilles en longeant la rive nord du Don !
Entre la rive sud du Don et le lac Manych, le front sud passe à l'attaque, avec les 12°, 59° et 2° armée de tanks. Les tankistes de Bogdanov enfoncent les lignes germano-rouymaines et progressent de 30km vers le sud-est, à la rencontre des hommes de Boudienny.

Au sud du lac Manych, les 47° et 44° armées se sont refait une santé, et pressent les divisions allemandes qui gardent le flanc est de la hernie caucasienne, qui se rétrécit maintenant comme peau de chagrin. Mais à l'extrème sur de cette hernie, les divisions fascistes se sont évanouies dans la steppe, et le front transcaucasien n'arrive pas à les poursuivre de manière efficace. La Stavka envoie plusieurs envoyés spéciaux auprès du général Kusnetzov, pour le remotiver politiquement. Sa tête est déjà sur le billot, a avertiu le camarade Staline.
Les choses vont heureusement mieux pour le front du nord Caucase. Les 3° et 4° armées de la Garde, repoussent les débris des divisions roumaines qui la plupart du temps cèdent à la panique. La 61° armée se lance à la rencontre du front Sud de Timocenko. Elle n'en n'est d'ailleurs plus qu'à 60 km, avant de refermer le piège.
Afin de retenir le plus possible les renforts ennemis, l'armée côtière du général Chibisov se lance à l'attaque de germano-roumains qui barrent les isthmes de Crimée.

L'aviation soviétique achève sa modernisation, et les avions d'attaque au sol IL2 M3 sont la cheville ouvrière des régiments d'assaut des VVS.
Le temps s'adoucit sur l'URSS, mais reste encore à la neige. L'armée rouge continue ses efforts pour expulser les envahisseurs fascistes du Caucase. Les opérations sont toujours très actives et se traduisent par 25000 fascistes au tapis, 101 blindés et 87 avions détruits, contre 67000 frontoviki manquants, 422 blindés et 267 avions perdus, côté soviétique.

Dans l'extrème nord, la 55° armée se rue à l'assaut des positions finlandaises, avec succès. Les hommes de Golikov atteigent la ville de Volkhov, sur la rivière du même nom, en refoulant 3 divisions finlandaises qui perdent 1500 hommes dans l'afaire, contre 700 combattants soviétiques.
Devant Thorzok, la 33° armée, secondée par le 1er corps mécanisé, inflige un revers au II. coprs allemand, qui laisse 1300 hommes sur le carreau, contre 800 soviétiques. Quand l'armée rouge passe à l'offensive, le ratio de pertes commence à devenir favorable, et c'est le signe d'une meilleure expérience de la part de nos généraux.
Mais une fois encore, l'essentiel des grandes opérations se concentre entre Kharkov (limite nord) et le Caucase (limite sud), face aux fronts Centre, Sud Ouest, Sud, Transcaucasien et Nord Caucasien.

Grande nouvelle ! Face à la pression des fronts Centre et Sud Ouest (Généraux Tolbukhin et Koniev), l'ennemi bat en retraite ! Il semblait en effet que les attaques des dernières semaines avaient sérieusement ébranlé la capacité de combat des fantoches hongrois et italiens qui forment la majorité des troupes qui nous sont opposées dans cette zone. L'ennemi abandonne le noeud ferroviaire de Valuyki, et se replie derrière le Donets. Il entame donc un repli de 60 à 100 km. L'armée rouge libère toute la région comprise entre la Kalitva et le Donets. Le bassin industriel du même nom sera bientôt en vue, avec la possibilité pour l'armée rouge de libérer l'importante cité industrielle de Vorochilovgrad.

Entre Tatsinskaïa et Rostov, le front sud maintient la pression contre les fantoches mussoliniens. La 9° armée pulvérise 3 divisions italiennes, et la Stavks décide d'introduire la 1° armée de tanks de Rotmistrov pour passer à l'exploitation le long de la rive nord du Don. 30 km plus au sud, Rotmistrov malmène le corps de Almpini qui cède du terrain, mais la logistique défaillante empêche les tankistes de la 1° armée de tanks d'exploiter leur avantage. Mais Rostov n'est plus qu'à 45 km de nos chenilles en longeant la rive nord du Don !
Entre la rive sud du Don et le lac Manych, le front sud passe à l'attaque, avec les 12°, 59° et 2° armée de tanks. Les tankistes de Bogdanov enfoncent les lignes germano-rouymaines et progressent de 30km vers le sud-est, à la rencontre des hommes de Boudienny.

Au sud du lac Manych, les 47° et 44° armées se sont refait une santé, et pressent les divisions allemandes qui gardent le flanc est de la hernie caucasienne, qui se rétrécit maintenant comme peau de chagrin. Mais à l'extrème sur de cette hernie, les divisions fascistes se sont évanouies dans la steppe, et le front transcaucasien n'arrive pas à les poursuivre de manière efficace. La Stavka envoie plusieurs envoyés spéciaux auprès du général Kusnetzov, pour le remotiver politiquement. Sa tête est déjà sur le billot, a avertiu le camarade Staline.
Les choses vont heureusement mieux pour le front du nord Caucase. Les 3° et 4° armées de la Garde, repoussent les débris des divisions roumaines qui la plupart du temps cèdent à la panique. La 61° armée se lance à la rencontre du front Sud de Timocenko. Elle n'en n'est d'ailleurs plus qu'à 60 km, avant de refermer le piège.
Afin de retenir le plus possible les renforts ennemis, l'armée côtière du général Chibisov se lance à l'attaque de germano-roumains qui barrent les isthmes de Crimée.

L'aviation soviétique achève sa modernisation, et les avions d'attaque au sol IL2 M3 sont la cheville ouvrière des régiments d'assaut des VVS.
- On se bat, on se bat, c'est plutôt qu'on est comme une espèce de poste avancé, quoi. Dans le cas que... comprenez, une supposition, que les Allemands reculent, crac, on est là!
- Pour les empêcher de reculer...
- Non, pour euh..., la tenaille quoi.
- Pour les empêcher de reculer...
- Non, pour euh..., la tenaille quoi.
Re: Histoire officielle de la grande guerre patriotique (WIT
ca reprend!!


ARR:
TOAW3 - La Grande Guerre en Amérique - Arrêté: T177 MAJ du 22/09/2016
TOAW3 - La bataille de Halha (Khalkin-Gol) - Terminé
TOAW3 - La Grande Guerre en Amérique - Arrêté: T177 MAJ du 22/09/2016
TOAW3 - La bataille de Halha (Khalkin-Gol) - Terminé
Re: Histoire officielle de la grande guerre patriotique (WIT
mondieumondieumondieumondieu, plus que 60 km 

Un AAR Thirty Year War romancé :
viewtopic.php?f=77&t=14547
Une histoire de Britannia :
viewtopic.php?f=77&t=12282
viewtopic.php?f=77&t=14547
Une histoire de Britannia :
viewtopic.php?f=77&t=12282
- Chef Chaudard
- Foudre de Guerre
- Messages : 1330
- Enregistré le : jeu. déc. 26, 2013 5:57 pm
- Localisation : Derrière le comptoir de ma quincaillerie, à Vesoul
Re: Histoire officielle de la grande guerre patriotique (WIT
Et on voit à l'oeuvre les authentiques héros socialistres : Boudienny est le plus actif...
- On se bat, on se bat, c'est plutôt qu'on est comme une espèce de poste avancé, quoi. Dans le cas que... comprenez, une supposition, que les Allemands reculent, crac, on est là!
- Pour les empêcher de reculer...
- Non, pour euh..., la tenaille quoi.
- Pour les empêcher de reculer...
- Non, pour euh..., la tenaille quoi.
- Chef Chaudard
- Foudre de Guerre
- Messages : 1330
- Enregistré le : jeu. déc. 26, 2013 5:57 pm
- Localisation : Derrière le comptoir de ma quincaillerie, à Vesoul
Re: Histoire officielle de la grande guerre patriotique (WIT
Semaine du 11 Mars 1943
Le temps est toujours neigeux, mais les opération sont toujours actives sur l'ensemble du front. Il s'agit d'opérer des gains de terrain avant la saison de la boue, qui va paralyser toute velléité manoeuvrière. Les pertes ennemies ont augmenté par rapport à la semaine passée avec 28000 hommes manquants, 208 blindés et 140 avions détruits. Côté soviétique, les pertes diminuent avec 53000 hommes manquants, 585 blindés et 319 avions perdus.
La ville de Volkhov au nord, fait l'objet de féroces combats dans les bourrasques de neige. Après en avoir expulsé une division finlandaise et une allemande, la 30° armée s'y est installée, mais une dernière contre-attaque fasciste en a chassé les 332° et 367° DF.

Au sud de Vichnyi Volocheck, le front nord ouest attaque et enfonce les positions ennemies sur 15 km. Les 33° armées et la 1° armée de choc s'illustrent.

Devant Moscou, les front de Kalinine arrive à menacer 5 divisions ennemies dont une panzer d'un possible encerclement.

Le front du Centre (et dans une moindre mesure le front sud ouest), se ruent à l'assaut des positions abandonnées par l'ennemi devant le Donets, qui est franchi à deux endroits. Par la même occasions, deux divisions hongroises se retrouvent encerclées, et il ne semble pas que les allemands aient envie d'aller au secours de leurs soi-disants alliés horthystes. Le front du centre est maintenant dans les faubourgs de l'important centre industriel de Vorochilovgrad.

Sur la rive nord du Don, la 4° armée de tanks bouscule le coprs expéditionnaire italien, et arrive à 15 km des faubourgs de Rostov. L'étau commence à se resserrer sur la gorge des chacals fascistes ! Plus au sud, la 2° armée de tanks enfonce à nouveau les roumains au nord du lac Manytch, pendant que la 61° armée progresse de 15 km à sa rencontre. Il y a maintenant 2 goulets d'étranglement dans le Caucase. Entre les mâchoires du piège tendu par l'armée rouge, c'est maintenant la panique pour les unités de soutient, ainsi que les bases de la Luftwaffe qui tentent par tous les moyens de s'échapper au delà de Rostov.
Mais dans le sud, le front du Transcaucase est toujours aussi lent, et il n'arrive pas à coller aux basques des ennemis qui s'enfuient dans la plus grande confusion.
Au nord de la Crimée, l'armée côtière continue son harcèlement des troupes arrières roumaines et allemandes. Le port de Genichesk, sur la mer d'Azov, est libéré, et l'armée côtière menace le noeud ferroviaire de Novoalekseevka.

Le lieutenant-général Tolbukhin, commandant le front du Centre, poursuit l'ennemi l'épée dans le reins.
Le temps est toujours neigeux, mais les opération sont toujours actives sur l'ensemble du front. Il s'agit d'opérer des gains de terrain avant la saison de la boue, qui va paralyser toute velléité manoeuvrière. Les pertes ennemies ont augmenté par rapport à la semaine passée avec 28000 hommes manquants, 208 blindés et 140 avions détruits. Côté soviétique, les pertes diminuent avec 53000 hommes manquants, 585 blindés et 319 avions perdus.
La ville de Volkhov au nord, fait l'objet de féroces combats dans les bourrasques de neige. Après en avoir expulsé une division finlandaise et une allemande, la 30° armée s'y est installée, mais une dernière contre-attaque fasciste en a chassé les 332° et 367° DF.

Au sud de Vichnyi Volocheck, le front nord ouest attaque et enfonce les positions ennemies sur 15 km. Les 33° armées et la 1° armée de choc s'illustrent.

Devant Moscou, les front de Kalinine arrive à menacer 5 divisions ennemies dont une panzer d'un possible encerclement.

Le front du Centre (et dans une moindre mesure le front sud ouest), se ruent à l'assaut des positions abandonnées par l'ennemi devant le Donets, qui est franchi à deux endroits. Par la même occasions, deux divisions hongroises se retrouvent encerclées, et il ne semble pas que les allemands aient envie d'aller au secours de leurs soi-disants alliés horthystes. Le front du centre est maintenant dans les faubourgs de l'important centre industriel de Vorochilovgrad.

Sur la rive nord du Don, la 4° armée de tanks bouscule le coprs expéditionnaire italien, et arrive à 15 km des faubourgs de Rostov. L'étau commence à se resserrer sur la gorge des chacals fascistes ! Plus au sud, la 2° armée de tanks enfonce à nouveau les roumains au nord du lac Manytch, pendant que la 61° armée progresse de 15 km à sa rencontre. Il y a maintenant 2 goulets d'étranglement dans le Caucase. Entre les mâchoires du piège tendu par l'armée rouge, c'est maintenant la panique pour les unités de soutient, ainsi que les bases de la Luftwaffe qui tentent par tous les moyens de s'échapper au delà de Rostov.
Mais dans le sud, le front du Transcaucase est toujours aussi lent, et il n'arrive pas à coller aux basques des ennemis qui s'enfuient dans la plus grande confusion.
Au nord de la Crimée, l'armée côtière continue son harcèlement des troupes arrières roumaines et allemandes. Le port de Genichesk, sur la mer d'Azov, est libéré, et l'armée côtière menace le noeud ferroviaire de Novoalekseevka.

Le lieutenant-général Tolbukhin, commandant le front du Centre, poursuit l'ennemi l'épée dans le reins.
- On se bat, on se bat, c'est plutôt qu'on est comme une espèce de poste avancé, quoi. Dans le cas que... comprenez, une supposition, que les Allemands reculent, crac, on est là!
- Pour les empêcher de reculer...
- Non, pour euh..., la tenaille quoi.
- Pour les empêcher de reculer...
- Non, pour euh..., la tenaille quoi.
Re: Histoire officielle de la grande guerre patriotique (WIT



Un AAR Thirty Year War romancé :
viewtopic.php?f=77&t=14547
Une histoire de Britannia :
viewtopic.php?f=77&t=12282
viewtopic.php?f=77&t=14547
Une histoire de Britannia :
viewtopic.php?f=77&t=12282
- Chef Chaudard
- Foudre de Guerre
- Messages : 1330
- Enregistré le : jeu. déc. 26, 2013 5:57 pm
- Localisation : Derrière le comptoir de ma quincaillerie, à Vesoul
Re: Histoire officielle de la grande guerre patriotique (WIT
Semaine du 18 Mars 1943
En 1943, le printemps tarde à venir, et l'armée rouge tente de profiter des conditions encore hivernales. Les pertes ennemies augmentent, à 40000 hommes, 208 blindés et 113 avions perdus, contre 63000 hommes, 741 blindés et 393 avions côté soviétique.
Dans le grand nord, toujours des combats acharnées pour la possession de Volkhov, qui, après avoir été reprise par les fascistes germano-finlandais, est à nouveau en notre possession, après une attaque combinée des 55° et 30° armées. Il est à noter que les réactionnaires finlandais perdent dans l'affaire 38 blindés.
Le saillant allemand devant Moscou a été réduit par l'ennemi, qui a jugé plus prudent de retraiter sur une quinzaine de kilomètres, plutôt que de voir risquer un encerclement. Le front de Kalinine maintient la pression, avec des attaques locales des 32° et 39° armées.
Le gros des opérations actives se concentre dans les bassins du Donets, et comme toujours, le Caucase.
Le Donets est attribué aux fronts Centre (Tolbukhin) et sud Ouest (Koniev).
Le front central s'appuyait sur le cours de l'aidar, jusqu'au confluent avec le Donets, puis il suit le fleuve jusqu'au confluent avec la Kalitva, où il donne la main au front sud ouest de Koniev.

Le long de l'Aidar, la 5° armée, a percé les défenses ennemies, et Tolbukhine a alors décidé d'introduire la 3° armée de tanks de Rybalko pour l'exploitation en profondeur. Les tankistes ont progressé de 45 km en bousculant sur leur passage le XXIX. coprs allemand et le VIII. corps hongrois.
Au sud de Vorochilovgrad, le 14° corps blindé, après avoir traversé le Donets, progresse de plus de 30 km dans la profondeur du dispositif ennemi. Les deux divisions hongroises encerclées n'ont opposé aucune résistance et se sont rendu pratiquement sans combattre, en laissant plus de 25000 prisonniers, et un abondant matériel.

Au nord ouest de Rostov, une puissante attaque des 17. et 23. PzD a rejeté les unités de la p1° armée de tanks de l'autre côté du Don. La ville de Rostov s'est maintenant éloignée pour l'armée rouge. Par ailleurs, de puissantes unités motorisées germano-italiennes ont été rameutées en hâte pour protéger la rive nord du Don. Nos pointes avancées sont maintenant refoulées à 50 km de l'objectif.
Entre Rostov et le lac Manych, l'ennemi a fait donner toutes les troupes blindées disponibles, afin de contrer l'offensive de la 2° armée de tanks. Le front Sud n'a donc pas pu progresser en direction du sud est comme la semaine passée. Seule la 1° armée de tanks a pus gagner une quinzaine de km.
Heureusement, le front de Boudienny enregistre de nombreux succès, face à des roumains qui subissent une démoralisation certaine. La 3° armée de la garde remonte vers le nord, en suivant le côte, et refoulant devant elle de pitoyables squelettes de divisions roumaines. Sa voisine de droite, la 4° armée de la Garde, réussit la plus belle opération de la semaine : le 5° corps de cavalerie de la Garde progresse de 45 km, et ne se trouve plus qu'à une quarantaine de kilomètres des avant-gardes de la 1° armée de tanks. Dans la steppe caucasienne, c'est le chaos : nos reconnaissance aériennes détectent une foule d'units des services arrières tentant désespérément de se frayer un chemin vers le nord ouest. Les partisans les harcèlent continûment, et les pertes sont lourdes parmis les palefreniers, comptables, ou autres rampants de la Luftwaffe.

Les soldats du 5° corps de cavalerie de la Garde ont eu les honneurs du communiqué pour leur brillante attaque dans le Caucase.
En 1943, le printemps tarde à venir, et l'armée rouge tente de profiter des conditions encore hivernales. Les pertes ennemies augmentent, à 40000 hommes, 208 blindés et 113 avions perdus, contre 63000 hommes, 741 blindés et 393 avions côté soviétique.
Dans le grand nord, toujours des combats acharnées pour la possession de Volkhov, qui, après avoir été reprise par les fascistes germano-finlandais, est à nouveau en notre possession, après une attaque combinée des 55° et 30° armées. Il est à noter que les réactionnaires finlandais perdent dans l'affaire 38 blindés.
Le saillant allemand devant Moscou a été réduit par l'ennemi, qui a jugé plus prudent de retraiter sur une quinzaine de kilomètres, plutôt que de voir risquer un encerclement. Le front de Kalinine maintient la pression, avec des attaques locales des 32° et 39° armées.
Le gros des opérations actives se concentre dans les bassins du Donets, et comme toujours, le Caucase.
Le Donets est attribué aux fronts Centre (Tolbukhin) et sud Ouest (Koniev).
Le front central s'appuyait sur le cours de l'aidar, jusqu'au confluent avec le Donets, puis il suit le fleuve jusqu'au confluent avec la Kalitva, où il donne la main au front sud ouest de Koniev.

Le long de l'Aidar, la 5° armée, a percé les défenses ennemies, et Tolbukhine a alors décidé d'introduire la 3° armée de tanks de Rybalko pour l'exploitation en profondeur. Les tankistes ont progressé de 45 km en bousculant sur leur passage le XXIX. coprs allemand et le VIII. corps hongrois.
Au sud de Vorochilovgrad, le 14° corps blindé, après avoir traversé le Donets, progresse de plus de 30 km dans la profondeur du dispositif ennemi. Les deux divisions hongroises encerclées n'ont opposé aucune résistance et se sont rendu pratiquement sans combattre, en laissant plus de 25000 prisonniers, et un abondant matériel.

Au nord ouest de Rostov, une puissante attaque des 17. et 23. PzD a rejeté les unités de la p1° armée de tanks de l'autre côté du Don. La ville de Rostov s'est maintenant éloignée pour l'armée rouge. Par ailleurs, de puissantes unités motorisées germano-italiennes ont été rameutées en hâte pour protéger la rive nord du Don. Nos pointes avancées sont maintenant refoulées à 50 km de l'objectif.
Entre Rostov et le lac Manych, l'ennemi a fait donner toutes les troupes blindées disponibles, afin de contrer l'offensive de la 2° armée de tanks. Le front Sud n'a donc pas pu progresser en direction du sud est comme la semaine passée. Seule la 1° armée de tanks a pus gagner une quinzaine de km.
Heureusement, le front de Boudienny enregistre de nombreux succès, face à des roumains qui subissent une démoralisation certaine. La 3° armée de la garde remonte vers le nord, en suivant le côte, et refoulant devant elle de pitoyables squelettes de divisions roumaines. Sa voisine de droite, la 4° armée de la Garde, réussit la plus belle opération de la semaine : le 5° corps de cavalerie de la Garde progresse de 45 km, et ne se trouve plus qu'à une quarantaine de kilomètres des avant-gardes de la 1° armée de tanks. Dans la steppe caucasienne, c'est le chaos : nos reconnaissance aériennes détectent une foule d'units des services arrières tentant désespérément de se frayer un chemin vers le nord ouest. Les partisans les harcèlent continûment, et les pertes sont lourdes parmis les palefreniers, comptables, ou autres rampants de la Luftwaffe.

Les soldats du 5° corps de cavalerie de la Garde ont eu les honneurs du communiqué pour leur brillante attaque dans le Caucase.
- On se bat, on se bat, c'est plutôt qu'on est comme une espèce de poste avancé, quoi. Dans le cas que... comprenez, une supposition, que les Allemands reculent, crac, on est là!
- Pour les empêcher de reculer...
- Non, pour euh..., la tenaille quoi.
- Pour les empêcher de reculer...
- Non, pour euh..., la tenaille quoi.
- Chef Chaudard
- Foudre de Guerre
- Messages : 1330
- Enregistré le : jeu. déc. 26, 2013 5:57 pm
- Localisation : Derrière le comptoir de ma quincaillerie, à Vesoul
Re: Histoire officielle de la grande guerre patriotique (WIT
Semaine du 25 Mars 1943
Toujours un temps neigeux, ce qui permet d'enchainer les opérations. Les pertes de la semaine sont les suivantes : 56000 hommes, 208 blindés et 213 avions pour les fascistes, contre 66318 hommes, 1020 blindés et 402 avions.
Les pertes humaines ennemies lui font mal, quant à nos pertes en blindés, elles peuvent être comblées relativement facilement. La capacité de production en T34 (M42 et 43) est de 263 unités hebdomadaires !
Pour son brillant comportement à la tête de la 4° armée de la Garde, le camarade Kurasov est nommé colonel-général...
Comme toujours, l'essentiel des opérations actives se déroule dans la partie sud du front.

Le front du Centre maintien la pression dans le nord du bassin du Donets. Les 49° et 6° armées progressent en direction de Vorochilovgrad, qui est maintenant bordée sur 30 km.
Plus au sud, la 6° armée, accompagnée de la 5° armée de choc, passe à son tour le Donets, en bousculant le II. corps italien et 2 divisions du XXXXVI. Pzkorps qui laissent plus de 1500 hommes dans l'affaire. La 59° armée traverse elle aussi le fleuve.

La situation dans le secteur caucasien se dégrade. L'ennemi, au prix de pertes importantes, a rameuté toutes les troupes blindées disponibles, et a sèchement refoulé la 4° armée de tanks derrière le Don. Plus au sud, la 2° armée de tanks est renvoyée elle aussi sur ses positions initiales. Tout les gains des deux dernières semaines est perdu.
Chez Boudienny, les 3° et 4° armées de la Garde progressent quelque peu, mais la 61° armée est elle aussi refoulée. Le goulot d'étranglement qui n'était que de 45 km, s'est élargi à plus de 75 km et les frontoviki impuissants voient déferler un flot d'unité ennemies en retraite sans pouvoir les coincer comme des rats. Le point positif est que ces succès locaux coutent cher à l'ennemi, qui laisse dans la steppe près de 80 carcasses de panzers fumantes...

Un char T6 "Tigre" fasciste, détruit par nos Sturmoviks près de Novocherkassk.
Toujours un temps neigeux, ce qui permet d'enchainer les opérations. Les pertes de la semaine sont les suivantes : 56000 hommes, 208 blindés et 213 avions pour les fascistes, contre 66318 hommes, 1020 blindés et 402 avions.
Les pertes humaines ennemies lui font mal, quant à nos pertes en blindés, elles peuvent être comblées relativement facilement. La capacité de production en T34 (M42 et 43) est de 263 unités hebdomadaires !
Pour son brillant comportement à la tête de la 4° armée de la Garde, le camarade Kurasov est nommé colonel-général...
Comme toujours, l'essentiel des opérations actives se déroule dans la partie sud du front.

Le front du Centre maintien la pression dans le nord du bassin du Donets. Les 49° et 6° armées progressent en direction de Vorochilovgrad, qui est maintenant bordée sur 30 km.
Plus au sud, la 6° armée, accompagnée de la 5° armée de choc, passe à son tour le Donets, en bousculant le II. corps italien et 2 divisions du XXXXVI. Pzkorps qui laissent plus de 1500 hommes dans l'affaire. La 59° armée traverse elle aussi le fleuve.

La situation dans le secteur caucasien se dégrade. L'ennemi, au prix de pertes importantes, a rameuté toutes les troupes blindées disponibles, et a sèchement refoulé la 4° armée de tanks derrière le Don. Plus au sud, la 2° armée de tanks est renvoyée elle aussi sur ses positions initiales. Tout les gains des deux dernières semaines est perdu.
Chez Boudienny, les 3° et 4° armées de la Garde progressent quelque peu, mais la 61° armée est elle aussi refoulée. Le goulot d'étranglement qui n'était que de 45 km, s'est élargi à plus de 75 km et les frontoviki impuissants voient déferler un flot d'unité ennemies en retraite sans pouvoir les coincer comme des rats. Le point positif est que ces succès locaux coutent cher à l'ennemi, qui laisse dans la steppe près de 80 carcasses de panzers fumantes...

Un char T6 "Tigre" fasciste, détruit par nos Sturmoviks près de Novocherkassk.
- On se bat, on se bat, c'est plutôt qu'on est comme une espèce de poste avancé, quoi. Dans le cas que... comprenez, une supposition, que les Allemands reculent, crac, on est là!
- Pour les empêcher de reculer...
- Non, pour euh..., la tenaille quoi.
- Pour les empêcher de reculer...
- Non, pour euh..., la tenaille quoi.
Re: Histoire officielle de la grande guerre patriotique (WIT
Rhaaaaa, c'est pô juste !!!!Chef Chaudard a écrit :Semaine du 25 Mars 1943
Tout les gains des deux dernières semaines est perdu.
]

Un AAR Thirty Year War romancé :
viewtopic.php?f=77&t=14547
Une histoire de Britannia :
viewtopic.php?f=77&t=12282
viewtopic.php?f=77&t=14547
Une histoire de Britannia :
viewtopic.php?f=77&t=12282