Spartes est enfin a nous ! Avec la fin du dernier bastion continentale des cités libres des hellènes il ne leur reste plus que l'île de Rhodes. Riche, puissamment défendue, la ville abrite le célèbre colosse, battis avec les armes de bronze des soldats venus pour conquérir l'île, en vain.
Au nord, le royaume d'Epirée reste toujours une menace mortelle, et une armée de prés de 1000 hommes a était repérée en macédoine. Si Pyrrhus prend Démetrias les choses vont devenir trés délicate et le reconquête risque d'être longue.
Deux choix s'offrent alors au roi :
- soit il va mettre le siège devant Rhodes, mais cela risque de prendre beaucoup de temps, la cité est bien défendue par de solides murailles en pierre.
- soit il va au nord contrer une éventuelle attaque sur Démetrias, et avec un peu de chance et si Niké nous accorde une victoire retentissante, il tente ensuite de reprendre notre capitale depuis déjà bien trop longtemps aux mains de l'ennemi.
C'est le premier choix qui sera retenus. Si Pyrrhus attaque, ce qui n'est pas sûr, et que son avance est irrésistible, mieux vaut ne plus avoir d'autres ennemis que lui afin de concentrer toutes nos forces. D'autant que si Rhodes tombe entre nos mains, cela ferra une deuxième île, avec Lesbos, ou nous pourrions nous réfugier pour reconquérir le continent.
Le cap est donc mis sur l'île au colosse, la perle de la méditerranée orientale. Le débarquement se déroule sans problèmes, mais a peine le siège de la ville mis une force en embuscade dans les forets de l'île viens a notre rencontre.
Nous nous plaçons dos a la ville, pour intercepter les renforts dés leur arrivée et les écraser rapidement.
Le plan marche a merveille, les renforts de la ville sont écrasés par une charge puissante de toute notre infanterie et cavalerie.
Le dispositif replacés, nous pouvons accueillir sans trop de problèmes le gros de l'armée ennemis bien plus faible en nombre que nous. Ce sont des guerriers hoplites d'élite, ils n'ont pas l'entraînement des Spartiate mais sont mieux protégés par une lourde cuirasse de fer, ils restent des guerres redoutable par ailleurs, mais face a une rangée de sarisse leur ardeur est modérée..
Encore une fois la victoire est notre grace a l'éparpillement des armées grecques. Quelques soldats auront pus s'échapper et revenir dans la ville, mais l'assaut sera rapidement régler et Rhodes tombe entre nos mains !
Et avec la ville, c'est le dernier refuge des grecques "libres" qui tombent ! Ils n'auront pas goutté longtemps a leur indépendance, mais ces cités seront traités avec diplomatie : pour peu que notre présence ne soit pas trop envahissante les taxes sur le commerce dans le bassin Égéens viendront grossir notre trésorerie.
Fin de l'acte I : La campagne du Péloponèse