Le Quartier Général

Mouais j en ai marre de voir les Prussiens détaler comme des lapins...

De plus pas non plus envie de les voir grossir les rangs de l'armée russe, ce qui riquerait de renverser le rapport de force.

Mon but n'est pas d'occuper la Prusse, car ca m oblige a disperser mes forces pour garnir les défenses de certaines villes clefs, mais bien de battre au plus vite les armées coalisées, et si possible de facon dispersée : D abord les Prussiens, puis les Russes.

Dans l'Histoire, le 14 Octobre les Prussiens ont tenté de battre Napoleon à Iena. Mais grace à Davout à Auerstaedt qui bien qu'en large infériorité numérique défait l'armée prussienne, la désequilbrant et permettant ainsi au reste de la Grande Armée à une 60taine de kilometre d'ecraser les Prussiens à Iena...
Après ces 2 larges victoires, les francais n'avaient plus qu'à avancer en Prusse laisser sans défense.

Jagermeister ne fait pas la même erreur que les Prussiens en surestimant ses forces et il recule prudemment évitant une large bataille qu'il prévoit en sa défaveur si je ne fait pas l'erreur de trop diviser mes forces.
Aussi j avance en Prusse, certainement moins vite que ne l'a fait Napoleon à cause des possibles manoeuvres prussiennes, que je n ia pas envie de voir surgir dans mon dos.
Maintenant cette stratégie de repli n'est pas celle qui fera faiblir les armées francaises.
Contrairement à la campagne de Russie, en Prusse et Pologne il y a de nombreuses villes regorgeant de ravitaillement pour subvenir à mes armess en campagne.

La clef de cette camapgne sera donc effectivement de coincer les Prussiens et de les forcer à la bataille. On so'ccupera des Russes après...Chaque chose en son temps...

Maintenant connaissant, ou croyant connaitre la stratégie de Jag, et grâce aux bonnes informations recues sur le terrain, j'ai un net avantage stratégique : Je peux prévoir ses intentions, et même ses mouvements...

Moi, d'une part je passerais par Breslau, je marcherais sur Lodz et Varsovie
Et d'autre part sur Cracovie pour remonter sur Varsovie ensuite. Cela va suffisement vite, tu arriveras avant voir en même temps que les Prussiens à Varsovie
Tout en marchant vers Stetin avec le reste pour coincer les Prussiens ensuite par le nord.

L'inconvénient d'un recul n'est il pas plutôt de voir le scénario se finir en voyant tes armées occuper tout les points stratégiques et ainsi gagner haut la main ?!

En effet, il n'est même pas prouvé que tu ais intérêt à te battre contre les russes.

Mais avant de marcher vers l'Est, il est impératif d annihiler l'armée Prussienne...
Pas envie d'etre pris en sandwich entre les Prussiens et les Russes....

D'ailleurs les Russes sont déjà à Varsovie mais non pas l'air de bouger...

ORDRES DE MARCHE DE LA GRANDE ARMEE : 16 - 21 NOVEMBRE 1806



14 Novembre 1806

Quelle magnifique vison : L'armée prusienne en colonne marchant sous la pluie, à travers la plaine, enfin à notre portée
A Francfort sur Oder l'armée francaise parvient enfin à établir le contact avec l'armée prussienne.

Soudain, dans les rangs prussiens, un cri retentit " Die Franozen ! Die fransozen ! "
En effet, les soldats prussiens influencés par leurs officiers supérieurs qui ont depuis plusieurs semaines éviter le combat avec les français, ressentent un vent de panique paralysant avant la bataille.

De notre côté, les Corps de Davout, Soult, Augerau et de la Garde manoeuvrent pour se mettre en ordre de bataille.
La victoire est totale et l'armée coalisée de Hohenlohe-Infelgen est décimée.

Remarque : On constate que l'armée coalisée est composée de 2 nationalité : Prussiens en Gris et ?? en Blanc
Je ne sais pas quelles sont ces unités en blanc ( des russes ?, des suédois ? Hannovriens ? ) en tout cas, ils ont été les premiers a fuire le champ de bataille, évitant des pertes, mais laissant les Prussiens à leur pauvre sort.




Les Prussiens ont perdu près de 50% de leur forces sur le champ de bataille, et 6.000 prussiens sont fait prisonniers.

Ce qu'il reste de l'armée Prussienne :


Seules 5 Divisions ( HA = Hannovre ? ) restent intactes
Sont également présent : le Corps de Wurtemberg (5 unités) et le Freikorps Silberberg ( 2 unités suédoises)


A Francfort sur Oder, les prussiens ont abandonné leur artillerie :


11 unités d'artillerie à 50% d'effectif et l'etat major prussien.


En Allemagne du Nord, les Prussiens poursuivent le siège de Hambourg et semblent ne toujousr pas vouloir lancer l'assaut.
Le Corps de cavalerie de Murat quitte Magdebourg pour Hambourg : Si nos cavaliers arrivent à temps, ils pourront surprendre les prussiens de Kalckreuth dans la plaine de Hambourg, et les tailler en pièces.
La Division de Grison quitte également Breme pour venir renforcer les dragons bavaroisdans la garnison de Hambourg.
A noter que les navires capturés lors de la prise de Hambourg sillonent l'Elbe et se place sous les ponts de Hambourg afin d'eviter que les Prussiens pris par je ne sais quelle envie décident de traverser le fleuve et de marcher vers l'Ouest

A Braunschweig, notre cavalerie met en déroute les quelques unités de la Landswehr qui avait eu l'audace de contester notre autorité dans la région.





Ordres de Marche :



L'armée prussienne est completement désorganisée : Une grande partie a repliée vers le Nord, laissant sur la plaine de Francfort sur Oder une grand partie de son artillerie.
Après cette défaite, les Prussiens ont 2 possibilités : Retourner se réfugier à Berlin et son sort ne sera plus qu'une question de temps, ou tenter de rejoindre les Russes en Pologne, mais comme les ponts de l'Oder à Francfort sont en nos mains, il ne reste que la possibilité de passage au Nord par Stettin.

Nous penchons pour la seconde décision : Les corps de Davout, Soult, Augereau et de la Garde entame donc une marche vers le Nord en direction du Nord afin de poursuivre les Prussiens.
2 Division de cavalerie sont détachées afin de tenir les ponts de Francfort sur Oder, pour empécher le passage, et si possible achever l'artillerie prussienne immobilisée.

Berlin, laissé sans défense, nous quittons également Magdebourg pour marcher sur la capitale, en laissant au préalable une division d'infanterie en garnison

Sur le Rhin, les prussiens toujours réfugiés à Mayence, détachent 2 unités de cavelrie pour s'emparer des villes laissés sans garnion : Metz, nancy, Landau. Heureusement Starsbourg et son large dépot est défendue par une batterie d'artillerie et une brigade d'infanterie qui empeche les prussiens d'entrer dans la ville...

ORDRES DE MARCHE DE LA GRANDE ARMEE : 22 - 30 NOVEMBRE 1806

Comme prévu l'armée prussienne en fuite a pris le chemin de Stettin.
Elle est rattrappée à Eberswalde, où le Marechal Hohelhohe-Ingelfingen parveint à limiter ses pertes en décrochant rapidement.
Seule son arrière-garde subit notre feu



Mais un peu plus au Nord sur la route de Stettin, à Schwedt notre armée rattrappe le Corps prussien commandé par le général Wurtemberg.
Peut être que celui ci n a pas été averti que Hohenlohe avait été accroché quelques jours plus t$ot, ou tentait il de poursuivre sa route vers Stettin pour se réfugier dans son fort.
Nul ne le saura jamais, car pris à revers ses forces prises à revers son totalement annihilées dans la bataille, et lui même trouvera la mort.



Sont félécités pour cette victoires, les Maréchaux Davout, Soult et Bessières, les généraux Morand, De la Sablonnière, Legrand, Leval.

A la fin de cette semaine, on estime les pertes totales des Coalisés depuis le début de la campagne à plus de 46.000 hommes contre 17.000 francais.
Egalement, près de 12.000 prussiens ont été fait prisonniers...



En Allemagne du Nord, Murat est arrivé trop tard, les Prussiens de Kalckreuth se sont finalement emparé de Hambourg.
Nous mettons à notre tour le siège à la ville avec l'aide de la division Grison.
Afin d'assurer notre ravitaillement, la Divison de Lasalle avec ses cavaliers légers a pour mission de s'emparer des villes de Lubeck et Kiel.




Antoine Charles Louis Lasalle, une figure épique des guerres de la Revolution et de l Empire
http://fr.wikipedia.org/wiki/Antoine_Ch ... is_Lasalle


Bernadotte, Lannes et Ney arrivent dans les faubourgs de Berlin.



La ville semble défendue par une faible garnison : 2 unités ( force/composition inconnue) 1 batteire d'artillerie de fortersse, tout cela commandée par le Général Kuhnheim, celui qui défendait Magdebourg il y a encore quelques jours.
Kuhnheim avait visiblement réussi à s'enfuir de Magdebourg y abandonant ses hommes.

Aussi, Nous donnons ordre de lancer l'assaut, avant que l'armée prussienne de Hohenlohe-Infelgen, qui bien que sévèrement secouée, ne vienne renforcer la garnison de Berlin.
En effet, maintenant que la route de l'Oder est coupée , les prussiens n"ont plus de choix que de se réfugier dans leur capitale, dernière place encore en leur possession dans la région.

Sur le Rhin, les prussiens dans Cologne se sont rendus à la Brigade de Savary.
Maintenant, nous pouvons faire descendre nos forces pour affronter les Prussiens de Von Ruchel.
D'ailleurs, celui ci étrangement a quitté la protection des murs de Mayence pour retraverser le Rhin et assiéger Jerome, réfugié à Francfort.

Ordres de Mission :



Maintenat que la route des Prussiens est coupée, nous repartons vers le Sud pour empecher un eventuel dernier essai prussien pour traverser l'Oder à hauteur de Francfort sur Oder
Néanmoins Davout poursuit vers le Nord pour s'emparer de Stettin.
Assaillir Berlin pour prendre au plus vite la ville, et empecher les Prussiens de s'y réfugier
Rejoindre Jerome avec le Coprs de Mortier et déloger les Prussiens du Rhin

Les Prussiens sont pris au piège !

Oui, leur sort est scellé..

Cependant, il va falloir m assurer que je ne laisse personne derriere avant davancer en Pologne.

Il y a encore 2 épines : Les Prussiens sur le Rhin : Mortier arrive mais j ai dû dégarnir ses forces pour assurer les garnison de certaines villes, et Hambourg que j assiege avec 1 division d'infanterie et tout le Corps de Murat ( Des cavaliers pour assiéger une ville, c'est pas ce qu'on fait de mieux...)

L'Armée prussienne de Hohenlohe est elle coupée de toute sources de raviatillement, et en plein hiver, dans la neige, je ne leur donne pas longtemps...

En même temps, je vois l'armée Russe se renforcer en Pologne a Varsovie et ca a l air béton...

L'essentiel est d'avoir empêcher le regroupement des armées prussiennes et russes.

Maintenant je me demande quelle sera la stratégie russe, sachant que leurs petits copains prussiens ne viendront pas au rendez vous :

Va t il poursuivre une stratégie défensive et attendre nos armées, ou passer à une contre offensive ?

Garder l'Oder suffirait pour remporter la victoire ?

Garder l'Oder ?
Je joue l'Empereur, je dois aller jusque Moscou !!!

Sérieusement, le scenraio se termine en Fevier 1807 : Il reste 12 tours

Je vais devoir faire souffler mon armée : Je n ai pas beaucoup de pertes, mais elle est un peu desorganisée...

Il faudra que je prenne les villes du Sud sur l Oder pour sécuriser mon flanc sud : Un Corps devrait suffire.
On va voir si Davout reussi à prendre Sttetin rapidement et à s'enfoncer le long de la cote baltique.

J'aimerai bien quand même réussir à entrer à Varsovie avant la fin, pour libérer la Pologne...

Mais ma stratégie sera surtout en fonction du degré d'information que je pourrai avoir sur la composition et la force de l'armée Russe...

ORDRES DE MARCHE DE LA GRANDE ARMEE : 1 - 7 DECEMBRE 1806



22 Novembre, nos armées menées par le valeureux Marechal Lannes bousculent la petite garnison de lBerlin et peuvent entrer en vainqueur dans la capitale prussienne.
Le Général prussien Von Schmettau périra en tentant une défense désespérée.



L'armée prussienne, où enfin ce qu'il en reste conduite par Hohenlohe-Infelgen tentera dans un ultime soubressaut de venir déloger les nouveaux occupants, mais une nouvelle fois le Marechal Prussien subit une large défaite.




A La nouvelle de cette éclatante victoire et de la Prise de Berlin, l' Empereur s'adresse à l'armée :

Soldats ! vous avez justifié mon attente, et répondu dignement à la confiance du peuple français. Vous avez supporté les privations et les fatigues avec autant de courage que vous avez montré d'intrépidité et de sang-froid au milieu des combats. Vous êtes les dignes défenseurs de l'honneur de ma couronne et de la gloire du grand peuple ; tant que vous serez animés de cet esprit, rien ne pourra vous résister. Je ne sais désormais à quelle arme je dois donner la préférence.... vous êtes tous de bons soldats. Voici les résultats de nos travaux.

Une des premières puissances militaires de l'Europe, qui osa naguère nous proposer une honteuse capitulation, est anéantie. Les forêts, les défilés de la Franconie, la Saale, l'Elbe, que nos pères n'eussent pas traversés en sept ans, nous les avons traversés en sept jours, et livré dans l'intervalle quatre combats et une grande bataille, Nous avons précédé à Potsdam, à Berlin, la renommée de nos victoires. Nous avons fait soixante mille prisonniers, pris soixante-cinq drapeaux, parmi lesquels ceux des gardes du roi de Prusse ; six cents pièces de canon, trois forteresses, plus de vingt généraux. Cependant, près de la moitié de vous regrettent de n'avoir pas encore tiré un coup de fusil. Toutes les provinces de la monarchie prussienne, jusqu'à l'Oder, sont en notre pouvoir.

Soldats ! les Russes se vantent de venir à nous. Nous marcherons à leur rencontre, nous leur épargnerons la moitié du chemin, ils retrouveront Austerlitz au milieu de la Prusse. Une nation qui a aussitôt oublié la générosité dont nous avons usé envers elle après cette bataille, où son empereur, sa cour, les débris de son armée n'ont dû leur salut qu'à la capitulation que nous leur avons accordée, est une nation qui ne saurait lutter avec succès contre nous.

Cependant, tandis que nous marchons au-devant des Russes, de nouvelles armées, formées dans l'intérieur de l'empire, viennent prendre notre place pour garder nos conquêtes. Mon peuple tout entier s'est levé, indigné de la honteuse capitulation que les ministres prussiens, dans leur délire, nous ont proposée. Nos routes et nos villes frontières sont remplies de conscrits qui brûlent de marcher sur vos traces. Nous ne serons plus désormais les jouets d'une paix traîtresse, et nous ne poserons plus les armes que nous n'ayons obligé les Anglais, ces éternels ennemis de notre nation, à renoncer au projet de troubler le continent, et à la tyrannie des mers.

Soldats ! je ne puis mieux vous exprimer les sentimens que j'ai pour vous, qu'en vous disant que je vous porte dans mon coeur l'amour que vous me montrez tous les jours.


En Allemagne du Nord, Lasalle après son périple revient se placer dans le Corps d'Armée de Murat: Le Drapeau francais flotte sur Lübeck, et Kiel a été offerte à nos amis Danois.






Sur Le Rhin, la population de mAyence a pris les armes et a formé une unité de la Garde Nationale. La ville et ses dépots ayant été abandonnés par les Prussiens partis assiégés Jerome à Francfort, sont repriss sans un coup de feu.






Sur l'Oder, les restes de l'artillerie prussienne a reussi à passer le fleuve et s'est retranchée à Kustrin.



NB : J aimerai bien comprendre comment ils ont réussi à passer : J ai laissé 2 divisons de cavalerie sur la région, en mode full offensif, pendant ces 2 derniers tours sans résultats, et les canons prussiens ont même réussi à passer sur le seul pont de la région, que je controle, et cela sans coup férir....




Au Nord, le Corps de Davout arrive aux portes de Stettin et y met le siège.
La Brigade de Bonnet d'Infanterie légère est détachée pour s'emparer un peu plus au nord de la ville suédoise de Stralsund.






Missions :
La Neige et le froid recouvre toute la région infligeant de lourdes pertes, bien que les Prussiens n'y ont jamais réussi.
Murat et ses cavaliers quitte donc les alentours d'Hambourg pour se refugier à berlin, laissant le siège de la ville aux fantassins du général Grison
Nos armées sont quasiment à plein effectif, mais les assuts et batailles répétés ont entamé la cohesion de nos armées.
Un peu de repos dans les tavernes de Berlin ne devrait pas faire de mal à nos soldats.
Dehors dans la plaine, l'armée prussienne finit de mourir - sans raviatillment, plus aucune ville où se réfugier et subissant les assaut de l'hivers.
Sur l'Oder, au Nord, Davout donnera l'assaut à Stettin : Il faut se mettre le plus rapidement à l abri : Un siège nous causerait trop de perte à cause du froid.
Au Centre, bien que le climat ne soit pas favorable, l'armée passe le fleuve pour assiéger Kustrin où s'est réfugiée l'artillerie prussienne : Il serait dangereux de leur laisser la possibilité et le temps de recomposer leurs effectifs.
Sur le Rhin, Mortier rejoindra Jerome à Francfort et les villes seront reprises par Savry sur la rive occidentale.


Comme l a si bien dit l'Empereur à l'armée, maintenant l'ennemi c'est le Russe ( nb Normalement la Prusse devrait s etre rendue, mais comme il n y a pas de module diplomatique... )
Où sont les Russes : Ils ammasent leurs forces en Pologne.
Les provinces polonaises sont assez amicales pour la France, si bien que j e parviens à avoir une certaines visibilité malgré le Fog of War : ( tout comme je l imagine, les coalisées ont une vision de nos forces en en Allemagne...)

ORDRES DE MARCHE DE LA GRANDE ARMEE : 8 - 16 DECEMBRE 1806

Sur le Rhin, les dernières forces prussiennes sont éliminées :

A Strasbourg, la garnison effectue une sortie, et élimine les cavaliers prussiens



A Nancy, les Ulhans sont pourchassés...



En Bavière, Mortier ramasse les restes du Corps de Jerome et s'engage dans la poursuite de ce qui reste de la Force Prussienne qui tente de s'enfuir vers l'Est.
Les Prussiens sont rattrappés à Achaffenburg : Le général Von Ruchel y mourira à la tête de ses troupes



En Allemagne du Nord, Murat et ses cavaliers pourchassent dans la région de Berlin ce qui fut un jour l'armée prussienne.
Cette fois ci, ce sont les Saxons qui subiront le plus de pertes, leur général Zezschwitz succombera sous les sabres de nos hussards.




Plus à l'est, Davout attaque les murailles de Stettin où s'est réfugié notre vieille connaissance, le général Kuhnheim.
Les Prussiens proclament une victoire, pourtant nous ne subissons aucune perte et parvenons à entrer dans la ville, tout en capturant l'artillerie de fortesse...



Pourtant, si tout semble allait de soi, une préoccupation grandissante saisit l'armée francaise.
Notre logistique ne suit pas l'avancée de nos troupes, qui plus est, la situation est aggravé par la rude météo. Le froid occasionne plus de pertes que les prussiens n'ont réussi à nous infliger.
Les dépôts de Berlin et Cottbus sont vides, et sans ravitaiillement, il nous est impossible de poursuivre notre avancée au delà de l'Oder.



Missions :

Abandon du siège de Kustrin et retour sur les rives occidentales de lOder, si possible à Dresde qui dispose de stocks de ravitaillement conséquants
Davout se repose à Stettin
Bernadotte reste en garnison à Berlin
Ney se refugie à Magdebourg
Lannes part pour Hambourg : Il est temps de prendre la ville et ses stocks.
Savary rassemble les élméments francais du Rhin pour assiéger et anéantir les derniers prussiens qui se sont réfugiés à Landau.
Mortier poursuit sa marche à travers la Bavière pour rejoindre l'Armée.

ORDRES DE MARCHE DE LA GRANDE ARMEE : 22 - 31 DECEMBRE 1806

Bataille pour Hambourg
Cette ville est nécessaire à notre chaine de ravitaillement, avant toute futures opérations.
La plupart des Marechaux ont recu donné quartiers libres à leurs troupes pour la période de Noel, sauf lannes qui a en charge la prise Hambourg.
Aussitôt arrivé, les premières vagues francaises se jettent à l'assaut de la ville.
La bataille sera acharnée et durera 3 jours durant contre la divison prussienne du général Kalckreuth, retranchée derrière les murs







A la fin de la bataille, la division prussienne aura été completement détruite et son commandant, le Général Kalckreuth tué au combat.
Lannes entre dans Hambourg et y capture une unité de raviatillement prussien.

La population prussienne est intenable et à Kiel ne semble pas vouloir son rattachement au Danemark.
Il va falloir y envoyer quelques hussard remettre un peu d'ordre.

Ailleurs, Napoleon et ses troupes ont franchi l'Oder pour se refugier à Cottbus : le passage du fleuve a été plus long que prévu en raison de la présence d'unités fluviales prussiennes qui ont freiné notre marche.


Il est temps de profiter de ce moment de repos accordé à nos armées pour recompléter nos rangs et refaire le plein en raviatillement.



Le résultat se fait aussitot ressentir :



Mais le probleme se pose toujours pour nos unités d'infanteries polonaises et italiennes, qui ne bénéficient d'aucun renfort disponibles pour compéter les rangs, ni pour les unités de cavalerie et d'artillerie de nos alliés germaniques...

Alors que Napoleon révise son plan de campagne, un courrier arive de notre plus sûr élément : Schulmeister
En effet, nous apprenons que l'Etat Major Coalisé vient d'ordonner une offensive générale.



Nul doute, que les Russes vont bientôt faire mouvement depuis leurs bases en Pologne pour venir à la rencontre de nos forces.

D'ailleurs, leur avant garde est reportée à Posen