Inexplicablement, notre adversaire n'utilise toujours pas ses appareils de reconnaissance pour découvrir ses intention alors qu'il faut bien sûr regrouper les troupes avant toute offensive digne de ce nom. Nous poussons dorénavant vraiment partout et cela craque et commence à se replier , offrant de nouvelles opportunités.
Il ne reste que dans le Grand Nord, où il joue à jeu égal.

A Léningrad, le repli des PzKorps se poursuit en ordre malgré l'opération Marteau en coup plus au sud et l'attaque via la poche de Léningrad de la base du saillant. Attaque qui détruit un bataillon de forteresse et fait replier les défenseurs.

Au sud du lac Ilmen, dans le secteur du Front de Kalinine, nous profitons là aussi d'un retrait des allemands, peut être sur un semblant de calme, pour avancer vers l'ouest.

L'opération Burin est un grand succès. La 1ère Armée de Choc réalise une percée sur 45 kilomètres et fait mal aux allemands. Tandis que la 1ère Armée de la Garde se déploie également en encerclant une ID ennemie.

La situation est encore pire et certainement la plus menaçante dans le saillant de Vitebsk que l'on peut désormais appeler le saillant de Smolensk tellement sa base se rétrécit. Deux PzKorps se trouvent dans une position délicate avec des divisions affaiblies qui reculent trop lentement. La Stavska estime que la poche doit pouvoir être fermée sur au moins la moitié des troupes du saillant.

Dans un secteur calme, nous partons là aussi à l'attaque pour fixer les unités ennemies. Le Front de Bryansk tâte le terrain et choisit 2 axes de progression.
Au sud-ouest de Mogilev (libérée la semaine dernière) où les vrais opérations n'ont pas encore réellemnt débutées.

Et à l'ouest de Sumy, où deux pinces se déploient...avec des moyens limités.

Juste en-dessous, au sud-ouest de Sumy, c'est le Corps italien peu combatif qui subit la pression.

Tandis que dans le secteur de Stalino, les fascistes semblent vouloir se replier lentement et s'arc-bouter autour de Dnepropetrovsk.

Pour le Front du Sud, la situation reste mitigée même si l'Armée roumaine ne fait pas le poids face à l'Armée rouge. Ils perdent 11 000 hommes hors de combat en 6 combats! On peut s'étonner d'un manque de corsetage pour les troupes allemandes, par exemple à l'embouchure du Dnepr.

Les pertes du tour de l'Axe
Les pertes terrestres s'équilibrent.


Les pertes lors de nos attaques
Première fois que nos pertes sont inférieures à ceux de l'Axe, nous remercions vivement les roumains.


Enfin notre première division détruite et c'est bien sûr une roumaine. La seule autre unité détruite avait été une brigade motorisée hongroise il y a plus de 3 mois.
