Merci !griffon a écrit :vraiment bien le gif animé pour la carte de situ !![]()
belle intro pour un AAR qui , je le sens , s'annonce mémorable !
La guerre civile russe : 1918-1924 Camp rouge
- Boudi
- Khan Océanique
- Messages : 31348
- Enregistré le : sam. août 28, 2004 12:47 pm
- Localisation : St-Etienne, FRANCE.
Re: La guerre civile russe : 1918-1924 Camp rouge
« Et c’est parti ! (Поехали! [Poïekhali!]) »
https://fr.pobediteli.ru/
Un petit calcul, et on s’en va !
https://fr.pobediteli.ru/
Un petit calcul, et on s’en va !
Re: La guerre civile russe : 1918-1924 Camp rouge
Bon courage et fais leur en baver, l'Internationale sera le genre humain !
- Boudi
- Khan Océanique
- Messages : 31348
- Enregistré le : sam. août 28, 2004 12:47 pm
- Localisation : St-Etienne, FRANCE.
Re: La guerre civile russe : 1918-1924 Camp rouge
Automne 1918
Les contre-révolutionnaires ne cessent d'avancer, depuis les confins de la jeune République des Soviets, marchant sur le centre du pays et son cœur vital : Moscou. De nombreuses villes passent à l'ennemi, malgré le dévouement des Gardes Rouges qui préfèrent se faire tuer sur place plutôt que de se rendre, donnant ainsi de précieuses semaines à la Révolution.
Ekaterinenburg est prise par l'armée impérialiste tchèque :

L'armée de l'Oural parvient néanmoins à sauver sa cavalerie, qui s'échappe.
Penza, Saratov tombent elles aussi :

Perm, ville stratégique, son dépôt, son port sur le fleuve passent à l'ennemi :

Tashkent ne donne plus de nouvelles :

De même que Stavropol (Caucase).
Tout an nord les Anglais, accompagnés par des traîtres russes, ont marché au sud, descendant plus loin que les berges méridionales du lac Ladoga. Là aussi l'ennemi a pris le contrôle de nombreuses villes, pillant et massacrant sur son passage. La garnison de Pétrograd est sur le pied de guerre. Elle est solidement retranchée, et dispose de lourdes batteries et de casemates blindées.

Des gardes rouges et des miliciens armés prennent position dans de nombreuses villes pour stopper ce phénomène dit de la tâche d'huile. Ils ne suffiront pas. Mais ils peuvent peut-être freiner le rythme d'expansion de l'ennemi.
Nous savons que celui-ci, depuis ses bases de Sibérie, a décrété la mobilisation générale. Les Soviets la décrètent à leur tour. Des milliers de braves se lèvent pour défendre leur Révolution.
Et si les nouvelles ne sont globalement pas bonnes, il en arrivent certaines qui donnent du baume au coeur. Ainsi le Camarade Trotski a su efficacement défendre le train bourré d'or des Romanov. Celui-ci est parvenu à Moscou, et fournira un financement exceptionnel et indispensable à la montée en puissance de l'armée rouge.

Lenine avait décrété la construction d'un grand Combinat d'armement à Moscou. L'immense complexe est maintenant opérationnel, et livrera les fusils, les munitions, la poudre, les canons, et même les autos blindées qui nous manquent encore.

Un second complexe sera bâti à Pétrograd !
La joie est de courte durée. Une terrible nouvelle nous parvient du Caucase. Le Camarade Staline, parti pour dégager nos troupes dans la péninsule avec une puissante armée équipée de trains blindés vient pourtant d'essuyer une terrible défaite, perdant plus de 15.000 Camarades. Il serait néanmoins parvenu à se retirer à Tsaritsine.

Si Kamenev a réussi lui aussi à s'esquiver, ce n'est pas le cas de Muraiev, qui, poursuivi sur les routes du Caucase, subit engagements sur engagements, et voit ses troupes fondre comme neige au soleil, sans espoir de rejoindre l'arrière.

Le Caucase est irrémédiablement perdu :

Trotski lui est toujours à Kazan. Il sait que l'ennemi Russo-tchèque encercle la ville. Il décide de passer à l'attaque pour se dégager. Hélas, c'est encore là un échec couteux en hommes.

6.000 Camarades au tapis. La Révolution est en grand danger. Lenine est le seul à garder espoir.
Trotski se retire et organise les défenses de Kazan. Il n'a pas dit son dernier mot. Il installe les tranchées, dispose les batteries. C'est un habile défenseur. L'ennemi russo-tchèque se jette sur ses lignes. C'est une terrible bataille, mais Trotski tient bon. Il inflige de lourdes pertes à l'ennemi.

La nouvelle est télégraphiée à Moscou. Elle se répand dans les rues, le moral remonte. Lenine respire. Trotski a donné à la Révolution la première victoire d'importance contre une armée contre-révolutionnaire organisée.
Toutefois l'ennemi a réussi à franchir le fleuve et à se maintenir sur notre berge. Une nouvelle bataille se déclenche. L'armée rouge inflige là encore de lourdes pertes aux contre-révolutionnaires qui perdent 21.000 hommes en 2 batailles pour 7.000 des nôtres. La nouvelle court dans toute la Russie soviétique : Kazan tient et tiendra !

Cerise sur le gâteau, des partisans réussissent le premier raid surprise contre un aérodrome de l'histoire du pays ! Les appareils tombent intacts entre nos mains !
Puis une grande nouvelle tombe : c'est le 11 novembre 1918 que l'Allemagne décide de capituler face aux autres puissances impérialistes :

La légion tchèque, sévèrement étrillée par l'armée rouge, se retire :

Des troupes franco-grecques débarquent à Odessa. Elles sont censé surveiller le départ des Allemands, nous savons qu'ils sont là en réalité pour les remplacer et nous combattre.

Les marines alliées investissent la mer noire :

L'Ukraine entre dans la sphère des combats. Les Bolcheviks y lèvent rapidement une armée soviétique d'Ukraine. Des anarchistes, partisans de la Révolution et avec qui il faudra discuter, s'organisent dans le sud ukrainien :

De son côté la contre-révolution vit son premier putch : le conseil d'Omsk est renversé par un Amiral, l'Amiral Koltchak. Que les loups se dévorent entre-eux !

Situation autour de Kazan, fin novembre 1918 :

Penza, où Kamenev prépare sa contre-offensive :

Tsaritsine, tenue par Staline :

L'extrême sud caucasien, aux mains des Koulaks :

Évolution sur le terrain, automne 1918 :

Les contre-révolutionnaires ne cessent d'avancer, depuis les confins de la jeune République des Soviets, marchant sur le centre du pays et son cœur vital : Moscou. De nombreuses villes passent à l'ennemi, malgré le dévouement des Gardes Rouges qui préfèrent se faire tuer sur place plutôt que de se rendre, donnant ainsi de précieuses semaines à la Révolution.
Ekaterinenburg est prise par l'armée impérialiste tchèque :

L'armée de l'Oural parvient néanmoins à sauver sa cavalerie, qui s'échappe.
Penza, Saratov tombent elles aussi :

Perm, ville stratégique, son dépôt, son port sur le fleuve passent à l'ennemi :

Tashkent ne donne plus de nouvelles :

De même que Stavropol (Caucase).
Tout an nord les Anglais, accompagnés par des traîtres russes, ont marché au sud, descendant plus loin que les berges méridionales du lac Ladoga. Là aussi l'ennemi a pris le contrôle de nombreuses villes, pillant et massacrant sur son passage. La garnison de Pétrograd est sur le pied de guerre. Elle est solidement retranchée, et dispose de lourdes batteries et de casemates blindées.

Des gardes rouges et des miliciens armés prennent position dans de nombreuses villes pour stopper ce phénomène dit de la tâche d'huile. Ils ne suffiront pas. Mais ils peuvent peut-être freiner le rythme d'expansion de l'ennemi.
Nous savons que celui-ci, depuis ses bases de Sibérie, a décrété la mobilisation générale. Les Soviets la décrètent à leur tour. Des milliers de braves se lèvent pour défendre leur Révolution.
Et si les nouvelles ne sont globalement pas bonnes, il en arrivent certaines qui donnent du baume au coeur. Ainsi le Camarade Trotski a su efficacement défendre le train bourré d'or des Romanov. Celui-ci est parvenu à Moscou, et fournira un financement exceptionnel et indispensable à la montée en puissance de l'armée rouge.

Lenine avait décrété la construction d'un grand Combinat d'armement à Moscou. L'immense complexe est maintenant opérationnel, et livrera les fusils, les munitions, la poudre, les canons, et même les autos blindées qui nous manquent encore.

Un second complexe sera bâti à Pétrograd !
La joie est de courte durée. Une terrible nouvelle nous parvient du Caucase. Le Camarade Staline, parti pour dégager nos troupes dans la péninsule avec une puissante armée équipée de trains blindés vient pourtant d'essuyer une terrible défaite, perdant plus de 15.000 Camarades. Il serait néanmoins parvenu à se retirer à Tsaritsine.

Si Kamenev a réussi lui aussi à s'esquiver, ce n'est pas le cas de Muraiev, qui, poursuivi sur les routes du Caucase, subit engagements sur engagements, et voit ses troupes fondre comme neige au soleil, sans espoir de rejoindre l'arrière.

Le Caucase est irrémédiablement perdu :

Trotski lui est toujours à Kazan. Il sait que l'ennemi Russo-tchèque encercle la ville. Il décide de passer à l'attaque pour se dégager. Hélas, c'est encore là un échec couteux en hommes.

6.000 Camarades au tapis. La Révolution est en grand danger. Lenine est le seul à garder espoir.
Trotski se retire et organise les défenses de Kazan. Il n'a pas dit son dernier mot. Il installe les tranchées, dispose les batteries. C'est un habile défenseur. L'ennemi russo-tchèque se jette sur ses lignes. C'est une terrible bataille, mais Trotski tient bon. Il inflige de lourdes pertes à l'ennemi.

La nouvelle est télégraphiée à Moscou. Elle se répand dans les rues, le moral remonte. Lenine respire. Trotski a donné à la Révolution la première victoire d'importance contre une armée contre-révolutionnaire organisée.
Toutefois l'ennemi a réussi à franchir le fleuve et à se maintenir sur notre berge. Une nouvelle bataille se déclenche. L'armée rouge inflige là encore de lourdes pertes aux contre-révolutionnaires qui perdent 21.000 hommes en 2 batailles pour 7.000 des nôtres. La nouvelle court dans toute la Russie soviétique : Kazan tient et tiendra !

Cerise sur le gâteau, des partisans réussissent le premier raid surprise contre un aérodrome de l'histoire du pays ! Les appareils tombent intacts entre nos mains !


Puis une grande nouvelle tombe : c'est le 11 novembre 1918 que l'Allemagne décide de capituler face aux autres puissances impérialistes :

La légion tchèque, sévèrement étrillée par l'armée rouge, se retire :

Des troupes franco-grecques débarquent à Odessa. Elles sont censé surveiller le départ des Allemands, nous savons qu'ils sont là en réalité pour les remplacer et nous combattre.

Les marines alliées investissent la mer noire :

L'Ukraine entre dans la sphère des combats. Les Bolcheviks y lèvent rapidement une armée soviétique d'Ukraine. Des anarchistes, partisans de la Révolution et avec qui il faudra discuter, s'organisent dans le sud ukrainien :

De son côté la contre-révolution vit son premier putch : le conseil d'Omsk est renversé par un Amiral, l'Amiral Koltchak. Que les loups se dévorent entre-eux !

Situation autour de Kazan, fin novembre 1918 :

Penza, où Kamenev prépare sa contre-offensive :

Tsaritsine, tenue par Staline :

L'extrême sud caucasien, aux mains des Koulaks :

Évolution sur le terrain, automne 1918 :

« Et c’est parti ! (Поехали! [Poïekhali!]) »
https://fr.pobediteli.ru/
Un petit calcul, et on s’en va !
https://fr.pobediteli.ru/
Un petit calcul, et on s’en va !
- Emp_Palpatine
- Eco-Citoyen
- Messages : 17897
- Enregistré le : sam. août 21, 2004 12:37 pm
- Localisation : Le XIXème (Siècle, pas arrondissement)
Re: La guerre civile russe : 1918-1924 Camp rouge
Ils sont bien plus efficaces que moi, je ne suis décidement pas prêt à la PBEM.
Ouch, par contre, la claque prise par Staline!
Et petit détail: le premier raid contre un aérodrome date, si ma mémoire est bonne, de septembre-octobre 1914 et fut le fait de la cavalerie française.
Ouch, par contre, la claque prise par Staline!

Et petit détail: le premier raid contre un aérodrome date, si ma mémoire est bonne, de septembre-octobre 1914 et fut le fait de la cavalerie française.

Vous pensez tous que César est un con? Vous pensez que le consul et son conseiller sont des cons? Que la police et l'armée sont des cons? Et vous pensez qu'y vous prennent pour des cons? Et vous avez raison, mais eux aussi! Parce que depuis le temps qu'y vous prennent pour des cons, avouez que vous êtes vraiment des cons. Alors puisqu'on est tous des cons et moi le premier, on va pas se battre.
-
- Calimero
- Messages : 16844
- Enregistré le : mar. août 09, 2005 7:49 pm
- Localisation : De retour dans le sud
Re: La guerre civile russe : 1918-1924 Camp rouge
Belle présentation!
Et puis Staline qui se fait fesser ca fait toujours plaisir

Et puis Staline qui se fait fesser ca fait toujours plaisir

« Il est deux catégories de Français qui ne comprendront jamais l’histoire de France : ceux qui refusent de vibrer au souvenir du sacre de Reims ; ceux qui lisent sans émotion le récit de la fête de la Fédération. »
Marc Bloch
Marc Bloch
-
- Vétéran du Vietnam
- Messages : 4415
- Enregistré le : lun. déc. 07, 2009 4:06 pm
- Meilleur jeu 2008 : Combat Mission Shock Force et ses modules
Re: La guerre civile russe : 1918-1924 Camp rouge
Pendant que Trotsky, déjà nettement meilleur à la base, défend tellement bien qu'il améliore sa caractéristique. 

I am Welcomed in the Home of Ravens and Other Scavengers in the Wake of Warriors, I am Friend to Carrion Crows and Wolves. I am Carry Me and Kill with Me, and Die with Me Where the Road Ends. I am not the Honeyed Promise of Length of Life in Years to Come, I am the Iron Promise of Never Being a Slave.
- Boudi
- Khan Océanique
- Messages : 31348
- Enregistré le : sam. août 28, 2004 12:47 pm
- Localisation : St-Etienne, FRANCE.
Re: La guerre civile russe : 1918-1924 Camp rouge
Heureusement j'avais anticipé le biais possible, j'avais pensé écrire initialement "premier raid de l'histoire", du coup j'ai pris garde de bien stipuler "de l'histoire du pays". Si après il y a contestation ça suppose d'aller faire une recherche historique plus complexe.Emp_Palpatine a écrit :Et petit détail: le premier raid contre un aérodrome date, si ma mémoire est bonne, de septembre-octobre 1914 et fut le fait de la cavalerie française.

Merci à tous pour votre intérêt.

« Et c’est parti ! (Поехали! [Poïekhali!]) »
https://fr.pobediteli.ru/
Un petit calcul, et on s’en va !
https://fr.pobediteli.ru/
Un petit calcul, et on s’en va !
- Boudi
- Khan Océanique
- Messages : 31348
- Enregistré le : sam. août 28, 2004 12:47 pm
- Localisation : St-Etienne, FRANCE.
Re: La guerre civile russe : 1918-1924 Camp rouge
Tiens oui ! Merci de me le signaler, je n'avais même pas remarqué.Greyhunter a écrit :Pendant que Trotsky, déjà nettement meilleur à la base, défend tellement bien qu'il améliore sa caractéristique.



« Et c’est parti ! (Поехали! [Poïekhali!]) »
https://fr.pobediteli.ru/
Un petit calcul, et on s’en va !
https://fr.pobediteli.ru/
Un petit calcul, et on s’en va !
- griffon
- Empereur Intergalactique
- Messages : 42611
- Enregistré le : mer. août 18, 2004 5:26 pm
- Localisation : Brest
Re: La guerre civile russe : 1918-1924 Camp rouge
ce Trotsky est bon , tres bon
le peuple devrait le désigner comme guide de la révolution ......
le peuple devrait le désigner comme guide de la révolution ......

SOL INVICTVS
Au printemps, je vais quelquefois m'asseoir à la lisière d'un champ fleuri.
Lorsqu'une belle jeune fille m'apporte une coupe de vin , je ne pense guère à mon salut.
Si j'avais cette préoccupation, je vaudrais moins qu'un chien
Lorsqu'une belle jeune fille m'apporte une coupe de vin , je ne pense guère à mon salut.
Si j'avais cette préoccupation, je vaudrais moins qu'un chien
- Boudi
- Khan Océanique
- Messages : 31348
- Enregistré le : sam. août 28, 2004 12:47 pm
- Localisation : St-Etienne, FRANCE.
Re: La guerre civile russe : 1918-1924 Camp rouge
Pour l'instant c'est le Camarade Lenine qui préside aux destinées de la Révolution ( pas de guide chez nous
) , ne l'oublions pas.
Puisque je m'adresse ici exceptionnellement au peuple j'annonce déjà 51.000 koulaks morts/blessés/disparus dans ce que nous appellerons la bataille de Kazan, véritable Verdun dans l'Oural. Ca restera LA bataille de l'année 1918, quelle qu'on soit l'issue, toujours indécise.


Puisque je m'adresse ici exceptionnellement au peuple j'annonce déjà 51.000 koulaks morts/blessés/disparus dans ce que nous appellerons la bataille de Kazan, véritable Verdun dans l'Oural. Ca restera LA bataille de l'année 1918, quelle qu'on soit l'issue, toujours indécise.

« Et c’est parti ! (Поехали! [Poïekhali!]) »
https://fr.pobediteli.ru/
Un petit calcul, et on s’en va !
https://fr.pobediteli.ru/
Un petit calcul, et on s’en va !
-
- Calimero
- Messages : 16844
- Enregistré le : mar. août 09, 2005 7:49 pm
- Localisation : De retour dans le sud
Re: La guerre civile russe : 1918-1924 Camp rouge
Curieux qu'il s'acharne autant? 

« Il est deux catégories de Français qui ne comprendront jamais l’histoire de France : ceux qui refusent de vibrer au souvenir du sacre de Reims ; ceux qui lisent sans émotion le récit de la fête de la Fédération. »
Marc Bloch
Marc Bloch
- Boudi
- Khan Océanique
- Messages : 31348
- Enregistré le : sam. août 28, 2004 12:47 pm
- Localisation : St-Etienne, FRANCE.
Re: La guerre civile russe : 1918-1924 Camp rouge
Lilan m'a dit qu'il ne voulait pas laisser Trostski à la tête d'une armée sur ses arrières. 

« Et c’est parti ! (Поехали! [Poïekhali!]) »
https://fr.pobediteli.ru/
Un petit calcul, et on s’en va !
https://fr.pobediteli.ru/
Un petit calcul, et on s’en va !
-
- Empereur spammique
- Messages : 2755
- Enregistré le : lun. août 23, 2004 3:56 pm
- Localisation : Nancy
Re: La guerre civile russe : 1918-1924 Camp rouge
Camarade!
Je suis le camarade Dedov, envoyé spécial du camarade Lénine auprès du commandement militaire de la Révolution.
Que comptes-tu faire pour libérer le Caucase des contre-révolutionnaires? Staline tiendra-t'il à Tsarytsine? Des renforts sont-ils prévus pour lui?
Les impérialistes anglais ont-ils été chassés du sud du Ladoga par les puissantes troupes de Petrograd?
Je suis le camarade Dedov, envoyé spécial du camarade Lénine auprès du commandement militaire de la Révolution.
Que comptes-tu faire pour libérer le Caucase des contre-révolutionnaires? Staline tiendra-t'il à Tsarytsine? Des renforts sont-ils prévus pour lui?
Les impérialistes anglais ont-ils été chassés du sud du Ladoga par les puissantes troupes de Petrograd?
" Le fait que mon chien m'aime plus que je ne l'aime ... me remplit toujours d'un sentiment de honte."
Pr Konrad Lorenz - Prix Nobel
"les profits des spéculateurs [sont] toujours privatisés, tandis que leurs pertes sont invariablement nationalisées"
"Quand l'argent parle, la vérité se tait"
"Au moins, en 29, ils avaient la décence de se défenestrer..."
Pr Konrad Lorenz - Prix Nobel
"les profits des spéculateurs [sont] toujours privatisés, tandis que leurs pertes sont invariablement nationalisées"

"Quand l'argent parle, la vérité se tait"
"Au moins, en 29, ils avaient la décence de se défenestrer..."
- Boudi
- Khan Océanique
- Messages : 31348
- Enregistré le : sam. août 28, 2004 12:47 pm
- Localisation : St-Etienne, FRANCE.
Re: La guerre civile russe : 1918-1924 Camp rouge
Cher camarade,
Voici les réponses à tes questions :
1) Le Caucase. Il faut oublier. Il y a là-bas l'équivalent de la totalité des troupes de l'armée rouge. Nous serrons bien heureux si déjà le Camarade Staline joue son rôle de bouchon à Tsaritsyne.
2) Voir point 1). Des renforts lui seront envoyés au compte-goutte. Nous avons un gros problème de fournitures de guerre (armes, chaussures, uniformes, ravitaillement) que nous n'arrivons toujours pas à produire en quantités suffisantes, malgré notre nouveau combinat de Moscou. Et pour l'instant la priorité c'est d'alimenter la bataille de Kazan.
3) Impossible, là aussi ils nous sont supérieurs. Pétrograd est un festung et ne peut projeter ses forces en dehors de la ville. Pour l'instant laissons les Anglais se cailler les couilles dehors par -15°C.
Voici les réponses à tes questions :
1) Le Caucase. Il faut oublier. Il y a là-bas l'équivalent de la totalité des troupes de l'armée rouge. Nous serrons bien heureux si déjà le Camarade Staline joue son rôle de bouchon à Tsaritsyne.

2) Voir point 1). Des renforts lui seront envoyés au compte-goutte. Nous avons un gros problème de fournitures de guerre (armes, chaussures, uniformes, ravitaillement) que nous n'arrivons toujours pas à produire en quantités suffisantes, malgré notre nouveau combinat de Moscou. Et pour l'instant la priorité c'est d'alimenter la bataille de Kazan.
3) Impossible, là aussi ils nous sont supérieurs. Pétrograd est un festung et ne peut projeter ses forces en dehors de la ville. Pour l'instant laissons les Anglais se cailler les couilles dehors par -15°C.
« Et c’est parti ! (Поехали! [Poïekhali!]) »
https://fr.pobediteli.ru/
Un petit calcul, et on s’en va !
https://fr.pobediteli.ru/
Un petit calcul, et on s’en va !
- Emp_Palpatine
- Eco-Citoyen
- Messages : 17897
- Enregistré le : sam. août 21, 2004 12:37 pm
- Localisation : Le XIXème (Siècle, pas arrondissement)
Re: La guerre civile russe : 1918-1924 Camp rouge
Jamais joué le rouge pour le moment, mais avec les blancs du Sud, je n'ai jamais franchement manqué de matériel de guerre. Je suis surpris par ta situation!
Vous pensez tous que César est un con? Vous pensez que le consul et son conseiller sont des cons? Que la police et l'armée sont des cons? Et vous pensez qu'y vous prennent pour des cons? Et vous avez raison, mais eux aussi! Parce que depuis le temps qu'y vous prennent pour des cons, avouez que vous êtes vraiment des cons. Alors puisqu'on est tous des cons et moi le premier, on va pas se battre.