Novembre -87 à Avril -86:
C'est l'hiver, nos soldats sont au chaud pour passer l'hiver; il ne se passe rien militairement (on se croirait à Koursk, c'est dire).
Nous profitons de ce répit pour: reconstruire les fortifications de Pharsale détruites par les barbares romains, envoyer des marchands dans les cités grecques alliées, lancer des programmes d'urbanisation loin à l'intérieur de notre territoire afin d'augmenter nos ressources), et former des unités de milices pour garder les villes conquises.
Il y a par contre un certain nombre d'événements qui peuvent se révéler cruciaux pour la suite:
En janvier, nous apprenons la mort de Marius. Le chef de la faction rebelle des Populares n'est plus. Nous craignons que les Optimates ne se détournent à nouveau vers nous si ils ne sentent plus le danger rebelle.
Tigranes, notre allié Arménien conquiert les derniers restes de l'empire Séleucide. C'est dans une zone reculée (et non jouable du scénario), donc ça ne changera pas grand chose pour nous si ce n'est que nous pourrons piller le trésor trouvé, et que c'est toujours ça en moins pour les romains....
En mars, nous mettons à jour une conspiration contre notre bon roi... perte d'un peu de MN
Nous apprenons début mai que la ville d'Ephése vient de se révolter

. C'est une ville objectif qui repasse dans le giron romain... L'exemple de Delos ne leur aura donc pas servi...
Accessoirement, nous avons réussi à faire une brèche à Rhodes où des cas de cannibalisme sont recensés...
La situation début mai -86 est donc la suivante:
Comme prévu et redouté, les Optimates sont en train de démembrer les Populares: L'italie est presqu'entiérement reconquise, les PVs et MN s'envolent à nouveau, pendant que la faction adverse s'écroule.
Grâce aux 6 mois de répit, nous sommes passés seconds en terme de PV, notre MN vient lui de tomber suite à la perte (temporaire on espère) d'Ephése. Il va falloir un clash si on veut atteindre nos objectifs, et avoir le dessus.
Aussi, en avril avions nous lancé une reconnaissance armée du roi de Thrace vers la côte occidentale d'Epire: Ca semble vide de troupes, nous allons pouvoir nous y risquer.

Les gardiens de la paix, au lieu de nous la garder, ils feraient mieux de nous la foutre.
Coluche