Crème brûlée

[Largo]

sans doute l'influence d'Avatar

exellente la réplique!

[von Aasen]

Depuis notre tentative de PPO ratée sur l'opus 1, un AAR me trotte toujours en tête sur cette magnifique immersion dans le moyen-âge.

Le 2 a t'il toujours ce rien surréaliste ? Il semblerait qu'il y ait plus d'interaction entre les personnages, tu confirmes ?

Bon courage pour la suite !

Le 2 tape dans la même veine que le 1, mais apparement il y a moins de gestion économique, plus de possibilités d'automatiser. Ce n'est que ma 2e partie, l'interface m'a pas mal rebuté au premier essai mais je commence à m'y faire. Il y a plus de possibilités d'interaction entre les personnages, ceci dit je ne suis pas sur que celà soit une réelle amélioration. On verra à l'usage En tous cas, c'est clairement plus dur de faire la cour à une demoiselle

Depuis notre tentative de PPO ratée sur l'opus 1..

Ca se joue en multi ?

Oui, le 1 comme le 2 Il y a moults add-ons et patchs donc faut faire gaffe, mais ça semble possible

[Gilou]

à ta place , plutot que de chercher une compagne à forte poitrine

( comme tu sembles vouloir le faire )

j'en choisirais une richement dotée !

E ces temps là, richesse est facile et rapide, puis peut-être que la bougresse mourra en couche où rapidement d'un rhume, et que son futur statut plus avantageux lui permettra d'embrocher une pétasse ! Après tout, hier aujourd'hui, et demain, la gonzesse cela sert à quoi d'autre que de pondre et faire à bouffer ?

vas y Von, fais-nous rêver !

[von Aasen]

Au cas où tu ne l'aurais pas vu, on parle au second degré ... ces remarques misogynes hors roleplay n'ont rien à faire ici et n'engagent que toi

[Gilou]

Au cas où tu ne l'aurais pas vu, on parle au second degré ... ces remarques misogynes hors roleplay n'ont rien à faire ici et n'engagent que toi

Mais je suis second degrés !

[Repnine]

J'aime beaucoup ce jeux, si y'a des volontaires pour du multi j'en suis.

Je vais suivre l'aar avec attention.

[Locke]

Ah, ce jeu avait capté mon attention, je brûle d'en savoir plus

[Lilan]

Mais pourquoi Crème Brulée???

[von Aasen]

Au cas où tu ne l'aurais pas vu, on parle au second degré ... ces remarques misogynes hors roleplay n'ont rien à faire ici et n'engagent que toi

Mais je suis second degrés !

Tant mieux alors

J'aime beaucoup ce jeux, si y'a des volontaires pour du multi j'en suis.

Je vais suivre l'aar avec attention.

Le 2, version Renaissance? Je vais d'abord me faire la main dessus avant de m'engager dans un multi, mais à l'avenir il se pourrait que celà me tente

Ah, ce jeu avait capté mon attention, je brûle d'en savoir plus

La suite est pour bientôt

Mais pourquoi Crème Brulée???

Surprise surprise ...

[von Aasen]

À peine remis du battement de sourcils lascif de Friderun, Elliott s'alita, en proies à maintes douleurs. Une de ses boulangères ne tarda pas à reconnaitre des signes de lèpre. Alarmé au possible par ce constat, il se précipita vers l'hospice ("Saint Exitus", quel charmant nom) pour obtenir de l'aide.

La lèpre, oui! Mais l'érudit qui lui susurra cette phrase terrible refusait fermement de lui procurer le remède, qu'il prétendait épuisé. Même une poignée de ducats ne put lui délier la langue. Fermement convaincu qu'on venait de lui mentir effrontément, Elliott se dirigea vers la grande mairie, où l'on pourrait lui certifier une ascendance plus flatteuse. En graissant la patte du copiste, l'affaire se résuma à une simple formalité.

Au retour à l'hospice, l'érudit se confondit en excuses et octroya le remède approprié au marchand impatient qui se tordait de douleur. Il ne put cependant couper au don généreux, encore une fois, d'un obole à l'hospice. Le jeu en valait pourtant la chandelle, car quelques jours plus tard notre brave se sentait pleinement soigné et regorgeait d'énergie. Il décida de se promener avec Friderun sous les chênes pour l'amadouer encore un peu plus. Ses discours ne furent point trop ennuyeux, mais il avait oublié que les chênes se trouvaient en bordure de la tour des prisonniers ...

Les cris que l'on pouvait entendre des suppliciés étaient atroces, et le rire sadique du chef de la garde citadine, le redouté Théobalde Tharawyn, entrecoupait à intervalles réguliers les phrases douces comme du miel à l'amande qui s'échappaient des lèvres d'Elliott.

La rencontre ne fut donc pas à la hauteur des espérances du "paysan libre" (comme il avait le droit de s'appeller désormais) von Aasen. Au moins, la vente de pain restait une affaire lucrative et remplissait les poches d'or à qui savait négocier. Et avait-on jamais vu meilleur négociateur?

L'élection des maîtres de guilde de Hambourg à l'automne 1408, Elliott n'en entendit parler que lorsque son résultat fut proclamé sur tous les marchés de la ville. Ce genre de choses n'était décidé qu'entre gens importants en toute discrétion, dans une des nombreuses arrière-salles de la mairie, et von Aasen n'avait pas le gabarit pour fréquenter ces cercles élitaires.

En écoutant le crieur tonner les noms des maîtres, il se surprit à épier la conversation de deux femmes d'âge mûr. Il était question de l'amour d'une sotte demoiselle pour un rouquin ventripotent possédant une boulangerie délabrée et sans avenir. Il n'en fallut pas plus pour qu'Elliott comprenne de quoi il en retourne et se fraye un chemin vers la prochaine ruelle. Il ne tarda pas à trouver Friderun, affairée au transport d'un demi-porc salé comme il le faut, et, assuré de son succès, la demanda en mariage.

La demoiselle s'empourpra instantanément lorqu'elle comprit la teneur de ces propos, et donna son accord d'un léger hochement de la tête. Fou de joie, le fiancé von Aasen lui prit le bras sans plus de façons et l'entraina vers la chapelle située aux pieds des murs de la ville.

Un prêtre malingre et presque chauve les y accueillit, demandant la folle somme de 90 ducats d'or pour célébrer l'alliance des deux fiancés. Les rumeurs font état d'un passé suspect de cet homme, des histoires traitant d'abbés et de son "vrai" nom, "Monsieur le comte de C.". Quoi qu'il en soit, Elliott et sa bonne amie n'avaient guère le choix, ils se résolurent à payer la somme désirée.

La cérémonie se passa sans plus d'embarras, la famille de Friderun n'ayant pas été conviée et celle d'Elliott étant bien loin. L'enfant de choeur s'endormit au milieu de la messe, et le prêtre sembla quelque fois oublier son latin. Qu'importe, les deux étaient réunis, et Friderun était désormais également une paysanne libre.

Voilà une bonne chose de faite! C'est ce que se disait Elliott chaque matin, lorsqu'il constatait à quel point il s'élargissait. Un homme vigoureux a besoin d'un corps solide, et la nourriture qui lui était servie quotidiennement n'était pas de refus pour entretenir la chair ...

[Coelio]

Je révise mon jugement, ca a l'air plutôt marrant ce jeu. Vite répétitif peut être, mais marrant

[von Aasen]

Dur à dire ce que réserve la suite du jeu, car beaucoup d'options ne deviennent accessibles que si l'on améliore sa maison de résidence. Et vu que mon perso a laissé près de 2000 pièces en médecins, alliances en or et petits cadeaux divers (+ salaire outrancier du prêtre ), ça va prendre encore un peu de temps

[griffon]

Freiherr Von Aasen

la boulange c'est bien

mais le hareng c'est mieux

vous devriez vous acoquiner

dans ce milieu , c'est la porte de la mer du Nord

et de l'Atlantique

il y a du potentiel dans le shipping !

[Bob Terrius]

La morue me semble avoir un meilleur potentiel de développement.

Et pas besoin d'aller s'installer au bord de la mer.

[von Aasen]

Freiherr Von Aasen

la boulange c'est bien

mais le hareng c'est mieux

vous devriez vous acoquiner

dans ce milieu , c'est la porte de la mer du Nord

et de l'Atlantique

il y a du potentiel dans le shipping !

Je ne suis pas noble (pas encore? ), juste un paysan libre sans prétentions
La pêche, certes, pourquoi pas. C'est de la nourriture, on en a toujours besoin. L'on est cependant, comment dire ... quelque peu soumis aux aléas de dame nature. L'orge, bien que vendue à des prix horripilants ces temps-ci par quelques gredins se prétendant marchands, vient aussi sûrement que l'hostie durant durant la messe. Si les paysans locaux ne la livrent pas, les Polonais et Lituaniens seront toujours prêts à livrer leurs excédents. C'est pourquoi le métier de boulanger est celui que j'ai choisi.

La morue me semble avoir un meilleur potentiel de développement.

Et pas besoin d'aller s'installer au bord de la mer.

Voilà ce que me racontent les truands venus du Nord, mais si cette affaire était aussi profitable, pourquoi sont-ils si pauvres, eux?