World In Flames - Côté Alliés
Re: World In Flames - Côté Alliés
Janvier / Février 1944. L’été sera chaud en France
Le front de l’est
L’activité se concentre sur le front sud, où le temps n’est pas trop mauvais : Vatutin attaque avec succès non loin de Rostov, mais Guderian lance une contre-attaque avec les Waffen SS, qui permet de récupérer les maigres gains acquis par l’Armée Rouge. Enfin, le temps s’améliore et une offensive est lancée sur l’ensemble du front, avec quelques avancées, auxquelles le Reich riposte en envoyant de nombreux renforts d’Allemagne. Le mur de l’est tient toujours.
Le front de l’ouest
Les unités de montagne allemandes prennent position le long de la ligne Cassino et Kesselring promet que les alliés ne passeront jamais. Pourtant, une première offensive permet de déjà bousculer le dispositif du Reich, qui recule avec quelques pertes et envoi, là aussi, des renforts. En France, c’est Leeb qui rejoint Model et tous deux regardent la manche avec inquiétude : on raconte « qu’ils arrivent ». L’OKW ordonne une défense directement sur les plages, avec contre-attaques immédiates des unités blindées sur les unités alliés qui réussiraient à débarquer. Si les Alliés sont repoussés à la mer, l’axe aura gagné…
La guerre du pacifique
L’heure de repli a sonné pour l’armée Impériale : Yamamoto quitte piteusement l’Inde, après la prise de Cocanda par le général Wavell, évacué par la marine Impériale, ainsi que Yamashita, qui se replie sur la Birmanie. Il est vrai que l’armée chinoise a envahi l’Indochine et le Siam. L’armée britannique, elle, récupère immédiatement le terrain abandonné. L’US Navy surgit en mer de Bismarck et repousse aisément l’aéronavale nippon, après quoi les Marines débarquent à Legaspi, dans les Philippines ! Un assaut sur Saipan, dans les îles Mariannes, doit par contre être annulé, suite à l’échec des bombardements américains.
Conclusion du tour
Les renforts allemands affluent en France, les gros cuirassés alliés ont ralliés l’Angleterre : Overlord ne va plus tarder.
Le front de l’est
L’activité se concentre sur le front sud, où le temps n’est pas trop mauvais : Vatutin attaque avec succès non loin de Rostov, mais Guderian lance une contre-attaque avec les Waffen SS, qui permet de récupérer les maigres gains acquis par l’Armée Rouge. Enfin, le temps s’améliore et une offensive est lancée sur l’ensemble du front, avec quelques avancées, auxquelles le Reich riposte en envoyant de nombreux renforts d’Allemagne. Le mur de l’est tient toujours.
Le front de l’ouest
Les unités de montagne allemandes prennent position le long de la ligne Cassino et Kesselring promet que les alliés ne passeront jamais. Pourtant, une première offensive permet de déjà bousculer le dispositif du Reich, qui recule avec quelques pertes et envoi, là aussi, des renforts. En France, c’est Leeb qui rejoint Model et tous deux regardent la manche avec inquiétude : on raconte « qu’ils arrivent ». L’OKW ordonne une défense directement sur les plages, avec contre-attaques immédiates des unités blindées sur les unités alliés qui réussiraient à débarquer. Si les Alliés sont repoussés à la mer, l’axe aura gagné…
La guerre du pacifique
L’heure de repli a sonné pour l’armée Impériale : Yamamoto quitte piteusement l’Inde, après la prise de Cocanda par le général Wavell, évacué par la marine Impériale, ainsi que Yamashita, qui se replie sur la Birmanie. Il est vrai que l’armée chinoise a envahi l’Indochine et le Siam. L’armée britannique, elle, récupère immédiatement le terrain abandonné. L’US Navy surgit en mer de Bismarck et repousse aisément l’aéronavale nippon, après quoi les Marines débarquent à Legaspi, dans les Philippines ! Un assaut sur Saipan, dans les îles Mariannes, doit par contre être annulé, suite à l’échec des bombardements américains.
Conclusion du tour
Les renforts allemands affluent en France, les gros cuirassés alliés ont ralliés l’Angleterre : Overlord ne va plus tarder.
Re: World In Flames - Côté Alliés
Mars / Avril 1944. La chute de Moscou
Le front de l’est
Sous la pluie, l’Armée Rouge lance un violent assaut contre la capitale et, enfin, Moscou est reprise ! Un signe prophétique
? Le Reich, en tout cas, ne contre-attaque pas et se contente d’envoyer de nouveaux renforts partout : France, Italie et URSS. Vatutin lance alors à son tour une attaque et atteint presque Stalino. Mais le Reich est inquiet : l’Armée Rouge semble ménager ses forces et on raconte qu’elle accumulé d’immenses quantités de matériel pour une offensive de grande ampleur. L’été sera chaud en Russie
!
Le front de l’ouest
Les Anglo-Saxons lancent un gigantesque aérien contre les usines du Reich (impulses aériennes) : la Luftwaffe est secouée, mais fait front courageusement. Un aperçu de ce qui arrivera au Reich si celui-ci envoi tous ses chasseurs en France vient cependant de lui être donné. Car l’été sera chaud en France
, tout le monde le pressent ! La Kriegsmarine et les U-Boats, craignant peut-être de bientôt perdre les ports français sur l’Atlantique, lancent un violent assaut contre les convois alliés, sans résultat cependant.
La guerre du pacifique
La flotte Impériale rétablit ses convois dans la mer de Bismarck et évite habilement les combats, tandis que les Chinois repartent à l’assaut : les Nationalistes attaquent Canton, les Communistes pénètrent en Manchourie.
A suivre : des photos puis l’été le plus long
Le front de l’est
Sous la pluie, l’Armée Rouge lance un violent assaut contre la capitale et, enfin, Moscou est reprise ! Un signe prophétique


Le front de l’ouest
Les Anglo-Saxons lancent un gigantesque aérien contre les usines du Reich (impulses aériennes) : la Luftwaffe est secouée, mais fait front courageusement. Un aperçu de ce qui arrivera au Reich si celui-ci envoi tous ses chasseurs en France vient cependant de lui être donné. Car l’été sera chaud en France

La guerre du pacifique
La flotte Impériale rétablit ses convois dans la mer de Bismarck et évite habilement les combats, tandis que les Chinois repartent à l’assaut : les Nationalistes attaquent Canton, les Communistes pénètrent en Manchourie.
A suivre : des photos puis l’été le plus long
Re: World In Flames - Côté Alliés
Mai / Juin 1944. Overlord !
Le front de l’ouest
Venant d’Allemagne, panzers et fantassins déboulent en France à marche forcée : tous les voyants sont au rouge. Sie komen ! Les bombardiers alliés lâchent leurs bombes en France et en Allemagne, mais ce ne sont plus les usines qui sont visées cette fois : c’est la Luftwaffe qui est prise pour cible et les quartiers-généraux Leeb et Model, qui échappent tous deux aux alliés et cablent à Berlin : Sie komen !
A 4h00 du matin, le 6 juin, les parachutistes alliés sautent en France : trois grandes unités, qui coupent complètement Leeb des lignes de communication allemandes. Puis les gros cuirassés entrent dans la dansent et un pilonnage intensif commence. Enfin, c’est l’assaut sur les plages : Lorient, Cherbourg et Saint-Malo sont pris d’assaut, rien ne résiste aux alliés. A nous les petites femmes de Paris
!

Model réagit avec force et lance les panzers à l’assaut : les parachutistes américains sont massacrés jusqu’au dernier, Leeb est désenclavé, mais l’assaut a été coûteux, les bombardiers alliés sont partout et font des cartons, la Luftwaffe est complètement débordée. « La première vague est passée… Envoyez la deuxième
! ». Les quartiers-généraux Creras et Hodges débarquent dans les ports avec des blindés et l’américain lance aussitôt une violente offensive (offensive chit en terrestre, après les deux joués par USA/CW pour une supercombinée
) : les panzers SS, le noyau dur de la Wehrmacht, sont balayés comme un fétu de paille.
Plus à l’ouest, Brest tombe à son tour, mais les renforts allemands surgissent de toute la France : la poche de Normandie est colmatée. « Rien n’en sortira, et les alliés ont usé tous leurs moyens de transport » affirme le général Model, qui reconnaît cependant qu’il faut abandonner toute idée de rejeter les alliés à la mer. Pour le moment en tout cas.
Mais les alliés refusent de se laisser enfermer et relancent l’offensive comme un taureau enragé : Saint-Nazaire et Nantes tombent, la Loire est atteinte. Les américains poussent encore plus à l’est, mais de nouveaux renforts allemands, qui surgissent de partout, obligent le haut commandement à en rester là pour le moment. La troisième vague attend cependant en Angleterre, puis la quatrième, la cinquième, la sixième…
Plus rien ne nous arrêtera ! Paris ! Berlin ! Nous arrivons !

Le front méditerranéen
Alors que l’axe pensait tous les moyens alliés tournés vers Overlord, le général Eisenhower vient rapidement le détromper : une grande offensive est lancée en Italie et bouscule complètement la ligne Casino. L’OKW doit envoyer en toute urgence des renforts, mais rien ne semble pouvoir arrêter les alliés : Florence, pivot de la défense allemande, fortifiée par une unité de montagne, est prise d’assaut
, puis Ancona, loin en arrière du front.
Unique répit pour le Reich sur le front de l’ouest : ses usines sont intactes et vont tourner à plein régime, le Bomber Command a préféré gardé ses bombardiers pour soutenir Overlord.
A suivre : l’opération Timbale et Boomerang
Le front de l’ouest
Venant d’Allemagne, panzers et fantassins déboulent en France à marche forcée : tous les voyants sont au rouge. Sie komen ! Les bombardiers alliés lâchent leurs bombes en France et en Allemagne, mais ce ne sont plus les usines qui sont visées cette fois : c’est la Luftwaffe qui est prise pour cible et les quartiers-généraux Leeb et Model, qui échappent tous deux aux alliés et cablent à Berlin : Sie komen !
A 4h00 du matin, le 6 juin, les parachutistes alliés sautent en France : trois grandes unités, qui coupent complètement Leeb des lignes de communication allemandes. Puis les gros cuirassés entrent dans la dansent et un pilonnage intensif commence. Enfin, c’est l’assaut sur les plages : Lorient, Cherbourg et Saint-Malo sont pris d’assaut, rien ne résiste aux alliés. A nous les petites femmes de Paris


Model réagit avec force et lance les panzers à l’assaut : les parachutistes américains sont massacrés jusqu’au dernier, Leeb est désenclavé, mais l’assaut a été coûteux, les bombardiers alliés sont partout et font des cartons, la Luftwaffe est complètement débordée. « La première vague est passée… Envoyez la deuxième


Plus à l’ouest, Brest tombe à son tour, mais les renforts allemands surgissent de toute la France : la poche de Normandie est colmatée. « Rien n’en sortira, et les alliés ont usé tous leurs moyens de transport » affirme le général Model, qui reconnaît cependant qu’il faut abandonner toute idée de rejeter les alliés à la mer. Pour le moment en tout cas.
Mais les alliés refusent de se laisser enfermer et relancent l’offensive comme un taureau enragé : Saint-Nazaire et Nantes tombent, la Loire est atteinte. Les américains poussent encore plus à l’est, mais de nouveaux renforts allemands, qui surgissent de partout, obligent le haut commandement à en rester là pour le moment. La troisième vague attend cependant en Angleterre, puis la quatrième, la cinquième, la sixième…


Le front méditerranéen
Alors que l’axe pensait tous les moyens alliés tournés vers Overlord, le général Eisenhower vient rapidement le détromper : une grande offensive est lancée en Italie et bouscule complètement la ligne Casino. L’OKW doit envoyer en toute urgence des renforts, mais rien ne semble pouvoir arrêter les alliés : Florence, pivot de la défense allemande, fortifiée par une unité de montagne, est prise d’assaut

Unique répit pour le Reich sur le front de l’ouest : ses usines sont intactes et vont tourner à plein régime, le Bomber Command a préféré gardé ses bombardiers pour soutenir Overlord.
A suivre : l’opération Timbale et Boomerang
- Boudi
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Re: World In Flames - Côté Alliés
Les chosent sérieuses commencent.
« Et c’est parti ! (Поехали! [Poïekhali!]) »
https://fr.pobediteli.ru/
Un petit calcul, et on s’en va !
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- griffon
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Re: World In Flames - Côté Alliés
c'est deprimant ! 

SOL INVICTVS
Au printemps, je vais quelquefois m'asseoir à la lisière d'un champ fleuri.
Lorsqu'une belle jeune fille m'apporte une coupe de vin , je ne pense guère à mon salut.
Si j'avais cette préoccupation, je vaudrais moins qu'un chien
Lorsqu'une belle jeune fille m'apporte une coupe de vin , je ne pense guère à mon salut.
Si j'avais cette préoccupation, je vaudrais moins qu'un chien
Re: World In Flames - Côté Alliés
Un pressentiment de ce qui va aussi t'arriver?
Le front de l’est : l’opération Timbale et Boomerang
Alors que les occidentaux débarquent enfin en France, le général Koniev lance l’opération Timbale (offensive chit joué
) : à partir de Kalinin et Moscou, l’assaut est lancé et une percée est obtenue. Rundstedt ne panique cependant pas et contre-attaque immédiatement : l’échec est total. « Le mur de l’est se lézarde ! Il faudrait envoyer plus de renforts ». Au sud, Vatutin a pris Stalino d’assaut et Timoshenko traverse le fleuve devant Voronesh.
Mais ces petites brèches ne satisfont pas la Stavka qui, beaucoup plus ambitieuse, vise l’effondrement total du barrage allemand : le général Joukov lance l’opération Boomerang (et encore un offensive chit, ne reculons pas devant la dépense
). Cette fois, les T-34 percent avec force et les avant-gardes de l’armée rouge atteignent déjà les faubourgs de Smolensk et Bryansk, encerclant au passage des centaines de panzers. « Brisez les Rouges ! Attaquez, aucun repli ne sera autorisé ! » vocifère le petit caporal, qui donne son feu vert pour lancer une contre-offensive incroyable : il faut éviter la rupture à l’est au moment où Overlord bat son plein.
Manstein a l’honneur de mener l’opération prophétiquement nommé « Chant du Cygne »
(offensive chit joué, le seul dont le Reich dispose, depuis des mois). La contre-attaque est cependant menée tambour battant, Smolensk, Bryansk et Koursk sont dégagés.

Mais l’Armée Rouge n’a pas encore tiré ses dernières cartouches : l’offensive reprend. Tula et Kharkov tombent, Stalino résiste de peu. Plus au nord, Yeremenko file vers Léningrad, abandonnant le front de Yaroslavl au général Rokossovsky, qui relance une fois encore l’offensive : les faubourgs de Smolensk et Bryansk sont à nouveau atteint. La Wehrmacht est aux abois et doit reculer.
Kerch puis toute la Crimée sont abandonné, l’armée roumaine, aussi pathétique soit-elle, est appelée de toute urgence pour défendre Stalino, contre laquelle Vatutin lance assaut sur assaut, en vain cependant. Au centre, la Wehrmacht parvient péniblement à rétablir un front continu devant Smolensk, mais Yeremenko a été négligé et le bougre en profite : Novgorod puis Pskov tombent sans combat, le siège de Léningrad commence
!

A suivre : la fin du rêve Japonais

Le front de l’est : l’opération Timbale et Boomerang
Alors que les occidentaux débarquent enfin en France, le général Koniev lance l’opération Timbale (offensive chit joué

Mais ces petites brèches ne satisfont pas la Stavka qui, beaucoup plus ambitieuse, vise l’effondrement total du barrage allemand : le général Joukov lance l’opération Boomerang (et encore un offensive chit, ne reculons pas devant la dépense

Manstein a l’honneur de mener l’opération prophétiquement nommé « Chant du Cygne »


Mais l’Armée Rouge n’a pas encore tiré ses dernières cartouches : l’offensive reprend. Tula et Kharkov tombent, Stalino résiste de peu. Plus au nord, Yeremenko file vers Léningrad, abandonnant le front de Yaroslavl au général Rokossovsky, qui relance une fois encore l’offensive : les faubourgs de Smolensk et Bryansk sont à nouveau atteint. La Wehrmacht est aux abois et doit reculer.
Kerch puis toute la Crimée sont abandonné, l’armée roumaine, aussi pathétique soit-elle, est appelée de toute urgence pour défendre Stalino, contre laquelle Vatutin lance assaut sur assaut, en vain cependant. Au centre, la Wehrmacht parvient péniblement à rétablir un front continu devant Smolensk, mais Yeremenko a été négligé et le bougre en profite : Novgorod puis Pskov tombent sans combat, le siège de Léningrad commence


A suivre : la fin du rêve Japonais
Re: World In Flames - Côté Alliés
La guerre du pacifique : la fin du rêve Japonais
L’armée Impériale, devant le désastre qui s’annonce, expédie des renforts en Manchourie et au Siam, où Yamashita arrive juste à temps pour empêcher la chute de la ville devant l’avancée des nationalistes chinois. Son compère Yamamoto, lui, accélère sa retraite : les Anglais ont débarqué et pris Rangoon d’assaut ! Le rêve Indien s’achève avec la chute de Chittagong, la garnison nippone ralentissant à peine l’armée des Indes de Wavell et Mountbatten, qui talonnent l’armée Impériale en pleine déroute.
La flotte Impériale, elle, échappe avec talent à la Royal Navy et l’US Navy : partout, le ravitaillement est maintenu. Excédés, les américains doivent une fois encore renoncer à leurs débarquements contre Saipan et Rabaul
, mais ce n’est qu’un répit. En Manchourie, Mukden tombe devant Mao ( 2 usines perdues pour le Japon
). « Il faut protéger nos approvisionnements en ressource. Que la flotte parte en mer de Philippine protéger nos convois sans cesse harcelés. Les américains ont dispersé leur flotte, nous ne craignons rien
»
L’US Navy est certes sur plusieurs fronts, mais pas la Royal Navy, qui se livre à un carnage en baie du Bengale : un porte-avion, deux cuirassés et deux croiseurs Japonais sont envoyés par le fond. Finalement, la flotte Impériale au grand complet livre son baroud d’honneur : la bataille de la mer des Philippines commence ! Et les derniers espoirs du Japon sombrent en même temps que ses navires : un porte-avion est coulé, deux autres endommagés, deux croiseurs envoyés par le fond, ainsi que 4 pétroliers et 4 convois.
La production Japonaise est cassée et va tourner à 30% de la normale ce tour, mais les convois peuvent encore être rétablis, Tokyo a encore des réserves. Pour combien de temps
?
Conclusion du tour
13 impulses, pas moins, avec un passe de l’axe les impulses 11 et 13, dans une tentative désespérée de mettre fin au tour. La perte de terrain n’est pas immense, mais les pertes c’est autre chose. La production du Reich est très importante, aucun bombardement ne l’a réduite, mais pas assez pour combler les pertes ! Reste que le chemin à parcourir est immense et il ne reste plus beaucoup de temps. Pour le Japon, les carottes sont cuites…
L’armée Impériale, devant le désastre qui s’annonce, expédie des renforts en Manchourie et au Siam, où Yamashita arrive juste à temps pour empêcher la chute de la ville devant l’avancée des nationalistes chinois. Son compère Yamamoto, lui, accélère sa retraite : les Anglais ont débarqué et pris Rangoon d’assaut ! Le rêve Indien s’achève avec la chute de Chittagong, la garnison nippone ralentissant à peine l’armée des Indes de Wavell et Mountbatten, qui talonnent l’armée Impériale en pleine déroute.
La flotte Impériale, elle, échappe avec talent à la Royal Navy et l’US Navy : partout, le ravitaillement est maintenu. Excédés, les américains doivent une fois encore renoncer à leurs débarquements contre Saipan et Rabaul



L’US Navy est certes sur plusieurs fronts, mais pas la Royal Navy, qui se livre à un carnage en baie du Bengale : un porte-avion, deux cuirassés et deux croiseurs Japonais sont envoyés par le fond. Finalement, la flotte Impériale au grand complet livre son baroud d’honneur : la bataille de la mer des Philippines commence ! Et les derniers espoirs du Japon sombrent en même temps que ses navires : un porte-avion est coulé, deux autres endommagés, deux croiseurs envoyés par le fond, ainsi que 4 pétroliers et 4 convois.
La production Japonaise est cassée et va tourner à 30% de la normale ce tour, mais les convois peuvent encore être rétablis, Tokyo a encore des réserves. Pour combien de temps

Conclusion du tour
13 impulses, pas moins, avec un passe de l’axe les impulses 11 et 13, dans une tentative désespérée de mettre fin au tour. La perte de terrain n’est pas immense, mais les pertes c’est autre chose. La production du Reich est très importante, aucun bombardement ne l’a réduite, mais pas assez pour combler les pertes ! Reste que le chemin à parcourir est immense et il ne reste plus beaucoup de temps. Pour le Japon, les carottes sont cuites…

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Re: World In Flames - Côté Alliés
Il est dur de faire tomber le japonais car a partir d'overlord, l'américaine a un probleme, ils dois faire des terrestres contre l'allemand, ce qui le prive des moyen maritime dont il a besoin contre le jap, en général, il remedie a cela par l'emploi massif de supercombiné!
Pour la guerre à l'est si l'allemand recule, c foutu pour le russe, surtout que lors d'un recul brutal, l'aviation russe en général n'arrive pas à suivre et fais perdre encore plus de temps à celui ci...
Pour la guerre à l'est si l'allemand recule, c foutu pour le russe, surtout que lors d'un recul brutal, l'aviation russe en général n'arrive pas à suivre et fais perdre encore plus de temps à celui ci...
Ma collection de jdp : ici
Re: World In Flames - Côté Alliés
Pour le problème US, c'est exactement ce que je fais pour le moment (voir suiteSinydoc a écrit :Il est dur de faire tomber le japonais car a partir d'overlord, l'américaine a un probleme, ils dois faire des terrestres contre l'allemand, ce qui le prive des moyen maritime dont il a besoin contre le jap, en général, il remedie a cela par l'emploi massif de supercombiné!
Pour la guerre à l'est si l'allemand recule, c foutu pour le russe, surtout que lors d'un recul brutal, l'aviation russe en général n'arrive pas à suivre et fais perdre encore plus de temps à celui ci...

Pour l'est, pas vraiment de soucis: j'ai profité d'un temps de cochon pour faire une option aérienne avec les Russes et ramener toute l'aviation proche du front (nous jouons avec l'option qui permet un rebasement au triple du rayon d'action si réalisé uniquement au-dessus d'un territoire contrôlé, ainsi même les bombardiers et chasseurs russes à faible rayon d'action n'ont pas de soucis pour rejoindre rapidement le front)
Re: World In Flames - Côté Alliés
Juillet / Août 1944. Paris s’éveille – Armageddon en URSS
Front de l’ouest
Etats-Unis et Angleterre jouent chacun un pion offensive pour une impulse supercombinée, qui leur permet de déplacer leurs flottes et troupes de renforts. L’aviation américaine lance en outre toute une série de bombardements : contre les usines d’Essen d’une part, contre les positions de la Wehrmacht en France d’autre part. L’opération se solde par de lourdes pertes aériennes, bien supérieures à celles de la Luftwaffe, qui récupère en outre la majorité de ses pilotes. Des renforts arrivent d’Allemagne, mais les Alliés ne cèdent pas au défaitisme : Mac Arthur lance l’opération Jumbo (offensive chit en terrestre
).
L’aviation allié subit un véritable désastre et la Luftwaffe n’en reste pas là : ses bombardements défensifs mettent en échec l’opération Jumbo (avec un nom pareil, j’aurais du deviner que le facteur aérien serait décisif
). Mais le Reich a utilisé tous ses moyens aériens, alors que les Alliés possèdent encore des centaines d’avions en Angleterre, qui vont pouvoir appuyer les nouvelles offensives.
Leeb colmate les brèches, mais Creras et Hodges relancent l’offensive : une percée est obtenue, la Loire est franchie et Model est coupé de son ravitaillement ! Pour le sortir de cette situation précaire, l’OKW ordonne le passage via la France de Vichy. Le Maréchal Pétain condamne aussitôt cette violation flagrante de l’armistice et décrète la dissolution du gouvernement de Vichy ! Une partie de la flotte Française se saborde, l’autre rejoint les Anglais : la France Libre est née ! ( les Français auraient-ils senti le vent tourner
?).
Le général Alexander relance l’offensive alliée et le succès est immédiat : cette fois, c’est la Seine qui est franchie. Leeb s’enferme dans Paris et ordonne le repli : désespéré et aux abois, le Reich racle ses fonds de tiroir pour amener des renforts : une unité d’infanterie Yougoslave prend ainsi position non loin de Vichy. Mais les blindés alliés talonnent la Wehrmacht et ne lui laissent aucun répit : une nouvelle percée est obtenue, des centaines d’avions sont détruits au sol, la Luftwaffe est décimée et… Chute de Paris
!!!
Pendant qu’une voiture spéciale ramène Leeb en Allemagne, grièvement blessé, laissant le front de l’ouest au général Model, isolé dans le sud de la France, l’état-major anglo-saxon victorieux se retrouve au Moulin Rouge pour fêter la victoire : l’heure est à la fête et à l’euphorie. A nous les petites femmes de Paris
!

Le front méditerranéen
Le général Eisenhower lance l’assaut et les troupes Américaines avancent plein nord. Le général Rommel établit alors la ligne Van Gogh, derrière le Pô. Des renforts lui parviennent d’Allemagne avec des instructions très claires : il doit tenir ses positions à n’importe quel prix ! C’est que le ravitaillement de Model, en France, passe désormais par l’Italie… Aussi, quand le général Gort, après un violent bombardement, lance ses blindés à l’assaut et parvient à franchir le Pô, la riposte ne se fait pas attendre : la Wehrmacht contre-attaque ! Les Alliés avaient finis par presque oublier que le Reich pouvait encore attaquer. Gort est repoussé derrière le fleuve et reçoit l’ordre de ne plus prendre l’offensive : des renforts vont lui être envoyés, prélevés sur la quatrième vague devant déferler en France. La ligne Van Gogh a tenu bon.

Front de l’ouest
Etats-Unis et Angleterre jouent chacun un pion offensive pour une impulse supercombinée, qui leur permet de déplacer leurs flottes et troupes de renforts. L’aviation américaine lance en outre toute une série de bombardements : contre les usines d’Essen d’une part, contre les positions de la Wehrmacht en France d’autre part. L’opération se solde par de lourdes pertes aériennes, bien supérieures à celles de la Luftwaffe, qui récupère en outre la majorité de ses pilotes. Des renforts arrivent d’Allemagne, mais les Alliés ne cèdent pas au défaitisme : Mac Arthur lance l’opération Jumbo (offensive chit en terrestre

L’aviation allié subit un véritable désastre et la Luftwaffe n’en reste pas là : ses bombardements défensifs mettent en échec l’opération Jumbo (avec un nom pareil, j’aurais du deviner que le facteur aérien serait décisif

Leeb colmate les brèches, mais Creras et Hodges relancent l’offensive : une percée est obtenue, la Loire est franchie et Model est coupé de son ravitaillement ! Pour le sortir de cette situation précaire, l’OKW ordonne le passage via la France de Vichy. Le Maréchal Pétain condamne aussitôt cette violation flagrante de l’armistice et décrète la dissolution du gouvernement de Vichy ! Une partie de la flotte Française se saborde, l’autre rejoint les Anglais : la France Libre est née ! ( les Français auraient-ils senti le vent tourner

Le général Alexander relance l’offensive alliée et le succès est immédiat : cette fois, c’est la Seine qui est franchie. Leeb s’enferme dans Paris et ordonne le repli : désespéré et aux abois, le Reich racle ses fonds de tiroir pour amener des renforts : une unité d’infanterie Yougoslave prend ainsi position non loin de Vichy. Mais les blindés alliés talonnent la Wehrmacht et ne lui laissent aucun répit : une nouvelle percée est obtenue, des centaines d’avions sont détruits au sol, la Luftwaffe est décimée et… Chute de Paris

Pendant qu’une voiture spéciale ramène Leeb en Allemagne, grièvement blessé, laissant le front de l’ouest au général Model, isolé dans le sud de la France, l’état-major anglo-saxon victorieux se retrouve au Moulin Rouge pour fêter la victoire : l’heure est à la fête et à l’euphorie. A nous les petites femmes de Paris


Le front méditerranéen
Le général Eisenhower lance l’assaut et les troupes Américaines avancent plein nord. Le général Rommel établit alors la ligne Van Gogh, derrière le Pô. Des renforts lui parviennent d’Allemagne avec des instructions très claires : il doit tenir ses positions à n’importe quel prix ! C’est que le ravitaillement de Model, en France, passe désormais par l’Italie… Aussi, quand le général Gort, après un violent bombardement, lance ses blindés à l’assaut et parvient à franchir le Pô, la riposte ne se fait pas attendre : la Wehrmacht contre-attaque ! Les Alliés avaient finis par presque oublier que le Reich pouvait encore attaquer. Gort est repoussé derrière le fleuve et reçoit l’ordre de ne plus prendre l’offensive : des renforts vont lui être envoyés, prélevés sur la quatrième vague devant déferler en France. La ligne Van Gogh a tenu bon.

Re: World In Flames - Côté Alliés
Le front de l’est
Le général Joukov lance l’opération tempête d’été (offensive chit
) : Manstein est massacré dans Gomel, les T-34 brisent le front centre et s’emparent de Smolensk. Au nord, Yeremenko s’empare de Riga tandis qu’au sud, Vatutin obtient une percée près de Stalino. L’OKH ordonne alors un repli généralisé en URSS : Koursk est évacuée, Kesselring pénètre en Lituanie avec des renforts, mais la proximité de l’Armée Rouge ne facilite pas le repli, qui s’avère beaucoup trop lent. Les T-34, eux, filent dans les plaines et achèvent l’encerclement total du groupe d’armée centre ! Rundstedt et Mannerheim se retrouvent piégés à l’intérieur de la poche
, que Koniev commence à réduire, par la force, tandis que Kesselring fonce à l’est pour tenter de dégager les débris du GAC. Mais Yeremenko vient à sa rencontre : le GAC est condamné, Mannerheim succombe déjà lors de la chute de Vitebsk. Des unités de l’Armée Rouge pénètrent même en Pologne !!

Au centre, Rokossovsky répète la manœuvre : Bock est encerclé avec de nombreuses unités puis entièrement anéanti. Au sud, Vatutin perce à nouveau et franchit déjà le Dnieper, bousculant les maigres troupes Roumaines qui, preuve de l’affaiblissement irréversible de la Wehrmacht, avaient pour mission de tenir seules cette partie du front. Guderian est contraint d’envoyer ses unités de Waffen SS pour endiguer l’avance de Vatutin et Rokossovsky en profite immédiatement pour prendre Kiev d’assaut, franchissant à son tour le Dnieper. La libération totale de la mère patrie ne saurait plus tarder
!

La guerre de pacifique
Le mauvais temps empêche quasi toute offensive, mais l’US Navy mène néanmoins un raid meurtrier en mer de Chine, coulant pas moins de 9 convois et abattant des centaines d’avions nippons, avant de se replier suite à l’arrivée massive de l’aéronavale japonais : l’Empire du Soleil Levant dispose encore de quelques beaux restes et ses convois sont rétablis à 100%. Les communistes chinois se cassent en vain les dents contre Port-Arthur, la Birmanie est par contre évacuée.
Conclusion du tour
Quelques chiffres illustrent parfaitement l’incroyable déroute du Reich ce tour : 93 BP de pertes en URSS (contre 24 BP…) et 64 BP à l’ouest (contre 96 BP), total 157 BP, soit un peu plus de six mois de production
!!! Certes, les Anglo-Saxons ont eux aussi payé le prix fort (30 BP viennent des deux offensives chits), mais cela ne représente même pas deux mois de production pour eux.
La vérité, c’est que tout le poids des économies alliés se fait à présent sentir : les Etats-Unis produisent comme des malades, l’URSS égalise le Reich et l’ouverture du seçond front a permis de rendre cette réalité effective (en 1943, l’axe, malgré une production inférieure, tenait solidement, les Anglo-Saxons ne lui opposant finalement qu’une fraction de leurs forces. Mais tout a changé depuis Overlord. L’ouest est devenu un gouffre pour la Wehrmacht, qui a causé l’effondrement du front de l’est, privé de ses massifs renforts quotidiens alors que l’Armée Rouge atteignait justement des sommets de puissance et lançait d’audacieuses manœuvres d’encerclement. Le retournement est total, c’est la bérézina pour le Reich, reste à voir s’il va réussir à stabiliser les différents fronts.
Le général Joukov lance l’opération tempête d’été (offensive chit



Au centre, Rokossovsky répète la manœuvre : Bock est encerclé avec de nombreuses unités puis entièrement anéanti. Au sud, Vatutin perce à nouveau et franchit déjà le Dnieper, bousculant les maigres troupes Roumaines qui, preuve de l’affaiblissement irréversible de la Wehrmacht, avaient pour mission de tenir seules cette partie du front. Guderian est contraint d’envoyer ses unités de Waffen SS pour endiguer l’avance de Vatutin et Rokossovsky en profite immédiatement pour prendre Kiev d’assaut, franchissant à son tour le Dnieper. La libération totale de la mère patrie ne saurait plus tarder


La guerre de pacifique
Le mauvais temps empêche quasi toute offensive, mais l’US Navy mène néanmoins un raid meurtrier en mer de Chine, coulant pas moins de 9 convois et abattant des centaines d’avions nippons, avant de se replier suite à l’arrivée massive de l’aéronavale japonais : l’Empire du Soleil Levant dispose encore de quelques beaux restes et ses convois sont rétablis à 100%. Les communistes chinois se cassent en vain les dents contre Port-Arthur, la Birmanie est par contre évacuée.
Conclusion du tour
Quelques chiffres illustrent parfaitement l’incroyable déroute du Reich ce tour : 93 BP de pertes en URSS (contre 24 BP…) et 64 BP à l’ouest (contre 96 BP), total 157 BP, soit un peu plus de six mois de production

La vérité, c’est que tout le poids des économies alliés se fait à présent sentir : les Etats-Unis produisent comme des malades, l’URSS égalise le Reich et l’ouverture du seçond front a permis de rendre cette réalité effective (en 1943, l’axe, malgré une production inférieure, tenait solidement, les Anglo-Saxons ne lui opposant finalement qu’une fraction de leurs forces. Mais tout a changé depuis Overlord. L’ouest est devenu un gouffre pour la Wehrmacht, qui a causé l’effondrement du front de l’est, privé de ses massifs renforts quotidiens alors que l’Armée Rouge atteignait justement des sommets de puissance et lançait d’audacieuses manœuvres d’encerclement. Le retournement est total, c’est la bérézina pour le Reich, reste à voir s’il va réussir à stabiliser les différents fronts.
Re: World In Flames - Côté Alliés
Septembre / Octobre 1944. Libération de Bruxelles
Le front de l’ouest
Etats-Unis et Angleterre ouvrent la danse avec un offensive chit pour une supercombinée. Chute de Bordeaux et repli de la Kriegsmarine sur Kiel, percée en France et chute de Lille. Les troupes parviennent déjà devant Bruxelles et Metz. Passant par l’Italie, le général Model rejoint l’Allemagne et lance plusieurs grandes unités en Belgique : il faut créer le mur de l’ouest ! Mais Mac Arthur riposte par une offensive de grande envergure (offensive chit
) : l’opération harengs. L’ennemi est bousculé et les blindés obtiennent une percée : chute d’Anvers ! Cette fois, c’en est trop et Model ordonne le repli derrière la Dyle et l’abandon de Bruxelles, où les alliés sont accueillis par la foule en délire.
Bruxelles, ma belle, je te rejoins bientôt
Aussitôt que Paris me trahi
Et je sens que son amour aigri, depuis
Elle me soupçonne d’être avec toi, le soir
Je reconnais, c’est vrai
Tous les soirs, dans ma tête
C’est la fête des anciens combattants
D’une guerre qui est toujours à faire
…
Bruxelles, attend moi, j’arrive
Bientôt je prends la dérive
Paris, je te laisse mon lit…
Le temps se couvre et de violentes tempêtes viennent mettre un frein à l’avancée des anglo-saxons, qui éliminent alors avec soin les poches de résistance à Boulogne et Calais. Rouen et Lyon restent occupés, mais aussi isolés.

Le front de l’ouest
Etats-Unis et Angleterre ouvrent la danse avec un offensive chit pour une supercombinée. Chute de Bordeaux et repli de la Kriegsmarine sur Kiel, percée en France et chute de Lille. Les troupes parviennent déjà devant Bruxelles et Metz. Passant par l’Italie, le général Model rejoint l’Allemagne et lance plusieurs grandes unités en Belgique : il faut créer le mur de l’ouest ! Mais Mac Arthur riposte par une offensive de grande envergure (offensive chit

Bruxelles, ma belle, je te rejoins bientôt
Aussitôt que Paris me trahi
Et je sens que son amour aigri, depuis
Elle me soupçonne d’être avec toi, le soir
Je reconnais, c’est vrai
Tous les soirs, dans ma tête
C’est la fête des anciens combattants
D’une guerre qui est toujours à faire
…
Bruxelles, attend moi, j’arrive
Bientôt je prends la dérive
Paris, je te laisse mon lit…
Le temps se couvre et de violentes tempêtes viennent mettre un frein à l’avancée des anglo-saxons, qui éliminent alors avec soin les poches de résistance à Boulogne et Calais. Rouen et Lyon restent occupés, mais aussi isolés.

Re: World In Flames - Côté Alliés
Le front de l’est
Nouvelle percée de Vatutin, qui massacre le roumain Antonescu et s’empare d’Odessa pendant qu’au centre, Koniev achève le massage des débris du GAC. Le GAS, commandé par Guderian, se replie derrière le Dniester, mais le général allemand note sobrement : « La ligne de défense pourrait tenir… Si je disposais de soldats pour la tenir
». Au nord, Kesselring n’est pas mieux loti. Finalement, là aussi, c’est le mauvais temps qui va empêcher l’Armée Rouge de pousser plus en avant. La Stavka en profite cependant pour approcher l’aviation russe plus près d’un front qui a avancé de plusieurs centaines de kilomètres en quelques semaines seulement. L’axe n’occupe plus, en URSS, que Minsk, isolée, et Léningrad. Le mur de l’est s’est effondré et plus rien ne semble en mesure d’arrêter le torrent impétueux de l’armée rouge, qui déferle. Qui arrivera donc le premier à Berlin ? Les Américains ou les Soviétiques
?

La guerre du pacifique
Mao s’empare de Port-Arthur, des renforts nippons débarquent en Corée. Les convois japonais ne sont guère inquiétés : là aussi, le mauvais temps fait son œuvre
.
Nouvelle percée de Vatutin, qui massacre le roumain Antonescu et s’empare d’Odessa pendant qu’au centre, Koniev achève le massage des débris du GAC. Le GAS, commandé par Guderian, se replie derrière le Dniester, mais le général allemand note sobrement : « La ligne de défense pourrait tenir… Si je disposais de soldats pour la tenir



La guerre du pacifique
Mao s’empare de Port-Arthur, des renforts nippons débarquent en Corée. Les convois japonais ne sont guère inquiétés : là aussi, le mauvais temps fait son œuvre

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Re: World In Flames - Côté Alliés
Danton a écrit : Bruxelles, ma belle, je te rejoins bientôt
Aussitôt que Paris me trahi
Et je sens que son amour aigri, depuis
Elle me soupçonne d’être avec toi, le soir
Je reconnais, c’est vrai
Tous les soirs, dans ma tête
C’est la fête des anciens combattants
D’une guerre qui est toujours à faire
…
Bruxelles, attend moi, j’arrive
Bientôt je prends la dérive
Paris, je te laisse mon lit…
Dick Annegarn !
J'aime beaucoup cette chanson
Il y aussi celle ci sur Bruxelles que j'aime également :
Je n’avais pas de cadeau pour t’offrir à Noël, j’en voulais un très beau, j’ai pensé à Bruxelles. Offrir une ville c’est vaniteux, je le reconnais mais j’m’en fous, parce que c’est quand même mieux que de rien offrir du tout. Tu te serais contentée d’un cadeau moins tape-à-l’œil, d’un livre ou d’un CD, d’une paire de boucles d’oreilles. Mais dans une bague ou un collier, je te mets au défi de faire entrer sans les casser Saint-Josse et la gare du Midi.
Alors Bruxelles je te la donne, mais faut l’dire à personne, ça menacerait la couronne et j’ai donné ma parole d’homme, qui vaut ce qu’elle vaut.
Il a fallu que le roi s’en mêle, il disait à court d’arguments, c’est ma capitale, bordel ! Et ce n’est pas un présent ! J’ai dit mon King je vous arrête, Bruxelles est un joyau, nous sommes en période de fête, c’est idéal comme cadeau. Il s’entêtait dans son refus, je l’ai d’ailleurs trouvé têtu, il disait c’est pas à toi et tu peux pas l’offrir comme ça. Bruxelles est aux Bruxellois, c’est entendu j’ai dit au roi, mais ils n’en sauront rien, ce sera notre secret mon Cher Souverain.
Alors Bruxelles je te la donne, mais faut l’dire à personne, ça menacerait la couronne et j’ai donné ma parole d’homme, qui vaut ce qu’elle vaut.
Moi qui suis roturier - c’est mon seul titre de noblesse - je voudrais négocier, soyez cool Votre Altesse. Le Roi qui est un gentleman a étudié la question, comme c’est pour une dame, j’vais t’faire une proposition. Bien entendu, m’a-t-il dit, tout ça ne sort pas d’ici, mais en échange je veux Paris, en dessous de quoi j’gagne pas ma vie. Sans hésiter j’ai répondu, c’est d’accord marché conclu, avec vous Messire faire des affaires c’est un plaisir.
Alors Bruxelles je te la donne, mais faut l’dire à personne, ça menacerait la couronne et j’ai donné ma parole d’homme, qui vaut ce qu’elle vaut.
Sinon tu penses etre quand à Berlin ?
The King Rocks Da Place !!
"-À mon avis, dans la guerre, il y a une chose attractive : c'est le défilé de la victoire. L'emmerdant, c'est tout ce qui se passe avant. Il faudrait toucher sa prime d'engagement et défiler tout de suite. Avant que ça se gâte…"
(Michel Audiard, Un Taxi pour Tobrouk)
"-À mon avis, dans la guerre, il y a une chose attractive : c'est le défilé de la victoire. L'emmerdant, c'est tout ce qui se passe avant. Il faudrait toucher sa prime d'engagement et défiler tout de suite. Avant que ça se gâte…"
(Michel Audiard, Un Taxi pour Tobrouk)