Automne 1944
Sur le front de l'Est l'ennemi a savamment retiré l'essentiel de ses troupes pour échapper à son juste châtiment. C'est donc la ruée sur des provinces laissées à peu près vides :
Roumanie :
Pologne occidentale :
Prusse orientale :
Hongrie :
Le choix de la Hongrie a été dicté par les contingences ferroviaires. S'implanter en Pologne occidentale eut menacé directement Berlin, hélas nos troupes, limitées par les trains disponibles, auraient du faire face à une armarda ennemie stationnée en Allemagne orientale et en Tchécoslovaquie. C'eut été une déroute par trop prévisible.

En Hongrie, seule les troupes stationnées en Tchécoslovaquie, épaulées par les seuls blindés installés en Allemagne, peuvent tenter un contre. A l'hiver 45 il est possible que les Allemands blindent la Tchécoslovaquie et l'Autriche, nous libérerons alors la Yougoslavie et ses précieux centres de ressources.
De leurs côtés, les Alliés rencontrent de sévères difficultés sur le théâtre méditerranéen à cause de la Luftwaffe. Maintenir une flotte en Méditerranée centrale pour empêcher l'ennemi de rameuter en Europe ses effectifs coincés en Afrique a un coût à chaque tour :
Cuirassé touché par un bombardier torpilleur allemand :
Ca en est fini de notre espoir de faire plier l'Italie, cette même Luftwaffe vient de mettre hors course notre avion lourd positionné à Malte. Sans avions pas de paras, sans paras pas de débarquement possible.
La Méditerranée occidentale est de plus verrouillée par d'autres avions à croix noires, il est difficile de se dégager un chemin :
Puisque l'Italie nous est rendue inaccessible nous lançons l'invasion du continent à partir de la Hollande :
Situation en Europe :
Le corps expéditionnaire allié est fortement exposé en Hollande, nous espérons que la réparation des rails, l'envoi de chasseurs et surtout l'hiver à venir nous évitera une catastrophe possible : le rejet à la mer.
En Australie les Japs ont abandonné le Queensland, nous reprenons donc la province :
C'est une province à 1 point, l'ennemi ne totalise au mieux que 59 PV depuis 1939, face aux 71 au minimum requis ça nous laisse un peu plus de marge pour faire plier le Japon. Hélas à l'évidence ça ne sera pas suffisant.
L’Australie, fin d'automne 1944 :
