Je ne suis pas sûr qu'on puisse activer une flotte avec "Campagne majeure" ...
Edit : bon, même si tous les exemples donnés concernent des forces terrestres activées par cette carte, a priori on peut considérer qu'une flotte/escadre est aussi une force ... on va donc dire que ça fonctionne ...

Je suppose aussi que tu as récupéré le dépôt d'Ajaccio au passage ?
Attrition pour les Russes à -1 sur 16 pas : 5-1 --> 2 pertes.
Je tente une marche au son du canon avec Napo : 2+3 --> réussie
Test d'attrition à -2 sur 18 pas : 1-2 --> 1 perte au demi-XVIII
Tu comptes jouer des CC et utiliser le bonus des chevaliers-gardes ?
Proclamation de Napoléon à l'Armée :
"Soldats, il y a aujourd'hui un an, à cette même heure, que vous étiez sur le champ mémorable d'Austerlitz ; les bataillons russes, épouvantés, fuyaient en déroute ou, enveloppés, rendaient les armes à leurs vainqueurs. Le lendemain, ils firent entendre des paroles de paix ; mais elles étaient trompeuses : à peine échappés, par l'effet d'une générosité peut-être condamnable, aux désastres de la troisième coalition, ils en ont ourdi une quatrième. Mais l'allié, sur la tactique duquel il fondaient leur principale espérance, n'est déjà plus. Ses places fortes, ses capitales, ses magasins, ses arsenaux, 280 drapeaux, 700 pièces de bataille, cinq grandes places de guerre, sont en notre pouvoir. L'Oder, la Warta, les déserts de la Pologne, le mauvais temps de la saison n'ont pas pu vous arrêter un moment. Vous avez tout bravé, tout surmonté ; tout a fui à votre approche.
C'est en vain que les Russes ont voulu défendre la capitale de cette ancienne et illustre Pologne : l'aigle française plane sur la Vistule. Le brave et infortuné Polonais, en vous voyant, croit revoir les légions de Sobieski de retour de leur mémorable expédition. Soldats, nous ne déposerons point les armes que la paix générale n'ait affermi et assuré la puissance de nos alliés, n'ait restitué à notre commerce sa liberté et ses colonies. Nous avons conquis sur l'Elbe et l'Oder, Pondichery, nos établissements de l'Inde, le cap de Bonne-Espréance et les colonies espagnoles.
Qui donnerait le droit aux Russes de balancer les destins ? Qui leur donnerait le droit de renverser de si justes desseins ? Eux et nous, ne somme-nous pas les soldats d'Austerlitz ?"
Quartier-Général de Posen, 2 décembre 1806.