Game over pour l'Autriche-Hongrie.


Historiquement, le BEF débarque à Le Havre dès le 11 août 1914- la large offensive à l'Ouest, qui m'a fait transpirer mais pas tomber, malgré une défense française que j'ai ressentie comme pataude (alors que quand je joue les Centraux, je les trouve très solides).
Je l'ai trouvée bien trop solide à mon goût. Sans parler de la présence de deux corps britanniques en France dès le 2e tour (c'est cheaté comme dirait boudi).
Un seul suffit, il peut faire environ 14 MPP de dégâts, et ils sont bien énervants à poursuivre dans le Nord, obligeant à divertir les destroyers de l'Entente des routes vitales vers l'Inde, l'Amérique. Donc soit tu aspires la réserve de destroyers britanniques, soit tu occasionnes pas mal de dégâts, soit tu forces le Royaume-Uni a couper sa route, dans les trois cas c'est du tout bon pour les Centraux !l'impunité totale de mes livraisons à la Russie. Je transférais en moyenne 60 MPP par tour du Royaume-Uni vers la Russie, accélérant grandement la montée en puissance russe.
Ma première grosse erreur. J'attendais d'avoir plus de SM pour attaquer tes convois.
Vu que tu dois attendre un tour pour renforcer tes troupes, il faut une masse initiale assez importante, sinon le Serbe a lui aussi le temps de renforcer, se retrancher à nouveau. Bon il faut voir aussi le moral d'acier des Serbes, il faut vraiment occuper toutes les villes du pays, donc carrément déblayer toute son armée.la double priorité accordée non seulement à l'Ouest, mais aussi à la Serbie. Beaucoup d'attaques défavorables qui ont aspiré un nombre conséquent de MPP austro-hongrois. Je suis passé à quelques millimètres d'un écroulement serbe, les MPP russes et français ont évité le pire. Je pense qu'en serrant la vis un peu plus, on peut éliminer les Serbes début 1915.
C'est aussi mon avis, d'où mon obstination à attaquer, quitte à subir des pertes plus élevées.
Ah mais je pense que tu aurais mieux fait d'investir les 125 MPP que tu as mis en armes d'infanterie dans le domaine des tranchées. C'est moins cher (100 MPP pour deux chits) et tu aurais eu un niveau de tranchées en plus en janvier 1915. Cela t'aurait permis de largement mieux accrocher au terrain en France comme en Russie. D'ailleurs c'est ce qui a sauvé mes Russes, qui jusque là étaient très vulnérables à toute attaque allemande. Les tranchées ont de loin le meilleur retour sur investissement dans ce jeu à mon avis.- aucune recherche dans les tranchées jusqu'a probablement mi-1915![]()
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C'est osé dans un jeu sur la 1ère GM ! J'ai interprété tes volumes d'investissement en recherche comme un chit en armes d'infanterie, c'est ça ? Plus tard, il me semble avoir vu un investissement de 50 MPP que j'ai attribué aux tranchées. Bien déçu de n'avoir pas pu exploiter cette erreur de manière plus importante, les Allemands à l'Ouest étaient malgré tout solides.
Ma stratégie initiale (tout à l'ouest) ne me laissait pas d'autre choix que de consacrer tous mes moyens à l'offensive.![]()
J'ai délaissé la Grèce parce qu'elle ne reçoit que deux ou trois corps d'infanterie, et se retrouve vite en difficulté face aux Centraux, donc risque de perte de moral allié pour cause de capitulation grecque. Finalement je pense que l'Entente n'a pas le choix, pour sauver le commerce anglo-grec, il faut tout faire pour les garder de son côté. Les ports grecs sont très pratiques aussi !- ignorer mon offensive diplomatique aux Pays-Bas (qui m'a côuté très cher, mes Britanniques ont été plombés en recherche à un point que je n'imaginais pas). Au plus tard quand tu as vu les relations baisser, tu aurais pu investir 100 à 200 MPP pour sauver ce partenaire commercial. Sachant que ce sont 65 MPP par tour qui risquent de s'envoler, le jeu en vaut la chandelle.
Je m'en suis aperçu tardivement. J'ai essayé de redresser la barre en vain. J'aurais mieux fait de concentrer mes efforts diplo sur la Grèce.
Tu avais moins de pertes que moi, mais pas assez. Les troupes que tu as jetées sur les Français, retranchés, immobiles, prêts de leurs centres de ravitaillement, avec des généraux corrects et des forteresses pour les soutenir, elles ont manqué contre les Russes, mal commandés, mal ravitaillés, au niveau tactique inférieur, qui ont pu maintenir une certaine puissance en fond de coulisse (avec un tout à l'Est, les Russes prennent vraiment très, très cher).Ce que je n'arrive toujours pas à comprendre est le retournement de situation aussi rapide qu'inattendu (du moins pour moi) du printemps 1915. Mes pertes sont devenues soudainement intolérables (alors que le ratio m'était très favorable jusque là) et faute de troupes en nombre suffisant, je n'ai pas eu d'autre choix que de sacrifier un front au profit d'un autre. Dès lors, la messe était dite.