07/08 au 13/08/1941 (T8)
Finlande
La jonction entre l'armée finlandaise et la Wehrmacht s'est faite à Leningrad, dans les faubourgs de Pavlovo, et nos alliés se sont emparés du port sur le lac Ladoga. L'ennemi a été tout à fait surpris et a décidé de fuir plutôt que de défendre cette cité symbole. Bonne décision ou pas, cela aura au moins eu le mérite de sauver beaucoup de soldats de l'Armée Rouge.
HeeresGruppe Nord
La poche de Leningrad a presque entièrement été nettoyée et l'ennemi a fui derrière la Volkhov. Novgorod a également été prise à l'ennemi. seule reste quelques petites unités éparses subsistent dans les ruines de Leningrad

. Les unités de notre 4ème PanzerGruppe pourront bientôt être redéployée vers le sud afin d'aider les autres unités rapides dans leurs missions.
HeeresGruppe Mitte
L'ennemi s'est retranché sur une ligne défensive solide entre Vyazma et Velikie Luki. Par contre, au dessous de la ligne Vyazma-Smolensk, les divisions russes fuient vers l'est et rejoignent une nouvelle ligne au niveau de Briansk, derrière la Desna. Nos unités blindées et motorisées sont toujours en pointe de l'attaque, mais l'essence commence à manquer et à ralentir sérieusement le rythme de progression. Heureusement, la retraite générale de l'ennemi nous permet de gagner facilement du terrain.
HeeresGruppe Züd
De Kremenchug à Chernigov, l'ennemi tient toujours fermement ses positions, axées sur Kiev et le Dnepr. il y possède de bonnes divisions et le terrain leur est favorable. Nous nous contentons de coller à leur dispositif avec les 6 et 17ème Armées. Plus au sud, la défense russe est établie derrière l'Ingulets, et s'étire ainsi jusqu'à la Mer Noire. Mais ici aussi malheureusement, l'essence commence à manquer, et le 1er PanzerGruppe continue sa récupération dans les alentours de Kirovograd.
Pertes
Le nombre de nos morts et blessés commence à grimper et l'aviation subit de fortes attritions. La marche en avant et la Blitzkrieg marque une pause à cause de son élément essentiel : l'essence. Elle manque autant à nos blindés qu'à nos avions... Mais cette semaine, 60 unités ennemies (dont 42 formations combattantes) ont été détruites.
