T avais qu'à prendre Leningrad, l'Egypte, Moscou, Baku et l'Irak... Après c'est pas cher
L'État, c'est la grande fiction à travers laquelle tout le monde s'efforce de vivre aux dépens de tout le monde Frédéric Bastiat
Bien des gens qui se considèrent très au-dessus des aberrations du nazisme et qui en haïssent très sincèrement toutes les manifestations, travaillent en même temps pour des idéaux dont la réalisation mènerait tout droit à cette tyrannie abhorrée
Friedrich Hayek
Normalement ça devrait être le moment ou l'Italie et L'Espagne cherchent n'importe quelle excuse pour capituler avantageusement.
T as pas vraiment investis en fusée non? Quel vil propagandiste
L'État, c'est la grande fiction à travers laquelle tout le monde s'efforce de vivre aux dépens de tout le monde Frédéric Bastiat
Bien des gens qui se considèrent très au-dessus des aberrations du nazisme et qui en haïssent très sincèrement toutes les manifestations, travaillent en même temps pour des idéaux dont la réalisation mènerait tout droit à cette tyrannie abhorrée
Friedrich Hayek
Une dizaine de grandes unités italo-allemandes retranchées derrière la rivière Pruth ont la lourde mission de disputer aux rouges l'accès à la Roumanie.
La disproportion des forces laisse malheureusement augurer du pire...
A l'ouest, la ligne de défense semble plus solide.
Les pluies d'automne devraient nous procurer un répit bienvenu en clouant au sol l'aviation alliée.
Situation au 4 octobre 1944
La Roumanie est perdue.
Le moral allemand poursuit sa lente mais inexorable chute, rattrapant celui des Britanniques.
Seuls les Italiens font désormais moins bien...
Situation au 26 octobre 1944
Foutue météo !!!
Le beau temps est de retour.
L'aviation alliée reprend son ballet mortel.
Berlin subit ses premiers raids aériens.
Le Rhin est franchi.
Piqué au vif, le haut commandement ordonne une offensive générale.
Nos hommes se battent avec l'énergie du désespoir mais échouent à repousser l'ennemi au-delà du fleuve.
Si les Alliés occidentaux sont contenus tant bien que mal, il n'en est pas de même sur le front de l'Est.
Les pertes subies ces derniers mois et les ponctions opérées au profit de l'ouest rendent illusoire tout espoir de ralentir la progression soviétique.
Pour la première fois depuis le début de la guerre, l'Armée rouge aligne plus d'unités que la Wehrmacht.
Maigre consolation dans cet océan de mauvaises nouvelles.
Une armée canadienne est malmenée par les vétérans espagnols.