Mon propos sera plus clair comme ça.

Pauvre mouche, elle aura payé de sa personne ce soir!Nabulio a écrit :Plus-que-parfait et imparfait pour être exact.
Le dernier verbe peut être conjugué à l'imparfait (concordance des temps) ou au présent (je le croyais, en l'état actuel de mes croyances, je me trompe encore) mais là, cela relève de la sodomisation de diptères et puis ma remarque était là juste pour rebondir de manière légère sur le post précédent![]()
J'invoque Le Grand Lafrite! Placer ça dans un topic d'AAR, ça mérite une récompense et une tempête d'applaudissements!Nabulio a écrit :Plus-que-parfait et imparfait pour être exact.
Le dernier verbe peut être conjugué à l'imparfait (concordance des temps) ou au présent (je le croyais, en l'état actuel de mes croyances, je me trompe encore) mais là, cela relève de la sodomisation de diptères et puis ma remarque était là juste pour rebondir de manière légère sur le post précédent![]()
Odile : Aucun, je les ai engagés pour projeter le film. Ils sont morts.
Bialès : C'est donc le deuxième meurtre autour de ce film.
Odile : Exact.
Bialès : C'est bon pour la publicité, ça. Votre travail, c'est qu'il y a un max de pub autour de ce film. Je me trompe ?
Odile : Oui. Sur "qu'il y a". C'est "qu'il y ait un max de pub" qu'il faut dire.
Bialès : Ne jouez pas sur les mots, mademoiselle Deray.
Il n'y a pas de quoi!Boudi a écrit :Ok dans ce cas, merci pour la mise au point grammaticale.
Monseigneur est trop bon...Lilan a écrit :J'invoque Le Grand Lafrite! Placer ça dans un topic d'AAR, ça mérite une récompense et une tempête d'applaudissements!Nabulio a écrit :Plus-que-parfait et imparfait pour être exact.
Le dernier verbe peut être conjugué à l'imparfait (concordance des temps) ou au présent (je le croyais, en l'état actuel de mes croyances, je me trompe encore) mais là, cela relève de la sodomisation de diptères et puis ma remarque était là juste pour rebondir de manière légère sur le post précédent![]()
Odile : Aucun, je les ai engagés pour projeter le film. Ils sont morts.
Bialès : C'est donc le deuxième meurtre autour de ce film.
Odile : Exact.
Bialès : C'est bon pour la publicité, ça. Votre travail, c'est qu'il y a un max de pub autour de ce film. Je me trompe ?
Odile : Oui. Sur "qu'il y a". C'est "qu'il y ait un max de pub" qu'il faut dire.
Bialès : Ne jouez pas sur les mots, mademoiselle Deray.